Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 4
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 4
Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 4
-Qu’est-ce que je déguste, mais que c’est booonnn ! T’as vraiment une teub énorme !
Les jambes de ma copine se détendent avec fureur avant de se replier, son ventre est agité de secousses comme si elle recevait des décharges, empalée le plus loin possible sur ce pal démesuré. Elle agonise sous le formidable soc qui explore une « terra incognita » Je vois clairement la grosse verge d’Olivier, qui se lubrifie à chaque sortie pour encore gagner en profondeur, en y revenant encore et encore, mais il n’y a rien à faire, elle n’a pas une chatte assez profonde pour un tel pieu…
-Maintenant ! Maintenant ! Le supplie-t-elle. "Arrrhhh ! Arrrhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Suite :
C'est le début d'une défonce vaginale assumée, remplie d'insultes plus vulgaires les unes que les autres à l’encontre du frenchie. Chaque orgasme d’Alva est suivi d'un moment de calme, ou elle joue avec sa grosse verge dure en se plaignant alors que c’est elle qui tient le manche, si je puis dire, en lui a envoyant sa cyprine en abondance :
-Arrhhh ! Arrrhhh Olivier ! Tu me détruis la chatte ! Arrrhhh ! Arrrhhh ! Que c'est booonnnnnnn !!!
Olivier qui se retenait à la limite du possible depuis quelques minutes se déverse en elle sans se faire prier en poussant un grognement de jouissance. Je suis émue quand les puissants jets de foutre inondent son vagin et que je voie couler de la conque de ma copine le liquide ambré mélangé à une forte dose de sperme.
Ce qui se passe alors et encore plus hot, ma tante se précipite pour recueillir cet étrange breuvage directement à la source d’Alva puis profite que le chibre d’Olivier ait à peine débandé pour se poignarder à son tour dessus en le suppliant :
-Embrasse-moi, caresse-moi, mordille-moi, profite de mon corps. Oh oui, rentre au plus profond, plus vite, c'est trop bon ! Je sens ta queue grossir en moi, tu vas découvrir ce qu’est une vraie femme …
-Mais ! qu’est-ce que vous me faites, Ebba ? Oh putain ! Oh putain ! Vous me broyez la bite ! Comment faites-vous cela ? C’est… c’est … Incroyable ! Je viens de me vider les couilles dans le sexe d’Alva et pourtant je sens que je ne vais pas tarder, je bute maintenant au fond de votre grotte à chaque coup et votre vagin a des contractions si fortes que je croirais ma bite prise dans une trayeuse.
-Oh oui plus fort, plus vite, t'es si gros Olivier, je n’ai jamais été si remplie, oh mon Dieu ! Je voudrais bien arrêter de te broyer la bite mais ma matrice ne m’obéit plus, je n’ai jamais ressenti ça, ni avec mon mari, ni avec mon beau-fils.
Il arrive quand même à résister quelques minutes avant d'exploser en elle et de lui remplir son bas ventre de sa foudre blanchâtre en abondance. Ebba crie puis s'effondre à côté de lui, exténuée et ivre de plaisir. Son cœur bas si vite que je voie sa poitrine se soulever avec force, sa respiration est sifflante. Olivier s'allonge sur le côté, un bras autour d'elle, une main sur son sein, celle d’Ebba sur la queue qui leur a donné tant de plaisir. Il respire l'odeur de ses cheveux.
Alva vient s’étendre de l’autre côté d’Olivier pour qu’il lui prodigue les mêmes caresses qu’à ma tante et vient, elle aussi poser sa main sur son bas-ventre pour se disputer « le bout de gras ».
Alva lâche alors comme si c’était naturel :
-Olivier, comme Kriss, je veux que tu m’encules, tu as vu que j’ai déjà préparé l’endroit, sinon, ça ne rentrerait jamais. T’as une trop grosse queue !
Olivier met un moment à réagir, puis attire Alva vers la bite encore tenue par Ebba et la présente à sa bouche, Alva la lèche, la nettoie du sperme très visqueux et blanchâtre qui la souille encore, elle aspire la bite, elle avale le sperme restant, ses yeux rivés sur ceux d’Olivier en le complimentant. « huuummm qu’il est bon ton jus petit frenchie » puis elle s’adresse à ma tante :
-On va s’occuper de la rendre prête pour un nouveau round, hein Ebba ! On va le faire rebander le plus haut possible, je suis sûre qu’il détient encore de solides réserves dans ses bourses.
-Tu as une très grosse bite qui doit faire rêver les femmes, l’encourage tata, et elle est très courageuse. Celle de mon mari Karl, après un rapport, devient toute molle et met longtemps à être de nouveau vaillante alors qu’avec toi, je suis certaine que tu n’as pas fini de nous honorer ! Alva n’attend que ça, défonce-lui le cul, défonce cette salope, elle rêve de ta bite depuis le premier jour de ta venue.
Elles le pelotent avec application, tour à tour ou ensemble, en se caressant chacune l’orifice de leur choix, l’amenant de nouveau à la pleine érection, quasiment jusqu’à la limite extrême de sa résistance aux stimuli de ces deux femmes avides de sexe. Sans plus attendre il lui défonce de nouveau la chatte pour graisser son piston pendant qu’Ebba lui lèche ses seins avant de dilater son anus après en avoir retiré le plug anal, elle la lèche, lui met des doigts dans le cul pendant qu’Olivier défonce toujours ma petite salope d’Alva.
Ma tante se saisit du gourdin pour le diriger vers sa nouvelle destination et je vois le gland rentrer tout doucement en elle, puis il fait des mouvements de plus en plus amples et de plus en plus vite. La douleur de l'intrusion initiale est si vive, qu'elle s'oblige à écarter les cuisses au maximum pour minorer la douleur, et pourtant je constate qu’Olivier se retient, n’entrant qu’au deux tiers son formidable chibre. Son excitation atteint son paroxysme, alors qu'il coulisse, de plus en plus amplement, et aisément, pendant qu'elle crie ses premières montées de plaisir anal. Ma copine hurle comme jamais pendant que Ebba prend le gode et l’enfonce dans la chatte d’Alva ce qui lui vaut une double pénétration. Il faut un long moment à Alva pour que le plaisir l’emporte sur la douleur.
-Oh putain que c’est bon ! Je prends enfin mon pied mais qu’est-ce que je dérouille, tu as un défonce-cul de compétition Olivier digne d’une médaille d’or aux jeux olympiques du sexe.
-Tu es extrêmement serrée du cul que j’en ai mal à la bite, mais je n’ai pas dit mon dernier mot, tiens-toi à moi, lui ordonne-t-il.
Sur ces mots, il reprend son action, besognant ma copine par derrière en la tenant par les hanches avant que ses mains ne se glissent sous les cuisses d’Alva qu’il soulève comme une plume. Elle se retient comme elle peut à lui, il la soulève de ses bras puissants et la laisse retomber de tout son poids sur son rostre qui plie sous l’effort avant de disparaître en totalité dans le fion d’Alva qui se met à hurler :
-Outch ! Arrête ! Arrête je t’en supplie, t’es trop gros ! j’ai trop mal ! Arrête !!!
Mais pris dans son élan, il recommence trois fois avant que son cerveau réalise ce que vient de demander ma copine et la repose enfin au sol, le sabre au clair.
-Oh excuse-moi Alva, je ne sais pas ce qui m’a pris, je croyais que comme Kriss, tu aimerais ça.
-Ce n’est pas que je n’aime pas la sodomie, Einar et son Karl ne s’en privent pas, mais malgré le plug, je n’ai pu supporter ta teub, surtout les derniers centimètres, tu es trop bien membré pour mon petit cul, mais tu vas faire le bonheur d’Ebba.
Alva regarde ma tante qui s’est saisi de ce rostre exceptionnel et le masturbe pour en garder la vigueur, Olivier a toujours une trique énorme, comme nous, elle n’a jamais vu un tel engin et pourtant elle en a vu entrer dans ses trous mais jamais de cette taille. Sa main est entre ses cuisses et caresse sa moule juteuse pendant qu’Olivier revenu de son dépit enfonce doucement deux doigts dans son trou du cul. Elle se laisse doigter l’anus un moment, je la vois même fermer les yeux. Les deux doigts sont rejoints par un troisième sans difficulté dans son petit trou.
-Que diriez-vous de tester si vous êtes plus ouverte que Kriss ? Raille Olivier en se couchant sur le sol, l’épieu dressé.
Son manche noueux est encore tout gluant de ses ébats passés. Je suis fascinée et écœurée de n’être que spectatrice. Mes yeux ne peuvent se détacher de l’engin dressé. Il est épais, noueux et énorme, et ses deux grosses couilles pendantes sont associées. C’est vrai que je n’en ai jamais vu de cette taille avant Olivier, pas plus que ma tante ou ma copine d’ailleurs.
-J’ai enculé les deux jeunettes, je leur ai forcé l’anus, je les ai défoncées et je me suis vidé les couilles en elles. J’ai mis ma bite si profond dans des terres vierges là où personne n’est jamais allé.
-Oui Olivier, c’était agréable de les sodomiser ? Peux-tu le faire avec une vieille rombière ?
Ses seins sont collés au torse d’Olivier et elle glisse sa main sur son entrejambe et caresse doucement la bite qui bande comme celle d’un taureau !
-Pour ça, non. Vous avez la réponse en sentant avec votre main que vous me ne feriez pas cet effet-là si vous n’étiez pas à mon goût. Mais qu’en pense votre mari, M’dame ?
-T’inquiète pas, il a l’habitude...
Elle pose délicatement ses lèvres sur les siennes, charnues et attirantes, il se laisse faire, elle lui roule un super patin et il lui pelote les fesses et il a l’air d’apprécier.
-Vous savez, ma queue se plaira dans votre cul, ça je n’en doute pas, constate-t-il.
-J’aime qu’on me parle comme ça, jeune homme. Montre-moi ce que tu sais faire. Je suis une vraie bête quand on me baise bien.
Olivier n’est plus pressé et prend son temps. Sa main droite remonte vers l’anus, caresse les fesses d’Ebba vite rejoint par sa bouche. Sa salive rend l’opération de plus en plus simple et la rondelle palpite sous les coups de langue inquisiteurs. La queue d’Olivier a toujours la même vigueur car ma copine y veille.
A suivre…
-Qu’est-ce que je déguste, mais que c’est booonnn ! T’as vraiment une teub énorme !
Les jambes de ma copine se détendent avec fureur avant de se replier, son ventre est agité de secousses comme si elle recevait des décharges, empalée le plus loin possible sur ce pal démesuré. Elle agonise sous le formidable soc qui explore une « terra incognita » Je vois clairement la grosse verge d’Olivier, qui se lubrifie à chaque sortie pour encore gagner en profondeur, en y revenant encore et encore, mais il n’y a rien à faire, elle n’a pas une chatte assez profonde pour un tel pieu…
-Maintenant ! Maintenant ! Le supplie-t-elle. "Arrrhhh ! Arrrhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Suite :
C'est le début d'une défonce vaginale assumée, remplie d'insultes plus vulgaires les unes que les autres à l’encontre du frenchie. Chaque orgasme d’Alva est suivi d'un moment de calme, ou elle joue avec sa grosse verge dure en se plaignant alors que c’est elle qui tient le manche, si je puis dire, en lui a envoyant sa cyprine en abondance :
-Arrhhh ! Arrrhhh Olivier ! Tu me détruis la chatte ! Arrrhhh ! Arrrhhh ! Que c'est booonnnnnnn !!!
Olivier qui se retenait à la limite du possible depuis quelques minutes se déverse en elle sans se faire prier en poussant un grognement de jouissance. Je suis émue quand les puissants jets de foutre inondent son vagin et que je voie couler de la conque de ma copine le liquide ambré mélangé à une forte dose de sperme.
Ce qui se passe alors et encore plus hot, ma tante se précipite pour recueillir cet étrange breuvage directement à la source d’Alva puis profite que le chibre d’Olivier ait à peine débandé pour se poignarder à son tour dessus en le suppliant :
-Embrasse-moi, caresse-moi, mordille-moi, profite de mon corps. Oh oui, rentre au plus profond, plus vite, c'est trop bon ! Je sens ta queue grossir en moi, tu vas découvrir ce qu’est une vraie femme …
-Mais ! qu’est-ce que vous me faites, Ebba ? Oh putain ! Oh putain ! Vous me broyez la bite ! Comment faites-vous cela ? C’est… c’est … Incroyable ! Je viens de me vider les couilles dans le sexe d’Alva et pourtant je sens que je ne vais pas tarder, je bute maintenant au fond de votre grotte à chaque coup et votre vagin a des contractions si fortes que je croirais ma bite prise dans une trayeuse.
-Oh oui plus fort, plus vite, t'es si gros Olivier, je n’ai jamais été si remplie, oh mon Dieu ! Je voudrais bien arrêter de te broyer la bite mais ma matrice ne m’obéit plus, je n’ai jamais ressenti ça, ni avec mon mari, ni avec mon beau-fils.
Il arrive quand même à résister quelques minutes avant d'exploser en elle et de lui remplir son bas ventre de sa foudre blanchâtre en abondance. Ebba crie puis s'effondre à côté de lui, exténuée et ivre de plaisir. Son cœur bas si vite que je voie sa poitrine se soulever avec force, sa respiration est sifflante. Olivier s'allonge sur le côté, un bras autour d'elle, une main sur son sein, celle d’Ebba sur la queue qui leur a donné tant de plaisir. Il respire l'odeur de ses cheveux.
Alva vient s’étendre de l’autre côté d’Olivier pour qu’il lui prodigue les mêmes caresses qu’à ma tante et vient, elle aussi poser sa main sur son bas-ventre pour se disputer « le bout de gras ».
Alva lâche alors comme si c’était naturel :
-Olivier, comme Kriss, je veux que tu m’encules, tu as vu que j’ai déjà préparé l’endroit, sinon, ça ne rentrerait jamais. T’as une trop grosse queue !
Olivier met un moment à réagir, puis attire Alva vers la bite encore tenue par Ebba et la présente à sa bouche, Alva la lèche, la nettoie du sperme très visqueux et blanchâtre qui la souille encore, elle aspire la bite, elle avale le sperme restant, ses yeux rivés sur ceux d’Olivier en le complimentant. « huuummm qu’il est bon ton jus petit frenchie » puis elle s’adresse à ma tante :
-On va s’occuper de la rendre prête pour un nouveau round, hein Ebba ! On va le faire rebander le plus haut possible, je suis sûre qu’il détient encore de solides réserves dans ses bourses.
-Tu as une très grosse bite qui doit faire rêver les femmes, l’encourage tata, et elle est très courageuse. Celle de mon mari Karl, après un rapport, devient toute molle et met longtemps à être de nouveau vaillante alors qu’avec toi, je suis certaine que tu n’as pas fini de nous honorer ! Alva n’attend que ça, défonce-lui le cul, défonce cette salope, elle rêve de ta bite depuis le premier jour de ta venue.
Elles le pelotent avec application, tour à tour ou ensemble, en se caressant chacune l’orifice de leur choix, l’amenant de nouveau à la pleine érection, quasiment jusqu’à la limite extrême de sa résistance aux stimuli de ces deux femmes avides de sexe. Sans plus attendre il lui défonce de nouveau la chatte pour graisser son piston pendant qu’Ebba lui lèche ses seins avant de dilater son anus après en avoir retiré le plug anal, elle la lèche, lui met des doigts dans le cul pendant qu’Olivier défonce toujours ma petite salope d’Alva.
Ma tante se saisit du gourdin pour le diriger vers sa nouvelle destination et je vois le gland rentrer tout doucement en elle, puis il fait des mouvements de plus en plus amples et de plus en plus vite. La douleur de l'intrusion initiale est si vive, qu'elle s'oblige à écarter les cuisses au maximum pour minorer la douleur, et pourtant je constate qu’Olivier se retient, n’entrant qu’au deux tiers son formidable chibre. Son excitation atteint son paroxysme, alors qu'il coulisse, de plus en plus amplement, et aisément, pendant qu'elle crie ses premières montées de plaisir anal. Ma copine hurle comme jamais pendant que Ebba prend le gode et l’enfonce dans la chatte d’Alva ce qui lui vaut une double pénétration. Il faut un long moment à Alva pour que le plaisir l’emporte sur la douleur.
-Oh putain que c’est bon ! Je prends enfin mon pied mais qu’est-ce que je dérouille, tu as un défonce-cul de compétition Olivier digne d’une médaille d’or aux jeux olympiques du sexe.
-Tu es extrêmement serrée du cul que j’en ai mal à la bite, mais je n’ai pas dit mon dernier mot, tiens-toi à moi, lui ordonne-t-il.
Sur ces mots, il reprend son action, besognant ma copine par derrière en la tenant par les hanches avant que ses mains ne se glissent sous les cuisses d’Alva qu’il soulève comme une plume. Elle se retient comme elle peut à lui, il la soulève de ses bras puissants et la laisse retomber de tout son poids sur son rostre qui plie sous l’effort avant de disparaître en totalité dans le fion d’Alva qui se met à hurler :
-Outch ! Arrête ! Arrête je t’en supplie, t’es trop gros ! j’ai trop mal ! Arrête !!!
Mais pris dans son élan, il recommence trois fois avant que son cerveau réalise ce que vient de demander ma copine et la repose enfin au sol, le sabre au clair.
-Oh excuse-moi Alva, je ne sais pas ce qui m’a pris, je croyais que comme Kriss, tu aimerais ça.
-Ce n’est pas que je n’aime pas la sodomie, Einar et son Karl ne s’en privent pas, mais malgré le plug, je n’ai pu supporter ta teub, surtout les derniers centimètres, tu es trop bien membré pour mon petit cul, mais tu vas faire le bonheur d’Ebba.
Alva regarde ma tante qui s’est saisi de ce rostre exceptionnel et le masturbe pour en garder la vigueur, Olivier a toujours une trique énorme, comme nous, elle n’a jamais vu un tel engin et pourtant elle en a vu entrer dans ses trous mais jamais de cette taille. Sa main est entre ses cuisses et caresse sa moule juteuse pendant qu’Olivier revenu de son dépit enfonce doucement deux doigts dans son trou du cul. Elle se laisse doigter l’anus un moment, je la vois même fermer les yeux. Les deux doigts sont rejoints par un troisième sans difficulté dans son petit trou.
-Que diriez-vous de tester si vous êtes plus ouverte que Kriss ? Raille Olivier en se couchant sur le sol, l’épieu dressé.
Son manche noueux est encore tout gluant de ses ébats passés. Je suis fascinée et écœurée de n’être que spectatrice. Mes yeux ne peuvent se détacher de l’engin dressé. Il est épais, noueux et énorme, et ses deux grosses couilles pendantes sont associées. C’est vrai que je n’en ai jamais vu de cette taille avant Olivier, pas plus que ma tante ou ma copine d’ailleurs.
-J’ai enculé les deux jeunettes, je leur ai forcé l’anus, je les ai défoncées et je me suis vidé les couilles en elles. J’ai mis ma bite si profond dans des terres vierges là où personne n’est jamais allé.
-Oui Olivier, c’était agréable de les sodomiser ? Peux-tu le faire avec une vieille rombière ?
Ses seins sont collés au torse d’Olivier et elle glisse sa main sur son entrejambe et caresse doucement la bite qui bande comme celle d’un taureau !
-Pour ça, non. Vous avez la réponse en sentant avec votre main que vous me ne feriez pas cet effet-là si vous n’étiez pas à mon goût. Mais qu’en pense votre mari, M’dame ?
-T’inquiète pas, il a l’habitude...
Elle pose délicatement ses lèvres sur les siennes, charnues et attirantes, il se laisse faire, elle lui roule un super patin et il lui pelote les fesses et il a l’air d’apprécier.
-Vous savez, ma queue se plaira dans votre cul, ça je n’en doute pas, constate-t-il.
-J’aime qu’on me parle comme ça, jeune homme. Montre-moi ce que tu sais faire. Je suis une vraie bête quand on me baise bien.
Olivier n’est plus pressé et prend son temps. Sa main droite remonte vers l’anus, caresse les fesses d’Ebba vite rejoint par sa bouche. Sa salive rend l’opération de plus en plus simple et la rondelle palpite sous les coups de langue inquisiteurs. La queue d’Olivier a toujours la même vigueur car ma copine y veille.
A suivre…
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