20 jours avant le réveillon!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : 20 jours avant le réveillon! Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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20 jours avant le réveillon!
Je suis en train de farfouiller dans le moteur de ma voiture quand le fils de la voisine se gare près du trottoir à bord de sa fourgonnette. Biloute s’est son surnom. Il a une trentaine d’années et vit avec sa mère divorcée depuis une dizaine d’années.
Toujours sous le capot voilà qu’il m’interpelle, derrière le portillon :
- Problème ?
- Salut Biloute, non-juste une ampoule de phare à changer.
- Je t’offre une bière ? Me fait-il en m’exposant un pack au dessus du portail.
- Avec plaisir.
Il ouvre le portillon et vient à ma rencontre. Je ferme le capot et nous dirigeons ensemble à l’intérieur, c’est alors qu’une voix de femme vient interrompre notre élan.
C’est la mère de Biloute, Marie-Yvonne.
- N’oublie pas ton rendez-vous. Bonjour Alain !
- Oui, j’y pense fait le fils.
Une fois à l’intérieur, nous nous installons autour de la table. Il décapsule deux cannettes et nous lançons la conversation. La cannette terminée, je lui rappelle son rendez-vous.
- J’ai encore le temps. Tu en prends une autre ?
- C’est si gentiment proposé, pourquoi pas.
Et alors qu’il décapsule, je prends l’initiative de le questionner au sujet de sa mère.
- Je ne comprends pas comment personne ne s’est pas encore intéresser à elle ?
- Tu parles de qui ?
- Oui, c’est vrai, de ta mère.
- Tu t’intéresses à ma mère maintenant ? Tu veux que je le dise à ta femme ?
- Tu feras bien ce qu’il te plaira.
Il sourit et lâche :
- Je ne sais pas, pour répondre à ta question.
- Tu ne lui as jamais posé la question.
- Je n’ai jamais osé à vrai dire. Et j’ai toujours de bonnes relations avec mon père.
Et après un court silence voilà qu’il renchérit :
- Tu la trouves comment physiquement ma mère ?
- Elle ne me laisse pas indifférente…
- Non… Tu te fous de moi ?
- Pas du tout, tiens, j’aurai même un service à te demander.
- Je t’écoute.
- Mais avant tout, je voudrais que tu répondes à ma question.
- Vas-y !
- Il t’est déjà arrivé de renifler un slip à ta mère ?
- Et pourquoi je ferais cela !
- Parce que moi, je l’ai fait à mon époque. Et que même, je n'ai pas honte de le dire.
- Je ne te crois pas…
- Que tu me crois ou pas, moi, je l’ai fait et pas qu’une fois.
- Et pourquoi ?
- Une envie sale, qu’il ne s’explique pas.
- Si c’est comme ça, et bien sache que je l’ai fait moi aussi.
- C’était tellement agréable de renifler ce bout de tissu, imprégné d'odeurs vaginales extrêmement excitantes...
- Et bien moi, il m’arrive de me masturber en pensant à ma mère toute nue, tout en respirant les odeurs envoûtantes de sa culotte...
- Et bien, tu sais, cela me fait plaisir de l’entendre.
- Une fois, lâche-t-il, le délit digéré, je m’essuie avec sa culotte et la remets ensuite dans la corbeille de linge sale.
- Eh bien ! Ça me réconforte, je ne suis pas le seul pervers dans ce monde.
- Je te fais confiance, tu le gardes pour toi…
- Oui, bien sûr, tu peux compter sur mon silence.
- Une fois sans doute, ne savait-elle pas que j’étais là, elle m’est apparu en culotte en dentelle. J’ai pu apercevoir sa toison par transparence.
- Ça te dérange de me dévoiler la teneur de sa pilosité ?
- Pourquoi tu veux savoir ça ?
- Par curiosité.
- Je dirai très forte en comparaison avec celle de ma copine !
- Je devine. Tu ne le sais pas, mais à mon époque, il m’arrivait d’échanger les culottes de ma mère avec celle de mes copains de quartier.
- Non, tu déconnes ?
- Comme je te le dis. Ils étaient en nombre de trois. Et toi dis-moi, tu n’échangerais pas celle de ta mère contre celle de ma femme ?
A peine le dernier mot sortit de ma bouche, voilà que le garenne bondit de sa place et fonce vers la porte d’entrée. Il me revient quelques minutes plus tard, et sort de sa poche une boule de dentelle qui porte à mon regard. Sans un mot, je m’en saisis et la porte à mes narines. Il y a une forte odeur de transpiration mélangée à de l'urine. Les fragrances m’excitent. Je ne me lasse pas de fouiller du nez la petite lingerie, devant même la façade du fiston.
- Et moi ? Lâche-t-il.
- Va jusqu’à notre chambre. Le sol est jonché de culotte de Claire, prend celle qui te fera plaisir et décampe, j’ai à faire.
Depuis toujours, il m’est impossible de me retenir de fouiller le linge sale dans chaque maison où je me rends. Que ce soit chez la famille, ou voisins et amis, où alors dons les maisons où je dois réaliser des travaux. Il m’arrive même que mon tarif varie par rapport à ce que je trouve.
C’est l’instant que choisis ma femme pour son retour.
- Qu’est-ce que tu fabriques ?
- Je passais du bon temps.
- Avec une culotte ?
- Oui, comme tu vois.
- Je ne pense pas qu’elle m’appartienne. Fait voir.
Je lui expose sous son regard.
- Elle n’est pas à moi…
- Oui, je confirme.
- Et je peux savoir à qui elle appartient ?
- À Marie-Yvonne…
- C’est elle qui te la offerte ?
- Non Biloute.
- Je ne te crois pas.
- Et pourquoi je te mentirais…
- Permet moi d’en douter.
- C’était un deal…
- Ah oui !
- La culotte de sa mère contre une à toi…
Silence !
- Et j’ajoute, il n’a pas hésité une seule minute. À savoir qu’il n’attendait que ça. Je sens qu’il est attiré par toi.
- Arrête un peu de dire des conneries.
- Dis-moi, il ne te tente pas, Biloute ?
- Un gamin…
- Le gamin, comme tu dis, a une trentaine d’années, tout de même… Alors il ne te tente pas ?
-Merde, fait-elle en pivotant sur elle-même.
En relevant artistiquement un pan de sa robe. Elle prend la pose, me regardant par-dessus son épaule, une fesse dénudée, juste soulignée par la dentelle rouge. Le moins, qu’on puisse dire, c’est qu’elle ne se perd pas en conjectures.
Sa culotte est détrempée et s’enfonce d’elle-même entre ses lèvres. Il suit le chemin tout tracé, glisse de haut en bas entre mes lèvres, s’attarde à l’entrée de mon intimité, puis recommence encore et encore, frôlant à chaque fois le centre de mon plaisir. Chaque mouvement de mes doigts tirant un son différent de sa bouche, ses courbes vibrent sous mes mains expertes. Je trace la vallée qui s’ouvre entre ses cuisses, il glisse sur le tissu détrempé et chaque frôlement de mon pouce sur son clitoris lui arrache un gémissement.
Elle me fait me redresser, et se met dégrafer mon pantalon et le baisse. Mon slip est tendu, comme vous pouvez le deviner !
- Tu bandes bien mon cochon. C’est moi ou l’odeur de la culotte ?
Je remarque à quel point elle est excitée. Sa respiration courte fait se dresser ses seins pointus sur sa poitrine et ses yeux ne sont que deux fentes dans son visage aux pommettes rougies.
Avec fébrilité, elle m’attire et défait mon pantalon, libérant mon pénis à demi érigé. Elle s’en saisit, le serrant fort entre ses doigts comme si elle a voulu le traire. Puis elle le relâche et souffle entre ses dents.
Elle lâche un soupir. Sans détacher son regard de mon sexe. Elle enroule deux doigts autour de ma tige et me la branle. Comme elle sais parfaitement le faire.
- Il faut que j’aille aux toilettes ?
- Ça presse ? Me fait-elle.
- Une grosse envie de pisser.
- Alors pisse, lâche-t-elle, en soulevant le pied pour le déposer sur le bord du divan, ouvrant son entrecuisse.
Très vite, mon jet d’urine vient balayer la vulve de Claire, avant d’arroser la fente déployée. La pisse gicle contre son bouton dardé, douche ses chairs, dégouline le long de ses poils.
Je me rapproche au fur et à mesure que l’arc doré raccourcit. Elle se cambre davantage, se saisit de ma queue et passe le gland entre ses lèvres intimes, s’éclaboussant le bas-ventre des dernières giclées. Avec un râle, elle force le gland à entrer dans son vagin.
Mon pénis se raidit davantage, disparaît dans ses entrailles. Je la fouille à grands coups. L’odeur de pisse mêlée à celle, épicée de sa chatte, excitée, je la baise comme une machine à faire jouir. Mon regard va et vient de son visage, à son sexe que ma queue retrousse à chaque coup de reins. Elle grogne ! Elle jouit, les yeux mi-clos, elle souffle.
Je profite, lâchement de l’instant pour poser mon gland souillé de sécrétion à l’entrée de son anus. Je pousse jusqu’à ce que mon pubis vienne appuyer contre ses fesses. Alors seulement, j’entame des mouvements de va-et-vient. D’abord lent, le pistonnage prend de la vitesse et de l’ampleur dans le manchon serré.
Tout en la ramonant, je lui passe ma main sous le ventre et caresse son bouton baveux. Elle ahane sous moi, et contre toute attente, sent monter une jouissance. Ma crispation, les jets tièdes de mon sperme déclenchent un spasme chez elle. Elle resserre ses muscles, emprisonne ma queue comme pour prolonger l’instant. Je savoure d’être pris dans l’étau de velours qui me maintient en érection. Patiemment, j’attends que ma queue dégonfle, que l’ampoule anale la rejette vers l’extérieur, pour aller me doucher.

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