3 lesbiennes se laissent tenter par une grosse pine sans capote. Résultat.... - histoire érotique

LE TRIO INFERNAL.

Delphine, Sylvie et Jeanne. Un trio de lesbiennes.

- J'ai encore envie de toi!
Et pendant les 2 heures qui ont suivit, je l'ai prise encore 3 fois, Delphine constate en riant. - J'ai vraiment tiré le bon numéro!
Nous avons recommencé de plus en plus souvent nos agapes sexuelles et ce qui devait arriver arriva. Un jour, Sylvie et Jeanne sont revenues plus tôt que prévu et nous ont surpris en plein 69.
Horrifiées par ce que fait leur amie, elles se réfugient au salon.
Nous les rejoignons le temps de se rendre présentable. J’ai devant moi trois superbes créatures, le rêve devenu réalité. De vraies déesses.

- Delphine, comment as-tu pu nous faire ça, nous tromper, et en plus avec un "mâle"!!!
Hurle Sylvie. Jeanne en remet une couche.
- Et ça dure depuis longtemps ces orgies sous notre propre toit?
Delphine prend la parole pour s'expliquer.

- Laissez-moi vous expliquer, les filles. Oui, ça dure depuis un certain temps et je ne regrette rien car vous ne savez pas ce que c'est que de faire l'amour avec un vrai "mâle".
-Patrick étudie comme moi pour devenir ostéopathe, nous avons sympathisé et de fil en aiguille notre amitié a évolué et un jour il m'a fait découvrir l'amour avec le sexe opposé.
-Je ne renie pas pour autant notre triolisme entre colocataires mais rien n'interdit d'aimer le fromage et le dessert.
-Comme dit Patrick, avant de dire que l’on n’aime pas, il faut déjà goûter!

Je surenchéris.
- Pour le moment, c’est Delphine qui en profite mais il ne tient qu'à vous de tenter l'expérience.
Aujourd’hui, j’aime Delphine et j’apprends à vous connaître. C’est vous qui êtes maîtresses de la suite de l’histoire mais quoi que vous décidiez, je me plierai à votre décision si vous êtes les 3 d'accord.

Gardez Delphine auprès de vous deux et continuez à vous aimer. Je m'en vais et Delphine me dira ce que vous aurez décidé. Peut-être à bientôt!
Une semaine après, à la fin des cours, Delphine veut me parler. Je l'invite au bar du coin prendre un café et elle me fait part de la décision du trio.

- Après ton départ les conversations ont été chaudes et animées, chacune défendant son point de vue et le sujet est revenu pendant plusieurs jours.
Finalement on a trouvé une solution, Tu vas venir dimanche et mes amies vont nous regarder copuler et déciderons de la suite à donner, tu acceptes leurs exigences?
Je lui réponds.
- OK pour moi, alors à dimanche!

2 jours plus tard, je me retrouve devant mes trois déesses.
Nous nous retrouvons au salon et la conversation vient très vite sur le sujet qui nous intéresse, ça fait 10 minutes que tout le monde donne son avis en appelant un chat un chat.

- Comme vous le savez sans vous l’avouer, vous brûler de tenter l'expérience! De mon coté le fantasme de vous savoir nues avec moi, vous caresser m’excite aussi beaucoup.

-Vous regarder vous lécher, caresser, embrasser et pénétrer doit être très érotique… Je peux me transformer pour vous en "sextoy", un gode vivant.

-Par exemple, vous pouvez me voir prendre Delphine, on pourrait demander à Jeanne de lui écarter les cuisses pour me regarder entrer en elle et même de la lécher en même temps.

-Vous pourriez vous mettre toutes les trois allongées avec les fesses offertes et je pourrais me glisser en vous à tour de rôle.

-Vous pourriez aussi vous mettre l’une derrière l’autre et je pourrais vous lécher les trois à la fois… Je pourrais vous lécher l'une après l'autre. Vous pourriez faire mille et une choses, il suffit de laisser son imagination travailler et le reste, c’est uniquement du plaisir sans prise de tête.

Elles se regardent sans parler, dubitatives, Delphine se dirige vers moi et pose sa main entre mes cuisses, me caressant à travers mon pantalon puis extirpe ma bite d'une main experte la montrant à ses amies.
-Pas mal sa bite! Elle a l'air drôlement épaisse même au repos...
Commente Sylvie effrayée en voyant mon engin. - Qu'est ce que tu en penses Jeanne ?
-Oui c'est vrai, un sacré morceau!...

Delphine me retire mes vêtements et installe tranquillement son visage devant mon entrejambe. Elle regarde la bête et lève fièrement les yeux sur son propriétaire.
Je prends sa tête et l'approche sans résistance de ma queue semi-bandée. Elle ouvre la bouche et l'enfourne courageusement. Elle n'utilise pas ses mains, seulement sa bouche et sa tête fait les mouvements d'aller retour.
Elle sent ma verge grossir sous ses caresses et envahir complètement sa bouche éloignant petit à petit ses lèvres de mon pubis. Puis ses mains viennent masser mes couilles pendant qu'elle poursuit ses caresses avec sa bouche.

Courageusement, elle prend la bite dans sa main et commence à la branler doucement.
Le monstre continu à prendre de l'ampleur, et elle est obligée d'y mettre les deux mains.
Je grogne de satisfaction en voyant qu'elle me pompe vaillamment. Sylvie et Jeanne se sont mises de chaque coté, ne pouvant détacher les yeux du spectacle.

- Alors Les filles, qu'est ce que vous pensez de cette grosse bite ?
Soudain Sylvie part comme une folle et revient quelques minutes plus tard avec un godemiché de taille XXL et compare ma verge et son gode puis s'exclame.

- C'est bien ce que je pensais, regardez les filles, les veines, la forme, la taille, le diamètre, tout est identique, nous avons devant les yeux l'original et sa copie, le modèle P…. P comme Patrick!!!

Nous nous regardons et éclatons de rire. Puis je leur explique comment quelques années plus tôt ma belle-mère avait prit l'empreinte de ma verge et ma tante avait proposé le modèle à des magasins spécialisés.

- Ah, je comprends maintenant pourquoi j'avais une impression de déjà vu la 1ère fois que j'ai découvert ce formidable chibre! S'exclame Delphine.

Et nous repartons de nouveau dans un fou-rire contagieux.
Cet intermède a brisé la glace et désinhibé Sylvie et Eve qui partent en pays connu.

JeanneCe que je vois me fais mouiller beaucoup plus que je n'aurais cru, ce gode géant m'attire et je m'agenouille à coté de ma sœur pour saisir sa queue qui ressort de la bouche de Delphine.

Je me lance, ouvre ma bouche et gobe son gland violacé. J’ai la bouche complètement écartelée et il pousse doucement pour enfoncer son gros chibre épais dans ma gorge.
C’est chaud et incroyablement doux.
Arrivée au 3/4 de sa queue, je dois lui faire signe de stopper, car je ne peux plus rien avaler.
J’ai son gland qui touche mes amygdales et il reste encore quelques centimètres dehors.
Je commence à le sucer avec passion, car il est rare de croiser une bite comme celle-ci plusieurs fois dans sa vie.

Il me défonce la mâchoire qui manque se disloquer à plusieurs reprises.
Sylvie vient elle aussi de s’agenouiller, je lui tends la colonne de chair qu'elle saisit du bout de ses lèvres, indécise.
Patrick s'en rend compte et appuie d'une main sur sa tête faisant pénétrer sa verge le plus loin possible mais comme moi, elle ne peut absorber la totalité de son chibre.

Sylvie La sensation de ce pieu qui glisse doucement dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge est extraordinaire, je n'ai jamais ressenti ça, c'est assez bizarre mais tellement délicieux.

Levant une main, j'empoigne ses couilles poilues. Quand mes doigts se posent sur la peau, un profond soupir part de sa poitrine.
Mes doigts remontent et viennent s'enrouler autour de son sexe dur comme un bout de bois.
Ma langue lèche cette hampe magnifique tandis que mes doigts pétrissent ses bourses.


PatrickL'effet est merveilleux, je vois le trio s'affairer maintenant à 3 mains et 3 langues sur mon pénis, c'est un véritable supplice et le plaisir est très difficile à contenir.
Elles se passent mon manche, le lèchent sur toute sa longueur et le remettent à tour de rôle à l’intérieur de leurs bouches en feu en poussant doucement pour qu’il les pénètre jusqu’au fond de leurs gorges.

Elles sont de plus en plus excitées à cause de la scène presque surréaliste à laquelle elles participent. Delphine se relève, se déshabille en quelques secondes et vient se mettre à califourchon sur mes cuisses.

Elle prend mon gros gourdin dans une main et le promène sur sa fente. Sa chatte dégouline déjà. Mon sexe n’a aucune peine à pénétrer dans son vagin, elle s’assoit complètement sur moi.
Elle prend appui sur mon ventre et commence une série de mouvements verticaux, et de temps en temps circulaires, pour que toutes les parties de sa chatte profitent du frottement de ma grosse pine.

Elle y va de bon cœur, telle une furie chevauchant un étalon, montrant l'exemple à ses sœurs que je vois en train de se mettre nues elles aussi.
Elles ne quittent pas des yeux mon phallus chaque fois qu’il réapparait du vagin de Delphine qui continue de chevaucher mon membre.

Je décide de me retirer de Delphine pour que Sylvie ou Jeanne prenne sa place. En voyant que j'arrête de pistonner Delphine qui accepte de se retirer de mon mandrin, Jeanne en profite pour me sucer, tandis que Sylvie se met à califourchon sur moi et pour la première fois de sa vie va s'enfiler une verge dans la chatte.


Sylvie - Tout d'abord tu me laisse faire. Ta bite est tellement grande et elle peut me faire mal en frappant le fond de ma chatte.

Je prends sa queue en main pour la guider vers mon sexe et abaisse mon corps lentement et prudemment jusqu'à ce que les poils blonds touchent l'extrémité arrondie de son gland. Je me tortille pour ajuster le bout de son gland entre mes lèvres.

Ma chatte follement excitée s'ouvre pour laisser glisser sa grosse queue. Il reste muet regardant sa bite disparaître jusqu'à ce qu'il sente les lèvres de ma chatte s'écraser sur son pubis et que son gland soit réchauffé par la chaleur de mon vagin qui se resserre dessus.

- Huuuummmm, ouiiiiiiiiii, je peux prendre ta grosse bite. Je veux prendre la totalité de ton énorme queue même si elle me déchire et m'ouvre en deux!

- Oh ! Oh, mon salaud, tu me baises et en plus t'es monté comme un âne !
Je me mets à monter et descendre sur son pieu comme si je ne devais jamais m'arrêter.
- La vache! Ta queue frappe le col de mon utérus, ta belle queue remplit mon vagin et appuie sur mon clitoris. Ooooohhhhh, je sens que je ne vais pas tenir longtemps!

Patrick a prit a pleines mains mes fesses et a prestement attraper un téton dur avec sa bouche et suce avidement cette friandise incomparable à toute autre, tout en relevant ses reins pour ne pas perdre un morceau de ce vagin juteux et chaud.

- Je suis pleine de toi Patrick!,- Oooohhhh, ta bite va me rendre folle…doucement ….Aaaaahhhhhh… chaque fois que tu frottes mon clito je crois que je vais éclater! Ta bite est tellement grosse et si dure... Aaaaahhhhhh…ouiiiii…Oooohhhh, tu combles toutes mes espérances!

Mon cul tremble dans ses mains et mon bassin saute frénétiquement sur sa bite.
Patrick reste accroché par sa bouche aux tétons en les suçant goulûment à tour de rôle, donnant des coups de langues sur mes seins et tentant d'en aspirer une bonne partie dans sa bouche.

Mais Jeanne s'impatiente, je lui cède à regret ma place. C’est moi qui prends le sexe de Patrick pour le placer devant l’ouverture de Jeanne. Un bon coup de langue baveuse sur sa vulve rosée et je dirige le boutefeu de Patrick dans son sexe.
Je n’en perds pas une miette. Au fur et à mesure que Patrick s’enfonce, je vois les lèvres s’écarter devant la lente progression de ce boutefeu. Jeanne gémit de plus en plus fort.

Patrick donne quelques coups de rein puis se glisse en elle jusqu’à la garde. Jeanne se cabre. Avec Delphine, nous nous mettons derrière eux et nous masturbons en regardant les deux amoureux s’agiter. En nous caressant, à tour de rôle, nous nous penchons pour regarder le manche de pioche de Patrick entrer dans son vagin distendu par ce calibre exceptionnel et qui pousse les chairs qui en épousent chaque centimètre.

Jeanne a relevé ses genoux et nous offre un spectacle splendide. Avec Delphine, nous tentons de temps en temps de glisser notre langue sur les sexes. Jeanne a orgasme sur orgasme et Patrick lui éjacule dedans en râlant.
Je suis jalouse car la seule à ne pas avoir eu sa semence dans le ventre. Avec Delphine, notre masturbation est bonne aussi, mais je veux connaître le goût de son sperme. Delphine me montre le liquide qui sort du sexe de Jeanne.

Le sperme déborde tellement il l'a rempli. Delphine me dit de le goûter car je ne l’ai jamais fait. Je me jette contre le sexe de Jeanne avec la bouche ouverte et boit à la source la liqueur de Patrick. Ensuite j'embrasse Jeanne dans un long baiser pour échanger son sperme.

Nous nous retournons vers Patrick pour le remercier de nous avoir ouvert les yeux mais notre regard est attiré par son sexe. Il est toujours aussi raide!!! Patrick nous déclare que ce n'était que les hors-d'œuvre et que maintenant il faut attaquer le plat de résistance.

Il recommence à nous besogner à tour de rôle pour nous faire goûter à chacune toutes les facettes de l'amour que nous ne connaissions pas, il tient le coup le salaud !
Patrick vient de me besogner pendant une dizaine de minutes et m’avertissant qu’il va bientôt éjaculer veut que je le prenne en bouche.

J’ai à peine le temps de le prendre en bouche que je sens son membre exploser et envoyer avec violence de grosses giclées d’un sperme épais et brûlant au fond de ma gorge.
Cela me surprend et m’immobilise car c’est pour moi une découverte, je ne connais pas cette sensation d’avaler un liquide visqueux, dru et chaud.
Très vite je reprends le mouvement de va et vient pour faire expulser le reste de son liquide que j'avale jusqu’à la dernière goutte. C'est sucré et salé, pas désagréable comme je le croyais.

PatrickLe cap est franchit, Sylvie et Jeanne ont basculées du coté obscur, elles sont devenues aussi chaudes que Delphine.
Après Sylvie, je fais découvrir aussi à Jeanne l'expérience d'éjaculer dans sa bouche pour ne pas faire de jalouses.
Après une chevauchée d'anthologie, Jeanne fait glisser ma queue désormais dure comme du béton dans sa bouche. Je sens que je suis au bord de l'orgasme...
Elle l'a saisi dans sa main puis se met à effectuer un léger mouvement vers le bas jusqu'à décalotter mon gland. Sylvie et Delphine entourent Jeanne, les yeux rivés sur nous, enfin surtout sur ma queue tendue !
- Jeanne, je viens!
- Vas-y, lâche tout, on veut voir ça !

Les deux premiers jets bien épais jaillissent de ma queue directement dans sa bouche. S'en est suivi de nombreux autres. Sa main recouverte de mon sperme dirige la lance sur le visage de ses copines.
J’arrose le visage des trois copines…
Bizarrement, il me semblait en avoir mis plus sur le visage de Jeanne, mais tout le sperme qui avait giclé sur ses joues a déjà été récolté et avalé par ses deux amies.
Nous continuons nos joutes mais pour corser la chose, elles m’ont bandées les yeux.
Le problème, c'est qu'au bout d'un moment, je ne sais plus qui chevauche ma pine, me fait une fellation d'enfer ou me fait brouter son minou ne pouvant au bout d'un moment discerner qui est Jeanne ou Sylvie ou Delphine.
C’est vraiment bizarre comme sensation, ce n'était pas la première fois que je m'occupais de 3 femmes en même temps mais là, tout est si parfait, leurs merveilleuses fesses, leurs superbes poitrines, leurs jardins d'amour!

Delphine Jeanne et Moi nous approchons de Sylvie, toujours enfichée sur le pal de Patrick assit sur le divan. En quelques secondes, Sylvie commence à pousser de petits soupirs sous l’attaque de nos langues sur ses seins.
Comme à chaque fois qu’on lui mange ses beaux globes, elle a le feu du désir qui monte rapidement. Je le sais et Jeanne aussi.

Patrick continue ses mouvements de pénétration. Sylvie, chaude des baisers que nous lui donnons, s’ouvre et offre à Patrick un baiser tendre, puis fougueux.
Lâchant un temps le sein de Sylvie, je les regarde s’embrasser. Ils sont mignons et Sylvie ferme les yeux de plaisir.
Je m’approche de la joue de Sylvie pour lui déposer un baiser. Je pose une main sur l’épaule de Patrick et lui fait comprendre que c’est à son tour de s'occuper du sein que je tiens dans ma main.

Il glisse une main sur le sein droit de Martine tandis qu’il lèche le gauche pendant que je le remplace sur la bouche de Sylvie. D’un seul coup, elle pousse un cri qui devint doucement un râle long et langoureux. Voilà qui est fait. Patrick a léché chacune de nous.

Mais Patrick nous demande de nous écarter, demande à Sylvie de passer ses bras autour de son cou et se saisissant de ses cuisses se redresse brusquement, elle se retrouve portée par Patrick qui la fait monter et descendre sur son formidable nœud. Il la repose après quelques minutes de rodéo sur son axe rigide.

- A votre tour, les filles pour un tour de manège! Annonce-t-il.
Jeanne se précipite pour prendre la relève de Sylvie et se suspendant à son coup encercle la taille de Patrick de ses jambes, je me saisis de sa verge et la dirige dans sa chatte ou elle disparait jusqu'aux couilles que je masse avec volupté. Et c'est reparti pour un nouveau rodéo sur cet étalon sauvage.

Je commence à m'impatienter et pose une main sur l'épaule de Jeanne, à regret elle se désaccouple, le tenon quittant la mortaise.
Je me suspends sur Patrick et d'une main guide son mandrin dans ma gaine de velours et entame la 3ème partie de rodéo, c'est moi qui gagne étant celle qui reste le plus longtemps enfichée sur notre étalon avant de vider des étriers. Quel pied formidable il vient de nous faire vivre!!!

Jeanne, Delphine et Sylvie.
Cette journée fut mémorable car rien ne s’arrêta. Patrick put nous lécher à loisir. Il eut droit à toutes les démonstrations, que ce soit la masturbation, les léchouilles, les pénétrations avec les godes, les poses érotiques les plus hard.

Toutes les trois, nous prîmes plaisir à sucer le sexe de Patrick. Ont étaient décoincées et Patrick se lança dans un trip d’enfer avec nous.
La fin de la journée se passa avec un Patrick éreinté et naze après 5 heures de baise avec quelques poses pour le laisser récupérer un peu. Nous jouions avec son sexe comme avec un gode. Cette journée restera gravée à jamais.

Nous avons par sa suite voulu essayer avec d’autres hommes mais nous avons été déçues.

Patrick avait mit la barre si haut que nous préférions revenir à nos habituelles parties à 3 avec parfois sa participation quand il pouvait se libérer de ses autres conquêtes.

1 an plus tard, Sylvie est tombée enceinte et comme nous étions jalouses, nous avons voulu faire comme elle et nous sommes fait mettre en cloque par Patrick sans lui demander son avis.

Quelques mois plus tard, Sylvie a accouchée d’un joli garçon puis Jeanne de et moi d'une jolie petite fille.
Patrick est ravit surtout quand on lui a dit qu'on ne le forçait pas à entretenir tant d'enfants.
Nous nous partageons entre nous tous les problèmes des familles nombreuses avec l'avantage d'être 3 à nous partager les tâches.

Trois bébés, ça fait du boulot.