45 - Mes slips pour l’été, au dessous de ma taille

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : 45 - Mes slips pour l’été, au dessous de ma taille Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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45 - Mes slips pour l’été, au dessous de ma taille
45 - Mes slips pour l’été, au dessous de ma taille :A l’approche de l’été, je suis allé dans une grande surface pour acheter une gandourah et un maillot de bain. Au rayon concerné, il y avait un jeune black d’une trentaine d’année. J’ai d’abord choisi une gandourah blanche et assez large, puis il m’a présenté des maillots de bain. J’ai choisi un bleu, couleur de mer et assez moulant pour ne pas me gêner en nageant. Dans la cabine d’essais, entre hommes, le jeune m’avait suivi pour m’aider à choisir et il est entré avec moi à l’intérieur. J’ai enlevé mon pantalon et mon slip, et nu sous la ceinture, j’ai essayé trois maillots pour acheter enfin le bleu bien moulant mes hanches mais pas trop serré. En tous cas, mes parties génitales n’étaient pas trop serrées, ce qui me convenait. J’ai constaté que le jeune homme ne me regardait pas seulement comme client mâle, comme lui, mais il fixait beaucoup trop longuement mes hanches et mes cuisses. Il est vrai que je ne suis pas poilu et que mes jambes et cuisses sont totalement imberbes et ressemblent beaucoup à celles d’une femme bien charnue. J’ai tout de suite compris qu’il s’intéressait à mes fesses et mes cuisses et ses regards m’ont fait plaisir. C’est ma Terma qui s’est immédiatement réveillée et commençait à me démanger. Il est vrai qu’étant gay depuis des années, ma Terma s’intéresse à tout gros zob qu’elle voit et raffole surtout des zobs blacks qui sont toujours gros, longs, larges et puissants. Donc, je commençais à ressentir des frissons agréables dans tous mon corps et des démangeaisons dans mon cul. Obéissant à ma Terma, j’ai décidé de faire mieux et essayer d’affoler le jeune homme et son gros zob.
Alors, j’ai demandé d’ajouter à mes achats un ou deux slips fins. Il m’a présenté une dizaine et j’ai choisi à l’essai deux d’entre eux. L’un de couleur chair et de taille inférieure à moi. Dès que je l’ai mis, une bonne partie de mes hanches débordaient par derrière et malgré mes essais pour ajuster le slip, le résultat était encore plus grave. Chaque fois que j’ajustais un coté, l’autre coté raccourcissait et s’incrustait dans le sillon de ma Terma, ce qui découvrait la totalité de ma fesse. J’essayais de réajuster ce coté et c’est l’autre fesse qui se découvre aux yeux arrondis du jeune. C’était pratiquement un slip ficelle que les femmes aiment mettre pour aguicher les zobs. Enfin, je me suis baissé pour enlever ce slip et choisir un autre plus clair et plus fin.
Quant je me suis penché j’ai jeté un coup d’œil au jeune qui regardait, les yeux ronds, mon derrière qui se gonflait et mes fesses qui s’écartaient et offraient leur sillon mystérieux. Enfin, j’ai mis l’autre slip et mes contorsions ont aussi offert au jeune homme, encore plus de chair de mes cuisses, fesses et Terma. Dès que j’ai enfilé le slip, sa finesse était telle que mes fesses furent totalement visibles comme si j’étais nu par derrière en transparence. Et le slip très court par derrière ajoutait à l’érotique. J’en étais tellement conscient que mon propre zob commençait à bander. J’étais excité et ma Terma commençait à mouiller son désir. Par devant, il en fut de même et mon zob bandé apparaissait nettement. Comme pour le premier slip, l’une de mes couilles était à l’extérieur et l’autre était visible sous le zob. Après avoir bien exposé mes atouts par devant et par derrière, je me suis penché pour enlever le slip. Soudain le jeune homme s’est précipité pour m’aider à descendre le slip sur mes cuisses. Mais sa main remonta pour m’empoigner et me caresser les fesses. Son doigt arriva à mon anus qu’il traversa facilement et me donna tout de suite un début de jouissances, alors je suis resté penché. Toute sa main caressait mes fesses et frottait leur sillon et un second doigt s’incrusta dans mon cul.
Je suis resté penché sous ces caresses et soudain, j’ai ressenti le zob du jeune contre mes fesses. Il l’avait dégagé de son pantalon sans que je le remarque et maintenant il le frottait contre le sillon de mes fesses. Je l’ai entendu qu’il crachait et j’ai ressenti qu’il me lubrifiât l’anus et son sillon avec sa salive. Puis, sans autre préparation, son gland se pointa à mon anus. Comme celui était très élastique, par ses nombreuses expériences, le gland passa en vitesses. Le jeune empoigna mes deux hanches et poussa son zob qui plongea dans ma Terma jusqu’aux couilles qui ont claqué sur mes cuisses. Puis il commença sa danse de vas et viens, haletant et gémissant de désir. Il me sodomisa dix bonnes minutes au moins et son zob que j’ai bien ressenti, long et gros donna à ma Terma une jouissance telle que je n’ai pas pu retenir mes longs et bruyants gémissements.
Enfin, il éjacula dans mes entrailles en me collant avec fougue à son bas ventre. Son zob resta longuement dans mon cul pour se vider au maximum, puis il se retira. En me soulevant et lui faisant face, j’ai vu son zob. En effet, comme prévu, même s’il commençait à se courber, il était long et large, digne de celui d’un black. Sa puissance et sa dureté, je les ai ressentis quant il était à l’intérieur de ma Terma. Mais, j’ai voulu sentir sa chair dans mes mains, alors je l’ai saisi et branlé doucement, puis je l’ai léché et sucé lentement. Soudain, il se réveilla de plus en plus et en une minute, il se mit à la verticale, dur comme un pieu de fer. Alors, j’en ai eu encore envie malgré que le sperme suinte entre mes fesses et sur mes cuisses. Je me suis mis à genoux pour vider les restes de sperme et pour sucer son zob au maximum.
Puis, sentant que ma Terma redevenait assez vide de sperme, je me suis redressé, et je lui ai tourné le dos en me penchant et m’appuyant sur la porte du cabinet d’essais. Il avait compris au quart de tour et effectivement, son zob a retrouvé le chemin de mon anus et s’est enfoncé encore une fois dans ma Terma. Puis, avec autant de violence et de puissance que la première fois, il m’a sodomisé. Cette fois, ma Terma ayant été très sensibilisée par le premier coup, s’est affolée et les démangeaisons qu’elle m’envoyait m’affolaient au point que je tortillais du derrière et criait mes jouissances. Le jeune, poussé par ma folie sexuelle, a accéléré ses vas et viens et me donnait des tapes sur les fesses. Je l’entendais marmonnera des choses que je ne comprenais pas mais sa respiration était bruyante, accélérée et rauque. Nous étions totalement sous le charme de cette seconde sodomie. Elle a duré plus longuement que la première et son éjaculation m’a surprise en pleine euphorie de jouissances. Il resta collé à mes fesses et le zob à l’intérieur de mon cul encore plus longuement que la première fois, puis il se retira. Il me dit qu’il aurait voulu rester dans ma Terma et je lui ai confirmé que moi aussi j’en avais autant envie. Puis, il me présenta son zob, étonnamment encore gonflé, pour le sucer et le nettoyer. Je me suis accroupi pour vider mon cul et sucer son gros zob black, blanchi et luisant de sperme.
Ensuite, j’ai acheté la gandourah blanche, le maillot de bain bleu et il refusa que je paye les deux slips chair et transparent. Il m’a invité à revenir le voir, habillé avec le second slip transparent et assez court pour découvrir les cotés de mes fesses. Moi aussi, j’avais encore envie de son gros zob et je reviendrais dès le lendemain pour en faire gouter ma Terma. Plus tard, dès que je me suis assis dans ma voiture, ma Terma m’a rappelé à ses désirs. Elle recommençait à me démanger et j’ai du me tortiller et la frotter sur le siège pour l’assagir et lui dire de patiente à demain. Je suis allé chez moi tout de suite et j’ai essayé mes slips en m’admirant au miroir. Ce fut l’étincelle qui m’a chauffé la Terma et j’ai même bandé sur elle. Elle débordait sur les deux cotés du slip et ces bourrelets de chair bien gonflée m’ont excité au point que je désirais une sodomie immédiate. Hélas, il n’y avait aucun zob pour éteindre le feu qui a enflammé ma Terma. Alors j’ai pris une décision.
Je me suis rhabillé et j’ai quitté en vitesse mon logis pour prendre ma voiture et rejoindre le magasin où j’avais laissé mon amant de tout à l’heure. Je suis allé directement à son rayon et dès que je l’ai vu, ma Terma a commencé à juter son désir. Elle me démangé tellement que je ne pouvais plus lui résister. J’ai fais un clin d’œil au jeune homme et pénétré dans la cabine vide. Il m’a suivi sans un mot et, lui tournant le dos et me baissant, j’ai dégagé mon pantalon et je lui ai offert ma Terma habillée ou semi habillée par le slip court et transparent. Il a juste émit un rire que j’ai entendu et immédiatement il m’a glissé mon slip sur les cuisses. Deux secondes plus tard, j’ai senti son zob qui piquait le sillon de mes fesses. Ma tête appuyée sur le mur, j’ai placé mes deux sur mes fesses pour les écarter au maximum et dégager mon anus frétillant. Avec la vitesse de l’éclair, son zob m’a pénétré jusqu’aux couilles qui ont claqué sur mes fesses. 9a m »a un peu fait mal mais j’ai aimé, oui j’ai aimé cette douleur sur mon anus, et ce fut rapide. Puis, le jus de l »intérieur de ma Terma aidant, j’ai commencé à mieux gouter les vas et viens du gros zob et ses jouissances sur tout mon corps. Il m’a sodomisé en vitesse et il m’a dit qu’il avait souhaité mon retour car son zob n’avait jamais gouté une aussi chaude et profonde Terma. Je l’a rassuré que je l’attendrais à la sortie du travail et nous irons chez moi ou chez lui pour nous donner du plaisir toute la nuit s’il est d’accort. En réponse, il me donna deux ou trois coups de reins puissants et m’a répondu dans un souffle haletant qu’il était d’accord.
Puis il a continué et deux minutes après, il a éjaculé dans ma Terma trois décharges de sperme avec un coup de rein violent chaque fois. J’étais dans les nuages, mon cœur battait la chamade, mon souffle était rapide et rauque et ma Terma était remplie, inondée de jus chaud et affolant. Puis, il s’est dégagé et je me suis retourné pour m’accroupir pour vider mon cul, mais aussi pour lui sucer et nettoyer le zob. Il avait de la santé car son zob restait gonflé, mais on avait peur d’être dérangés et découverts. Puis je me suis essuyé les fesses et les cuisses avec le chiffon qu’il m’a tendu et avec lequel il a terminé l’essuyage de son zob. Rhabillés, nous sommes sortis de la cabine, juste au moment où un homme se présentait avec des vêtements à essayer. On s’est murmuré le rendez vous et je suis parti. Ensuite j’ai acheté quelques nourritures prêtes à consommer au cas où, et j’ai attendu dans ma voiture. Une heure après environ, il est sorti, mais c’était avant l’heure de fermeture. Il m’a rejoint et m’a expliqué qu’il a demandé la permission au patron, s’excusant pour des maux au ventre. Mais il a ajouté qu’il avait encore envie de ma Terma. Je lui ai crié : moi aussi j’avais envie de son zob et on a choisi d’aller chez moi.
Une demi heure plus tard, nous étions à la maison et nus sur le lit, il a commencé à honorer, encore une fois ma Terma. Il était infatigable, une vraie santé de jeune homme excité par ma large et ronde Terma. Il a exigé que je mette l’autre slip serré et il a commencé à caresser, lécher et embrasser les cotés de ma Terma qui débordaient du slip. Puis, il a écarté le slip pour avoir accès à mon anus et brusquement il a enfoncé son pieu de chair dans mon cul, aussi violement que tout à l’heure. Et, à quatre pattes sur le lit, il m’a sodomisé avec des hans sonores et des coups de reins qui secouaient tout mon corps. Je criais autant que lui, durant cette niquée libre sur mon lit. On s’est donné à fond et il me tenait les hanches et me faisait osciller le bassin, le derrière et son zob dansait à l’intérieur de ma Terma. On a fini ensemble, peut-être même que c’est l’arrivée don jus qui m’a sonné au point que j’ai hurlé lorsque les jets de sperme ont percuté mes entrailles. Ensuite je me suis effondré sur le lit et le jeune homme s’est aplati sur mon dos et ma Terma. Son zob était toujours à l’intérieur et je le sentais qui fraichissait, mais sa présence dans mon cul me donnait encore des sensations agréables, nouvelles, alors j’ai demandé qu’il reste encore en moi.
Puis, on s’est lavés et restaurés. Mais il m’a dit qu’il avait une affaire à régler et qu’il avait hésité de m’en parler dans le magasin car il avait peur que je refuse de laisser me niquer encore. J’étais désappointé car je programmais une nuit de plaisirs sexuels. Hélas, moi aussi pour éviter qu’il ne revienne plus, j’ai accepté qu’il parte. Il m’a questionné si ma Terma était maintenant rassasiée et je lui ai répondu qu’elle pouvait recevoir encore deux ou autres sodomies, au moins, sinon plus suivant le zob qui lui donne du plaisir. Alors, il m’a dit de remettre le slip transparent et rester ainsi, car il va m’envoyer un ami qui le remplacera pour cette nuit. J’étais estomaqué qu’il ose me proposer cela, et j’allais me fâcher et le renvoyer avec fracas, mais, tout de suite, ma Terma m’a envoyé quelques petits démangeaisons agréables. Elle en voulait encore, du zob, alors j’ai accepté. Et il est parti. Une heure après, on a tapé à ma porte et en ouvrant je découvre un autre jeune homme, peut-être du même âge que le premier. J’étais nu, juste avec le slip transparent comme recommandé par mon ami, et comme je restais à le regarder, il m’a gentiment poussé pour pénétrer dans mon logis.
Il a fermé la porte et tout de suite, il s’est baissé et se mettant derrière moi, il a mis ses mains sur mes fesses et commencé à caresser et à lécher et embrasser les débordements de ma Terma du petit slip. Il m’a même caressé le cul et léché le sillon des fesses à travers le slip transparent. J’imagine le tableau de mes fesses et mon cul à travers ce slip, ça doit être érotique, excitant. Je lui ai dit qu’on devrait aller dans la chambre et il s’est levé et enlevé rapidement tous ses vêtements qu’il a jetés sur le canapé du salon. Alors je l’ai vu, oui j’ai son zob déjà gonflé et pointé à l’horizontal. Il me semblait plus gros, plus long et plus épais que celui de son ami. Dès qu’il a pénétré la chambre, je me suis assis sur le lit et je lui ai demandé d’avancer ainsi, debout. Arrivé à mon niveau, son zob était juste devant ma tête et ma bouche. Je l’ai empoigné et englouti dans la bouche et je commençais à le sucer doucement. Je voulais le gouter, sa chair, sa puissance et son épaisseur. A mesure que je le suçais, j’avais l’impression qu’il augmentait de volume alors qu’il était déjà à mon avis au maximum. Mais c’était surtout les démangeaisons de ma Terma qui me faisaient osciller du cul sur le lit. Alors, me débarrassant du slip et me mettant à quatre pattes sur le lit, je lui ai offert mon trésor.
Aussitôt il s’agenouilla derrière moi, entre mes cuisses et commença à me lécher le sillon des fesses et mon anus. Il mit un ou deux de ses doigts dans mon cul, qui s’enfoncèrent facilement, alors j’ai senti qu’il pointait son zob juste au niveau de la bouche de ma Terma. Elle s’ouvrit aisément et l’avala en vitesse. Son zob s’enfonçait dans mon cul doucement, alors j’ai gueulé pour qu’il aille plus vite et, m’obéissant, il donna un coup de rein violent qui enfonça son zob jusqu’aux couilles, dans mes entrailles. Encore une fois, cette violence m’envoya une décharge merveilleusement agréable dans mon corps et surtout ma Terma et j’ai gueulé encore de jouissances. Il avait compris le message et il commença une série e vas et viens accélérés et violents. Mes fesses recevaient les coups de ses cuisses et de ses couilles avec violence mais ma Terma était contente, heureuse et agréablement remplie par ce gros et long zob de jeune. Il me sodomisa assez rapidement et éjacula assez vite trois jets puissants, chauds, que j’ai bien reçus agréablement dans mon fond. Puis il se retira. Comme je restais à quatre pattes sur le lit, il se mit sur le coté et s’excusa d’avoir été rapide. Il parait que c’était la faute à ma Terma, à sa chaleur interne et lorsqu’il l’avait vue avec le slip trop étroit et ses chairs sur les cotés, il avait déjà bandé et ses couilles avaient commencé à réagir.
J’ai jeté un coup d’œil sur le coté pour voir son zob. Il était encore bandé, alors je l’a touché de la main et commencé à le branler. Ce fut rapide, en trois coups de branle, il était redevenu aussi dur qu’avant. J’ai enlevé ma main et l’ai repris ma pose, à quatre pattes sur le lit. Il avait encore compris et il s’est repointé, derrière, entre mes cuisses. Aussitôt sn zob, avec violence, me pénétra de nouveau. J’ai senti le jaillissement de sperme qui pulsait sur le coté de mes fesses quant son zob est entré violement. Il avait chassé le sperme, ou une partie qui était encore dans mon cul. Place au gros zob et sperme dehors ! Et il recommença sa dance de vas et viens accélérés et violents. Alors, je lui ai recommandé de freiner un peu ses coups pour nous faire mieux gouter les frottements de son zob. Ila rigolé avec des sons saccadés et m’a tapé légèrement sur une fesse, puis il a ralenti sa cadence de vas et viens. Il a même sorti son zob de ma Terma pour frotter avec mes fesses et leur sillon, puis il l’a doucement renfoncé dans mon anus. J’ai eu raison, car cette opération m’a donné un plaisir fou et j’ai crié de jouissances. Lui aussi m’a dit que maintenant il sentait son plaisir mieux qu’avant. Nous étions donc d’accord, le casse croute a été certes nécessaire mais insuffisant et c’est maintenant le plat de résistance qu’il fallait prolonger à fond.
Et en effet, cette seconde sodomie a duré nettement plus longtemps que la précédente et nous a donné des jouissances prolongées. Il s’arrêtait même parfois ou à ma demande pour nous faire gouter ces ondes de plaisir qui inondaient nos corps et nous faisaient frissonner, puis on reprenait les frottements du zob dans la Terma à notre convenance. Ce jeune homme me convenait mieux que l’autre. Il me comprenait au clin d’œil et même il ressentait que je désirais. Son zob était à l’unisson avec ma Terma qu’il remplissait d’ailleurs mieux que l’autre. Après presque une heure de sodomie, il a réussi encore à éjaculer trois ou quatre jets de sperme en me retenant avec force aux hanches. Puis, on a décidé de se reposer, alors j’ai préféré aller me doucher chaudement et il m’a suivi. C’est lui qui m’a d’abord aidé à me nettoyer et il insistait, c’est normal, sur ma Terma, sur mes fesses et même, maintenant sur mes seins et leurs bouts sombres et pointus de désirs. Ensuite, c’est moi qui l’ai nettoyé, derrière, son dos puis ses fesses puissantes qui m’ont donné déjà un peu de désir. Puis je suis passé à la poitrine et j’ai sauté aux cuisses et remonté aux couilles. Le désir qui commençait à me tenailler déjà quant j’ai lavé ses fesses, s’est amplifié quant j’ai malaxé et caressé ses couilles sans toucher son zob qui balançait devant mes yeux. Enfin j’ai empoigné son zob, légèrement courbé vers le bas, peut-être fatigué. Et, avec le savon et l’eau, le nettoyage du zob devenait une épreuve difficile pour ma Terma qui était déjà à son sommet de mouille. Elle me démangeait à fond et désirait tout de suite ce zob que mes mains malaxaient, caressaient et le faisaient gonfler, gonfler jusqu’à ce qu’il de vienne un barreau de fer, dur et doux à la fois. Et nous n’avons plus résisté et je l’ai tiré par son zob, empoigné par ma main droite jusqu’à la chambre à coucher.
Et je me suis couché sur le dos et levé hauts mes jambes et écarté à fond mes cuisses, offrant ainsi mon cul au zob que je tenais encore à la main. Je l’ai lâché et le jeune s’accroupit entre mes cuisses et enfonça de force son zob dans mon anus. Ma Terma et moi avons hurlé de jouissances par cette nique face à face. J’ai mis mes jambes derrière son dos et je le poussais par le cul pour que son zob s’enfonce au maximum dans ma Terma. Et il commença sa danse. J’ai toujours aimé et gouté les sodomies face à face car je peux utiliser mes mains pour toucher et caresser ce que je veux de mon partenaire. Je peux lui caresser le torse et j’aime les poitrines velues qui me donnent des frissons et augmentent mes désirs. Je peux toucher les reins et les fesses et même l’anus de mes amants et parfois, une partie de leur zob. Je peux le faire sortir un instant de mon cul puis aider à l’enfoncer de nouveau dans ma Terma à la puissance et la vitesse qu’elle désire. Ainsi et pendant presque une heure, il m’a sodomisé comme je le voulais et quant il est arrivé à son top, j’avais déjà eu plusieurs jouissances et j’étais presque étourdi. Soudain, le déversement de son sperme dans mes entrailles me réveilla de nouveau et je hurlais de continuer. Je soulevais les reins pour enfoncer encore le zob et obtenir le maximum de sperme et de plaisir. Enfin, il s’arrêta et se coucha sur ma poitrine. Sans réfléchir, je lui donnais des baisers et il me répondait avec fougue. Il caressait et malaxait mes seins qu’il suçait et mordillait doucement. Ces gestes amplifiaient mes frissons de plaisir.
Ensuite, on s’est couché sans même se laver cette fois. Je me sui endormi comme une souche, j’étais rassasié de jouissances et fatigué. Ce qui m’a réveillé, de sont des frappes à la porte d’entrée. J ai drapé ma nudité par une légère robe de chambre et je suis allé ouvrir laissant mon amant complètement endormi. A ma grande surprise c’était mon autre amant qui était sur le seuil. Il entra en me poussant et me demanda si ça avait marché avec son ami. Je lui ai répondu qu’il avait été formidable et que ma Terma en redemande à sn zob et qu’il était encore couché. Il était environ 7h du matin et ils doivent tous les deux reprendre le travail à 8h. Comme la ceinture de la rose se détacha et je suis apparu nu au jeune homme, ses yeux pétillèrent et il me prit par la main en m’entrainant vers les toilettes. Il me poussa de force et m’ôta la robe, puis il abaissa son pantalon et son slip m’offrant un zob debout, prêt à l »abordage. Il me dit qu’il a rêvé de ma Terma toute la nuit et qu’il regrettait de m’avoir laissé et qu’il en a une folle envie maintenant.
Que pouvais-je faire, je me retourné et me penchant, j’ai mis mes mains sur le lavabo et écarté les jambes et cuisses. Immédiatement il me doigta un peu l’anus, se lubrifia avec sa salive et m’enfonça son zob dans la Terma. Puis, tenant mes hanches, debout, il me sodomisa en accéléré et violence. Et rapidement il arriva au top au bout d’une quinzaine de vas et viens. Il éjacula fortement, en criant son plaisir et il se retira. Je n’ai pas eu beaucoup de jouissances, si peu, mais du plaisir d’avoir déchainé ainsi ce jeune homme et son zob. Ma Terma doit se féliciter d’avoir affolé ce jeune et son zob qui en a rêvé toute la nuit. Je me suis accroupi au WC pour me vider et me laver. Il est parti en me disant de réveiller son ami pour le travail sinon il aura des ennuis. Totalement nu, je suis allé le réveillé dans la chambre alors que l’autre était déjà parti. J »ai repoussé le drap et il était nu, dessous, avec le zob amolli, et reposé sur sa cuisse. Malgré sa mollesse, il était assez long pour donner du désir à ma Terma et c’est ce qui m’arriva. Mais je l’ai secoué pour lui parler de l’heure. Il se leva en vitesse et couru aux toilettes. Je l’ai rejoins pour le pousser à accélérer et j’en ai profité pour m’asperger le visage. Il avait fait une toilette rapide au visage et s’est redressé pour se sécher.
Mais, me voyant courbé sur le lavabo, le cul en l’air, cela a réveillé son zob. Il était juste à coté de moi et j’ai remarqué ce sursaut de son zob et qui continuait à se redresser. Il me toucha et caressa les fesses et se pencha pour m’embrasser le cul et l »anus. Je lui ai rappelé l’heure mais il ne m’a pas écouté. Il s’est pointé derrière moi et pointa son zob sur mon anus. Vu sa puissance, j’ai constaté que le zob avait atteint son gonflage normal et il me pénétra immédiatement avec force et un hurlement de plaisir. Cette plongée rapide dans mon cul a surement été facilité par les restes de sperme de son ami il a juste cinq minutes. Il me sodomisa comme son copain avec des mouvements accélérés et violents. Mais comme ma Terma avait été inondée et graissée, par le sperme de son copain, donc assez sensibilisée, je commençais à avoir du plaisir. Alors, pour augmenter mes jouissances et accélérer le top de mon amant, j’ai remué du derrière et fait des sussions avec mon sphincter sur le zob qui me frottait les entrailles. Nos mouvements en phase et accélérés ont réussi et mon ami arriva au plaisir rapidement. Et il éjacula trois ou quatre fois dans mon cul, nettement mieux et quantité que le précédent. Puis il a sorti son zob, l’a lavé succinctement au lavabo et s’est enfuit vers la chambre. Je suis retourné au WC pour me vider, puis j’ai ouvert la douche puis je suis allé le voir. Il était habillé et déjà à la porte et il me dit à ce soir 18h et il s’est enfouit.
J’ai pris ma douche et j’ai pris la décision de planifier les deux en même temps. J’avais envie, ma Terma a envie de les avoir tous les deux ensemble sous la main pour lécher, sucer branler et se faire sodomiser à ma convenance. L’un me prendra de 16h à 20h et l’autre passera la nuit avec moi et le jour suivant ils échangeront leur rôle. Et si les deux veulent passer ensemble la nuit avec moi, je serais totalement d’accord. Donc, il faut que j’aille les avertir ce matin. J’étais sur que ma Terma était tout a fait satisfaite de mon plan. A ce soir, mes plaisirs, mes jouissances, j’en ai déjà des démangeaisons au cul.

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