Terma 121 : Mes deux voisines et leurs cocus de maris (1) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 125 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Noura ont reçu un total de 1 331 077 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 16 052 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Terma 121 : Mes deux voisines et leurs cocus de maris (1) :
Je baise la femme de mon patron Si Omar, chaque soir. Elle s'appelle Douja et a 28 ans. Quant il part au travail de nuit à 20h, sa femme m'appelle et je passe la nuit avec elle dans le lit de son mari jusqu'à 5h du matin. Nous prenons des douches ensemble, et parfois je la nique encore sous l'eau. Son mari ne revient du travail qu’à 7h. Une nuit, nous faisions l'amour quant vers 22h, on frappe à la porte. C’ ne devait pas être son mari, car il possède une clé. Donc, elle alla ouvrir en nuisette et c'était son amie, kheira, sa voisine qui s'était disputée avec son mari, Si Lahcène, notre collègue dans le service de la comptabilité, mais aussi un grand brute de soulard. Elle voulait passer la nuit avec sa voisine Douja qui a d’abord refusé. Mais après insistance, elle accepta et fit coucher kheira dans la chambre voisine.
Ensuite, Douja et moi, nous avons repris notre nuit d’amour, mais avec bruit et Kheira est venu voir. J'étais couché sur Douja et ma bite entrait et sortait, avec des bruits érotiques de sussions, de sa chatte et Kheira, sur le seuil de la porte, a tout vu. Alors elle entra carrément dans notre chambre et resta debout à observer. Elle a tellement été excitée qu’elle souleva sa robe de nuit pour mettre sa main dans sa chatte pour commencer à se masturber et à haleter avec bruit, et c’est cela qui a retenu notre attention. Quant Douja et moi avons vu cela, nous avons arrêté mais Douja m’a fait un signe que j’ai accepté avec joie, et elle a demandé à sa voisine de nous rejoindre sur le lit. Alors, kheira enleva totalement sa robe sous laquelle elle était nue puis elle se jeta sur le lit avec nous.
Son corps, plein et nouveau pour moi, m’excita immédiatement. Quant elle est montée sur le lit, ses cuisses se sont écartées et j’ai pu voir sa chatte, bombée et luisante de sa masturbation et mon zeb se gonfla encore mieux. Alors, je l'ai enlacée à pleins bras, et je l’ai poussée à s’allonger, les cuisses ouvertes, et tenant ma bite à la main, je l'ai enfoncée dans sa chatte en un geste presque brutal, passionné. Elle cria de plaisir, et j'ai commencé à la baiser avec force. Elle hurlait de jouissances avec ce nouveau zeb dans sa chatte. Et en dix minutes environ et une grande série de vas et viens de mon zeb en elle, elle a eu au moins trois orgasmes continus, abondants de mouilles et hurlants.
Moi aussi, j’étais excité par cette femme affolée de sexe et dont la chatte, nouvelle, chaude et profonde suçait mon zeb avec passion. Je continuais à la baiser, en haletant, et, sachant qu’elle venait de fuir de son mari, presque nue, vers mon zeb, j’étais au summum du désir et des jouissances. J’avais complètement oublié Douja. Et après environ presque un quart d’heure de baise, j’ai ressenti l’arrivée de mon jus. Par chance, j’ai eu la présence d’esprit de sortir ma bite gonflée de sa chatte, et j'ai éjaculé mon sperme sur son bas ventre et sa poitrine. Elle se souleva et se jeta sur ma bite. L’empoignant à deux mains, elle commença à la lécher, la sucer avec passion jusqu’à la nettoyer de son long et même mes couilles. Je me suis allongé, et elle dévorait mon zeb et mes couilles et elle murmurait «Zebek, ch7al kh’chiine wa 7’lou ! K'bar mine zeb rajli » (ton zob est épais et doux ! plus gros que celui de mon mari !). Et tout en continuant à sucer et branler mon zeb, elle nous raconta son problème. Douja, est venue s’allonger avec nous et souriait à sa voisine pour l »encourager à parler.
Elle nous expliqua que son mari l'a mise dehors car il était encore ivre ce soir. Elle pensait que sa voisine Douja était seule car elle savait que son mari travaillait la nuit. Mais quant elle nous a vu entrain de baiser et surtout mon zeb gros et luisant de la mouille de Douja, elle n’a pas résisté. Et c’est moi qui a fait le reste en l’enlaçant puis en la baisant. Elle m’avoua que ce fut formidable car ma bite, d’après elle, était plus grosse, au moins deux fois, et plus puissante que celle de son mari, souvent ivre. Je savais qu’elle exagérait, car elle était excitée devant un zeb tout nouveau à elle et qui l’invitait à tromper son mari. Elle commença à essuyer sa poitrine et son bas ventre. Elle avait un pubis assez poilu, pas comme celui de Douja. Douja en profita pour s’emparer de mon zeb qui se courbait sur ma cuisse et commencer à le sucer et le branler doucement. Sa bouche était chaude et mon zeb fut excité et s'allonger et durcir petit à petit et rapidement il fut droit debout prêt pour de nouvelles baises.
Alors, elle s’assit sur mes cuisses, plus bas que mon bas ventre, mais elle tenait toujours mon zeb à la main. Elle me tournait le dos et m'offrit sa croupe et son cul qui le tentait. J’ai toujours été affolé par sa croupe, large et souple. Elle se courba légèrement, ce qui fit gonfler encore sa croupe et découvrir son anus qui frétillait. Elle frotta elle-même mon zeb sur sa croupe, sur ses fesses et le long de leur sillon, en insistant devant son anus. Elle soufflait et haletait déjà de désir. Puis elle enfonça mon zeb bien raide dans son anus et s’assit carrément sur moi, en poussant un long soupir qui devint presque un hurlement de plaisir. Mon zeb la pénétra avec facilité et s’enfonça jusqu’aux couilles et ses fesses se bloquèrent sur mon ventre. C’était merveilleux, doux, jouissif et elle m’a fait crier de plaisir.
A coté de nous, Kheira a, cuisses bien écartées, elle a recommencé à se masturber la chatte, en haletant et en mordant sa langue hors de sa bouche. Keira a commencé à danser sur mon zeb et le plaisir commençait à me chatouiller le bas ventre. Mais la vue de Kheira qui se masturbait sans gêne m’excitait aussi. Elle me regardait sans honte et elle me dit « t’7id é’zouk ! Chouf en’ta3i ! » (Tu aimes le cul ! regardes le mien !). Et elle se mouva pour me tourner le dos et m’offrir sa croupe qu’elle gonfla en se penchant. C’était vrai, elle avait une large et grosse croupe, beaucoup plus que celle e Douja, pourtant si belle et large. De plus, Kheira prit à deux mains ses fesses pour les écarter et découvrir son anus. Elle poussa un de ses doigts dedans et me dit « Rah mwalouf ! Rajli yachti nikeni mine é’zouk ! » (Il est habitué ! mon mari préfère me niker par le cul !). Kheira, surprise avait arrêté sa danse sur mon zeb et elle regardait, les yeux ronds, sa copine qui ajouta « Rah zouki thani chati zebek lakhchine ! » (Mon cul désire aussi ton gros zeb). C’était une invitation que je ne pouvais refuser.
Alors, j’ai fais un signe à Kheira qui restait collée à mon zeb et elle a accepté ma décision. Alors, elle s’est dégagée de mon zeb. Puis je les ai fait allonger, toutes les deux, à genoux et cote à cote sur le lit et je me suis positionné derrière elles. Elles étaient merveilleuses, toutes les deux, grosse terma de Kheira à coté de la terma moins grosse mais assez large et bandante. Puis j’ai commencé par Keira, la nouvelle, et, écartant ses fesses d’une main, j’ai redécouvert son anus, déjà légèrement ouvert, prouvant son habitude des sodomies. Puis, j’y ai enfoncé mon zeb de l’autre main. Il s’enfonça directement jusqu’aux couilles. Son cul était profond et chaud à merveille, de plus, elle commença tout de suite à me sucer le zeb avec son intérieur et cela augmentait mon excitation et gonflait encore plus mon zeb. Elle a l’habitude, l’épouse infidèle, son mari la négligeait peut-être et la battait mais il la nikait souvent dans le cul. C’était tellement excitant et jouissif après seulement cinq ou six vas et viens de mon zeb. J’avais peur d’arriver aux éjaculations, alors j’ai retiré mon zeb. Elle a hurlé « zidni ! Dakhal zebek ! » (Continues ! enfonces ton zeb). Une vraie dévoreuse, cette femme, mais j’avais aussi le cul de Douja à respecter.
Alors, j’ai écarté les fesses de Douja et, découvrant son anus, j’ai poussé mon zeb. Bien entendu, il pénétra le cul mais avec une légère résistance, d’ailleurs très agréable et excitante. Il était moins ouvert mais ne pouvait résister à mon zeb qui s’enfonça petit à petit aussi, jusqu’aux couilles. Puis j’y ai commencé mes vas et viens. Heureusement que le léger instant où j’ai changé de partenaire, mon zeb s’était calmé de son excitation presque éjaculatoire. Mais, une fois à l’intérieur du cul de Douja, son excitation reprenait du souffle. Après une dizaine de vas et viens qui ont monté regonflé mon zeb, j’ai préféré le retirer et le replonger de nouveau dans le cul de Kheira qui hurla de contentement. Puis, quelques vas et viens pour lui réchauffer le cul avant de le retirer et le replonger dans le cul de Douja qui était plus calme que sa voisine. Ensuite, pendant un long moment, j’ai continué ces allers et venues, alternatifs entre les deux culs. Je reconnais que le cul de Kheira était plus chaud et plus profond que celui de Douja. Mais Douja savait remuer de la croupe et exciter ma bite. Je les ai enculées ensemble toutes les deux et elles eurent plusieurs orgasmes. Ceux de Kheira étaient plus bruyants et agités, ceux de Douja, moins bruyants mais sassant bien mon zeb.
Et quant mes couilles ne pouvaient plus encore résister pour lâcher leur jus, j'ai partagé mon sperme entre les deux culs. J’éjaculais deux fois dans l’un, puis je sortais vite ma bite pour la plonger sans l’autre cul et j’éjaculais le reste de mon sperme. Ensuite, vidé, je me suis allongé dos sur le lit et c’est Kheira qui a plongé la première, pour me lécher, sucer et nettoyer mon zeb. Douja m’a regardé et je savais qu’elle avait accepté toutes les gestes de sa voisine, depuis le début, depuis sa venue, comme un cadeau qu’elle lui offrait pour sa première nuit avec nous. Elle l’a laissé faire en tout et Kheira a du le deviner car de la tête, elle l’avait remerciée plusieurs fois.
Ensuite, nous avons passé toute la nuit à baiser. Je baisais la chatte de Douja et quant mon plaisir allait arriver, je sortais mon zeb et je le plongeais dans le cul de Kheira et je continuais jusqu'à éjaculer dans sa terma. Je ne pouvais pas éjaculer dans la chatte de Kheira de peur de faire un enfant. Elle m’a pourtant dit qu’elle prenait la pilule « rani bi l’hab ! Faraq zebek fi souti ! Farqou ! Hatli zanate Zebek lakhchine ! Haat ! » (Je prends la pilule ! vides ton zeb dans ma chatte ! vides le ! Donnes moi le sperme de ton gros zeb ! Donnes !). Mais moi je préfère être prudent. Après je lui ferais prendre la pilule chez Douja chaque fois sous mon contrôle, et alors je pourrais lui remplir le cul de mon sperme, c’est promis. Ensuite, je faisais le contraire avec les deux femmes. Après avoir vidé mon jus dans le cul de Kheira, notre voisine, je laissais mon amie Douja me sucer et branler jusqu'à ce que mon zeb redevienne dur et bien debout. C’est alors seulement, que je reprenais Kheira pour baiser encore une fois sa chatte et quant le plaisir allait arriver encore une fois, je retirais mon zeb et l'enfonçais dans le cul de mon amie Douja dans lequel j'éjaculais. Ainsi les deux chattes recevaient les vas et viens de mon zeb, puis les deux culs recevaient leurs plaisirs et leurs jouissances par mes éjaculations. C’était des cadeaux que nous faisions surtout à Kheira. Mais à la fin, j'étais fatigué, épuisé.
Alors les deux femmes se sont couchées ensemble en 69. Puis elles commencèrent a se lécher et sucer les chattes, ne tenant pas compte de ma présence. Elles broutaient leurs vulves et hurlaient de jouissances. Je les regardais, étonné qu’elles y trouvent du plaisir et pourtant ça marchait très bien. Leurs corps s’agitaient de jouissances devant moi et murmuraient leurs contentements. Mon zeb avait l’air d’être inutile. Tromper leurs maris, se laisser baiser et enculer ensembles par moi et enfin, se faire même plaisir entre elles, comme des lesbiennes, elles le faisaient devant moi sans honte ni gêne, au contraire, elles étaient prêtes à continuer si j’en étais capable. Et pourtant je les voyais comme des femmes normales, ayant des besoins sexuels que leurs maris négligeaient. Donc elles savouraient leurs besoins, là où elles le trouvaient, et il semble que mon zeb avait les ressources pour les satisfaire. Pour moi, leurs maris méritaient d'être cocus car, avoir choisi et épousé de telles affamées du zeb et être incapables de les contenter, c’est s’exposer à devenir cocus.
Les désirs des femmes sont importants et surtout merveilleux et les en priver serait une faute. Elles sont merveilleuses et leurs sexes, devant et derrière, sont des cadeaux de la nature, nous donnant ensemble, tellement de plaisir et de jouissances que nous ne devons jamais hésiter de les aider à les assouvir, et moi je suis toujours preneur. Après une longue nuit de baises en sodomies, je me suis endormi pendant qu’elles continuaient leurs plaisirs réciproques. Et elles m'ont réveillé que vers 4h pour me demander, pour exiger de moi de les baiser et les enculer une dernière fois. Heureusement que mon zeb, avec leur aide en sussions et branles, ne m’a pas trahi et s’est redressé, debout, dur et gonflé. Et c’est ce que j'ai fais pendant l'heure qui suit, une baise de chatte à chacune avec des compléments dans les culs avec des éjaculations réciproques. Et vers 5h, épuisé, Kheira s’est enfuie vers la couche de son mari cocu, et Douja m’a permis de me doucher chez elle, puis de m’enfuir rapidement de ces lionnes affamées de mon zeb. Rendez vous pour demain soir, chez Douja, après le départ au travail de nuit de son mari à 20h.
Ensuite, Douja et moi, nous avons repris notre nuit d’amour, mais avec bruit et Kheira est venu voir. J'étais couché sur Douja et ma bite entrait et sortait, avec des bruits érotiques de sussions, de sa chatte et Kheira, sur le seuil de la porte, a tout vu. Alors elle entra carrément dans notre chambre et resta debout à observer. Elle a tellement été excitée qu’elle souleva sa robe de nuit pour mettre sa main dans sa chatte pour commencer à se masturber et à haleter avec bruit, et c’est cela qui a retenu notre attention. Quant Douja et moi avons vu cela, nous avons arrêté mais Douja m’a fait un signe que j’ai accepté avec joie, et elle a demandé à sa voisine de nous rejoindre sur le lit. Alors, kheira enleva totalement sa robe sous laquelle elle était nue puis elle se jeta sur le lit avec nous.
Son corps, plein et nouveau pour moi, m’excita immédiatement. Quant elle est montée sur le lit, ses cuisses se sont écartées et j’ai pu voir sa chatte, bombée et luisante de sa masturbation et mon zeb se gonfla encore mieux. Alors, je l'ai enlacée à pleins bras, et je l’ai poussée à s’allonger, les cuisses ouvertes, et tenant ma bite à la main, je l'ai enfoncée dans sa chatte en un geste presque brutal, passionné. Elle cria de plaisir, et j'ai commencé à la baiser avec force. Elle hurlait de jouissances avec ce nouveau zeb dans sa chatte. Et en dix minutes environ et une grande série de vas et viens de mon zeb en elle, elle a eu au moins trois orgasmes continus, abondants de mouilles et hurlants.
Moi aussi, j’étais excité par cette femme affolée de sexe et dont la chatte, nouvelle, chaude et profonde suçait mon zeb avec passion. Je continuais à la baiser, en haletant, et, sachant qu’elle venait de fuir de son mari, presque nue, vers mon zeb, j’étais au summum du désir et des jouissances. J’avais complètement oublié Douja. Et après environ presque un quart d’heure de baise, j’ai ressenti l’arrivée de mon jus. Par chance, j’ai eu la présence d’esprit de sortir ma bite gonflée de sa chatte, et j'ai éjaculé mon sperme sur son bas ventre et sa poitrine. Elle se souleva et se jeta sur ma bite. L’empoignant à deux mains, elle commença à la lécher, la sucer avec passion jusqu’à la nettoyer de son long et même mes couilles. Je me suis allongé, et elle dévorait mon zeb et mes couilles et elle murmurait «Zebek, ch7al kh’chiine wa 7’lou ! K'bar mine zeb rajli » (ton zob est épais et doux ! plus gros que celui de mon mari !). Et tout en continuant à sucer et branler mon zeb, elle nous raconta son problème. Douja, est venue s’allonger avec nous et souriait à sa voisine pour l »encourager à parler.
Elle nous expliqua que son mari l'a mise dehors car il était encore ivre ce soir. Elle pensait que sa voisine Douja était seule car elle savait que son mari travaillait la nuit. Mais quant elle nous a vu entrain de baiser et surtout mon zeb gros et luisant de la mouille de Douja, elle n’a pas résisté. Et c’est moi qui a fait le reste en l’enlaçant puis en la baisant. Elle m’avoua que ce fut formidable car ma bite, d’après elle, était plus grosse, au moins deux fois, et plus puissante que celle de son mari, souvent ivre. Je savais qu’elle exagérait, car elle était excitée devant un zeb tout nouveau à elle et qui l’invitait à tromper son mari. Elle commença à essuyer sa poitrine et son bas ventre. Elle avait un pubis assez poilu, pas comme celui de Douja. Douja en profita pour s’emparer de mon zeb qui se courbait sur ma cuisse et commencer à le sucer et le branler doucement. Sa bouche était chaude et mon zeb fut excité et s'allonger et durcir petit à petit et rapidement il fut droit debout prêt pour de nouvelles baises.
Alors, elle s’assit sur mes cuisses, plus bas que mon bas ventre, mais elle tenait toujours mon zeb à la main. Elle me tournait le dos et m'offrit sa croupe et son cul qui le tentait. J’ai toujours été affolé par sa croupe, large et souple. Elle se courba légèrement, ce qui fit gonfler encore sa croupe et découvrir son anus qui frétillait. Elle frotta elle-même mon zeb sur sa croupe, sur ses fesses et le long de leur sillon, en insistant devant son anus. Elle soufflait et haletait déjà de désir. Puis elle enfonça mon zeb bien raide dans son anus et s’assit carrément sur moi, en poussant un long soupir qui devint presque un hurlement de plaisir. Mon zeb la pénétra avec facilité et s’enfonça jusqu’aux couilles et ses fesses se bloquèrent sur mon ventre. C’était merveilleux, doux, jouissif et elle m’a fait crier de plaisir.
A coté de nous, Kheira a, cuisses bien écartées, elle a recommencé à se masturber la chatte, en haletant et en mordant sa langue hors de sa bouche. Keira a commencé à danser sur mon zeb et le plaisir commençait à me chatouiller le bas ventre. Mais la vue de Kheira qui se masturbait sans gêne m’excitait aussi. Elle me regardait sans honte et elle me dit « t’7id é’zouk ! Chouf en’ta3i ! » (Tu aimes le cul ! regardes le mien !). Et elle se mouva pour me tourner le dos et m’offrir sa croupe qu’elle gonfla en se penchant. C’était vrai, elle avait une large et grosse croupe, beaucoup plus que celle e Douja, pourtant si belle et large. De plus, Kheira prit à deux mains ses fesses pour les écarter et découvrir son anus. Elle poussa un de ses doigts dedans et me dit « Rah mwalouf ! Rajli yachti nikeni mine é’zouk ! » (Il est habitué ! mon mari préfère me niker par le cul !). Kheira, surprise avait arrêté sa danse sur mon zeb et elle regardait, les yeux ronds, sa copine qui ajouta « Rah zouki thani chati zebek lakhchine ! » (Mon cul désire aussi ton gros zeb). C’était une invitation que je ne pouvais refuser.
Alors, j’ai fais un signe à Kheira qui restait collée à mon zeb et elle a accepté ma décision. Alors, elle s’est dégagée de mon zeb. Puis je les ai fait allonger, toutes les deux, à genoux et cote à cote sur le lit et je me suis positionné derrière elles. Elles étaient merveilleuses, toutes les deux, grosse terma de Kheira à coté de la terma moins grosse mais assez large et bandante. Puis j’ai commencé par Keira, la nouvelle, et, écartant ses fesses d’une main, j’ai redécouvert son anus, déjà légèrement ouvert, prouvant son habitude des sodomies. Puis, j’y ai enfoncé mon zeb de l’autre main. Il s’enfonça directement jusqu’aux couilles. Son cul était profond et chaud à merveille, de plus, elle commença tout de suite à me sucer le zeb avec son intérieur et cela augmentait mon excitation et gonflait encore plus mon zeb. Elle a l’habitude, l’épouse infidèle, son mari la négligeait peut-être et la battait mais il la nikait souvent dans le cul. C’était tellement excitant et jouissif après seulement cinq ou six vas et viens de mon zeb. J’avais peur d’arriver aux éjaculations, alors j’ai retiré mon zeb. Elle a hurlé « zidni ! Dakhal zebek ! » (Continues ! enfonces ton zeb). Une vraie dévoreuse, cette femme, mais j’avais aussi le cul de Douja à respecter.
Alors, j’ai écarté les fesses de Douja et, découvrant son anus, j’ai poussé mon zeb. Bien entendu, il pénétra le cul mais avec une légère résistance, d’ailleurs très agréable et excitante. Il était moins ouvert mais ne pouvait résister à mon zeb qui s’enfonça petit à petit aussi, jusqu’aux couilles. Puis j’y ai commencé mes vas et viens. Heureusement que le léger instant où j’ai changé de partenaire, mon zeb s’était calmé de son excitation presque éjaculatoire. Mais, une fois à l’intérieur du cul de Douja, son excitation reprenait du souffle. Après une dizaine de vas et viens qui ont monté regonflé mon zeb, j’ai préféré le retirer et le replonger de nouveau dans le cul de Kheira qui hurla de contentement. Puis, quelques vas et viens pour lui réchauffer le cul avant de le retirer et le replonger dans le cul de Douja qui était plus calme que sa voisine. Ensuite, pendant un long moment, j’ai continué ces allers et venues, alternatifs entre les deux culs. Je reconnais que le cul de Kheira était plus chaud et plus profond que celui de Douja. Mais Douja savait remuer de la croupe et exciter ma bite. Je les ai enculées ensemble toutes les deux et elles eurent plusieurs orgasmes. Ceux de Kheira étaient plus bruyants et agités, ceux de Douja, moins bruyants mais sassant bien mon zeb.
Et quant mes couilles ne pouvaient plus encore résister pour lâcher leur jus, j'ai partagé mon sperme entre les deux culs. J’éjaculais deux fois dans l’un, puis je sortais vite ma bite pour la plonger sans l’autre cul et j’éjaculais le reste de mon sperme. Ensuite, vidé, je me suis allongé dos sur le lit et c’est Kheira qui a plongé la première, pour me lécher, sucer et nettoyer mon zeb. Douja m’a regardé et je savais qu’elle avait accepté toutes les gestes de sa voisine, depuis le début, depuis sa venue, comme un cadeau qu’elle lui offrait pour sa première nuit avec nous. Elle l’a laissé faire en tout et Kheira a du le deviner car de la tête, elle l’avait remerciée plusieurs fois.
Ensuite, nous avons passé toute la nuit à baiser. Je baisais la chatte de Douja et quant mon plaisir allait arriver, je sortais mon zeb et je le plongeais dans le cul de Kheira et je continuais jusqu'à éjaculer dans sa terma. Je ne pouvais pas éjaculer dans la chatte de Kheira de peur de faire un enfant. Elle m’a pourtant dit qu’elle prenait la pilule « rani bi l’hab ! Faraq zebek fi souti ! Farqou ! Hatli zanate Zebek lakhchine ! Haat ! » (Je prends la pilule ! vides ton zeb dans ma chatte ! vides le ! Donnes moi le sperme de ton gros zeb ! Donnes !). Mais moi je préfère être prudent. Après je lui ferais prendre la pilule chez Douja chaque fois sous mon contrôle, et alors je pourrais lui remplir le cul de mon sperme, c’est promis. Ensuite, je faisais le contraire avec les deux femmes. Après avoir vidé mon jus dans le cul de Kheira, notre voisine, je laissais mon amie Douja me sucer et branler jusqu'à ce que mon zeb redevienne dur et bien debout. C’est alors seulement, que je reprenais Kheira pour baiser encore une fois sa chatte et quant le plaisir allait arriver encore une fois, je retirais mon zeb et l'enfonçais dans le cul de mon amie Douja dans lequel j'éjaculais. Ainsi les deux chattes recevaient les vas et viens de mon zeb, puis les deux culs recevaient leurs plaisirs et leurs jouissances par mes éjaculations. C’était des cadeaux que nous faisions surtout à Kheira. Mais à la fin, j'étais fatigué, épuisé.
Alors les deux femmes se sont couchées ensemble en 69. Puis elles commencèrent a se lécher et sucer les chattes, ne tenant pas compte de ma présence. Elles broutaient leurs vulves et hurlaient de jouissances. Je les regardais, étonné qu’elles y trouvent du plaisir et pourtant ça marchait très bien. Leurs corps s’agitaient de jouissances devant moi et murmuraient leurs contentements. Mon zeb avait l’air d’être inutile. Tromper leurs maris, se laisser baiser et enculer ensembles par moi et enfin, se faire même plaisir entre elles, comme des lesbiennes, elles le faisaient devant moi sans honte ni gêne, au contraire, elles étaient prêtes à continuer si j’en étais capable. Et pourtant je les voyais comme des femmes normales, ayant des besoins sexuels que leurs maris négligeaient. Donc elles savouraient leurs besoins, là où elles le trouvaient, et il semble que mon zeb avait les ressources pour les satisfaire. Pour moi, leurs maris méritaient d'être cocus car, avoir choisi et épousé de telles affamées du zeb et être incapables de les contenter, c’est s’exposer à devenir cocus.
Les désirs des femmes sont importants et surtout merveilleux et les en priver serait une faute. Elles sont merveilleuses et leurs sexes, devant et derrière, sont des cadeaux de la nature, nous donnant ensemble, tellement de plaisir et de jouissances que nous ne devons jamais hésiter de les aider à les assouvir, et moi je suis toujours preneur. Après une longue nuit de baises en sodomies, je me suis endormi pendant qu’elles continuaient leurs plaisirs réciproques. Et elles m'ont réveillé que vers 4h pour me demander, pour exiger de moi de les baiser et les enculer une dernière fois. Heureusement que mon zeb, avec leur aide en sussions et branles, ne m’a pas trahi et s’est redressé, debout, dur et gonflé. Et c’est ce que j'ai fais pendant l'heure qui suit, une baise de chatte à chacune avec des compléments dans les culs avec des éjaculations réciproques. Et vers 5h, épuisé, Kheira s’est enfuie vers la couche de son mari cocu, et Douja m’a permis de me doucher chez elle, puis de m’enfuir rapidement de ces lionnes affamées de mon zeb. Rendez vous pour demain soir, chez Douja, après le départ au travail de nuit de son mari à 20h.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Noura
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...