Terma 120 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie (4) :

- Par l'auteur HDS Noura -
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 120 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie (4) : Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terma 120 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie (4) :
Évidemment c’était tout nouveau pour lui, mais notre complicité l’a aidé à agir. Et tout de suite, il a commencé à caresser, peloter et malaxer mes fesses et ses doigts plongèrent vers mon anus. Quant ils m’ont pénétré largement et en profondeur, il a aussi comprit que j’étais comme lui, avec un anus ouvert et un cul affamé de zeb. Et il a hurlé de joie et de contentement. Et il m’a relevé pour m’enlacer et a m’embrasser avec passion, il était heureux, confiant. Ensuite, pour me sodomiser, pour être à l’aise, je lui ai proposé le salon, mais il a fait mieux en m’entrainant vers sa chambre à coucher.
Ensuite, pour me sodomiser, pour être à l’aise, je lui ai proposé le salon, mais il a fait mieux en m’entrainant vers sa chambre à coucher. Et, nus sur son grand et large lit, on s’est donné à fond. Nous avons fait grande connaissance de nos corps, de tout cotés, que nous avons rempli de baisers, de lècheries et de caresses. Ma bite était assez couché, alors c’est moi qui branlais et suçait la sienne qui était gonflée, dure et prête. Alors je me suis positionné à genoux et le visage sur les draps. Il s’est mit derrière moi, c’était nouveau pour lui, mais très vite le désir et l’excitation l’ont guidés. Il saisi son zeb et l’a plongé dans mon cul doucement. Mais comme j’étais aussi chaud et excité du cul qui mouillait son désir, le zeb a plongé jusqu’aux couilles, les faisant claquer contre mes fesses. Il a hurlé de jouissances et, suivant l’expérience qu’il venait d’quérir avec la sodomie dans son cul, il m’a saisi les hanches et a commencé ses vas e viens. Son zeb était vraiment chaud et doux à la fois, jeune novice qui goute un cul pour la première fois, il s’est déchainé et hurlait ses jouissances. C’était nouveau pour lui et cela l’amena rapidement, trop rapidement pour moi, aux éjaculations. Il hurla et vibrant de tout le corps, il éjacula par quatre fois puissantes et abondantes. Il semblait avoir accumulé tout le sperme de vie passée et vouloir le vider dans mon cul. Ce fut long et merveilleusement délicieux.
Malgré que j’essaye de serrer mon anus, le sperme a dépassé mon fond et coulait sur le sillon de mes fesses. Je me suis allongé complètement sur le lit et Josef a été aussi entrainé sur mon dos, gardant son zeb, encore dur, enfoncé dans ma Terma. La sodomie n’était pas aussi splendide que celles de Rachid et de Touniss dans mon cul, mais comme je savais que c’était un nouveau zeb et qu’il faisait cela pour la première fois de sa vie, j’ai ressenti des jouissances particulières. Ce n’était pas mon amant auquel j’offrais mon cul, ni ma victime qui m’avait donné son cul, mais une sorte de partenaire à égalité. Nous voulions jouir tous les deux, et totalement de nos sexes, devant et derrière. Nous n’éprouvions plus aucune gêne ni honte ni hésitations. Quant je l’avais sodomisé, il était un peu gêné et honteux. Mais quant je l’ai poussé à me donner aussi son zeb, toute honte et hésitation ont disparues, nous offrant de maximum de liberté, de joie et de plaisirs communs. Quant on s’est un peu reposés, il s’est soulevé pour libérer son zeb de mon cul et s’est allongé à mes cotés. Bizarrement, son zeb était encore assez debout et vertical, contrairement au mien, le privilège de la jeunesse peut-être ou des plaisirs nouveaux. Il s’est soulevé encore plus et a saisi mon zeb pour le sucer et le branler. J’étais content qu’il le fasse, car j’ai pensé qu’il avait encore envie de ma bite. Juste pour m’amuser et l’informer, je luis ai demandé, en riant, de s’assoir sur mon zeb.
Il m’a regardé, étonné, mais il s’est levé et puis il s’est assis sur mon bas ventre, ma dite était devant lui. Alors, il a continué à me branler et sucer pour la réchauffer au plaisir. Comme il était assis sur mon ventre, il me tournait le dos, m’offrant la vue de sa belle Terma. Et quant il s’est largement penché pour me sucer, sa croupe blonde et large et son anus rosâtre qui palpitait, m’ont affolé, et j’ai approché mes mains. J’ai caressé ses fesses et pénétré son cul avec mes doigts et cela le faisait glousser de plaisir. C’est alors que mon zeb s’est réveillé et s’est allongé progressivement, en se gonflant et en me chatouillant le bas ventre. Josef, qui me branlait, ayant constaté cela, a avancé un peu pour être au niveau de ma bite qu’il empoignait et doucement, il l’a enfoncée dans son cul. Ce fut une pénétration progressive et formidablement agréable, des sensations multiples ajoutées au spectacle de sa large et douce croupe et de son cul devant moi, entre mes mains.
Ainsi installé sur moi, il pouvait faire ce qu’il voulait, mon zeb était totalement à lui. Éprouvant un sentiment de liberté totale, il s’est déchainé. Et, ainsi qu’il a commencé à danser du cul sur mon zeb. De mon coté j’avais saisi ses hanches et ses fesses dont la rondeur et la douceur étaient incroyables. Il n’y avait pas l’ombre d’un poil, même blond, ni sur ses fesses, ni autour de son anus, j’avais l’impression qu’il s’était rasé auparavant. C’était doux et chaud au toucher et tellement tentant et affolant que je ne pouvais plus le supporter à ma vue. Alors, je lui ai proposé de reprendre sa position initiale, face à moi et rapidement il se positionna de nouveau. Il rigolait et ses yeux brillaient de malice, je ne sais pas s’il avait comprit le pourquoi de ma demande. J’avais maintenant ses seins de jeune fille et son zeb, face à moi, et je pouvais m’en saisir. Il a continué ses vas et viens horizontaux et verticaux de son cul sur mon zeb et moi je pouvais lui masser les seins et branler son zeb gonflé et tendu et qui se balançait érotiquement à cause de ses vas et viens. Alors je l’ai saisi pour le branler avec énergie, et il devenait, de plus en plus, gonflé et dur et cette sensation m’excitait.
On est resté ainsi pendant longtemps, et plusieurs fois. Il haletait fort, je ne sais pas si c’est à cause de son zeb que je branlais ou de son cul qui dansait sur ma bite. Toujours est-il il haletait et son souffle devenait rauque et bruyant. Il murmurait je ne sais quoi et soudain, son zeb explosa de sa première éjaculation. Elle alla directement, une partie sur mon visage et l’autre sur ma poitrine. La seconde éjaculation et la troisième tombèrent sur ma poitrine et il hurlait de jouissances. Je ressentais même sur mon zeb que son cul vibrait par des sussions fortes. Puis il s’arrêta mais de son zeb, suintait encore un mince filet de sperme qui n’avait plus de force. J’aurais bien voulu le sucer et nettoyer son zeb mais ma position était difficile car il était assis sur mon bas ventre. Les pulsations de son cul à cause des jets de sperme, ont agit sur mon zeb, plongé dans son cul et ont amplifié son désir. Cela provoqua un gonflement et un allongement supplémentaire à ma dite et Josef reçut ces réaction comme jouissances qui le firent s’agiter encore et augmenter le son de ses hurlements de jouissances, surtout à chacune de ses descentes et enfoncements de son cul sur mon zeb. Ces pénétrations profondes me donnaient la sensation de les posséder, lui et son cul, totalement. Et le plaisir arrivait en vitesse avec ses agréables picotements et chatouillis et qui annonçait ses éjaculations. Je l’ai averti mais il a continué sa danse rapide et puissante sur mon zeb. Et soudain, mes couilles se sont libérées. Trois jets se suivant, presque en continu, abondantes, délicieuses, jouissantes. Nous avons hurlé ensemble à chaque jet, il était resté le cul bien assis sur mon bas ventre. De plus, il ajouta des pressions internes du cul sur mon zeb, des sortes de sussions de son fond, sans bouger de l’extérieur, sauf lors des trois éjaculations. Je me suis senti vidé par ces sussions internes de sa Terma, jeune et passionnée et qui se donnait à fond.
Ensuite, il est resté immobile, attendant mes désirs. Je lui ai libéré le cul et il s’allongea à coté de moi. Bizarrement, ma bite, souvent si faible et courbée après les éjaculations, était cette fois ci, au contraire, encore debout et dure, et secouée de petits chocs délicieux qui irradiaient sur tout mon bas ventre. Je crois que c’est le fond du cul de Josef, chaud et doux qui a stimulé mon zeb de rester debout. De plus, je ressentais aussi, par derrière, mon anus qui frétillait agréablement. J’avais donc du plaisir devant par mon zeb et derrière dans mon anus, et c’était la première fois que cela m’arrivait. Il m’était arrivé quant mon cul était satisfait d’un zeb qui le remplissait d’avoir aussi mon zeb qui bandait et même éjaculait par plaisirs mixtes. Maintenant j’éprouve la même chose de mon zeb vers mon cul. J’étais très peu étonné de voir cela, et heureusement, cela a duré un long moment durant le quel nous avons communié dans un plaisir et des jouissances continus. Puis Josef s’est retiré et s’est allongé à mon coté, souriant, satisfait de la prestation de son cul sur mon zeb.
Mais, après un long moment où nous reprenions nos souffles haletants, ma bite commençait à fléchir et s’allonger courbée sur ma cuisse. Josef m’a dit qu’il avait été satisfait de mon zeb mais qu’il en avait encore envie. Seulement, je ne sais pas si ma bite était encore capable de le satisfaire. Et pour m’exciter, j’avais besoin de voir et toucher sa formidable croupe blonde et dodue, lisse et douce et sans un semblant de poil à l’anus. Alors je lui ai demandé de me tourner le dos et me tendre sa croupe, et c’est fit immédiatement. Encore une fois, j’ai été ébloui et conquis par sa terma et je me suis collé à elle et à son dos. J’ai caressé sa croupe et je me suis penché pour lui donner plusieurs baisers et lècheries, elle était si douce et et pleine de vie que je recommençais à m’exciter et j’ai ressentis que mon zeb s’était réveillé et recommençait à bander, à se gonfler et à s’allonger. Sa terma est magique, en tout cas pour moi, car à ses simples vision et contacts, mon désir explosait. De plus, j’avais réussi à glisser ma bite entre ses cuisses par derrière, et ses sensations s’amplifiaient, il avait envie immédiate de gouter encore le cul de Josef, mon ami. J’ai saisi mon zeb et rapidement, en écartant ses fesses avec l’autre main, j’ai cherché son anus que j’ai immédiatement repéré. Mon zeb s’est glissé dans sa bouche qui frétillait puis s’est enfoncé complètement jusqu’aux couilles qui chatouillaient ses fesses.
Je remuais un peu du bassin, ainsi mon zeb, s’est bien installé dans son cul. Et il a réagit immédiatement en s’allongeant un peu mieux sur le ventre et en soulevant légèrement sa croupe, quémandant une nouvelle sodomie. J’étais prêt ainsi que mon zeb, alors je suis monté sur mon ami qui a aussi écarté ses jambes et cuisses. A genoux sur le lit, ma bite déjà dans le cul de mon ami, j’ai attendu quelques secondes pour admirer le tableau qui m’enchantait toujours. Cette sorcière, et belle croupe, large, au touché soyeux et doux, dodue à merveille, se développant de part et d’autre par ses formidables fesses et ses fortes hanches, enfin, cet anus rose, jeune et élastique qui palpitait en s’ouvrant et s’écartant si agréablement, une scène érotique qui finit toujours par emballer ma bite déjà à l’œuvre. Alors, je l’ai pénétré avec conviction et désir jusqu’à entendre mes couilles claquer sur ses fesses, et en hurlant de jouissances. J’avais l’impression que mon zeb s’est encore gonflé quant je l’ai enfoncé brutalement dans ce doux nid sexuel. Son fond était doux et chaud, délicieusement humide et enveloppait agréablement la totalité de mon zeb gonflé à l’extrême.
J’avais la sensation que j’allais éjaculer tout de suite, tellement c’était formidable et jouissif. Heureusement, ce ne fut pas le cas tout de suite. Et j’ai recommencé à le sodomiser de cette façon pendant une vingtaine de vas et viens, certains agressifs et rapides et d’autres plus lents, plus tendus mais encore très jouissifs. D’ailleurs à chaque remontée, recul de mon zeb, j’avais la sensation que j’allais éjaculer mais j’ai réussi à me maitriser. Josef qui était très participatif du cul, remuait de la croupe pour mieux jouir, mais ses mouvements n’étaient pas coordonnés avec les miens et cela me gênait.et m’empêchait de mieux bouger avec mon zeb. Je lui ai demandé de s’arrêter de bouger, mais il m’a répondu qu’il ne commandait plus sa terma dès l’enfoncement de mon zeb, et il continua à danse avec mon zeb. J’ai été un peu freiné dans mon excitation et mon zeb s’est aussi un peu affaibli dans son cul. Alors j’ai décidé de changer la position e cette sodomie. Puisqu’il aimait bouger et danser avec mon zeb, autant à revenir à la précédente position. Alors je me suis redressé puis allongé de nouveau sur le lit. Josef a lancé un fort rire de joie, donc il désirait encore cela. Puis il s’est relevé, et a genoux à coté de moi, il a d’abord saisi mon zeb pour lui redonner sa vigueur. Sa large croupe bien tendue était encore juste à portée de ma vue et de mes mains et j’ai recommencé à la caresser et enfoncer mes doigts dans son anus.
Josef tenait toujours mon zeb et le branlait avec force, puis il s’est penché pour me sucer un moment. Sa croupe encore tendue était un régal pour ma vue et mes mains et mon zeb a fait un bond pour se regonfler et s’allonger. Josef, constatant que ma bite était à point, se releva et s’assit, le cul sur mon bas ventre, me tournant le dos. Puis il se redressa un peu et réussi à pointe mon zeb sur son anus et l’enfonça facilement dans son cul. Puis il s’assit carrément, les fesses sur mes cuisses et mon zeb au fin fond de son cul. Ce fut, encore une fois, magique, merveilleuse agréable et jouissif, il a vraiment un cul délicieux qui vous étourdit presque de plaisir. Puis il recommença tout de suite à danser sur moi en branlant mon zeb avec son cul. Je l’ai laissé faire un bon moment puisque c’est lui qui avait désiré cette seconde sodomie. Après un long moment où il a utilisé toute sa jeune expérience pour bien frotter soncul sur mon zeb, j’ai constaté qu’il ralentissait. Je savais qu’il ne pouvait pas tenir ce rythme trop longtemps. Alors j’ai décidé de l’aider.
Sa croupe était devant moi, alors j’ai saisis ses hanches et, mes épaules bien à plat sur le matelas, j’ai soulevé légèrement ma croupe pour bouger mon bassin et surtout pouvoir donner des coups de reins à la terma de Josef. Aux premiers coups, il a compris et s’est soulevé légèrement pour me donner l’espace à mes mouvements. Et j’ai démarré une longue série rapide et puissante de vas et viens de mon zeb dans son cul. Mes coups de reins étaient puissants, presque brutaux et Josef criait sa joie en rythme à mes coups. Moi je soufflais fort et haletait autant. Sachant que je tiendrais pas longtemps, j’ai accéléré et à chaque enfoncement j’allais le plus profond possible et chaque fois avec un petit coup supplémentaire en f in de course. Cela augmentait mes jouissances et affolait le cul de Josef. Les muscles de mon bas étaient tendus à fond, et rapidement, le plaisir montait dans mon zeb. Soudain j’ai eu une idée folle.
Soudain je l’ai repoussé pour se remettre rapidement debout et moi aussi. Puis je l’a aplati contre et face au mur à coté de la porte. Je l’ai obligé avec autorité à se pencher au maximum et à écarter ses cuisses et jambes. Puis, j’ai empoigné mon zeb encore gonflé et dur et j’ai fouillé dans le sillon de ses fesses. Trouvant l’ouverture de son anus, j’ai enfoncé mon zeb jusqu’aux couilles et j’ai recommencé la sodomie. C’était aussi inédit mais très suggestif et excitant. Le tenant par les hanches, je le sodomisais debout, je bombardais son cul, avec rapidité et puissance, et mes vas et viens faisaient vibrer tout son corps. Parfois, il vacillait, arrivant difficilement à rester debout et penché. Et, debout contre le mur, je l’ai sodomisé une seconde fois, dans cette position follement inédite. Je l’entendais qui haletait et gémissait de jouissances et moi, je l’étais encore plus, mes « hans …han.. » lors des enfoncements de mon zeb étaient autant de désirs que d’excitations pour nous deux.
Mais cette méthode était si excitante et violente qu’il n’a fallu que vingt ou trente vas et vient pour m’amener au top. Une première giclée tellement puissante que mon coup de rein a jeté Josef, tête contre le mur et il a crié. Je ne sais pas si c’était pour mon éjaculation ou pour le coup sur sa tête. En tout cas, la seconde giclée, identique à l’autre fut expédiée immédiatement mais je me suis retenu un peu dans mon coup de rein, puis il y a eu une suite de deux ou trois plus faibles et apaisantes. Quant ça s’est calmé, je me sentais très fatigué et j’arrivais difficilement à rester debout. Mais je restais tendu et collé à lui qui restait penché et les cuisses et jambes largement écartées. Enfin, j’ai réussi à accepter de sortir mon zeb de son formidable cul magique et si accueillant. Un petit de sperme continuait, légèrement à suinter de mon zeb. De même, son anus rose et assez ouvert, palpitait toujours et du sperme blanchâtre en sortait avec abondance. Il glissait entre ses fesses et sur ses cuisses. Ensuite je suis allé à la salle de bain pour finir les restes de sperme et me nettoyer le zeb.
Ensuite, difficilement sur mes pieds, j’ai fui vers le salon pour m’écrouler sur le grand canapé. Josef, certainement aussi épuisé que moi, m’a rejoint immédiatement sur le canapé et en me repoussant il s’est écroulé à mon coté. Je pensais qu’il était presque étourdi, mais je me trompais. Me repoussa sur le coté, il se glissa, son dos et sa Terma collés contre mon bas ventre et mon zeb affaibli et il frottait un peu sa croupe contre moi. Ce n’était pas possible, il était encore à cran et me provoquait. Sa croupe était encore chaude et douce et mon zeb, excité, recommençait à s’allonger et se durcir. J’étais assez étonné et il s’était bien recroquevillé contre ma poitrine et mon bas ventre. J’ai allongé mon bras autour de lui, au moins pour nous empêcher de glisser au sol, puis une de mes jambes autour de sa hanche. Aussi tôt, mon zeb entra directement en contact avec le sillon de ses fesses. Rapidement, il devint assez dur pour piquer son anus. Alors, il glissa une main entre nous, empoigna mon zeb et très vite, il trouva ce qu’il cherchait et, il l’enfonça dans son cul.
Puis il remua un peu sa croupe pour bien installer mon zeb. C’était une position et une sensation agréable, confortable, alors nous sommes restés assez longtemps ainsi. Je sentais que mon zeb ne se dégonflait pas, au contraire, il me donnait d’agréables sensations de jouissances. J’avais même la sensation que petit à petit les prémisses de nouvelles éjaculations chatouillaient déjà mon bas ventre, même si on restait totalement immobiles. Et je n’ai pas pu résister. Alors, je l’ai poussé à s’allonger complètement, le ventre sur le canapé, comme tout à l’heure avant la sodomie debout, et je suis monté sur lui. J’étais totalement sur lui, sur ses fesses et son dos, le zeb cherchait son anus. Je l’ai aidé avec ma main en écartant ses fesses, d’ailleurs il avait compris et soulevait légèrement sa croupe. Une répétition de notre précédente sodomie sur le lit. Sa terma et son cul sont vraiment insatiables, pourvu que mon zeb réussisse l’examen. Dès que mon zeb à trouvé l’anus, il s’est glissé facilement à l’intérieur du cul, jusqu’aux couilles. Je suis resté un long moment ainsi, faisant gouter à mon ami et à son cul, le plaisir de la pénétration et de la présence du gros zeb dans ses entrailles. Mon zeb vibrait tout seul à cause de la chaleur du cul et me poussait à réagir, mais je suis resté immobile, quoique ce fut très difficile.
Soudain, sans action de ma part, j’ai éjaculé fortement d’une rasade énorme qui a obligé mes reins à donner un choc involontaire aux fesses de mon ami. Puis, un second jet aussi puissant et agréable que le premier et avec un coup de reins, puis un troisième identique. Je hurlais à chaque éjaculation et essayais de rester collé aux fesses de Josef. Enfin, ça s’est calmé, mais Josef, malgré le sperme qui emplissait ses entrailles en voulait encore. Alors, de l’intérieur de son cul, inondé de sperme, continuait sa méthode de sussions alternatives qui serraient puis desserraient ma bite et recommençait plusieurs fois. Il voulait me sucer et me vider le maximum de jus, et c’était assez agréable, mais je ne pouvais donner que je possédais dans mes couilles. Mon bassin tout entier vibrait sans que je puisse le maitriser, et enfin, Josef arrêta ses sussions internes et petit à petit, mon zeb se calma. Je suis resté un moment sur la croupe de mon ami, puis, le souffle calmé, je me suis dégagé, sortant mon zeb du cul rempli de sperme. J’ai essayé de m’allonger à coté mais il n’y avait pas assez de place, alors je me suis écroulé sur le tapis du salon.
J’ai écarté les fesses de Josef pour bien observer mon sperme qui sortait de son anus et coulait doucement vers ses cuisses. Ce tableau, de la large croupe blonde et soyeuse, de son anus rose et du sperme blanc et visqueux était affolant. Alors, je me suis redressé et accroupi devant le canapé, j’ai léché les fesses et l’anus de mon ami et aussi sur le bas des cuisses. J’ai avalé mon propre sperme et nettoyé à fond toute la croupe. Josef, dès la première sensation de ma langue et ma bouche gémissait de plaisir. Je lui traduisais ainsi que son corps était un cadeau merveilleux pour moi, mais qu’il sera aussi une proie délicieuse pour les amants suivants. Les hommes dont les zeb bandaient déjà dès qu’ils voyaient sa large croupe qui balançait, qui oscillait quant il marchait, allaient maintenant se régaler, après que je l’ai dépucelé pour eux. Tout cela, j’ai essayé de le lui murmurer à l’oreille par à-coups et il en rigolait de contentement, pensant à son avenir sexuel multiforme. Puis nous nous sommes relevés pour allers nous laver correctement aux toilettes.
J’ai préféré prendre une douche rapide tout en me lavant correctement, e ce fut suffisant. Lui aussi a décidé de prendre une longue et chaude douche savonnée pour se laver convenablement. Je savais qu’il lui faudrait du temps et je désirais retourner à la cité car j’avais du travail sur ma table, alors je me suis rhabillé. Quant il est revenu des toilettes, joliment nu, il a été surpris et déçu que je le quitte. Il a protesté énergiquement, presque en pleurant, mais moi j’étais décidé de ne pas oublier mon travail pour ce soir. Je lui ai fait des promesses pour les jours suivants et je l’ai quitté. J’ai acheté un casse croute pour la nuit au cas où le restaurant de la cité aurait fermé, puis j’ai pris un taxi et une demi heure plus tard, j’étais dans ma chambre.

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