Terma 127:Assia et l’erreur fatale de son gentil époux (2) : - histoire érotique

De retour à la maison, je voyais que mon mari était songeur et ne disait plus un mot. Après le diner, il est allé directement se coucher alors que d’habitude, il passait un bon moment au salon, devant la télé. Quant j’ai fini ma vaisselle et ma toilette, je me suis couchée à ses cotés sur le lit, et j’ai essayé de le caresser, mais il ne réagissait pas et ronflait même légèrement. Je savais qu’il ne dormait pas, donc il était fâché de mon aventure et faire la tête était sa manière de me le dire. Mais j’ai décidé de baiser coute que coute avec lui, ce soir, peut-être pour me faire pardonner ou avoir la conscience en partie tranquille. Alors, complètement nue sur le lit, et en le forçant, j’ai sorti sa bite du pyjama et commencé à le branler puis à le sucer. Malgré lui, son zeb a réagi et en quelques minutes, il s’est réveillé, gonflé et durci à point pour moi. Alors, j’ai poussé mon mari sur le dos, puis j’ai retiré son pantalon et je me suis allongée sur lui. Il fermait encore les yeux mais son zeb était prêt, alors je l’ai enfoncé dans ma chatte et j’ai commencé à danser sur lui par mes vas et viens. Je n’étais pas véritablement excitée mais j’avais la volonté de l’obliger à réagir. Et après cinq minutes, le désir a obligé mon mari à réagir et à participer.
Il a ouvert les yeux, m’a empoigné les hanches et commencé ses coups de reins. Puis j’ai changé de position, en m’allongeant dos sur le lit et lui s’est couché sur moi. Ainsi on a baisé pendant encore dix à quinze minutes et j’ai réussi à avoir deux orgasmes moyens avant qu’il n’arrive aux trois éjaculations moyennes qui m’ont rempli la chatte. Ensuite il a couru aux toilettes et cinq minutes plus tard, bien nettoyé, il est revenu pour se recoucher, me tournant le dos, comme à son habitude. Moi, j’avais bouché ma chatte avec un large morceau de toile pour éviter de polluer les draps, ensuite je suis allé me vider au bidet puis me doucher chaudement et revenir me coucher à coté de mon mari. Mais pendant toute la baise et ma douche, je n’arrivais pas à oublier le gros zeb de l’homme et parfois mon corps vibrait non pas grâce à la bite de mon mari mais aux souvenirs des sensations que j’avais eue au ciné. Je suis restée longtemps à y rêver avant de m’endormir.
Le lendemain, dès que mon mari m’avait déposée à la fac, vers 8h, j’avais décidée de m’absenter pour faire un tour du coté du ciné dans l’espoir de retrouver mon homme et son zeb. J’étais très excitée et affamée, j’avais une envie folle de son zeb et j’arrivais difficilement à empêcher ma main d’aller se fourrer dans ma chatte. J’ai confié à ma copine mes affaires sauf mon sac presque vide et elle m’a promis de pointer à ma place et de prendre une copie du polycop pour moi. Ensuite j’ai pris un taxi et dix minutes plus tard j’étais au centre ville. Puis je me suis dirigé vers la zone des cinés porno et rapidement. Arrivé devant le ciné, je n’ai pas osé y entrer seule, alors je suis en face, vers le café où mon mari, attablé, m’avait attendu pendant que je baisais et niquais avec l’homme. Je me suis souvenu que l’homme m’avait murmuré à l’oreille que, si je le désirais, il sera toujours dans ce café. A l’intérieur il ya avait quelques hommes mais pas celui que je cherchais.
Mais j’ai remarqué la plaque « billard » à droite et je suis descendu. Il ya avait trois hommes qui jouaient autour de la grande table et grâce à la chance des amoureux, mon homme était parmi eux. Ma chatte m’a lancé une onde qui a fait vibrer tout mon corps. Il m’a vite reconnue et s’est approché en souriant, je l’ai saisi par le bras et poussé vers les escaliers, sans un mot et il m’a suivi sans résister. Traversant le café, nous avons passé la rue vers le ciné, il a dit quelque chose que je n’ai pas saisie, mais j’ai crié « les billets ! vite ! ». Il a payé et nous sommes entré, puis dans la semi obscurité, il a choisi le milieu d’une rangée vide vers fond de la salle. A l’écran c’était le summum du sexe, images et bruits érotique et de jouissances sans retenue. Un gros zeb s’acharnait dans un large cul d’une femme ou d’un homme, je n’ai pas bien vu mais ça gémissait et hurlait de plaisir et les frottements des sexes faisaient des sifflements érotiques qui ont amplifiés l’excitation de ma chatte. Avant même de m’assoir, j’ai plongé sur son gros zeb qu’il avait déjà sorti et commencé à branler.
Bien empoigné dans mes mains, il était dur, gonflé et follement excitant. Je l’ai enfourné dans ma bouche et commencé à le lécher et le sucer tout en le branlant. Restée penchée sur lui, j’ai réussi à enlever mon pantalon et mon slip pour le jeter dans mon sac. Deux minutes seulement pour lubrifier son zeb avec ma salive puis penchée devant l’homme, les mains sur le dossier devant j’ai abaissé mon bassin sers son zeb et je l’ai accueilli dans ma chatte. Mon mouvement a été rapide et le gros zeb n’a eu aucune peine à s’enfoncer totalement dans ma chatte jusqu’aux couilles. Pour gouter pleinement le remplissage de ma chatte par ce zeb dont j’ai depuis hier, je suis restée un instant immobile, puis je me suis soulevée pour commencer à danser sur lui. Il m’a laissé faire pendant une dizaine de vas et viens, puis il s’est allongé complètement sur son dossier pour bien soulever et dégager son bassin et me donner lui aussi des coups de reins à son aise. Je soufflais et haletais déjà et il n’a suffi que quelques mouvements supplémentaire pour arriver à me donner mon premier orgasme que j’ai presque hurlé.
Il a continué à me baiser avec vigueur et même violence car il avait aussi descendu son pantalon sur ses chevilles. Je l’entendais pousser des « han » de désir à chacun de ses coups de reins pour s’enfoncer tout au fond de mes entrailles et me secouait contre le siège devant. Et après encore une autre vingtaine de vas et viens, il a réussi à m’offrir un second orgasme plus continu et plus agréables que le premier. Le sol, entre nous, doit être maintenant, complètement inondé de ma cyprine. J’avais fermé les yeux au début mais maintenant j’ai décidé de les ouvrir pour jouir aussi de l’écran érotique. Et c’est ainsi que j’ai remarqué que nous n’étions plus tout seuls. Il y avait un autre homme, debout très près de moi, à ma droite, pantalon et slip descendus sur ses chevilles et qui se branlait fortement le zeb en l’air et qui était aussi gros que celui de mon homme mais plus brun presque sombre.
Malgré que ma chatte fût remplie par mon homme, ce nouveau zeb m’a aussi immédiatement plu par sa grosseur monstre. Mais à ma gauche, il y avait aussi un autre homme, debout et qui se branlait comme l’autre mais avec un zeb moins gros. Juste après ma chatte s’est déclenchée par un troisième orgasme que m’a fait redresser un peu et hurler de jouissances. Et c’est à cet instant que mon homme est arrivé à son top et m’a crocheté violemment les hanches pour éjaculer fortement par trois fois et plus. Puis il s’est retiré et j’en ai profité pour me retourner vers lui et saisir son zeb et le happer dans ma bouche. J’ai recommencé à le sucer et le nettoyer et aspirer ses restes de sperme. J’étais maintenant penchée sur lui mais ma croupe était dressée derrière juste à la hauteur de l’autre homme qui se branlait.
Il n’a pas résisté et m’a touché la croupe avec son zeb. J’ai envoyé mon autre main avec appel vers lui et il m’a aidé à saisir son gros zeb. Puis, comme ma chatte était encore remplie de sperme qui commençait à couler sur mes cuisses, j’ai préféré diriger son zeb vers mon anus. Dès que zeb a touché la bouche de mon cul, l’homme a poussé à fond et son zeb s’est enfoncé totalement dans mon cul. Alors, il m’a saisi les hanches et son zeb a commencé à danser ses vas et viens dans mon cul. Je me suis mieux positionnée pour bien gouter son zeb en moi et déjà les sensations agréables de ma terma avaient démarrées. Ma main libérée, je l’ai envoyée sous moi, dans ma chatte, et à travers le sperme qui coulait, j’ai caressé le zeb de l’homme à travers la fine peau qui séparait mes deux sexes. Il a réagi à mon touché et il a appuyé encore plus ses coups de reins.
Je pouvais toucher une bonne partie de son gros zeb qui me remplissait le cul et je sentais qu’il réagissait à mes contacts à chaque fois et vibrait agréablement. Pendant ce temps, je suçais et nettoyais le zeb de mon homme. J’ai relevé la tête pour voir mon homme dont je suçais le zeb, et j’ai été surprise de voir qu’il souriait largement et m’a même fait un clin d’œil complice. Le gars derrière avait vraiment un gros zeb qui m’écartait et me remplissait pleinement le cul. Ses frottements étaient très jouissantes t j’essayais moi aussi de remuer de la croupe pour bien toucher le fond de mes entrailles. Il est même arrivé à me donner un orgasme fort qui m’a fait lancer un long gémissement et a inondé ma main dans ma chatte.
J’étais très heureuse d’être venue pour baiser et pour me remplir le cul. Enfin, l’homme derrière moi arriva à son summum et, accroché à mes hanches il éjacula par trois fois avec un coup de rein violent chaque fois. J’étais presque étourdi au point que j’ai abandonné le zeb de mon homme par devant. Puis l’inconnu s’est retiré de mon cul et a du partir rapidement. Revenu à moi, je me suis retourné pour essayer de lui sucer aussi le zeb mais il avait disparu.
Alors je me suis accroupi pour vider mon cul et ma chatte sur le sol. Ensuite, le cul nu, je me suis assis à ma place. Mon homme avait aussi remonté son pantalon et remis son zeb dans sa braguette. A la demande de mon homme si j’étais contente j’ai répondu que j’en redemandais encore, alors il m’a dit de remettre mes vêtements et de le suivre dehors. Trois minutes plus tard, habillés, on est revenu au café et descendu à la salle du billard où il ne restait qu’un homme qui jouait seul. Mon homme a discuté avec lui et je voyais qu’il opinait en souriant et en me regardant, donc ils parlaient de moi. Ensuite, mon homme m’a demandé de suivre son copain qui a prit ma main et nous sommes remonté, tous les deux, dans le café.
J’ai compris que mon homme m’offrait à son copain comme une pute. J’ai préféré penser qu’il m’offrait son copain à moi, comme cadeau, c’est moins frustrant. Je l’ai suivi, il a discuté avec le gars qui tenait la réception et qui lui a remis une clé et nous sommes montés à l’étage par un escalier, au fond à gauche. Il y avait quatre portes au premier et il a ouvert la dernière, au fond et nous sommes entrés dans une grande chambre remplie principalement d’un grand lit au milieu. Il a commencé à se déshabillé et j’en ai fait autant et rapidement je me suis trouvée, couchée nue le dos sur le lit et les jambes et cuisses bien largement écartées pour offrir ma chatte à cet inconnu. Il avait déjà un zeb bien gonflé, tendu et assez gros, comme ou même plus que celui de mon homme.