Terma 129:Assia et l’erreur fatale de son gentil époux (4) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 129:Assia et l’erreur fatale de son gentil époux (4) :
Il m’a bien prise en mains et les vas et viens de sa grosse bite étaient même violents et rapides. Il haletait au dessus de moi et je recevais son souffle rauque et rapide en pleine figure. Moi aussi, je suis entré en jouissances et ma respiration s’accélérait de plus en plus. J’étais déjà préparée avant de venir et mon excitation s’amplifiait de plus en plus et rapidement j’ai eu mon premier orgasme et j’ai hurlé mes jouissances, alors que l’homme ne ralentissait même pas ses mouvements. A un certain moment, alors que son souffle rauque augmentait de volume, l’homme grommelait quelques mots que je n’ai pas compris mais ses « han ! han ! » acharnés et rauques et presque contre mon visage m’ont excitée de nouveau et j’essayais de remuer mon bassin pour participer. Malgré que sa grosse bite me remplissait le vagin, je ressentais nettement ses vas et viens internes et mes jouissances recommençaient encore plus sensibles qu’auparavant. Et ce qui devait arriver arriva très vite et mon second orgasme mouillé, abondant et bien hurlé me fit soulever le bassin et tout le corps vers l’homme pour mieux me pénétrer. Ce fut si violent et presque un choc que je perdis conscience un long moment.
Quant j’ai repris mes esprits, j’entendais l’homme hurler et ses mains accrochaient avec violences mes hanches et un coup de reins me cloua sur le matelas en même temps qu’une abondante éjaculation m’inonda les entrailles. Puis il hurla de nouveau en lâchant une autre bordée de sperme, puis il resta collé à moi et le corps bien tendu. Enfin il s’écroula sur moi et pesa sur ma poitrine et sur mon bas ventre. Je me sentais bien, un plaisir continu, irradiant envahissait tout mon corps et pour mieux le gouter j’ai entouré les reins de l’homme avec mes jambes et cuisses. Je l’ai un peu secoué et il semble se réveiller puisqu’il se décolla de moi, mais sa bite resta dans ma chatte. Je ressentais qu’elle semblait encore aussi dure et gonflée malgré le sperme qui coulait en partie de ma chatte. Il se redressa encore mieux et son zeb sortit de ma chatte qui laissa échapper en abondance le sperme. L’homme resta un bref moment redressé au dessus de moi, tenant et secouant sa bite encore longue et brillante de nos jus. Il la branla deux ou trois fois puis, avec un « han » aussi brusque et bruyant que les précédents, il l’enfonça dans ma chatte. Il avait encore envie de moi. Il me pénétra entièrement jusqu’aux couilles, et en vitesse car ma chatte était encore largement ouverte et bien lubrifiée par nos jus.
Puis il redémarra ses vas et viens, d’abord doucement, peut-être gêné par le sperme qui sortait en sifflant de ma chatte, puis il accéléra de plus en plus. Et ses coups de reins qui collaient brutalement son bas ventre contre le mien recommencèrent à m’exciter. Sa fougue sexuelle m’excitait de plus en plus. Et mon souffle s’accéléra de nouveau alors qu’il reprenait ses « han » de bûcheron à chaque coup de rein et que sa bite me pénétrait tout au fond, je la ressentais presque dans mon ventre. Et le plaisir et les jouissances recommencèrent, l’homme semblait être affamé, affolé, il n’a même pas soufflé un moment après sa première baise. Je savais qu’il désirait me baiser dès la première fois qu’il m’avait vu avec le copain de mon homme. Mais surtout, tout à l’heure, en montant les escaliers derrière moi, j’étais certaine qu’il bandait dur en observant les oscillations de ma croupe qui dansait devant ses yeux. La pression de sa main sur ma croupe était le signe qu’il avait une envie folle de moi.
Ces images érotiques doivent hanter, en permanence, sa mémoire et agir sur sa bite comme elles agissaient aussi sur moi-même. J’imaginais sa grosse dite qui gonflait de plus en plus, en montant les escaliers et s’il n’avait pas été sur de m’avoir juste après, il m’aurait violé sur le palier de l’étage. J’en ressentais un plaisir total et des jouissances partout, j’étais heureuse d’être ainsi désirée. Cette seconde fois, j’avais l’impression et la sensation qu’il me baisa avec plus de fureur et de désir qu’auparavant. Et ainsi, il réussi à m’offrir deux autres orgasmes encore étourdissants et abondants que tout à l’heure. Il continuait ses vas et viens furieux et rapides, et quant il arriva enfin à ses éjaculations, je réussi à relever un peu mon bassin et à rester entièrement soudée à son bas ventre. Et à chaque éjaculation abondante, il ajouta un coup de reins violent qui nous faisait hurler en concert, nos jouissances communes. Ensuite, après ses trois jets de sperme, il resta collé et enfoncé en moi, puis, épuisé, il s’écroula sur ma poitrine et contre mon bas ventre. Cette fois j’étais restée assez consciente, et j’ai gouté cette étreinte à fond. Les ondes de plaisir qui faisaient vibrer tout les membres de mon corps ne se dissipèrent que lentement prolongeant mes jouissances à l’extrême.
Ensuite, il se secoua et sortit sa bite de ma chatte, puis il s’écroula à coté de moi, le dos sur le matelas. J’ai jeté un coup d’œil sur son zeb, il était encore impressionnant, gros, assez long et brillant de sperme et de cyprine et sa vue m’excita de nouveau. Alors, soulevée sur un coude, je l’ai empoigné à pleines mains, constatant qu’il était effectivement encore dur et doux à la fois. Alors, je me suis rapprochée sur son bas ventre et j’ai englouti le gros zeb dans ma bouche pour prendre mon plaisir, le sucer, le lécher et le branler. J’étais heureuse, car j’avais de la chance, ce zeb que je n’avais pas choisi était à la hauteur de mes espoirs. J’en voulais encore et encore tellement il m’affolait. Je le voulais, je le désirais encore mais dans mon cul. Alors Je me suis mise à genoux sur le matelas tout en le branlant et le suçant et j’ai tendu ma croupe vers l’homme. Il n’a pas hésité et sa main s’est tendue pour me caresser la croupe et chercher mon anus qu’il trouva tout de suite et pour y introduire un doigt. Mon cul était humide désir et l’homme commença à me branler avec son doigt puis deux doigts et cela amplifia mon excitation.
Alors, j’ai tortillé de la croupe pour bien ressentir ces doigts indiscrets et surtout pour signifier à l’homme que cela me plaisait. Alors il s’est soulevé et s’est positionné derrière moi. La tête sur le matelas et le cul bien en l’air, jambes et cuisses écartées, j’attendais avec impatience ce gros zeb qui me plaisait tant. Rapidement il trouva le chemin de mon anus et me pénétrer, s’enfonçant dans mon cul jusqu’aux couilles. Son bas ventre claqua contre mes fesses et ce bruit et ce contact me donnèrent un complément de plaisir. Surtout les sensations des poils du pubis masculin qui me chatouillèrent les fesses, amplifièrent mes désirs et mes jouissances. L’homme commença ses vas et viens avec violence et, tenant mes hanches à pleines mains, il m’encula à fond, autant que je le voulais, je l’encourageais par mes cris, mes gémissements et quelques mots d’encouragements. Comme tout homme, il a aimé me niquer au cul et me donner autant de plaisir sinon plus que par devant dans ma chatte. Notre sodomie dura plus longtemps que la baise et il semble que nous étions beaucoup plus acharnés, passionnés et son zeb m’a offert encore deux orgasmes mouillés où j’ai hurlé mes jouissances, sans retenue. Il a continué à m’enculer jusqu’à l’arrivée de son plaisir. Cette fois j’ai assisté à l’arrivée de ses éjaculations car il s’est accroché à mes hanches et collé son bas ventre contre mes fesses, puis il s’est vidé les couilles en hurlant de jouissances.
Puis il s‘est retiré et s’est écroulé sur le lit. Moi je suis restée encore un moment, à genoux et le cul en l’air, pendant que le sperme suintait un peu entre mes fesses et vers mes cuisses. L’image de ma croupe a du encore faire de l’effet, car il s’est redressé et a collé sa bouche contre mes fesses et sur mon anus. Il m’a léché et sucé l’anus et sa langue m’a même pénétrée ainsi que deux doigts qui ont récupéré du sperme. Puis il a léché et sucé le sperme de ses doigts. J’étais accroupie, à genoux et je le regardais par en dessous. Je voyais qu’il semblait aimer le gout de son sperme. Il était donc différents des autres hommes qui m’ont pénétré et éjaculé en moi. Celui semblait être amateur de sperme, il continuait à sucer ses doigts puis plongea encore sa bouche sur mon cul et même sur ma chatte par en dessous car il y avait encore du sperme en elle. J’ai bien écarté les cuisses et gonflé la croupe pour l’aider à sucer et avaler le maximum.
Ensuite, je me suis retournée et rapprochée encore une fois de son zeb que j’ai pris dans ma bouche pour le sucer mais aussi l’aspirer au maximum pour en tirer les restes de sperme. Alors, j’en ai gardé dans ma bouche, puis je me suis rapproché de lui comme pour l’embrasser. Il m’a tendu sa bouche et j’y ai collé la mienne, puis avec ma langue j’ai poussé le sperme de ma bouche vers lui. Il l’a senti et compris alors il s’est laissé faire et a avalé tout ce qu’il pouvait. Ensuite, on s’est nettoyé un peu dans le coin bidet et lavabo. Quant j’ai terminé, il était déjà rhabillé et m’a remerciée pour tout et aussi pour le sperme qu’il a avalé. Puis il m’a montré la petite table de chevet sur laquelle je voyais des billets de banque, puis il est sorti. Mais, juste avant de fermer la porte il m’a demandé si je désirais un second client.
D’abord ça m’a surpris car je n’avais jamais eu à l’esprit cette histoire de client. Mais j’ai réagi et j’ai refusé en hochant la tête et l’homme est parti. Je me suis rhabillée tout n réfléchissant à la proposition de l’homme mais j’ai pris l’argent que j’ai comptée. C’était la première fois que je recevais de l’argent pour avoir été baisée et enculée. J’ai accepté cela car j’ai d’abord pensé que pour aujourd’hui, mon rôle était clair, j’étais une putain et c’était normal qu’on me paye. J’avais un fort besoin sexuel et mon homme était absent, alors j’ai profité de la demande du gars de la réception. Il savait que j’avais mon homme, mais il avait vu que mon homme m’avait offert à son copain, et dans une chambre de cet hôtel. Il a donc pensé que je pouvais me donner à d’autres, comme lui, moyennant un peu d’argent ; comme une putain. Et comme il avait flippé sur ma croupe, il s’était proposé, donc tout me paraissait logique et presque naturel, mais cela me posait un problème, ce n’était pas ce j’avais prévu.
Ensuite j’ai quitté l’hôtel pour rejoindre le restaurant de la cité car il était midi passée. J’ai pris un léger lunch avec ma copine, puis nous avons suivi ensemble les cours de l’après midi. Mon mari est venu me prendre vers 17h, nous sommes passés à la grande surface pour quelques provisions avant de rejoindre notre maison. Ce n’est que lorsque je fus dans la chambre pour enlever mes vêtements avant d’aller me laver et me doucher, alors que mon mari était déjà dans la salle de bain, que mes pensées étaient revenues à cette histoire de putain. J’étais nue et le sperme était encore séché sur et entre mes fesses ainsi que sur et entre mes cuisses, bien visible, et je commençais à me sentir honteuse, gênée. Et c’est juste à ce moment que mon mari, revenait de la salle de bain pour prendre son pyjama sur lequel j’avais jeté mon sac.
Pendant un instant j’ai été affolée, le feu au visage, car il a prit en mains mon sac dans lequel j’avais mis l’argent de mon adultère et le mouchoir pollué de sperme que, par négligence, j’avais oublié de jeter à l’hôtel. Ce fut un instant qui remettait en cause toutes mes actions depuis ces derniers jours. Mais il me tendait mon sac au lieu de l’ouvrir et j’ai recommencé à respirer. Mais j’étais tellement énervée que j’ai mal tenu le sac et son contenu s’était renversé par terre, et les billets d’argent s’étaient éparpillés sur le sol. Mon mari s’est baissé pour les ramasser et il a vu que ce n’était le gente que je recevais parfois de lui ou de mon père. Il les a comptés pendant que je restais debout, nue et pétrifiée devant lui. Il a levé la tête vers moi pour demander des explications. J’étais incapable de répondre et tout en palpant de nouveau les billets comme s’il les recomptait, il s’aperçut du mouchoir par terre et il se baissa pour le ramasser et le palper. C’était facile de reconnaitre du sperme, beaucoup de sperme séché, les tâches jaunâtres et collantes aux doigts. Il avait déjà compris mais il les renifla aussi pour se confirmer, puis il leva encore la tête comme pour me demander des explications. J’étais tellement abattu que je ne pouvais ni parler ni même me tenir sur mes jambes, alors je me suis assise sur le bord du lit. Il avait le regard fixé sur mes cuisses et il se rapprocha pour bien voir les tâches de sperme séché qui les polluaient. Il avança encore et de la main, il palpa mes cuisses et les écartant, il alla plus loin et constata ainsi, clairement les restes de ma forfaiture.
Soudain et avec violence, il me poussa sur le lit où je m’étalais dos sur les draps, nue et cuisses ouvertes. J’étais effrayée car il s’approcha encore plus près de moi et j’attendais la correction car j’étais sure qu’il allait me battre. Mais, à ma grande surprise, il se pencha sur moi et sa tête plongea sur mon bas ventre, puis entre mes cuisses, sur ma chatte. Je l’entendais renifler un peu puis sa langue commença à me lécher la chatte. J’étais stupéfaite mais rassurée espérant qu’il continue ainsi. Et en effet, sa langue alla vers mes cuisses pour lécher les tâches de sperme séché et continua par-dessous entre elles et retourna à ma chatte. Je l’entendais lécher avec bruit, la respiration forte et saccadée et les gestes rapides, presque violents. Ses mains avaient empoignées avec force mes cuisses pendant que sa tête s’agitait entre elles. Je me sentais rassurée mais toujours étonnée et j’ai posé mes mains sur ses cheveux pour aider à ses mouvements de lècheries. Il grommelait, puis soudain il releva la tête et se redressa.
Quant j’ai repris mes esprits, j’entendais l’homme hurler et ses mains accrochaient avec violences mes hanches et un coup de reins me cloua sur le matelas en même temps qu’une abondante éjaculation m’inonda les entrailles. Puis il hurla de nouveau en lâchant une autre bordée de sperme, puis il resta collé à moi et le corps bien tendu. Enfin il s’écroula sur moi et pesa sur ma poitrine et sur mon bas ventre. Je me sentais bien, un plaisir continu, irradiant envahissait tout mon corps et pour mieux le gouter j’ai entouré les reins de l’homme avec mes jambes et cuisses. Je l’ai un peu secoué et il semble se réveiller puisqu’il se décolla de moi, mais sa bite resta dans ma chatte. Je ressentais qu’elle semblait encore aussi dure et gonflée malgré le sperme qui coulait en partie de ma chatte. Il se redressa encore mieux et son zeb sortit de ma chatte qui laissa échapper en abondance le sperme. L’homme resta un bref moment redressé au dessus de moi, tenant et secouant sa bite encore longue et brillante de nos jus. Il la branla deux ou trois fois puis, avec un « han » aussi brusque et bruyant que les précédents, il l’enfonça dans ma chatte. Il avait encore envie de moi. Il me pénétra entièrement jusqu’aux couilles, et en vitesse car ma chatte était encore largement ouverte et bien lubrifiée par nos jus.
Puis il redémarra ses vas et viens, d’abord doucement, peut-être gêné par le sperme qui sortait en sifflant de ma chatte, puis il accéléra de plus en plus. Et ses coups de reins qui collaient brutalement son bas ventre contre le mien recommencèrent à m’exciter. Sa fougue sexuelle m’excitait de plus en plus. Et mon souffle s’accéléra de nouveau alors qu’il reprenait ses « han » de bûcheron à chaque coup de rein et que sa bite me pénétrait tout au fond, je la ressentais presque dans mon ventre. Et le plaisir et les jouissances recommencèrent, l’homme semblait être affamé, affolé, il n’a même pas soufflé un moment après sa première baise. Je savais qu’il désirait me baiser dès la première fois qu’il m’avait vu avec le copain de mon homme. Mais surtout, tout à l’heure, en montant les escaliers derrière moi, j’étais certaine qu’il bandait dur en observant les oscillations de ma croupe qui dansait devant ses yeux. La pression de sa main sur ma croupe était le signe qu’il avait une envie folle de moi.
Ces images érotiques doivent hanter, en permanence, sa mémoire et agir sur sa bite comme elles agissaient aussi sur moi-même. J’imaginais sa grosse dite qui gonflait de plus en plus, en montant les escaliers et s’il n’avait pas été sur de m’avoir juste après, il m’aurait violé sur le palier de l’étage. J’en ressentais un plaisir total et des jouissances partout, j’étais heureuse d’être ainsi désirée. Cette seconde fois, j’avais l’impression et la sensation qu’il me baisa avec plus de fureur et de désir qu’auparavant. Et ainsi, il réussi à m’offrir deux autres orgasmes encore étourdissants et abondants que tout à l’heure. Il continuait ses vas et viens furieux et rapides, et quant il arriva enfin à ses éjaculations, je réussi à relever un peu mon bassin et à rester entièrement soudée à son bas ventre. Et à chaque éjaculation abondante, il ajouta un coup de reins violent qui nous faisait hurler en concert, nos jouissances communes. Ensuite, après ses trois jets de sperme, il resta collé et enfoncé en moi, puis, épuisé, il s’écroula sur ma poitrine et contre mon bas ventre. Cette fois j’étais restée assez consciente, et j’ai gouté cette étreinte à fond. Les ondes de plaisir qui faisaient vibrer tout les membres de mon corps ne se dissipèrent que lentement prolongeant mes jouissances à l’extrême.
Ensuite, il se secoua et sortit sa bite de ma chatte, puis il s’écroula à coté de moi, le dos sur le matelas. J’ai jeté un coup d’œil sur son zeb, il était encore impressionnant, gros, assez long et brillant de sperme et de cyprine et sa vue m’excita de nouveau. Alors, soulevée sur un coude, je l’ai empoigné à pleines mains, constatant qu’il était effectivement encore dur et doux à la fois. Alors, je me suis rapprochée sur son bas ventre et j’ai englouti le gros zeb dans ma bouche pour prendre mon plaisir, le sucer, le lécher et le branler. J’étais heureuse, car j’avais de la chance, ce zeb que je n’avais pas choisi était à la hauteur de mes espoirs. J’en voulais encore et encore tellement il m’affolait. Je le voulais, je le désirais encore mais dans mon cul. Alors Je me suis mise à genoux sur le matelas tout en le branlant et le suçant et j’ai tendu ma croupe vers l’homme. Il n’a pas hésité et sa main s’est tendue pour me caresser la croupe et chercher mon anus qu’il trouva tout de suite et pour y introduire un doigt. Mon cul était humide désir et l’homme commença à me branler avec son doigt puis deux doigts et cela amplifia mon excitation.
Alors, j’ai tortillé de la croupe pour bien ressentir ces doigts indiscrets et surtout pour signifier à l’homme que cela me plaisait. Alors il s’est soulevé et s’est positionné derrière moi. La tête sur le matelas et le cul bien en l’air, jambes et cuisses écartées, j’attendais avec impatience ce gros zeb qui me plaisait tant. Rapidement il trouva le chemin de mon anus et me pénétrer, s’enfonçant dans mon cul jusqu’aux couilles. Son bas ventre claqua contre mes fesses et ce bruit et ce contact me donnèrent un complément de plaisir. Surtout les sensations des poils du pubis masculin qui me chatouillèrent les fesses, amplifièrent mes désirs et mes jouissances. L’homme commença ses vas et viens avec violence et, tenant mes hanches à pleines mains, il m’encula à fond, autant que je le voulais, je l’encourageais par mes cris, mes gémissements et quelques mots d’encouragements. Comme tout homme, il a aimé me niquer au cul et me donner autant de plaisir sinon plus que par devant dans ma chatte. Notre sodomie dura plus longtemps que la baise et il semble que nous étions beaucoup plus acharnés, passionnés et son zeb m’a offert encore deux orgasmes mouillés où j’ai hurlé mes jouissances, sans retenue. Il a continué à m’enculer jusqu’à l’arrivée de son plaisir. Cette fois j’ai assisté à l’arrivée de ses éjaculations car il s’est accroché à mes hanches et collé son bas ventre contre mes fesses, puis il s’est vidé les couilles en hurlant de jouissances.
Puis il s‘est retiré et s’est écroulé sur le lit. Moi je suis restée encore un moment, à genoux et le cul en l’air, pendant que le sperme suintait un peu entre mes fesses et vers mes cuisses. L’image de ma croupe a du encore faire de l’effet, car il s’est redressé et a collé sa bouche contre mes fesses et sur mon anus. Il m’a léché et sucé l’anus et sa langue m’a même pénétrée ainsi que deux doigts qui ont récupéré du sperme. Puis il a léché et sucé le sperme de ses doigts. J’étais accroupie, à genoux et je le regardais par en dessous. Je voyais qu’il semblait aimer le gout de son sperme. Il était donc différents des autres hommes qui m’ont pénétré et éjaculé en moi. Celui semblait être amateur de sperme, il continuait à sucer ses doigts puis plongea encore sa bouche sur mon cul et même sur ma chatte par en dessous car il y avait encore du sperme en elle. J’ai bien écarté les cuisses et gonflé la croupe pour l’aider à sucer et avaler le maximum.
Ensuite, je me suis retournée et rapprochée encore une fois de son zeb que j’ai pris dans ma bouche pour le sucer mais aussi l’aspirer au maximum pour en tirer les restes de sperme. Alors, j’en ai gardé dans ma bouche, puis je me suis rapproché de lui comme pour l’embrasser. Il m’a tendu sa bouche et j’y ai collé la mienne, puis avec ma langue j’ai poussé le sperme de ma bouche vers lui. Il l’a senti et compris alors il s’est laissé faire et a avalé tout ce qu’il pouvait. Ensuite, on s’est nettoyé un peu dans le coin bidet et lavabo. Quant j’ai terminé, il était déjà rhabillé et m’a remerciée pour tout et aussi pour le sperme qu’il a avalé. Puis il m’a montré la petite table de chevet sur laquelle je voyais des billets de banque, puis il est sorti. Mais, juste avant de fermer la porte il m’a demandé si je désirais un second client.
D’abord ça m’a surpris car je n’avais jamais eu à l’esprit cette histoire de client. Mais j’ai réagi et j’ai refusé en hochant la tête et l’homme est parti. Je me suis rhabillée tout n réfléchissant à la proposition de l’homme mais j’ai pris l’argent que j’ai comptée. C’était la première fois que je recevais de l’argent pour avoir été baisée et enculée. J’ai accepté cela car j’ai d’abord pensé que pour aujourd’hui, mon rôle était clair, j’étais une putain et c’était normal qu’on me paye. J’avais un fort besoin sexuel et mon homme était absent, alors j’ai profité de la demande du gars de la réception. Il savait que j’avais mon homme, mais il avait vu que mon homme m’avait offert à son copain, et dans une chambre de cet hôtel. Il a donc pensé que je pouvais me donner à d’autres, comme lui, moyennant un peu d’argent ; comme une putain. Et comme il avait flippé sur ma croupe, il s’était proposé, donc tout me paraissait logique et presque naturel, mais cela me posait un problème, ce n’était pas ce j’avais prévu.
Ensuite j’ai quitté l’hôtel pour rejoindre le restaurant de la cité car il était midi passée. J’ai pris un léger lunch avec ma copine, puis nous avons suivi ensemble les cours de l’après midi. Mon mari est venu me prendre vers 17h, nous sommes passés à la grande surface pour quelques provisions avant de rejoindre notre maison. Ce n’est que lorsque je fus dans la chambre pour enlever mes vêtements avant d’aller me laver et me doucher, alors que mon mari était déjà dans la salle de bain, que mes pensées étaient revenues à cette histoire de putain. J’étais nue et le sperme était encore séché sur et entre mes fesses ainsi que sur et entre mes cuisses, bien visible, et je commençais à me sentir honteuse, gênée. Et c’est juste à ce moment que mon mari, revenait de la salle de bain pour prendre son pyjama sur lequel j’avais jeté mon sac.
Pendant un instant j’ai été affolée, le feu au visage, car il a prit en mains mon sac dans lequel j’avais mis l’argent de mon adultère et le mouchoir pollué de sperme que, par négligence, j’avais oublié de jeter à l’hôtel. Ce fut un instant qui remettait en cause toutes mes actions depuis ces derniers jours. Mais il me tendait mon sac au lieu de l’ouvrir et j’ai recommencé à respirer. Mais j’étais tellement énervée que j’ai mal tenu le sac et son contenu s’était renversé par terre, et les billets d’argent s’étaient éparpillés sur le sol. Mon mari s’est baissé pour les ramasser et il a vu que ce n’était le gente que je recevais parfois de lui ou de mon père. Il les a comptés pendant que je restais debout, nue et pétrifiée devant lui. Il a levé la tête vers moi pour demander des explications. J’étais incapable de répondre et tout en palpant de nouveau les billets comme s’il les recomptait, il s’aperçut du mouchoir par terre et il se baissa pour le ramasser et le palper. C’était facile de reconnaitre du sperme, beaucoup de sperme séché, les tâches jaunâtres et collantes aux doigts. Il avait déjà compris mais il les renifla aussi pour se confirmer, puis il leva encore la tête comme pour me demander des explications. J’étais tellement abattu que je ne pouvais ni parler ni même me tenir sur mes jambes, alors je me suis assise sur le bord du lit. Il avait le regard fixé sur mes cuisses et il se rapprocha pour bien voir les tâches de sperme séché qui les polluaient. Il avança encore et de la main, il palpa mes cuisses et les écartant, il alla plus loin et constata ainsi, clairement les restes de ma forfaiture.
Soudain et avec violence, il me poussa sur le lit où je m’étalais dos sur les draps, nue et cuisses ouvertes. J’étais effrayée car il s’approcha encore plus près de moi et j’attendais la correction car j’étais sure qu’il allait me battre. Mais, à ma grande surprise, il se pencha sur moi et sa tête plongea sur mon bas ventre, puis entre mes cuisses, sur ma chatte. Je l’entendais renifler un peu puis sa langue commença à me lécher la chatte. J’étais stupéfaite mais rassurée espérant qu’il continue ainsi. Et en effet, sa langue alla vers mes cuisses pour lécher les tâches de sperme séché et continua par-dessous entre elles et retourna à ma chatte. Je l’entendais lécher avec bruit, la respiration forte et saccadée et les gestes rapides, presque violents. Ses mains avaient empoignées avec force mes cuisses pendant que sa tête s’agitait entre elles. Je me sentais rassurée mais toujours étonnée et j’ai posé mes mains sur ses cheveux pour aider à ses mouvements de lècheries. Il grommelait, puis soudain il releva la tête et se redressa.
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