Terma 122 : Mes deux voisines et leurs cocus de maris (2) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 122 : Mes deux voisines et leurs cocus de maris (2) :
Le soir vers 20h, après le départ au travail de nuit de son mari, j'ai rejoins Douja dans sa chambre. Et immédiatement, nous avons commencé à baiser. Et pendant une heure, j'ai fais plaisir à sa chatte qui a réussi trois orgasmes abondamment mouillés et bruyants. Et puis, mon zeb a éjaculé par trois grosses éjaculations qui m’ont vidées les couilles et hurler de jouissances. Ensuite, elle est allée se nettoyer et quant elle est revenue, elle m'a sucé le zeb pour le nettoyer mais aussi parce qu’elle en avait envie. Moi, j’étais pour car sa douche est toujours chaude et moelleuse et ça échauffe mon zeb. Elle n'avait pas besoin de trop me branler car il était encore debout, dur et toujours prêt à l’œuvre. Alors, on y est allé pour une sodomie. Je l'ai enculée pendant un long quart d'heure et j'ai encore éjaculé dans sa terma.
Ensuite, comme sa croupe était devant moi et suintait de mon sperme, j’ai eu envie de la gouter. Alors, c'est moi qui ai léché son cul et sa terma par envie et pour nettoyer mon propre sperme. C’était très excitant de lécher ses belles fesses et quant je découvrais son anus, rose et palpitant, la tentation a été encore plus forte et dans mon bas ventre, mon zeb s’est réveillé de nouveau et durcissait rapidement. Elle m’a dit que mes lècheries lui ont donné d’agréables sensations dans son anus et qu’elle s’excitait de nouveau. Alors, elle gonflait et tendait sa croupe et, de ses mains, elle écartait ses fesses. Je n’ai pas résisté, alors j'ai enfoncé de nouveau mon zeb dans son anus et défoncé son cul, et je l'ai encore enculée longtemps. Je criais de plaisir et elle hurlait en agitant sa croupe et nos souffles étaient affolés. Après un long moment, les jouissances montaient et montaient à me faire trembler le bas ventre. Mon plaisir allait venir, alors j’ai pensé à sa bouche, sa belle et chaude bouche et ses lèvres pulpeuses et j’ai retiré mon zeb de son cul.
Et j’ai retourné Douja pour lui offrir mon zeb gonflé et luisant comme un monstre et, devinant mon désir, elle l’a enfoncé dans sa bouche. Elle a commencé à me lécher et sucer avec vigueur, comme une affamée. J’étais au zénith des jouissances, mon corps, affamé lui aussi, se tendait vers sa bouche. Mon zeb était dur comme du fer et gonflé à me faire mal, un mal de jouissances. Et au moment ou ma première éjaculation pénétrait, avec puissance, dans sa bouche et s’enfonçait dans sa gorge, on frappa à la porte comme hier. Nous ne pouvions pas arrêter la puissance des autres jets de sperme et Douja ne pouvait pas répondre à cause de mon zeb qui lui obstruait la bouche. Alors, c’est moi qui a crié un grand oui, long et bruyant pour répondre. Il ya eu encore plusieurs coups discrets sur la porte pendant que mon zeb se calmait de ses éjaculations. Puis j’ai retiré mon zeb et Douja s’est levée, en léchant le sperme de ses lèvres, elle a mit en urgence sa nuisette et est allée ouvrir.
C'était encore kheira, la voisine. Il parait que son mari, ivre, l'a encore jetée dehors ce soir. Mais elle riait à gorge déployée, alors elle nous a avoué que c’est elle qui a provoqué la colère de son mari. Tout simplement, elle avait encore envie de mon gros zeb gonflé et dur, comme elle dit. Donc, elle a poussé son mari à se chauffer et là la pousser dehors, dans sa saoulerie. Il savait qu’elle allait dormir chez la voisine qui était seule. Mais Kheira savait qu’elle allait y trouver un gros zeb et une chatte, de sa copine à sa disposition. Ensuite, comme à son habitude rapide, elle s'est mise nue et m’a rejoint sur le lit. Rapidement, Douja sauta aussi sur le lit et tous les trois on s’est allongé pour nous caresser mutuellement. Kheira, comme hier soir, s’intéressait surtout à mon zeb, car elle était assoiffée de baise, et elle a commencé à sucer et secouer passion mon gros zeb. Ses mouvements oscillants et érotiques, doivent l’exciter et à moi aussi, ce qui le faisait gonfler encore plus et échauffer mon bas ventre. Elle sait comment faire la kheira. Et comme à son habitude autoritaire, elle oublia Douja et prit possession de mon zeb. Hier soir, nous lui avions donné la priorité car elle était nouvelle, mais ce soir, c’est elle qui a décidé.
Alors, jambes et cuisses relevées et largement ouvertes, elle me cria "achtaar ! Souti raha takoul fya ! Tafili nari ! Achtaar" (vite ! ma chatte me chatouille ! éteint mon feu ! vite !). Mon zeb était debout, horizontal et frétillait, alors je l’ai plongé, avec vigueur, presque brutalement et profondément dans sa chatte, jusqu'à ce que mes couilles claquent sur ses cuisses. Puis, j’ai démarré une série rapide et endiablée de vas et viens de mon zeb dans sa vulve. Elle hurlait sans retenu "Nikni ! Nikni ! Echah fi zaouji ! Ag3arli souti !wayli wayli ! bi zebek lakhchine !" (Baises moi ! baises moi ! tant pis à mon mari ! exploses moi ma chatte ! wayli wayli ! avec ton gros zeb !). Alors, j'ai encore accéléré et, en quelques minutes, elle a réussi au moins trois orgasmes tellement allongés qu'ils semblaient continus. Elle hurlait « Echah fik ya Si jawzi bou garn ! » (Tant pis pour toi, mon mari encorné !) et encore « ya Si La7cène bou zeb ki bouchoune ! » (Si La7cène au zeb comme un bouchon !). Elle s’arrêta un moment pour souffler car elle haletait avec une respiration rapide, et poussait son bas ventre contre moi pour mieux gouter les assauts de mon zeb.
Puis elle ajouta « chouf e’zeb r’jal ! ki dabbouz ! yag3ar fi souti ! ma yadhichach ! chouf ! Aaaahhh ! » (Vois le zeb des hommes ! comme un gourdin ! qui défonce ma chatte ! jamais fatigué ! regardes ! Aaaahhh !). Elle était déchainée, pourtant on a baisé hier soir, mais c’est une femme naturellement aimant le sexe mais qui était tombé sur un mari tout le contraire. Maintenant, avec nous, elle se venge et se donne au maximum. Moi, en tout cas j’en profite car elle a une chatte du tonnerre, chaude et profonde et elle aime s’exprimer, ce qui augmente notre désir. Et je continuais mes coups de reins et de zeb dans ses entrailles. Et elle continuait à hurler de jouissances, sans arrêt, surtout quant elle a eu ses orgasmes. Mais elle me dépensait beaucoup, alors, à un moment, je suis arrivé à mon plaisir. Je ne voulais éjaculer dans sa chatte, par prudence, donc j’ai voulu sortir mon zeb mais elle m'a demandé de me vider dans sa chatte « tayar ! tayar ! n’7ab zannate zboub rjaal ! » (éjacules ! éjacules ! j’aime le sperme des zeb virils !).
Alors, j’ai encore foncé et forcé mon zeb par des coups de reins encore plus rapides et immédiatement, mes trois et quelques éjaculations explosèrent pour lui remplir les entrailles. A chaque jet, accompagné d’un fort coup de reins, je hurlais le cri de la délivrance et elle m’accompagnait de son cri de satisfaction. Puis, épuisé, je suis tombé sur ses seins, mon zeb toujours dans son fond. J’essayais de maitriser ma respiration et me calmer et elle aussi. Elle me regardait avec des yeux brillants et souriait de plaisir. Puis elle chercha ma bouche et m’embrassa à pleines lèvres qui sucèrent les miennes et avec passion. J’ai essayé de l’éviter car je ne voulais, en aucun cas, qu’elle me considère beaucoup plus que son baiseur, que celui qui satisfait juste, pas plus, ses désirs sexuels. Pour moi, malgré ses démêlés avec son mari, hélas soulard, il reste son mari, son époux et son premier amoureux. Ils peuvent se réconcilier plus tard sur pas mal d’autres domaines. Moi, je suis juste un gros zeb adroit qui fouille sa chatte et son cul et lui donne des jouissances. Il faut savoir distance garder. Ensuite, allongé à coté d'elle, comme à son habitude, elle m'a sucé et nettoyé le zeb qui restait encore debout, bien dur et gonflé de désir, malgré que moi j’étais assez épuisé mais je récupérais vite mon souffle.
Alors elle m'a demandé, toujours avec autorité, de l'enculer vite car elle voulait, ensuite, retourner chez son mari qui aurait pu avoir des soupçons. Je croyais que, par prudence, elle lui donnait, dans son diner et sa bière, des somnifères qui l’endormaient jusqu’au matin, mais possible que je me trompe pour ce soir. Elle disait cela, peut-être seulement parce qu’elle avait envie de mon zeb dans son cul. Alors, et encore une fois, j'ai empoigné mon zeb et, comme elle s’était mise en position, à genoux sur le lit et sa croupe tendue vers moi, je l'ai enfoncé brutalement dans sa merveilleuse terma. Son cul était aussi chaud et profond que sa chatte, un bon cul pour gros zeb affamés. Rapidement, ma bite s’est affolée au contact de sa chair interne qui continuait à le presser, à le sucer comme elle savait le faire. Et je l'ai enculée avec cris et hurlements de plaisir et mes couilles ont réussi à éjaculer, quoique moins fortement qu'auparavant. Ensuite, elle est allée se nettoyer dans la salle de bain. Puis, elle m’a demandé de l’accompagner à la porte de sa maison, juste à coté de celle de kheira. Elle a vraiment décidé de retourner coucher avec son mari, allez comprendre cette femme. Et elle est rentrée, la porte fermée, j'ai attendu devant pendant un moment car j'avais peur que son mari soit réveillé pour la frapper ou la rejeter encore une fois, dehors. Mais tout va bien, la maison restait silencieuse et après un moment, rassuré, je suis retourné chez Douja.
Allongé sur le lit avec Douja, elle m'a branlé, sucé et réchauffé le zeb. Pendant ce temps je lui léchais et suçais parfois les lèvres de sa chatte et parfois j’allais à son anus et ses fesses. Quant elle a ressenti que mon zeb redevenait dur et prêt, elle m'a fait allonger dos sur le matelas, avec mon zeb, debout, vertical. Alors elle s'est assise, à califourchon, sur mon bas ventre, et face à moi. Ensuite elle empoigna mon zeb et avança un peu, puis elle le guida et l’enfonça dans sa chatte et s'assoit totalement sur lui, enfoncé complètement jusqu'aux couilles. Et elle commença à remuer de la croupe pour branler mon zeb dans sa chatte. C'était formidable, elle me baisait le zeb avec sa chatte en feu. Pendant un long moment, elle dansa sur mon zeb, les mains sur ma poitrine, les yeux fermées et les seins qui balançaient en rythme. Elle a réussi à se donner au moins trois orgasmes abondamment mouillés dans sa chatte et sur mon bas ventre.
Et malgré les sensations de jouissances sur tout mon corps et surtout mon zeb, j’ai essayé de rester immobile pour ne pas troubler sa fête. Même quant elle avait un orgasme et s’écroulait sur ma poitrine, je restais de marbre. Puis, rapidement elle se redressait et reprenait sa danse sexuelle et répétait quant un autre orgasme la secouait. Enfin, ce fut mon zeb qui ne résista plus à la danse de sa chatte. Alors, quant il commença à me chatouiller sérieusement, j'ai commencé à participer aux vas et viens de Douja par quelques coups de reins, des chocs brusques mais violents, qui ajoutaient à l’enfoncement de mon zeb dans ses entrailles. Enfin, j’ai bloqué ses hanches de mes mains, et l’immobilisant, j'ai éjaculé dans son cul. Mes trois jets de sperme lui ont rempli la chatte et les entrailles. Ensuite, elle retira sa chatte de mon zeb et, sans attendre, elle préféra aller se nettoyer dans la salle de bain. Rapidement, elle revint s'allonger de nouveau, à coté de moi, ventre sur lit. Il n’y avait plus de sperme qui sortait de sa chatte et ses cuisses étaient nettes. Elles les écartaient volontairement et savait que la vue de sa chatte et de ses larges fesses étaient une vraie tentation pour moi. Effectivement, rapidement ce tableau érotique a eu son effet sur mes sensations, et surtout sur mon zeb qui refusait de se coucher.
Alors je suis monté sur elle. Oui, je me suis couché sur son dos et sur sa terma. Et très rapidement, au contact de cette formidable et douce chair, mollement abandonnée au plaisir, mon zeb a cherché son anus. Et, en vitesse, il s’est enfoncé dans son cul. Son anus s’était ouvert comme une bouche affamée et mon zeb a pu s’enfoncer jusqu'aux couilles, arrêté seulement par mon bas ventre contre les larges fesses de Douja. Et je l’ai niquée, à ma guise et à mon aise, doucement pendant un long moment et elle restait immobile, presque endormie, goutant la présence de mon gros zeb qui lui remplissait le cul. Le plaisir montait petit à petit, agréablement, puis j’ai même réussi à éjaculer un peu, pas aussi abondant que les autres fois, mais je lui ai, quant même, rempli le cul. Puis je suis resté couché sur son dos et sa terma, avec mon zeb toujours à l'intérieur de son cul. Je crois que nous nous sommes endormis ainsi, pendant, environ, deux bonnes heures. Je la soupçonne même de s’être endormi avant moi, alors même que mon zeb éjaculait dans son cul. Satisfaite et en sécurité dans son lit conjugal, son mari au travail, elle pouvait gouter la plénitude du plaisir et du repos.
Quant je me suis réveillé, mon zeb s’était recroquevillé et sorti de son cul. Il était tout gluant de sperme, alors je suis allé à la salle de bain pour me nettoyer et même me doucher pour bien me réveiller. Un moment après, Douja m’a rejointe pour se vider le cul de mon sperme sur le bidet, puis se doucher avec moi. Sous l’eau, un peu chaude, on s’est enlacé et peloté. J’avais encore envie de ses seins et ses fesses et j’en abusais sous l’eau. Elle aussi m’avait empoigné le zeb pour le branler. Elle me disait que c’était ce qu’elle désirait d’un mari, mais avec le sien, c’était impossible avec son caractère coincé. Moi aussi je trouvais que son mari, même patron, était con et méritait d’être cocu. Car il avait, réellement, une femme avec un corps fait pour l’amour, pour les baises et les sodomies, et il n’en profitait pas, me laissant le remplacer dans ce plaisir agréable et j’en profitais. Ces pensées et les caresses de sa main sur mon zeb m’ont excité et ma bite s’est allongée et durcie, même sous l’eau. Alors, j’ai repris mon zeb et je l’ai poussé entre ses cuisses, vers sa chatte.
Elle a comprit et elle a levé une jambe et écarté sa cuisse. Mon zeb s’est enfoncé rapidement dans sa fente offerte et je l’ai enfoncée jusqu’aux couilles. J’ai poussé et collé Douja contre le mur de la douche, puis je l’ai soulevée en mettant mes deux mains sous ses fesses. Elle a saisi mon geste, alors elle s’est suspendue fortement à mon cou, puis, elle a levé son autre jambe pour entourer mes reins. Je la baisais ainsi, debout, contre le mur. Je l’a tenais bien par ses fesses, et je me suis un peu baissé pour bien encrer mon zeb dans sa chatte. Ainsi, je pouvais bouger et la baiser entièrement, en donnant des coups de reins avec force et facilité. Mes vas et viens claquaient des cuisses sur ses fesses et nos respirations s’affolaient. Je criais des « han ! han ! » avec chaque coup de reins et enfoncement de mon zeb et elle haletait avec bruit en cadence. J’étais étonné d’avoir pu bander de nouveau mais les faits étaient là, j’étais excité par cette position inédite, osée je recommençais à ressentir du plaisir et des jouissances. Elle aussi, semblait éprouver des jouissances car elle haletait avec bruit et vitesses et serrait mes reins avec ses jambes comme pour enfoncer encore plus mon zeb dans sa chatte. Elle grognait même de plaisir car elle a eu au moins deux forts orgasmes hurlés et mouillés qui coulaient le long de mes cuisses.
Et juste au moment où mon plaisir allait jaillir de mon zeb, elle a hurlé un dernier orgasme. Et j’ai réussi à éjaculer, dans cette position debout, par trois fois, avec abondance et un long gémissement continu, en me collant à fond contre ses fesses et la soutenant avec force et désir. Mais, rapidement, je n’en pouvais plus, alors, doucement, avec précautions, je l’ai déposée, ses pieds sur le sol. Mon zeb était sorti de sa chatte et pulsait encore des restes de sperme. Elle l’a vu et s’est accroupi pour le saisir et elle l’a englouti pour le sucer et le nettoyer. Elle s’était accroupie, et après quelques instants, elle s’est vidée de mon sperme sur le sol de la douche arrêtée. Mon zeb, devenu complètement mou et pendait lourdement et elle continuait à le sucer et le branler inutilement. Ensuite on s’est réellement douchés et lavés complètement, puis nous sommes retournés dans la chambre.
Elle avait entouré son corps d’une grande serviette mais moi je restais, séché mais complètement nu. Mon zeb, ramolli mais toujours assez long, balançait à droite et à gauche quant le marchais. Ces mouvements, à cause de sa lourdeur, étaient érotiques et m’excitaient. J’y pensais beaucoup et cela le réveillait de plus en plus et rapidement, il se raidissait et s’allongeait, et il s’était gonflé avant même d’arriver au lit. Douja l’a remarqué et, comme elle était toujours au service de ses désirs sexuels, elle a jeté la serviette et s’est assise sur mon bas ventre, me tournant le dos et la croupe face à moi. Elle voulait une dernière sodomie, alors j’ai saisi ses hanches et descendu sa croupe vers mon zeb, redressé en partie et je l’ai frotté sur ses fesses. J’étais fou de la provoquer après toutes les baises que nous avions faites. J’étais certain que je ne pourrais rien faire de positif, juste me frotter sur sa croupe et son anus. Mais moi, c’était mon zeb qui me commandait et je ne pouvais qu’agir selon ses désirs et possibilités. Elle, par contre, je savais qu’elle n’était jamais rassasiée, ni de la chatte ni de la terma. Elle s’est un peu positionnée et mon zeb, en grande partie réveillé, s’est trouvé face à son anus. Je l’ai juste un peu ajusté et je l’ai poussé avec conviction, et il a défoncé son anus facilement.
Elle s’arrangea pour être totalement assise sur mon zeb, puis elle commença à remuer de la croupe et mon zeb jouait facilement dans son cul et le plaisir recommençait à me chatouiller le bas ventre. Je n’en croyais pas mes sens d’être capable encore d’avoir des jouissances et peut-être même d’éjaculer. C’était une position assez pénible pour mes jambes et cuisses, surtout pour moi, assis sur le matelas, mais mon bas ventre recevait les chocs de désir venant de mon zeb. Douja rigolait de voir que je bandais de nouveau et remuait de plus en plus et avec plaisir sa croupe. Elle avançait un peu puis reculait pour amplifier les vas et viens de mon zeb dans son cul et cela semblait l’amuser. Enfin elle est tombée dans son jeu et a reçu un orgasme qui l’a fait hurler et se courber à fond sur le lit, m’offrant encore mieux sa croupe et son cul.
Ensuite, comme sa croupe était devant moi et suintait de mon sperme, j’ai eu envie de la gouter. Alors, c'est moi qui ai léché son cul et sa terma par envie et pour nettoyer mon propre sperme. C’était très excitant de lécher ses belles fesses et quant je découvrais son anus, rose et palpitant, la tentation a été encore plus forte et dans mon bas ventre, mon zeb s’est réveillé de nouveau et durcissait rapidement. Elle m’a dit que mes lècheries lui ont donné d’agréables sensations dans son anus et qu’elle s’excitait de nouveau. Alors, elle gonflait et tendait sa croupe et, de ses mains, elle écartait ses fesses. Je n’ai pas résisté, alors j'ai enfoncé de nouveau mon zeb dans son anus et défoncé son cul, et je l'ai encore enculée longtemps. Je criais de plaisir et elle hurlait en agitant sa croupe et nos souffles étaient affolés. Après un long moment, les jouissances montaient et montaient à me faire trembler le bas ventre. Mon plaisir allait venir, alors j’ai pensé à sa bouche, sa belle et chaude bouche et ses lèvres pulpeuses et j’ai retiré mon zeb de son cul.
Et j’ai retourné Douja pour lui offrir mon zeb gonflé et luisant comme un monstre et, devinant mon désir, elle l’a enfoncé dans sa bouche. Elle a commencé à me lécher et sucer avec vigueur, comme une affamée. J’étais au zénith des jouissances, mon corps, affamé lui aussi, se tendait vers sa bouche. Mon zeb était dur comme du fer et gonflé à me faire mal, un mal de jouissances. Et au moment ou ma première éjaculation pénétrait, avec puissance, dans sa bouche et s’enfonçait dans sa gorge, on frappa à la porte comme hier. Nous ne pouvions pas arrêter la puissance des autres jets de sperme et Douja ne pouvait pas répondre à cause de mon zeb qui lui obstruait la bouche. Alors, c’est moi qui a crié un grand oui, long et bruyant pour répondre. Il ya eu encore plusieurs coups discrets sur la porte pendant que mon zeb se calmait de ses éjaculations. Puis j’ai retiré mon zeb et Douja s’est levée, en léchant le sperme de ses lèvres, elle a mit en urgence sa nuisette et est allée ouvrir.
C'était encore kheira, la voisine. Il parait que son mari, ivre, l'a encore jetée dehors ce soir. Mais elle riait à gorge déployée, alors elle nous a avoué que c’est elle qui a provoqué la colère de son mari. Tout simplement, elle avait encore envie de mon gros zeb gonflé et dur, comme elle dit. Donc, elle a poussé son mari à se chauffer et là la pousser dehors, dans sa saoulerie. Il savait qu’elle allait dormir chez la voisine qui était seule. Mais Kheira savait qu’elle allait y trouver un gros zeb et une chatte, de sa copine à sa disposition. Ensuite, comme à son habitude rapide, elle s'est mise nue et m’a rejoint sur le lit. Rapidement, Douja sauta aussi sur le lit et tous les trois on s’est allongé pour nous caresser mutuellement. Kheira, comme hier soir, s’intéressait surtout à mon zeb, car elle était assoiffée de baise, et elle a commencé à sucer et secouer passion mon gros zeb. Ses mouvements oscillants et érotiques, doivent l’exciter et à moi aussi, ce qui le faisait gonfler encore plus et échauffer mon bas ventre. Elle sait comment faire la kheira. Et comme à son habitude autoritaire, elle oublia Douja et prit possession de mon zeb. Hier soir, nous lui avions donné la priorité car elle était nouvelle, mais ce soir, c’est elle qui a décidé.
Alors, jambes et cuisses relevées et largement ouvertes, elle me cria "achtaar ! Souti raha takoul fya ! Tafili nari ! Achtaar" (vite ! ma chatte me chatouille ! éteint mon feu ! vite !). Mon zeb était debout, horizontal et frétillait, alors je l’ai plongé, avec vigueur, presque brutalement et profondément dans sa chatte, jusqu'à ce que mes couilles claquent sur ses cuisses. Puis, j’ai démarré une série rapide et endiablée de vas et viens de mon zeb dans sa vulve. Elle hurlait sans retenu "Nikni ! Nikni ! Echah fi zaouji ! Ag3arli souti !wayli wayli ! bi zebek lakhchine !" (Baises moi ! baises moi ! tant pis à mon mari ! exploses moi ma chatte ! wayli wayli ! avec ton gros zeb !). Alors, j'ai encore accéléré et, en quelques minutes, elle a réussi au moins trois orgasmes tellement allongés qu'ils semblaient continus. Elle hurlait « Echah fik ya Si jawzi bou garn ! » (Tant pis pour toi, mon mari encorné !) et encore « ya Si La7cène bou zeb ki bouchoune ! » (Si La7cène au zeb comme un bouchon !). Elle s’arrêta un moment pour souffler car elle haletait avec une respiration rapide, et poussait son bas ventre contre moi pour mieux gouter les assauts de mon zeb.
Puis elle ajouta « chouf e’zeb r’jal ! ki dabbouz ! yag3ar fi souti ! ma yadhichach ! chouf ! Aaaahhh ! » (Vois le zeb des hommes ! comme un gourdin ! qui défonce ma chatte ! jamais fatigué ! regardes ! Aaaahhh !). Elle était déchainée, pourtant on a baisé hier soir, mais c’est une femme naturellement aimant le sexe mais qui était tombé sur un mari tout le contraire. Maintenant, avec nous, elle se venge et se donne au maximum. Moi, en tout cas j’en profite car elle a une chatte du tonnerre, chaude et profonde et elle aime s’exprimer, ce qui augmente notre désir. Et je continuais mes coups de reins et de zeb dans ses entrailles. Et elle continuait à hurler de jouissances, sans arrêt, surtout quant elle a eu ses orgasmes. Mais elle me dépensait beaucoup, alors, à un moment, je suis arrivé à mon plaisir. Je ne voulais éjaculer dans sa chatte, par prudence, donc j’ai voulu sortir mon zeb mais elle m'a demandé de me vider dans sa chatte « tayar ! tayar ! n’7ab zannate zboub rjaal ! » (éjacules ! éjacules ! j’aime le sperme des zeb virils !).
Alors, j’ai encore foncé et forcé mon zeb par des coups de reins encore plus rapides et immédiatement, mes trois et quelques éjaculations explosèrent pour lui remplir les entrailles. A chaque jet, accompagné d’un fort coup de reins, je hurlais le cri de la délivrance et elle m’accompagnait de son cri de satisfaction. Puis, épuisé, je suis tombé sur ses seins, mon zeb toujours dans son fond. J’essayais de maitriser ma respiration et me calmer et elle aussi. Elle me regardait avec des yeux brillants et souriait de plaisir. Puis elle chercha ma bouche et m’embrassa à pleines lèvres qui sucèrent les miennes et avec passion. J’ai essayé de l’éviter car je ne voulais, en aucun cas, qu’elle me considère beaucoup plus que son baiseur, que celui qui satisfait juste, pas plus, ses désirs sexuels. Pour moi, malgré ses démêlés avec son mari, hélas soulard, il reste son mari, son époux et son premier amoureux. Ils peuvent se réconcilier plus tard sur pas mal d’autres domaines. Moi, je suis juste un gros zeb adroit qui fouille sa chatte et son cul et lui donne des jouissances. Il faut savoir distance garder. Ensuite, allongé à coté d'elle, comme à son habitude, elle m'a sucé et nettoyé le zeb qui restait encore debout, bien dur et gonflé de désir, malgré que moi j’étais assez épuisé mais je récupérais vite mon souffle.
Alors elle m'a demandé, toujours avec autorité, de l'enculer vite car elle voulait, ensuite, retourner chez son mari qui aurait pu avoir des soupçons. Je croyais que, par prudence, elle lui donnait, dans son diner et sa bière, des somnifères qui l’endormaient jusqu’au matin, mais possible que je me trompe pour ce soir. Elle disait cela, peut-être seulement parce qu’elle avait envie de mon zeb dans son cul. Alors, et encore une fois, j'ai empoigné mon zeb et, comme elle s’était mise en position, à genoux sur le lit et sa croupe tendue vers moi, je l'ai enfoncé brutalement dans sa merveilleuse terma. Son cul était aussi chaud et profond que sa chatte, un bon cul pour gros zeb affamés. Rapidement, ma bite s’est affolée au contact de sa chair interne qui continuait à le presser, à le sucer comme elle savait le faire. Et je l'ai enculée avec cris et hurlements de plaisir et mes couilles ont réussi à éjaculer, quoique moins fortement qu'auparavant. Ensuite, elle est allée se nettoyer dans la salle de bain. Puis, elle m’a demandé de l’accompagner à la porte de sa maison, juste à coté de celle de kheira. Elle a vraiment décidé de retourner coucher avec son mari, allez comprendre cette femme. Et elle est rentrée, la porte fermée, j'ai attendu devant pendant un moment car j'avais peur que son mari soit réveillé pour la frapper ou la rejeter encore une fois, dehors. Mais tout va bien, la maison restait silencieuse et après un moment, rassuré, je suis retourné chez Douja.
Allongé sur le lit avec Douja, elle m'a branlé, sucé et réchauffé le zeb. Pendant ce temps je lui léchais et suçais parfois les lèvres de sa chatte et parfois j’allais à son anus et ses fesses. Quant elle a ressenti que mon zeb redevenait dur et prêt, elle m'a fait allonger dos sur le matelas, avec mon zeb, debout, vertical. Alors elle s'est assise, à califourchon, sur mon bas ventre, et face à moi. Ensuite elle empoigna mon zeb et avança un peu, puis elle le guida et l’enfonça dans sa chatte et s'assoit totalement sur lui, enfoncé complètement jusqu'aux couilles. Et elle commença à remuer de la croupe pour branler mon zeb dans sa chatte. C'était formidable, elle me baisait le zeb avec sa chatte en feu. Pendant un long moment, elle dansa sur mon zeb, les mains sur ma poitrine, les yeux fermées et les seins qui balançaient en rythme. Elle a réussi à se donner au moins trois orgasmes abondamment mouillés dans sa chatte et sur mon bas ventre.
Et malgré les sensations de jouissances sur tout mon corps et surtout mon zeb, j’ai essayé de rester immobile pour ne pas troubler sa fête. Même quant elle avait un orgasme et s’écroulait sur ma poitrine, je restais de marbre. Puis, rapidement elle se redressait et reprenait sa danse sexuelle et répétait quant un autre orgasme la secouait. Enfin, ce fut mon zeb qui ne résista plus à la danse de sa chatte. Alors, quant il commença à me chatouiller sérieusement, j'ai commencé à participer aux vas et viens de Douja par quelques coups de reins, des chocs brusques mais violents, qui ajoutaient à l’enfoncement de mon zeb dans ses entrailles. Enfin, j’ai bloqué ses hanches de mes mains, et l’immobilisant, j'ai éjaculé dans son cul. Mes trois jets de sperme lui ont rempli la chatte et les entrailles. Ensuite, elle retira sa chatte de mon zeb et, sans attendre, elle préféra aller se nettoyer dans la salle de bain. Rapidement, elle revint s'allonger de nouveau, à coté de moi, ventre sur lit. Il n’y avait plus de sperme qui sortait de sa chatte et ses cuisses étaient nettes. Elles les écartaient volontairement et savait que la vue de sa chatte et de ses larges fesses étaient une vraie tentation pour moi. Effectivement, rapidement ce tableau érotique a eu son effet sur mes sensations, et surtout sur mon zeb qui refusait de se coucher.
Alors je suis monté sur elle. Oui, je me suis couché sur son dos et sur sa terma. Et très rapidement, au contact de cette formidable et douce chair, mollement abandonnée au plaisir, mon zeb a cherché son anus. Et, en vitesse, il s’est enfoncé dans son cul. Son anus s’était ouvert comme une bouche affamée et mon zeb a pu s’enfoncer jusqu'aux couilles, arrêté seulement par mon bas ventre contre les larges fesses de Douja. Et je l’ai niquée, à ma guise et à mon aise, doucement pendant un long moment et elle restait immobile, presque endormie, goutant la présence de mon gros zeb qui lui remplissait le cul. Le plaisir montait petit à petit, agréablement, puis j’ai même réussi à éjaculer un peu, pas aussi abondant que les autres fois, mais je lui ai, quant même, rempli le cul. Puis je suis resté couché sur son dos et sa terma, avec mon zeb toujours à l'intérieur de son cul. Je crois que nous nous sommes endormis ainsi, pendant, environ, deux bonnes heures. Je la soupçonne même de s’être endormi avant moi, alors même que mon zeb éjaculait dans son cul. Satisfaite et en sécurité dans son lit conjugal, son mari au travail, elle pouvait gouter la plénitude du plaisir et du repos.
Quant je me suis réveillé, mon zeb s’était recroquevillé et sorti de son cul. Il était tout gluant de sperme, alors je suis allé à la salle de bain pour me nettoyer et même me doucher pour bien me réveiller. Un moment après, Douja m’a rejointe pour se vider le cul de mon sperme sur le bidet, puis se doucher avec moi. Sous l’eau, un peu chaude, on s’est enlacé et peloté. J’avais encore envie de ses seins et ses fesses et j’en abusais sous l’eau. Elle aussi m’avait empoigné le zeb pour le branler. Elle me disait que c’était ce qu’elle désirait d’un mari, mais avec le sien, c’était impossible avec son caractère coincé. Moi aussi je trouvais que son mari, même patron, était con et méritait d’être cocu. Car il avait, réellement, une femme avec un corps fait pour l’amour, pour les baises et les sodomies, et il n’en profitait pas, me laissant le remplacer dans ce plaisir agréable et j’en profitais. Ces pensées et les caresses de sa main sur mon zeb m’ont excité et ma bite s’est allongée et durcie, même sous l’eau. Alors, j’ai repris mon zeb et je l’ai poussé entre ses cuisses, vers sa chatte.
Elle a comprit et elle a levé une jambe et écarté sa cuisse. Mon zeb s’est enfoncé rapidement dans sa fente offerte et je l’ai enfoncée jusqu’aux couilles. J’ai poussé et collé Douja contre le mur de la douche, puis je l’ai soulevée en mettant mes deux mains sous ses fesses. Elle a saisi mon geste, alors elle s’est suspendue fortement à mon cou, puis, elle a levé son autre jambe pour entourer mes reins. Je la baisais ainsi, debout, contre le mur. Je l’a tenais bien par ses fesses, et je me suis un peu baissé pour bien encrer mon zeb dans sa chatte. Ainsi, je pouvais bouger et la baiser entièrement, en donnant des coups de reins avec force et facilité. Mes vas et viens claquaient des cuisses sur ses fesses et nos respirations s’affolaient. Je criais des « han ! han ! » avec chaque coup de reins et enfoncement de mon zeb et elle haletait avec bruit en cadence. J’étais étonné d’avoir pu bander de nouveau mais les faits étaient là, j’étais excité par cette position inédite, osée je recommençais à ressentir du plaisir et des jouissances. Elle aussi, semblait éprouver des jouissances car elle haletait avec bruit et vitesses et serrait mes reins avec ses jambes comme pour enfoncer encore plus mon zeb dans sa chatte. Elle grognait même de plaisir car elle a eu au moins deux forts orgasmes hurlés et mouillés qui coulaient le long de mes cuisses.
Et juste au moment où mon plaisir allait jaillir de mon zeb, elle a hurlé un dernier orgasme. Et j’ai réussi à éjaculer, dans cette position debout, par trois fois, avec abondance et un long gémissement continu, en me collant à fond contre ses fesses et la soutenant avec force et désir. Mais, rapidement, je n’en pouvais plus, alors, doucement, avec précautions, je l’ai déposée, ses pieds sur le sol. Mon zeb était sorti de sa chatte et pulsait encore des restes de sperme. Elle l’a vu et s’est accroupi pour le saisir et elle l’a englouti pour le sucer et le nettoyer. Elle s’était accroupie, et après quelques instants, elle s’est vidée de mon sperme sur le sol de la douche arrêtée. Mon zeb, devenu complètement mou et pendait lourdement et elle continuait à le sucer et le branler inutilement. Ensuite on s’est réellement douchés et lavés complètement, puis nous sommes retournés dans la chambre.
Elle avait entouré son corps d’une grande serviette mais moi je restais, séché mais complètement nu. Mon zeb, ramolli mais toujours assez long, balançait à droite et à gauche quant le marchais. Ces mouvements, à cause de sa lourdeur, étaient érotiques et m’excitaient. J’y pensais beaucoup et cela le réveillait de plus en plus et rapidement, il se raidissait et s’allongeait, et il s’était gonflé avant même d’arriver au lit. Douja l’a remarqué et, comme elle était toujours au service de ses désirs sexuels, elle a jeté la serviette et s’est assise sur mon bas ventre, me tournant le dos et la croupe face à moi. Elle voulait une dernière sodomie, alors j’ai saisi ses hanches et descendu sa croupe vers mon zeb, redressé en partie et je l’ai frotté sur ses fesses. J’étais fou de la provoquer après toutes les baises que nous avions faites. J’étais certain que je ne pourrais rien faire de positif, juste me frotter sur sa croupe et son anus. Mais moi, c’était mon zeb qui me commandait et je ne pouvais qu’agir selon ses désirs et possibilités. Elle, par contre, je savais qu’elle n’était jamais rassasiée, ni de la chatte ni de la terma. Elle s’est un peu positionnée et mon zeb, en grande partie réveillé, s’est trouvé face à son anus. Je l’ai juste un peu ajusté et je l’ai poussé avec conviction, et il a défoncé son anus facilement.
Elle s’arrangea pour être totalement assise sur mon zeb, puis elle commença à remuer de la croupe et mon zeb jouait facilement dans son cul et le plaisir recommençait à me chatouiller le bas ventre. Je n’en croyais pas mes sens d’être capable encore d’avoir des jouissances et peut-être même d’éjaculer. C’était une position assez pénible pour mes jambes et cuisses, surtout pour moi, assis sur le matelas, mais mon bas ventre recevait les chocs de désir venant de mon zeb. Douja rigolait de voir que je bandais de nouveau et remuait de plus en plus et avec plaisir sa croupe. Elle avançait un peu puis reculait pour amplifier les vas et viens de mon zeb dans son cul et cela semblait l’amuser. Enfin elle est tombée dans son jeu et a reçu un orgasme qui l’a fait hurler et se courber à fond sur le lit, m’offrant encore mieux sa croupe et son cul.
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