Terma 126 : Assia et l’erreur fatale de son gentil époux :

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 126 : Assia et l’erreur fatale de son gentil époux : Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 126 : Assia et l’erreur fatale de son gentil époux :
Je suis Assia (22ans) ou plutôt Mme Tarik (28ans) depuis seulement six mois. Rencontrés en facs de lettres, j’étais en 1ere année et lui en fin de licence, on s’est vite aimé et couché ensemble. J’étais vierge et passionnée de sexe depuis que j’ai quitté la maison familiale pour la cité universitaire. Grâce à des copines de fac, j’ai commencé à voir des vidéos de sexe et même quelques revues du genre. Rapidement je fus emballée et quant j’ai rencontré Tarik et qu’il m’a dragué, j’ai rapidement accepté de coucher avec lui. Il était lui aussi un fervent amateur de vidéos porno et de revus du genre. On les regardait ensemble puis on faisait l’amour. Bien sur, je me protégeais pour ne pas avoir d’enfant.
Dès qu’il a eu son diplôme, son père, directeur dans une grande administration lui a procuré un travail. Puis, ayant eu vent de notre relation, et s’étant informé sur ma famille et de mon père, ingénieur dans une usine de gaz, son père a exigé qu’on se marie et ce fut fait rapidement. Il nous a même offert un petit appartement parmi ses biens assez nombreux et aidé son fils à acheter une petite voiture d’occasion. Et on a commencé une vie familiale, mon mari m’amenait à la fac le matin à 8h et venait me prendre vers 16h à la fin de mes cours. Je savais, grâce à ma mère, cuisiner plusieurs variétés de plats et en majorité, on dinait chez nous. Souvent on se promenait en ville, dans les parcs et aux cinémas. On s’embrassait même en public et c’était presque toujours moi qui prenais l’initiative. Même à la maison, nos relations sexuelles, qui étaient très chaudes et variées, étaient souvent de mon initiative et rapidement j’ai constaté que j’avais de l’ascendance en tout sur mon mari qui ne me refusait pratiquement rien. Et tout allait bien entre nous et nos parents respectifs que nous visions, chaque vendredi, pour le déjeuner de 13h et à tour de rôle. Mais tout allait changer à cause de moi mais surtout à cause de la faiblesse de mon mari.
Un samedi après midi, comme d’habitude, on se promenait en ville et en voiture. Puis on a visité, à mon initiative, quelques magasins d’habillements surtout féminins. J’étais assez contente et excitée car il m’avait acheté quelques sous vêtements que j’avais choisi assez osés. Deux slips ficelle couleur chair et cages transparentes par devant et soutiens transparents du même genre. Il était un peu retissant mais il a fini d’accéder à mes désirs, comme d’habitude. Puis nous avions continué notre promenade, mais j’étais très excitée sexuellement et je désirais rentrer chez nous pour faire l’amour. Seulement, en passant dans une grande rue longée de cinémas pornos, j’ai eu l’idée d’y voir un film. Il a d’abord refusé mais, comme d’habitude, il a accepté et on a garé la voiture puis on est entré dans l’un des cinés. Dans le couloir interne, j’ai choisi un des films et on a pénétré la salle puis on s’est assis, un peu en arrière, au milieu d’un rang, apparemment vide. A l’écran c’était torride et j’étais immédiatement excitée, chaude et ma chatte commençait à bruler de désir. Rapidement, on a commencé à s’embrasser et se caresser, ma main sur la braguette gonflée de mon mari et ses mains entre mes cuisses et contre mes seins.
On était ainsi durant un bon moment quant on a senti que quelqu’un s’était approché de nous dans le couloir de la rangée. Je me suis retourné et j’ai vu un homme qui s’était assis deux places plus loin de nous et qui avait sorti sa bite et qui commençait à se branler publiquement. J’ai tout de suite remarqué, grâce à la lumière de l’écran, qu’il avait une longue bite qu’il secouait bien haut et visiblement en nous souriant, comme s’il nous l’offrait. Je me suis retourné vers mon mari qui a décidé qu’on aille ailleurs dans le ciné, mais je n’étais pas entièrement d’accord car ce qui se passait à coté de nous, commençait à m’amuser. L’homme a du se rendre compte de notre différent, c’est pourquoi il nous a chuchoté que ce qu’il faisait était naturel. Je me suis encore tourné vers lui et il a ajouté que c’était le moment, dans ce ciné, d’oser faire des expériences de sexe publiquement. Et tout en agitant sa bite de manière érotique, il m’a encore chuchoté de venir le sucer. J’étais choquée et me retournant vers mon mari qui a tout entendu, j’étais d’accord pour nous éloigner. Mais l’homme a répété que jamais, vous n’aurez l’occasion de faire ce genre d’expérience, librement et sans danger. Me regardant en particulier, il a ajouté que, sucer une zeb étranger allait me donner des jouissances formidables, surtout devant mon compagnon, il veut dire mon mari. Cela m’a arrêté et excité et j’ai dis à mon mari que l’homme avait raison et que c’était une expérience pourrait amplifier nos expériences sexuelles à la maison. Il a, bien entendu, refusé mais l’homme a encore ajouté que c’était anonyme, caché, sans suite et sans danger. Et quelques secondes plus tard, je me suis déplacée sur l’autre siège, entre nous, et je me suis penchée sur son bas ventre de l’homme.
J’ai empoigné sa bite à pleines mains et commencé à la branler doucement. L’homme s’est allongé plus amplement sur le dos de son siège pour mieux écarter ses jambes et m’offrir son bas ventre et son zeb. J’ai approché ma bouche et commencé à lécher seulement la tête de son zeb. Il était gros, large et long, nettement différent en dimensions de la bite de mon mari, et cela m’a excité. Puis je l’ai enfoncé un peu dans ma bouche et vu son épaisseur, j’ai du me forcer pour le faire pénétrer un peu. Il était doux, souple et chaud en même temps et ma chatte commençait à mouiller. J’étais un peu gênée du fait de mes jambes devant le siège, alors j’ai soulevé l’une de mes jambes et j’ai étalé ma cuisse entière sur une partie de mon siège. Ainsi j’étais plus à l’aise pour écarter mes cuisses, et j’ai pu, enfoncer, petit à petit, le zeb dans ma bouche, tout en le branlant. L’homme me caressait les cheveux et son zeb commençait à durcir de plus en plus et à s’épaissir et s’allonger.
Quant j’ai pu bien enfoncer une bonne partie de son zeb, l’homme me chuchota de tenir aussi ses couilles. Et j’ai allongé une de mes mains par-dessous son zeb pour cueillir ses couilles. Gonflées, énormes, elles m’excitaient aussi et j’ai surtout pensé au sperme qu’elles contenaient et tout mon corps vibrait de désir. Ma chatte coulait dans mon slip mouillé et j’ai du encore m’arranger sur mon siège pour mieux libérer mon bas ventre et écarter largement mes cuisses. L’homme avait compris que je mouillais, alors, il a glissé, discrètement sa main droite par-dessous mon corps et dirigée vers mon bas ventre. Je l’ai aidé à atteindre mon entre cuisses et il colla sa main sur mon slip, sur ma chatte et commença à frotter avec ses doigts tout le long de ma fente. J’étais ouverte à fond et maintenant les sussions que je faisais sur le zeb étaient volontairement longues, profondes, excitées et ma bouche enfonçait sa bite totalement jusqu’aux couilles, et je suçais et aspirait avec frénésie en haletant de désirs.
Nous étions ainsi quant mon mari mit sa main sur mon dos et me chuchota d’arrêter et que nous devions partir. Mais j’étais totalement dans les filets des jouissances, ma bouche avalant goulument le zeb, ma main malaxant de plaisirs ses grosses couilles, sa main a lui, frottant ma fente et enfonçant ses doigts dans ma chatte avec mon slip. Ainsi, ce que voulait mon mari devenait parfaitement inutile et impossible à obéir. J’entendais l’homme qui disait à mon mari d’entrer dans le jeu et de me caresser la terma tendue vers lui, mais Tarik n’était pas dans ces dispositions sexuelles. Il a encore dit quelques choses que je n’ai pas bien entendu puis plus rien. Moi j’étais dans le ciel des jouissances, d’autant plus que l’homme avait réussi à écarter en partie mon slip et ses doigts ont pénétré ma chatte pour me branler le clitoris. Et rapidement j’ai déchargé violemment ma cyprine tout en libérant le zeb pour lancer un cri de jouissances, presque un hurlement. L’homme, gardait toujours sa main sur ma chatte et ses doigts à l’intérieur et avec son autre main il repoussa ma tête sur son zeb qui pénétra de nouveau ma douche avec violence. Je ressentais sa puissance et sa douceur jusqu’à ma gorge et j’avais envie de vomir mais j’ai résisté. Puis j’ai continué à le sucer avec vivacité et à le branler avec énergie. Je ressentais ma chatte prête à exploser une seconde fois. Mais soudain, l’homme libéra ma chatte de sa main et me repoussa pour me redresser sur le siège. Son zeb sortit de ma bouche et bondit en l’air, vertical de désir. J’étais surprise mais il m’a dit que mon mari n’était plus parmi nous. J’ai jeté un coup d’œil et effectivement son siège était vide. L’homme m’a expliqué qu’il était parti et qu’il m’avait demandé de le rejoindre dehors quant j’aurais fini mes expériences.
Je ne sais si c’était vrai mais, connaissant mon mari, j’étais presque convaincue que c’était possible, dans son caractère de tout accepter de mes désirs. L’homme m’a demandé si je voulais continuer un moment et j’ai accepté. J’étais encore étourdie de désirs et son zeb vertical, brillant de ma salive, monstrueux m’excitait encore plus qu’avant. C’est alors que l’homme me dit qu’on allait passer à une autre expérience, meilleure et il ma demandé de me lever et d’ouvrir et descendre mon pantalon et mon slip. Puis il m’a tourné contre le dossier de la rangée devant nous et m’a aidée à ouvrir et descendre mes vêtements. Puis il a collé son visage sur ma croupe dénudée et il a commencé à me lécher longuement et largement ma croupe et mes fesses puis, ma chatte par dessous. Sa langue me chatouillait le clitoris et s’enfonçait dans ma chatte et ses mains caressaient, plutôt ils malaxaient ma croupe avec la violence du désir, et j’étais penchée, les mains sur le siège de devant. Rapidement, mon excitation s’est amplifiée et je désirais son zeb dans ma chatte. Il m’a comprit très vite et ainsi, j’ai ressenti la tête de sa bite qui fouillait mon entre cuisses. Et rapidement, elle trouva ma fente trempée et ouverte, et son gros zeb me pénétra avec douceur. Il m’a dit qu’il ne voulait pas me faire mal et c’est pourquoi il me pénétrait lentement. Il ajouta qu’il avait deviné que son zeb était plus gros et plus long que celui de mon compagnon et que ma chatte devait d’abord s’habituer au gabarit de son zeb. Mais rapidement sa bite s’enfonça en moi jusqu’aux couilles qui commençaient à chatouiller mon entre cuisses.
Comme je gémissais de plaisir et de jouissances, il commença ses vas et viens, d’abord lentement puis il accéléra par des coups de reins vigoureux et rapides. Et malgré moi, j’aidais à ces enfoncements en reculant chaque fois ma croupe vers son zeb pour mieux l’enfoncer dans ma chatte. Rapidement j’ai obtenu un second puis un troisième orgasme abondamment mouillés et je criais et j’essayais d’étouffer mes hurlements de jouissances. L’homme me claquait fortement les fesses, son souffle et ses halètements devinrent bruyants et excitants, et la saillie devint animale. Je criais et hurlais comme lui et remuait la croupe, sans me gêner que tout le monde pouvait nous regardait. On ne gênait pas, non plus que les gens entendent et que cela nous était égal, du moins pour moi, et que seul, comptait ce gros zeb qui me fouillait la chatte et m’envoyait au septième ciel. Un moment, l’homme tout en me baisant la chatte, me caressa l’anus et y enfonça un de ses doigts puis deux. Je dois avouer que durant mes relations maritales, j’avais forcé, un jour, mon mari à me dépuceler le cul en utilisant une pommade et un zeb de plastique. Puis il me sodomisait chaque fois que je le désirais, et c’était devenu une tradition, à ma demande. L’homme découvrit que ses doigts me pénétraient le cul très facilement, alors il me chuchota s’il pouvait m’enculer et j’ai dit oui de la tête. Ainsi, il continua à me doigter le cul avec plusieurs doigts tout en me baisant sauvagement la chatte.
Mes orgasmes devenaient continus et je vivais en permanence dans les jouissances de mon bas ventre et aussi maintenant dans les chatouillis de mon cul. J’ai pensé à la possibilité de l’homme d’éjaculer dans ma chatte mais ça m’était égal car je me protégeais depuis le début de notre mariage. Mais l’homme, ne sachant pas cela, a voulu être prudent, alors il a décidé de ne pas éjaculer dans ma chatte. Quant les prémices de ses couilles commençaient à le chatouiller, il a sorti son zeb de ma chatte et l’enfoncé dans mon cul. Il m’a pénétré fortement et son zeb a glissé en moi jusqu’aux couilles qui ont claqué contre mes fesses. Cette violente pénétration m’a fait encore hurler de plaisirs, de jouissances car j’ai toujours aimé les sodomies. Et pendant qu’il m’enculait par des vas et viens aussi violents que les précédents, j’ai descendu ma main pour l’enfoncer dans ma chatte. Et j’ai continué à me branler la chatte car je ne voulais que ses jouissances ne faiblissent pas pendant que le zeb de l’homme me donnait des plaisirs au cul. Et chose inouïe et jouissante encore plus, c’est que de temps à autre, ma main dans ma chatte, touchait son zeb dans mon cul, par la fine peau qui séparait mes deux sexes. L’homme a constaté ces attouchements sur son zeb et m’a félicitée en tapant encore plus des mains sur mes fesses pour exprimer ses nouvelles jouissances. Je l’entendais aussi rigoler bruyamment, en plus de ses halètements essoufflés.
Et enfin, il arriva à son top et éjacula par trois fois au moins dans mon cul. Comme chaque fois que je me faisais enculer par mon mari, j’avais des jouissances particulières que j’exprimais en hurlant, réellement, mais aussi pour faire plaisir à mon mari. Cette fois ci, avec ce gros, zeb, l’abondance de sperme et la puissance des jets étaient vraiment extraordinaires et je hurlais véritablement de plaisirs et ma main, dans ma chatte a accéléré son mouvement à tel point que je suis arrivé presque immédiatement à un dernier orgasme. Je restais presque couchée sur le dossier du siège avant et la main encore dans ma chatte. Mais l’homme avait sorti son zeb de mon cul et me donna quelques tapes plus douces sur mes fesses. Ses tapes sur ma croupe était devenues son expression de dialogue avec moi.
Je me suis redressée et me retournant ver lui, j’ai vu son zeb toujours bandé et luisant de son sperme et j’ai eu envie de le sucer encore et le nettoyer. Il l’a comprit tout de suite et me l’a tendu et je l’ai empoignée avec avidité pour le lécher et le sucer et le nettoyer sans oublier ses grosses couilles qui semblaient encore pleines pour reprendre la fête. Mais l’homme m’a rappelé que mon compagnon m’attendait, peut être, dans la rue, alors je me suis accroupie au sol pour vider mon cul et me torcher. Ensuite, comme ma chatte semblait encore sensible et mouillait, je l’ai bouchée avec mon mouchoir, puis j’ai remonté mon slip et mon pantalon et je me suis un peu arrangée. Lui, il a réintégré son zeb dans sa braguette et fermé son pantalon, puis nous avons quitté la salle, ensemble.
Dehors, mon mari ne semblait pas d’abord être visible, mais l’homme a réussi à le capter sur le trottoir d’en face. Il était attablé au café et nous faisait signe de la main. Quant on l’a rejoint, j’ai devancé sa parole en lui reprochant e m’avoir laissée seule avec cet homme si aimable. Il s’avère, à sa vue dehors, que l’homme était assez âgé, nettement plus que nous deux, je ne l’avais pas remarqué dans le ciné. J’ai dis à mon mari que l’homme ne voulait que nous aider à mieux expérimenter les plaisirs du sexe et que lui, mon mari, a refusé d’y participer. Je me suis assise à ses cotés et je lui ai tendu ma bouche et il a accepté de m’embrasser en souriant jaune. J’avais encore, sur mes lèvres et au fond de ma bouche, que j’avais oublié de nettoyer à fond, les gouts du zeb de l’homme et surtout de son sperme et j’espérais que mon mari ne s’en rende pas compte en m’embrassant, sa langue autour de la mienne. En tout cas il souriait et il s’est même excusé auprès de l’homme. Puis mon mari s’est levé et après avoir salué l’étranger, on est parti vers notre voiture garée pas très loin. Dans la voiture, mon mari s’est inquiété de moi du fait que j’étais restée très longtemps après son départ. Je lui ai dit que je suçais le gars mais comme il était vieux, il a été trop long à éjaculer, d’autant plus que sa bite n’était pas très gonflée. Je ne voulais provoquer mon mari en lui disant la vérité, ce sera mon secret et mon futur programme.
Et encore mieux, je lui ai reproché son départ en lui disant que j’aurais bien aimé lui sucer à lui aussi son zeb en public pour voir ce qu’il ressentirait mais qu’il ne s’inquiète pas, on allait le faire à la maison, sans problème. Mais je pensais surtout à cette expérience, qui, par la faute de mon mari, m’avait fait beaucoup jouir par devant et par derrière. Et j’avais déjà envie de la renouveler rapidement, avec cet étranger ou avec d’autres, mais surtout sans la présence de mon mari.

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