Terma 130:Assia et l’erreur fatale de son gentil époux (5)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 130:Assia et l’erreur fatale de son gentil époux (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 130:Assia et l’erreur fatale de son gentil époux (5)
Et avec force, il saisit mes cuisses et me retourna sur le lit, ventre contre les draps. J’ai pensé qu’il allait me corriger sur les reins mais son souffle sur mes fesses me rassura. De ses mains, il écarta mes fesses et sa langue commença à me lécher le sillon et au niveau de mon anus. J’avais beaucoup de sperme éché sur et surtout entre mes fesses et certainement à l’entrée de mon cul. Comme je l’ai déjà dis, j’étais retourné à la fac sans même me laver et même ma copine avait remarquée que, à cause de ma sueur, je sentais fort les odeurs de l’homme et de son sperme car nous avions baisés nus, longuement et avec désirs violents.
Mon mari continuait à me lécher le cul et les fesses avec bruit et grognements et j’ai laissé faire avec plaisir, j’ai me essayer de soulever ma croupe et gonfler mon cul. Après un bon moment, je l’entendais se redresser et juste après, ses cuisses nues se sont assises sur les miennes par derrière. Il était monté sur moi et juste après il me donna quelques tapes avec sa bite sur mes fesses. Elle semblait dure et gonflées et juste après il m’écarta les fesses et poussa sa bite et me pénétra entièrement le cul. J’étais contente que l’aventure continue ainsi, et j’ai essayé de soulever un peu mon bassin. Ses mains étaient appuyées sur mon dos et il avait démarré les vas et viens de son zeb dans mon cul, avec vigueur et rapidité. Il gémissait avec bruits et parfois il lançait un cri proche d’un hurlement de démence quant il enfonçait sa bite avec violence.
J’ai réussi à comprendre les bribes de mots qu’il prononçait dans la confusion et les gémissements. C’était « putain ! putain » plusieurs fois, c’était clair et net. Il savait parfaitement que je l’avais trompé et baisé avec d’autres hommes, ais je ne comprenais pas son attitude totalement étrangère à ses habitudes. C’était un homme gentil et calme, que je dominais facilement et qui sexuellement, était moyen et même discret. Donc totalement différent de cet acharnement sexuel qu’il continuait par une saillie presque animale de mon cul avec gémissements sonores et hurlements non retenus.
Il m’encula un long moment jusqu’à l’arrivée de son plaisir. Il me souleva un peu plus et empoigna mes hanches puis il éjacula par plus de trois fois dans mon cul avec d’abondants jets de sperme ponctués chaque fois par un violent coup de reins et un juron sonore « putain ». Moi, je n’ai pas eu pratiquement un vrai plaisir. Certes les vas et viens de son zeb dans mon cul étaient agréables mais ils n’ont jamais réussi à me donner un orgasme car j’étais encore inquiète, étonnée et perplexe. Cela dérangeait mon excitation et mon corps était presque inerte. Ensuite, il se redressa et s’écroula à coté de moi dos sur les draps et jambes allongées. Je me suis approchée de lui, encore indécise mais il avait les yeux fermés et les bras étendus. Mais j’ai aussi remarqué une chose étonnante chez lui, sa bite était encore debout, longue et verticale, brillante même et je remarquais que je la voyais toute entière et comme monstrueuse pour la première fois. Je ne l’avais jamais vue ainsi. Avec précautions j’ai approché la main et je l’ai touchée. Elle était gonflée et frétillait encore, alors je l’ai empoignée à pleine main. Elle était dure et douce mais gluante de sperme.
Ce n’est qu’à cet instant que mon corps a réagi. Une excitation a démarrée dans mon bas ventre et tout le long de mon corps, je revivais sexuellement. Alors, j’ai suivi mon instinct, je me rapprochée encore plus et j’ai avalé le zeb avec plaisir. En effet, je commençais à vibrer et ce zeb gonflé et dur m’excitait, le l’ai sucé, léché et nettoyé au mieux et avec plaisir. Mon mari avait ouvert les yeux et m’a dit « continue ! putain ». Son visage était éclairé d’un large sourire et il continua « suces mon zeb, comme les autres ». Et moi j’y allais avec acharnement jusqu’aux couilles.
Puis, poussée par le désir qui s’était totalement réveillé dans mon corps, le me suis glissée sur son ventre. Pus assise sur ses cuisses, j’ai continué à le sucer et le branler et il restait dur et gonflé, chose inédite chez le mari que je connaissais. Puis, sans hésiter, je me suis assise sur lui et j’ai enfoncé le zen dans ma chatte, jusqu’aux couilles, avec un long feulement de désir. Je me sentais comme si je ne baisais pas mon mari habituel mais un étranger et je dois me comporter comme une putain qui trompe son mari. Ainsi, l’excitation que je ressentais devenait totale, importante et me permettait de me faire baiser à fond sans contrainte et sans hésitation. Lui aussi allait se comporter, non plus comme mon mari mais comme un de ces hommes qui baisent sa femme. Et on y st allé en force et vas et viens acharnés et gémissements bruyants.
Enfin je commençais à sentir mes jouissances derrière et même devant et je me suis laissé allé aux plaisirs. Ainsi j’ai réussi à me donner deux organes très proches et comme le zeb ne dégonflait pas, j’ai continué. Mais, chez lui aussi le plaisir montait et au moment où ses couille commencèrent à le chatouiller, il réagi enfin comme homme. Il me repoussa et me recoucha dos au matelas et il se sur moi, m’écartant les cuisses, il plongea de nouveau son zeb dans ma chatte et jusqu’aux couilles. Puis il redémarra ses violents et rapides vas et viens. Très rapidement, il arriva au plaisir et se tendant à fond, collé à mon bas ventre, il réussi à éjaculer par plus de deux en gueulant encore « putain ! putain » plusieurs fois. Et il s’écroula sur moi, le souffle haletant à l’extrême.
Nous sommes restés ainsi plusieurs minutes et, malgré que j’ai repris mon souffle avant lui, j’ai préféré le laisser prendre l’initiative du retour à la normale. En effet, après un long moment, il reprit ses esprits et se redressa doucement. Nos visages étaient très proches et j’attendais l’instant de vérité. Il avança sa bouche et j’ai accepté son baiser que j’ai prolongé exprès en entourant mes bras autour de son cou. Ensuite, c’est lui qui me dit « allez debout, on a du boulot demain » et il se leva et s’éloigna vers la salle de bain. J’ai attendu qu’il finisse sa longue douche avant d’y aller à mon tour. J’ai jeté mes vêtements, mon mouchoir pollué dans le panier à linge pour la machine à laver, puis j’ai pris une grande douche chaude pour me nettoyer avant de retourner à la chambre. Puis, comme il avait remis son pyjama et allé au salon, j’ai mis ma robe d’intérieur, sans slip, je me sentais plus libre, et je suis allé à la cuisine pour préparer notre diner.
Quelques minutes plus tard, il est venu derrière moi, et m’enlaçant, son ventre contre mes reins, il m’a dit « j’attendais cela depuis nos fiançailles mais ton attitude et celle de ta famille me glaçaient » et il se tut. J’ai tourné la tête vers lui pour lui répondre « c’est un autre mari que j’ai découvert tôt à l’heure » et « est ce tu es fâchée de ce que j’ai fait ? ». Il appuya encore son bas ventre contre moi et répondit « non ! bien au contraire c’est cela qu’il nous fallait pour nous retrouver réellement » et me donnant encore un léger baiser il ajouta « tu m’a fais des surprises agréables et nous allons continuer dans le même sens ». Puis il me libéra et s’éloigna vers le salon. A la porte du salon, il ajouta « moi aussi j’ai encore des surprises pour toi pour bientôt » et il s’éloigna en lançant un long rire sonore.
Après notre diner, notre soirée et la nuit sont passées sans problème et le matin aussi. Il m’a amené à la fac à 7h30 avant d’aller à son travail. Retrouvant ma copine, elle avait remarqué mon visage paisible et souriant, et elle m’a interrogée. Je lui ai avouée la vérité, que mon mari a tout su et comprit et qu’il en a été enchanté et qu’il m’a baisée et enculée de manière toute spéciale par rapport au passé. Elle a été très étonnée mais heureuse pour moi et m’a demandée si j’allais retourner voir mes amants. Je l’ai rassurée que maintenant ce sera à mon mari de décider et qu’il m’a promis encore d’autres surprises. Elle était excitée de mes évènements et m’a fait promettre que je lui raconterais tout. L’après midi à 17h mon mari est venu me prendre et notre soirée fut normale, mais la nuit nus avons fait l’amour deux fois, dans ma chatte et dans mon cul. Mon mari a été à la hauteur et après les éjaculations dans ma chatte il a décidé de me lécher et même d’essayer l’avaler son sperme qui coulait sur mes cuisses. Après, il m’a enculée avec autant de force et de puissance que par devant. J’étais étonnée de la vigueur de son zeb la seconde fois mais en m’enculant il avait reprit ses « putain » avec force et il me semblait que cela l’excitait et lui redonnait de la vigueur. Après avoir éjaculé dans mon cul, il n’a pas oublié de venir me lécher et avaler son sperme. Cela aussi était une marque de mon nouveau mari. Puis nus avons pris nos douches presque ensemble et repris notre lit assez épuisés.
Le lendemain c’était congé et, normalement nous prenions notre repas de midi chez nos parents, une fois chez les liens et l’autre fois chez les siens. Ce jour là nous avons passé une partie de la matinée puis le repas collectif et une petite sieste jusqu’à 14h. Puis nous les avons quittés et mon mari a décidé de m’inviter chez des amis à lui. Nous sommes sortis de la ville puis à la campagne, il y avait plusieurs fermes assez éloignées les unes des autres et beaucoup de jardins et de terre labourées. On s’est arrêté devant une ferme et un homme est sorti nous accueillir. C’était un grand gaillard, un costaud barbu, en bras de chemise ouverte sur un large torse poilu, et en short sur de larges cuisses musclées et aussi poilues. Les deux hommes se sont donné des accolades et mon mari m’a présenté et le gars m’a serré fortement contre sa poitrine. Il sentait la sueur mais virile et mon corps a vibré tout de suite, ma chatte a explosé de sa mouille, j’avais envie de ce homme.
C’était une sorte de grande villa bien emménagée même à la campagne. A l’intérieur, il y avait deux autres hommes, dont l’un était une réplique de celui qui nous a accueilli et l’autre tout le contraire et nettement plus jeune. Il y avait au salon, une large table pleine de fruits, beaucoup de bières et quelques rafraichissements. Après avoir fait connaissance et l’autre homme m’a autant serrée contre lui que le premier, le jeune est passé à la cuisine, juste à coté du salon. Nous avons pris siège au salon ou il y avait une télé en marche.
Mais à la télé c’était un film porno, deux hommes se faisaient plaisir, le zeb de l’un dans le cul de l’autre. Le second homme arrêta la télé, j’ai constaté qu’elle fonctionnait avec des cassettes car il a remis un autre film aussi porno que le premier. Mais cette fois c’était deux hommes qui baisaient une femme, l’un par devant et l’autre dans le cul. Et le son était formidablement excitant. Mon mari s’était levé et a disparu vers le fond de la villa avec l’homme qui nous avait accueillis. Le jeune sortit de la cuisine où il semblait préparer quelque chose puis est parti dans la même direction que des deux hommes. Restée seule avec le second homme, il m’a offert une bière que j’ai refusée mais il s’est assis tout à coté de moi, entourant mes épaules de ses larges bras poilus. Il sentait l’animal, une virilité masculine qui affolait ma chatte dans mon pantalon. Il m’embrassa sans que je ne fasse aucune résistance, bien au contraire. Puis il m’a caressé la poitrine et abaissé sa main entre mes cuisses pour la frotter à ma chatte. J’ai écarté mes cuisses sous la caresse et il se leva brusquement. Il enleva sa chemise puis son pantalon devant moi. Il n’avait pas de slip et son zeb brun et gros était gonflé, horizontal et d’une dimension comme celui de l’hôtel. J’avais compris et me levant j’ai enlevé en vitesses tous mes vêtements.
Il m’a soulevé dans ses bras nous sommes entré dans la cuisine. Il m’a posé sur la table et m’a présenté son zeb horizontal. Je l’ai empoigné des deux mains, je l’ai un peu branlé, il était dur comme du fer mais lourd de désir et j’ai eu un long frisson le long de mon échine vers mon cul. Puis je l’a embouché et sucé et léché pour bien le sentir et le lubrifier. Ensuite, il a mis ses mains sous mes fesses et m’a soulé puis m’a plaqué contre un des murs. J’ai entouré sa ceinture de mes jambes et cuisses, j’étais de toute façon totalement soulevée sans problème. Il a farfouillé entre ses cuisses puis a poussé son zeb vers ma chatte. J’étais tellement excitée que dès que la tête du zeb m’a pénétrée, ma chatte a explosé d’un orgasme que j’ai hurlé sans retenue. Puis il poussé son zeb qui s’est enfoncé en moi jusqu’aux couilles. Puis il m’a fait sauter sur son pieu et j’ai continué à gémir et crier mes jouissances. Il arrivait à me donner des coups de reins violents qui me collaient au mur et rapidement il m’a donné un second puis un troisième orgasme.
Il m’a baisée longuement, avec la même vigueur, n’éprouvant aucune fatigue, et ses lèvres cherchaient parfois mes seins et mon cou. Il respirait sans précipitation et se maitrisait très bien. Moi au contraire, j’étais au septième ciel et petit à petit je perdais conscience, bien soulevé par ses puissants bras. Je ne comptais plus le temps ni les coups de zeb, ni les secousses contre le mur et je le laissais faire, longuement, profondément. Enfin, il se recula, son zeb sortit de ma chatte e me posa sur la table comme au début. J’ouvris les yeux et je voyais qu’il avait empoigné son zeb gonflé et tendu et il se branlait avec force et rapidité et enfin ses éjaculations arrivèrent, puissantes et abondantes. Elles se projetèrent loin vers l’évier de la cuisine à presque deux mètres de là. Trois grandes éjaculations puis quelques une plus calmes.
Profitant qu’il tirait doucement sur son zeb, j’ai quitté la table et j’ai approché ma bouche de lui. Il avait compris et m’a présenté son zeb que j’ai empoigné et avalé. Je l’ai sucé, léché et nettoyé et il était toujours lourd et gonflé et très excitant. Alors je n’ai pas hésité et, debout je lui ai tourné le dos, lui présentant ma belle croupe et j’ai poussé son zeb qui était dans ma main, vers mon anus. Il n’a pas hésité, empoignant mes hanches, il pointa mieux mon anus vers son zeb que je tenais toujours.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Des fautes d'orthographe à n'en plus finir, mais l'histoire demande une suite. J'aime.



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