Terma 128:Assia et l’erreur fatale de son gentil époux (3) :

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 128:Assia et l’erreur fatale de son gentil époux (3) : Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 128:Assia et l’erreur fatale de son gentil époux (3) :
Il avait déjà un zeb bien gonflé, tendu et assez gros, comme ou même plus que celui de mon homme. Il m’a plu tout de suite et quant il s’est penché sur moi et a poussé son zeb vers ma chatte, j’ai soulevé mon bas ventre, impatiente de recevoir ce nouveau gros cadeau. Il m’a pénétré rapidement et profondément mais sans hâte, ce qui fait monter crescendo mon plaisir et démarré la jouissance de ma chatte. Ses mains sur le matelas, le corps légèrement soulevé, il a commencé les vas et viens de son zeb, d’abord en moyenne puis rapidement en accélérant. Il me remplissait très bien la chatte, autant sinon plus que mon homme auparavant et il me donnait déjà d’amples jouissances. J’ai hésité de mettre mes jambes et cuisses derrière ses reins car je voulais garder une certaine distance et respecter son copain. Mais il me regardait plein les yeux et me souriait gentiment, alors que le plaisir commençait à se déverser dans tout mon corps, alors je n’ai pas résisté et j’ai entouré ses reins de mes cuisses et poussé avec mes pieds pour l’enfoncer encore plus dans mes entrailles.
Il avait comprit que je l’acceptais et le désirait à fond. C’est alors qu’il a démarré une longue et violente série de vas et viens qui se prolongeaient très loin, tout au fond de moi et à chaque fois, je hurlais de jouissances. Nos souffles, très proches l’un de l’autre, s’amplifiaient et nous haletions en cadence. Et enfin, mon premier orgasme avec cet homme m’envoya au septième ciel. Ma chatte a éclaté et j’ai hurlé sans retenue et j’ai presque perdu conscience. Quant j’ai repris un peu mes esprits, le zeb continuait à me labourer la chatte mais en douceur, moins rapidement que tout à l’heure. J’ai ouvert les yeux et l’homme m’a fait un nouveau sourire auquel j’ai répondu de même.
Alors, il a recommencé ses accélérations qui, à chaque enfoncement, me donnait une sorte d’onde de choc devant et derrière et me poussait à relever aussi le bassin vers ce zeb qui me baisait à fond. J’étais tellement excitée en continue que je sentais ma chatte prête à un autre orgasme qui me démangeait pendant un petit moment, puis il éclata encore une fois dans ma chatte et dans ma tête. Je me suis collé à fond à l’homme et j’ai déversé ma cyprine en criant ma jouissance et, encore une fois, j’ai perdu conscience. Quant je me suis repris, l’homme était arrêté, son zeb toujours enfoncé en moi, et me regardait, me demandant si j’allais bien. J’ai hoché la tête pour lui demander de continuer, alors il démarra de nouveau ses vas et viens et rapidement, il arriva au top.
En effet, suite à une dizaine de mouvements accélérés, il se colla à moi et se tendit à fond, puis il libéra ses éjaculations, trois ou plus au fond de mes entrailles, avec un long hurlement mais retenu. Moi, comme j’étais assez rassasiée, je le regardais libérer son plaisir coup par coup que je ressentais au fond de mes entrailles. Puis il se dégagea de moi pour s’allonger à mon coté. Je voyais son zeb qui se courbait de plus en plus, libéré de son désir. Il m’a désigné un coin de la chambre et j’y ai trouvé un bidet et un petit lavabo. C’était normal pour une chambre de passes pour les putes et je me suis vidée et nettoyé puis je suis retourné au lit.
Mais comme l’homme restait allongé, nu, sur le dos, son zeb presque couché, j’ai fais une autre expérience. Je me sui allongé sur le ventre en gonflant et offrant ma large terma. Je connaissais les effets sexuels de ma grosse croupe et de son sillon mystérieusement attirant. J’ai remué un peu l’ensemble qui vibrait gentiment, érotiquement, tout en jetant un coup d’œil sur le zeb de l’homme et ça a marché à fond. Je voyais, agréablement, son zeb qui se relevait tout seule, s’allongeait de lus en plus et se gonflait au point qu’il atteint la verticale en quelque secondes. J’ai lancé ma main vers lui et j’ai constaté qu’il était au point, dur et doux comme tout à l’heure. Alors je me suis rapprochée et je l’ai sucé un peu tout en gardant ma croupe à la portée des yeux et des mains de l’homme.
Il n’a pas résisté longtemps et m’a caressé la croupe puis il s’est penché sur moi et a commencé à me lécher la croupe et son profond sillon, jusqu’au niveau de mon anus. Puis je me suis mise à genoux la tête sur le matelas et la croupe bien relevée, offerte à l’homme. Il s’est relevé rapidement, s’est positionné derrière moi et à genoux, puis son zeb à la main, il m’a frotté un peu la zone de mon anus pour trouver son entrée. Puis il a poussé pour enfoncer son zeb dans mon cul. Comme attendu, il s’est enfoncé totalement et facilement jusqu’aux couilles. Puis, il a commencé ses coups de reins de plus en plus violents et accélérés. Et comme à mes nouvelles habitudes, j’ai envoyée ma main pour s’enfoncer dans ma chatte et caresser le zeb de l’homme par-dessous.
Et comme attendu, il a ressenti ces attouchements et réagit en poussant et accélérant encore plus. La chambre était pleine de gémissements, hurlements et parfois de petits cris surtout de ma part et on doit certainement nous entendre dehors. L’homme m’a sodomisée, enculée longuement et avec volonté de me donner le maximum de plaisirs. Il ralentissait parfois et même sortait son zeb pour l’enfoncer dans ma chatte, avec mon doigt. Puis il le replongeait dans mon cul avec passion, ce qui amplifiait mes jouissances devant et derrière. C’est un petit homme, de taille, mais avec un gros zeb et surtout beaucoup de techniques sexuelles, de savoir faire et il commençait à me plaire autant sinon plus que mon autre homme.
Et après de longues minutes de plaisirs devant et derrière où il a réussi à me donner, d’abord deux orgasmes séparés puis un troisième continu qui se prolongeait sans arrêt jusqu’à ce que lui-même arrive à son top. Et il se vida les couilles dans mes entrailles en hurlant. Une vraie saillie que j’ai goutée profondément plus que les autres de la journée. La seule autre sodomie qui m’a donnée autant de plaisirs, peut-être parce qu’elle était en public, c’était lorsque le gars du ciné a enfoncé son zeb dans mon cul alors que j’étais courbée, suçant le zeb de mon homme. Puis il s’est retiré et s’est allongé sur le lit et moi, je restais un moment, à genoux, le cul en l’air et le sperme qui suintait vers mes cuisses.
Ensuite, je suis reparti vers le bidet et le lavabo. Il m’a dit qu’il aimerait bien continuer et recommencer d’autres jours mais qu’il était déjà passé midi. C’était mon homme qui lui avait soufflé la consigne de me rappeler l’homme à laquelle je devais retourner à la fac. Je me suis précipité pour me rhabiller et sortir, mais avant je lui ai dit que son zeb m’avait enchanté et que je reviendrais bientôt dans la salle de billards pour lui et son copain. Rapidement je suis descendu l’escalier et le gars de la réception m’a lancé un coup d’œil complice et relevé son pouce en l’air comme pour me féliciter. J’étais sûre qu’il avait écouté à la porte ou dans le couloir car on ne s’était pas gênés de hurler nos jouissances plusieurs fois. Je lui ai souri par complicité et je suis sorti sans retourner dans la salle de billard.
J’ai pris un taxi et un quart d’heure plus tard j’étais au restaurant universitaire, assis à coté de ma copine, un casse croute devant moi. Elle m’a informé sur la matinée, sans problème et m’a remis le polycop du cours. Elle m’a idée, dans les toilettes de la cité, à bien me parfumer pour faire disparaitre de mon corps et mes vêtements, les odeurs des trois mâles qui m’ont baisés et enculés et surtout diminuer les senteurs de leurs spermes, généralement fortes. Plus tard, on est retourné au cours pour les séances de l’après midi jusqu’à la sortie de 17h. Mon mari, comme prévu était venu me chercher en voiture pour aller faire quelques emplettes supplémentaires en grande surface puis à la maison pour préparer le diner.
Après le diner, je me suis quant même douchée et lavée à fond pour éviter à mon mari de sentir les odeurs des hommes et de leur sperme. Au lit, je l’ai aguiché comme d’habitude et je l’ai laissé me baiser pendant une demi-heure avant qu’il aille se nettoyer et revenir se recoucher et s’endormir rapidement. Moi aussi, je sui allé me nettoyer de la séance maritale puis je suis retournée au lit, rêvant encore de trois zeb que j’ai gouté, devant et derrière, durant la matinée, et espérant autant pour le lendemain.
Le lendemain, la journée fut calme et je l’ai passée à la fac et le soir, à la maison. J’étais un peu inquiétée par le calme de mon mari et cela m’a bloqué mes désirs sexuels. J’aurais aimé qu’il se fâche ou qu’il vienne me surveiller à la fac le matin ou l’après midi, mais non, il était comme avant notre séance au ciné porno. Mais le troisième jour, j’étais moi-même très énervée car ma chatte me chatouillait trop et m’empêchait même de me concentrer en cours de fac. Alors j’ai décidé de réagir, et le lendemain à 8h, dès que mon mari est reparti après m’avoir déposé à la fac, j’ai contacté ma copine comme l’autre fois puis j’ai pris un taxi et à 8h30 j’étais devant le café, face au ciné porno. A l’intérieur il n’y avait que trois hommes inconnus et dans la salle du billard, deux autres qui jouaient. Je suis montée pour questionner le gars de la réception qui m’a expliqué que mon homme et son copain avaient été engagés dans les journées par un entrepreneur pour au moins une semaine, c’est ainsi qu’ils ne viennent au café qu’à la sortie du travail vers 18 ou 19h.
J’étais consternée car à jeun de sexe pratiquement depuis deux jours, j’étais à cran. Je ne pouvais pas attendre mon homme mais j’avais un besoin urgent de zeb pour ma chatte et mon cul. Je crois que le gars de la réception a compris mon problème car il s’est installé face à moi, au comptoir et m’a servi un jus, puis il m’a chuchoté que si j’avais d’un client, il était prêt à m’en trouver un. Surprise mais pas étonnée car j’étais sure qu’il pensait que j’étais une pute et que mon homme était mon mac et m’avait offert à son copain la dernière fois. J’étais à cran mais j’ai hésité alors il m’a assuré qu’il se proposait comme client pour me satisfaire et me payer. Encore plus étonnée, j’ai accepté de faire l’expérience avec lui. Je me suis rappelée son pouce levé quant j’avais quitté la chambre où j’avais été baisé et enculée par le copain de mon homme. Maintenant il veut gouter à mes charmes excités. Après tout, il avait un zeb et on verra après s’il est à la hauteur sinon je pourrais en acceptant d’autres. Il a appelé son commis qui était derrière, à la cuisine, pour le remplacer au comptoir, puis il a choisi une clé et nous sommes montés à l’étage, dans la même chambre du fond. Il a ouvert et je suis passée devant, il en a profité pour me caresser les fesses.
Tout de suite, à l’intérieur, il s’est vite déshabillé et je voyais que sa poitrine était poilue, ce qui a amplifié mon désir mais aussi son zeb qui était déjà gonflé, long et droit debout, , à l’horizontal et à priori assez gros et avec une grosse tête affolante. Rapidement, je me suis déshabillée complètement car je voulais, moi aussi, gouté et jouir de ce corps de mâle viril. J’étais très excitée, et je me suis allongée, le dos sur le matelas en écartant mes jambes et cuisses, j’étais pressée et la perspective d’une nouvelle baise commençait à faire mouiller ma chatte. Il se coucha sur moi et voulut m’offrir son zeb à sucer mais ma chatte, lubrifiée par sa mouille exigeait son zeb immédiat. Il empoigna son zeb, le secoua érotiquement devant moi puis il me pénétra, l’enfonçant entièrement en moi, jusqu’aux couilles, avec une violence agréable qui m’a fait hurler de jouissance immédiate. Lui aussi a crié un puissant « ahhhh » en enfonçant son zeb et son bas ventre a claqué contre le mien. Le contact des poils touffus de son pubis fut aussi un complément de jouissance pour moi. J’étais à jeun depuis deux jours et cette pénétration fut comme un soulagement, une délivrance, une rupture de jeun, alors j’ai croisé mes jambes autour de ses reins pour qu’il me possède encore mieux, et je me suis donnée entièrement aux puissants vas et viens de son gros zeb.

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