48 - Zahra : dis-moi « Moi ou ton mari ? »

- Par l'auteur HDS Noura -
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : 48 - Zahra : dis-moi « Moi ou ton mari ? » Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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48 - Zahra : dis-moi « Moi ou ton mari ? »
48 - Zahra : dis-moi « Moi ou ton mari ? »Dans une soirée d’un ami commun, je discutais l’autre jour avec Salah mon jeune ami médecin. Je le félicitais, lui et les hommes et femmes de ce métier sur leur courage face aux situations graves de leurs patients et surtout de leur sang froid face au sexe opposé qui doivent se dénuder devant eux pour les soigner. Je suis sûr que certains de leurs clients et clientes leur faisaient des avances sans qu’ils leur répondent grâce à leurs études et leur expérience. Il m’a doucement souri et m’a répondu que je me trompais et que parfois, eux aussi, médecins ou pas, réagissent comme de simples êtres humains excités par le sexe. Et pour me convaincre et peut-être m’exciter car je le taquinais souvent sur ce sujet, il m’a raconté une de ses aventures du genre avec une patiente. Je le cite : « Il y a quelques années quant je professais dans une autre ville, ma femme m’avais demandé à prendre avec nous, dans ma voiture, chaque matin, sa voisine et amie, appelons la Zahra, car son lieu de travail est à cinq mètres plus loin de celui de mon épouse. Chaque fois, ma femme s’assoit d’abord à mon coté et Zahra à l’arrière. Arrivée au lieu de son travail, ma femme descend la première. Puis Zahra, dont le Lycée est plus loin, prend sa place à coté de moi. Je l’amène à son travail puis je rejoins mon cabinet car je suis médecin spécialiste urologue et annexes. Zahra était une femme de trente ans, toujours très discrète et réservée et sa tenue toujours très stricte. C’était d’ailleurs pour son attitude sérieuse que ma femme était devenue son amie et avait accepté de me la confier pour l’amener à son travail.
Un jour, alors que nous arrivions près de son travail, avant de descendre, Zahra m’a demandé si je pouvais la conseiller pour ses problèmes de santé. Selon ses dires, elle avait hésité longtemps, à cause de son amitié pour ma femme, mais sans m’expliquer pourquoi. Mais ce jour la, elle a pris son courage et a décidé de se confier, non seulement à l’ami pour garder son secret, mais surtout au médecin spécialiste car son problème concerne ses organes génitaux. Je l’ai rassurée car le secret est l’un des principes de notre profession. On a donc pris rendez vous et le samedi suivant, jour de congé au Lycée, elle est venue me voir seule dans mon cabinet, car moi je ne ferme que le dimanche.
Ce jour la, Zahra était très différente de celle que nous connaissions. Sa tenue était totalement différente et très sexy. Elle avait une robe avec des boutons jusqu’aux ras des cuisses et tenue par une ceinture bien serrée, ce qui dégageait outrageusement son derrière et ses larges fesses. Le col de la robe, assez bas permettait d’admirer très largement le début du sillon de ses seins qui gonflaient le vêtement de manière arrogante. Ainsi vêtue, Zahra était une très belle femme, au corps bien rempli et quant elle sourit, ce qu’elle faisait rarement auparavant, elle devenait irrésistible. Même si je ne voulais pas montrer assez directement mon étonnement, j’étais ébloui de sa féminité, de sa tenue et du parfum que son corps dégageait. Ce jour la, dans mon cabinet, c’était réellement une femme étrangère et pour la première fois, je la désirais sexuellement. J’ai tout de suite pensé qu’elle me draguait sous l’excuse de faux problèmes génitaux, et j’étais preneur.
Ensuite, elle me détailla son soi disant problème. Elle était mariée depuis plus de trois ans et avait des relations sexuelles normales et régulières avec son mari, sans aucune protection vaginale, et pourtant elle n’arrivait pas à être enceinte. Et comme son mari lui avait dit qu’il avait déjà eu un enfant dans un premier mariage, elle était inquiète sur elle-même. Cette situation commençait à la bloquer sexuellement et l’énervait en permanence. Elle a donc décidé de voir un spécialiste et c’est à moi qu’elle s’est adressée, d’abord comme mari de son amie. J’ai fait semblant d’approuver son choix et comprendre ses inquiétudes. J’avais hâte de l’examiner, nue, et de caresser ce corps qui commençait à m’affoler. Mon zob était déjà bandé à fond et mon corps brulait de désir.
Elle s’est étendue sur le lit de consultation et j’ai commencé à dégrafer les boutons de sa robe en lui conseillant de fermer les yeux car le docteur et son patient doivent rester très calmes pendant l’osculation. Lorsque j’ai dégrafé le premier bouton supérieur, j’ai découvert son soutien gorge, un mini soutien qui n’arrivait pas à retenir complètement ses larges seins bien gonflés et qui débordaient largement sur les cotés. J’étais réellement ébloui et excité et mon zob me faisait tellement il gonflait. Cependant, j’ai essayé de résister en écartant ma vue de ces beaux seins tentants et j’ai pris une profonde inspiration, comme si c’était moi le malade et non Zahra. Ensuite j’ai déboutonné l’ensemble jusqu’aux cuisses et écarté la robe en découvrant tout le corps. Elle n’avait rien d’autre dessous sauf un joli slip blanc tamisé comme une toile, juste au niveau de son sexe qui m’apparaissait pratiquement, bien gonflé et bien rasé. Le sillon de sa chatte était plus aguichant que si elle était sans slip et j’ai failli foncé dessus avec mes lèvres.
Mais je me suis un peu retenu et j’ai dégagé complètement sa robe pour la poser sur une chaise. Puis, j’ai commencé, soi disant mon travail d’auscultation en appuyant, plutôt caressant, avec les mains, certaines parties de son corps en lui demandant de me dire ce qu’elle ressentait. Elle avait toujours les yeux fermés, quoique je la soupçonne de m’observer en douce sous les paupières. Elle m’a avoué que mes mains étaient douces et lui chauffaient la peau. Puis j’ai mis mon oreille et ma joue sur ses seins, en appuyant, comme pour écouter son cœur que je sentais battre rapidement, preuve qu’elle était aussi excitée que moi. Je me dis, mais qu’ai-je à faire avec son cœur puisque c’est son sexe qu’elle voulait que j’examine. !
J’ai donc collé ma joue avec insistance sur ses deux seins et commençais à les écarter avec mes doigts pour m’incruster entre elles. Puis j’ai mis ma main dans son dos et j’ai dégrafé et dégagé son mini soutien pour libérer les trésors de sa poitrine. Elle restait les yeux fermés pendant que je touchais et appuyais sur les gros boutons gonflés de ses seins lourds et hauts dressés. Sa trentaine donnait à ses seins une douceur et une consistance affolantes. J’avais envie de les caresser et de les malaxer en toute liberté. Elle commençait à haleter légèrement, alors j’ai foncé. J’ai gobé un de ses boutons dans ma bouche pour le lécher et le téter. Puis je me suis occupé de l’autre sein, et ensuite c’est toute sa poitrine que j’embrassais et léchais réciproquement, à droite puis à gauche et avec avidité. C’est fini, elle était à moi ! elle a accepté mes caresses et mes baisers, je pouvais aller plus loin maintenant.
Alors, j’ai descendu ma langue et ma lècherie sur son ventre et son nombril pendant qu’elle restait silencieuse, abandonnée et haletante. Je ressentais son corps qui commençait à vibrer et mon excitation arrivait à son comble. J’avais envie de la violer, la, sur la table, mais j’ai préféré prolonger mes caresses, mon avance dans le désir. Enfin, ma langue arriva à hauteur de son slip. Je humais son odeur forte, excitante, féminine, sexuelle. J’ai ôté ma blouse et l’ai jetée sur la chaise. Mon zob qui me tenaillait, gonflait mon léger pantalon avec une énorme bosse bien visible. J’ai mis ma langue sur les lèvres de son sexe, alors Zahra, enfin, poussa quelques gémissements, des « aaahh ! » prolongées de jouissances et qu’elle essayait d’étouffer. Mais, vaincue par le désir, elle m’a murmuré, supplié doucement par des soupirs saccadés, d’avoir pitié d’elle, de la délivrer de ce tourment qui lui brulait la chatte. Oui, elle a eu le courage de m’avouer tout cela dans des soupirs murmurés.
Alors, fébrilement, je lui ai enlevé le slip pour voir enfin, en entier, sa belle chatte qui frémissait et qui coulait de désir, une vraie fontaine de jus féminin à l’odeur ensorcelante. Fou de désir, j’ai foncé dessus. Avec avidité, j’ai léché sa chatte de l’extérieur, sur ses monticules dont la douceur aurait fait éjaculer directement un jeune moins expérimenté. Ensuite j’ai introduis ma langue dans sa chair au teint rose bonbon pour la gouter de l’intérieur. Totalement prise par le désir, Zahra essayait de soulever pour se tendre vers moi, alors, j’en ai profité pour prolonger ma main vers son derrière. J’ai caressé ses douces fesses charnues et plongé mes doigts dans leur profond sillon à la recherche de son anus. Sa Terma était chaude, sa chair était brulante et j’ai facilement trouvé son anus que j’ai pénétré doucement d’un doigt. Je lui masturbais le cul comme si c’étais mon zob gonflé que je branlais dedans tout en léchant l’intérieur de sa chatte.
Puis, pour avoir un accès total à sa chatte, je lui ai soulevé une de ses jambes pour la mettre sur le muret coté du lit. Ainsi, sa chatte était entièrement à moi et je pouvais la sucer entièrement, de l’extérieur, de l’intérieur et écartant ses lèvres je la pénétrais avec délice en buvant son nectar. Ma langue, mon doigt et même mon nez pénétrèrent dans sa chatte pour la humer, la sentir et la gouter. J’étais encore plus ébloui et excité. Je la baisais avec ma langue et son clitoris que je léchais en cadence gonflait comme une bite. Zahra n’était plus maitresse d’elle-même et criait de plaisir et de jouissances. Je changeais parfois ma langue par mes doigts dans sa chatte et la branlais vigoureusement et elle hurlait de jouissances. Ainsi, elle a eu un orgasme bruyant. J’ai un peu ralenti pour la laisser souffler, puis j’ai repris mes branlements avec les doigts et les lèchements avec mes lèvres et elle a eu très rapidement, un second orgasme aussi gruyant et mouillé que le premier.
Ce que je ne comprenais pas, c’est pourquoi je continuais à la baiser avec mes doigts et ma langue au lieu d’y plonger mon zob qui, pourtant, me faisait mal à force d’être gonflé. Je dois certainement avoir un problème psychologique à étudier plus tard. Même quant je ralentissais mes branles sur sa chatte et que je continuais avec mes autres doigts, ma branle vigoureuse dans son cul, Zahra éprouvait autant de plaisir. La preuve, c’est qu’elle remuait ses fesses, en cadence avec mes caresses et je sentais son anus qui vibrait par ses pressions internes. J’ai aussitôt pensé que cette femme était formidable, une vrai femelle de sexe, devant et derrière, et je commençais à comprendre qu’elle s’est facilement donné à moi. Elle était femme même dans ses murmures « non !non !aaahh !maman ! » et « continue !continues !doctor !pousses ! ». Elle disait cela en arabe bien sur (ya yemma ! zid ! doctor ! douk !) et ça donnait à ses paroles un accent et un sens encore plus sensuel qui amplifie l’excitation.
Elle a enfin ouvert les yeux et me regardait avec fougue et me dit, toujours en arabe affolant « doctor !tu m’as échauffée !excitée !alors termines !baises moi ! donnes moi ton zob ! vite » (doctor ! sakhanatni ! 7aragatni ! aya kammal ! nikeni ! hatli zebek ! fissa3 ! Ses paroles me brulaient, m’affolaient mais je continuais seulement mes caresses digitales profondes et elle ajoutait presque avec violence contre moi : « niques moi ! niques moi ! ô doctor !niques moi s’il te plait !plonge ton zob dans ma chatte ! vite! » (nikes moi ! ô doctor ! sa7a nikes moi ! douk zebek fi souti ! fissa3). Maintenant, elle avait élevé ses jambes et écarté ses cuisses le plus haut possible, totalement offerte pour le plaisir de la baise.
C’est alors que j’ai été vaincu par le désir. J’ai descendu mon pantalon et dégagé mon zob. Je l’ai d’abord offert à sa bouche pour lui ordonner de me sucer comme une vraie femme qui aime le sexe des hommes. «t’7abi zeb rjaal ! haki zebi !moussih !thouguih !koulih ! » (tu aimes le zob des hommes ! tiens mon zob ! suces le ! goutes le ! manges le !). Alors, elle empoigna mon zob gonflé à bloc pour l’enfoncer dans sa bouche chaude et commença à me sucer et me lécher comme une affamée du sexe et des plaisirs sexuels. Parfois, elle le mordillait doucement puis elle le gobait avec avidité en essayant de l’enfoncer au fond de sa gorge.
Cette énergie qu’elle prenait en manipulant et suçant mon zob me donnait des soupçons sur ses relations sexuelles avec son mari. Et tout en continuant à me sucer le zob, une de ses mains est allée me caresser et malaxer mes couilles. Puis elle démarra une branle vigoureux le long de ma hampe tout en gardant mon zob en partie dans sa bouche chaude, une branle énergique et avec fougue affolée de plaisir. Elle prenait plaisir à manipuler mon zob, alors que juste avant, elle désirait que je l’enfonce dans sa chatte. Elle me regardait et me suppliait de la baiser. Alors, j’ai retiré mon zob de sa bouche, pour le placer, juste entre les lèvres de sa chatte. Puis, me baissant légèrement et le prenant dans une main, j’ai commencé à le frotter et tourner sur les lèvres de sa chatte et sur son clitoris bien dégagé et gonflé. Puis j’ai enfoncé avec violence mon zob dans sa chatte, en mordillant les bouts de ses seins. Elle hurlait de plaisir « doukou !doukou ! fissa3 ! » (enfonces le ! enfonces le ! vite !). Alors, doucement, j’ai poussé mon zob dans sa chatte. Dès que le gland a bien pénétré, elle a poussé un cri de victoire et de jouissance. Puis, et avec plus de violence, j’ai enfoncé mon zob jusqu’aux couilles. Elle a encore hurlé beaucoup plus fort et m’a enfoncé ses ongles dans le dos et entouré ma taille de ses jambes et cuisses.
Mes doigts plongés dans son cul d’une part et mon zob dans sa chatte, j’ai commencé une série de vas et viens puissants et accélérés car je ne commandais plus ma volonté. Mon zob était devenu le maitre de la situation et il nous amenait dans cette saillie animale par de violents vas et viens. Maintenant, moi aussi, le haletais et même gémissais bruyamment de plaisirs et de jouissances. Zahra avait fermé les yeux et plongeait dans un coma de jouissances sexuelles. J’étais moi aussi totalement envouté et ne maitrisais plus rien. La machine sexuelle de mon zob et de la chatte fonçait à plein régime et rien ne pouvait plus l’arrêter avant l’explosion finale. Dans cette course folle, j’ai eu la sensation que Zahra a eu au moins un orgasme hurlant et qui m’a inondé le zob mais on ne pouvait rien arrêter. Mes coups de reins étaient tels que le lit de consultations oscillait dangereusement et risquait de s’écrouler. Enfin la délivrance arriva et j’ai éjaculé dans sa chatte des litres de sperme chaud sans m’arrêter. Puis je me suis écroulé sur la femme, presque totalement étourdi.
Nous sommes restés ainsi, un long moment soudés l’un dans l’autre. Prenant conscience, j’ai constaté que mon zob avait fléchi en partie dans la chatte de Zahra. Je me suis redressé et mon sperme coulait sur ses cuisses et sur la table. Elle restait toujours apparemment inconsciente, les jambes totalement écartées, le sexe ouvert. C’est a cet instant que j’ai pris conscience que je lui avais bien ouvert et niqué la chatte jusqu’aux couilles et que nous avons éprouvé tous les deux de la jouissance à fond. Mais je désirais encore gouter de son corps. Alors je l’ai retournée sur le ventre et j’ai frotté mon zob sur le sillon de son cul. C’était un formidable cul, des hanches à faire bander un énuque, larges, blanches, charnues et douces. A ce spectacle merveilleux, mon zob s’est rapidement regonflé. Alors, j’ai écarté un peu son anus et j’ai poussé fortement mon zob qui a difficilement pénétré sa Terma.
A ce contact, Zahra s’est réveillée et poussé un grand cri de douleur. Je me suis bloqué tout en m’excusant car je croyais que son anus était plus souple. Je Tout en m’excusant plusieurs fois je lui ai posé la question si elle avait déjà sodomisé et elle m’a presque répondu par la négative. Elle a essayé de remuer du derrière pour se débarrasser de mon zob mais je lui ai conseillé de rester immobile quelques instants et son cul va s’habituer à mon zob. Quant la douleur s’est atténuée, j’au retiré doucement mon zob. Puis j’ai plongé sur sa Terma avec ma bouche et mes lèvres et j’ai démarré une série de lèches et sur les fesses et sur son anus. Après plusieurs lèchements, son anus commençait à se détendre, alors, j’ai enfoncé doucement, le bout de ma langue et je lui ai fait quelques lapements tout en lui massant les fesses et la Terma. Au bout de plusieurs minutes, sa langue pénétrait un peu plus et Zahra commençait à remuer du derrière. J’ai compris qu’elle s’habituait à la pénétration dans son cul mais j’ai décidé de patienter encore plus.
Je lui massais les hanches et les fesses, je pénétrais un doigt puis deux dans l’anus et les remuaient doucement en branle très courte et en les écartant pour assouplir l’entrée. Puis je reprenais avec ma bouche et mes lèvres. Mon autre main n’était pas restée immobile car je sui allé lui caresser la chatte et le clitoris par-dessous. Et au bout d’un moment, Zahra s’est échauffée, et elle m’a demandé d’essayer encore de la pénétrer par la Terma. Décidammant elle voulait tout expérimenter. « rou7 ! doctor ! douk zebek fi teremti ! nikes bessa7 bi chouwaya ! » (vas y ! doctor ! enfonces ton zob dans ma Terma ! baises moi mais doucement !). J’étais impatient depuis un moment, alors j’ai recommencé à gliser et frotter mon zob gonflé, entre ses fesses. Je m’arrêtais seulement un peu quant j’arrivais au niveau de l’anus et je poussais légèrement pour l’ouvrir. Au troisième essai, mon gland pénétra en partie, alors j’ai continué et enfin, il pénétra totalement. Certes Zahra poussa quelques gémissements mais elle m’encuragea « doukou ! doukou ma t’khafach ! zebek la7lou ! bessa7 ch’7aal kh’chine ! » (plonges le ! n’aies pas peur ! ton doux zob ! comme il est gros !).
Alors j’ai poussé et je l’ai enfoncé petit à petit jusqu’aux couilles. Quant mon ventre a claqué sur ses fesses, Zahra a crié de plaisir « aaahhh ! doctor ! ch’7aal m’tiine zebek fi qari ! kheyr mine souti ! 7oukou ! 7oukou ! » (aaahhh ! doctor ! comme il est puissant ton zob dans mon cul ! mieux que dans ma chatte ! ). J’ai compris qu’elle commençait à gouter les charmes de la sodomie. Avoir un zob plogé dans une Terma a toujours éta une jouissance spéciale aussi bien pour les femmes que pour les hommes. Ce sont des sensations de pénétration et de domination toutes nouvelles et follement jouissantes. Et Zahra commençait à en jouir. Alors, j’ai démarré mes vas et viens de plus en plus vigoureux, puissants et accélérés, tout en la tenant fortement par les hanches. Zahra soulevait son derrière pour se pousser encore mieux vers mon zob et moi je trouvais mon aise dans cette position. J’étais monté sur la table et sur Zahra et je jouissais mieux que tout à l’heure.
Me penchant encore plus, j’ai envoyé mes mains par-dessous son corps et j’ai empoigné ses seins et tiré dessus à lui faire mal, mais elle semblait aimer cela car elle murmurait toujours « nikni ya doctor ! nikni mine lor ou mine goudam ! nike ma t’khafach ! hani leyk ana ou souti ou teremti ! » (niques moi ô doctor ! niques par derrière et par devant ! niques et n’aies pas peur ! je suis à toi moi, ma chatte et ma Terma !). Et elle continuait ainsi pendant que je la besognais par derrière. Je lui tirais les cheveux et elle me demandait de continuer plus fort. Elle semble aimer à être violentée dans son corps et dans ses organes sexuels. Elle semble en avoir besoin pour aboutir au plaisir et à la jouissance. Pendant tout ce temps, je ne sais pas si elle avait eu des orgasmes dans sa chatte alors que je l’enculais par derrière. Mais quant je suis arrivé au bout de mon plaisir et que je lui ai dis que j’allais éjaculer, elle m’a demandé de la retourner pour lui remplir encore une fois sa chatte. Alors, rapidement j’ai retiré mon zob de sa Terma et elle s’est position sur le dos. Et après avoir branlé un peu mon zob pour lui garder sa chaleur et son gonflage sexuels, je l’ai replongé violemment dans sa chatte. Encore trois ou quatre vas et viens accélérés et j’ai éjaculé fortement pour la seconde fois dans la chatte de Zahra. Quatre jets puissants de sperme lui ont inondés sa chatte et Zahra a poussé un hurlement de jouissance, de délivrance. Je voyais sur son visage une béatitude extrême, une sorte de délivrance et de victoire.
J’ai compris qu’enfin Zahra venait d’avoir une connaissance nouvelle et jouissante de sa chatte. Elle avait senti que maintenant, sa chatte s’est réellement ouverte, débloquée, offerte aux plaisirs du sexe. Et que même sa Terma, en phase avec sa chatte, s était aussi ouverte et offerte aux zobs et sans honte ni complexes. Sa Terma a été élargie, un peu par la violence de mes coups de zob et par la douleur enfin maitrisée. Mais mon traitement, certes un peu violent, a été efficace sur cette femme bloquée. Ce n’était pas totalement exprès car j’avais été ébloui, séduit et très excité par son corps, le gonflage immédiat de mon zob en a été la preuve évidente, mais le résultat a été presque, disons médical.
Et puis, brusquement, elle changea d’attitude et commença à pleurnicher. Elle m’a avoué dans un murmure « ô doctor ! j’ai honte ! pourquoi avons-nous fais cela ! comment pourrais-je me comporter, maintenant, avec mon amie, votre femme ! ». Je lui ai conseillé de garder ce secret entre nous, car on a été fous, tous les deux. Cependant, je lui ai dis que j’ai eu beaucoup de plaisir avec elle car elle était une très belle femme avec un corps merveilleux et que j’espérais qu’elle a été aussi très heureuse de nos ébats. En effet, baissant les yeux et dans un murmure, elle m’a avoué qu’elle n »avais jamais ressenti de telles choses avec son mari et qu’elle souhaitait seulement être débloquée pour enfanter. Mais elle ne recommencera plus à tromper son mari. Puis, elle est parti toujours en pleurnichant un peu mais radieuse sexuellement. Me rappelant ses ardeurs durant nos ébats sexuels, j’étais certain qu’elle s’était libérée et débloquée totalement. Dommage qu’elle refuse de refaire l’expérience car elle était réellement chaude sexuellement avec un corps merveilleux bien rempli.
Par la suite, nous n’avons pas eu d’autre contact sexuel, mais un mois plus tard, elle m’a demandé une seconde consultation. Je l’ai reçue dans mon cabinet. Elle semblait encore ennuyée comme la dernière fois. Je lui ai dis « La dernière fois, tu avais un problème de manque d’enfantement ! et cette fois, qu’est ce qui se passe ? ». Elle me répondit dans un murmure et un sourire de coin comme si elle désirait m’avouer un secret : « je viens te dire que mon problème, cette fois ci, c’est que je suis engrossée ! ». J’ai étais très étonné mais j’étais très content pour elle et son mari. Je le lui ai dit, mais comme elle continuait à me lorgner du coin de l’œil avec un sourire complice, j’ai compris. Alors j’ai hurlé : « Pas de moi ! c’est impossible ! ».
Elle a baissé la tête et a continué « j’ai fais le test de grossesse et il a été positif, concluant ! ». Je restais, toujours choqué mais encore incertain elle me regardait toujours, attendant mes conclusions de médecin. Est-il possible que les violences de nos ébats, de mon zob et de mes éjaculations abondantes dans sa chatte qui ont eu des résultats ? Elle m’a dit qu’après nos ébats, ses nouvelles relations sexuelles avec son mari ont été nettement meilleures qu’auparavant et qu’ils ont eu du plaisir, et qu’elle pense qu’il a réussi à m’engrosser ! ». J’ai été assez soulagé de son diagnostic mais j’avais quant même quelques doutes. Après tout, dans quelques mois, on verra le résultat, moi ou le mari ? Quelle importance !
Et ainsi, mon ami docteur Omar m’a avoué qu’il était aussi un homme qui aime les belles choses, les plaisirs des chattes et des sodomies, un homme normal en définitive !

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