5-Terma 5 –Sousou et encore Djaffar :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 125 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Noura ont reçu un total de 1 330 866 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 9 103 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
5-Terma 5 –Sousou et encore Djaffar :
5-Terma 5 –Sousou et encore Djaffar : On a fait la grasse matinée jusqu’à dix heures. Au réveil, Sousou avait déjà pris son petit déjeuner qu’il avait préparé. Je me suis levé et rejoint la salle de bain pour une bonne douche. J’ai laissé Djaffar qui se levait et s’étirait comme un chat rassasié. Juste avant de pénétrer la salle d’eau, j’ai vu Sousou qui se déshabillait. Certainement une partie de jambes en l’air en perspectives. Une demi-heure plus tard, à ma sortie de la salle d’eau, Djaffar était derrière Sousou qui était agenouillé sur le lit. Djaffar, hôte infatigable, honore, encore une fois, la terma si belle de Sousou. Une grande chevauchée endiablée, ponctuée de râles et de soupirs prolongés, de bruits de sussions et de claques des cuisses de Djaffar sur les fesses de Sousou.
Le fait d’observer le cul de Sousou en train d’être sodomisé, je ne pus m’empêcher de saisir mon penis, subitement réveillé de désir et de me branler avec frénésie. Il me plait de plus en plus, ce nouvel ami. J’ai constaté que malgré mes débuts de gay, je suis toujours actif sexuel, la preuve, j’avais envie du cul de Sousou. J’ai éjaculé rapidement car j’étais vraiment emballé par cette belle terma qui se donnait sans retenue.
Djaffar par contre, continuait sa chevauchée sexuelle pendant un long moment, puis je l’ai entendu hurler de plaisir à chacune de ses éjaculations. Mais où a-t-il trouvé tout ce sperme pour moi et pour Sousou ? Un mystère dont je lui demanderais l’explication plus tard. Sousou, entrainé par le plaisir, couinait et soufflait, la bouche grande ouverte. Un tableau sexuel merveilleux, et quant Djaffar a quitté le cul de Sousou avec sa queue toujours gonflée et luisante de sperme, c'est moi qui a eu le plaisir de recueillir les dernières gouttes de son jus.
Je l'ai nettoyé avec mes lèvres à la manière que j'ai vu faire Sousou hier soir. Djaffar me tendait à fond son zob pour bien le nettoyer tout en me félicitant, à sa manière : « t’3alameti zeyn t’moussi zebi ya ka7ab’ti ! » (ô ma putain ! tu as bien appris à sucer mon zob). Quittant, juste une seconde le gros penis que je léchais, j’ai répondu : « t’3alamat mine m’sou’sate Sousou ! Sousou zeyn e’terma ! » (j’ai appris des sussions de Sousou ! Sousou à la belle terma !).
Sousou restait couché sur le ventre pour bien gouter sa sodomie. Son beau et gros derrière en l’air et les cuisses largement écartées, m’ont tout de suite attirés comme un aimant. Ses fesses arrondies étaient légèrement brillantes de sperme crémeux ainsi qu’une partie de ses cuisses. J’ai plongé sur son derrière pour profiter de l’occasion. J’avais envie de gouter sa chair avec ma langue. Oui, j’ai léché ses fesses et même l’entrée de son anus, pour les nettoyer du sperme de Djaffar. « ya Soussou ! 7’bibi ! teremtek m’habletni ! khalini en’ndhoug’ha ! » ( ô Sousou ! mon ami ! ta terma m’affole ! laisses moi la gouter !). J’en ai profité pour caresser les belles rondeurs attirantes de son derrière. J’avais l’impression que le corps de Sousou, du moins sa partie arrière, dégageait une sorte de parfum, peut-être les résultats des sueurs de la sodomie. « ya Sousou ! la7amtek b’nina ! routba ! s’khouna ! zébi chahi i’dhoug’ha ! » (ô Sousou ! ta chair sent bon ! douce et chaude ! mon pénis a envie de la gouter !). Alors, il m’a murmuré, très discrètement, j’ai peine à bien le comprendre : « Hahi leyk ya 7abibi ! ki dawar 3li’ha na3ti’ha leik ! » (Elle est à toi mon ami ! quant tu veux, je te la donne !).
Tout cela m’a renforcé dans l’espoir de le sodomiser plus tard. Il m’avait chuchoté son accord, mais je crois que Djaffar ne devrait faire aucun obstacle, d’après ses dires auparavant. En tous cas, Sousou m’a laissé faire, il a même, ensuite, tourné légèrement la tête pour m’observer pendant que je léchais ses fesses, et il avait déjà un sourire complice qui est allé droit dans mon cœur et dans mon bas ventre. Maintenant, j’étais certain qu’il sera d’accord lorsque viendra le moment de notre joie commune.
Puis il s’est levé pour rejoindre la salle d’eau où Djaffar terminait sa douche. Encore un spectacle de Sousou qui vous fait bander ! Je voyais son derrière et ses fesses qui balançaient, qui dansaient ! Sousou a été doté par la nature d’un derrière affolant et il sait s’en servir avec expertise. A ce spectacle merveilleux, mon pénis s’est totalement réveillé ! Non ! non ! il faut me maitriser car ce n’est pas encore le moment ! Aujourd’hui, c’est la fête de ma terma avec Djaffar et non de mon zob avec Sousou.
Vers midi, Sousou est parti pour ses affaires, suivi à 14h par notre hôte Djaffar. Ce dernier m'a recommandé de déjeuner seul car il avait affaire en ville et de l'attendre pour la soirée, si je le voulais bien. J’étais d’accord et je me suis recouché, nu et heureux de cette liberté corporelle et sexuelle dans un vrai lit.
Réveillé vers quinze heures, j’avais le ventre creux. Alors, je me suis préparé un léger repas avec une omelette, du fromage et du thon suivi d’une orange et arrosé avec un jus de raisin que j’ai trouvé au frigo. Ensuite, seul dans l’appartement, je me suis promené complètement nu, en goûtant cette liberté corporelle. Puis, prévoyant une soirée et une nuit mouvementées, je me suis recouché.
Djaffar est revenu à vingt heures et m’a réveillé, reposé et dispo. Il avait apporté quelques provisions et a remarqué que j’étais toujours nu, allongé sur le lit. Il souriait, et j’ai deviné ce qu’il pensait. Alors, pour précipiter l’action, je me suis allongé sur le ventre, en tendant avec provocation mon derrière dans sa direction. Je l’ai agité par deux ou trois mouvements de balancements comme une chatte en chaleur. Un signal bien reçu, alors, rapidement, cet ogre insatiable s'est déshabillé et m'a rejoint au lit. Nous avions encore envie de nos corps, de nos caresses, de nos plaisirs. Certainement une nuit pleine en perspective ! Heureusement que je me suis bien reposé la journée et l’après midi.
Effectivement, la suite fut une merveilleuse partie de plaisir. Cependant, cette fois, il m’a semblé qu’elle fut beaucoup plus violente que les précédentes. Cela m’a, certes, surpris, mais en même temps, cette sodomie acharnée de Djaffar, m’a emballé plus que d’habitude. Par ses coups endiablés, j’avais l’impression d’être encore plus ouvert qu’auparavant et totalement à la merci du sexe et des mains de mon ami. Il usait de mon corps comme il voulait et j'avais du plaisir à me sentir totalement à sa merci. Djaffar était comme un fou et murmurait : « terma albaydha ! ya habibti ! b’zebi n’fass’lak kima nebghi ! » ( blanche terma ! avec mon zob, je vais te modeler comme je veux !). Je n’avais aucune possibilité de réaction. Il ajouta: «e’neik wa z’bouba iwal’lou 3a’n’dak ki rou’7ek ! ma toussoubrich r‘lay’him abada’n ! » ( la sodomie et les zobs deviendront comme ta vie ! tu ne pourras plus t’en passer !) .
Je ne comptais plus ses coups de reins et les vas et viens accélérés de son gros pénis dans mes entrailles. Je m’abandonnais à cette furie sexuelle qui affolait ma respiration et brulait l’intérieur de mon cul. Enfin, dans une cascade de pulsations, j'ai ressenti les décharges de son jus dans mes fondements, cinq ou six jets chauds et puissants. Puis le souffle coupé, nous avons pris un peu de repos. J'étais épuisé par ce choc sexuel, mais tellement satisfait que je n'ai pas pensé à nettoyer le sexe de mon ami, pratique que je commençais à aimer.
Et ce n'est qu'après, alors que nous prenions des douches que j'ai demandé des explications sur cette violence, certes agréable, mais différente des fois précédentes. « ya Djaffar h’bibi ! neik’tek e’taalia hlouwa w’3ounf ! 3’laah ya rou7i ! » ( Djaffar mon ami! ta dernière sodomie a été agréable mais violente ! pourquoi ô ma vie !). Il m'a avoué que, se souvenant de nos deux premiers jours, lorsque nous étions seuls, avant la présence de Sousou, il me sodomisait en pensant à ma situation de presque vierge. Il voulait faire jaillir de ma personnalité le désir d’aimer fortement les sodomies, alors il a décidé de les faire avec passion. C’était sa méthode et il m’a assuré que je l’adopterais, moi aussi, avec passion.
Et ce soir, il était dans les mêmes dispositions d’esprit, avec les mêmes impressions et les mêmes intentions. Donc il voulait renouveler les conditions et les actes de dépucelage. Mon esprit doit, selon lui, être dépucelé en symbiose avec ma terma. En somme, il veut m’amener à supprimer totalement mes tabous sexuels et libérer au maximum mes fantasmes cachés.
Son programme était simple, il voulait me défoncer l'anus pour l'élargir à fond, me secouer le derrière pour me faire sentir son gros pénis danser à l'intérieur de mon sphincter et malaxer avec violence mes fesses et mes hanches jusqu'à les faire rougir de plaisir. C’était un programme alléchant, en perspective, qui m’a émoustillé d'autant plus que j'étais nu et totalement à sa merci, à son désir, à son plaisir.
Et j’étais totalement en accord avec lui, je voulais aussi tirer le maximum de jouissances sexuelles de mon corps et de mon esprit. Ça m’a secoué le bas ventre comme une décharge électrique, et ma terma recommençait à suinter de son jus de désir et à me démanger, alors je lui ai murmuré : « Habibi Djaffar, rani leik kaamal ! teremti moulkak ! » ( mon ami Djaffar, je suis à toi complètement ! teremti est ta propriété !). Et totalement convaincu, j’ajoutais : « nik’ha ! ag’3ar’ha ! tartag’ha ! es’gui’ha ! » (nike la ! défonce la ! explose la ! arrose la !) « teremti lahbiba ! nechtil’ha koul al kheir ! » (ma chère terma ! je n’aime pour elle que du bien!).
Ensuite, nous avons diné copieusement. Mais j’étais encore sous l’emprise du désir de ma belle terma insatiable. Chaque fois qu’elle a envie, elle me démangeait et frétillait en me chatouillant, agréablement je l’avoue, de l’intérieur. C’est un signal que nous avons adoptés tous les deux. Alors j’ai obéit, et j’ai opté pour une provocation de mon ami. Tout en mangeant, je me suis assis, tout nu, sur les cuisses de Djaffar, qui était, lui aussi à poil. Je l’ai forcé à bien manger pour récupérer ses forces, car j’avais encore des visées sur son zob pour cette nuit.
Sous mon cul, je sentais bien la queue de Djaffar qui se réveillait et qui commençait à caresser ma terma. Je bougeais légèrement et habilement du derrière jusqu’à bien implanter son zob dans le sillon de mes fesses. Quelle sensation, follement agréable, presque jouissante. Son zob s’allongeait et se durcissait petit à petit, et cette progression de son sexe faisait aussi accroitre mon désir. Alors, Djaffar m’a aidé par quelques mouvements. Je me suis soulevé légèrement, et tout en mangeant et en riant, nous avons réussi à faire pénétrer le zob dans mes entrailles, tout au fond, jusqu’aux couilles. Ah ! quelle sensation de penetration et de jouissances !
Djaffar, secoué par mon audace, et d’une voix frémissante de désir : « Ah ! ya kahabti ! n’ja7ti dakhal’ti zébi fi teremtek ! » ( ô !putain ! tu as réussi à enfoncer mon zob dans ta terma !) . Oui ! j’en riais de plaisir et j’avouais : « normal ya habibi ! zebek m’ta’n’nane ! wagouf ! dkhal wahdou fi teremti ! » ( normal ! ô mon ami ! ton zob était gonflé ! debout ! il est entré tout seul dans ma terma ! ) et encore : « teremti jébe’t’tou ! w’masstou ! kheli houm yaz’haou ! » (teremti l’a aspiré ! l’a sucée ! laissons les s’amuser !)Et nos sexes se sont amusés ! Je bougeais de la terma pour affoler son zob et ça a marché. Djaffar a oublié de manger et, toujours assis, il m’a empoigné les hanches et me secouait, avec des gestes brusques de désir, sur sa queue. Il me soulevait avec force, puis m’enfonçait sur son zob. C’était la fête pour ma chère terma et pour mes fantasmes. Nu, c’est la première fois que j’ai osé faire cela. Etre ainsi, bien assis et calé sur le zob d’un homme et le laisser me sodomiser à fond et selon son plaisir, je jouissais de corps et d’esprit.
Et ce qui devait arriver, arriva. Il me colla plus fortement sur ses cuisses et éjacula en puissance le contenu de ses couilles dans mes entrailles. Pendant toute cette sodomie, j’étais en transes et je criais presque. Djaffar, lui-même, enflammé par cette position de sodomie, soufflait fort et gémissait des brides de mots dont je n’ai rien compris.
Et lorsqu’il expulsa les dernières cartouches de son zob, il lança un grand soupir de délivrance. Et moi, je n’étais pas en reste, car j’étais bien rempli, inondé et mouillé agréablement par son jus. Je l’ai obligé à me garder ainsi, bien calé sur ses genoux, pendant un bon moment pour bien gouter, non seulement son sperme, mais aussi les chatouillis de ses poils de pubis et la chaleur de ses cuisses sur mes fesses. Je désirais jouir de partout avec cet amant formidable. Puis on s’est séparé pour faire la course, encore une fois, vers la salle de bain.
Après un bon nettoyage, nous sommes retournés au salon. Je savais que Djaffar était, maintenant, assez fatigué, après la performance que je l’ai obligé à faire. Donc pour éviter de nous voir encore nus, nous avons mis de grandes serviettes de toilettes autour de nos reins. Puis nous nous sommes couchés pour prendre un peu de repos. Avant de m’endormir, je pensais toujours à ses paroles concernant sa décision de m’éduquer à sa manière. Après ce qu’on vient de faire, je crois que je suis un bon élève, doué pour la sodomie et les fantasmes.
Djaffar, avec un tel zob et de telles ardeurs, personne ne pourrait le refuser comme professeur. J’étais si content et même heureux de son programme que ma sensation de liberté corporelle et sexuelle s’est amplifié. Dès que j’ai senti que Djaffar s’était endormi, et entrainé par ce plaisir de liberté qui me faisait frissonner, j’ai enlevé ma serviette puis je me suis couché sur le ventre, tout nu et le cul en l’air. Et comme pour effacer tous les tabous, j’ai écarté largement mes cuisses pour exposer librement mes fesses, leur sillon et mon anus. Puis, j’ai étiré en grand mes bras et mes jambes, comme pour concrétiser cette liberté corporelle.
Dans cette position d’abandon au désir de tout amant désirant me sodomiser, je commençais à fantasmer sur des choses jamais imaginées auparavant pour en être l'auteur et le pratiquant. J'osais maintenant avoir des idées folles, imaginer des positions sexuelles, comme dans les revues érotiques. J’avais une sensation de liberté de tout mon corps, non seulement de mes parties génitales et sexuelles, mais aussi de mes seins, de mes lèvres et je rêvais de sodomies à deux, à trois ou plus encore. Je me suis enfin endormi sur ces pensées.
Et, dans mes rêves, je les ai retrouvés, mes fantasmes et leurs images. Ils étaient si nets et si agréables qu’ils ont agit sur mes sens, sur mon corps, alors que je dormais profondément. Les réactions de mon corps qui s’agitait, de plaisir, ont réveillés Djaffar qui dormait à mes cotés. Lorsqu’il me poussa du coude, j’ai émergé de mes rêves érotiques. Ma terma, comme à son habitude, avait déjà sué son suc de désir et mouillée, elle me démangeait. Elle n’était jamais rassasiée, mais je l’aimais bien pour ça.
Pour m’excuser, j’ai exposé, à Djaffar, mes fantasmes et les rêves qui m’ont agité. Mes désirs de sodomie perpétuelle étaient vraiment une idée folle, mais j’étais déchainé et mon cul était de nouveau affamé. Nu et allongé sur le ventre, cuisses largement écartées, ouvert de terma et d’esprit, j’étais à l’aise à coté de Djaffar, et je désirais une autre partie de plaisir. Et encore une fois, pour le provoquer, j’ai allumé la veilleuse à coté du lit. Pauvre Djaffar, le tableau que je lui présentais pouvait difficilement le faire hésiter. Et, malgré qu’il fût encore ensommeillé, il a flippé. « Ah ya zébi ! ki n’chouf teremtek bayna t’siil ! n’wagaff 3’liha ! automatic ! » ( ô zébi ! quant je vois ta terma qui mouille de son jus ! je bande !) . Et moi, avec un sourire d’affamé « ana bel3ani guaw’gué’t ! bach t’chouf’ha t’siil ! aya ! tafili nari ! » (c’est exprès que j’ai pris cette position ! pour que tu la voies qui mouille ! viens ! éteints mon feu !)Quant il a vu, sous la douce lumière de la veilleuse, ma position corporelle, mon derrière et mon cul en l’air et totalement ouvert, il est encore une fois tombé dans le piège de ma terma. Il a ôté sa serviette pour découvrir son zob qui se réveillait doucement, il m’a caressé le derrière pour s’échauffer, et la suite prévisible a été notre programme du reste de la nuit.
Deux fois, comme une tradition, il m’a sodomisé et m’a fait jouir dans la lueur complice de la lampe. La première fois, directement sur mon dos, par derrière, suite au tableau aguichant qu’il avait sous les yeux. Je l’imaginais, les yeux pleins de désirs et le zob plein de plaisirs. La seconde fois, ce fut par devant, face à face, avec mes jambes largement soulevées et écartées. Djaffar soufflait beaucoup. Son éjaculation par derrière fut très prolifique en sperme.
Mais la seconde éjaculation, par devant a été pratiquement nulle, quoique son zob n’ait pas fléchi et m’a bien brossé tout le long de mon sphincter, et j’ai jouis mais sans le sperme. Mon amant commence à fatiguer. Moi et ma terma, par contre, on était toujours prêt pour plusieurs sodomies. Notre appétit du plaisir était presque infini. Mais il fallait prendre soin de la santé de Djaffar. Alors, on s’est arrêtés pour se recoucher, pour les deux heures restantes avant le matin.
Et, à 7h, on s’est levé, douché et rhabillé. Le week end était terminé. Et à 08h, je suis sorti, avant lui, pour prendre le bus du centre ville. J'étais réellement content de ce week-end rempli de plaisirs et de liberté sexuelle nouvelle. Dans le bus, je pensais à Djaffar. Malgré son relâchement cette nuit, je crois qu’il sera capable de tenir sa promesse pour continuer à me faire gouter, pleinement, les joies et les jouissances de la sodomie.
Pour l’instant, toutes mes pensées se sont tournées vers Sousou, et son invitation de le voir chez lui, d’abord pour entendre ses expériences de sodomies, certainement croustillantes, et ensuite, peut-être, pour clarifier cette excitation agréable et attirance que j’ai eu pour son corps.
Le fait d’observer le cul de Sousou en train d’être sodomisé, je ne pus m’empêcher de saisir mon penis, subitement réveillé de désir et de me branler avec frénésie. Il me plait de plus en plus, ce nouvel ami. J’ai constaté que malgré mes débuts de gay, je suis toujours actif sexuel, la preuve, j’avais envie du cul de Sousou. J’ai éjaculé rapidement car j’étais vraiment emballé par cette belle terma qui se donnait sans retenue.
Djaffar par contre, continuait sa chevauchée sexuelle pendant un long moment, puis je l’ai entendu hurler de plaisir à chacune de ses éjaculations. Mais où a-t-il trouvé tout ce sperme pour moi et pour Sousou ? Un mystère dont je lui demanderais l’explication plus tard. Sousou, entrainé par le plaisir, couinait et soufflait, la bouche grande ouverte. Un tableau sexuel merveilleux, et quant Djaffar a quitté le cul de Sousou avec sa queue toujours gonflée et luisante de sperme, c'est moi qui a eu le plaisir de recueillir les dernières gouttes de son jus.
Je l'ai nettoyé avec mes lèvres à la manière que j'ai vu faire Sousou hier soir. Djaffar me tendait à fond son zob pour bien le nettoyer tout en me félicitant, à sa manière : « t’3alameti zeyn t’moussi zebi ya ka7ab’ti ! » (ô ma putain ! tu as bien appris à sucer mon zob). Quittant, juste une seconde le gros penis que je léchais, j’ai répondu : « t’3alamat mine m’sou’sate Sousou ! Sousou zeyn e’terma ! » (j’ai appris des sussions de Sousou ! Sousou à la belle terma !).
Sousou restait couché sur le ventre pour bien gouter sa sodomie. Son beau et gros derrière en l’air et les cuisses largement écartées, m’ont tout de suite attirés comme un aimant. Ses fesses arrondies étaient légèrement brillantes de sperme crémeux ainsi qu’une partie de ses cuisses. J’ai plongé sur son derrière pour profiter de l’occasion. J’avais envie de gouter sa chair avec ma langue. Oui, j’ai léché ses fesses et même l’entrée de son anus, pour les nettoyer du sperme de Djaffar. « ya Soussou ! 7’bibi ! teremtek m’habletni ! khalini en’ndhoug’ha ! » ( ô Sousou ! mon ami ! ta terma m’affole ! laisses moi la gouter !). J’en ai profité pour caresser les belles rondeurs attirantes de son derrière. J’avais l’impression que le corps de Sousou, du moins sa partie arrière, dégageait une sorte de parfum, peut-être les résultats des sueurs de la sodomie. « ya Sousou ! la7amtek b’nina ! routba ! s’khouna ! zébi chahi i’dhoug’ha ! » (ô Sousou ! ta chair sent bon ! douce et chaude ! mon pénis a envie de la gouter !). Alors, il m’a murmuré, très discrètement, j’ai peine à bien le comprendre : « Hahi leyk ya 7abibi ! ki dawar 3li’ha na3ti’ha leik ! » (Elle est à toi mon ami ! quant tu veux, je te la donne !).
Tout cela m’a renforcé dans l’espoir de le sodomiser plus tard. Il m’avait chuchoté son accord, mais je crois que Djaffar ne devrait faire aucun obstacle, d’après ses dires auparavant. En tous cas, Sousou m’a laissé faire, il a même, ensuite, tourné légèrement la tête pour m’observer pendant que je léchais ses fesses, et il avait déjà un sourire complice qui est allé droit dans mon cœur et dans mon bas ventre. Maintenant, j’étais certain qu’il sera d’accord lorsque viendra le moment de notre joie commune.
Puis il s’est levé pour rejoindre la salle d’eau où Djaffar terminait sa douche. Encore un spectacle de Sousou qui vous fait bander ! Je voyais son derrière et ses fesses qui balançaient, qui dansaient ! Sousou a été doté par la nature d’un derrière affolant et il sait s’en servir avec expertise. A ce spectacle merveilleux, mon pénis s’est totalement réveillé ! Non ! non ! il faut me maitriser car ce n’est pas encore le moment ! Aujourd’hui, c’est la fête de ma terma avec Djaffar et non de mon zob avec Sousou.
Vers midi, Sousou est parti pour ses affaires, suivi à 14h par notre hôte Djaffar. Ce dernier m'a recommandé de déjeuner seul car il avait affaire en ville et de l'attendre pour la soirée, si je le voulais bien. J’étais d’accord et je me suis recouché, nu et heureux de cette liberté corporelle et sexuelle dans un vrai lit.
Réveillé vers quinze heures, j’avais le ventre creux. Alors, je me suis préparé un léger repas avec une omelette, du fromage et du thon suivi d’une orange et arrosé avec un jus de raisin que j’ai trouvé au frigo. Ensuite, seul dans l’appartement, je me suis promené complètement nu, en goûtant cette liberté corporelle. Puis, prévoyant une soirée et une nuit mouvementées, je me suis recouché.
Djaffar est revenu à vingt heures et m’a réveillé, reposé et dispo. Il avait apporté quelques provisions et a remarqué que j’étais toujours nu, allongé sur le lit. Il souriait, et j’ai deviné ce qu’il pensait. Alors, pour précipiter l’action, je me suis allongé sur le ventre, en tendant avec provocation mon derrière dans sa direction. Je l’ai agité par deux ou trois mouvements de balancements comme une chatte en chaleur. Un signal bien reçu, alors, rapidement, cet ogre insatiable s'est déshabillé et m'a rejoint au lit. Nous avions encore envie de nos corps, de nos caresses, de nos plaisirs. Certainement une nuit pleine en perspective ! Heureusement que je me suis bien reposé la journée et l’après midi.
Effectivement, la suite fut une merveilleuse partie de plaisir. Cependant, cette fois, il m’a semblé qu’elle fut beaucoup plus violente que les précédentes. Cela m’a, certes, surpris, mais en même temps, cette sodomie acharnée de Djaffar, m’a emballé plus que d’habitude. Par ses coups endiablés, j’avais l’impression d’être encore plus ouvert qu’auparavant et totalement à la merci du sexe et des mains de mon ami. Il usait de mon corps comme il voulait et j'avais du plaisir à me sentir totalement à sa merci. Djaffar était comme un fou et murmurait : « terma albaydha ! ya habibti ! b’zebi n’fass’lak kima nebghi ! » ( blanche terma ! avec mon zob, je vais te modeler comme je veux !). Je n’avais aucune possibilité de réaction. Il ajouta: «e’neik wa z’bouba iwal’lou 3a’n’dak ki rou’7ek ! ma toussoubrich r‘lay’him abada’n ! » ( la sodomie et les zobs deviendront comme ta vie ! tu ne pourras plus t’en passer !) .
Je ne comptais plus ses coups de reins et les vas et viens accélérés de son gros pénis dans mes entrailles. Je m’abandonnais à cette furie sexuelle qui affolait ma respiration et brulait l’intérieur de mon cul. Enfin, dans une cascade de pulsations, j'ai ressenti les décharges de son jus dans mes fondements, cinq ou six jets chauds et puissants. Puis le souffle coupé, nous avons pris un peu de repos. J'étais épuisé par ce choc sexuel, mais tellement satisfait que je n'ai pas pensé à nettoyer le sexe de mon ami, pratique que je commençais à aimer.
Et ce n'est qu'après, alors que nous prenions des douches que j'ai demandé des explications sur cette violence, certes agréable, mais différente des fois précédentes. « ya Djaffar h’bibi ! neik’tek e’taalia hlouwa w’3ounf ! 3’laah ya rou7i ! » ( Djaffar mon ami! ta dernière sodomie a été agréable mais violente ! pourquoi ô ma vie !). Il m'a avoué que, se souvenant de nos deux premiers jours, lorsque nous étions seuls, avant la présence de Sousou, il me sodomisait en pensant à ma situation de presque vierge. Il voulait faire jaillir de ma personnalité le désir d’aimer fortement les sodomies, alors il a décidé de les faire avec passion. C’était sa méthode et il m’a assuré que je l’adopterais, moi aussi, avec passion.
Et ce soir, il était dans les mêmes dispositions d’esprit, avec les mêmes impressions et les mêmes intentions. Donc il voulait renouveler les conditions et les actes de dépucelage. Mon esprit doit, selon lui, être dépucelé en symbiose avec ma terma. En somme, il veut m’amener à supprimer totalement mes tabous sexuels et libérer au maximum mes fantasmes cachés.
Son programme était simple, il voulait me défoncer l'anus pour l'élargir à fond, me secouer le derrière pour me faire sentir son gros pénis danser à l'intérieur de mon sphincter et malaxer avec violence mes fesses et mes hanches jusqu'à les faire rougir de plaisir. C’était un programme alléchant, en perspective, qui m’a émoustillé d'autant plus que j'étais nu et totalement à sa merci, à son désir, à son plaisir.
Et j’étais totalement en accord avec lui, je voulais aussi tirer le maximum de jouissances sexuelles de mon corps et de mon esprit. Ça m’a secoué le bas ventre comme une décharge électrique, et ma terma recommençait à suinter de son jus de désir et à me démanger, alors je lui ai murmuré : « Habibi Djaffar, rani leik kaamal ! teremti moulkak ! » ( mon ami Djaffar, je suis à toi complètement ! teremti est ta propriété !). Et totalement convaincu, j’ajoutais : « nik’ha ! ag’3ar’ha ! tartag’ha ! es’gui’ha ! » (nike la ! défonce la ! explose la ! arrose la !) « teremti lahbiba ! nechtil’ha koul al kheir ! » (ma chère terma ! je n’aime pour elle que du bien!).
Ensuite, nous avons diné copieusement. Mais j’étais encore sous l’emprise du désir de ma belle terma insatiable. Chaque fois qu’elle a envie, elle me démangeait et frétillait en me chatouillant, agréablement je l’avoue, de l’intérieur. C’est un signal que nous avons adoptés tous les deux. Alors j’ai obéit, et j’ai opté pour une provocation de mon ami. Tout en mangeant, je me suis assis, tout nu, sur les cuisses de Djaffar, qui était, lui aussi à poil. Je l’ai forcé à bien manger pour récupérer ses forces, car j’avais encore des visées sur son zob pour cette nuit.
Sous mon cul, je sentais bien la queue de Djaffar qui se réveillait et qui commençait à caresser ma terma. Je bougeais légèrement et habilement du derrière jusqu’à bien implanter son zob dans le sillon de mes fesses. Quelle sensation, follement agréable, presque jouissante. Son zob s’allongeait et se durcissait petit à petit, et cette progression de son sexe faisait aussi accroitre mon désir. Alors, Djaffar m’a aidé par quelques mouvements. Je me suis soulevé légèrement, et tout en mangeant et en riant, nous avons réussi à faire pénétrer le zob dans mes entrailles, tout au fond, jusqu’aux couilles. Ah ! quelle sensation de penetration et de jouissances !
Djaffar, secoué par mon audace, et d’une voix frémissante de désir : « Ah ! ya kahabti ! n’ja7ti dakhal’ti zébi fi teremtek ! » ( ô !putain ! tu as réussi à enfoncer mon zob dans ta terma !) . Oui ! j’en riais de plaisir et j’avouais : « normal ya habibi ! zebek m’ta’n’nane ! wagouf ! dkhal wahdou fi teremti ! » ( normal ! ô mon ami ! ton zob était gonflé ! debout ! il est entré tout seul dans ma terma ! ) et encore : « teremti jébe’t’tou ! w’masstou ! kheli houm yaz’haou ! » (teremti l’a aspiré ! l’a sucée ! laissons les s’amuser !)Et nos sexes se sont amusés ! Je bougeais de la terma pour affoler son zob et ça a marché. Djaffar a oublié de manger et, toujours assis, il m’a empoigné les hanches et me secouait, avec des gestes brusques de désir, sur sa queue. Il me soulevait avec force, puis m’enfonçait sur son zob. C’était la fête pour ma chère terma et pour mes fantasmes. Nu, c’est la première fois que j’ai osé faire cela. Etre ainsi, bien assis et calé sur le zob d’un homme et le laisser me sodomiser à fond et selon son plaisir, je jouissais de corps et d’esprit.
Et ce qui devait arriver, arriva. Il me colla plus fortement sur ses cuisses et éjacula en puissance le contenu de ses couilles dans mes entrailles. Pendant toute cette sodomie, j’étais en transes et je criais presque. Djaffar, lui-même, enflammé par cette position de sodomie, soufflait fort et gémissait des brides de mots dont je n’ai rien compris.
Et lorsqu’il expulsa les dernières cartouches de son zob, il lança un grand soupir de délivrance. Et moi, je n’étais pas en reste, car j’étais bien rempli, inondé et mouillé agréablement par son jus. Je l’ai obligé à me garder ainsi, bien calé sur ses genoux, pendant un bon moment pour bien gouter, non seulement son sperme, mais aussi les chatouillis de ses poils de pubis et la chaleur de ses cuisses sur mes fesses. Je désirais jouir de partout avec cet amant formidable. Puis on s’est séparé pour faire la course, encore une fois, vers la salle de bain.
Après un bon nettoyage, nous sommes retournés au salon. Je savais que Djaffar était, maintenant, assez fatigué, après la performance que je l’ai obligé à faire. Donc pour éviter de nous voir encore nus, nous avons mis de grandes serviettes de toilettes autour de nos reins. Puis nous nous sommes couchés pour prendre un peu de repos. Avant de m’endormir, je pensais toujours à ses paroles concernant sa décision de m’éduquer à sa manière. Après ce qu’on vient de faire, je crois que je suis un bon élève, doué pour la sodomie et les fantasmes.
Djaffar, avec un tel zob et de telles ardeurs, personne ne pourrait le refuser comme professeur. J’étais si content et même heureux de son programme que ma sensation de liberté corporelle et sexuelle s’est amplifié. Dès que j’ai senti que Djaffar s’était endormi, et entrainé par ce plaisir de liberté qui me faisait frissonner, j’ai enlevé ma serviette puis je me suis couché sur le ventre, tout nu et le cul en l’air. Et comme pour effacer tous les tabous, j’ai écarté largement mes cuisses pour exposer librement mes fesses, leur sillon et mon anus. Puis, j’ai étiré en grand mes bras et mes jambes, comme pour concrétiser cette liberté corporelle.
Dans cette position d’abandon au désir de tout amant désirant me sodomiser, je commençais à fantasmer sur des choses jamais imaginées auparavant pour en être l'auteur et le pratiquant. J'osais maintenant avoir des idées folles, imaginer des positions sexuelles, comme dans les revues érotiques. J’avais une sensation de liberté de tout mon corps, non seulement de mes parties génitales et sexuelles, mais aussi de mes seins, de mes lèvres et je rêvais de sodomies à deux, à trois ou plus encore. Je me suis enfin endormi sur ces pensées.
Et, dans mes rêves, je les ai retrouvés, mes fantasmes et leurs images. Ils étaient si nets et si agréables qu’ils ont agit sur mes sens, sur mon corps, alors que je dormais profondément. Les réactions de mon corps qui s’agitait, de plaisir, ont réveillés Djaffar qui dormait à mes cotés. Lorsqu’il me poussa du coude, j’ai émergé de mes rêves érotiques. Ma terma, comme à son habitude, avait déjà sué son suc de désir et mouillée, elle me démangeait. Elle n’était jamais rassasiée, mais je l’aimais bien pour ça.
Pour m’excuser, j’ai exposé, à Djaffar, mes fantasmes et les rêves qui m’ont agité. Mes désirs de sodomie perpétuelle étaient vraiment une idée folle, mais j’étais déchainé et mon cul était de nouveau affamé. Nu et allongé sur le ventre, cuisses largement écartées, ouvert de terma et d’esprit, j’étais à l’aise à coté de Djaffar, et je désirais une autre partie de plaisir. Et encore une fois, pour le provoquer, j’ai allumé la veilleuse à coté du lit. Pauvre Djaffar, le tableau que je lui présentais pouvait difficilement le faire hésiter. Et, malgré qu’il fût encore ensommeillé, il a flippé. « Ah ya zébi ! ki n’chouf teremtek bayna t’siil ! n’wagaff 3’liha ! automatic ! » ( ô zébi ! quant je vois ta terma qui mouille de son jus ! je bande !) . Et moi, avec un sourire d’affamé « ana bel3ani guaw’gué’t ! bach t’chouf’ha t’siil ! aya ! tafili nari ! » (c’est exprès que j’ai pris cette position ! pour que tu la voies qui mouille ! viens ! éteints mon feu !)Quant il a vu, sous la douce lumière de la veilleuse, ma position corporelle, mon derrière et mon cul en l’air et totalement ouvert, il est encore une fois tombé dans le piège de ma terma. Il a ôté sa serviette pour découvrir son zob qui se réveillait doucement, il m’a caressé le derrière pour s’échauffer, et la suite prévisible a été notre programme du reste de la nuit.
Deux fois, comme une tradition, il m’a sodomisé et m’a fait jouir dans la lueur complice de la lampe. La première fois, directement sur mon dos, par derrière, suite au tableau aguichant qu’il avait sous les yeux. Je l’imaginais, les yeux pleins de désirs et le zob plein de plaisirs. La seconde fois, ce fut par devant, face à face, avec mes jambes largement soulevées et écartées. Djaffar soufflait beaucoup. Son éjaculation par derrière fut très prolifique en sperme.
Mais la seconde éjaculation, par devant a été pratiquement nulle, quoique son zob n’ait pas fléchi et m’a bien brossé tout le long de mon sphincter, et j’ai jouis mais sans le sperme. Mon amant commence à fatiguer. Moi et ma terma, par contre, on était toujours prêt pour plusieurs sodomies. Notre appétit du plaisir était presque infini. Mais il fallait prendre soin de la santé de Djaffar. Alors, on s’est arrêtés pour se recoucher, pour les deux heures restantes avant le matin.
Et, à 7h, on s’est levé, douché et rhabillé. Le week end était terminé. Et à 08h, je suis sorti, avant lui, pour prendre le bus du centre ville. J'étais réellement content de ce week-end rempli de plaisirs et de liberté sexuelle nouvelle. Dans le bus, je pensais à Djaffar. Malgré son relâchement cette nuit, je crois qu’il sera capable de tenir sa promesse pour continuer à me faire gouter, pleinement, les joies et les jouissances de la sodomie.
Pour l’instant, toutes mes pensées se sont tournées vers Sousou, et son invitation de le voir chez lui, d’abord pour entendre ses expériences de sodomies, certainement croustillantes, et ensuite, peut-être, pour clarifier cette excitation agréable et attirance que j’ai eu pour son corps.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Noura
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...