50- Charmant guet append pour ma Terma (2)
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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50- Charmant guet append pour ma Terma (2)
50- Charmant guet append pour ma Terma (2) :J’ai acheté quelques nourritures légères et j’ai rejoins le logis d’Ali. Il m’attendait dans la rue, avec des amis. On est monté à l’appartement et j’ai changé de vêtements, en prenant seulement mes survêtements. Et je restais nu par-dessous, prêt à toute éventualité sexuelle. Il était 19h et comme promis hier soir, nous sommes allés chez Aziz, le patron de l’hôtel, pas très loin. Il nous a reçu avec joie et nous a offert du thé sur les fauteuils de la réception. Puis il a jeté un coup d’œil à Ali et ce dernier m’a demandé d’aller avec Aziz. J’avais compris et j’ai suivi Aziz au-delà d’une porte située derrière la réception. C’était juste une chambre spacieuse et dotée d’une grande table à manger, de trois chaises et surtout au coin, d’un grand lit deux places avec draps et couverture. Aussitôt Aziz m’a enlacé et donné des baisers. Moi, j’ai préféré ôter mes survêtements et nu, devant ses yeux arrondis à la vue de mon corps sans poils et ma large Terma blanche et bien remplie, je l’ai aidé à se dénuder. Son zob était pointé à l’horizontal et même un peu vers le haut. Il bandait à fond. Je l’ai pris en main et il était dur et gonflé, un pieu de chair qui affolait déjà mon fantasme et ma Terma. Il commença à me caresser les hanches, les fesses et s’est penché pour me lécher la Terma. Je me suis mis à genoux sur le lit et il s’est pointé derrière moi, tenant son zob pour le mettre à l’entrée de mon anus.
Vous savez que j’ai un anus habitué et élastique. Il s’est ouvert facilement à la poussée du gros zob d’Ali qui s’est enfoncé jusqu’aux couilles. Son ventre a claqué sur mes fesses et il a hurlé de plaisir en disant « ah ya zébi » deux fois. Puis il a foncé. Une quinzaine ou vingtaines de coups de reins puissants, enragés et violents que j’ai accepté avec désir. Il me donnait des claques de ses mains sur les fesses en disant des tas de choses cochonnes « ya 9a7ba ! enikak ! teremtek h’louwa ! nike ya zébi ! nike ! » (putain ! je t’encules ! ta terma est douce ! nike ô mon zob ! nike !) . Ses coups me faisaient mal ça me plaisait, et ses paroles, hurlées dans des souffles saccadés amplifiaient mes jouissances. Enfin, son jus arriva. Il s’accrocha à mes hanches avec force et se colla à ma Terma à chaque éjaculation en hurlant « kouli ! kouli 7libi ya Terma ! aaahhh » (avales ! avales mon lait ô terma !). Puis, jugeant qu’il s’était vidé, il sortit son zob et me donna avec quelques tapes sur les fesses, puis il s’essuya dessus. Ensuite, il s’écroula sur le coté. Je restais un petit moment goutant les frissons qui inondaient mon corps et le sperme qui suintait de mon cul sur mes fesses et mes cuisses. Puis je me sui redressé. Il m’a désigné un coin de la chambre, c’était un coin toilettes que je n’avais pas remarqué au début. Je me suis accroupi pour vider le sperme de mon cul, puis je me suis nettoyé la Terma et j’ai remis mes survêtements et sorti de la chambre.
J’ai trouvé Ali, toujours sur un fauteuil, buvant du thé et fumant une cigarette. Il m’a souri et son regard posait une question. Alors, je lui ai rendu le sourire et levant le pouce, je lui ai confirmé que le zob d’Aziz a été à la hauteur des désirs de ma Terma et j’ai pris place sur un fauteuil. Cinq minutes plus tard, Aziz nous a rejoints. Sans se gêner, il a dit à Ali, à voix normale « Termat 9a7abtak h’louwa et k’bira ! sartitli zébi fissa3 ! » (la Terma de ta pute est douce et profonde ! elle a vite avalé mon zob !) et il ajouta « bissa7 mâsstou 7atta hablatou ! tayart fiha rab3a ! » (mais elle l’a sucé et affolé ! j’ai juté quatre !) et avec un coup d’œil complice vers moi, il me dit « ou mazal zébi rah m’tan’nane 3la Teremtek ! » (mon zob est encore bandé et gonflé pour ta Terma !). Alors, pour lui faire plaisir et sans mentir je lui ai dit « zebek thani kbiir wa m’tine ! zahali Teremti kima yalzam ! n’3aoudouha yak ? » ( ton zob est aussi gros et dur ! il a fait jouir ma Terma comme il faut ! on recommencera n’est ce pas ?). Il lança un gros rire toute gorge déployée et dit à son copain Ali « wach goutlak ! li dhoug zébi ma yachba3ach minou ! » (qu’est ce que je t’ai dis ! celui qui goute mon zob ne peut plus s’en passer !) et à moi « idha chtét, bate m’3aya layla ! » ( si tu veux, passes la nuit avec moi !) et « rouh ! nike barti wala zouj m’3a 3Ali waroua 7li ! » (vas ! nikes une ou deux parties avec Ali et reviens me voir !) et il me promit « enikak layla kamla ! na3tik khamssa barti fi teremtek ! wa n’3amrak bi 3assal qlawya ! » (je te nikerais toute la nuit ! je te donnerais cinq parties dans ta Terma ! et je te remplirais avec le miel de mes couilles !). Ali, en entendant ces paroles, et certainement connaissant son copain m’a dit qu’il était tout a fait d’accord si moi je voulais bien. Et comme je désirais encore gouter le zob de Aziz, et voyant que Ali était consentant, j’ai dis que nous pouvons commencer directement sans aller avec Ali chez lui. Aziz était aux anges et immédiatement il m’a invité à le joindre dans la chambre à coté.
Nous avons salué Ali qui est parti tout penaud, après tout c’était sa faute ! Et avec Aziz, je suis entré dans sa cage sexuelle. Il était environ 22h en nous avons commencé immédiatement à nous dénuder. Il avait raison, son zob était bandé, gonflé et assez dur. Je l’ai aidé en le branlant et le suçant avec vigueur et nous avons commencé à nous donner du plaisir et des jouissances. Nous avons baisé jusqu’à 4h du matin, et il m’a sodomisé trois fois et non pas cinq comme promis. Mais avec des pauses et des sussions et branles de ma part sur son zob et ses couilles. Il a éjaculé deux fois fortement mais la troisième n’a été que quelques tâches. Nous nous sommes très peu lavé car souvent on a préféré baiser avec le sperme précédent, en partie encore dans ma Terma. J’ai baisé en dansant sur son zob et lui couché le dos sur le lit. On a baisé avec moi couché sur le lit et lui à genoux entre mes cuisses et fourrant son zob dans mon anus tout en se courbant sur ma poitrine. Il m’a torturé les seins et mordillé leurs boutons à me faire mal. Et toutes ses violences et son langage cochon n’ont fait qu’ajouter à mes jouissances et à mes fantasmes. Et vers 4 h, on s’est arrêté, épuisés. Comme mes affaires étaient chez Ali, j’ai proposé à Aziz de me libérer pour aller tout de suite finir ma nuit chez Ali et il a accepté et m’a accompagné.
On a cogné chez Ali qui a ouvert au troisième coup. Aziz est parti et quant j’ai pénétré l’appartement, Ali n’était pas très content. J’ai facilement compris que c’était beaucoup à cause de ma nuit chez Aziz que de l’avoir réveillé à 4h du matin. Quant on s’est mit au lit, j’ai préféré me mettre à poil et je me suis serré contre lui. J’ai caressé son zob à travers son léger pantalon et il s’est gonflé immédiatement. Ali a refusé mais je lui enlevé son vêtement avec force et rejetant les draps, je me suis assis sur son zob. Je l’ai enfoncé dans ma Terma en gémissant, beaucoup en comédie, et j’ai remué de lu derrière dans tous les sens. Ali était resté d’abord immobile comme non concerné mais rapidement le plaisir arrivant, il m’a accroché les hanches et commencé lui aussi à me donner des coups de reins. On a baisé pendant un long moment car Ali n’était pas très chaud mais quant la machine a atteint sa vitesse de croisière, il hurlait son plaisir et moi, je faisais confiance à ma Terma. Un bon gros zob, bien gonflé, la faisait toujours très vite frémir et suer de jouissances. Il a éjaculé, lui aussi, quatre fois en s’accompagnant par des coups de reins. Je lui ai donné quelques caresses et baisers et j’ai su qu’on s’était réconcilié. On est allé se nettoyer dans la douche à 5h du matin et, je savais que ça allé arriver. Après quelques caresses au lieu de nettoyages, son zob s’est regonflé. Alors, il m’a collé contre le mur de la douche et me penchant et écartant mes jambes et cuisses, il m’a enfoncé son gros zob dans la Terma. Puis, avec des gémissements et même cris et souffles plus forts et plus saccadés que tout à l’heure, il m’a sodomisé comme un fou. Je savais que son acceptation à me donner à son copain Aziz allait lui procurer un besoin de vengeance affolé. C’est pourquoi, après le casse croute tout à l’heure sur le lit, j’attendais sa réaction plus violente. C’est ce qu’il me fait maintenant contre le mur. Il donnait des coups de reins qui «ébranlaient mon corps, heureusement qu’il me tenait fortement les hanches.
Et après une bonne série de vas et viens puissants et accélérés, il s’accrocha à ma Terma et éjacula avec puissance. Là aussi, à chaque éjaculation, il enfonçait encore son zob dans mes entrailles comme pour sortir par mon ventre. Pour lui faire plaisir, je criais avec lui, quoique mes jouissances fussent moindres. Enfin, il se vida au maximum et s’écarta en poussant un long soupir de délivrance, de contentement. Comme il restait debout, le dos au mur et comme assomé, j’ai pris son zob pour le nettoyer doucement avec mes lèvres et étant accroupi, je poussais ma Terma pour évacuer le maximum de sperme. Ensuite, on s’est encore douché et recouché, nus, enlacés, son zob contre mon ventre. Heureusement que j’avais mis l’alarme de mon portable à 8h pour aller à l’hôpital à 8h30 après un petit déjeuner dans un café en route. Comme hier, on a passé la même journée, c’était la troisième et le dernier jour pour les soins à ma femme. Demain, elle pourra quitter l’hôpital et vers 18h je suis sorti pour rejoindre Ali. Il n’était pas dans l’appartement mais j’ai réussi à le trouver chez son ami Aziz. Ils ont du se raconter pas mal de choses sur ma Terma. Ali était souriant, il a oublié son problème d’hier après avoir bien fini la nuit avec moi. Et Aziz était aussi très souriant et il m’a accueilli, sans se gêner, par un baiser sur la joue mais une caresse appuyée sur la Terma. J’ai pris les clés d’Aziz pour aller me changer et je suis aussitôt revenu vers mes deux amants.
On buvait le thé d’Aziz et on bavardait sexe et surtout Terma. Ils m’ont demandé depuis quant ma Terma jouissait des zobs et je les ai provoqués en leur demandant si leurs zobs ont eu des problèmes pour me pénétrer. Ils ont éclaté de rire tous les deux et, machinalement, leurs mais sont allés vers leurs braguettes. Je distinguais bien qu’ils bandaient. Je me suis levé et me suis accroupi entre les deux. J’ai ouvert leurs braguettes et sortis leurs zobs. Effectivement, ça bandait à fond chez l’un comme chez l’autre. J’ai commencé à sucer d’abord Ali et branler son zob avec la main gauche, et tenant avec ma droite immobile le zob de Aziz. J’ai mis un certain temps en branlant et suçant Ali et je savais que Aziz n’allait pas tenir. En effet, à un moment, il éclata « ya 9a7ba ! moussili zébi ! rah dor yatartag ! » (putain ! suces mon zob ! il va éclater !).Je le savais, Aziz a une sexualité beaucoup plus violente et presque animale que Ali qui est plus résistant, plus calme. Alors, j’ai changé de zob à ma bouche et mes lèvres et j’ai pris Aziz pour le sucer et le branler. En réalité je branlais les deux mais je suçais seulement Aziz et rapidement j’ai ressenti sa dureté et si je continuais, il allait éjaculer.
Or, ma Terma désirait une sodomie immédiate et une éjaculation à ne pas perdre. Alors je me redressé et tenant le zob d’Aziz à la main, j’ai entrainé le patron dans sa chambre des plaisirs. Et rapidement dénudé, je me suis mis à genoux sur le lit, offrant à mon amant ma Terma et ses trésors. Il hurla en enfonçant son zob dans mon anus et glissa directement jusqu’au fond en faisant claquer son ventre sur mes fesses. Et comme hier, il m’a sodomisé avec violences physiques et verbales. J’ai largement gouté cette première sodomie de la journée. J’ai serré ma Terma pour ressentir mieux et la pénétration du zob et son enfoncement dans mes entrailles. Après une quinzaines de vas et viens comme hier, Aziz à éjaculé quatre jets puissants et accompagnés de coups de reins. Puis, je l’ai repoussé pour aller me vider et nettoyer dans le coin toilettes. Ensuite, toujours nu, j’ai entr’ouvert la porte pour voir Ali qui buvait calmement son thé et discrètement, je lui ai fait signe de me rejoindre dans la chambre. Aziz finissait de se laver quant Ali est entré. Je me suis mis dans la même position qu’avant, à genoux sur le lit, le cul offert pour Ali. Aziz sortit de la chambre, sans s’empêcher de me caresser les fesses et lancer quelques cochonneries « Raha Terma 7amya ya Ali ! sa7a leyk enayka ! ana zébi rah mazal m’tan’nane ! » (La Terma est chaude ô Ali ! bonne neyka ! moi, mon zob est encore gonflé !). Ali se pointa derrière moi et, encore plus facilement que Aziz, il enfonça son zob jusqu’aux couilles. Et il se lança dans la farandole des vas et viens de plaisir. Je commençais à discerner les différences entre les zobs de mes deux amants à l’intérieur de ma Terma. Celui d’Aziz est nettement plus puissant et affolant. Ma Terma le préfère très largement et voudrait l’avoir en permanence. De même que pour ses éjaculations, beaucoup plus puissantes et abondantes qu’Ali. Le zob d’Ali est par contre, certes puissant, mais plus doux, plus gentille. Ali essaie toujours de ne pas faire mal, alors que Aziz veut violenter la Terma. Et la mienne préfère être violenté, mais elle ne néglige pas les plaisirs donnés par le zob d’Ali.
Je suis arrêté dans mes idées par l’éjaculation précipitée d’Ali qui s’accrochait à mes hanches. Puis, nous sommes allés nous nettoyer au coin toilettes qu’il connaissait. Bien sur j’ai eu aussi du plaisir avec Ali, puis nous avons rejoint Aziz à la réception de l’hôtel. J’ai demandé à Aziz de me faire visiter son hôtel. Il y avait quatre étages et la plupart des clients étaient des habitués à l’année. Deux chambres étaient vides et j’ai vu leur intérieur qui était propre et normalement meublé. Aziz a une femme de ménage qui travaille de 8h à 14h pour tout nettoyer et arranger. Il a une petite cuisine et une étroite buanderie, mais juste pour ses besoins personnels et ses amis le cas échéant. Les clients dinent ailleurs à leur convenance et doivent réintégrer l’hôtel avant 22h, heure de fermeture. J’ai réservé une chambre pour la journée de demain, lorsque ma femme sortira de l’hôpital. Puis on a discuté un long moment jusqu’à ce que le zob affamé d’Aziz le démange. Pour Aziz, il suffit de parler de Terma et de zob pour qu’il bande et met sa main sur sa braguette. C’est moi qui l’ai provoqué après une demi-heure de discussion, j’ai orienté l’affaire sur les gros zobs et les larges Terma et ça a marché. Aussitôt, il m’a lancé un regard d’affamé et je me suis levé pour rejoindre encore la petite chambre d’amour. Il m’a rejoint aussitôt et il m’a encore sodomisé, le dos sur le lit et lui entre mes cuisses, sans oublier ses cris de plaisir et son langage cochon. Après l’éjaculation, nous nous sommes nettoyés et rejoint Ali. Notre partie n’a duré qu’un peu plus d’une demi-heure. Et je voyais Ali qui tripotait sa braguette. Je lui ai lancé une invitation et il a accepté. Alors on a rejoint la petite chambre et Ali, toujours avec sa douceur et son silence m’a sodomisé et éjaculé trois bons jets et quelques restes plus calmes. Il m’a avoué qu’il nous avait entendus, quant on baisait moi et Aziz. Les paroles cochonnes d’Aziz et les bruits de sussions bruyantes de son zob dans ma Terma l’avaient tellement excité qu’il a failli éjaculer dans son pantalon. Heureusement que j’avais vite fini avec Aziz pour lui permettre à Ali de se satisfaire et d’éjaculer dans ma Terma et non par terre.
Puis, nous avons quitté Aziz pour rejoindre le logis d’Ali. Mais avant, et encore une fois, j’ai remarqué la grosse bosse au niveau de la braguette d’Aziz et j’ai compris qu’il bandait à fond. Alors, j’ai demandé à Ali de me précéder eau logis et que je le rejoindrais dans quelques minutes, alors il est parti. Je me suis agenouillé devant Aziz et j’ai sorti de sa braguette, son zob effectivement gonflé à bloc. Puis j’ai commencé à le lécher et sucer et aussi à le branler. Aziz était aux anges et voulait qu’on rejoigne la chambre, mais j’ai refusé. Et j’ai continué à le sucer, à aspirer son gland et à le branler jusqu’à ce que j’aie ressenti les premiers frémissements du zob. J savais qu’il allait juter après trois ou quatre branles. Alors, me relevant et abaissant mon pantalon, je me suis assis, le dos tourné sur le zob d’Aziz. Avec la main, j’ai réussi à enfoncer le zob dans ma Terma. Les mains sur les cuisses d’Aziz, j’ai dansé quelques mouvements hauts et bas pour le branler le zob avec ma Terma et rapidement l’éjaculation a explosé dans mes entrailles. Je suis resté complètement assis sur le zob et les cuisses d’Aziz un moment et quant le zob s’est calmé, je me suis détaché. Puis je suis entré en vitesse, avec le cul en l’air et le pantalon sur les jambes, dans la chambre pour me nettoyer car je ne voulais pas polluer mon vêtement. Rapidement j’ai réparé les dégâts et plus propre, je suis parti vers le logis d’Ali laissant Aziz, presque groggy, sur son fauteuil, le zob en l’air, luisant de sperme et recourbé sur ses cuisses écartées. A la question d’Ali sur mon retard, j’ai dis que j’étais assuré de ma commende de chambre avec ma femme pour demain. On a rejoint l’appartement et, là aussi, nus sur le lit, nous avons fait l’amour. Et Ali, en confiance, m’a sodomisé par trois fois et éjaculé presqu’autant. Et après une bonne douche chaude, et ma Terma en grande partie apaisée, nous nous sommes couchés comme hier soir, enlacé et son zob affaibli contre mon ventre.
Vous savez que j’ai un anus habitué et élastique. Il s’est ouvert facilement à la poussée du gros zob d’Ali qui s’est enfoncé jusqu’aux couilles. Son ventre a claqué sur mes fesses et il a hurlé de plaisir en disant « ah ya zébi » deux fois. Puis il a foncé. Une quinzaine ou vingtaines de coups de reins puissants, enragés et violents que j’ai accepté avec désir. Il me donnait des claques de ses mains sur les fesses en disant des tas de choses cochonnes « ya 9a7ba ! enikak ! teremtek h’louwa ! nike ya zébi ! nike ! » (putain ! je t’encules ! ta terma est douce ! nike ô mon zob ! nike !) . Ses coups me faisaient mal ça me plaisait, et ses paroles, hurlées dans des souffles saccadés amplifiaient mes jouissances. Enfin, son jus arriva. Il s’accrocha à mes hanches avec force et se colla à ma Terma à chaque éjaculation en hurlant « kouli ! kouli 7libi ya Terma ! aaahhh » (avales ! avales mon lait ô terma !). Puis, jugeant qu’il s’était vidé, il sortit son zob et me donna avec quelques tapes sur les fesses, puis il s’essuya dessus. Ensuite, il s’écroula sur le coté. Je restais un petit moment goutant les frissons qui inondaient mon corps et le sperme qui suintait de mon cul sur mes fesses et mes cuisses. Puis je me sui redressé. Il m’a désigné un coin de la chambre, c’était un coin toilettes que je n’avais pas remarqué au début. Je me suis accroupi pour vider le sperme de mon cul, puis je me suis nettoyé la Terma et j’ai remis mes survêtements et sorti de la chambre.
J’ai trouvé Ali, toujours sur un fauteuil, buvant du thé et fumant une cigarette. Il m’a souri et son regard posait une question. Alors, je lui ai rendu le sourire et levant le pouce, je lui ai confirmé que le zob d’Aziz a été à la hauteur des désirs de ma Terma et j’ai pris place sur un fauteuil. Cinq minutes plus tard, Aziz nous a rejoints. Sans se gêner, il a dit à Ali, à voix normale « Termat 9a7abtak h’louwa et k’bira ! sartitli zébi fissa3 ! » (la Terma de ta pute est douce et profonde ! elle a vite avalé mon zob !) et il ajouta « bissa7 mâsstou 7atta hablatou ! tayart fiha rab3a ! » (mais elle l’a sucé et affolé ! j’ai juté quatre !) et avec un coup d’œil complice vers moi, il me dit « ou mazal zébi rah m’tan’nane 3la Teremtek ! » (mon zob est encore bandé et gonflé pour ta Terma !). Alors, pour lui faire plaisir et sans mentir je lui ai dit « zebek thani kbiir wa m’tine ! zahali Teremti kima yalzam ! n’3aoudouha yak ? » ( ton zob est aussi gros et dur ! il a fait jouir ma Terma comme il faut ! on recommencera n’est ce pas ?). Il lança un gros rire toute gorge déployée et dit à son copain Ali « wach goutlak ! li dhoug zébi ma yachba3ach minou ! » (qu’est ce que je t’ai dis ! celui qui goute mon zob ne peut plus s’en passer !) et à moi « idha chtét, bate m’3aya layla ! » ( si tu veux, passes la nuit avec moi !) et « rouh ! nike barti wala zouj m’3a 3Ali waroua 7li ! » (vas ! nikes une ou deux parties avec Ali et reviens me voir !) et il me promit « enikak layla kamla ! na3tik khamssa barti fi teremtek ! wa n’3amrak bi 3assal qlawya ! » (je te nikerais toute la nuit ! je te donnerais cinq parties dans ta Terma ! et je te remplirais avec le miel de mes couilles !). Ali, en entendant ces paroles, et certainement connaissant son copain m’a dit qu’il était tout a fait d’accord si moi je voulais bien. Et comme je désirais encore gouter le zob de Aziz, et voyant que Ali était consentant, j’ai dis que nous pouvons commencer directement sans aller avec Ali chez lui. Aziz était aux anges et immédiatement il m’a invité à le joindre dans la chambre à coté.
Nous avons salué Ali qui est parti tout penaud, après tout c’était sa faute ! Et avec Aziz, je suis entré dans sa cage sexuelle. Il était environ 22h en nous avons commencé immédiatement à nous dénuder. Il avait raison, son zob était bandé, gonflé et assez dur. Je l’ai aidé en le branlant et le suçant avec vigueur et nous avons commencé à nous donner du plaisir et des jouissances. Nous avons baisé jusqu’à 4h du matin, et il m’a sodomisé trois fois et non pas cinq comme promis. Mais avec des pauses et des sussions et branles de ma part sur son zob et ses couilles. Il a éjaculé deux fois fortement mais la troisième n’a été que quelques tâches. Nous nous sommes très peu lavé car souvent on a préféré baiser avec le sperme précédent, en partie encore dans ma Terma. J’ai baisé en dansant sur son zob et lui couché le dos sur le lit. On a baisé avec moi couché sur le lit et lui à genoux entre mes cuisses et fourrant son zob dans mon anus tout en se courbant sur ma poitrine. Il m’a torturé les seins et mordillé leurs boutons à me faire mal. Et toutes ses violences et son langage cochon n’ont fait qu’ajouter à mes jouissances et à mes fantasmes. Et vers 4 h, on s’est arrêté, épuisés. Comme mes affaires étaient chez Ali, j’ai proposé à Aziz de me libérer pour aller tout de suite finir ma nuit chez Ali et il a accepté et m’a accompagné.
On a cogné chez Ali qui a ouvert au troisième coup. Aziz est parti et quant j’ai pénétré l’appartement, Ali n’était pas très content. J’ai facilement compris que c’était beaucoup à cause de ma nuit chez Aziz que de l’avoir réveillé à 4h du matin. Quant on s’est mit au lit, j’ai préféré me mettre à poil et je me suis serré contre lui. J’ai caressé son zob à travers son léger pantalon et il s’est gonflé immédiatement. Ali a refusé mais je lui enlevé son vêtement avec force et rejetant les draps, je me suis assis sur son zob. Je l’ai enfoncé dans ma Terma en gémissant, beaucoup en comédie, et j’ai remué de lu derrière dans tous les sens. Ali était resté d’abord immobile comme non concerné mais rapidement le plaisir arrivant, il m’a accroché les hanches et commencé lui aussi à me donner des coups de reins. On a baisé pendant un long moment car Ali n’était pas très chaud mais quant la machine a atteint sa vitesse de croisière, il hurlait son plaisir et moi, je faisais confiance à ma Terma. Un bon gros zob, bien gonflé, la faisait toujours très vite frémir et suer de jouissances. Il a éjaculé, lui aussi, quatre fois en s’accompagnant par des coups de reins. Je lui ai donné quelques caresses et baisers et j’ai su qu’on s’était réconcilié. On est allé se nettoyer dans la douche à 5h du matin et, je savais que ça allé arriver. Après quelques caresses au lieu de nettoyages, son zob s’est regonflé. Alors, il m’a collé contre le mur de la douche et me penchant et écartant mes jambes et cuisses, il m’a enfoncé son gros zob dans la Terma. Puis, avec des gémissements et même cris et souffles plus forts et plus saccadés que tout à l’heure, il m’a sodomisé comme un fou. Je savais que son acceptation à me donner à son copain Aziz allait lui procurer un besoin de vengeance affolé. C’est pourquoi, après le casse croute tout à l’heure sur le lit, j’attendais sa réaction plus violente. C’est ce qu’il me fait maintenant contre le mur. Il donnait des coups de reins qui «ébranlaient mon corps, heureusement qu’il me tenait fortement les hanches.
Et après une bonne série de vas et viens puissants et accélérés, il s’accrocha à ma Terma et éjacula avec puissance. Là aussi, à chaque éjaculation, il enfonçait encore son zob dans mes entrailles comme pour sortir par mon ventre. Pour lui faire plaisir, je criais avec lui, quoique mes jouissances fussent moindres. Enfin, il se vida au maximum et s’écarta en poussant un long soupir de délivrance, de contentement. Comme il restait debout, le dos au mur et comme assomé, j’ai pris son zob pour le nettoyer doucement avec mes lèvres et étant accroupi, je poussais ma Terma pour évacuer le maximum de sperme. Ensuite, on s’est encore douché et recouché, nus, enlacés, son zob contre mon ventre. Heureusement que j’avais mis l’alarme de mon portable à 8h pour aller à l’hôpital à 8h30 après un petit déjeuner dans un café en route. Comme hier, on a passé la même journée, c’était la troisième et le dernier jour pour les soins à ma femme. Demain, elle pourra quitter l’hôpital et vers 18h je suis sorti pour rejoindre Ali. Il n’était pas dans l’appartement mais j’ai réussi à le trouver chez son ami Aziz. Ils ont du se raconter pas mal de choses sur ma Terma. Ali était souriant, il a oublié son problème d’hier après avoir bien fini la nuit avec moi. Et Aziz était aussi très souriant et il m’a accueilli, sans se gêner, par un baiser sur la joue mais une caresse appuyée sur la Terma. J’ai pris les clés d’Aziz pour aller me changer et je suis aussitôt revenu vers mes deux amants.
On buvait le thé d’Aziz et on bavardait sexe et surtout Terma. Ils m’ont demandé depuis quant ma Terma jouissait des zobs et je les ai provoqués en leur demandant si leurs zobs ont eu des problèmes pour me pénétrer. Ils ont éclaté de rire tous les deux et, machinalement, leurs mais sont allés vers leurs braguettes. Je distinguais bien qu’ils bandaient. Je me suis levé et me suis accroupi entre les deux. J’ai ouvert leurs braguettes et sortis leurs zobs. Effectivement, ça bandait à fond chez l’un comme chez l’autre. J’ai commencé à sucer d’abord Ali et branler son zob avec la main gauche, et tenant avec ma droite immobile le zob de Aziz. J’ai mis un certain temps en branlant et suçant Ali et je savais que Aziz n’allait pas tenir. En effet, à un moment, il éclata « ya 9a7ba ! moussili zébi ! rah dor yatartag ! » (putain ! suces mon zob ! il va éclater !).Je le savais, Aziz a une sexualité beaucoup plus violente et presque animale que Ali qui est plus résistant, plus calme. Alors, j’ai changé de zob à ma bouche et mes lèvres et j’ai pris Aziz pour le sucer et le branler. En réalité je branlais les deux mais je suçais seulement Aziz et rapidement j’ai ressenti sa dureté et si je continuais, il allait éjaculer.
Or, ma Terma désirait une sodomie immédiate et une éjaculation à ne pas perdre. Alors je me redressé et tenant le zob d’Aziz à la main, j’ai entrainé le patron dans sa chambre des plaisirs. Et rapidement dénudé, je me suis mis à genoux sur le lit, offrant à mon amant ma Terma et ses trésors. Il hurla en enfonçant son zob dans mon anus et glissa directement jusqu’au fond en faisant claquer son ventre sur mes fesses. Et comme hier, il m’a sodomisé avec violences physiques et verbales. J’ai largement gouté cette première sodomie de la journée. J’ai serré ma Terma pour ressentir mieux et la pénétration du zob et son enfoncement dans mes entrailles. Après une quinzaines de vas et viens comme hier, Aziz à éjaculé quatre jets puissants et accompagnés de coups de reins. Puis, je l’ai repoussé pour aller me vider et nettoyer dans le coin toilettes. Ensuite, toujours nu, j’ai entr’ouvert la porte pour voir Ali qui buvait calmement son thé et discrètement, je lui ai fait signe de me rejoindre dans la chambre. Aziz finissait de se laver quant Ali est entré. Je me suis mis dans la même position qu’avant, à genoux sur le lit, le cul offert pour Ali. Aziz sortit de la chambre, sans s’empêcher de me caresser les fesses et lancer quelques cochonneries « Raha Terma 7amya ya Ali ! sa7a leyk enayka ! ana zébi rah mazal m’tan’nane ! » (La Terma est chaude ô Ali ! bonne neyka ! moi, mon zob est encore gonflé !). Ali se pointa derrière moi et, encore plus facilement que Aziz, il enfonça son zob jusqu’aux couilles. Et il se lança dans la farandole des vas et viens de plaisir. Je commençais à discerner les différences entre les zobs de mes deux amants à l’intérieur de ma Terma. Celui d’Aziz est nettement plus puissant et affolant. Ma Terma le préfère très largement et voudrait l’avoir en permanence. De même que pour ses éjaculations, beaucoup plus puissantes et abondantes qu’Ali. Le zob d’Ali est par contre, certes puissant, mais plus doux, plus gentille. Ali essaie toujours de ne pas faire mal, alors que Aziz veut violenter la Terma. Et la mienne préfère être violenté, mais elle ne néglige pas les plaisirs donnés par le zob d’Ali.
Je suis arrêté dans mes idées par l’éjaculation précipitée d’Ali qui s’accrochait à mes hanches. Puis, nous sommes allés nous nettoyer au coin toilettes qu’il connaissait. Bien sur j’ai eu aussi du plaisir avec Ali, puis nous avons rejoint Aziz à la réception de l’hôtel. J’ai demandé à Aziz de me faire visiter son hôtel. Il y avait quatre étages et la plupart des clients étaient des habitués à l’année. Deux chambres étaient vides et j’ai vu leur intérieur qui était propre et normalement meublé. Aziz a une femme de ménage qui travaille de 8h à 14h pour tout nettoyer et arranger. Il a une petite cuisine et une étroite buanderie, mais juste pour ses besoins personnels et ses amis le cas échéant. Les clients dinent ailleurs à leur convenance et doivent réintégrer l’hôtel avant 22h, heure de fermeture. J’ai réservé une chambre pour la journée de demain, lorsque ma femme sortira de l’hôpital. Puis on a discuté un long moment jusqu’à ce que le zob affamé d’Aziz le démange. Pour Aziz, il suffit de parler de Terma et de zob pour qu’il bande et met sa main sur sa braguette. C’est moi qui l’ai provoqué après une demi-heure de discussion, j’ai orienté l’affaire sur les gros zobs et les larges Terma et ça a marché. Aussitôt, il m’a lancé un regard d’affamé et je me suis levé pour rejoindre encore la petite chambre d’amour. Il m’a rejoint aussitôt et il m’a encore sodomisé, le dos sur le lit et lui entre mes cuisses, sans oublier ses cris de plaisir et son langage cochon. Après l’éjaculation, nous nous sommes nettoyés et rejoint Ali. Notre partie n’a duré qu’un peu plus d’une demi-heure. Et je voyais Ali qui tripotait sa braguette. Je lui ai lancé une invitation et il a accepté. Alors on a rejoint la petite chambre et Ali, toujours avec sa douceur et son silence m’a sodomisé et éjaculé trois bons jets et quelques restes plus calmes. Il m’a avoué qu’il nous avait entendus, quant on baisait moi et Aziz. Les paroles cochonnes d’Aziz et les bruits de sussions bruyantes de son zob dans ma Terma l’avaient tellement excité qu’il a failli éjaculer dans son pantalon. Heureusement que j’avais vite fini avec Aziz pour lui permettre à Ali de se satisfaire et d’éjaculer dans ma Terma et non par terre.
Puis, nous avons quitté Aziz pour rejoindre le logis d’Ali. Mais avant, et encore une fois, j’ai remarqué la grosse bosse au niveau de la braguette d’Aziz et j’ai compris qu’il bandait à fond. Alors, j’ai demandé à Ali de me précéder eau logis et que je le rejoindrais dans quelques minutes, alors il est parti. Je me suis agenouillé devant Aziz et j’ai sorti de sa braguette, son zob effectivement gonflé à bloc. Puis j’ai commencé à le lécher et sucer et aussi à le branler. Aziz était aux anges et voulait qu’on rejoigne la chambre, mais j’ai refusé. Et j’ai continué à le sucer, à aspirer son gland et à le branler jusqu’à ce que j’aie ressenti les premiers frémissements du zob. J savais qu’il allait juter après trois ou quatre branles. Alors, me relevant et abaissant mon pantalon, je me suis assis, le dos tourné sur le zob d’Aziz. Avec la main, j’ai réussi à enfoncer le zob dans ma Terma. Les mains sur les cuisses d’Aziz, j’ai dansé quelques mouvements hauts et bas pour le branler le zob avec ma Terma et rapidement l’éjaculation a explosé dans mes entrailles. Je suis resté complètement assis sur le zob et les cuisses d’Aziz un moment et quant le zob s’est calmé, je me suis détaché. Puis je suis entré en vitesse, avec le cul en l’air et le pantalon sur les jambes, dans la chambre pour me nettoyer car je ne voulais pas polluer mon vêtement. Rapidement j’ai réparé les dégâts et plus propre, je suis parti vers le logis d’Ali laissant Aziz, presque groggy, sur son fauteuil, le zob en l’air, luisant de sperme et recourbé sur ses cuisses écartées. A la question d’Ali sur mon retard, j’ai dis que j’étais assuré de ma commende de chambre avec ma femme pour demain. On a rejoint l’appartement et, là aussi, nus sur le lit, nous avons fait l’amour. Et Ali, en confiance, m’a sodomisé par trois fois et éjaculé presqu’autant. Et après une bonne douche chaude, et ma Terma en grande partie apaisée, nous nous sommes couchés comme hier soir, enlacé et son zob affaibli contre mon ventre.
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