51- Charmant guet append et ma femme entre en jeu :(3) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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51- Charmant guet append et ma femme entre en jeu :(3) :
51- Charmant guet append et ma femme entre en jeu :(3) :Le lendemain à 9h, j’ai fait les formalités et vers 11h j’ai sorti ma femme de l’hôpital. Elle était cependant assez fatiguée et nous avons pris un taxi jusqu’à l’hôtel de Aziz. Je l’ai installée sur le lit de la chambre. Elle a été étonnée que j’aie choisi un hôtel loin du centre et j’ai répondu que c’est à cause de la tranquillité et que l’hôtelier est un ami. D’ailleurs, lorsque je suis sorti pour aller chercher de quoi manger avec ma femme, Aziz et Ali, qui était là, m’ont formellement interdit d’acheter et que tout était prêt pour nous. Ils m’ont amené à la cuisine personnelle d’Aziz et là, j’ai vu qu’ils avaient préparés pour nous un vrai festin, un repas complet et des boissons fraiches et mêmes quelques gâteaux. J’ai protesté mais ils ont décidé de faire les servants et prenant les choses en mains, ils ont monté les mets vers la chambre de ma femme. J’ai ouvert et dressé la table que Aziz avait installé avant notre arrivée et il a posé les plats et corbeilles. Il a jeté un coup d’œil intéressé à ma femme. Mais il nous a laissés pour nous restaurer. Après notre repas, j’ai commencé à amener les plats dans la cuisine et Ali m’a aidé à tout ramener pendant qu’Aziz faisait la vaisselle. Ensuite, je me suis mis en survêtements, j’ai laissé ma femme se reposer et j’ai rejoins mes amis. Ils étaient dans leurs fauteuils, buvant le thé et fumant des cigarettes. Aziz, comme à son habitude impossible de se retenir, m’a dit : « ya Zébi ! ch’7al zouina zoujtak ! m’3amra ! » (zébi ! ta femme est très belle ! et bien remplie !). et il ajouta en se caressant le zob dans sa braguette « oula ta3tihali é’nik’ha ! é’n’chaba3’ha souwat’ha ou termet’ha kima n’ta ! » (si tu me laisses la baiser ! je lui remplirais la chatte et la Terma comme avec toi !).
Mais, à son sourire, j’ai préféré croire qu’il blaguait. Je lui ai dis que d’abord elle venait de l’hôpital et était très fatiguée et deuxièmement, elle ne savait rien de mes tendances de sodomies, alors attention. Et puis j’ai ajouté que c’etait ma terma qui était pour l’instant, affamée, et pour le détourner du sujet de ma femme, je lui ai tâté sa bite déjà gonflée. Alors il s’est redressé et m’a poussé dans la petite chambre. Je l’ai un peu retenu car il me fallait retirer mon slip que je n’ai pas pu enlever en présence de ma femme, puis nu, je me suis allongé dos sur le lit, les jambes et cuisses haut levées et écartées, en retenant mon pénis pour lui offrir directement par-dessous, mon anus qui palpitait d’impatience.
Il a enlevé ses vêtements et s’est mis à genoux sur mon ventre en m’offrant sa grosse bite bien bandée. Je l’ai sucée et branlée et lubrifiée à fond. Puis, il s’est reculé pour pointer son gourdin de chair sur mon anus, sous mes couilles. Puis, d’un geste agressif, comme à son habitude, et avec vigueur forcée, il a enfoncé son zob dans mes entrailles. « Aaahh ! », ça c’est moi qui hurlais mon plaisir ! Chaque fois que ce genre d’enfoncement se fait, et de cette manière violente, j’ai une bouffée de jouissances fulgurantes dans le cul, ce qui me poussait à crier haut mon plaisir. C’est que l’écartement brutal de mon anus et le glissement rapide de sa chair brulante à l’intérieur de mon cul me procurent un choc et une onde de jouissances dans tout le corps. Et je ne peux que hurler avec force et pousser mes reins vers le zob qui me pénètre pour l’aider à s’enfoncer encore plus, si possible. C’est automatique, involontaire, je n’y peux rien ! Mais Aziz aussi ressentait cela doublement, comme plaisir physique d‘enfoncement de sa bite et comme victoire du mâle qui fait hurler de jouissances sa victime, sa femelle largement ouverte à ses désirs. La preuve, c’est qu’il il ricanait bruyamment en poussant son zob et commençait à me traiter de tous les noms :« 9ahba ! manyouka ! terma skhouna ! zebi ga3rak ! etc .» ( putain ! enculée ! chaude terma ! défoncée par mon zob ! etc).
Je dois avouer que j’appréciais autant son énorme bite que son langage ordurier, cochon, et les deux amplifiaient mes jouissances. Il avait raison, je suis certainement une vraie putain du cul et j’adorais me faire défoncer, sodomiser avec violences, surtout par une grosse bite bien dure et gonflée, un zob qui mérite bien son nom. Après un bon quart d’heure de vas et viens, tantôt follement lascifs pour que nous jouissons de chaque millimètre de frottement, tantôt brutaux et rapides et qui me faisaient pousser des cris de plaisir, d’être enculé, défoncé et possédé sans ménagement. Ainsi, mon cul leur appartenait, à lui et à son zob. Il me posséda longuement, mes jambes et cuisses autour de son torse et ses reins, l’aidant dans ses poussées violentes. Enfin, il éjacula par trois fois, seulement trois, mais ô combien brulantes et abondantes ! Ensuite, satisfait, il se leva pour aller se nettoyer, puis rejoindre notre ami Ali qui attendait dehors. Mais je connaissais la suite. Effectivement, deux minutes plus tard, c’est Ali qui entra dans la chambre, et je savais pourquoi. Aussi, je me suis nettoyé rapidement et repris ma position couché, le dos sur le lit et les jambes et cuisses très largement levées et ouvertes. Ali me regardait, les yeux arrondis, fixés sur mon anus encore brillant des restes de sperme, et assez ouvert, suite aux bombardements violents du zob de Aziz. Aussitôt, Ali enleva son pantalon et tenant son zob à la main, il plongea sur moi avec avidité. Son zob était droit, à l’horizontal, apparemment il était affamé de mon cul, alors, il le pointa sur mon anus. J’aurais voulu lui faire quelques sucettes pour le durcir encore plus, mais il me dit qu’il était pressé : « hatli 9arek ! fissa ! zébi ma g’darach yassa’na ! » (donnes moi ton cul ! vite ! mon zob ne peux plus attendre !).
De toute façon, mon cul était bien lubrifié et largement ouvert. Il poussa et sa bite me pénétra facilement et, en vitesse elle s’enfonça jusqu’aux couilles qui ont claqué sur mes cuisses. Puis, il démarra sa danse sexuelle. Moi, je l’ai aidé dans ses mouvements de vas et viens, en tortillant parfois des fesses et en faisant de sussions à son zob avec l’intérieur de mon cul. Je connaissais cette technique qui échauffe toujours les zobs à l’intérieur. Ces sussions et aspirations du sphincter à sa bite augmentèrent tellement son plaisir qu’il commença tout de suite à hurler de jouissances. Et le résultat fut rapide, une dizaine seulement de ce genre de vas et viens aidés ont suffi pour l’amener au top. Il éjacula fort bien, par trois pulsations, chaudes, brèves, mais moins fortes et moins abondantes que celles d’Aziz. Il n’ya aucune comparaison entre eux. Ce dernier etait un monstre, un vrai mâle de la bite, puissante, violente et au jus abondant, mais follement agréable et jouissante pour une terma affamée, comme la mienne. Son jus est toujours aussi jouissant que les coups de sa grosse bite pieu. Puis, Ali se sépara de moi pour aller se laver.
Dix minutes plus tard, on était tous les trois, assis dans la réception, sirotant nos thés comme si de rien n’était. Puis, je suis allé avec Ali, à son logis, pour apporter mes affaires.
A notre retour, Aziz n’était pas à la réception. Ali, connaissant son ami, m’a conseillé d’aller voir ma femme, il était certain que j’y trouverais Aziz. Alarmé, j’ai couru vers la chambre et, effectivement, Aziz était là, discutant comme si c’était naturel, avec ma femme qui était couchée dans notre le lit, et heureusement, assez bien couverte. Elle fixait Aziz avec des yeux étonnés et me lança un regard de secours. Essayant de garder mon calme pour ne pas donner à la situation une charge agressive dans notre intimité. Tout de même, cet homme ne respectait rien. Debout devant la femme d’un autre, dans sa chambre, allongée et peut-être nue sous la couverture, c’était de la provocation. Peut-être parce que je lui avais offert mon cul plusieurs fois, qu’il pensait que je lui appartenais ainsi que ma femme, et il pense la posséder comme avec moi, sans tenir compte des sentiments d’autrui. Je n’ai rien dit, mais mon regard était assez éloquent, alors ma femme, voulant atténuer la gravité de la situation, m’a expliqué que notre hôtelier était un brave homme qui nous a invité ce soir à diner dans sa cuisine privée. Je n’ai pas voulu contrarier ma femme, mais j’ai poussé Aziz vers l’extérieur. Après, dans la réception, je l’ai sermonné d’avoir été voir ma femme sans ma permission ni ma présence. J’ai précisé que ma femme était une femme sérieuse et fidèle et trop gentille, c’est pourquoi elle n’a jamais deviné mes tendances de sodomie. Alors, Aziz m’a jeté un drôle de regard, presque étonné. Puis il m’a observé longuement et fixement un long moment, et enfin, il m’a expliqué : « Asma3 ya habibi ! anta ghalat ! martak tafham koulouch ! ghayr raha sakta ! » (écoutes mon ami ! tu te trompes ! ta femme comprend tout ! seulement elle se tait !).
Ses mots m’ont surprit et il ajouta, sans me laisser lui répondre : « ki anta t’nik’ha, raha t’hissak ou t’missak ! teremtek mahloula ! 9arek astik, m’fara3 ki n’ta3 al 3atay ! » (quant tu la baises, elle ressent et te touche ! ton cul ouvert ! ton anus souple, écarté comme celui d’un pédé ! ) et : « raha 3arfat bili rak ta3ti 9arak li r’jal ! rak 9ahbat érjal ! ou raha sakta ! » ( elle sait que tu donnes ton cul aux hommes ! que tu es la putain pour hommes ! et elle se tait ! ).
Et, pour m’enfoncer, il ajouta : « ana choufoute 3aynine m’ratak ! ra7ou direct ila zébi ! » ( j’ai vu les yeux de ta femme ! fixés direct vers ma bite ! ) « harbat’houm ki anta jayte ! raha chahia z’bouba anta’3 r’jaal ! » ( elle les les a détournés quant tu es rentré ! elle désire les bites des hommes ! ) « wana, chamit’ni rajal bou zob ychti inike ! amini ya sahbi ! » ( elle a senti en moi un homme à zob qui aime baiser ! crois moi mon ami !).
J’ai été assez fâché et j’ai protesté en lui disant qu’il radotait car c’était son sexe qui parlait et non sa tête ! Mais Aziz, sûr de lui, m’a lancé un défi : « asma3 ya habibi ! law ana n’hab, é’nike martak é’layla ! » (écoutes mon ami ! moi si je veux, je pourrais niker ta femme ce soir !) et il ajouta :« é’nik’ha fi chambra éli naktak anta fiha ! chiche ! » ( je la nikerai dans la chambre où je t’ai niké toi aussi ! chiche !).
Quoi assez choqué, j’ai préféré lui rire au nez et j’ai pris Ali comme témoin à ces mots que je pensais fanfaronnades de Aziz. Mais Ali, avec une voix de confidences, m’a avoué qu’Aziz a toujours eu une grande réputation avec les femmes, surtout les femmes mariées. Et qu’Aziz était un vrai sorcier du sexe pour les épouses, donc attention de ne pas le provoquer. Mais, moi, j’étais sûr de ma femme, que je considérais comme, certes innocente, mais fidèle. Cependant ce défi m’a excité et encore plus après les confidences de Ali. Et puis, je ne voulais pas me laisser gagner par les arguments d’Aziz, alors j’ai accepté le défi. On a donc décidé, qu’après le repas pris ensemble, je laisserais Aziz passer le test avec ma femme. Effectivement, nous avons tous diné la cuisine, puis ma femme est montée dans la chambre, et, la rejoignant, je lui ai expliquée que j’allais passer ma soirée avec mes amis, jusqu’à minuit et je suis sorti en la laissant en train de s’habiller pour la nuit. Il était 21h30 et j’ai donc donné plus de deux heures à Aziz pour draguer ma femme, s’il en était capable. J’avais décidé de me cacher, si nécessaire, dans la cuisine pour lui laisser la petite chambre à coté où ils m’avaient déjà sodomisé plusieurs fois.
Aussitôt, Aziz est monté chez ma femme, et je l’ai suivi discrètement.
Après un seul coup à la porte, et à sa manière brutale, il est entré directement dans la chambre sans attendre la réponse de ma femme. Ma femme a du penser que c’était moi et a laissé faire. La porte étant entrouverte, j’ai pu voir ma femme debout, nous tournant le dos. Elle arrangeait le lit, et un peu courbée, avec sa robe de chambre qui collait à son lderrière, elle offrait un tableau aguichant à nos regards, presque nue. On voyait nettement le profil de son slip, de ses cuisses et de ses belles fesses charnues. Collant mon oreille à la porte, j’entendais Aziz qui s’excusait : « salam madam ! noud’khoul ? » ( bonsoir madame ! je peux entrer ? ).
Ma femme, au son de la voix et sachant que ce n’était pas moi, se retourna vivement. Ce brusque geste entrouvrit sa robe par devant, découvrant ses trésors. En effet, le devant était encore plus excitant que le derrière, à cause de sa lourde poitrine qui était à moitié découverte et sa robe, ainsi ouverte, montrait ses cuisses et son slip noir. Elle se serra rapidement dans sa robe et cria :« oukhrouj ! anta mahboul ! oukhrouj ! n’3ayat l’rajli ! » (sort ! tu es fou ! sort ! je vas appeler mon mari !).
Mais Aziz a continué à parler sans tenir compte des paroles de la femme : « ya madam sahbi ! anti 3andak tajrouba k’bira fi zawaj ! nass7ini ! » (madam mon ami ! tu as une grande expérience en mariage ! conseilles moi !).
Et, sans lui laisser le temps de répondre, il ajouta :« zaoujak kh’raj ! ma t’khafich ! ra7 igassar b’3id ! ana goulout n’ti 3awnini ! » ( ton mari est sorti ! ne craint rien ! il est parti loin avec ses amis ! j’ai pensé tu pourrais m’aider !) Tenant toujours sa robe serrée contre sa poitrine, elle restait debout. Je sentais ma femme hésiter et de toute façon elle s’est arrêtée de protester. Et Aziz en profita pour continuer :« marti matate moudout khamssa sanawat ! khalatni wa7di fi hadha lotel ! » ( ma femme est morte depuis 5 ans ! elle m’a laissée tout seul dans cet hôtel !) Et baissant un peu la voix comme en confidences, il ajouta : «wach rayak ! rajal bla m’ra hay ! wala mayate ! » ( a ton avis ! un homme sans femme est-il vivant ! ou mort !) Et ma femme tomba dans le jeu d’Aziz. Toutefois, elle prit son peignoir et s’enveloppa avec par-dessus sa robe de nuit, puis elle s’assit sur le lit. Ensuite, elle réfléchit un moment et Aziz en profita pour se pencher vers elle comme pour l’aider à lui confier ses penésées, alors elle lui dit ! « 3andak 7ak ! rajal b’la m’ra mahouch hay mya bil mya ! » ( vous avez raison ! un homme sans femme n’est pas vivant cent pour cent !) Alors Aziz se pencha encore et la regardant avec insistance, alors ma femme lui conseilla :« Tagdar tazawaj ! anta labass 3alayk ! » ( vous pouvez vous remarier ! vous êtes bien !).
Mais Aziz, comprenant que ses filets fonctionnaient à merveille, insista : « wa lakine ! manich dayar thi9a fi nafssi ! » ( mais ! je n’ai pas confiance en moi-même !)Elle le regarda avec des yeux étonnés, alors il expliqua son soi disant problème !
« ma massète 7ata m’ra fi hadha khamssa sanawat ! hal nagdar n’dir wajab arajal ? choufini ya madam ! wa a3tini rayak » ( je n’ai touché aucune femme durant ces cinq années ! est ce que je pourrais faire mon devoir d’homme ? regardes moi madam ! et donnes moi ton avis ! ).
Ma femme s’est tu longuement et je devinais qu’elle cogitait dans sa tête et avec netteté, sur cet homme qui n’a pas baisé depuis cinq ans et cela doit certainement lui faire de l’effet. Effectivement, elle était assez excitée car elle lui a répondu avec une voix plus faible qu’avant, comme un murmure, comme une pensée intime : « rani n’chouf fik rajal fil 9imma ! 9awy ! » (je en vous un homme en forme ! puissant !) Aziz restait aux aguets et après un petit silence, ma femme, prise dans le jeu, osa ajouter : « ma kayane 7ata 7aja t’khoussouk ! ana n’dhoune 3andak al 9oudra bach …..tazawaj ! » ( vous ne manquez de rien ! moi je pense que vous avez la puissance pour …..vous marier !).
Le silence qu’elle a eu après « 9oudra bach » (puissance pour) signifiait qu’elle pensait qu’il avait toute la puissance du zob pour baiser, mais elle a préféré le remplacer et terminer par « tazawaj » (te marier) c’est moins intime. La preuve, elle osa ajouter juste après : « tagdar 3ala wajab aroujli li m’ratou ! » ( vous avez la force du mâle pour son épAinsi ? les jeux sont faits, ma femme vient de sauter la barrière de la honte et de l’hésitation et elle parle directement de « mâle » et de « puissance » et tous les trois, nous avions compris et senti l’excitation qu’elle avait et cela commençait à me faire bander derrière la porte. J’étais sûr qu’Aziz bandait aussi, et depuis un bout de temps, et que son zob devait faire une belle bosse devant et gonfler nettement sa braguette. Alors, Aziz se rapprocha encore plus du lit et, arquant son corps, il poussa sa devanture vers ma femme de façon ostentatoire, comme pour offrir à ma femme, sa braguette et son zob qui formait un grand chapiteau. Et moi, je pouvais voir que ma femme fixait des yeux cette partie intime de Aziz et je sortis mon zob pour commencer à me branler.
Aziz profita encore de la situation et du regard dirigé de ma femme pour lui dire :« rani grib natartag ! khalini n’foukou ! wa’nti ! kifach raki al a’n ? raki t’ssili ! » (je vais presque éclater ! laisses moi le délivrer ! et toi ! comment es tu maintenant ? tu mouilles ! ).
Nous savions tous qu’il parlait de son zob gonflé et de la chatte de ma femme qui coulait de désir. Ma femme était assise sur le lit, en peignoir et robe de chambre, alors Aziz se pencha vers elle et lui chuchota quelque chose à l’oreille. J’ai vu qu’elle le regardait avec un léger sourire, presque étonnée. Puis il lui chuchota encore à l’oreille et il se redressa, mais en tenant son paquet sexuel à pleines mains et à cinq centimètres du nez de ma femme. Alors, elle se leva, semblant prendre une décision. Et d’un brusque mouvement d’épaules, elle jeta son peignoir par terre, et sa robe, libre, s’ouvrit largement, montrant ses beaux seins lourds et son slip noir serré et qui profilait nettement la fente de sa chatte. Comme elle était bien rasée, à son habitude, son mont de vénus gonflé amplifiait le dessin de sa chatte. Elle mouillait fort, c’est certain et se montrait à Aziz, sans hésitation, presque avec provocation. Son excitation la tenait complètement à sa merci et elle ne devait penser à rien d’autre qu’à ce zob, dont elle voyait la forme complète du gland et devinait sa grosseur à travers la braguette.
Alors Aziz s’approcha encore plus d’elle et lui dit :« rani m’ta’nane 3lik mili chouftouk ! goulout hadhi lazam a’nik’ha ! n’chaba3 souwat’ha » ( je bandes sur toi depuis que je t’ai vue ! je me suis promis de te baiser ! rassasier ta chatte !) Et pour la rassurer et la conquérir complètement, il ajouta, en sortant son zob :« ma t’khafich ! rajlak ma igoul walou ! choufi zébi ! idawar 3ala soutak ! garbi ! hati ! » ( ne craint rien ! ton mari ne dira rien ! regardes mon zob ! il cherche ta chatte ! approches ! donnes!)Il attira ma femme sur sa poitrine et la serra du ventre et lui dit :« Rajlak b’3id ! 3anadna zouj swaya3 ! a’nikak ! ou n’zahi soutak l’manfoukha ! » ( ton mari est loin ! nous avons deux heures ! je vais te niker ! et je donnerais du plaisir à ta chatte gonflée !) . Elle restait sans bouger quant Aziz luin retira sa robe. Et soudain, presque avec violence, Aziz l’enlaça de nouveau par la taille et, lui malaxant la poitrine, il lui murmura : « raki t’hissi zébi ch’7al m’ta’nane 3lik ! m’tine kil zabouj 3ala bab soutak ! » ( tu sens mon zob combien bandé pour toi ! il est dur comme un pieu à la porte de ta chatte ! ) Et il l’embrassa en la serrant encore plus contre son bas ventre et en lui caressant les fesses nues. Elle s’est enfin réveillée et a essayé, en jouant la comédie, de le repousser en lui disant : « ya wayli ! rajli ra7 iji ! atlag’ni ! » ( ô malheur ! mon mari va venir ! laisses moi !).
Mais son ventre disait autre chise car il se collait à fond à celui de l’homme, cherchant le contact de la grosse bite dure. Sa chatte parlait maintenant pour elle, elle le voulait ce zob qui lui fouillait l’entrecuisse malgré le pantalon. Et Aziz lui dit doucement, mais je l’ai entendu :« raki s’khouna ! zébi rah idoug fi soutak ! hya raha talhaz fi zébi ! ma d’goulich minich chahya nayka bi hadha ézab lamtine ! » ( tu es échauffée ! mon zob pique ta chatte ! et elle se colle à mon zob ! ne me dit pas que tu ne veux pas baiser ce zob si dur !) Et la soulevant dans ses bras, il la déposa sur le lit. Puis, debout, il enleva totalement son pantalon et exposa fièrement son gros zob gonflé à fond. J’ai vu ma femme ouvrir les yeux et regarder largement cette grose bite juste près de son visage. Et Aziz continuait « Choufi ya m’ra ! massih ! rah h’lou! houwa idawar r’lik ! hati yadak ! » ( regardes ô femme ! touches le ! il est doux ! lui te demandes ! donnes ta main !) .
Et Aziz lui prit de force sa main et lui fit empoigner son zob. Elle ferma encore les yeux mais garde le zob bien dans sa main. Alors Aziz, alla au slip de ma femme qu’il essaya de retirer. Elle grogna un peu mais souleva ses reins pour laisser le slip glisser le long de ses cuisses et de ses jambes. Sa chatte en voulait et s’offrait au désir. Alors Aziz plongea sur la chatte de ma femme infidèle et commença à l’embrasser, à la lécher et à la caresser. Il a du toucher son clitoris car elle lança un grand cri de plaisir et tendit son corps vers cette caresse. Aziz, voyant que la partie était totalement gagnée décida de changer de lieu et il le dit à ma femme :« aroua7i ! yalah fi madhrab masstour ! inikou fi 9aradhna ! 3arianine fi zoudj ! n’tartag lak soutak ! ou 3ayti bi zahou kima tichti ! yalah ! noudhi » ( viens ! allons dans un endroit sùr ! nous baiserons à notre aise ! nus tous les deux ! je te défoncerais la chatte ! et tu pourra hurler de plaisir à ton aise !).
Alors elle se releva et il lui remit sa robe de nuit et son peignoir pour bien la couvrir au cas où quelqu’un serait dans les couloirs, puis ils descendirent vers la cuisine et entrèrent dans la petite chambre des sodomies. Sachant ce qu’ils y allaient, je les avais précédé discrètement pour me cacher dans la cuisine. Deux minutes plus tard, ils son descendus et ont pénétrés dans la petite chambre où ma Terma a été maintes fois sodomisée et où Aziz allait aussi baiser ma femme que je croyais si forte en fidélité. Aziz n’a pas totalement fermé la porte de la chambre, laissant juste une fente et j’étais sur qu’il l’a fait exprès pour que je puisse voir et entendre leurs ébats. Il a totalement dénudé ma femme et en a fait autant pour lui. Etant en sécurité, loin de notre chambre et entièrement esclave de son désir, ma femme s’est jeté le zob d’Aziz, pour le caresser et le manipuler à pleines mains. Enfin, elle tenait un zob étranger et plus gros que celui de son mari et cela doit l’affoler sexuellement. Aziz restait debout pour bien me faire voir ce que ma femme faisait à son zob. Maintenant qu’elle a accepté Aziz, elle a tout lâché et veut prendre son total plaisir. Aziz lui conseillait : « ya m’ra ! dirih fi foumouk ! moussih ! rah 7’lou wa m’tine ! kouli zébi m’ta’nane ! » ( femme ! mets le dans ta bouche ! suces le ! il est doux et puissant ! manges mon zob gonflé !).
Elle a suivi son conseil et a commencé à le sucer et le lécher et aussi à le branler. Satisfait, Aziz lui tripotait ses gros seins et leurs boutons et parfois sa main se glissait vers les fesses et la terma de ma femme. Elle respirait avec bruit, démontrant ainsi qu’elle était totalement dans le bain, excitée et prête à l’amour. Alors Aziz l’a allongée sur le lit et écartant ses cuisses, il s’installa entre elles. Et, tenant son zob à la main, il le frotta plusieurs sur les lèvres de la chatte et ma femme n’a pas pu se retenir en lui criant avec force et en poussant ses reins vers lui :« wach rak tassta’na ! doukou ! dakhlou fi souti ! fissa3 ! » ( qu’est ce que tu attends ! enfonces le ! pénètre moi la chatte ! vite !).
Et, Aziz, dans un ricanement érotique lui répondit en hurlant lui aussi :« edawri a’nikike ! édawri 3la zébi ! yad’khoul fi soutak ! » (tu veux que je te nikes ! tu veux mon zob ! l’enfoncer dans ta chatte !).
Alors Aziz glissa son zob entre les lèvres de la chatte et, poussant avec énergie lui dit :« haki zébi ya 9ahba ! ya m’rat sahbi ! nik’ha ! nik’ha ya zébi ! nik’ha ! goudam rajal’ha ! » (tiens mon zob ô putain ! femme de mon ami ! nikes ! nikes la ô mon zob ! nikes la ! devant son mari !).
Ce message était pour moi car il savait que je les observais derrière la porte entr’ouverte. Et moi, comme un cocu excité, je me branlais depuis un bon moment. Heureusement que ma femme était dans les nuages de l’excitation, du plaisir du sexe pour faire attention à ce que disait Aziz. Puis, il se lança dans des vas et viens acharnés, vigoureux à sa manière et elle, après avoir hurlé quant il l’avait pénétrée, gémissait maintenant ses jouissances sans se retenir. C’était une séance pleine des bruits affolants des deux sexes qui glissaient l’un contre l’autre en émettant des sussions et sifflements mouillés par la liqueur de la chatte de ma femme. Elle cria plusieurs fois :« ya m ! hadha zob wala wach ! k’bir wa khchine ki n’ta3 lahmar ! wa h’lou ki la3ssal ! waine rak ya rajli ! arwa7 t’chouf e’zeb lamtine ! » (ô maman ! ça c’est un zob ou quoi ! gros et épais comme celui d’un âne ! et doux comme le miel ! où es-tu ô mon mari ! viens voir le puissant zob ! )Et elle continuait à crier et souffler fort. Aziz la secouait par ses coups de reins et chaque fois qu’il s’enfonçait en elle ; ma femme hurlait plus fort :« aaahhh ! 7alaytni ! 7alaytni ya zeb lekhchine ! dakhal clawyk thani ! dakhal ! aaaggg ! » (aaahhh ! tu m’as ouverte ! tu m’as ouverte ô zob épais ! enfonces aussi tes couilles ! enfonces !)Elle était déchainée. Jamais, je ne l’avais vue dans cette forme avec moi. Il est vrai qu’entre mon zob et celui d’Aziz, il y avait peu de comparaisons. Même l’acharnement et la violence des coups d’Aziz sont une chose toute nouvelle pour ma femme et elle se découvre des plaisirs et des jouissances continues et affolantes. Elle en profitait sans hésitation et elle a raison.
Aziz la baisa pendant presque plus d’une demi-heure sans ralentir et j’ai entendu ma femme hurler par quatre fois ses orgasmes. A chacun d’eux, Aziz me lançait :« isma3 ya sahbi ! isma3 martak ! étayar fi 3assal souwat’ha ! isma3 hlawat’ha ! wahad ! zouj ! tlatha ! rab’3a » (écoutes ô mon ami ! écoute ta femme ! elle expulse le miel de sa chatte ! écoutes son plaisir ! un ! deux ! trois ! quatre !).
Il a martelé les orgasmes de ma femme pour me les faire écouter et consacrer sa victoire. Le tableau d’Aziz et de son zob que je distinguais nettement entrer et sortir de la chatte de ma femme ainsi que les bruits de sussions « slop ! slop ! » que faisaient le zob et la chatte dans leurs glissements réciproques ont tellement amplifiés ma masturbation que j’ai explosé mon plaisir immédiatement derrière la porte. J’ai éjaculé par trois fois et pollué le bois et le mur à coté. Quel plaisir et quelle défaite ! L’infidélité de ma femme et les prouesses d’Aziz et de son zob viennent de me donner du plaisir. J’ai enfin compris les paroles de notre ami commun Ali quant il m’avouait les succès d’Aziz sur les femmes mariées. C’est un sorcier, disait-il, et j’en ai eu la preuve à la manière dont il a dragué ma femme dans notre chambre et comment il l’a baisée en lui faisant sentir la différence entre son zob et celui de son mari cocu. Et il nous a fait jouir tous les deux, chacun à sa manière. Aussi j’ai décidé de pardonner la faiblesse de ma femme et de la laisser jouir au maximum ce soir avec la bite d’Aziz, cette bite dont ma terma connaissait les grandes possibilités.
Alors, je suis sorti pour rejoindre le logis d’Ali et laisser les amants déguster au maximum leurs plaisirs et se rassasier les sexes de jouissances. Je savais que ma femme ne pouvait pas enfanter, donc elle va certainement lui demander de tout éjaculer dans sa chatte, peut-être même plusieurs fois. Ali m’a questionné et je lui ai avoué ma défaite et il a exigé que je lui raconte tous les détails, ce que j’ai vu et entendu. Mon récit a du l’exciter car il a sorti son zob pour se masturber devant moi. Alors pour apaiser moi aussi, ma défaite et me soulager la terma, je lui demandé une petite faveur. Ainsi, il m’a donné du plaisir à la terma par deux fois, la première par derrière en levrette et la seconde, par devant, face à face. Et il a réussi à éjaculer les deux fois, quoique moyennement la deuxième fois. Mais il a réussi à me consoler et à atténuer ma nervosité. Je suis resté chez lui, dépassé minuit et j’avais envie d’y passer la nuit, non pour baiser mais juste pour ne par voir la tête victorieuse d’Aziz car je savais qu’il allait m’attendre pour m’enfoncer ma défaite. Mais la situation était telle que j’ai du rentrer à l’hôtel.
Comme prévu, Aziz m’attendait à la réception, habillé en simple gandoura (robe masculine) sous laquelle il était nu, ça se voyait nettement car le tissu collait facilement à son corps. Il m’a demandé si j’avais tout vu : « wach sahbi ! choufoute m’ratak ! 9ahba kima n’ta ! » ( alors mon ami ! tu as vu ta femme ! une putain comme toi !) et en ricanant à son habitude et tenant son paquet sexuel à la main, il ajouta : « m’ratak chafat zébi ! m’ta’nane ! 7alate rajlay’ha ou souwat’ha ! nikit’ha rab3a marate ! »(ta femme a vu mon zob ! gonflé ! elle a ouvert ses cuisses et sa chatte ! je l’ai baisée quatre fois !). Et avec son rire soutenu, il continuait avec fiérté : « tayarat fiha thani rab3a marate ! » (j’ai aussi éjaculé en elle quatre fois ! ) et « 3amart’l’ha souwat’ha ! gatli ma tadhnach ! tayar ya zab lakhchine ! 3amarni ! » (je lui ai rempli la chatte ! elle m’a dit je ne peux pas enfanter ! éjacules ô gros zob ! remplit moi !).
Je lui ai avoué que j’avais vu beaucoup mais je suis parti avant la fin. Il a ajouté :« moussat’li zébi bizaf ! tayarat al khamssa fi foum’ha ! charbatli koul e’za’n’na n’ta3i ! » (elle m’a beaucoup sucé ! et j’ai éjaculé la cinquième fois dans sa bouche ! elle a bu mon sperme ! ).
Il voyait que ses paroles m’ont beaucoup touché, alors pour atténuer mon malheur, il m’a dit :« Anta sahbi ! a3’taytni teremtek ! nassi7ti layk ! ma tamane hach ! » ( tu es mon ami ! tu m’a offert ta terma ! mon conseil à toi ! n’aie pas confiance en elle !) Comme je le regardais un peu étonné, il s’expliqua : « raha tichti z’bouba ! fi souwat’ha wa fi foum’ha ! jarab’ha thani anta ! » (elle adore les zobs ! dans sa chatte et dans sa bouche ! essaie la toi aussi !) Et avec un sourire en coin, comme une confidence supplémentaire :« jarab thani termet’ha ! rani dakhalat l’ha zouj s’ba3i ! 3agbou bi s’houla ! ma galate walou ! » (essaies aussi sa terma ! j’y ai enfoncé deux doigts ! ils sont rentrés facilement ! elle n’a rien dit !).
Alors, me tappant sur le dos et toujours en ricanant bruyammant : « nik’ha mine termet’ha ! ana ma b’ghaytach ! n’hab trame r’jaal ! dhayguine ou h’louwine ! » (nikes la de la terma ! moi j’ai pas voulu ! je préfère les terma des hommes ! plus serrées et plus douces).
Et j’ai avoué que j’en avais assez entendu et vu pour savoir qu’il avait eu totalement raison. Mais une chose m’intriguait. Je lui ai demandé ce qu’il avait chuchoté à l’oreille de ma femme avant de la baiser et il m’a répondu qu’il préférait garder cela secret :« khaliha masstoura ! kheir l! ya h’bibi ! » (laisses la secrète ! c’est mieux ! ô mon ami ! ).
J’étais encore plus curieux et j’ai insisté en promettant de ne pas me fâcher, alors il m’a dit : « goul toul’ha rani nikate rajlak ! teremtou k’bira ou mahloula ! ou zébi 3ajbou ! rani 3araf anti thani fay9a bi rajlak mine zamane !sa7 wala la ! » ( je lui ai dis que j’ai niké ton mari ! et que sa terma est grosse et ouverte ! et mon zob lui a plu ! et je sais que toi aussi tu a découvert ton mari depuis longtemps ! vrai ou pas !).
Comme je le regardais avec colère et étonnement, il a ajouté : « Choufi hadha a’zeb m’ta’n’nane 3’lik ! n’chab3ak kima chaba3ate rajlak ! » (regardes ce zob gonflé pour toi ! je te rassasierais comme je l’ai fait à ton mari ! ) Et me retant avec son bras pour m’empêcher de réagir violamment, il m’expliqua : « hakadha martak nadhate mine s’rir ! la7ate robat’ha ! 9ablate bi souhoula e’nik’ha » (c’est ainsi que ta femme s’est levée du lit ! à jeté sa robe ! a accepté facilement que je la baise !).
Et c’est ainsi que ma femme a accepté de me faire cocu car on lui a avoué que j’offrais ma terma aux zobs. Je n’avais plus rien à dire, il était tellement franc et sincère, presque innocent que j’ai préféré me taire et m’assoir. Puis, il m’a offert le thé des adversaires réconciliés et m’a vanté les atouts de ma femme, mais il m’a dit, encore une fois, que son zob n’a pas touché sa terma vierge. En disant cela, je remarquais qu’il manipulait son zob dans sa gandoura. Et son pieu commençait à former une longue bosse qui défonçait la gandourah. Il a vu mon regard vers son zobe et a souri. Puis, il m’a dit :« wach sahbi ! Ali ma chaba3ach lak teremtek ! aya n’zidak wahda wala zouj nayka ! ana zébi rah chahi teremtek la7louwa ! kheyr mine souwate martak ! aya ! » ( alors mon ami ! Ali n’a pas satisfait ta terma ! viens, je vais t’ajouter une ou deux nayka ! mon zob adore ta douce terma ! mieux que la chatte de ta femme ! viens ! ).
Et, me poussant dans la petite chambre il ajouta :« ma t’khafach ! 3andi léssence ! mazal fi qlawya ! chouf zébi ! haou m’ta’nane ! » ( ne crains rien ! j’ai de l’essence ! encore dans mes couilles ! regardes mon zob ! il est déjà gonflé !).
Il avait raison au moins sur un point, c’est que la vision de ce zob déjà gonflé suffisait pour démanger et affamer ma terma qui commençait à se lubrifier toute seule. On est rentré dans la chambre et j’ai simplement glissé mon pantalon. Ensuite, lui tournant le dos, à genoux sur le lit, je lui ai abandonné mon cul pour finir la soirée. Et lui, sans état d’âme, il souleva sa gandoura pour la tenir avec sa bouche, il se pointa derrière moi et enfonça son gros zob dans mes entrailles. Et il a tenu parole ! Il m’a sodomisé deux fois de suite, presque sans s’arrêter ! Dès qu’il a terminé et éjaculé dans la première fois, et sans me laisser le temps d’aller me nettoyer, il a opté pour une seconde sodomie. Me couchant, le dos sur le lit, il me souleva les jambes et j’ai écarté largement mes cuisses en soutenant mon zob pour lui laisser le chemin libre de mon cul. Mon anus d’où suintait son sperme était face à son désir inassouvi. Son zob n’avait pratiquement pas fléchi après son éjaculation, il était toujours dur comme un barreau de fer. Et, sans tarder, il l’enfonça avec violence dans mon anus qu’il traversa avec facilité jusqu’au buter dans le fond de mes entrailles.
Une dizaine de vas et viens, des tapes affolantes de ses couilles sur les dessous de mes cuisses, et pas mal de cris et de cochonneries, comme à son habitudes : « 9ahba ! 3ataya ! haki zébi ! ag’3ar lou teremtou ! assguiha ! » (putain ! pédé ! tiens mon zob ! défonces lui la terma ! étanches la !).
Et enfin, il finit par éjaculer de nouveau. Bizarrement, sa seconde éjaculation était nettement plus nombreuse ( quatre ou cinq au lieu de trois) et plus abondante que la première. Il gueula tellement que j’avais peur que tout l’hôtel ne l’entende, ainsi que ma femme. Il m’a dit :« souwate martak kanate casscroute 3ala zébi ! teremtek gham9a ou s’khouna chab3atli zébi ! oukhssara t’rou7ou ghoudwa ! » (la chatte de ta femme a été un casse croute pour mon zob ! mais ta profonde et chaude terma a mieux rassasié mon zob ! dommage que vous partiez demain !).
Je vous disais que cet homme, pourtant de comportements naturels, avait une bite, à mon sens, anormale. Et c’est dommage que demain, nous devons le quitter, sinon, on aurait voulu continuer à profiter des ses prouesses sexuelles. Après, j’ai passé le reste de la nuit auprès de ma femme, dont l’attitude était naturelle et qui n’a pas soufflé un mot de sa soirée. Maintenant, ni moi ni elle, n’avons à cacher nos tendances et nos désirs et nous allons en profiter entre nous et avec d’autres amants, peut-être même communs. Aziz a été notre catalyseur sexuel bénéfique. Le matin, on a prit le petit déjeuner avec Aziz qui a appelé, ensuite, un taxi qui nous a amené à la gare routière pour retourner chez nous, après des aventures inédites, un guet append juteux et une infidélité très prometteuse de ma chère femme. On va en profiter tous les deux, c’est certain !
Mais, à son sourire, j’ai préféré croire qu’il blaguait. Je lui ai dis que d’abord elle venait de l’hôpital et était très fatiguée et deuxièmement, elle ne savait rien de mes tendances de sodomies, alors attention. Et puis j’ai ajouté que c’etait ma terma qui était pour l’instant, affamée, et pour le détourner du sujet de ma femme, je lui ai tâté sa bite déjà gonflée. Alors il s’est redressé et m’a poussé dans la petite chambre. Je l’ai un peu retenu car il me fallait retirer mon slip que je n’ai pas pu enlever en présence de ma femme, puis nu, je me suis allongé dos sur le lit, les jambes et cuisses haut levées et écartées, en retenant mon pénis pour lui offrir directement par-dessous, mon anus qui palpitait d’impatience.
Il a enlevé ses vêtements et s’est mis à genoux sur mon ventre en m’offrant sa grosse bite bien bandée. Je l’ai sucée et branlée et lubrifiée à fond. Puis, il s’est reculé pour pointer son gourdin de chair sur mon anus, sous mes couilles. Puis, d’un geste agressif, comme à son habitude, et avec vigueur forcée, il a enfoncé son zob dans mes entrailles. « Aaahh ! », ça c’est moi qui hurlais mon plaisir ! Chaque fois que ce genre d’enfoncement se fait, et de cette manière violente, j’ai une bouffée de jouissances fulgurantes dans le cul, ce qui me poussait à crier haut mon plaisir. C’est que l’écartement brutal de mon anus et le glissement rapide de sa chair brulante à l’intérieur de mon cul me procurent un choc et une onde de jouissances dans tout le corps. Et je ne peux que hurler avec force et pousser mes reins vers le zob qui me pénètre pour l’aider à s’enfoncer encore plus, si possible. C’est automatique, involontaire, je n’y peux rien ! Mais Aziz aussi ressentait cela doublement, comme plaisir physique d‘enfoncement de sa bite et comme victoire du mâle qui fait hurler de jouissances sa victime, sa femelle largement ouverte à ses désirs. La preuve, c’est qu’il il ricanait bruyamment en poussant son zob et commençait à me traiter de tous les noms :« 9ahba ! manyouka ! terma skhouna ! zebi ga3rak ! etc .» ( putain ! enculée ! chaude terma ! défoncée par mon zob ! etc).
Je dois avouer que j’appréciais autant son énorme bite que son langage ordurier, cochon, et les deux amplifiaient mes jouissances. Il avait raison, je suis certainement une vraie putain du cul et j’adorais me faire défoncer, sodomiser avec violences, surtout par une grosse bite bien dure et gonflée, un zob qui mérite bien son nom. Après un bon quart d’heure de vas et viens, tantôt follement lascifs pour que nous jouissons de chaque millimètre de frottement, tantôt brutaux et rapides et qui me faisaient pousser des cris de plaisir, d’être enculé, défoncé et possédé sans ménagement. Ainsi, mon cul leur appartenait, à lui et à son zob. Il me posséda longuement, mes jambes et cuisses autour de son torse et ses reins, l’aidant dans ses poussées violentes. Enfin, il éjacula par trois fois, seulement trois, mais ô combien brulantes et abondantes ! Ensuite, satisfait, il se leva pour aller se nettoyer, puis rejoindre notre ami Ali qui attendait dehors. Mais je connaissais la suite. Effectivement, deux minutes plus tard, c’est Ali qui entra dans la chambre, et je savais pourquoi. Aussi, je me suis nettoyé rapidement et repris ma position couché, le dos sur le lit et les jambes et cuisses très largement levées et ouvertes. Ali me regardait, les yeux arrondis, fixés sur mon anus encore brillant des restes de sperme, et assez ouvert, suite aux bombardements violents du zob de Aziz. Aussitôt, Ali enleva son pantalon et tenant son zob à la main, il plongea sur moi avec avidité. Son zob était droit, à l’horizontal, apparemment il était affamé de mon cul, alors, il le pointa sur mon anus. J’aurais voulu lui faire quelques sucettes pour le durcir encore plus, mais il me dit qu’il était pressé : « hatli 9arek ! fissa ! zébi ma g’darach yassa’na ! » (donnes moi ton cul ! vite ! mon zob ne peux plus attendre !).
De toute façon, mon cul était bien lubrifié et largement ouvert. Il poussa et sa bite me pénétra facilement et, en vitesse elle s’enfonça jusqu’aux couilles qui ont claqué sur mes cuisses. Puis, il démarra sa danse sexuelle. Moi, je l’ai aidé dans ses mouvements de vas et viens, en tortillant parfois des fesses et en faisant de sussions à son zob avec l’intérieur de mon cul. Je connaissais cette technique qui échauffe toujours les zobs à l’intérieur. Ces sussions et aspirations du sphincter à sa bite augmentèrent tellement son plaisir qu’il commença tout de suite à hurler de jouissances. Et le résultat fut rapide, une dizaine seulement de ce genre de vas et viens aidés ont suffi pour l’amener au top. Il éjacula fort bien, par trois pulsations, chaudes, brèves, mais moins fortes et moins abondantes que celles d’Aziz. Il n’ya aucune comparaison entre eux. Ce dernier etait un monstre, un vrai mâle de la bite, puissante, violente et au jus abondant, mais follement agréable et jouissante pour une terma affamée, comme la mienne. Son jus est toujours aussi jouissant que les coups de sa grosse bite pieu. Puis, Ali se sépara de moi pour aller se laver.
Dix minutes plus tard, on était tous les trois, assis dans la réception, sirotant nos thés comme si de rien n’était. Puis, je suis allé avec Ali, à son logis, pour apporter mes affaires.
A notre retour, Aziz n’était pas à la réception. Ali, connaissant son ami, m’a conseillé d’aller voir ma femme, il était certain que j’y trouverais Aziz. Alarmé, j’ai couru vers la chambre et, effectivement, Aziz était là, discutant comme si c’était naturel, avec ma femme qui était couchée dans notre le lit, et heureusement, assez bien couverte. Elle fixait Aziz avec des yeux étonnés et me lança un regard de secours. Essayant de garder mon calme pour ne pas donner à la situation une charge agressive dans notre intimité. Tout de même, cet homme ne respectait rien. Debout devant la femme d’un autre, dans sa chambre, allongée et peut-être nue sous la couverture, c’était de la provocation. Peut-être parce que je lui avais offert mon cul plusieurs fois, qu’il pensait que je lui appartenais ainsi que ma femme, et il pense la posséder comme avec moi, sans tenir compte des sentiments d’autrui. Je n’ai rien dit, mais mon regard était assez éloquent, alors ma femme, voulant atténuer la gravité de la situation, m’a expliqué que notre hôtelier était un brave homme qui nous a invité ce soir à diner dans sa cuisine privée. Je n’ai pas voulu contrarier ma femme, mais j’ai poussé Aziz vers l’extérieur. Après, dans la réception, je l’ai sermonné d’avoir été voir ma femme sans ma permission ni ma présence. J’ai précisé que ma femme était une femme sérieuse et fidèle et trop gentille, c’est pourquoi elle n’a jamais deviné mes tendances de sodomie. Alors, Aziz m’a jeté un drôle de regard, presque étonné. Puis il m’a observé longuement et fixement un long moment, et enfin, il m’a expliqué : « Asma3 ya habibi ! anta ghalat ! martak tafham koulouch ! ghayr raha sakta ! » (écoutes mon ami ! tu te trompes ! ta femme comprend tout ! seulement elle se tait !).
Ses mots m’ont surprit et il ajouta, sans me laisser lui répondre : « ki anta t’nik’ha, raha t’hissak ou t’missak ! teremtek mahloula ! 9arek astik, m’fara3 ki n’ta3 al 3atay ! » (quant tu la baises, elle ressent et te touche ! ton cul ouvert ! ton anus souple, écarté comme celui d’un pédé ! ) et : « raha 3arfat bili rak ta3ti 9arak li r’jal ! rak 9ahbat érjal ! ou raha sakta ! » ( elle sait que tu donnes ton cul aux hommes ! que tu es la putain pour hommes ! et elle se tait ! ).
Et, pour m’enfoncer, il ajouta : « ana choufoute 3aynine m’ratak ! ra7ou direct ila zébi ! » ( j’ai vu les yeux de ta femme ! fixés direct vers ma bite ! ) « harbat’houm ki anta jayte ! raha chahia z’bouba anta’3 r’jaal ! » ( elle les les a détournés quant tu es rentré ! elle désire les bites des hommes ! ) « wana, chamit’ni rajal bou zob ychti inike ! amini ya sahbi ! » ( elle a senti en moi un homme à zob qui aime baiser ! crois moi mon ami !).
J’ai été assez fâché et j’ai protesté en lui disant qu’il radotait car c’était son sexe qui parlait et non sa tête ! Mais Aziz, sûr de lui, m’a lancé un défi : « asma3 ya habibi ! law ana n’hab, é’nike martak é’layla ! » (écoutes mon ami ! moi si je veux, je pourrais niker ta femme ce soir !) et il ajouta :« é’nik’ha fi chambra éli naktak anta fiha ! chiche ! » ( je la nikerai dans la chambre où je t’ai niké toi aussi ! chiche !).
Quoi assez choqué, j’ai préféré lui rire au nez et j’ai pris Ali comme témoin à ces mots que je pensais fanfaronnades de Aziz. Mais Ali, avec une voix de confidences, m’a avoué qu’Aziz a toujours eu une grande réputation avec les femmes, surtout les femmes mariées. Et qu’Aziz était un vrai sorcier du sexe pour les épouses, donc attention de ne pas le provoquer. Mais, moi, j’étais sûr de ma femme, que je considérais comme, certes innocente, mais fidèle. Cependant ce défi m’a excité et encore plus après les confidences de Ali. Et puis, je ne voulais pas me laisser gagner par les arguments d’Aziz, alors j’ai accepté le défi. On a donc décidé, qu’après le repas pris ensemble, je laisserais Aziz passer le test avec ma femme. Effectivement, nous avons tous diné la cuisine, puis ma femme est montée dans la chambre, et, la rejoignant, je lui ai expliquée que j’allais passer ma soirée avec mes amis, jusqu’à minuit et je suis sorti en la laissant en train de s’habiller pour la nuit. Il était 21h30 et j’ai donc donné plus de deux heures à Aziz pour draguer ma femme, s’il en était capable. J’avais décidé de me cacher, si nécessaire, dans la cuisine pour lui laisser la petite chambre à coté où ils m’avaient déjà sodomisé plusieurs fois.
Aussitôt, Aziz est monté chez ma femme, et je l’ai suivi discrètement.
Après un seul coup à la porte, et à sa manière brutale, il est entré directement dans la chambre sans attendre la réponse de ma femme. Ma femme a du penser que c’était moi et a laissé faire. La porte étant entrouverte, j’ai pu voir ma femme debout, nous tournant le dos. Elle arrangeait le lit, et un peu courbée, avec sa robe de chambre qui collait à son lderrière, elle offrait un tableau aguichant à nos regards, presque nue. On voyait nettement le profil de son slip, de ses cuisses et de ses belles fesses charnues. Collant mon oreille à la porte, j’entendais Aziz qui s’excusait : « salam madam ! noud’khoul ? » ( bonsoir madame ! je peux entrer ? ).
Ma femme, au son de la voix et sachant que ce n’était pas moi, se retourna vivement. Ce brusque geste entrouvrit sa robe par devant, découvrant ses trésors. En effet, le devant était encore plus excitant que le derrière, à cause de sa lourde poitrine qui était à moitié découverte et sa robe, ainsi ouverte, montrait ses cuisses et son slip noir. Elle se serra rapidement dans sa robe et cria :« oukhrouj ! anta mahboul ! oukhrouj ! n’3ayat l’rajli ! » (sort ! tu es fou ! sort ! je vas appeler mon mari !).
Mais Aziz a continué à parler sans tenir compte des paroles de la femme : « ya madam sahbi ! anti 3andak tajrouba k’bira fi zawaj ! nass7ini ! » (madam mon ami ! tu as une grande expérience en mariage ! conseilles moi !).
Et, sans lui laisser le temps de répondre, il ajouta :« zaoujak kh’raj ! ma t’khafich ! ra7 igassar b’3id ! ana goulout n’ti 3awnini ! » ( ton mari est sorti ! ne craint rien ! il est parti loin avec ses amis ! j’ai pensé tu pourrais m’aider !) Tenant toujours sa robe serrée contre sa poitrine, elle restait debout. Je sentais ma femme hésiter et de toute façon elle s’est arrêtée de protester. Et Aziz en profita pour continuer :« marti matate moudout khamssa sanawat ! khalatni wa7di fi hadha lotel ! » ( ma femme est morte depuis 5 ans ! elle m’a laissée tout seul dans cet hôtel !) Et baissant un peu la voix comme en confidences, il ajouta : «wach rayak ! rajal bla m’ra hay ! wala mayate ! » ( a ton avis ! un homme sans femme est-il vivant ! ou mort !) Et ma femme tomba dans le jeu d’Aziz. Toutefois, elle prit son peignoir et s’enveloppa avec par-dessus sa robe de nuit, puis elle s’assit sur le lit. Ensuite, elle réfléchit un moment et Aziz en profita pour se pencher vers elle comme pour l’aider à lui confier ses penésées, alors elle lui dit ! « 3andak 7ak ! rajal b’la m’ra mahouch hay mya bil mya ! » ( vous avez raison ! un homme sans femme n’est pas vivant cent pour cent !) Alors Aziz se pencha encore et la regardant avec insistance, alors ma femme lui conseilla :« Tagdar tazawaj ! anta labass 3alayk ! » ( vous pouvez vous remarier ! vous êtes bien !).
Mais Aziz, comprenant que ses filets fonctionnaient à merveille, insista : « wa lakine ! manich dayar thi9a fi nafssi ! » ( mais ! je n’ai pas confiance en moi-même !)Elle le regarda avec des yeux étonnés, alors il expliqua son soi disant problème !
« ma massète 7ata m’ra fi hadha khamssa sanawat ! hal nagdar n’dir wajab arajal ? choufini ya madam ! wa a3tini rayak » ( je n’ai touché aucune femme durant ces cinq années ! est ce que je pourrais faire mon devoir d’homme ? regardes moi madam ! et donnes moi ton avis ! ).
Ma femme s’est tu longuement et je devinais qu’elle cogitait dans sa tête et avec netteté, sur cet homme qui n’a pas baisé depuis cinq ans et cela doit certainement lui faire de l’effet. Effectivement, elle était assez excitée car elle lui a répondu avec une voix plus faible qu’avant, comme un murmure, comme une pensée intime : « rani n’chouf fik rajal fil 9imma ! 9awy ! » (je en vous un homme en forme ! puissant !) Aziz restait aux aguets et après un petit silence, ma femme, prise dans le jeu, osa ajouter : « ma kayane 7ata 7aja t’khoussouk ! ana n’dhoune 3andak al 9oudra bach …..tazawaj ! » ( vous ne manquez de rien ! moi je pense que vous avez la puissance pour …..vous marier !).
Le silence qu’elle a eu après « 9oudra bach » (puissance pour) signifiait qu’elle pensait qu’il avait toute la puissance du zob pour baiser, mais elle a préféré le remplacer et terminer par « tazawaj » (te marier) c’est moins intime. La preuve, elle osa ajouter juste après : « tagdar 3ala wajab aroujli li m’ratou ! » ( vous avez la force du mâle pour son épAinsi ? les jeux sont faits, ma femme vient de sauter la barrière de la honte et de l’hésitation et elle parle directement de « mâle » et de « puissance » et tous les trois, nous avions compris et senti l’excitation qu’elle avait et cela commençait à me faire bander derrière la porte. J’étais sûr qu’Aziz bandait aussi, et depuis un bout de temps, et que son zob devait faire une belle bosse devant et gonfler nettement sa braguette. Alors, Aziz se rapprocha encore plus du lit et, arquant son corps, il poussa sa devanture vers ma femme de façon ostentatoire, comme pour offrir à ma femme, sa braguette et son zob qui formait un grand chapiteau. Et moi, je pouvais voir que ma femme fixait des yeux cette partie intime de Aziz et je sortis mon zob pour commencer à me branler.
Aziz profita encore de la situation et du regard dirigé de ma femme pour lui dire :« rani grib natartag ! khalini n’foukou ! wa’nti ! kifach raki al a’n ? raki t’ssili ! » (je vais presque éclater ! laisses moi le délivrer ! et toi ! comment es tu maintenant ? tu mouilles ! ).
Nous savions tous qu’il parlait de son zob gonflé et de la chatte de ma femme qui coulait de désir. Ma femme était assise sur le lit, en peignoir et robe de chambre, alors Aziz se pencha vers elle et lui chuchota quelque chose à l’oreille. J’ai vu qu’elle le regardait avec un léger sourire, presque étonnée. Puis il lui chuchota encore à l’oreille et il se redressa, mais en tenant son paquet sexuel à pleines mains et à cinq centimètres du nez de ma femme. Alors, elle se leva, semblant prendre une décision. Et d’un brusque mouvement d’épaules, elle jeta son peignoir par terre, et sa robe, libre, s’ouvrit largement, montrant ses beaux seins lourds et son slip noir serré et qui profilait nettement la fente de sa chatte. Comme elle était bien rasée, à son habitude, son mont de vénus gonflé amplifiait le dessin de sa chatte. Elle mouillait fort, c’est certain et se montrait à Aziz, sans hésitation, presque avec provocation. Son excitation la tenait complètement à sa merci et elle ne devait penser à rien d’autre qu’à ce zob, dont elle voyait la forme complète du gland et devinait sa grosseur à travers la braguette.
Alors Aziz s’approcha encore plus d’elle et lui dit :« rani m’ta’nane 3lik mili chouftouk ! goulout hadhi lazam a’nik’ha ! n’chaba3 souwat’ha » ( je bandes sur toi depuis que je t’ai vue ! je me suis promis de te baiser ! rassasier ta chatte !) Et pour la rassurer et la conquérir complètement, il ajouta, en sortant son zob :« ma t’khafich ! rajlak ma igoul walou ! choufi zébi ! idawar 3ala soutak ! garbi ! hati ! » ( ne craint rien ! ton mari ne dira rien ! regardes mon zob ! il cherche ta chatte ! approches ! donnes!)Il attira ma femme sur sa poitrine et la serra du ventre et lui dit :« Rajlak b’3id ! 3anadna zouj swaya3 ! a’nikak ! ou n’zahi soutak l’manfoukha ! » ( ton mari est loin ! nous avons deux heures ! je vais te niker ! et je donnerais du plaisir à ta chatte gonflée !) . Elle restait sans bouger quant Aziz luin retira sa robe. Et soudain, presque avec violence, Aziz l’enlaça de nouveau par la taille et, lui malaxant la poitrine, il lui murmura : « raki t’hissi zébi ch’7al m’ta’nane 3lik ! m’tine kil zabouj 3ala bab soutak ! » ( tu sens mon zob combien bandé pour toi ! il est dur comme un pieu à la porte de ta chatte ! ) Et il l’embrassa en la serrant encore plus contre son bas ventre et en lui caressant les fesses nues. Elle s’est enfin réveillée et a essayé, en jouant la comédie, de le repousser en lui disant : « ya wayli ! rajli ra7 iji ! atlag’ni ! » ( ô malheur ! mon mari va venir ! laisses moi !).
Mais son ventre disait autre chise car il se collait à fond à celui de l’homme, cherchant le contact de la grosse bite dure. Sa chatte parlait maintenant pour elle, elle le voulait ce zob qui lui fouillait l’entrecuisse malgré le pantalon. Et Aziz lui dit doucement, mais je l’ai entendu :« raki s’khouna ! zébi rah idoug fi soutak ! hya raha talhaz fi zébi ! ma d’goulich minich chahya nayka bi hadha ézab lamtine ! » ( tu es échauffée ! mon zob pique ta chatte ! et elle se colle à mon zob ! ne me dit pas que tu ne veux pas baiser ce zob si dur !) Et la soulevant dans ses bras, il la déposa sur le lit. Puis, debout, il enleva totalement son pantalon et exposa fièrement son gros zob gonflé à fond. J’ai vu ma femme ouvrir les yeux et regarder largement cette grose bite juste près de son visage. Et Aziz continuait « Choufi ya m’ra ! massih ! rah h’lou! houwa idawar r’lik ! hati yadak ! » ( regardes ô femme ! touches le ! il est doux ! lui te demandes ! donnes ta main !) .
Et Aziz lui prit de force sa main et lui fit empoigner son zob. Elle ferma encore les yeux mais garde le zob bien dans sa main. Alors Aziz, alla au slip de ma femme qu’il essaya de retirer. Elle grogna un peu mais souleva ses reins pour laisser le slip glisser le long de ses cuisses et de ses jambes. Sa chatte en voulait et s’offrait au désir. Alors Aziz plongea sur la chatte de ma femme infidèle et commença à l’embrasser, à la lécher et à la caresser. Il a du toucher son clitoris car elle lança un grand cri de plaisir et tendit son corps vers cette caresse. Aziz, voyant que la partie était totalement gagnée décida de changer de lieu et il le dit à ma femme :« aroua7i ! yalah fi madhrab masstour ! inikou fi 9aradhna ! 3arianine fi zoudj ! n’tartag lak soutak ! ou 3ayti bi zahou kima tichti ! yalah ! noudhi » ( viens ! allons dans un endroit sùr ! nous baiserons à notre aise ! nus tous les deux ! je te défoncerais la chatte ! et tu pourra hurler de plaisir à ton aise !).
Alors elle se releva et il lui remit sa robe de nuit et son peignoir pour bien la couvrir au cas où quelqu’un serait dans les couloirs, puis ils descendirent vers la cuisine et entrèrent dans la petite chambre des sodomies. Sachant ce qu’ils y allaient, je les avais précédé discrètement pour me cacher dans la cuisine. Deux minutes plus tard, ils son descendus et ont pénétrés dans la petite chambre où ma Terma a été maintes fois sodomisée et où Aziz allait aussi baiser ma femme que je croyais si forte en fidélité. Aziz n’a pas totalement fermé la porte de la chambre, laissant juste une fente et j’étais sur qu’il l’a fait exprès pour que je puisse voir et entendre leurs ébats. Il a totalement dénudé ma femme et en a fait autant pour lui. Etant en sécurité, loin de notre chambre et entièrement esclave de son désir, ma femme s’est jeté le zob d’Aziz, pour le caresser et le manipuler à pleines mains. Enfin, elle tenait un zob étranger et plus gros que celui de son mari et cela doit l’affoler sexuellement. Aziz restait debout pour bien me faire voir ce que ma femme faisait à son zob. Maintenant qu’elle a accepté Aziz, elle a tout lâché et veut prendre son total plaisir. Aziz lui conseillait : « ya m’ra ! dirih fi foumouk ! moussih ! rah 7’lou wa m’tine ! kouli zébi m’ta’nane ! » ( femme ! mets le dans ta bouche ! suces le ! il est doux et puissant ! manges mon zob gonflé !).
Elle a suivi son conseil et a commencé à le sucer et le lécher et aussi à le branler. Satisfait, Aziz lui tripotait ses gros seins et leurs boutons et parfois sa main se glissait vers les fesses et la terma de ma femme. Elle respirait avec bruit, démontrant ainsi qu’elle était totalement dans le bain, excitée et prête à l’amour. Alors Aziz l’a allongée sur le lit et écartant ses cuisses, il s’installa entre elles. Et, tenant son zob à la main, il le frotta plusieurs sur les lèvres de la chatte et ma femme n’a pas pu se retenir en lui criant avec force et en poussant ses reins vers lui :« wach rak tassta’na ! doukou ! dakhlou fi souti ! fissa3 ! » ( qu’est ce que tu attends ! enfonces le ! pénètre moi la chatte ! vite !).
Et, Aziz, dans un ricanement érotique lui répondit en hurlant lui aussi :« edawri a’nikike ! édawri 3la zébi ! yad’khoul fi soutak ! » (tu veux que je te nikes ! tu veux mon zob ! l’enfoncer dans ta chatte !).
Alors Aziz glissa son zob entre les lèvres de la chatte et, poussant avec énergie lui dit :« haki zébi ya 9ahba ! ya m’rat sahbi ! nik’ha ! nik’ha ya zébi ! nik’ha ! goudam rajal’ha ! » (tiens mon zob ô putain ! femme de mon ami ! nikes ! nikes la ô mon zob ! nikes la ! devant son mari !).
Ce message était pour moi car il savait que je les observais derrière la porte entr’ouverte. Et moi, comme un cocu excité, je me branlais depuis un bon moment. Heureusement que ma femme était dans les nuages de l’excitation, du plaisir du sexe pour faire attention à ce que disait Aziz. Puis, il se lança dans des vas et viens acharnés, vigoureux à sa manière et elle, après avoir hurlé quant il l’avait pénétrée, gémissait maintenant ses jouissances sans se retenir. C’était une séance pleine des bruits affolants des deux sexes qui glissaient l’un contre l’autre en émettant des sussions et sifflements mouillés par la liqueur de la chatte de ma femme. Elle cria plusieurs fois :« ya m ! hadha zob wala wach ! k’bir wa khchine ki n’ta3 lahmar ! wa h’lou ki la3ssal ! waine rak ya rajli ! arwa7 t’chouf e’zeb lamtine ! » (ô maman ! ça c’est un zob ou quoi ! gros et épais comme celui d’un âne ! et doux comme le miel ! où es-tu ô mon mari ! viens voir le puissant zob ! )Et elle continuait à crier et souffler fort. Aziz la secouait par ses coups de reins et chaque fois qu’il s’enfonçait en elle ; ma femme hurlait plus fort :« aaahhh ! 7alaytni ! 7alaytni ya zeb lekhchine ! dakhal clawyk thani ! dakhal ! aaaggg ! » (aaahhh ! tu m’as ouverte ! tu m’as ouverte ô zob épais ! enfonces aussi tes couilles ! enfonces !)Elle était déchainée. Jamais, je ne l’avais vue dans cette forme avec moi. Il est vrai qu’entre mon zob et celui d’Aziz, il y avait peu de comparaisons. Même l’acharnement et la violence des coups d’Aziz sont une chose toute nouvelle pour ma femme et elle se découvre des plaisirs et des jouissances continues et affolantes. Elle en profitait sans hésitation et elle a raison.
Aziz la baisa pendant presque plus d’une demi-heure sans ralentir et j’ai entendu ma femme hurler par quatre fois ses orgasmes. A chacun d’eux, Aziz me lançait :« isma3 ya sahbi ! isma3 martak ! étayar fi 3assal souwat’ha ! isma3 hlawat’ha ! wahad ! zouj ! tlatha ! rab’3a » (écoutes ô mon ami ! écoute ta femme ! elle expulse le miel de sa chatte ! écoutes son plaisir ! un ! deux ! trois ! quatre !).
Il a martelé les orgasmes de ma femme pour me les faire écouter et consacrer sa victoire. Le tableau d’Aziz et de son zob que je distinguais nettement entrer et sortir de la chatte de ma femme ainsi que les bruits de sussions « slop ! slop ! » que faisaient le zob et la chatte dans leurs glissements réciproques ont tellement amplifiés ma masturbation que j’ai explosé mon plaisir immédiatement derrière la porte. J’ai éjaculé par trois fois et pollué le bois et le mur à coté. Quel plaisir et quelle défaite ! L’infidélité de ma femme et les prouesses d’Aziz et de son zob viennent de me donner du plaisir. J’ai enfin compris les paroles de notre ami commun Ali quant il m’avouait les succès d’Aziz sur les femmes mariées. C’est un sorcier, disait-il, et j’en ai eu la preuve à la manière dont il a dragué ma femme dans notre chambre et comment il l’a baisée en lui faisant sentir la différence entre son zob et celui de son mari cocu. Et il nous a fait jouir tous les deux, chacun à sa manière. Aussi j’ai décidé de pardonner la faiblesse de ma femme et de la laisser jouir au maximum ce soir avec la bite d’Aziz, cette bite dont ma terma connaissait les grandes possibilités.
Alors, je suis sorti pour rejoindre le logis d’Ali et laisser les amants déguster au maximum leurs plaisirs et se rassasier les sexes de jouissances. Je savais que ma femme ne pouvait pas enfanter, donc elle va certainement lui demander de tout éjaculer dans sa chatte, peut-être même plusieurs fois. Ali m’a questionné et je lui ai avoué ma défaite et il a exigé que je lui raconte tous les détails, ce que j’ai vu et entendu. Mon récit a du l’exciter car il a sorti son zob pour se masturber devant moi. Alors pour apaiser moi aussi, ma défaite et me soulager la terma, je lui demandé une petite faveur. Ainsi, il m’a donné du plaisir à la terma par deux fois, la première par derrière en levrette et la seconde, par devant, face à face. Et il a réussi à éjaculer les deux fois, quoique moyennement la deuxième fois. Mais il a réussi à me consoler et à atténuer ma nervosité. Je suis resté chez lui, dépassé minuit et j’avais envie d’y passer la nuit, non pour baiser mais juste pour ne par voir la tête victorieuse d’Aziz car je savais qu’il allait m’attendre pour m’enfoncer ma défaite. Mais la situation était telle que j’ai du rentrer à l’hôtel.
Comme prévu, Aziz m’attendait à la réception, habillé en simple gandoura (robe masculine) sous laquelle il était nu, ça se voyait nettement car le tissu collait facilement à son corps. Il m’a demandé si j’avais tout vu : « wach sahbi ! choufoute m’ratak ! 9ahba kima n’ta ! » ( alors mon ami ! tu as vu ta femme ! une putain comme toi !) et en ricanant à son habitude et tenant son paquet sexuel à la main, il ajouta : « m’ratak chafat zébi ! m’ta’nane ! 7alate rajlay’ha ou souwat’ha ! nikit’ha rab3a marate ! »(ta femme a vu mon zob ! gonflé ! elle a ouvert ses cuisses et sa chatte ! je l’ai baisée quatre fois !). Et avec son rire soutenu, il continuait avec fiérté : « tayarat fiha thani rab3a marate ! » (j’ai aussi éjaculé en elle quatre fois ! ) et « 3amart’l’ha souwat’ha ! gatli ma tadhnach ! tayar ya zab lakhchine ! 3amarni ! » (je lui ai rempli la chatte ! elle m’a dit je ne peux pas enfanter ! éjacules ô gros zob ! remplit moi !).
Je lui ai avoué que j’avais vu beaucoup mais je suis parti avant la fin. Il a ajouté :« moussat’li zébi bizaf ! tayarat al khamssa fi foum’ha ! charbatli koul e’za’n’na n’ta3i ! » (elle m’a beaucoup sucé ! et j’ai éjaculé la cinquième fois dans sa bouche ! elle a bu mon sperme ! ).
Il voyait que ses paroles m’ont beaucoup touché, alors pour atténuer mon malheur, il m’a dit :« Anta sahbi ! a3’taytni teremtek ! nassi7ti layk ! ma tamane hach ! » ( tu es mon ami ! tu m’a offert ta terma ! mon conseil à toi ! n’aie pas confiance en elle !) Comme je le regardais un peu étonné, il s’expliqua : « raha tichti z’bouba ! fi souwat’ha wa fi foum’ha ! jarab’ha thani anta ! » (elle adore les zobs ! dans sa chatte et dans sa bouche ! essaie la toi aussi !) Et avec un sourire en coin, comme une confidence supplémentaire :« jarab thani termet’ha ! rani dakhalat l’ha zouj s’ba3i ! 3agbou bi s’houla ! ma galate walou ! » (essaies aussi sa terma ! j’y ai enfoncé deux doigts ! ils sont rentrés facilement ! elle n’a rien dit !).
Alors, me tappant sur le dos et toujours en ricanant bruyammant : « nik’ha mine termet’ha ! ana ma b’ghaytach ! n’hab trame r’jaal ! dhayguine ou h’louwine ! » (nikes la de la terma ! moi j’ai pas voulu ! je préfère les terma des hommes ! plus serrées et plus douces).
Et j’ai avoué que j’en avais assez entendu et vu pour savoir qu’il avait eu totalement raison. Mais une chose m’intriguait. Je lui ai demandé ce qu’il avait chuchoté à l’oreille de ma femme avant de la baiser et il m’a répondu qu’il préférait garder cela secret :« khaliha masstoura ! kheir l! ya h’bibi ! » (laisses la secrète ! c’est mieux ! ô mon ami ! ).
J’étais encore plus curieux et j’ai insisté en promettant de ne pas me fâcher, alors il m’a dit : « goul toul’ha rani nikate rajlak ! teremtou k’bira ou mahloula ! ou zébi 3ajbou ! rani 3araf anti thani fay9a bi rajlak mine zamane !sa7 wala la ! » ( je lui ai dis que j’ai niké ton mari ! et que sa terma est grosse et ouverte ! et mon zob lui a plu ! et je sais que toi aussi tu a découvert ton mari depuis longtemps ! vrai ou pas !).
Comme je le regardais avec colère et étonnement, il a ajouté : « Choufi hadha a’zeb m’ta’n’nane 3’lik ! n’chab3ak kima chaba3ate rajlak ! » (regardes ce zob gonflé pour toi ! je te rassasierais comme je l’ai fait à ton mari ! ) Et me retant avec son bras pour m’empêcher de réagir violamment, il m’expliqua : « hakadha martak nadhate mine s’rir ! la7ate robat’ha ! 9ablate bi souhoula e’nik’ha » (c’est ainsi que ta femme s’est levée du lit ! à jeté sa robe ! a accepté facilement que je la baise !).
Et c’est ainsi que ma femme a accepté de me faire cocu car on lui a avoué que j’offrais ma terma aux zobs. Je n’avais plus rien à dire, il était tellement franc et sincère, presque innocent que j’ai préféré me taire et m’assoir. Puis, il m’a offert le thé des adversaires réconciliés et m’a vanté les atouts de ma femme, mais il m’a dit, encore une fois, que son zob n’a pas touché sa terma vierge. En disant cela, je remarquais qu’il manipulait son zob dans sa gandoura. Et son pieu commençait à former une longue bosse qui défonçait la gandourah. Il a vu mon regard vers son zobe et a souri. Puis, il m’a dit :« wach sahbi ! Ali ma chaba3ach lak teremtek ! aya n’zidak wahda wala zouj nayka ! ana zébi rah chahi teremtek la7louwa ! kheyr mine souwate martak ! aya ! » ( alors mon ami ! Ali n’a pas satisfait ta terma ! viens, je vais t’ajouter une ou deux nayka ! mon zob adore ta douce terma ! mieux que la chatte de ta femme ! viens ! ).
Et, me poussant dans la petite chambre il ajouta :« ma t’khafach ! 3andi léssence ! mazal fi qlawya ! chouf zébi ! haou m’ta’nane ! » ( ne crains rien ! j’ai de l’essence ! encore dans mes couilles ! regardes mon zob ! il est déjà gonflé !).
Il avait raison au moins sur un point, c’est que la vision de ce zob déjà gonflé suffisait pour démanger et affamer ma terma qui commençait à se lubrifier toute seule. On est rentré dans la chambre et j’ai simplement glissé mon pantalon. Ensuite, lui tournant le dos, à genoux sur le lit, je lui ai abandonné mon cul pour finir la soirée. Et lui, sans état d’âme, il souleva sa gandoura pour la tenir avec sa bouche, il se pointa derrière moi et enfonça son gros zob dans mes entrailles. Et il a tenu parole ! Il m’a sodomisé deux fois de suite, presque sans s’arrêter ! Dès qu’il a terminé et éjaculé dans la première fois, et sans me laisser le temps d’aller me nettoyer, il a opté pour une seconde sodomie. Me couchant, le dos sur le lit, il me souleva les jambes et j’ai écarté largement mes cuisses en soutenant mon zob pour lui laisser le chemin libre de mon cul. Mon anus d’où suintait son sperme était face à son désir inassouvi. Son zob n’avait pratiquement pas fléchi après son éjaculation, il était toujours dur comme un barreau de fer. Et, sans tarder, il l’enfonça avec violence dans mon anus qu’il traversa avec facilité jusqu’au buter dans le fond de mes entrailles.
Une dizaine de vas et viens, des tapes affolantes de ses couilles sur les dessous de mes cuisses, et pas mal de cris et de cochonneries, comme à son habitudes : « 9ahba ! 3ataya ! haki zébi ! ag’3ar lou teremtou ! assguiha ! » (putain ! pédé ! tiens mon zob ! défonces lui la terma ! étanches la !).
Et enfin, il finit par éjaculer de nouveau. Bizarrement, sa seconde éjaculation était nettement plus nombreuse ( quatre ou cinq au lieu de trois) et plus abondante que la première. Il gueula tellement que j’avais peur que tout l’hôtel ne l’entende, ainsi que ma femme. Il m’a dit :« souwate martak kanate casscroute 3ala zébi ! teremtek gham9a ou s’khouna chab3atli zébi ! oukhssara t’rou7ou ghoudwa ! » (la chatte de ta femme a été un casse croute pour mon zob ! mais ta profonde et chaude terma a mieux rassasié mon zob ! dommage que vous partiez demain !).
Je vous disais que cet homme, pourtant de comportements naturels, avait une bite, à mon sens, anormale. Et c’est dommage que demain, nous devons le quitter, sinon, on aurait voulu continuer à profiter des ses prouesses sexuelles. Après, j’ai passé le reste de la nuit auprès de ma femme, dont l’attitude était naturelle et qui n’a pas soufflé un mot de sa soirée. Maintenant, ni moi ni elle, n’avons à cacher nos tendances et nos désirs et nous allons en profiter entre nous et avec d’autres amants, peut-être même communs. Aziz a été notre catalyseur sexuel bénéfique. Le matin, on a prit le petit déjeuner avec Aziz qui a appelé, ensuite, un taxi qui nous a amené à la gare routière pour retourner chez nous, après des aventures inédites, un guet append juteux et une infidélité très prometteuse de ma chère femme. On va en profiter tous les deux, c’est certain !
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