52- Zaki et sa femme en Afrique
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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52- Zaki et sa femme en Afrique
52- Zaki et sa femme en Afrique :Je suis Zaki, âgé de 40 ans et enseignant de maths depuis déjà 15 ans. Ma femme Samia, âgée de 30 ans est aussi enseignante de français depuis 5ans. Nous sommes mariés depuis 10 ans mais nous n’avons pas eu d’enfant malgré nos efforts et des tas de médicaments pour ma femme. Tous nos collègues de travail au lycée sont parents de deux ou trois enfants et cela nous a traumatisé, alors nous avons décidé de nous faire muter ailleurs. Nous avons signé avec un organisme de l’ONU pour aller dans un pays Africain. Et c’est ainsi que cinq mois plus tard, nous sommes partis, en poste, dans une petite bourgade du Mali. Notre village avait une seule école de six classes (1er à la 6em année), trois logements de fonction et six enseignants, nous deux, un autre couple français ( 40 et 50 ans) déjà ici depuis deux ans, et deux maliens célibataires, dont un Directeur (50 ans) et un jeune (30ans). Moi et ma femme occupions un logement, l’autre couple français a eu le second et le Directeur, le troisième logis qui était pris en charge par une vielle bonne malienne dans la journée. De plus, le directeur a préféré loger avec lui le jeune malien célibataire. Environ 150 élèves étaient répartis entre nous par classes et années.
On s’est installés et tout allait bien durant le premier mois, mais nous vivions un peu séparés des autres. Et c’est ainsi qu’un jour, à la sortie des classes, le directeur nous a invités, ma femme et moi, à la petite fête, chez lui, ce soir, avec tous les autres collègues. On y est allé vers 20h et il y avait de l’ambiance. On a beaucoup discuté et un peu bu et l’atmosphère était au début très cordiale. Les quatre autres avaient leurs habitudes depuis déjà deux années et nous avons essayé de nous intégrer à leurs causeries. Soudain, vers 22h, nous avons été rejoins, dans le logis du Directeur, par deux jeunes femmes africaines (20 à 30 ans). Elles ont été bien reçues par nos collègues qui, apparemment, les connaissaient très bien et la causerie a été encore mieux animée. C’étaient de très belles maliennes, aux corps bien remplis, devant et derrière et très légèrement habillées, en tout cas selon moi. Et leur comportement vis-à-vis du Directeur et du jeune malien étaient assez intimes. Ils les embrassaient souvent, se collaient étroitement à eux et leurs permettaient des caresses comme à des amantes. Le couple français n’étant pas gêné, nous avons fait semblant d’accepter ces attitudes. Mais, rapidement, nous avons pris congé de nos amis qui ont essayé de nous garder encore, en vain. Chez nous, on s’est rapidement mis au lit, mais nous pouvions entendre, nettement, les éclats de rires et autres bruits divers de nos amis qui continuaient la fête. Mais, assez fatigués, nous nous sommes endormis rapidement.
Le lendemain fut une journée normale et le Directeur nous a renouvelé son invitation pour le soir. Je n’étais pas très engagé mais ma femme a insisté, alors on les a rejoint. La soirée était assez animée et encore plus lorsque, à 22h, deux nouvelles africaines ont rejoint le groupe. Ce n’étaient celles d’hier soir mais elles étaient aussi jeunes et belles que les précédentes et aussi intimes avec nos amis maliens. Le couple français participait sans problèmes aux blagues, aux beuveries, surtout le mari, et même à quelques attouchements. En effet, j’ai remarqué que la femme française permettait beaucoup de gestes intimes au directeur sur sa croupe et ses seins sans que le mari ne dise mot. Au contraire, celui-ci était occupé avec l’une des malienne. Ma femme, prise par l’ambiance et la bière, riait avec l’ensemble et ne semblait pas être gênée, mais elle restait correcte, sans se laisser approcher. Moi, j’étais un peu gêné et j’ai assez écourté notre soirée pour retourner chez nous où j’ai fait quelques remarques à ma femme. Elle en riait en disant qu’ils étaient tous sympas et que cela nous changeait du morne de nos journées et de notre solitude. J’étais un peu inquiet de ses paroles mais je n’ai rien dis.
Le lendemain soir, nous étions encore en groupe chez le Directeur et les deux femmes qui nous ont rejointes étaient celles de la première soirée. L’ambiance était très joyeuse et les fréquents attouchements entre les uns et les autres chauffaient la soirée. Cette fois, à la demande de ma femme, nous sommes restés plus longtemps qu’auparavant. Et c’est ainsi que, vers 23h, le français, ayant bien bu, et une des africaines, ont quitté, ensemble le salon, pour aller dans la chambre située de l’autre coté de la cuisine. Le reste du groupe a continué normalement à s’amuser et à boire sans manifester aucune remarque. Après un bon moment, je me suis approché discrètement de la cuisine et j’ai prêté l’oreille à la porte de la chambre. Ce que j’ai entendu était très clair, des halètements saccadés et des petits cris féminins de plaisir et même des sortes de chocs ponctués de « aaahhh » de jouissances prolongées. J’avais compris qu’ils étaient en train de baiser. Avant que je ne retourne à ma place, choqué mais excité, ma femme m’a rejointe près de la cuisine. Elle n’a pas entendu et je l’ai poussée vers notre place.
Dix minutes ou plus, plus tard, ils sont revenus dans le salon, tout normalement. A leurs visages on voyait bien qu’ils venaient de prendre beaucoup de plaisir sexuel. Surprise, immédiatement après, ce fut le Directeur et la femme française qui quittèrent le salon pour aller dans la chambre des plaisirs. Et comme tout à l’heure, rien ne fut dérangé dans le reste du groupe qui faisait la fête, buvait, discutait et se touchait sans gêne. Poussé par l’excitation, je suis allé reprendre mon poste d’écoute et j’entendais nettement les cris et halètements de jouissances du couple qui baisait dans la chambre. Soudain, ma femme m’a touché l’épaule, elle m’avait suivie et écoutait comme moi, nettement, les bruits érotiques et excitants de la chambre. Elle me pinçait le bras d’excitation et j’entendais sa respiration qui s’affolait par le désir. Mais je l’ai repoussée pour regagner notre place. Et un quart d’heure après, le Directeur et la française sont revenus au salon. Leurs vêtements, trop rapidement remis, étaient assez dérangés et leurs visages étaient épanouis par le plaisir de la baise. Juste à ce moment, ce fut le tour du jeune africain et l’autre malienne de rejoindre la chambre, pour baiser et revenir dix minutes plus tard. Pendant tout ce temps, j’ai essayé d’avoir, une attitude normale, assez détachée, en plaisantant et en buvant.
Mais, par contre, ma femme, qui était à mes cotés, avait des yeux noyés par le désir, surtout depuis qu’elle avait bien entendu les râles de plaisir de la chambre et le retour du Directeur et de la française. Depuis ce moment, elle n’arrêtait pas de les observer dans leur coin. Un moment, la française s’était éloignée, vers son mari. Et c’est alors que ma femme, sans même me demander, se leva et rejoignit le Directeur dans son coin. Il était resté allongé sur le coté et sirotait sa bière. Seulement, j’ai remarqué que sa braguette n’était pas bien fermée et même un peu entrouverte. S’il bougeait un peu trop, c’est sûr, on pourrait voir son bagage sexuel. Ma femme s’est, elle aussi, un peu mise sur le coté, le bras sous le corps et discutait en riant un peu trop à mon gout. Le Directeur lui offrit une bière, puis il releva sa jambe supérieure, ce qui entrouvrit largement sa braguette, mais la cachait aux autres, coté salon. J’ai compris ce qu’il faisait, il montrait sa bite à ma femme. Alors, poussé par un sentiment bizarre mais incontrôlable, je me suis discrètement rapproché de façon à voir le coté braguette. Et, j’ai bien vu ce que le Directeur montrait bien nettement à ma femme. Il avait sorti sa grosse bite de la braguette et il la pointait bien longue, grosse et large, car elle était fort gonflée, à la vue de ma femme. Ce fut une vision follement excitante même pour moi et ça commençait à m’exciter. Ma femme qui était allongée juste à cinq centimètres du gros zob le regardait avec de gros yeux. Elle allongea sa main libre et empoigna cette queue qui lui était offerte, puis elle la branla un moment. Mais le Directeur repoussa la main de ma femme pour remettre sa bite dans sa braguette. Puis, il se releva en tenant ma femme par la main et l’aida à se relever. Elle semblait hypnotisée et le suivait les yeux ronds et la bouche ouverte.
Puis il l’amena vers la chambre des plaisirs, sans un seul coup d’œil vers moi, ni de lui ni de ma femme. Pour eux, je n’existais plus, seul leur désir sexuel était urgent et il fallait l’assouvir immédiatement. Je me sentais comme étourdi mais je restais, presque calme et buvant ma bière comme si de rien n’était. Un moment, et la française s’est rapprochée de moi et m’a dit quelque chose que je n’ai pas d’abord compris. Puis, je l’ai regardée, et elle m’a tenu la main et s’est penchée vers moi pour me donner un baiser presque fraternel, sur la joue. Son mari était la bas en train de peloter une malienne. Elle m’a chuchoté à l’oreille, en confidence, un aveu et un conseil. Elle m’a avoué que cet homme, ce Directeur malien n’était pas normal comme moi et son mari. En effet, il avait un pieu sexuel tellement long, gros et épais que sa vue et sa puissance étaient un trésor qu’aucune femme, blanche ou africaine ne pouvait lui résister et que ma femme ne se maitrisait plus. Quant elle a vu sa queue gonflée, une seule chose comptait pour elle, comme pour moi, me dit-elle, c’est de la fourrer dans sa chatte et la faire jouir et jouir à hurler à l’infini. C’était un moment magique et incontrôlable pour une femme, alors, je me devais de comprendre la mienne. A partir du moment où nous sommes restés au-delà de l’heure fatidique, aucun mari ne pouvait commander la chatte ou le cul de sa femme. Elle a fini par me convaincre d’autant plus que ma bite continuait à bander sur l’image, que je gardais en tête, du gros zob du Directeur.
Et un quart d’heure plus tard, le Directeur et ma femme, après leurs jouissances, retournèrent au salon. Ma femme était rayonnante de plaisir. Je connaissais bien son attitude quant elle jouissait sous moi, mais l’air qu’elle avait maintenant était au-delà de toute description. Sur un signe du Directeur, elle est venue s’assoir à mon coté et m’a embrassé en me disant merci. Je n’ai pas compris, mais la française m’a expliquée à l’oreille. Ma femme me remerciait de l’avoir laissé jouir pleinement de la grosse queue ensorcelante de notre Directeur malien. Je n’ai pas fait de commentaire et continuais à boire et à observer. La soirée continuait et par la suite, d’autres couples ont rejoint la chambre des plaisirs mais je ne faisais plus grande attention. La française m’a invitée à en faire autant mais je n’étais pas en disposition psycho et j’ai dis plus tard. Ma femme, restée à mes cotés, semblait replonger dans l’ambiance érotique car je voyais qu’elle se frottait la chatte sous sa robe et soufflait fort. Elle avait envie de baiser mais, apparemment pas avec moi car elle regardait ailleurs. Elle avait fait un signe à quelqu’un dans le salon et j’ai vu le jeune malien se rapprocher de nous. Il s’est d’abord assis à nos cotés et on a bu ensemble en discutant. Puis, il a tenu la main de ma femme qui lui souriait les yeux tout ronds et j’ai compris qu’elle en avait envie. Je lui ai fait le signe affirmatif, par le regard, et ils se sont levés pour rejoindre la chambre des plaisirs. J’ai quant même compris que ma femme, après avoir gouté le zob du Directeur, avait encore envie d’un autre zob malien, africain, peut-être aussi gros, long et épais que celui de notre Directeur. Elle a gouté un zob africain et elle semble ne plus s’en passer.
Je me suis étourdi dans la boisson et ce n’est que plus tard, que j’ai senti ma femme qui me secouait. Elle avait fini sa baise avec le jeune, et peut-être avec d’autres, et me demandait de partir chez nous, il était très tard, passé minuit. J’ai cherché des yeux le jeune africain et il était la bas, enlaçant l’une des africaine de près. Je me suis dis que ces africains étaient insatiables et possédaient assez d’énergie et de puissance pour baiser plusieurs fois par nuit, ce qui n’était pas mon cas. Et on est retourné à notre logis pour le reste de la nuit. Le lendemain, dans la journée, on a eu une petite conversation, ma femme et moi. Elle voulait s’excuser mais je l’ai arrêtée. Je lui ai expliqué ce que m’a dit la française sur la queue du Directeur et l’égarement des femmes et elle m’a baisé la main de l’avoir comprise. Puis j’ai parlé du jeune malien et elle m’a confirmé qu’il était une réplique du Directeur. Et j’ai demandé des détails, poussé par une curiosité de cocu heureux. Elle m’a détaillé le zob du jeune malien et ses prouesses parfois plus puissantes que celles du Directeur. Ensuite, après avoir jouis tous les deux de sa chatte et éjaculé une bonne rasade de sperme chaud, le jeune malien, affolé par les formes de ma femme, par derrière, l’a initié à la sodomie. En effet, elle m’a avouée qu’il l’avait baisé du cul et elle l’a laissé faire. Elle avait d’abord eu très mal mais il a réussi, avec de la pommade trouvée dans la chambre à lui lubrifier l’anus et son zob, puis il a réussi lui ouvrir et écarter le cul, ensuite il a pénétré sa terma avec son gros zob gonflé. Après un moment de surprise et de douleurs atténuées rapidement, elle a commencé à en jouir, d’après ses aveux. La présence du gros zob dans ses entrailles, elle me l’a détaillé en jouissant de son récit, au vu de ses yeux arrondis et fixes sur le souvenir de ses ébats. C’est sûr, elle a aimé et goûté en donnant son cul et souhaite recommencer le plus souvent, et le plus tôt possible, même avec d’autres hommes. Je me souviens maintenant, pendant qu’elle jouissait du jeune, moi, je m’étais assoupi dans le salon et ce n’est qu’après qu’elle m’avait réveillée pour rentrer.
Elle continuait son récit. Le jeune malien l’a baisée une seconde fois par la chatte et a terminé par une autre sodomie, cette fois, ce fut très facile et très jouissante, et il a éjaculé par quatre fois, en abondance. Elle me racontait en jouissant de ses souvenirs, presque sans tenir compte de ma présence, et moi je recommençais à bander. J’étais certain que son cul et sa chatte étaient encore remplis du sperme des deux maliens qui l’avaient rassasiée. A la fin de son récit, elle m’a encore baisé la joue et remercié de cette liberté sexuelle que je lui ai accordée, sans même, réellement, trop réfléchir Mais c’était trop tard. Et c’est ainsi que, depuis ce jour, ma femme avait, chaque nuit, ses doses de deux à quatre baises, par devant et par derrière, avec le Directeur et je jeune malien. Le français ne l’a jamais invitée et elle n’en avait pas envie. Ce qui l’intéressait, c’étaient les zobs africains, très longs, gros et épais et surtout puissants et résistants. Ils pouvaient baiser devant et derrière plusieurs fois sans trop être fatigués et ils éjaculaient en abondance leur sperme brulant de jouissances. Moi aussi, je me suis mis rapidement dans l’ambiance de la soirée érotique. J’ai d’abord commencé par baiser la française, presque deux à trois fois par semaine, ensuite, j’ai essayé les maliennes. Et c’est la où j’ai eu, moi aussi, l’enchantement des chattes et des culs africains. Je dirais plutôt que ce sont elles, les maliennes, qui me baisaient le zob. Dès que les pénétrais, elles savaient rouler du bassin pour exciter ma queue à l’intérieur de leurs chattes et dansaient avec le derrière quant ma bite était dans leur cul. Elles me faisaient jouir à l’extrême et éjaculer en abondance. Je n’avais jamais eu autant de plaisir avec ma femme par le passé. Depuis que nous prenions nos plaisirs avec les autres, nous avions arrêtés nos relations sexuelles, ma femme et moi.
Mais une nuit, où il pleuvait, ce qui était rare dans cette région, nous avions écourtés notre soirée chez le Directeur, après juste une baise pour ma femme avec lui et moi avec une malienne. Au lit, ma femme, peut-être inassouvie, m’a enlacée, chose rare depuis longtemps. Puis, elle a glissé sa main vers ma bite et beaucoup farfouillé pour me faire bander. C’était assez difficile mais elle a repris ma bite dans sa bouche pour me sucer et branler avec vigueur. Après quelques efforts, ma queue s’est assez réveillée pour faire un peu, son devoir. Alors ma femme s’est agenouillée sur le lit et me tournant le dos elle m’a désignée sa terma. Je n’avais jamais touché ma femme de ce coté ci. C’était inédit pour nous, alors j’ai caressé ses belles fesses et son anus, déjà assez ouvert et palpitant. Ma femme avait une très belle terma, blanche et charnue et dans cette position, je pouvais distinguer, pour la première fois, un peu de son cul rose et cela a donné un choc érotique à mon zob qui s’est aussitôt gonflé encore plus. C’était un tableau nouveau mais tellement excitant, cette terma offerte et cet anus palpitant. Alors, j’ai caressé ses fesses et avec un peu de salive, j’ai lubrifié mon zob et j’ai léché sa raie et son anus. C’était nouveau pour moi mais très excitant et j’ai foncé. Empoignant ses hanches d’une main, le zob dans l’autre, je l’ai enfoncé dans le cul de ma femme. Il s’est enfoncé directement jusqu’aux couilles. Une jouissance formidable, nouvelle et tellement forte que je suis resté un moment, enfoncé et immobile dans le cul de ma femme. Elle a secoué son derrière, alors j’ai pris le rythme qu’il faut. J’ai démarré en vitesse mes vas et viens aussi puissants que je pouvais, et en donnant de grands coups de reins. Chaque fois que je m’enfonçais, j’attirais avec force le derrière de ma femme contre mon ventre et je hurlais mon plaisir. Elle aussi semblait jouir car elle hurlait autant que moi. C’était inédit et je n’ai jamais eu autant de jouissances que ce soir avec ma femme. Son cul m’enchantait et me convenait mieux que sa chatte. Et c’est devenu, par la suite, la meilleure habitude de nos relations sexuelles. Chaque fois qu’on avait du vague à l’âme ou un peu de sentiment, on faisait l’amour avec une belle sodomie. Même ma femme jouissait avec moi car, bizarrement, ce n’était qu’ainsi que ma queue se gonflait au maximum et éjaculait en abondance. Je le sentais bien et ma femme aussi. On a essayé par la chatte, mais je n’arrivais jamais à gonfler autant ma bite comme il faut, par contre, dès que ma femme m’offrait sa terma, mon zob se réveillait, je n’y comprenais rien mais nous en profitions. Il a fallu ces soirées avec les maliens pour, enfin, trouver l’acte sexuel complet qui nous faisait bien jouir, ensemble, tous les deux. Pour le reste des plaisirs, nous profitions de nos soirées avec les autres. Ma femme jouissait largement avec ses deux maliens, par devant et par derrière et souvent plusieurs fois par nuit. Et moi aussi, je profitais des maliennes qui réussissaient à me faire bander et jouir. Donc tout était parfait. Et entre nous, ma femme et moi, quant on voulait se faire plaisir, on se faisait une petite sodomie avant de nous coucher. Notre séjour s’est continué ainsi dans le travail et le plaisir et à nous avons demandé le renouvellement de notre contrat pour l’année suivante.
On s’est installés et tout allait bien durant le premier mois, mais nous vivions un peu séparés des autres. Et c’est ainsi qu’un jour, à la sortie des classes, le directeur nous a invités, ma femme et moi, à la petite fête, chez lui, ce soir, avec tous les autres collègues. On y est allé vers 20h et il y avait de l’ambiance. On a beaucoup discuté et un peu bu et l’atmosphère était au début très cordiale. Les quatre autres avaient leurs habitudes depuis déjà deux années et nous avons essayé de nous intégrer à leurs causeries. Soudain, vers 22h, nous avons été rejoins, dans le logis du Directeur, par deux jeunes femmes africaines (20 à 30 ans). Elles ont été bien reçues par nos collègues qui, apparemment, les connaissaient très bien et la causerie a été encore mieux animée. C’étaient de très belles maliennes, aux corps bien remplis, devant et derrière et très légèrement habillées, en tout cas selon moi. Et leur comportement vis-à-vis du Directeur et du jeune malien étaient assez intimes. Ils les embrassaient souvent, se collaient étroitement à eux et leurs permettaient des caresses comme à des amantes. Le couple français n’étant pas gêné, nous avons fait semblant d’accepter ces attitudes. Mais, rapidement, nous avons pris congé de nos amis qui ont essayé de nous garder encore, en vain. Chez nous, on s’est rapidement mis au lit, mais nous pouvions entendre, nettement, les éclats de rires et autres bruits divers de nos amis qui continuaient la fête. Mais, assez fatigués, nous nous sommes endormis rapidement.
Le lendemain fut une journée normale et le Directeur nous a renouvelé son invitation pour le soir. Je n’étais pas très engagé mais ma femme a insisté, alors on les a rejoint. La soirée était assez animée et encore plus lorsque, à 22h, deux nouvelles africaines ont rejoint le groupe. Ce n’étaient celles d’hier soir mais elles étaient aussi jeunes et belles que les précédentes et aussi intimes avec nos amis maliens. Le couple français participait sans problèmes aux blagues, aux beuveries, surtout le mari, et même à quelques attouchements. En effet, j’ai remarqué que la femme française permettait beaucoup de gestes intimes au directeur sur sa croupe et ses seins sans que le mari ne dise mot. Au contraire, celui-ci était occupé avec l’une des malienne. Ma femme, prise par l’ambiance et la bière, riait avec l’ensemble et ne semblait pas être gênée, mais elle restait correcte, sans se laisser approcher. Moi, j’étais un peu gêné et j’ai assez écourté notre soirée pour retourner chez nous où j’ai fait quelques remarques à ma femme. Elle en riait en disant qu’ils étaient tous sympas et que cela nous changeait du morne de nos journées et de notre solitude. J’étais un peu inquiet de ses paroles mais je n’ai rien dis.
Le lendemain soir, nous étions encore en groupe chez le Directeur et les deux femmes qui nous ont rejointes étaient celles de la première soirée. L’ambiance était très joyeuse et les fréquents attouchements entre les uns et les autres chauffaient la soirée. Cette fois, à la demande de ma femme, nous sommes restés plus longtemps qu’auparavant. Et c’est ainsi que, vers 23h, le français, ayant bien bu, et une des africaines, ont quitté, ensemble le salon, pour aller dans la chambre située de l’autre coté de la cuisine. Le reste du groupe a continué normalement à s’amuser et à boire sans manifester aucune remarque. Après un bon moment, je me suis approché discrètement de la cuisine et j’ai prêté l’oreille à la porte de la chambre. Ce que j’ai entendu était très clair, des halètements saccadés et des petits cris féminins de plaisir et même des sortes de chocs ponctués de « aaahhh » de jouissances prolongées. J’avais compris qu’ils étaient en train de baiser. Avant que je ne retourne à ma place, choqué mais excité, ma femme m’a rejointe près de la cuisine. Elle n’a pas entendu et je l’ai poussée vers notre place.
Dix minutes ou plus, plus tard, ils sont revenus dans le salon, tout normalement. A leurs visages on voyait bien qu’ils venaient de prendre beaucoup de plaisir sexuel. Surprise, immédiatement après, ce fut le Directeur et la femme française qui quittèrent le salon pour aller dans la chambre des plaisirs. Et comme tout à l’heure, rien ne fut dérangé dans le reste du groupe qui faisait la fête, buvait, discutait et se touchait sans gêne. Poussé par l’excitation, je suis allé reprendre mon poste d’écoute et j’entendais nettement les cris et halètements de jouissances du couple qui baisait dans la chambre. Soudain, ma femme m’a touché l’épaule, elle m’avait suivie et écoutait comme moi, nettement, les bruits érotiques et excitants de la chambre. Elle me pinçait le bras d’excitation et j’entendais sa respiration qui s’affolait par le désir. Mais je l’ai repoussée pour regagner notre place. Et un quart d’heure après, le Directeur et la française sont revenus au salon. Leurs vêtements, trop rapidement remis, étaient assez dérangés et leurs visages étaient épanouis par le plaisir de la baise. Juste à ce moment, ce fut le tour du jeune africain et l’autre malienne de rejoindre la chambre, pour baiser et revenir dix minutes plus tard. Pendant tout ce temps, j’ai essayé d’avoir, une attitude normale, assez détachée, en plaisantant et en buvant.
Mais, par contre, ma femme, qui était à mes cotés, avait des yeux noyés par le désir, surtout depuis qu’elle avait bien entendu les râles de plaisir de la chambre et le retour du Directeur et de la française. Depuis ce moment, elle n’arrêtait pas de les observer dans leur coin. Un moment, la française s’était éloignée, vers son mari. Et c’est alors que ma femme, sans même me demander, se leva et rejoignit le Directeur dans son coin. Il était resté allongé sur le coté et sirotait sa bière. Seulement, j’ai remarqué que sa braguette n’était pas bien fermée et même un peu entrouverte. S’il bougeait un peu trop, c’est sûr, on pourrait voir son bagage sexuel. Ma femme s’est, elle aussi, un peu mise sur le coté, le bras sous le corps et discutait en riant un peu trop à mon gout. Le Directeur lui offrit une bière, puis il releva sa jambe supérieure, ce qui entrouvrit largement sa braguette, mais la cachait aux autres, coté salon. J’ai compris ce qu’il faisait, il montrait sa bite à ma femme. Alors, poussé par un sentiment bizarre mais incontrôlable, je me suis discrètement rapproché de façon à voir le coté braguette. Et, j’ai bien vu ce que le Directeur montrait bien nettement à ma femme. Il avait sorti sa grosse bite de la braguette et il la pointait bien longue, grosse et large, car elle était fort gonflée, à la vue de ma femme. Ce fut une vision follement excitante même pour moi et ça commençait à m’exciter. Ma femme qui était allongée juste à cinq centimètres du gros zob le regardait avec de gros yeux. Elle allongea sa main libre et empoigna cette queue qui lui était offerte, puis elle la branla un moment. Mais le Directeur repoussa la main de ma femme pour remettre sa bite dans sa braguette. Puis, il se releva en tenant ma femme par la main et l’aida à se relever. Elle semblait hypnotisée et le suivait les yeux ronds et la bouche ouverte.
Puis il l’amena vers la chambre des plaisirs, sans un seul coup d’œil vers moi, ni de lui ni de ma femme. Pour eux, je n’existais plus, seul leur désir sexuel était urgent et il fallait l’assouvir immédiatement. Je me sentais comme étourdi mais je restais, presque calme et buvant ma bière comme si de rien n’était. Un moment, et la française s’est rapprochée de moi et m’a dit quelque chose que je n’ai pas d’abord compris. Puis, je l’ai regardée, et elle m’a tenu la main et s’est penchée vers moi pour me donner un baiser presque fraternel, sur la joue. Son mari était la bas en train de peloter une malienne. Elle m’a chuchoté à l’oreille, en confidence, un aveu et un conseil. Elle m’a avoué que cet homme, ce Directeur malien n’était pas normal comme moi et son mari. En effet, il avait un pieu sexuel tellement long, gros et épais que sa vue et sa puissance étaient un trésor qu’aucune femme, blanche ou africaine ne pouvait lui résister et que ma femme ne se maitrisait plus. Quant elle a vu sa queue gonflée, une seule chose comptait pour elle, comme pour moi, me dit-elle, c’est de la fourrer dans sa chatte et la faire jouir et jouir à hurler à l’infini. C’était un moment magique et incontrôlable pour une femme, alors, je me devais de comprendre la mienne. A partir du moment où nous sommes restés au-delà de l’heure fatidique, aucun mari ne pouvait commander la chatte ou le cul de sa femme. Elle a fini par me convaincre d’autant plus que ma bite continuait à bander sur l’image, que je gardais en tête, du gros zob du Directeur.
Et un quart d’heure plus tard, le Directeur et ma femme, après leurs jouissances, retournèrent au salon. Ma femme était rayonnante de plaisir. Je connaissais bien son attitude quant elle jouissait sous moi, mais l’air qu’elle avait maintenant était au-delà de toute description. Sur un signe du Directeur, elle est venue s’assoir à mon coté et m’a embrassé en me disant merci. Je n’ai pas compris, mais la française m’a expliquée à l’oreille. Ma femme me remerciait de l’avoir laissé jouir pleinement de la grosse queue ensorcelante de notre Directeur malien. Je n’ai pas fait de commentaire et continuais à boire et à observer. La soirée continuait et par la suite, d’autres couples ont rejoint la chambre des plaisirs mais je ne faisais plus grande attention. La française m’a invitée à en faire autant mais je n’étais pas en disposition psycho et j’ai dis plus tard. Ma femme, restée à mes cotés, semblait replonger dans l’ambiance érotique car je voyais qu’elle se frottait la chatte sous sa robe et soufflait fort. Elle avait envie de baiser mais, apparemment pas avec moi car elle regardait ailleurs. Elle avait fait un signe à quelqu’un dans le salon et j’ai vu le jeune malien se rapprocher de nous. Il s’est d’abord assis à nos cotés et on a bu ensemble en discutant. Puis, il a tenu la main de ma femme qui lui souriait les yeux tout ronds et j’ai compris qu’elle en avait envie. Je lui ai fait le signe affirmatif, par le regard, et ils se sont levés pour rejoindre la chambre des plaisirs. J’ai quant même compris que ma femme, après avoir gouté le zob du Directeur, avait encore envie d’un autre zob malien, africain, peut-être aussi gros, long et épais que celui de notre Directeur. Elle a gouté un zob africain et elle semble ne plus s’en passer.
Je me suis étourdi dans la boisson et ce n’est que plus tard, que j’ai senti ma femme qui me secouait. Elle avait fini sa baise avec le jeune, et peut-être avec d’autres, et me demandait de partir chez nous, il était très tard, passé minuit. J’ai cherché des yeux le jeune africain et il était la bas, enlaçant l’une des africaine de près. Je me suis dis que ces africains étaient insatiables et possédaient assez d’énergie et de puissance pour baiser plusieurs fois par nuit, ce qui n’était pas mon cas. Et on est retourné à notre logis pour le reste de la nuit. Le lendemain, dans la journée, on a eu une petite conversation, ma femme et moi. Elle voulait s’excuser mais je l’ai arrêtée. Je lui ai expliqué ce que m’a dit la française sur la queue du Directeur et l’égarement des femmes et elle m’a baisé la main de l’avoir comprise. Puis j’ai parlé du jeune malien et elle m’a confirmé qu’il était une réplique du Directeur. Et j’ai demandé des détails, poussé par une curiosité de cocu heureux. Elle m’a détaillé le zob du jeune malien et ses prouesses parfois plus puissantes que celles du Directeur. Ensuite, après avoir jouis tous les deux de sa chatte et éjaculé une bonne rasade de sperme chaud, le jeune malien, affolé par les formes de ma femme, par derrière, l’a initié à la sodomie. En effet, elle m’a avouée qu’il l’avait baisé du cul et elle l’a laissé faire. Elle avait d’abord eu très mal mais il a réussi, avec de la pommade trouvée dans la chambre à lui lubrifier l’anus et son zob, puis il a réussi lui ouvrir et écarter le cul, ensuite il a pénétré sa terma avec son gros zob gonflé. Après un moment de surprise et de douleurs atténuées rapidement, elle a commencé à en jouir, d’après ses aveux. La présence du gros zob dans ses entrailles, elle me l’a détaillé en jouissant de son récit, au vu de ses yeux arrondis et fixes sur le souvenir de ses ébats. C’est sûr, elle a aimé et goûté en donnant son cul et souhaite recommencer le plus souvent, et le plus tôt possible, même avec d’autres hommes. Je me souviens maintenant, pendant qu’elle jouissait du jeune, moi, je m’étais assoupi dans le salon et ce n’est qu’après qu’elle m’avait réveillée pour rentrer.
Elle continuait son récit. Le jeune malien l’a baisée une seconde fois par la chatte et a terminé par une autre sodomie, cette fois, ce fut très facile et très jouissante, et il a éjaculé par quatre fois, en abondance. Elle me racontait en jouissant de ses souvenirs, presque sans tenir compte de ma présence, et moi je recommençais à bander. J’étais certain que son cul et sa chatte étaient encore remplis du sperme des deux maliens qui l’avaient rassasiée. A la fin de son récit, elle m’a encore baisé la joue et remercié de cette liberté sexuelle que je lui ai accordée, sans même, réellement, trop réfléchir Mais c’était trop tard. Et c’est ainsi que, depuis ce jour, ma femme avait, chaque nuit, ses doses de deux à quatre baises, par devant et par derrière, avec le Directeur et je jeune malien. Le français ne l’a jamais invitée et elle n’en avait pas envie. Ce qui l’intéressait, c’étaient les zobs africains, très longs, gros et épais et surtout puissants et résistants. Ils pouvaient baiser devant et derrière plusieurs fois sans trop être fatigués et ils éjaculaient en abondance leur sperme brulant de jouissances. Moi aussi, je me suis mis rapidement dans l’ambiance de la soirée érotique. J’ai d’abord commencé par baiser la française, presque deux à trois fois par semaine, ensuite, j’ai essayé les maliennes. Et c’est la où j’ai eu, moi aussi, l’enchantement des chattes et des culs africains. Je dirais plutôt que ce sont elles, les maliennes, qui me baisaient le zob. Dès que les pénétrais, elles savaient rouler du bassin pour exciter ma queue à l’intérieur de leurs chattes et dansaient avec le derrière quant ma bite était dans leur cul. Elles me faisaient jouir à l’extrême et éjaculer en abondance. Je n’avais jamais eu autant de plaisir avec ma femme par le passé. Depuis que nous prenions nos plaisirs avec les autres, nous avions arrêtés nos relations sexuelles, ma femme et moi.
Mais une nuit, où il pleuvait, ce qui était rare dans cette région, nous avions écourtés notre soirée chez le Directeur, après juste une baise pour ma femme avec lui et moi avec une malienne. Au lit, ma femme, peut-être inassouvie, m’a enlacée, chose rare depuis longtemps. Puis, elle a glissé sa main vers ma bite et beaucoup farfouillé pour me faire bander. C’était assez difficile mais elle a repris ma bite dans sa bouche pour me sucer et branler avec vigueur. Après quelques efforts, ma queue s’est assez réveillée pour faire un peu, son devoir. Alors ma femme s’est agenouillée sur le lit et me tournant le dos elle m’a désignée sa terma. Je n’avais jamais touché ma femme de ce coté ci. C’était inédit pour nous, alors j’ai caressé ses belles fesses et son anus, déjà assez ouvert et palpitant. Ma femme avait une très belle terma, blanche et charnue et dans cette position, je pouvais distinguer, pour la première fois, un peu de son cul rose et cela a donné un choc érotique à mon zob qui s’est aussitôt gonflé encore plus. C’était un tableau nouveau mais tellement excitant, cette terma offerte et cet anus palpitant. Alors, j’ai caressé ses fesses et avec un peu de salive, j’ai lubrifié mon zob et j’ai léché sa raie et son anus. C’était nouveau pour moi mais très excitant et j’ai foncé. Empoignant ses hanches d’une main, le zob dans l’autre, je l’ai enfoncé dans le cul de ma femme. Il s’est enfoncé directement jusqu’aux couilles. Une jouissance formidable, nouvelle et tellement forte que je suis resté un moment, enfoncé et immobile dans le cul de ma femme. Elle a secoué son derrière, alors j’ai pris le rythme qu’il faut. J’ai démarré en vitesse mes vas et viens aussi puissants que je pouvais, et en donnant de grands coups de reins. Chaque fois que je m’enfonçais, j’attirais avec force le derrière de ma femme contre mon ventre et je hurlais mon plaisir. Elle aussi semblait jouir car elle hurlait autant que moi. C’était inédit et je n’ai jamais eu autant de jouissances que ce soir avec ma femme. Son cul m’enchantait et me convenait mieux que sa chatte. Et c’est devenu, par la suite, la meilleure habitude de nos relations sexuelles. Chaque fois qu’on avait du vague à l’âme ou un peu de sentiment, on faisait l’amour avec une belle sodomie. Même ma femme jouissait avec moi car, bizarrement, ce n’était qu’ainsi que ma queue se gonflait au maximum et éjaculait en abondance. Je le sentais bien et ma femme aussi. On a essayé par la chatte, mais je n’arrivais jamais à gonfler autant ma bite comme il faut, par contre, dès que ma femme m’offrait sa terma, mon zob se réveillait, je n’y comprenais rien mais nous en profitions. Il a fallu ces soirées avec les maliens pour, enfin, trouver l’acte sexuel complet qui nous faisait bien jouir, ensemble, tous les deux. Pour le reste des plaisirs, nous profitions de nos soirées avec les autres. Ma femme jouissait largement avec ses deux maliens, par devant et par derrière et souvent plusieurs fois par nuit. Et moi aussi, je profitais des maliennes qui réussissaient à me faire bander et jouir. Donc tout était parfait. Et entre nous, ma femme et moi, quant on voulait se faire plaisir, on se faisait une petite sodomie avant de nous coucher. Notre séjour s’est continué ainsi dans le travail et le plaisir et à nous avons demandé le renouvellement de notre contrat pour l’année suivante.
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