54-Sidi Abbas le grand cocufieur, était aussi cocufié :

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : 54-Sidi Abbas le grand cocufieur, était aussi cocufié : Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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54-Sidi Abbas le grand cocufieur, était aussi cocufié :
Monsieur Abbas ou plutôt Sidi Abbas est un homme satisfait en tout. Il a 55 ans, belle moustache et bonne santé. Toujours bien habillé, il est directeur régional d’une Multinationale qui importe et vent des vêtements féminins. Sidi Abbas s’est spécialisé uniquement dans les essayages et ventes des sous vêtements féminins. Il a 20 employés dont 2 hommes seulement, un agent sécurité et un comptable. Le reste est composé de femmes d’âges divers entre 18 et 45 ans, et de niveaux moyens sinon primaires. Elles s’occupent des ventes, des essayages pour clientes et des éventuelles reprises ou retouches. Il a un grand bureau tout au fond du vaste magasin, derrières les cinq cabines d’essayages pour clientes. Toutes ses employées sont choisies par lui, belles et bien charpentées. Sa première condition d’embauche est de coucher avec lui. Pour cela, il a complété son bureau par une petite chambre des plaisirs, discrète, avec grand lit et toilettes-douches. Après avoir baisé la candidate et si elle a été gentille et satisfaisante, il l’embauche. Ensuite, elle reste à sa disposition à chaque fois qu’il le désire. Sidi Abbas est un bon amant, au zob assez gros et puissant, donc, pratiquement, la majorité de ses maitresses ne sont pas mécontentes de ses prestations sexuelles, elles se font même parfois de la concurrence, d’autant plus que Sidi Abbas n’est toujours avare en cadeaux, parfums et sous vêtements. Si Abbas est donc super heureux. C’est lui aussi qui fixe les salaires et les primes, pour ses employés, encore une carte puissante entre ses mains. Un vrai pacha dans son grand magasin.
Le travail de son personnel est toujours positif et ses clientes totalement satisfaites, donc ses patrons étrangers le sont aussi et lui laissent toute liberté. Si Abbas ne néglige pas aussi ses clientes, surtout si elles sont du genre à accepter quelques cadeaux. Alors, certaines sont facilement devenues ses maitresses, mais il couche avec elles, toujours en dehors de son magasin, soit chez elles soit à l’hôtel. Parmi ses maitresses, employées ou clientes, plusieurs sont mariées et mères de famille, mais cela ne gène pas Sidi Abbas, au contraire, cela augmente son plaisir. Parmi son personnel féminin, des rumeurs disent que certains maris, intéressés par les cadeaux que faisait parfois Sidi Abbas à leurs femmes et enfants, sont au courant de l’infidélité de leurs femmes, mais ils laissent faire. Sidi Abbas n’a jamais eu de problème car lorsqu’il baise une employée mariée, il l’oblige à se doucher complètement pour ne laisser aucune trace de son sperme et de son parfum sur elle. Par ailleurs, il fait très attention pour ne pas engrosser ses maitresses célibataires. D’ailleurs, c’est lui qui a bien choisi le médecin contractuel du travail pour ses employés, et qu’il utilise parfois pour contrôler encore mieux son personnel féminin. Encore une chose, c’est Sidi Abbas qui a choisi son agent de sécurité et son comptable. Tous les deux sont âgés de 50 et 55 ans et ont eu des problèmes par le passé. Ils sont mariés et leurs femmes, 35 et 40 ans travaillent au magasin. Et bien sur, elles sont passées sous le zob de Sidi Abbas avec le consentement silencieux de leurs maris. Surtout celle du gardien, ayant de gros seins et un cul de tonnerre et Sidi Abbas l’honore pratiquement tous les dix à quinze jours, au point de passé pour son vrai mari. Un vrai pacha, ce Sidi Abbas, un coq dans la basse cour.
Quant Sidi Abbas travaillait simplement dans l’Entreprise mère, en Allemagne, comme il était un très beau mâle, il était devenu l’amant de plusieurs des employées, même mariées. Et un jour, l’une d’elles, Ingrid, devenue veuve, l’a prise totalement sous sa coupe. Et lorsque l’Entreprise a décidé d’ouvrir un magasin en Algérie, elle a usé de son influence pour nommer Sidi Abbas comme Directeur. Ensuite, n’acceptant pas de se séparer de lui, elle l’épousa et vint habiter avec lui en Algérie. Elle avait une fille Sabine, de son premier mari, âgée maintenant de 25 ans et qui habite avec elle dans la villa que Sidi Abbas a achetée en banlieue cossue de la capitale. Il a recruté une jeune fille Aicha, 25 ans, comme dame de compagnie pour sa femme et l’entretien, une autre plus âgée, Hana, veuve de 45 ans et sans enfant pour la cuisine, un vieux jardinier, veuf, Salem, âgé de 50 ans et son fils Tahar, 30 ans, comme hommes à tout faire. Tous logent dans des dépendances de la grande villa. Sa femme avait acheté une voiture pour ses besoins et ceux de sa fille. Il avait aussi une petite camionnette pour les achats et autres besoins de la villa, utilisée surtout par le jeune Tahar. Bien sur Sidi Abbas avait une belle Mercedes qu’il utilisait rarement et fermée au garage. Sidi Abbas préférait utiliser des taxis vers et de son bureau, c’était surtout pour voir une liberté totale, discrète, dans ses déplacements. Surtout que, souvent, c’était vers des maisons de ses maitresses ou des hôtels de passes. La famille de Sidi Abbas passait normalement son temps dans sa villa équipée de toutes les commodités domestiques et toutes les utilités électroniques, assiettes satellites et câble internet. Sidi Abbas passait le plus clair de son temps, soit au travail, soit à courir d’une maitresse à l’autre et quant il revenait chez lui, tard la nuit, parfois même pas, il ne s’occupait pas de sa famille. Il avait une confiance totale dans sa femme Ingrid qui décidait et gérait le tout dans la villa et il lui avait ouvert, à son nom, un compte bancaire bien crédité. Elle avait donc son chéquier pour toutes leurs dépenses.
Mais ce que Sidi Abbas ne savait pas, c’est que tout le monde ne l’aimait pas chez lui et faisaient des tas de choses dans le secret. D’abord sa femme, Ingrid qui était délaissée. Avec le temps, elle a fini par succomber au plaisir sexuel et avoir des amants. Elle les draguait au marché mais souvent chez des amis communs étrangers. Ce sont les amantes d’étrangers qui lui font la confidence, alors elle se met dans les rangs, et va baiser chez lui ou à l’hôtel. Quant c’est un amant étranger, elle l’amenait à la villa, prétextant bavarder avec un compatriote. Alors, elle baisait avec lui, dans le lit de son mari Sidi Abbas, pendant deux ou trois heures et avec la complicité de sa femme de compagnie Aicha qui surveillait devant la porte à coucher. La vielle Hana, la cuisinière a aussi été mise dans la confidence et gardait le secret. D’ailleurs, la patronne Ingrid s’est rendu compte que Hana couchait pratiquement en permanence dans le lit du jardinier Salem et parfois même avec son fils Tahar. Ce dernier a réussi à draguer la jeune Aicha, la dame de compagnie qui, elle aussi, couchait presque chaque soir dans le lit du jeune homme. Sauf lorsque sa patronne Ingrid décide de la faire coucher avec elle, dans son lit, toutes nues, pour se faire des gentillesses à leurs chattes mutuelles. Cependant, il était interdit à tout le personnel d’amener un Algérien à la villa, car Sidi Abbas ne le tolérerait jamais. Donc, les occupants de la villa se suffisaient entre eux et elles, en plaisirs sexuels. Seule, Ingrid avait le possibilité d’amener parfois un compatriote pour baiser avec elle à la villa. Sa Fille Sabine, elle aussi a été prise par le génie de l’amour sexuel. Elle allait baiser avec les étudiants en cité universitaire, où elle couchait souvent, prétextant des soirées de jeunes. Elle a même réussi à se faire baiser par le jeune Tahar, le fis du jardinier, mais en cachette de sa mère et de Aicha, la maitresse du jeune homme. Lorsqu’elle allait, avec Tahar, pour choisir certains achats, ils arrêtaient la camionnette dans un endroit discret et il la baisait ou sodomisait à leur aise.
Lorsque Sidi Abbas informait sa femme, par phone, qu’il ne coucherait pas ce soir à la villa, sous des prétextes différents (fausse mission, réunion nocturne etc..), alors qu’il allait passer la nuit avec une ou des maitresses, Ingrid planifie aussi sa nuit. Elle phone à l’un de ses amants pour la rejoindre pour toute la nuit. Tous les amants d’Ingrid qu’elle invite à la villa ne sont que des Allemands, jamais aucun autre étranger. Elle s’assure ainsi leur complicité et leur discrétion. Il lui est arrivé d’inviter deux ou trois amants à la fois. Ils boivent, dansent et font l’amour, puis s’en vont, sauf si elle doit retenir l’un d’entre eux pour la nuit. Une autre fois, Tahar, parti dans son bled à cause d’un décès, a été absent durant quinze jours. Et Ingrid, après deux jours, voyant Aicha très malheureuse à cause de l’absence son amant, lui proposa si elle acceptait de coucher avec l’un des étranger, et Aicha, excitée par l’expérience, accepta. Alors, le soir même, les deux femmes, dans le lit de Si Abbas, baisaient ensemble, cote à cote avec deux Allemands, se passant réciproquement leurs amants après chaque éjaculation de chatte ou de sodomie. L’expérience a duré trois nuits de suite car si Abbas a eu la gentillesse de s’absenter aussi trois nuits de son lit.
Et c’est ainsi que Si Abbas, au gros zob puissant et amant obligatoire de toutes ses employées et de plusieurs de ses clientes, ne savait qu’il était aussi cocu, non seulement par sa femme et sa belle fille, mais par tous les employés femmes et hommes de sa villas. Le fait qu’Ingrid gérait le tout à sa manière et au plaisir de sa chatte et de son cul, le secret a été bien gardé. Et comme Si Abbas ne couchait pratiquement jamais avec sa femme, durant les mois de travail, il ne pouvait pas se rendre compte que la femme couchée à ses cotés avait la chatte et le cul encore badigeonnés du sperme de son amant étranger. Quant il prenait son petit déjeuner à la cuisine, avant de partir au travail, la aussi, il ne pouvait sentir l’odeur du mâle et du sperme du jardinier et de son fils sur les corps de la vielle cuisinière Hana et de la jeune Aicha. Il pensait juste à son bouleau et à ses futures amantes de la journée.
Mais un jour, alors qu’il rentrait chez lui, à l’improviste, dans l’après midi, il trouva sa femme, attablée avec deux Allemands de la capitale, et heureusement, il les connaissait tous les deux. Aicha leur servait des boissons rafraichissantes et ils bavardaient simplement. L’un était adjoint directeur d’une succursale d’une Entreprise Allemande de matériel électrique et l’autre travaillait comme secrétaire à l’ambassade. Il s’assit avec eux et bavardèrent pendant une bonne heure, sans problème. Comme Si Abbas et sa femme savaient que ces deux étrangers vivaient en célibataires, ils les invitèrent pour le diner et la soirée. Après quelques refus polis et quelques coups de fils, les deux Allemands acceptèrent. La soirée et le diner, servi par Hania et Aicha, furent excellents et vers 23h, les Allemands partirent avec leurs voitures. Cependant, pendant la soirée, et malgré que Ingrid et sa fille étaient correctement habillées, Sidi Abbas avait constaté, avec son œil de dragueur de femmes, que le vêtement d’Ingrid se collait parfois sur son corps et que l’un des Allemand insistait pour bien l’observer. Le derrière d’Ingrid se profilait et on devinait les rondeurs de sa belle terma et il en était de même pour l’opulence de sa lourde poitrine. Si Abbas en était un peu secoué, mais ne disait rien. Et le lendemain, dans son bureau, il revit en tête, les scènes de la soirée, et ça le faisait bander. Donc, il se dit que les Allemands devaient aussi bander sur le corps de sa femme et il devint très jaloux. Certes, il n’avait pas de preuves mais il n’était plus tranquille. Dans la journée, il téléphona à Aicha pour voir qui était à la villa. Elle lui expliqua que sa femme était sortie depuis ce matin ainsi que sa fille et Tahar pour des provisions. Il retéléphona vers 15h et il obtint sa femme qui eu la bêtise de lui dire que leur ami de l’ambassade était présent pour les remercier de leur diner d’hier soir. Et Si Abbas eu immédiatement la puce à l’oreille et soupçonnait cet étranger d’être revenu pour draguer sa femme. Alors, il arrêta son travail et courut chez lui. A 15h30, il arriva à la villa et lorsque le jardinier lui ouvrit le grand portail, il n’y avait rien d’anormal. Mais, la bas, sur le balcon de la villa, Aicha l’avait aperçu et elle couru à l’intérieur. Sa patronne baisait avec l’Allemand et elle les a informés tout de suite. Ils se rhabillèrent en urgence, et s’installèrent au salon, et Aicha apporta de la cuisine, du café et des gâteaux. Quant Si Abbas arriva enfin à la villa, c’était trop tard, il trouva sa femme et l’Allemand, assis, attablés au salon et le café devant eux. Sa femme se leva et l’embrassa en faisant la surprise. Et l’Allemand se leva pour lui tendre la main QUE Si Abbas serra, en même temps que ses dents. Le reste de l’après midi fut normal mais l’alerte a été sérieuse.
Alors, Si Abbas décida de mettre une parente dans la villa pour surveiller sa femme. Il fit appel à sa sœur, Fatima, 35 ans, divorcée depuis quelques années, sans enfant, et qui vivait au bled. Il lui donna une chambre à coté de celle de sa femme (et la sienne) et des consignes discrètes et secrètes entre parents. Il lui demande surtout de surveiller tout les étrangers qui viennent à la villa. Mais si Abbas ne savait pas qu’Ingrid avait aussi des amants Algériens et Allemands en ville et qu’elle n’amenait jamais dans la villa. Pendant un ou deux mois, Fatima informa son frère que tout allait bien et que lorsque des étrangers étaient invités, tout était normal. Ils évitaient même, par politesse, de parler en Allemand, mais en français que Fatima maitrisait suffisamment bien. Sidi Abbas était satisfait et tranquillisé. Alors, il retourna à ses occupations habituelles, professionnelles et sexuelles et oublia, encore une fois, sa femme et la famille. Pendant ce temps, Ingrid s’était informé sur Fatima et elle réussi à la faire parler sur sa vie et ses problèmes. Fatima raconta son passé, son veuvage, sa stérilité et ses désirs complètement freinés et cachés, comme c’était la tradition dans son monde. Alors Ingrid attendit la fois où son mari devait être absent pour trois jours et nuits, pour planifier quelque chose. Avec la complicité de Aicha, elle dit à Fatima que la nuit, elle avait peur d’être seule dans sa chambre. Alors, elles décidèrent toutes les trois à coucher ensemble dans la chambre d’Ingrid. Au moment voulu, Ingrid et Aicha, habillées de leurs courtes chemises de nuit, se couchèrent sur le lit, mais Fatima hésitait. Elle avait une longue robe qui cachait presque tout son corps. Les deux autres femmes rigolèrent gentiment et la taquinèrent sur son lourd habillement mais elle le avoua que c’était tout ce qu’elle avait. Alors, Ingrid, ouvrit l’armoire et offrit à Fatima une chemise de nuit ultra courte et un slip, pratiquement ficelle. Fatima hésita un moment, puis, entre femmes, elle enleva sa robe et s’habilla comme les autres. Puis les deux femmes la placèrent antre elles au milieu du lit. Ensuite, on éteint la lumière et après un moment, commencèrent les caresses entre Ingrid et Aicha, mais en traversant le corps de Fatima. Dans l’obscurité, les caresses venant de droite et de gauche, excitèrent la jeune veuve et elle étala largement son corps sur le lit. Les deux autres femmes la caressèrent à fond, aux seins, puis à la chatte qui commençait à couler de désir, puis elles s’embrassèrent mutuellement et après une bonne demi-heure de ce rythme, Fatima était conquise. Alors, Ingrid ralluma la pièce et le corps de Fatima apparut, dans toute sa splendeur aux deux femmes. Elle était excitée, alors, elles en profitèrent pour lui embrasser et sucer la chatte et les seins, pour farfouiller à l’intérieur de son sexe, sevré depuis plusieurs années. Enfin, Fatima arriva à l’orgasme en hurlant de plaisir et en se tendant à fond aux caresses des autres. Ensuite, quant elle revint à elle et constatant ce qui était arrivé, elle eu honte. Mais Ingrid la rassura tout de suite et Aicha passa à l’attaque et lui caressa les hanches et les fesses. Ingrid se coucha sur le dos et poussa Fatima à se mettre sur elle en 69. Puis, elle s’occupa de la chatte de la jeune veuve qui, poussée par la situation en fit de même sur la chatte d’Ingrid. Et ainsi, pendant une longue nuit, elles se caressèrent, se léchèrent, se sucèrent et se firent des frottis avec les doigts et mains. Elles eurent des orgasmes à plusieurs reprises et ne se couchèrent qu’épuisées de plaisirs et de jouissances.
Le lendemain, Ingrid eu une conversation avec Fatima sur le fait qu’elle n’était dans la villa que pour la surveiller et que cela l’ennuyait énormément. Alors, Fatima, vaincue par la nuit de plaisirs, avoua à Ingrid qu’elle garderait ses secrets et ne dirait rien à son frère, bien au contraire. Pendant les deux nuits suivantes, elles se firent le maximum de plaisirs. Mais Ingrid avoua à Fatima qu’elle avait faim de zobs dans sa chatte et son cul, et Fatima, excitée, lui dit de faire ce qu’elle voulait. Alors Ingrid recommença, le jour même, à inviter un de ses amants avec lequel elle passa tout l’après-midi. Et quant Fatima vit Aicha qui passait la nuit avec le jeune Tahar, elle se sentit affamée de zob. Alors, elle demanda à Aicha si elle voulait bien coucher ce soir avec elle et avec son amant Tahar. Aicha, sur le conseil ou l’ordre de sa patronne, accepta. Ainsi, le soir même, quant Aicha rejoignit son amant, elle amena Fatima avec elle et le présenta à Tahar. Et toujours sur le conseil d’Ingrid, elle offrit à Fatima toute la nuit avec Tahar, comme une nuit de noces, car elle était à jeun de zob depuis trop longtemps. Tahar, jeune sève sexuelle, satisfait à la besogne et baisa Fatima cette nuit au moins quatre fois et éjacula dans sa chatte autant. Le lendemain, Fatima, embrassant Aicha du cadeau et Ingrid, était réjouissante comme une jeune mariée. Puis, les trois femmes se mirent en conférence et décidèrent des actions pour les besoins de Fatima sans créer de problème avec Aicha et Tahar. Mais Aicha accepta avec plaisir car Tahat avait des capacités et des ressources pour les deus femmes. Plus tard, Fatima se libéra tellement qu’elle essaya d’avoir des amants en ville, mais sur conseils d’Ingrid, elle limita ses désirs. Un jour, alors qu’elle veillait la vielle Hana malade, la nuit, le vieux jardinier, amant de Hana, lui caressa discrètement le cul. Elle le regarda avec étonnement, mais toujours discrètement, il lui découvrit son zob bandé et gonflé qu’il sortit de la braguette et lui fit signe de le suivre dehors. Elle se rassura que Hana dormait et elle le suivit dehors. Il l’amena sous une tonnelle à quelques mètres de là et le zob toujours dehors, il la poussa contre le mur en essayant de lui relever la robe. Elle l’aida de son mieux et enleva son slip, puis levant une jambe, elle lui offrit sa chatte sur le coté. Il enfonça son zob dans la chatte de Fatima et commença ses vas et viens puissants en haletant. Rapidement le zob du vieux Salem fit son effet sur Fatima qui gémissait et eu rapidement son premier orgasme, debout. Salem ne tarda pas et il éjacula hors de la chatte de Fatima. Il ne savait pas qu’elle était stérile. Puis, il partit dans l’obscurité de la nuit. Fatima était encore très excitée. Elle se couvrit et sortit de la tonnelle. Soudain, elle rencontra, dehors, le jeune fils Tahar qui avait assisté à tout et il lui dit qu’il comprenait sa situation et il l’a repoussa à l’intérieur de l’abri. Puis, il sortit son zob, lui aussi bandé et gonflé. Fatima était contente, alors, elle releva sa robe, et comme elle était sans slip, elle offrit sa chatte à Tahar. Comme son père, il lui releva un jambe pour mieux accéder à sa chatte, puis il enfonça son zob jusqu’aux couilles. Il était fort, alors mettant ses mains sous les hanches de la femme, il la souleva un peu et la cloua contre le mur. La poussée brutale et érotique fit hurler Fatima de jouissance et son deuxième orgasme explosa immédiatement. Tahar le comprit et continua à la pilonner. Et pendant un bon quart d’heure ou plus, il la baisa avec des gémissements et des cris de plaisir réciproques. Enfin, il éjacula à fond dans les entrailles de Fatima qui s’accrochait au cou du jeune homme. Il resta en elle pendant un moment, la laissant souffler et gouter mieux les ondes de jouissances qui secouaient son corps, puis il la libéra. Elle s’accroupit pour vider le sperme de sa chatte et Tahar partit dans la nuit. Ensuite, Fatima rejoignit le lit de la vielle Hana, malade. Quant Aicha vint la remplacer, elle la trouva endormie, de fatigue sexuelle.
Ainsi, Sidi Abbas, le grand cocufieur des maris de ses employées et de ses clientes, est lui aussi cocufié par sa femme, par sa belle fille, par ses employés hommes et femmes à la villa et par ses amis Allemands de la capitale. Pendant encore des années, la villa reprit ses libertés sexuelles dans l’ignorance totale de Si Abbas, et ça dure encore, sans problème pour tout le monde, preuve que dans la vie, le sexe est le plus fort besoin pour l’homme et la femme.

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