A ton avis! - histoire érotique

J’adore exhiber ma femme et mater. Avec elle nous avons pu nous livrer à quelques jeux coquins.
Comme le jour où je fais venir un jeune du quartier. Je l’installe sur le divan avec moi alors que ma femme prend place sur son fauteuil à quelques centimètres de nous. Je prends alors sous les yeux témoins du jeunot, l’initiative à la branler. Pour ne pas qu’il ne détourne pas les yeux, je l’assaille de questions.
Malgré sa gêne, il ne peut s’empêcher de jeter résoudre de jeter des œillades intriguées, parfois même soutenues. Je le sens de plus en plus troublé. À mon envie de jouer se mêle très vite, l’excitation.
Je saisis ma femme par le poignet et l’attire à moi. Elle s’est exactement à cet instant mes intentions. Elle se laisse enlever sa jupe ainsi que sa culotte. Rapidement elle gémit. Je l’embrasse à pleine bouche, offrant ma femme dans sa plus profonde intimité aux regards intéressés du jeunot.
Je ne vous cache pas, que j’aurais bien aimé qu’il prenne l’initiative de venir me relayer dans cette masturbation et peut-être même plus, si affinités. Mais il ne se décide pas. Mon envie de faire l’amour à ma femme devant un témoin, se fait de plus en plus forte. Et je ne vais pas tarder à succomber à cette envie.
Je plante mes yeux dans celui du gamin. Il a du mal à soutenir mon regard. J’écarte les jambes de ma femme, alors qu’il se cale dans le divan, comme pour mieux apprécier la scène. Il espère du spectacle, je vais lui en montrer. Je me laisse glisser jusqu’aux pieds de ma femme. Là après un cli d’œil pour mon invité, je plonge mon visage entre les cuisses. Son pubis dégage, comme souvent dans ses cas là, une odeur de femme en rut. Son sexe est comme un fruit mûr dans laquelle on a envie de croquer.
Je prends le temps d’admirer le contraste de ses petites lèvres foncées et sa peau laiteuse. Une chatte de femme surmontée d’un clitoris démesuré qui pointe hors de son fourreau comme à chaque fois quand elle est surexcitée. Et c’est-ce que j’aime le plus chez elle. Elle est ma chose, entièrement soumise aux orgasmes que je lui impose, par tous les trous.
Sans m’attarder, je saisis sa vulve par les lèvres. Je l’ouvre largement, puis je glisse ma langue dans la chatte gluante. Mon épouse eut une brève convulsion. Je l’enfonce bien au fond, pour en aspirer la mouille. Elle a un goût salé pour ceux à qui cela peu intéresser. Je fais coulisser le gros bout de chair hors de son capuchon. Je l’aspire en l’expulsant à toute vitesse entre mes lèvres. J’ai toujours était surpris par la taille de son clitoris. Une excroissance obscène dépassant de la vulve avec indécence.
Un coup d’œil me confirme que le poupon nous regarde toujours, très intéresser par ce que je fais. Ma femme gémit entre mes dents, soulevant le bassin. Je me saisis du tee-shirt qu’elle porte, à hauteur de son décolleté, et tire fort à moi. Sous la force le nylon cède. Libérant ses seins orphelins de tout soutien-gorge. J’enserre un de ses seins dans la paume de ma main droite et le malaxe. Pressant le téton dressé entre mon pouce et le majeur. La plainte rauque s’intensifie, collant son sexe à mes lèvres. Je glisse alors, deux doigts dans son cul. A force de se faire sodomiser, ça rentre tout seul. Sa rondelle est dilatée comme pour mieux m’engloutir. Je remus lentement mes doigts. Je suis remercié de mon initiative par un jet de mouille.
Je lèche doucement, alors qu’elle pousse comme un soupir de satisfaction. Je jette un coup d’œil sur notre spectateur. Il m’envoie un clin d’œil. Quel toupet ! Tout de même.
Il me sourit aussi, sans doute ravie d’être convié à l’union. Il devine malgré son jeune âge, ce que j‘attends de sa part. C’est plus facile quand les choses ne sont pas deécidé avant. Il se lève, pour mon plus grand bonheur et fait les quelques pas qui nous séparer.
Je me redresse, et gobe un téton de ma femme. Du regard, je l’encourage d’en faire de même de son côté. Il s’exécute. Mon épouse piaille de surprise. Avec le gamin, nous restons fermement collés à ses seins, qui durcissent sous nos langues. Elle pose ses mains sur nos têtes et ouvre grand les cuisses. Quelle chaudasse ! Cela ne m’étonne pas plus que ça. C’est sa famille qui veut ça. Sa mère est pire qu’elle !
Je lis dans ses yeux qu’elle apprécie ça. D’unir un invité à notre accouplement. J’abandonne son sein pour lui rouler une pelle. Pour sa part le gamin glisse le long du ventre de ma femme. D’un signe de tête, je l’encourage d’aller plus bas. De voir sa langue s’immiscer dans la chatte de ma femme relève d’un érotisme puissant. Il suce avec entrain le bouton luisant de ma propre salive, pendant que ma femme soulève son bassin par à-coups. Il se permet même d’enfoncer un doigt dans la cicatrice, arrachant des gémissements gutturaux à ma moitié.
Puis il se lève. Il me jette un regard interrogateur avant de faire tomber son pantalon. Sa verge est énorme, gonflée de veines. Sans se presser le coquin frotte son gland sur la vulve luisante de ma femme, qui est aux anges. Les chairs lisses des muqueuses s’entrouvrent en corolle. Je suis comme hypnotisé par ces deux sexes si différents.
Le garçon pénètre ma femme. La gorge serrée, je contemple l’œuvre. La chatte de ma femme engloutit centimètre après centimètre la verge. Elle gémit sans discontinuer. Ses chairs baveuses s’écartent sous l’introduction. Accueillant la queue dans son ventre. Une fois planté entièrement dans ma femme, il entame un lent va-et-vient. Les halètements de mon épouse sont bientôt remplacés par des cris, alors que la verge coulisse dans le sexe, écartelant les lèvres à chacun de ses passages. Puis peu à peu il la besogne avec plus d’ampleur. Le bassin de ma moitié va à la rencontre de l’outil du plaisir qui la laboure.
Le couple gémit de plus en plus fort sous mes yeux témoins.
Puis je sens quand me secoue. Des appels suivirent :
- Alain… Alain… vient en va se coucher… le film est terminée.
J’ouvre les yeux, et j’aperçois ma femme au-dessus de moi. Je m’étire, pâteux. Pourquoi a-t-il fallu qu’elle vienne me tirer de mon songe juste à ce moment-là? À croire qu’elle l’a fait exprès! Je m’aperçus que j’ai une érection engluée de sperme.
- Tu ronflais bien ! Me fit-elle…
- La fatigue ?
- …mais dis-moi. C’est que tu bandes mon salaud. Tu as rêvé de quoi pour te mettre un état comme ça ?
- Quand avait invité un gamin à partager une baise.
- Ah oui, et qui ?
-Adrien, si tu veux savoir, le fils des voisins.
-Bon choix !
Dans la chambre, des images s’accrochent à mon esprit. Me sautant dessus avec la violence d’une bête sauvage. D’abord la chatte de ma femme, ma queue du jeunot. Sa grimace alors qu’il prenait son pied.
Il ne m’en faut pas plus pour me donner envie de consommer. Je chevauche pour cela ma femme alors qu’elle est à poil, s’apprêtant à se passer sa chemise de nuit. Je guide ma verge dans sa fente. Je bascule mon bassin sur un rythme parfait pour frotter ma queue entre les lèvres de son sexe. Je la harponne en levrette.
Une prise sauvage, comme mon envie. Rapide, qui la fait partir tout de suite. Elle s’écroule sur le lit. J’en profite pour la prendre en levrette. Mon sexe raide cherche, et trouve l’entaille béante de ma femme. Je m’agrippe aux épaules et me propulse aussi loin que je le peux.
Arrachant un feulement bestial à ma moitié, qui creuse les reins en un mouvement d’offrande. Un pilonnage en règle. Les poings agrippés aux draps, elle se laisse conduire. Elle l’a cherchée cette cochonne. Je la besogne de coups rageurs. Elle couine. Je plante mes doigts dans ses hanches, je la pine à fond, à grands coups rectilignes, jusqu’à la jouissance.
Le souffle coupé, je me laisse tomber sur le lit. Elle vient me rejoindre, et lâche :
-J’espère bien que demain mon chéri, tu rêves de la même chose.
-Je n’ai jamais fait deux fois le même rêve.
-Dommage… Ah moins…
-Ah moins que quoi…
Elle attend un bon moment avant de laisser tomber, et en toute quiétude.
-Que t’invite Adrien…
-Tu veux plaisanter !
-A ton avis !!!!