Adrien, l’amour fou – histoire complète (13)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Adrien, l’amour fou – histoire complète (13)
Ce long récit en 14 épisodes constitue une histoire complète d’« Adrien l’amour fou », que j’ai souhaité développer. J’ai juste apporté quelques changements minimum (couleur des cheveux d’Adrien, âge des personnages), mais l’idée est la même : les joies et les difficultés d’une relation amoureuse et sexuelle d’un couple avec une grande différence d’âge. Comme d’habitude, beaucoup de sexe aussi… et les photos des personnages disponibles sur demande.
Comme dans toutes mes histoires, les rapports sont non protégés. Dans la vraie vie, pensez à mettre des préservatifs.
Bonne lectureSylvain
==
J’ai du mal à réaliser ce qui m’arrive dans les jours qui suivent, mais, oui, ça y est, nous sommes de nouveau ensemble. Je garde ça pour moi au début… ça me parait un peu irréelPourtant les choses se mettent place naturellement, au milieu de notre routine. Est-ce finalement ça une vie de couple ?
Les semaines sont bien remplies par le boulot. On se voit le soir. Tu viens diner et passer la nuit chez moi. Ou l’inverse. On respecte la vie de l’autre, mais pas à pas, on fait les bons compromis le moment venu. On se voit le week-end plus longuement, mais là encore, on se garde du temps pour voir nos amis respectifs. Trouver le bon équilibre. Se parler. C’est plus facile, maintenant que nous avons des styles et des rythmes de vie comparables.
Au bout de quelques semaines, on commence à s’afficher avec nos amis. Pas mal d’inquiétude. Jamais 2 sans 3. C’est probablement ce que tout le monde pense. Mais je n’écoute pas. Tu n’écoutes pas. On s’efforce de construire notre petit monde. De protéger notre relation.
Petit à petit, je retrouve les plaisirs d’une relation publique avec toi. Les signes d’affection en public. Te tenir par la main. Sentir ton bras s’enrouler contre mon dos. T’embrasser en public. Nous sommes toujours aussi tactiles l’un envers l’autre.
Mon souci est aussi de te satisfaire sexuellement. J’ai en mémoire les raisons de notre seconde rupture. Tu es plus mature maintenant, mais tu as maintenant 25 ans, c’est encore jeune, et moi 47. La première fois où nous avons refait l’amour, ça s’était très bien passé, et tu m’avais rassuré sur ton désir d’être exclusif… mais je reste prudent. Au début, je garde encore cette peur de te décevoir, de ne pas pouvoir te satisfaire. Car pour le reste on s’entend vraiment très bien.
Cela passe par beaucoup de communication, de dialogue. Un samedi, je te demande naïvement si tu as conservé toutes nos sex tapes. Tu souris… J’imagine que ça veut dire oui…Tu ouvres ton MacBook et on se met à les regarder ensemble. Ça nous replonge en arrière. Je te redécouvre à 18 ans… Je trouve ça terriblement excitant. On décide de les afficher en grand sur le Mac et de les faire tourner en boucle en cet après-midi. Nus, côte à côte, on mate et commence à faire l’amour, ton en regardant les vidéos. Nous imitons les positions et les postures. Le passe et le présent se croisent maintenant. Je comprends que t’observer faire l’amour est quelque chose qui fait partie de tes fantasmes. Et moi aussi, je dois dire que je prends beaucoup de plaisir à regarder. Je fais donc l’acquisition d’une meilleure webcam et nous filmons nos ébats régulièrement…Autre signe que notre relation s’équilibre et murit : tu me demandes un jour si de mon côté, j’ai des fantasmes inassouvis, cachés que je souhaiterais vivre toi. Je suis un peu surpris, car de mon côté, j’ai déjà l’impression de vivre pleinement tout ce dont j’ai toujours rêvé. Je prends le temps de bien réfléchir, et l’idée me vient à force de remarquer à quel point j’aime tes fesses… Petites, légèrement arrondies, des fesses de minet parfaites. Et il faudrait quelque chose pour les mettre encore plus en valeur. Un jockstrap !
Tu es amusé par cette idée. Tu choisis toujours avec soin tes sous-vêtements ; en général des petits boxers, quelques caleçons aussi. On passe une soirée plaisante à en commander en ligne pour toi. Différentes couleurs.
Le jour où le paquet arrive, on se fait une petite séance dans le salon, les rideaux légèrement tirés. Tu te déshabilles intégralement, de toi-même. Tu prends beaucoup de plaisir à être nu, et ça me plait énormément. Tu essaies le premier jockstrap, et ça te va très bien. Exactement l’effet attendu. Cela met tes petites fesses parfaitement en valeur. Elles sont cerclées, et apparaissent plus rondes. Cela attire irrésistiblement mes yeux et mes mains. Tu essaies les différentes couleurs, afin de faire monter la tension érotique.
Il est maintenant temps de jouer, que tu te donnes à moi pour réaliser mon fantasme. Tu es d’abord allongé sur le canapé sur le ventre. J’observe ton dos nu, et tes fesses exposées. Je caresse. Doucement. Je sens ta peau frissonner. Je n’utilise que le bout de mes doigts. La peau de tes fesses, si douce, parfaite. Puis la main caresse à plat. Je commence à lécher tes fesses. A les embrasser. Puis mes lèvres et ma langue s’aventurent dans ta raie. Je te fais te relever les fesses pour faciliter l’accès. Et le culte de tes fesses reprend. Avec ma langue. Tes fesses uniquement tes fesses. Ton cul. Rien d’autre ne m’intéresse aujourd’hui. Et j’aime entendre le plaisir que tu ressens. Tes soupirsTu te mets à quatre pattes et je continue. Puis le rimming se fait aussi debout. Toi penché contre la table, jambes écartées, moi à genoux. Je lèche, j’embrasse, je caresse. Je rentre doucement ma langue en toi. Le jockstrap est parfait. Tu es tellement beau et sexy comme ça.
Je t’ai maintenant bien léché, bien mouillé, et je veux te pénétrer, voir ma bite rentrer dans ton cul, toujours avec le jockstrap.
On commence en levrette, sur le canapé. Tes fesses, toujours tes fesses. Ne pas les quitter des yeux. Sous ton jockstrap, tu bandes bien, mais ta queue reste prisonnière. Je te lime, en rythme, doucement, puis plus rapidement. Mais sans être trop brusque. Fatigue, tu finis par glisser sur le ventre. Je replonge en toi aussitôt.
Apres, on passe debout, contre la table. Par derrière, toujours par derrière. Mes mains saisissent tes hanches, et mes pouces glissent sous l’élastique du jockstrap. Je le fais claquer contre ta peau nue. J’accélère de plus en plus et au moment où je sens l’orgasme approcher, je me retire et viens éjaculer dans ta raie et sur ta rondelle. Je me plonge le nez dedans pour mieux te lécher et manger mon propre foutre. Encore une occasion de te donner du plaisir à cet endroit-là.Je me sens un peu gêné, par cette baise un peu égoïste de ma part, sans vraiment avoir cherché à te donner du plaisir
- Qu’est-ce que je peux faire pour me faire pardonner ?
Tu fais tomber le jockstrap. Ta queue jaillit.
- T’occuper d’elle
Je me mets aussitôt à genoux pour vénérer ta queue et lui donner tous les plaisirs possibles avec mes mains, mes lèvres, ma langue et ma bouche. A ton tour d’être autoritaire et de dicter ton plaisir. Tu joues avec ta queue et la place ou tu veux. La rentre de toi-même dans ma bouche, tapotes ton gland sur ma langue. Puis tu te décides à me baiser la bouche avec ta bite. Tes mains contrôlent ma tête et tu fais glisser ton membre en moi, bien au fond de ma gorge. Tes mains serrent davantage mes cheveux et tu accélères, les yeux fermés pour mieux sentir la chaleur de ma salive qui te caresse.
Tu t’extirpes soudainement et arrose mon visage et ma bouche de sperme, partout où tu peux. Avec ton gland tu joues avec ton propre foutre et me regarde te sucer et te boire de nouveau.
Cette séance m’a donné confiance en moi, et m’a rassuré sur ma capacite à te satisfaire et à nous satisfaire sexuellement.
En parallèle, nous continuons à passer de bons moments ensemble, complices. On finit par bien s’adapter… On passe de plus en plus de soirée chez l’un et chez l’autre. On laisse des habits et des affaires dans les placards de l’autre.
Progressivement, on commence à voir des amis ensemble. J’espère que les gens se font à l’idée que ça pourrait marcher entre nous !
Je continue à bien communiquer avec toi à propos de tes fantasmes. Apres t’avoir fait l’amour, je m’aperçois que je n’ai jamais vraiment questionne nos rôles pendant l’amour : moi uniquement actif, et toi uniquement passif… tout s’étant toujours passé très naturellement.
- Tu es ok d’être toujours passif ? Tu as déjà été actif ?
- Oui… un peu… pendant notre break, mais je préfère être passif, surtout avec toi- Ok, comme tu préfères…- J’aime bien quand tu es en moi, je ne sais pas, que tu me pénètres. Et puis, j’adore les orgasmes que j’ais sans me toucher quand tu me baises bien…- T’es un vrai passif alors- Probablement
On se marre. Mais il est évident que tu aimes vraiment être pénétré… j’ai en mémoire que tu t’es même fait double pénétré dans le passe.
Un jour en passant dans le Marais, on tombe sur un sex shop. En plaisantant, on rentre, juste par curiosité. Ça nous parait anachronique à tous les deux. Quelque chose assez éloigné de notre univers. On s’amuse devant tous les accessoires. Du cuir et des trucs SM. Pas vraiment quelque chose qui me fait de l’effet. Pareil pour toi. Par contre, tu t’arrêtes devant les godes. Toutes les tailles. Derrière les rires, une curiosité de ta part. Surtout sur les plus gros.
- Envie d’essayer ?
Un sourire un peu gêné, qui veut dire… pourquoi pas ?
C’est un samedi après-midi. Toujours propice à faire l’amour ensemble. En rentrant à l’appartement, tu es impatient d’essayer tes nouveaux jouets. Tu te mets entièrement nu, excité. On a un peu l’embarras du choix.
J’ai envie de démarrer en douceur, en t’insérant le plus petit plug dans le cul. Il se loge facilement en toi. Et je décide de faire l’amour avec toi comme ça, comme d’habitude, à te caresser, te sucer et t’embrasser, tout en laissant le plug en toi. J’aime l’idée que tu portes ça en toi. Mais c’est surtout pour toi que c’est agréable. Je sens que tu contractes ton anus régulièrement pour te donner du plaisir, et quand je te suce, je ne manque de toucher le plug pour te stimuler légèrement.
Passons maintenant à la taille supérieure. Tu t’allonges sur le lit, sur le dos jambes écartées. On va jouer ensemble avec ton cul. J’insère un gode un peu plus grand. Tu le prends relativement facilement, mais le plaisir vient maintenant de le faire glisser, tourner en toi. Le jeu fait partie du plaisir. Je m’amuse à observer ta réaction à chaque fois que je change la position. Je cherche aussi ta prostate pour mieux te faire mouiller. J’aime te donner du plaisir comme ça. Pas de doute, l’anal est vraiment ce qui te plait le plus.
Petit à petit, la taille des godes augmente. J’y vais doucement, mais il semble que ton plaisir soit en partie lie à la taille du gode. Plaisir physique ? Plus de pression sur ta prostate ? Ou juste un plaisir psychologique ? Peu importe.
Maintenant que tu es bien ouvert, je m’amuse à glisser ma bite entre les godes. Tu es bien ouvert, et je rentre en toi si facilement. Puis les godes remplacent à nouveau ma bite.
Il me vient une idée. Pour te rappeler de bons souvenirs sexuels, je fais rentrer un gode de petite taille et ma queue en toi en même temps. Une double pénétration qui te fait gémir. Ta bouche est ouverte en permanence et laisse échapper des râles de plaisir. Le sperme commence vraiment à perler au bout de ton gland.
Tu es prêt pour le gros, long et large. Bien plus que mon engin a moi. Jambes bien écartées, tu te donnes entièrement. Je mets tout le gel nécessairement et vais doucement. Mais ça passe. Le plaisir sur ton visage fait plaisir à voir. Je suis excité de créer ces sensations pour toi. Et quand je commence à bouger le gode en toi, le plaisir continue à monter. Pour pimenter le jeu, je me mets au-dessus de toi en 69. De là je peux continuer à faire glisser le gode géant en toi, tout en te suçant… et en me faisant sucer par toi. Tu es pénétré oralement et analement. Tu ronronnes de plaisir. Bien détendu, tu prends le gode comme un champion.
Tu décides de changer les règles du jeu, et vient planter le gode par terre, à la verticale pour t’empaler dessus. Je prends un plaisir incroyable à te voir te donner du plaisir toi-même en chevauchant cette fausse bite géante. Je m’amuse à te donner ma bite à sucer de temps en temps. Autant pour te récompenser que pour me donner moi-même le plaisir d’une bouche excitée.
- Jouis pour moi, fais-toi jouir
Tu te stimules la prostate de plus en plus et ta queue finit par laisser échapper une fontaine de sperme. Cela me suffit pour me faire gicler sur ton visage. Tu continues à monter et à descendre doucement, tout en me suçant et en léchant le sperme chaud. Tu ne veux pas abandonner ce monstre qui es en toi et qui t’a donné tant de plaisir…Après plusieurs mois de retrouvailles, je me sens maintenant de mieux en mieux dans notre relation. La peur du lendemain, les douleurs du passé, la crainte de ne pouvoir te satisfaire, tout cela s’estompe progressivement.
Et surtout nous avons atteint un équilibre sexuel. Nous sommes maintenant parfaitement en phase. Nos besoins sont compatibles. On fait l’amour 3 ou 4 fois par semaine. Surtout le week-end, parfois deux fois de suite. Tu as muri sexuellement, et tu privilégies la qualité et la quantité. De mon coté, je suis plus libéré, moins angoissé, et du coup ma libido s’est accrue, pour se mettre à ton niveau.
Il m’arrive même d’être créatif, et un peu aventureux. Un dimanche, après être allé déjeuner ensemble chez mes parents, nous faisons une balade romantique en forêt. Une forêt que je connais depuis mon enfance, et dont je connais les petits recoins isolés.
J’ai soudain très envie de toi. Ici, dans cet endroit. On marche en se tenant par la main, mais mes mains finissent par aller plus loin. On s’embrasse sur la bouche, puis mes mains glissent sous ton t-shirt. Tu es un peu gêné, mal à l’aise. Je te rassure, je connais l’endroit. Et le risque ne fait-il pas partie du plaisir ? Je fais glisser ton pantalon et ton boxer. Tu ne bandes pas. C’est la première fois qu’on baise en extérieur. Je prends ta bite molle en bouche, et sous les coups de ma langue et les mouvements de ma bouche, elle grossit progressivement. Tu commences à être excité, et aime cette nouvelle expérience. A mon tour d’être cul nu, le pantalon sur les chevilles, et à ton tour de me sucer.
J’aime l’atmosphère qui se dégage. J’ai l’impression d’être dans un film porno, dont tu serais l’acteur.
Je fais alors ce qui se passerait dans un porno. Je vais te baiser dehors contre un arbre. Tu es un peu surpris de me voir si entreprenant, mais tu es tout aussi partant et excité que moi.
Je te penche contre un arbre, jambes écartées, fesses à l’air. Je commence par te bouffer le cul, car il va falloir faire sans gel, mais aussi par ce que j’adore ça, et toi aussi. Tu gémis… et si quelqu’un t’entendait ? J’essaie de ne pas y penser. Je crache sur ma bite, ne laisse pas le temps à ma salive de sécher et t’encule aussitôt. On baise en forêt, comme ça. Je réalise que je ne suis pas en train de rêver. Ça m’excite. Ça m’excite tellement. Mes coups sont doux, puis plus vifs. Tu aimes ça, comme toujours.
Je me penche pour t’embrasser. Ma main saisit ta queue. Je t’encule et je te branle. Je vais te faire jouir. Je sens ton sperme chaud mouiller ma main, que je place aussitôt contre ta bouche, en y insérant même les doigts. Je continue à te pilonner jusqu’à me faire jouir en toi… On reste emboité un moment. Le temps de souffler. Je te caresse et embrasse ton dos doucement. Pour te remercier de ce moment. D’être mon complice sexuel. De participer à nos jeux.
On reprend notre balade, fiers de nous, amoureux… Il fait beau. Nos parents ont eu l’air rassurés par notre relation plus tôt dans la journée.
Je n’ai plus peur.
Je suis heureux.
Comme dans toutes mes histoires, les rapports sont non protégés. Dans la vraie vie, pensez à mettre des préservatifs.
Bonne lectureSylvain
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J’ai du mal à réaliser ce qui m’arrive dans les jours qui suivent, mais, oui, ça y est, nous sommes de nouveau ensemble. Je garde ça pour moi au début… ça me parait un peu irréelPourtant les choses se mettent place naturellement, au milieu de notre routine. Est-ce finalement ça une vie de couple ?
Les semaines sont bien remplies par le boulot. On se voit le soir. Tu viens diner et passer la nuit chez moi. Ou l’inverse. On respecte la vie de l’autre, mais pas à pas, on fait les bons compromis le moment venu. On se voit le week-end plus longuement, mais là encore, on se garde du temps pour voir nos amis respectifs. Trouver le bon équilibre. Se parler. C’est plus facile, maintenant que nous avons des styles et des rythmes de vie comparables.
Au bout de quelques semaines, on commence à s’afficher avec nos amis. Pas mal d’inquiétude. Jamais 2 sans 3. C’est probablement ce que tout le monde pense. Mais je n’écoute pas. Tu n’écoutes pas. On s’efforce de construire notre petit monde. De protéger notre relation.
Petit à petit, je retrouve les plaisirs d’une relation publique avec toi. Les signes d’affection en public. Te tenir par la main. Sentir ton bras s’enrouler contre mon dos. T’embrasser en public. Nous sommes toujours aussi tactiles l’un envers l’autre.
Mon souci est aussi de te satisfaire sexuellement. J’ai en mémoire les raisons de notre seconde rupture. Tu es plus mature maintenant, mais tu as maintenant 25 ans, c’est encore jeune, et moi 47. La première fois où nous avons refait l’amour, ça s’était très bien passé, et tu m’avais rassuré sur ton désir d’être exclusif… mais je reste prudent. Au début, je garde encore cette peur de te décevoir, de ne pas pouvoir te satisfaire. Car pour le reste on s’entend vraiment très bien.
Cela passe par beaucoup de communication, de dialogue. Un samedi, je te demande naïvement si tu as conservé toutes nos sex tapes. Tu souris… J’imagine que ça veut dire oui…Tu ouvres ton MacBook et on se met à les regarder ensemble. Ça nous replonge en arrière. Je te redécouvre à 18 ans… Je trouve ça terriblement excitant. On décide de les afficher en grand sur le Mac et de les faire tourner en boucle en cet après-midi. Nus, côte à côte, on mate et commence à faire l’amour, ton en regardant les vidéos. Nous imitons les positions et les postures. Le passe et le présent se croisent maintenant. Je comprends que t’observer faire l’amour est quelque chose qui fait partie de tes fantasmes. Et moi aussi, je dois dire que je prends beaucoup de plaisir à regarder. Je fais donc l’acquisition d’une meilleure webcam et nous filmons nos ébats régulièrement…Autre signe que notre relation s’équilibre et murit : tu me demandes un jour si de mon côté, j’ai des fantasmes inassouvis, cachés que je souhaiterais vivre toi. Je suis un peu surpris, car de mon côté, j’ai déjà l’impression de vivre pleinement tout ce dont j’ai toujours rêvé. Je prends le temps de bien réfléchir, et l’idée me vient à force de remarquer à quel point j’aime tes fesses… Petites, légèrement arrondies, des fesses de minet parfaites. Et il faudrait quelque chose pour les mettre encore plus en valeur. Un jockstrap !
Tu es amusé par cette idée. Tu choisis toujours avec soin tes sous-vêtements ; en général des petits boxers, quelques caleçons aussi. On passe une soirée plaisante à en commander en ligne pour toi. Différentes couleurs.
Le jour où le paquet arrive, on se fait une petite séance dans le salon, les rideaux légèrement tirés. Tu te déshabilles intégralement, de toi-même. Tu prends beaucoup de plaisir à être nu, et ça me plait énormément. Tu essaies le premier jockstrap, et ça te va très bien. Exactement l’effet attendu. Cela met tes petites fesses parfaitement en valeur. Elles sont cerclées, et apparaissent plus rondes. Cela attire irrésistiblement mes yeux et mes mains. Tu essaies les différentes couleurs, afin de faire monter la tension érotique.
Il est maintenant temps de jouer, que tu te donnes à moi pour réaliser mon fantasme. Tu es d’abord allongé sur le canapé sur le ventre. J’observe ton dos nu, et tes fesses exposées. Je caresse. Doucement. Je sens ta peau frissonner. Je n’utilise que le bout de mes doigts. La peau de tes fesses, si douce, parfaite. Puis la main caresse à plat. Je commence à lécher tes fesses. A les embrasser. Puis mes lèvres et ma langue s’aventurent dans ta raie. Je te fais te relever les fesses pour faciliter l’accès. Et le culte de tes fesses reprend. Avec ma langue. Tes fesses uniquement tes fesses. Ton cul. Rien d’autre ne m’intéresse aujourd’hui. Et j’aime entendre le plaisir que tu ressens. Tes soupirsTu te mets à quatre pattes et je continue. Puis le rimming se fait aussi debout. Toi penché contre la table, jambes écartées, moi à genoux. Je lèche, j’embrasse, je caresse. Je rentre doucement ma langue en toi. Le jockstrap est parfait. Tu es tellement beau et sexy comme ça.
Je t’ai maintenant bien léché, bien mouillé, et je veux te pénétrer, voir ma bite rentrer dans ton cul, toujours avec le jockstrap.
On commence en levrette, sur le canapé. Tes fesses, toujours tes fesses. Ne pas les quitter des yeux. Sous ton jockstrap, tu bandes bien, mais ta queue reste prisonnière. Je te lime, en rythme, doucement, puis plus rapidement. Mais sans être trop brusque. Fatigue, tu finis par glisser sur le ventre. Je replonge en toi aussitôt.
Apres, on passe debout, contre la table. Par derrière, toujours par derrière. Mes mains saisissent tes hanches, et mes pouces glissent sous l’élastique du jockstrap. Je le fais claquer contre ta peau nue. J’accélère de plus en plus et au moment où je sens l’orgasme approcher, je me retire et viens éjaculer dans ta raie et sur ta rondelle. Je me plonge le nez dedans pour mieux te lécher et manger mon propre foutre. Encore une occasion de te donner du plaisir à cet endroit-là.Je me sens un peu gêné, par cette baise un peu égoïste de ma part, sans vraiment avoir cherché à te donner du plaisir
- Qu’est-ce que je peux faire pour me faire pardonner ?
Tu fais tomber le jockstrap. Ta queue jaillit.
- T’occuper d’elle
Je me mets aussitôt à genoux pour vénérer ta queue et lui donner tous les plaisirs possibles avec mes mains, mes lèvres, ma langue et ma bouche. A ton tour d’être autoritaire et de dicter ton plaisir. Tu joues avec ta queue et la place ou tu veux. La rentre de toi-même dans ma bouche, tapotes ton gland sur ma langue. Puis tu te décides à me baiser la bouche avec ta bite. Tes mains contrôlent ma tête et tu fais glisser ton membre en moi, bien au fond de ma gorge. Tes mains serrent davantage mes cheveux et tu accélères, les yeux fermés pour mieux sentir la chaleur de ma salive qui te caresse.
Tu t’extirpes soudainement et arrose mon visage et ma bouche de sperme, partout où tu peux. Avec ton gland tu joues avec ton propre foutre et me regarde te sucer et te boire de nouveau.
Cette séance m’a donné confiance en moi, et m’a rassuré sur ma capacite à te satisfaire et à nous satisfaire sexuellement.
En parallèle, nous continuons à passer de bons moments ensemble, complices. On finit par bien s’adapter… On passe de plus en plus de soirée chez l’un et chez l’autre. On laisse des habits et des affaires dans les placards de l’autre.
Progressivement, on commence à voir des amis ensemble. J’espère que les gens se font à l’idée que ça pourrait marcher entre nous !
Je continue à bien communiquer avec toi à propos de tes fantasmes. Apres t’avoir fait l’amour, je m’aperçois que je n’ai jamais vraiment questionne nos rôles pendant l’amour : moi uniquement actif, et toi uniquement passif… tout s’étant toujours passé très naturellement.
- Tu es ok d’être toujours passif ? Tu as déjà été actif ?
- Oui… un peu… pendant notre break, mais je préfère être passif, surtout avec toi- Ok, comme tu préfères…- J’aime bien quand tu es en moi, je ne sais pas, que tu me pénètres. Et puis, j’adore les orgasmes que j’ais sans me toucher quand tu me baises bien…- T’es un vrai passif alors- Probablement
On se marre. Mais il est évident que tu aimes vraiment être pénétré… j’ai en mémoire que tu t’es même fait double pénétré dans le passe.
Un jour en passant dans le Marais, on tombe sur un sex shop. En plaisantant, on rentre, juste par curiosité. Ça nous parait anachronique à tous les deux. Quelque chose assez éloigné de notre univers. On s’amuse devant tous les accessoires. Du cuir et des trucs SM. Pas vraiment quelque chose qui me fait de l’effet. Pareil pour toi. Par contre, tu t’arrêtes devant les godes. Toutes les tailles. Derrière les rires, une curiosité de ta part. Surtout sur les plus gros.
- Envie d’essayer ?
Un sourire un peu gêné, qui veut dire… pourquoi pas ?
C’est un samedi après-midi. Toujours propice à faire l’amour ensemble. En rentrant à l’appartement, tu es impatient d’essayer tes nouveaux jouets. Tu te mets entièrement nu, excité. On a un peu l’embarras du choix.
J’ai envie de démarrer en douceur, en t’insérant le plus petit plug dans le cul. Il se loge facilement en toi. Et je décide de faire l’amour avec toi comme ça, comme d’habitude, à te caresser, te sucer et t’embrasser, tout en laissant le plug en toi. J’aime l’idée que tu portes ça en toi. Mais c’est surtout pour toi que c’est agréable. Je sens que tu contractes ton anus régulièrement pour te donner du plaisir, et quand je te suce, je ne manque de toucher le plug pour te stimuler légèrement.
Passons maintenant à la taille supérieure. Tu t’allonges sur le lit, sur le dos jambes écartées. On va jouer ensemble avec ton cul. J’insère un gode un peu plus grand. Tu le prends relativement facilement, mais le plaisir vient maintenant de le faire glisser, tourner en toi. Le jeu fait partie du plaisir. Je m’amuse à observer ta réaction à chaque fois que je change la position. Je cherche aussi ta prostate pour mieux te faire mouiller. J’aime te donner du plaisir comme ça. Pas de doute, l’anal est vraiment ce qui te plait le plus.
Petit à petit, la taille des godes augmente. J’y vais doucement, mais il semble que ton plaisir soit en partie lie à la taille du gode. Plaisir physique ? Plus de pression sur ta prostate ? Ou juste un plaisir psychologique ? Peu importe.
Maintenant que tu es bien ouvert, je m’amuse à glisser ma bite entre les godes. Tu es bien ouvert, et je rentre en toi si facilement. Puis les godes remplacent à nouveau ma bite.
Il me vient une idée. Pour te rappeler de bons souvenirs sexuels, je fais rentrer un gode de petite taille et ma queue en toi en même temps. Une double pénétration qui te fait gémir. Ta bouche est ouverte en permanence et laisse échapper des râles de plaisir. Le sperme commence vraiment à perler au bout de ton gland.
Tu es prêt pour le gros, long et large. Bien plus que mon engin a moi. Jambes bien écartées, tu te donnes entièrement. Je mets tout le gel nécessairement et vais doucement. Mais ça passe. Le plaisir sur ton visage fait plaisir à voir. Je suis excité de créer ces sensations pour toi. Et quand je commence à bouger le gode en toi, le plaisir continue à monter. Pour pimenter le jeu, je me mets au-dessus de toi en 69. De là je peux continuer à faire glisser le gode géant en toi, tout en te suçant… et en me faisant sucer par toi. Tu es pénétré oralement et analement. Tu ronronnes de plaisir. Bien détendu, tu prends le gode comme un champion.
Tu décides de changer les règles du jeu, et vient planter le gode par terre, à la verticale pour t’empaler dessus. Je prends un plaisir incroyable à te voir te donner du plaisir toi-même en chevauchant cette fausse bite géante. Je m’amuse à te donner ma bite à sucer de temps en temps. Autant pour te récompenser que pour me donner moi-même le plaisir d’une bouche excitée.
- Jouis pour moi, fais-toi jouir
Tu te stimules la prostate de plus en plus et ta queue finit par laisser échapper une fontaine de sperme. Cela me suffit pour me faire gicler sur ton visage. Tu continues à monter et à descendre doucement, tout en me suçant et en léchant le sperme chaud. Tu ne veux pas abandonner ce monstre qui es en toi et qui t’a donné tant de plaisir…Après plusieurs mois de retrouvailles, je me sens maintenant de mieux en mieux dans notre relation. La peur du lendemain, les douleurs du passé, la crainte de ne pouvoir te satisfaire, tout cela s’estompe progressivement.
Et surtout nous avons atteint un équilibre sexuel. Nous sommes maintenant parfaitement en phase. Nos besoins sont compatibles. On fait l’amour 3 ou 4 fois par semaine. Surtout le week-end, parfois deux fois de suite. Tu as muri sexuellement, et tu privilégies la qualité et la quantité. De mon coté, je suis plus libéré, moins angoissé, et du coup ma libido s’est accrue, pour se mettre à ton niveau.
Il m’arrive même d’être créatif, et un peu aventureux. Un dimanche, après être allé déjeuner ensemble chez mes parents, nous faisons une balade romantique en forêt. Une forêt que je connais depuis mon enfance, et dont je connais les petits recoins isolés.
J’ai soudain très envie de toi. Ici, dans cet endroit. On marche en se tenant par la main, mais mes mains finissent par aller plus loin. On s’embrasse sur la bouche, puis mes mains glissent sous ton t-shirt. Tu es un peu gêné, mal à l’aise. Je te rassure, je connais l’endroit. Et le risque ne fait-il pas partie du plaisir ? Je fais glisser ton pantalon et ton boxer. Tu ne bandes pas. C’est la première fois qu’on baise en extérieur. Je prends ta bite molle en bouche, et sous les coups de ma langue et les mouvements de ma bouche, elle grossit progressivement. Tu commences à être excité, et aime cette nouvelle expérience. A mon tour d’être cul nu, le pantalon sur les chevilles, et à ton tour de me sucer.
J’aime l’atmosphère qui se dégage. J’ai l’impression d’être dans un film porno, dont tu serais l’acteur.
Je fais alors ce qui se passerait dans un porno. Je vais te baiser dehors contre un arbre. Tu es un peu surpris de me voir si entreprenant, mais tu es tout aussi partant et excité que moi.
Je te penche contre un arbre, jambes écartées, fesses à l’air. Je commence par te bouffer le cul, car il va falloir faire sans gel, mais aussi par ce que j’adore ça, et toi aussi. Tu gémis… et si quelqu’un t’entendait ? J’essaie de ne pas y penser. Je crache sur ma bite, ne laisse pas le temps à ma salive de sécher et t’encule aussitôt. On baise en forêt, comme ça. Je réalise que je ne suis pas en train de rêver. Ça m’excite. Ça m’excite tellement. Mes coups sont doux, puis plus vifs. Tu aimes ça, comme toujours.
Je me penche pour t’embrasser. Ma main saisit ta queue. Je t’encule et je te branle. Je vais te faire jouir. Je sens ton sperme chaud mouiller ma main, que je place aussitôt contre ta bouche, en y insérant même les doigts. Je continue à te pilonner jusqu’à me faire jouir en toi… On reste emboité un moment. Le temps de souffler. Je te caresse et embrasse ton dos doucement. Pour te remercier de ce moment. D’être mon complice sexuel. De participer à nos jeux.
On reprend notre balade, fiers de nous, amoureux… Il fait beau. Nos parents ont eu l’air rassurés par notre relation plus tôt dans la journée.
Je n’ai plus peur.
Je suis heureux.
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