Ahmed, un nouvel amant parfait.4 Un jeu dangereux !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ahmed, un nouvel amant parfait.4 Un jeu dangereux !
Ce samedi là, Corinne et moi faisons l'amour comme deux amoureux passionnés.
Comme notre relation est encore récente, notre désir est toujours puissant.
Bref, on baise toute l'après-midi, elle prend de nombreux orgasmes.
En fin d'après-midi, je la raccompagne au bus, puis je vais retrouver Isabelle, une autre fille, en vacances dans ma ville.
Après un moment de flirt, on s'échappe tous les deux pour faire l'amour derrière des rochers sur le bord de mer.
Quelques heures après, je la raccompagne à l'hôtel de ses parents.
Lorsque je rentre chez moi, il est près de 2 heures du matin.
Je suis mort de fatigue, mais content de ma journée.
Je passe la porte de ma cuisine pour aller dans mon salon-chambre.
Je sursaute en constatant qu'Ahmed est endormi dans mon lit, je m'en veux de l'avoir raté.
Je me déshabille sans bruit, et le rejoins.
Ca me fait bizarre de l'avoir à mes cotés, alors que je n'ai aucun désir homosexuel.
Comme c'est l'été, nous dormons sans drap sur nous.
La pleine lune éclaire l'appartement, il se tourne vers moi sans s'éveiller.
J'ai une vue splendide sur sa bite qui est en pleine érection nocturne.
A partir de là, je fond, le désir me gagne, j'ai une énorme envie de le sucer.
Mais je reste raisonnable et le laisse tranquille.
Je profite de ma fatigue pour sombrer assez rapidement.
Je suis pris d'un rêve pervers, j'imagine qu'un homme commence à m'enculer.
Mais rapidement, je me rends compte que mon corps ressent trop fort les mains de l'homme et mon anus est vraiment écartelé.
"Oh, putain ! Arhhhhhhh ! Je suis pas réveillé ! J'ai encore la tête dans le cul ! Ahmed !".
"Bonjour ! Pascal ! Mais non, c'est ma bite que t'as dans le cul ! Ca te fait pas plaisir ?".
"Ouhhhhhhhhhhhhh ! Au point ou tu en es, je peux plus dire non ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"T'étais ou, hier soir ?".
"Mmmrrrrrrrhhhhhhhhh ! J'étais avec une fille !".
"Tu m'as trompé ?".
"Pas toi, mais Corinne, oui !".
"Tu mérites une punition ! Je vais la venger, alors !".
"Ohhhh ! Non, doucement ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh !...".
"Tu bandes dur, ce matin !".
"Arghhhhhhhhh ! Normal, je suis encore en érection nocturne ! Arhhhhhhhh !".
Il s'accroche à ma queue pour m'écarteler l'anus, je prend mon coussin pour le mordre, afin de mieux encaisser ses assauts.
Lentement, mon cul recouvre son gros sexe de jus anal, il coulisse plus aisément et bien plus profondément.
Il m'enlève le coussin de la bouche.
"Je veux t'entendre jouir, salope !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Si j'avais su, je t'aurais sucé cette nuit ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
"Ah bon, t'avais envie ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Oui, elle était trop belle ! Bien dure ! Mais tu dormais ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
"T'aurais du en effet ! Mais je t'aurais enculé cette nuit, quand même !".
"Orhhhhhhhhhh ! Salaud, t'es fou, mais, c'est ce qui plait chez toi ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
Il me couche sur son torse et me défonce par dessous, en me branlant avec frénésie.
Je ne peux plus me retenir, j'éjacule sur mon ventre et entre ses doigts, mon double orgasme est très intense.
Mes râles emplissent mon appartement.
"Mmmm ! T'as bien joui, je trouve ! Mon bébé ! Maintenant, je peux penser à moi ?".
"Oui ! Arghhhhhhhhhhh !".
Il se dégage et se place derrière moi, il me serre puissamment les hanches et revient en moi, en me déchirant les parois anales.
"Arghhhhhhhhhhh ! Putain, j'adore ta queue Ahmed ! Elle est trop bonne !".
"Tu sais que je vais te détruire la chatte ?".
"Oui, je sais, vas-y ! Elle est à toi !".
Ses enfoncements augmentent en force et amplitude, il me secoue comme une poupée légère qu'on a envie de casser.
Je ne veux pas qu'on m'entende jouir du cul, je mords ce que j'ai sous la bouche, le coussin d'Ahmed !
"Ohhh ! Ma p'tite salope ! C'est trop bon de te défoncer la chatte ! Plus je la baise, et plus je l'aime !".
Je ne réponds qu'avec des gémissements et des râles interminables.
Je vis une série d'orgasmes successifs, violents et intenses.
Puis, il se tient sur ses pieds et s'accroche à mes épaules, pour essayer d'aller plus profondément encore.
Il est pris de sauvagerie, il m'introduit ses doigts dans la bouche, en se déchainant.
Moins de dix minutes de ce traitement, lui suffisent pour exploser dans mon anus.
Je ressens les spasmes qui saisissent sa grosse queue, à chaque éjection de sperme.
Ses râles me rendent fou de plaisir cérébral.
Je m'écroule sous lui, qui m'accompagne et termine de m'inséminer longuement.
J'aime imaginer que j'ai son foutre au plus profond de mon anus.
On passe un long moment de tendresse, je me laisse aller à ses caresses, en appréciant encore la présence de sa grosse bite, dans mon cul.
"Bon, on va se lever ? Bébé ?".
"Oui, quelle heure il est ?".
Il prend sa montre et m'affole.
"Il est 10 h !".
"Quoi ? Putain, j'ai rendez vous avec Corinne et les potes !".
"Ou ça ?".
"A la brasserie !".
"Je peux venir ?".
"Pas avec moi, en tout cas, en plus, il y aura Michel !".
"Pas de souci, je ferai semblant de passer par hasard !".
"Ecoutes, fais comme tu veux, je me bouge ! T'as les clefs, de toute façon, tu fermes ! Ok ?".
Je m'habille en catimini, puis quitte l'appartement, je réalise que j'ai pas pris le temps d'évacuer le foutre d'Ahmed.
J'espère que cela ne me causera pas de souci.
Par contre, j'ai une gêne anale énorme !
En arrivant, on me charrie sur mon petit retard, surtout Corinne:
"J'ai failli aller te chercher !".
"Bon, ça va, je suis là !".
Dix minutes plus tard, Ahmed apparait.
"Ahmed ! Viens avec nous !" Lui dit Michel.
Il n'en demandait pas plus !
"Alors, qu'est-ce que tu racontes ?".
"Rien, j'ai passé une bonne nuit ! Surtout le réveil !".
Michel devient lourd en le poussant à en dire plus.
"Tu t'es encore tapé un autre mec ?".
"Non, c'est toujours le même ! Il me plait bien, celui-là !".
"Dis-moi qui c'est ! S'il te plait !".
Les filles sont curieuses aussi et le pressent de questions.
"Comment, il est ?".
"Très mignon !".
"On le connait ?".
"Je pense !".
"Il est mignon comme qui ? Il a notre âge ?".
"Oui !".
"Et il y en a un autre qui te plait ici ?".
"Oui !".
"Qui ?".
"Pascal !".
Je blêmis, Comment ose t'il dire ça ? Corinne me sauve en disant:
"Bon, c'est mon mec ! On va se calmer !".
"Je sais, mais si il veut, je suis partant !".
J'essaie de changer de conversation:
"On peut parler d'autre chose ? C'est gênant pour moi !".
"Non, on adore savoir ce que pense les homos ! Tu lui fais quoi à ton copain ?".
"Euh, c'est peut être choquant, pour vous !".
Michel enchaine:
"Ouais, tu lui casse le cul, c'est pas plus compliqué que ça !".
"On peut dire ça, comme ça !".
"Et tu l'as fait ce matin ?".
"Oui, on vient de finir !".
De mon coté, je suis gêné par un besoin de chasser son sperme de mon anus.
Je serre mon muscle anal comme je peux.
Je pose ma main sur mon ventre.
"Désolé, je vous laisse, je vais aux toilettes, le p'tit dèj' ne passe pas !".
En me dirigeant vers les W.C, Michel me lance:
"T'es sur que c'est pas Ahmed qui t'as fait ça ?".
Tout le monde rit, Ahmed ajoute:
"J'aurais bien aimé ! En tout cas ! Il lui ressemble beaucoup ! Tu veux pas me le prêter, Corinne ?".
"Ca me changerai des filles ! Ca me gênerai moins !".
Ahmed me rapportera la suite:
"Je sais pas comment tu fais pour supporter toutes ses tromperies !".
"Je l'aime, je sais qu'il en a besoin pour le moment, mais il me dit que ça va lui passer, quand il sera lassé des autres !".
"Pourquoi, il fait ça ?".
"Il a pas eu d'adolescence, et c'est les filles qui le draguent ! Il arrive pas à dire non !".
"C'est vrai qu'il est super, comme mec ! Pas vrai Ahmed ?".
Ahmed acquiesce en se rappelant qu'il m'a enculé et que je lui avoué avoir trompé Corinne la veille.
Ils rient encore.
Je revient soulagé d'avoir évacuer le sperme d'Ahmed, qui me regarde en souriant malicieusement.
On consomme, puis, nous nous dirigeons vers la plage.
Le moment arrive ou tous les autres sont dans l'eau, sauf Ahmed et moi.
"Tout à l'heure, les toilettes, c'est pour ce que je pense ?".
"Oui ! J'en avais plein le cul ! Putain, t'as beaucoup éjaculé ! Et j'ai encore l'anus tout écartelé, là !".
"Arrêtes de dire ça, ou je te coince quelque part pour te la remettre !".
"Ah, non ! S'il te plait ! Là, c'est sûr, ils vont deviner que c'est moi que tu baises !".
"Ok, Bébé ! Je vais patienter jusqu'à 18h, alors !".
"Putain, je vais avoir du mal à penser à autre chose !".
Corinne revient avec une amie qui demande en plaisantant.
"Alors Ahmed, tu branches Pascal ?".
"Oui, mais, il veut pas !".
Corinne en rajoute:
"Bébé, t'es pas gentil ! Tu pourrais faire un effort !".
"Oui, Bébé, Tu pourrais faire un effort !". Enchérit Ahmed, content de la situation.
"Euh, Corinne, déjà que tu supportes les autres filles !".
"Ben, justement ! Mon amour ! Les mecs, ça me dérangerait moins ! Je suis sûre que c'est beau à voir, en plus !".
J'hallucine qu'elle pense ça !
"T'as raison Corinne ! Mais je préfère le faire, que le voir ! Tu vois Pascal, on a le feu vert !".
"Non, laissez-moi tranquille !".
Dès qu'il peut, il me chuchote:
"On a qu'à lui dire ! Elle veut bien !".
"Arrêtes, y a pas qu'elle, je veux pas qu'on le sache !".
"OK, dommage !".
On se nourrit dans un snack, puis on passe l'après-midi à la plage, et en ville jusqu'à 18.
Je ramène Corinne, seul.
En rentrant, Ahmed est déjà nu, sur le lit.
"Viens chercher ta glace, Bébé !".
Après une interminable pipe goulue et avide, il m'a encore copieusement démonté dans tous les sens.
Il a vite réactivé l'afflux de mon jus anal.
A la fin, je l'ai supplié de jouir, trop d'orgasmes, c'est épuisant, à la longue.
Comme il m'enculait sur le sol, Il s'est dressé pour éjaculer sur moi, puis a terminé en me baisant la gorge.
Il a commandé des pizzas, j'ai dévoré la mienne, tant j'avais besoin de retrouver de l'énergie.
"Putain, j'en peux plus de baiser ! Corinne toute l'après-midi, Isabelle, hier soir, toi, ce matin et ce soir ! J'ai plus de jus !".
"Plains toi, il y en a qui aimeraient être à ta place !".
"Ouhhfffffffff! Putain, tu m'as encore éclaté le cul !".
"La chatte ! Bébé ! La chatte !".
"Ah, oui, c'est vrai ! La chatte ! Pardon !".
Ensuite, je nous mets de la musique.
Je ne m'attends pas à ce qui suit, après plus d'une heure d'écoute.
Il vient contre mon dos, baisse mon slip, je passe ma main derrière moi, je sens qu'il bande encore.
A peine à t'il titillé mon anus, qu'il se retrouve couvert de muqueuses anales.
Sa grosse verge glisse d'une traite dans mon cul, en me faisant jouir instantanément.
"Putain, j'adore te faire ça, Pascal !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Putain ! C'est trop bon ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il glisse lentement, l'orgasme me submerge, tellement c'est puissant.
Il me voit, avec les yeux humides, signe de la force, du plaisir immense que je vis.
"C'est si bon que ça ! Bébé ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ahhhhh ! Ahhhhh ! Ahhhhh !...(Je respire fort plusieurs fois), ne bouges pas vite, s'il te plait !".
"J'en ai pas envie ! Je veux te prendre avec sensualité, mon bébé !".
"Oh, oui ! Prends-moi comme ça ! Arhhhhhhhhh !".
Lentement, sans se dessouder et sans cesser de prendre au plaisir, on se rapproche de mon lit.
Il s'assoit, en me gardant sur lui, je pose mes mains sur ses genoux pour soulever ma "chatte", qu'il se met à aimer longuement, sans précipitation.
Après quelques minutes, l'impulsion de ses mains me font comprendre qu'il me veut face à lui.
Il s'allonge, en me tendant les bras.
Je colle mes lèvres aux siennes, en m'empalant sur lui.
Nos mouvements se coordonnent, on ne veut pas tomber dans le sexe pur et pervers.
Je joui dans sa bouche, il amplifie sa pénétration, je râle plus fort entres ses lèvres.
"Bébé ! t'es en train de me tremper la queue !".
"Mmmm ! Arhhhhhhh ! Je sais, je peux pas m'en empêcher ! Tant pis pour les draps !".
"Non ! Au contraire, j'adore ça ! Continues, tu me rends dingue ! Ta chatte est parfaite !".
On est conscient tous les deux, qu'on est en train de faire l'amour.
Mais, c'est par échange de bon procédé, c'est un besoin mutuel, sans sentiment !
Je revis presque les instants ou je faisais l'amour avec Pierre, et cela me fait du bien.
Chaque orgasme est vécu comme un cadeau passionnel.
Il devient inventif et me possède sur le ventre, alors qu'il a le visage entre mes jambes.
Je pose le regard sur ses pieds pendant que sa grosse verge me déforme l'anus à contre sens.
Ma queue me fait mal en bandant sous moi, elle est gênée par les draps, puis vient le plaisir pénien.
Je déverse mon sperme sous mon ventre et nage dedans en attendant sa jouissance, qu'il annonce peu à peu.
Il se met à grogner comme une bête, je reconnais la puissance de son orgasme.
Je sais qu'il vit un grand moment, je joui, cérébralement presque aussitôt.
Je bouge mon bassin pour accompagner son plaisir.
"Oui, bébé ! Comme ça, oui, ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh !".
Je deviens fou de le sentir éjaculer en moi, cette position est si riche en sensations !
On met un temps fou, à sortir de notre état de plaisir commun.
Dans la position, ou je suis, je suis obligé d'attendre qu'il daigne quitter mon cul, ou ma chatte comme il aime l'appeler ! Je ne suis pas pressé, je suis très bien comme ça !
Quand il se place enfin prés de moi, il me dit:
"Tu sais qu'il faudra pas le faire trop souvent, sinon, on va s'attacher !".
"Je sais, mais ça m'a fait trop de bien ! Pas à toi ?".
"Si, Bébé ! J'ai rarement autant joui !".
Je le regarde, et il ne s'en rend pas compte, mais il sombre devant mes yeux, dans un sommeil profond.
J'en profite pour ouvrir la fenêtre, afin d'aérer la chambre et avoir de l'air frais.
Puis, je le rejoins dans son sommeil.
Comme notre relation est encore récente, notre désir est toujours puissant.
Bref, on baise toute l'après-midi, elle prend de nombreux orgasmes.
En fin d'après-midi, je la raccompagne au bus, puis je vais retrouver Isabelle, une autre fille, en vacances dans ma ville.
Après un moment de flirt, on s'échappe tous les deux pour faire l'amour derrière des rochers sur le bord de mer.
Quelques heures après, je la raccompagne à l'hôtel de ses parents.
Lorsque je rentre chez moi, il est près de 2 heures du matin.
Je suis mort de fatigue, mais content de ma journée.
Je passe la porte de ma cuisine pour aller dans mon salon-chambre.
Je sursaute en constatant qu'Ahmed est endormi dans mon lit, je m'en veux de l'avoir raté.
Je me déshabille sans bruit, et le rejoins.
Ca me fait bizarre de l'avoir à mes cotés, alors que je n'ai aucun désir homosexuel.
Comme c'est l'été, nous dormons sans drap sur nous.
La pleine lune éclaire l'appartement, il se tourne vers moi sans s'éveiller.
J'ai une vue splendide sur sa bite qui est en pleine érection nocturne.
A partir de là, je fond, le désir me gagne, j'ai une énorme envie de le sucer.
Mais je reste raisonnable et le laisse tranquille.
Je profite de ma fatigue pour sombrer assez rapidement.
Je suis pris d'un rêve pervers, j'imagine qu'un homme commence à m'enculer.
Mais rapidement, je me rends compte que mon corps ressent trop fort les mains de l'homme et mon anus est vraiment écartelé.
"Oh, putain ! Arhhhhhhh ! Je suis pas réveillé ! J'ai encore la tête dans le cul ! Ahmed !".
"Bonjour ! Pascal ! Mais non, c'est ma bite que t'as dans le cul ! Ca te fait pas plaisir ?".
"Ouhhhhhhhhhhhhh ! Au point ou tu en es, je peux plus dire non ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"T'étais ou, hier soir ?".
"Mmmrrrrrrrhhhhhhhhh ! J'étais avec une fille !".
"Tu m'as trompé ?".
"Pas toi, mais Corinne, oui !".
"Tu mérites une punition ! Je vais la venger, alors !".
"Ohhhh ! Non, doucement ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh !...".
"Tu bandes dur, ce matin !".
"Arghhhhhhhhh ! Normal, je suis encore en érection nocturne ! Arhhhhhhhh !".
Il s'accroche à ma queue pour m'écarteler l'anus, je prend mon coussin pour le mordre, afin de mieux encaisser ses assauts.
Lentement, mon cul recouvre son gros sexe de jus anal, il coulisse plus aisément et bien plus profondément.
Il m'enlève le coussin de la bouche.
"Je veux t'entendre jouir, salope !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Si j'avais su, je t'aurais sucé cette nuit ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
"Ah bon, t'avais envie ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Oui, elle était trop belle ! Bien dure ! Mais tu dormais ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
"T'aurais du en effet ! Mais je t'aurais enculé cette nuit, quand même !".
"Orhhhhhhhhhh ! Salaud, t'es fou, mais, c'est ce qui plait chez toi ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
Il me couche sur son torse et me défonce par dessous, en me branlant avec frénésie.
Je ne peux plus me retenir, j'éjacule sur mon ventre et entre ses doigts, mon double orgasme est très intense.
Mes râles emplissent mon appartement.
"Mmmm ! T'as bien joui, je trouve ! Mon bébé ! Maintenant, je peux penser à moi ?".
"Oui ! Arghhhhhhhhhhh !".
Il se dégage et se place derrière moi, il me serre puissamment les hanches et revient en moi, en me déchirant les parois anales.
"Arghhhhhhhhhhh ! Putain, j'adore ta queue Ahmed ! Elle est trop bonne !".
"Tu sais que je vais te détruire la chatte ?".
"Oui, je sais, vas-y ! Elle est à toi !".
Ses enfoncements augmentent en force et amplitude, il me secoue comme une poupée légère qu'on a envie de casser.
Je ne veux pas qu'on m'entende jouir du cul, je mords ce que j'ai sous la bouche, le coussin d'Ahmed !
"Ohhh ! Ma p'tite salope ! C'est trop bon de te défoncer la chatte ! Plus je la baise, et plus je l'aime !".
Je ne réponds qu'avec des gémissements et des râles interminables.
Je vis une série d'orgasmes successifs, violents et intenses.
Puis, il se tient sur ses pieds et s'accroche à mes épaules, pour essayer d'aller plus profondément encore.
Il est pris de sauvagerie, il m'introduit ses doigts dans la bouche, en se déchainant.
Moins de dix minutes de ce traitement, lui suffisent pour exploser dans mon anus.
Je ressens les spasmes qui saisissent sa grosse queue, à chaque éjection de sperme.
Ses râles me rendent fou de plaisir cérébral.
Je m'écroule sous lui, qui m'accompagne et termine de m'inséminer longuement.
J'aime imaginer que j'ai son foutre au plus profond de mon anus.
On passe un long moment de tendresse, je me laisse aller à ses caresses, en appréciant encore la présence de sa grosse bite, dans mon cul.
"Bon, on va se lever ? Bébé ?".
"Oui, quelle heure il est ?".
Il prend sa montre et m'affole.
"Il est 10 h !".
"Quoi ? Putain, j'ai rendez vous avec Corinne et les potes !".
"Ou ça ?".
"A la brasserie !".
"Je peux venir ?".
"Pas avec moi, en tout cas, en plus, il y aura Michel !".
"Pas de souci, je ferai semblant de passer par hasard !".
"Ecoutes, fais comme tu veux, je me bouge ! T'as les clefs, de toute façon, tu fermes ! Ok ?".
Je m'habille en catimini, puis quitte l'appartement, je réalise que j'ai pas pris le temps d'évacuer le foutre d'Ahmed.
J'espère que cela ne me causera pas de souci.
Par contre, j'ai une gêne anale énorme !
En arrivant, on me charrie sur mon petit retard, surtout Corinne:
"J'ai failli aller te chercher !".
"Bon, ça va, je suis là !".
Dix minutes plus tard, Ahmed apparait.
"Ahmed ! Viens avec nous !" Lui dit Michel.
Il n'en demandait pas plus !
"Alors, qu'est-ce que tu racontes ?".
"Rien, j'ai passé une bonne nuit ! Surtout le réveil !".
Michel devient lourd en le poussant à en dire plus.
"Tu t'es encore tapé un autre mec ?".
"Non, c'est toujours le même ! Il me plait bien, celui-là !".
"Dis-moi qui c'est ! S'il te plait !".
Les filles sont curieuses aussi et le pressent de questions.
"Comment, il est ?".
"Très mignon !".
"On le connait ?".
"Je pense !".
"Il est mignon comme qui ? Il a notre âge ?".
"Oui !".
"Et il y en a un autre qui te plait ici ?".
"Oui !".
"Qui ?".
"Pascal !".
Je blêmis, Comment ose t'il dire ça ? Corinne me sauve en disant:
"Bon, c'est mon mec ! On va se calmer !".
"Je sais, mais si il veut, je suis partant !".
J'essaie de changer de conversation:
"On peut parler d'autre chose ? C'est gênant pour moi !".
"Non, on adore savoir ce que pense les homos ! Tu lui fais quoi à ton copain ?".
"Euh, c'est peut être choquant, pour vous !".
Michel enchaine:
"Ouais, tu lui casse le cul, c'est pas plus compliqué que ça !".
"On peut dire ça, comme ça !".
"Et tu l'as fait ce matin ?".
"Oui, on vient de finir !".
De mon coté, je suis gêné par un besoin de chasser son sperme de mon anus.
Je serre mon muscle anal comme je peux.
Je pose ma main sur mon ventre.
"Désolé, je vous laisse, je vais aux toilettes, le p'tit dèj' ne passe pas !".
En me dirigeant vers les W.C, Michel me lance:
"T'es sur que c'est pas Ahmed qui t'as fait ça ?".
Tout le monde rit, Ahmed ajoute:
"J'aurais bien aimé ! En tout cas ! Il lui ressemble beaucoup ! Tu veux pas me le prêter, Corinne ?".
"Ca me changerai des filles ! Ca me gênerai moins !".
Ahmed me rapportera la suite:
"Je sais pas comment tu fais pour supporter toutes ses tromperies !".
"Je l'aime, je sais qu'il en a besoin pour le moment, mais il me dit que ça va lui passer, quand il sera lassé des autres !".
"Pourquoi, il fait ça ?".
"Il a pas eu d'adolescence, et c'est les filles qui le draguent ! Il arrive pas à dire non !".
"C'est vrai qu'il est super, comme mec ! Pas vrai Ahmed ?".
Ahmed acquiesce en se rappelant qu'il m'a enculé et que je lui avoué avoir trompé Corinne la veille.
Ils rient encore.
Je revient soulagé d'avoir évacuer le sperme d'Ahmed, qui me regarde en souriant malicieusement.
On consomme, puis, nous nous dirigeons vers la plage.
Le moment arrive ou tous les autres sont dans l'eau, sauf Ahmed et moi.
"Tout à l'heure, les toilettes, c'est pour ce que je pense ?".
"Oui ! J'en avais plein le cul ! Putain, t'as beaucoup éjaculé ! Et j'ai encore l'anus tout écartelé, là !".
"Arrêtes de dire ça, ou je te coince quelque part pour te la remettre !".
"Ah, non ! S'il te plait ! Là, c'est sûr, ils vont deviner que c'est moi que tu baises !".
"Ok, Bébé ! Je vais patienter jusqu'à 18h, alors !".
"Putain, je vais avoir du mal à penser à autre chose !".
Corinne revient avec une amie qui demande en plaisantant.
"Alors Ahmed, tu branches Pascal ?".
"Oui, mais, il veut pas !".
Corinne en rajoute:
"Bébé, t'es pas gentil ! Tu pourrais faire un effort !".
"Oui, Bébé, Tu pourrais faire un effort !". Enchérit Ahmed, content de la situation.
"Euh, Corinne, déjà que tu supportes les autres filles !".
"Ben, justement ! Mon amour ! Les mecs, ça me dérangerait moins ! Je suis sûre que c'est beau à voir, en plus !".
J'hallucine qu'elle pense ça !
"T'as raison Corinne ! Mais je préfère le faire, que le voir ! Tu vois Pascal, on a le feu vert !".
"Non, laissez-moi tranquille !".
Dès qu'il peut, il me chuchote:
"On a qu'à lui dire ! Elle veut bien !".
"Arrêtes, y a pas qu'elle, je veux pas qu'on le sache !".
"OK, dommage !".
On se nourrit dans un snack, puis on passe l'après-midi à la plage, et en ville jusqu'à 18.
Je ramène Corinne, seul.
En rentrant, Ahmed est déjà nu, sur le lit.
"Viens chercher ta glace, Bébé !".
Après une interminable pipe goulue et avide, il m'a encore copieusement démonté dans tous les sens.
Il a vite réactivé l'afflux de mon jus anal.
A la fin, je l'ai supplié de jouir, trop d'orgasmes, c'est épuisant, à la longue.
Comme il m'enculait sur le sol, Il s'est dressé pour éjaculer sur moi, puis a terminé en me baisant la gorge.
Il a commandé des pizzas, j'ai dévoré la mienne, tant j'avais besoin de retrouver de l'énergie.
"Putain, j'en peux plus de baiser ! Corinne toute l'après-midi, Isabelle, hier soir, toi, ce matin et ce soir ! J'ai plus de jus !".
"Plains toi, il y en a qui aimeraient être à ta place !".
"Ouhhfffffffff! Putain, tu m'as encore éclaté le cul !".
"La chatte ! Bébé ! La chatte !".
"Ah, oui, c'est vrai ! La chatte ! Pardon !".
Ensuite, je nous mets de la musique.
Je ne m'attends pas à ce qui suit, après plus d'une heure d'écoute.
Il vient contre mon dos, baisse mon slip, je passe ma main derrière moi, je sens qu'il bande encore.
A peine à t'il titillé mon anus, qu'il se retrouve couvert de muqueuses anales.
Sa grosse verge glisse d'une traite dans mon cul, en me faisant jouir instantanément.
"Putain, j'adore te faire ça, Pascal !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Putain ! C'est trop bon ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il glisse lentement, l'orgasme me submerge, tellement c'est puissant.
Il me voit, avec les yeux humides, signe de la force, du plaisir immense que je vis.
"C'est si bon que ça ! Bébé ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ahhhhh ! Ahhhhh ! Ahhhhh !...(Je respire fort plusieurs fois), ne bouges pas vite, s'il te plait !".
"J'en ai pas envie ! Je veux te prendre avec sensualité, mon bébé !".
"Oh, oui ! Prends-moi comme ça ! Arhhhhhhhhh !".
Lentement, sans se dessouder et sans cesser de prendre au plaisir, on se rapproche de mon lit.
Il s'assoit, en me gardant sur lui, je pose mes mains sur ses genoux pour soulever ma "chatte", qu'il se met à aimer longuement, sans précipitation.
Après quelques minutes, l'impulsion de ses mains me font comprendre qu'il me veut face à lui.
Il s'allonge, en me tendant les bras.
Je colle mes lèvres aux siennes, en m'empalant sur lui.
Nos mouvements se coordonnent, on ne veut pas tomber dans le sexe pur et pervers.
Je joui dans sa bouche, il amplifie sa pénétration, je râle plus fort entres ses lèvres.
"Bébé ! t'es en train de me tremper la queue !".
"Mmmm ! Arhhhhhhh ! Je sais, je peux pas m'en empêcher ! Tant pis pour les draps !".
"Non ! Au contraire, j'adore ça ! Continues, tu me rends dingue ! Ta chatte est parfaite !".
On est conscient tous les deux, qu'on est en train de faire l'amour.
Mais, c'est par échange de bon procédé, c'est un besoin mutuel, sans sentiment !
Je revis presque les instants ou je faisais l'amour avec Pierre, et cela me fait du bien.
Chaque orgasme est vécu comme un cadeau passionnel.
Il devient inventif et me possède sur le ventre, alors qu'il a le visage entre mes jambes.
Je pose le regard sur ses pieds pendant que sa grosse verge me déforme l'anus à contre sens.
Ma queue me fait mal en bandant sous moi, elle est gênée par les draps, puis vient le plaisir pénien.
Je déverse mon sperme sous mon ventre et nage dedans en attendant sa jouissance, qu'il annonce peu à peu.
Il se met à grogner comme une bête, je reconnais la puissance de son orgasme.
Je sais qu'il vit un grand moment, je joui, cérébralement presque aussitôt.
Je bouge mon bassin pour accompagner son plaisir.
"Oui, bébé ! Comme ça, oui, ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh !".
Je deviens fou de le sentir éjaculer en moi, cette position est si riche en sensations !
On met un temps fou, à sortir de notre état de plaisir commun.
Dans la position, ou je suis, je suis obligé d'attendre qu'il daigne quitter mon cul, ou ma chatte comme il aime l'appeler ! Je ne suis pas pressé, je suis très bien comme ça !
Quand il se place enfin prés de moi, il me dit:
"Tu sais qu'il faudra pas le faire trop souvent, sinon, on va s'attacher !".
"Je sais, mais ça m'a fait trop de bien ! Pas à toi ?".
"Si, Bébé ! J'ai rarement autant joui !".
Je le regarde, et il ne s'en rend pas compte, mais il sombre devant mes yeux, dans un sommeil profond.
J'en profite pour ouvrir la fenêtre, afin d'aérer la chambre et avoir de l'air frais.
Puis, je le rejoins dans son sommeil.
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