Ahmed, un nouvel amant parfait.5 Un jeu dangereux !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ahmed, un nouvel amant parfait.5 Un jeu dangereux !
Depuis, ce jour, Ahmed est souvent avec mes amis, ce qui ne m'arrange pas !
Michel le harcèle, pour savoir qui est le garçon qu'il baise !
Et, je vais avoir une révélation inattendue !
"Comment tu l'as connu ? Tu l'as dragué dans la rue ?".
"Non ! C'est plus chaud que ça !".
Je m'attends à ce qu'il parle d'Eric et Alex, à l'appartement !
"Il croit que je l'ai connu avec deux copains, en baise à trois, mais je l'ai déjà baisé avant !".
J'hallucine, j'en crois pas mes oreilles !
"A trois ?".
"Oui, un copain, Eric m'a proposé de venir avec Alex, un autre pote, pour le baiser, il le baise souvent lui aussi !".
"C'était ou, alors ?". Demande Michel.
"Dans une partouze ! C'était la salope de la soirée ! C'est Eric qui m'avait invité !".
"Putain ! Vous étiez combien ?".
"35, ou 38, je sais plus ! On était presque tous masqués, c'est pour ça qu'il ne m'a pas reconnu ! Lui, n'en portait pas !".
Moi qui ne voulais pas connaitre ce chiffre, je suis servi ! C'est donc lui le magrébin, qui m'a défoncé comme une pute, en me tenant avec la ceinture en guise de laisse à chienne ! J'aurai du reconnaitre sa grosse bite !
Michel s'étonne:
"Putain ! Presque 40 mecs ! C'est une vraie salope ! Il a du se faire démonter !".
"C'est peu de le dire ! Il était couvert de sperme, certains l'ont même baisé deux fois !".
"Et donc après, vous l'avez enculé à trois !".
"Oui, quelques mois plus tard !".
Je vous passe les commentaires suivants, j'ai du mal à cacher mon trouble et ma honte qu'on parle de moi, ainsi.
Mais, après tout, c'est bien moi qui l'ai fait ! Même si ce n'est pas ce que je préfère, je l'ai fait et j'ai même remis ça !
Michel délire en parlant de mon anus comme d'un "trou à bites", que je dois avoir un cul éclaté, voire déformé, que j'ai du avaler des quantités incroyables de sperme, ce qui est vrai !
Ahmed le calme en disant:
"Bon, ça suffit, arrêtes de parler de lui, comme ça, J'en ai trop dit ! C'est un mec génial ! Malgré tout !".
J'en profite pour enfoncer le clou:
"Ouais, Michel ! A croire que t'as envie d'essayer ! T'as l'air d'être fasciné par les pédés ! T'es sûr que t'en a pas envie ? Une bonne grosse queue dans le cul ! Ca te dit ?".
Cette fois, c'est de lui qu'on se moque.
"N'importe quoi, bon, j'en parlerai plus ! Mais je veux savoir qui c'est !".
"Tu le sauras jamais ! N'insistes plus !". Lui répond Ahmed.
J'en veux un peu à Ahmed de m'avoir caché qu'il était à cette fameuse soirée.
Il a vu toute ma perversité, je me sens nu, il sait tout de moi.
Je l'entends encore révéler ceci, assaillit de questions par Michel:
"Oui, il s'est pris plusieurs fois, deux bites en même temps ! Vu le nombre qu'on étaient, il fallait contenter tout le monde ! Il a assuré de ce coté là, et quand mon pote m'a dit qu'il voulait encore le baiser à trois, j'ai sauté sur l'occas' ! Et on lui a refait pareil !".
Ou encore:
"Il a recommencé une autre fois, mais j'ai pas pu venir ! Dommage ! Une salope comme lui, c'est rare ! Mais maintenant, je le baise quand je veux ! C'est ça qui est génial !".
Il ne le sait pas, mais, à ce moment là, je n'ai plus envie de lui, l'entendre étaler mon vice, même sans révéler mon identité m'a refroidi.
Le soir venu, je n'ai pas envie de rentrer, je sais qu'il m'attend !
Je décide d'aller trainer dans un bar, ou je sais qu'il y a des filles "faciles" qui vont m'aborder et cela s'est produit.
Je suis l'une d'elle, chez l'une de ses amies, et je lui fais l'amour deux heures durant, puis reste dormir chez elle.
Je rentre chez moi vers 10 h du matin, Corinne est à l'école, je pense qu'Ahmed dort encore, il est au chômage !
C'est le cas, il m'entend et vient vers moi:
"T'étais ou ?".
"Avec une fille ! Pourquoi ?".
"Je pensais que t'allais venir ici !".
"Pour que tu m'encules encore ! Comme la salope que je suis ! T'as pas un copain, pour m'enculer à deux ? C'est vrai que j'en ai l'habitude !".
"Ah, j'ai trop parlé ! C'est ça ? Désolé, je suis un mec, j'aime bien me vanter ! Et puis c'est Michel, aussi, il me harcèle ! J'en peux plus ! Il buvait mes paroles ! J'y ai pris un certain plaisir ! J'avoue ! Excuses-moi !".
Je m'écroule sur mon lit, et me met à craquer littéralement, cela fait trop longtemps que je rumine tout ça, dans ma tête !
Il essuie mes larmes.
"Pardon, Bébé ! Si j'avais su que ça te ferait autant de mal, je l'aurai pas fait ! Mais, pourquoi tu le prends comme ça ? Tu assumes pas ? C'est ça ?".
"Oui, c'est ça, je vis mal mon homosexualité, et tu me l'as renvoyé en pleine figure, hier ! Avec le pire de mon coté salope ! Il faut que tu saches qu'avant cette soirée, j'étais tombé amoureux d'un homme, un ami de notre groupe ! On s'est aimé pendant des mois, sans que personne le saches ! et il m'a quitté parce qu'il en avait marre d'attendre que je m'assume comme homo, mais je suis bi et hétéro, le plus souvent ! Je ne peux pas quitter, Corinne ! Mais je l'aimais lui aussi ! Comment je pouvais faire ? Donc quand Eric m'a proposé cette soirée, j'ai accepté, c'était comme si, je voulais me punir de l'avoir fait souffrir !".
"Je comprend ! Excuses-moi, Bébé !".
Il approche ses lèvres des miennes, je lui rends son baiser avec tendresse.
"J'ai envie de toi Pascal !".
"D'accord, mais tu me baises pas ! Je veux pas de sexe ! Que de la sensualité ! On s'apprécie assez pour se donner du plaisir comme ça, sans s'aimer !".
Il hésite, puis répond:
"C'est exactement ce que je pense !".
Je le laisse me dévêtir, il me dévore l'anus sans fin, puis remonte vers ma bouche en laissant son gros sexe trouver "Ma chatte" naturellement.
Dans l'état ou je me trouve, je me laisse aimer sans retenue, je lui crie mes orgasmes anaux.
On se déplace au fur et à mesure de nos envies, je me fais planter debout contre un mur.
J'aime sentir sa forte possession, pendant qu'il s'enfonce en moi sans précipitation.
C'est dans cette position, qu'il éjacule au plus profond de mon cul.
Ses mouvements amples me font encore jouir, surtout avec la présence de son sperme, qui lubrifie sa bite.
Il fait durer et ne s'arrête pas de coulisser dans mon cul.
Je sens sa passion comme jamais, puis je réalise qu'il reprend un rythme plus puissant.
"Arhhhhhhhhhhh ! Ahmed, qu'est-ce qui t'arrives ? T'as pas joui ?".
"Si bébé, mais j'ai encore envie de ta chatte !".
"Arhhhhhhhhh ! Putain, c'est bonnnnnnnnn ! Arhhhhhhhhh !".
On continue notre déplacement pour agrémenter nos ébats, il m'encule à fond sur ma table de cuisine.
Sa passion tendre, devient plus sauvage.
Je me retrouve à me cramponner au dessus de ma cuvette de WC, puis dans mon couloir, près de la porte d'entrée, il est sous moi, pendant que je le chevauche, et l'embrasse sans cesse.
C'est comme ça, qu'il se déverse une seconde fois dans mon anus.
Je lui clos la bouche pour étouffer ses grognements trop puissants, tout en mordant mon bras, moi aussi.
Je m'écroule sur lui, on a jamais vécu une baise aussi intense !
Nos baisers ne s'arrêtent plus.
Son comportement a changé, il est beaucoup plus tendre à présent !
"Ahmed ! Je suis bien dans tes bras, mais tu me fais peur, là !".
"Je sais, Je crois que tu m'as eu ! Je m'attache à toi, je le sais depuis cette nuit, j'ai pas supporté que tu ne viennes pas ! Je t'ai...".
Je lui clos la bouche avant qu'il termine sa phrase !
"Non, pas encore ! S'il te plait !".
"Ne t'inquiètes pas, on m'a proposé un boulot sur Marseille, il y a quelque temps, je vais l'accepter, comme ça, on ne se verra plus !".
"J'ai pas envie que tu me quittes, mais c'est mieux comme ça, surtout pour toi, je vais te faire du mal ! Je veux pas être homo ! Je suis mieux dans ma vie d'hétéro !".
"Je sais Bébé, je sais ! Finalement, t'as raison, j'aurais jamais du commencer à te donner ce p'tit nom ! Tu me laisses du temps ? Je peux revenir quand même ?".
"Bien sûr ! Même si je t'ai détesté hier et cette nuit ! Je ressens quand même quelque chose pour toi, aussi !".
Je me libère de son gros sexe, puis vais me vider de son foutre dans la douche.
Il me rejoint et nous partageons un long moment de caresses tendres et sexuelles.
Il me dit, de plus en plus de mots tendres, je l'arrête très rapidement, avec une voix douce.
"Ahmed ! Je veux pas qu'on se disent ce genre de truc, je sais que tu vas réussir à m'avoir à la longue, arrêtes ! Il y a pas de place pour toi dans ma vie, à part pour du sexe !".
"Je sais, mais j'ai eu peur de te perdre, cette nuit ! Et j'ai compris que je t'ai fait du mal, en te voyant pleurer, je m'en veux !".
"Il faut pas ! Ca va mieux ! Mais maintenant qu'on sait ce qu'on ressent, on va avoir du mal à continuer de baiser comme avant !".
Après la douche, on décide de se changer les idées en allant manger un sandwich dans la ville la plus proche, afin de ne pas être vus
.
Au retour, en reconnaissant l'endroit, je lui raconte que j'ai été pris en stop par quatre hommes qui m'ont baisé une journée durant, lors de ma 20ème année.
"T'étais déjà salope ! Alors !".
"Oui, je l'avoue !".
"Ca te dit qu'on s'amuse ?".
"Oui, pourquoi pas ?".
Il me demande de l'emmener dans un lieu chaud qu'il n'a jamais fréquenté, le bord de mer.
Là, il se tient en retrait et sur sa demande, je me fais baiser par un autre homme.
S'il y prend un plaisir indéniable, je m'ennuie un peu, mais je sais que cela nous est bénéfique.
Tout au long de l'après-midi, il se rend compte de l'effet que j'ai sur les hommes.
Je n'arrête pas d'être sollicité, les rapports s'enchainent avec les plus intéressants d'entre eux.
Sodomies, fellations avec absorption de sperme, baise à trois, puis, un quatrième qui nous rejoint.
Cela devient ingérable, les hommes affluent, il s'approche en faisant semblant d'être inconnu pour moi.
Ainsi, il peut tout voir.
Je repousse certains, pas à mon gout sexuellement, ou trop ventrus, trop jeunes, vieux.
Après cette baise à la chaine, il me dit:
"Putain, j'hallucine comme t'attire les mecs !".
"Je t'avais prévenu ! Mais ce que je cherche, c'est une relation stable ! Avec quelqu'un d'endurant, vicieux et bien monté, comme toi ! C'est plus épanouissant pour moi !".
"Ca veut dire que tu veux qu'on arrête et que je te prenne ?".
"Oui, ça ne m'amuse plus, de baiser avec eux !".
Il me suit jusqu'à un recoin, dans les fourrés, et m'encule profondément, en prenant son temps.
Des hommes nous matent, attirés par les râles de plaisir.
A sa demande et seulement quand leurs queues me plaisent, je suce trois hommes pendant qu'il me défonce en me traitant de salope.
Il a pris gout à ce spectacle !
Il a du mal à éjaculer, je le sais, on a trop baisé, c'est sûr !
Parmi les voyeurs, un homme apparait, il imite les autres en se masturbant.
Il arbore une queue impressionnante.
Ahmed se baisse sans quitter mon cul et me chuchote à l'oreille:
"Tu voudrais pas l'essayer lui ?".
J'hésite, c'est vrai que c'est tentant !
"Ok ! Mais seulement, lui !".
Ahmed lui fait signe de s'approcher, il quitte mon anus et lui dit:
"Prends la suite ! Moi je vais me faire sucer !".
L'homme est un peu moins épais que mon amant, mais bien plus long, il lui faut tenir sa lourde bite, pour me l'insérer.
Il pousse en m'imprimant de nombreux assauts puissants.
Puis, sa très longue queue trouve le chemin et vient se caler en moi jusqu'à sa base.
J'ai quasiment 30 cm dans l'anus, qui commence déjà à me pilonner sans discontinuer.
Aux premiers orgasmes connu avec des inconnus, puis Ahmed, s'ajoute le premier avec lui.
Je crie comme une chienne étouffée, par chance, Ahmed me comble la gorge.
L'homme devient frénétique, il révèle à mon amant, qu'il n'a jamais pu enculer un autre jeune garçon, aussi profondément que moi.
Il essaie de se contrôler, pour me donner encore des orgasmes, mais en un peu plus de dix minutes, il éjacule en grognant dans mon anus.
Ahmed aime ce qu'il voit, il a une vue parfaite du long pieu enfoncé dans mes entrailles jusqu'aux couilles.
Il s'excite d'imaginer cette longue bite qui se vide longuement, dans le fond de mon anus.
"Arhhhhhhhh ! Bébé ! Avales-moi, s'il te plait ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Je me fait un devoir de m'abreuver de son foutre, avec gourmandise.
Deux voyeurs se lâchent à leur tour, le bruit des râles et du sperme qui tombe sur les feuilles mortes est excitant.
L'endroit est parsemé de taches de sperme, autour de nous.
Ahmed regarde avec un plaisir vicieux, l'homme qui recule pour sortir son énorme bite de mon cul.
Le sexe pend entre ses jambes, son jus coule au bout de son gros gland.
"Ah, c'était bon ! Merci mec ! Il est super, ton petit copain ! J'espère que vous reviendrez ici, quand j'y serai !".
Je me redresse pour me rhabiller, Ahmed constate que j'ai du sperme au bout de mon sexe.
"Il t'a fait jouir ?".
"Oui, désolé, t'aurais voulu que ce soit avec toi ?".
"Non, c'est pas grave ! Tant mieux, ça veut dire que t'as pris ton pied !".
"Ca, tu peux le dire ! Entre toi et lui, j'ai eu ma dose !".
On laisse les autres en plan, un vieux vicieux me traite de salope au passage.
Je m'en moque, il n'a pas tord, mais je resterai un fantasme pour lui !
Comme le dernier qui m'a enculé s'est déversé très profondément, son sperme ne s'écoule pas, tout de suite.
Faute de papier ou de mouchoir, je me résous à recouvrir mes fesses avec mon slip.
Mais sur le retour, je prévient Ahmed que je suis gêné par un besoin d'écoulement.
"Qu'est-ce qui se passe ?".
"Devines ! Y a le foutre du type et celui des autres qui commence à vouloir sortir, et j'ai envie de faire sortir de l'air ! Ca m'arrange pas !".
"Serres les fesses, on arrive !".
Dès que je passe la porte de mon appartement, Ahmed me pousse sur ma table et me dénude les fesses, en soulevant mes jambes.
"Montres-moi !".
"Ahmed ! T'es vicieux !".
"Tu préfères que je te dise que je t'aime ?".
"Non, t'as raison ! Régales toi, gros pervers ! Regardes ce qu'elle a pris ta salope !".
Le foutre gicle en plusieurs jets, résultat de toutes les éjaculations précédentes dans mon cul.
Il se masturbe en fixant la béance toujours présente de mon œillet, et surtout l'écoulement qui sort lentement à présent.
Les taches blanchâtres sur mon slip, augmentent son excitation.
"Putain, ça m'excite ! Tu peux pas savoir !".
Il fait tomber son pantalon et me décale en me tournant, pour me remettre sa bite.
"Regardes par terre, tout le foutre que t'avais dans le cul, salope !".
C'est vrai que la tache est conséquente !
Je me fais encore défoncer, étonné qu'il ait retrouvé assez de vigueur pour cela.
On a fini dans le lit, comme des bêtes, mais j'avoue que j'en avais un peu marre, je ne souhaitais qu'une chose, qu'il jouisse enfin !
Une douche n'a pas été superflue !
Par chance, les horaires de Corinne ne nous permettait pas de nous voir !
Il m'a annoncé son départ, quelques semaines plus tard.
J'ai récupéré mes clefs, dégouté de la tournure de notre relation.
Michel le harcèle, pour savoir qui est le garçon qu'il baise !
Et, je vais avoir une révélation inattendue !
"Comment tu l'as connu ? Tu l'as dragué dans la rue ?".
"Non ! C'est plus chaud que ça !".
Je m'attends à ce qu'il parle d'Eric et Alex, à l'appartement !
"Il croit que je l'ai connu avec deux copains, en baise à trois, mais je l'ai déjà baisé avant !".
J'hallucine, j'en crois pas mes oreilles !
"A trois ?".
"Oui, un copain, Eric m'a proposé de venir avec Alex, un autre pote, pour le baiser, il le baise souvent lui aussi !".
"C'était ou, alors ?". Demande Michel.
"Dans une partouze ! C'était la salope de la soirée ! C'est Eric qui m'avait invité !".
"Putain ! Vous étiez combien ?".
"35, ou 38, je sais plus ! On était presque tous masqués, c'est pour ça qu'il ne m'a pas reconnu ! Lui, n'en portait pas !".
Moi qui ne voulais pas connaitre ce chiffre, je suis servi ! C'est donc lui le magrébin, qui m'a défoncé comme une pute, en me tenant avec la ceinture en guise de laisse à chienne ! J'aurai du reconnaitre sa grosse bite !
Michel s'étonne:
"Putain ! Presque 40 mecs ! C'est une vraie salope ! Il a du se faire démonter !".
"C'est peu de le dire ! Il était couvert de sperme, certains l'ont même baisé deux fois !".
"Et donc après, vous l'avez enculé à trois !".
"Oui, quelques mois plus tard !".
Je vous passe les commentaires suivants, j'ai du mal à cacher mon trouble et ma honte qu'on parle de moi, ainsi.
Mais, après tout, c'est bien moi qui l'ai fait ! Même si ce n'est pas ce que je préfère, je l'ai fait et j'ai même remis ça !
Michel délire en parlant de mon anus comme d'un "trou à bites", que je dois avoir un cul éclaté, voire déformé, que j'ai du avaler des quantités incroyables de sperme, ce qui est vrai !
Ahmed le calme en disant:
"Bon, ça suffit, arrêtes de parler de lui, comme ça, J'en ai trop dit ! C'est un mec génial ! Malgré tout !".
J'en profite pour enfoncer le clou:
"Ouais, Michel ! A croire que t'as envie d'essayer ! T'as l'air d'être fasciné par les pédés ! T'es sûr que t'en a pas envie ? Une bonne grosse queue dans le cul ! Ca te dit ?".
Cette fois, c'est de lui qu'on se moque.
"N'importe quoi, bon, j'en parlerai plus ! Mais je veux savoir qui c'est !".
"Tu le sauras jamais ! N'insistes plus !". Lui répond Ahmed.
J'en veux un peu à Ahmed de m'avoir caché qu'il était à cette fameuse soirée.
Il a vu toute ma perversité, je me sens nu, il sait tout de moi.
Je l'entends encore révéler ceci, assaillit de questions par Michel:
"Oui, il s'est pris plusieurs fois, deux bites en même temps ! Vu le nombre qu'on étaient, il fallait contenter tout le monde ! Il a assuré de ce coté là, et quand mon pote m'a dit qu'il voulait encore le baiser à trois, j'ai sauté sur l'occas' ! Et on lui a refait pareil !".
Ou encore:
"Il a recommencé une autre fois, mais j'ai pas pu venir ! Dommage ! Une salope comme lui, c'est rare ! Mais maintenant, je le baise quand je veux ! C'est ça qui est génial !".
Il ne le sait pas, mais, à ce moment là, je n'ai plus envie de lui, l'entendre étaler mon vice, même sans révéler mon identité m'a refroidi.
Le soir venu, je n'ai pas envie de rentrer, je sais qu'il m'attend !
Je décide d'aller trainer dans un bar, ou je sais qu'il y a des filles "faciles" qui vont m'aborder et cela s'est produit.
Je suis l'une d'elle, chez l'une de ses amies, et je lui fais l'amour deux heures durant, puis reste dormir chez elle.
Je rentre chez moi vers 10 h du matin, Corinne est à l'école, je pense qu'Ahmed dort encore, il est au chômage !
C'est le cas, il m'entend et vient vers moi:
"T'étais ou ?".
"Avec une fille ! Pourquoi ?".
"Je pensais que t'allais venir ici !".
"Pour que tu m'encules encore ! Comme la salope que je suis ! T'as pas un copain, pour m'enculer à deux ? C'est vrai que j'en ai l'habitude !".
"Ah, j'ai trop parlé ! C'est ça ? Désolé, je suis un mec, j'aime bien me vanter ! Et puis c'est Michel, aussi, il me harcèle ! J'en peux plus ! Il buvait mes paroles ! J'y ai pris un certain plaisir ! J'avoue ! Excuses-moi !".
Je m'écroule sur mon lit, et me met à craquer littéralement, cela fait trop longtemps que je rumine tout ça, dans ma tête !
Il essuie mes larmes.
"Pardon, Bébé ! Si j'avais su que ça te ferait autant de mal, je l'aurai pas fait ! Mais, pourquoi tu le prends comme ça ? Tu assumes pas ? C'est ça ?".
"Oui, c'est ça, je vis mal mon homosexualité, et tu me l'as renvoyé en pleine figure, hier ! Avec le pire de mon coté salope ! Il faut que tu saches qu'avant cette soirée, j'étais tombé amoureux d'un homme, un ami de notre groupe ! On s'est aimé pendant des mois, sans que personne le saches ! et il m'a quitté parce qu'il en avait marre d'attendre que je m'assume comme homo, mais je suis bi et hétéro, le plus souvent ! Je ne peux pas quitter, Corinne ! Mais je l'aimais lui aussi ! Comment je pouvais faire ? Donc quand Eric m'a proposé cette soirée, j'ai accepté, c'était comme si, je voulais me punir de l'avoir fait souffrir !".
"Je comprend ! Excuses-moi, Bébé !".
Il approche ses lèvres des miennes, je lui rends son baiser avec tendresse.
"J'ai envie de toi Pascal !".
"D'accord, mais tu me baises pas ! Je veux pas de sexe ! Que de la sensualité ! On s'apprécie assez pour se donner du plaisir comme ça, sans s'aimer !".
Il hésite, puis répond:
"C'est exactement ce que je pense !".
Je le laisse me dévêtir, il me dévore l'anus sans fin, puis remonte vers ma bouche en laissant son gros sexe trouver "Ma chatte" naturellement.
Dans l'état ou je me trouve, je me laisse aimer sans retenue, je lui crie mes orgasmes anaux.
On se déplace au fur et à mesure de nos envies, je me fais planter debout contre un mur.
J'aime sentir sa forte possession, pendant qu'il s'enfonce en moi sans précipitation.
C'est dans cette position, qu'il éjacule au plus profond de mon cul.
Ses mouvements amples me font encore jouir, surtout avec la présence de son sperme, qui lubrifie sa bite.
Il fait durer et ne s'arrête pas de coulisser dans mon cul.
Je sens sa passion comme jamais, puis je réalise qu'il reprend un rythme plus puissant.
"Arhhhhhhhhhhh ! Ahmed, qu'est-ce qui t'arrives ? T'as pas joui ?".
"Si bébé, mais j'ai encore envie de ta chatte !".
"Arhhhhhhhhh ! Putain, c'est bonnnnnnnnn ! Arhhhhhhhhh !".
On continue notre déplacement pour agrémenter nos ébats, il m'encule à fond sur ma table de cuisine.
Sa passion tendre, devient plus sauvage.
Je me retrouve à me cramponner au dessus de ma cuvette de WC, puis dans mon couloir, près de la porte d'entrée, il est sous moi, pendant que je le chevauche, et l'embrasse sans cesse.
C'est comme ça, qu'il se déverse une seconde fois dans mon anus.
Je lui clos la bouche pour étouffer ses grognements trop puissants, tout en mordant mon bras, moi aussi.
Je m'écroule sur lui, on a jamais vécu une baise aussi intense !
Nos baisers ne s'arrêtent plus.
Son comportement a changé, il est beaucoup plus tendre à présent !
"Ahmed ! Je suis bien dans tes bras, mais tu me fais peur, là !".
"Je sais, Je crois que tu m'as eu ! Je m'attache à toi, je le sais depuis cette nuit, j'ai pas supporté que tu ne viennes pas ! Je t'ai...".
Je lui clos la bouche avant qu'il termine sa phrase !
"Non, pas encore ! S'il te plait !".
"Ne t'inquiètes pas, on m'a proposé un boulot sur Marseille, il y a quelque temps, je vais l'accepter, comme ça, on ne se verra plus !".
"J'ai pas envie que tu me quittes, mais c'est mieux comme ça, surtout pour toi, je vais te faire du mal ! Je veux pas être homo ! Je suis mieux dans ma vie d'hétéro !".
"Je sais Bébé, je sais ! Finalement, t'as raison, j'aurais jamais du commencer à te donner ce p'tit nom ! Tu me laisses du temps ? Je peux revenir quand même ?".
"Bien sûr ! Même si je t'ai détesté hier et cette nuit ! Je ressens quand même quelque chose pour toi, aussi !".
Je me libère de son gros sexe, puis vais me vider de son foutre dans la douche.
Il me rejoint et nous partageons un long moment de caresses tendres et sexuelles.
Il me dit, de plus en plus de mots tendres, je l'arrête très rapidement, avec une voix douce.
"Ahmed ! Je veux pas qu'on se disent ce genre de truc, je sais que tu vas réussir à m'avoir à la longue, arrêtes ! Il y a pas de place pour toi dans ma vie, à part pour du sexe !".
"Je sais, mais j'ai eu peur de te perdre, cette nuit ! Et j'ai compris que je t'ai fait du mal, en te voyant pleurer, je m'en veux !".
"Il faut pas ! Ca va mieux ! Mais maintenant qu'on sait ce qu'on ressent, on va avoir du mal à continuer de baiser comme avant !".
Après la douche, on décide de se changer les idées en allant manger un sandwich dans la ville la plus proche, afin de ne pas être vus
.
Au retour, en reconnaissant l'endroit, je lui raconte que j'ai été pris en stop par quatre hommes qui m'ont baisé une journée durant, lors de ma 20ème année.
"T'étais déjà salope ! Alors !".
"Oui, je l'avoue !".
"Ca te dit qu'on s'amuse ?".
"Oui, pourquoi pas ?".
Il me demande de l'emmener dans un lieu chaud qu'il n'a jamais fréquenté, le bord de mer.
Là, il se tient en retrait et sur sa demande, je me fais baiser par un autre homme.
S'il y prend un plaisir indéniable, je m'ennuie un peu, mais je sais que cela nous est bénéfique.
Tout au long de l'après-midi, il se rend compte de l'effet que j'ai sur les hommes.
Je n'arrête pas d'être sollicité, les rapports s'enchainent avec les plus intéressants d'entre eux.
Sodomies, fellations avec absorption de sperme, baise à trois, puis, un quatrième qui nous rejoint.
Cela devient ingérable, les hommes affluent, il s'approche en faisant semblant d'être inconnu pour moi.
Ainsi, il peut tout voir.
Je repousse certains, pas à mon gout sexuellement, ou trop ventrus, trop jeunes, vieux.
Après cette baise à la chaine, il me dit:
"Putain, j'hallucine comme t'attire les mecs !".
"Je t'avais prévenu ! Mais ce que je cherche, c'est une relation stable ! Avec quelqu'un d'endurant, vicieux et bien monté, comme toi ! C'est plus épanouissant pour moi !".
"Ca veut dire que tu veux qu'on arrête et que je te prenne ?".
"Oui, ça ne m'amuse plus, de baiser avec eux !".
Il me suit jusqu'à un recoin, dans les fourrés, et m'encule profondément, en prenant son temps.
Des hommes nous matent, attirés par les râles de plaisir.
A sa demande et seulement quand leurs queues me plaisent, je suce trois hommes pendant qu'il me défonce en me traitant de salope.
Il a pris gout à ce spectacle !
Il a du mal à éjaculer, je le sais, on a trop baisé, c'est sûr !
Parmi les voyeurs, un homme apparait, il imite les autres en se masturbant.
Il arbore une queue impressionnante.
Ahmed se baisse sans quitter mon cul et me chuchote à l'oreille:
"Tu voudrais pas l'essayer lui ?".
J'hésite, c'est vrai que c'est tentant !
"Ok ! Mais seulement, lui !".
Ahmed lui fait signe de s'approcher, il quitte mon anus et lui dit:
"Prends la suite ! Moi je vais me faire sucer !".
L'homme est un peu moins épais que mon amant, mais bien plus long, il lui faut tenir sa lourde bite, pour me l'insérer.
Il pousse en m'imprimant de nombreux assauts puissants.
Puis, sa très longue queue trouve le chemin et vient se caler en moi jusqu'à sa base.
J'ai quasiment 30 cm dans l'anus, qui commence déjà à me pilonner sans discontinuer.
Aux premiers orgasmes connu avec des inconnus, puis Ahmed, s'ajoute le premier avec lui.
Je crie comme une chienne étouffée, par chance, Ahmed me comble la gorge.
L'homme devient frénétique, il révèle à mon amant, qu'il n'a jamais pu enculer un autre jeune garçon, aussi profondément que moi.
Il essaie de se contrôler, pour me donner encore des orgasmes, mais en un peu plus de dix minutes, il éjacule en grognant dans mon anus.
Ahmed aime ce qu'il voit, il a une vue parfaite du long pieu enfoncé dans mes entrailles jusqu'aux couilles.
Il s'excite d'imaginer cette longue bite qui se vide longuement, dans le fond de mon anus.
"Arhhhhhhhh ! Bébé ! Avales-moi, s'il te plait ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Je me fait un devoir de m'abreuver de son foutre, avec gourmandise.
Deux voyeurs se lâchent à leur tour, le bruit des râles et du sperme qui tombe sur les feuilles mortes est excitant.
L'endroit est parsemé de taches de sperme, autour de nous.
Ahmed regarde avec un plaisir vicieux, l'homme qui recule pour sortir son énorme bite de mon cul.
Le sexe pend entre ses jambes, son jus coule au bout de son gros gland.
"Ah, c'était bon ! Merci mec ! Il est super, ton petit copain ! J'espère que vous reviendrez ici, quand j'y serai !".
Je me redresse pour me rhabiller, Ahmed constate que j'ai du sperme au bout de mon sexe.
"Il t'a fait jouir ?".
"Oui, désolé, t'aurais voulu que ce soit avec toi ?".
"Non, c'est pas grave ! Tant mieux, ça veut dire que t'as pris ton pied !".
"Ca, tu peux le dire ! Entre toi et lui, j'ai eu ma dose !".
On laisse les autres en plan, un vieux vicieux me traite de salope au passage.
Je m'en moque, il n'a pas tord, mais je resterai un fantasme pour lui !
Comme le dernier qui m'a enculé s'est déversé très profondément, son sperme ne s'écoule pas, tout de suite.
Faute de papier ou de mouchoir, je me résous à recouvrir mes fesses avec mon slip.
Mais sur le retour, je prévient Ahmed que je suis gêné par un besoin d'écoulement.
"Qu'est-ce qui se passe ?".
"Devines ! Y a le foutre du type et celui des autres qui commence à vouloir sortir, et j'ai envie de faire sortir de l'air ! Ca m'arrange pas !".
"Serres les fesses, on arrive !".
Dès que je passe la porte de mon appartement, Ahmed me pousse sur ma table et me dénude les fesses, en soulevant mes jambes.
"Montres-moi !".
"Ahmed ! T'es vicieux !".
"Tu préfères que je te dise que je t'aime ?".
"Non, t'as raison ! Régales toi, gros pervers ! Regardes ce qu'elle a pris ta salope !".
Le foutre gicle en plusieurs jets, résultat de toutes les éjaculations précédentes dans mon cul.
Il se masturbe en fixant la béance toujours présente de mon œillet, et surtout l'écoulement qui sort lentement à présent.
Les taches blanchâtres sur mon slip, augmentent son excitation.
"Putain, ça m'excite ! Tu peux pas savoir !".
Il fait tomber son pantalon et me décale en me tournant, pour me remettre sa bite.
"Regardes par terre, tout le foutre que t'avais dans le cul, salope !".
C'est vrai que la tache est conséquente !
Je me fais encore défoncer, étonné qu'il ait retrouvé assez de vigueur pour cela.
On a fini dans le lit, comme des bêtes, mais j'avoue que j'en avais un peu marre, je ne souhaitais qu'une chose, qu'il jouisse enfin !
Une douche n'a pas été superflue !
Par chance, les horaires de Corinne ne nous permettait pas de nous voir !
Il m'a annoncé son départ, quelques semaines plus tard.
J'ai récupéré mes clefs, dégouté de la tournure de notre relation.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi je serais, resté avec Ahmed..., devenu sa salope attitrée pour qu’il m’utilise à son gré et avec ses amis...sa putain, sa chienne...sa kahba, sa femelle...
J’adore la bite arabe !
J’adore la bite arabe !
Moi je serais, resté avec Ahmed..., devenu sa salope attitrée pour qu’il m’utilise à son gré et avec ses amis...sa putain, sa chienne...sa kahba, sa femelle...
Mon rêve devenir une salope comme lui.
Avoir un arable comme amant qui me baise régulièrement et qui m'offre à ces copains arabes pour baise à la chaîne dans les wc d'un bbar.car je suis une très grosse salope accro à la bites toujours en manque.
Avoir un arable comme amant qui me baise régulièrement et qui m'offre à ces copains arabes pour baise à la chaîne dans les wc d'un bbar.car je suis une très grosse salope accro à la bites toujours en manque.
Il ne faut jamais se vanter quand on a la chance d'avoir une aussi belle salope .il faut la préserver si on veut la garder .j'ai la chance d'en avoir une sublime. Que je chouchoute tous les jours.