Amour d'outre tombe - histoire érotique

Amour d’outre-tombe.

Depuis mon adolescence, je tiens un journal intime. Il m'a été difficile ces derniers temps de noircir les pages de mon écriture. Après la mort accidentelle de mon compagnon dans un accident de voiture, ça ne me suffit plus et je ressens le besoin de lui envoyer encore des SMS posthumes. Ça fait bien maintenant plusieurs semaines que je lui raconte ma vie en son absence, n'attendant aucune réponse de sa part, mes pensées les plus intimes, l’absence de sa main sur ma peau, de son sexe dans le mien. Quelle n'a pas été ma surprise un jour quand mon téléphone a vibré. Je viens de recevoir un SMS de sa part. Je suis perplexe, un appel d’outre-tombe ?
-Hello ! Ne vous affolez pas, par un pur hasard je m'appelle aussi Xavier et ose enfin répondre à vos petits messages intimes. Je ne vous parle pas de l'au-delà, mais sûrement le numéro de votre compagnon a été réattribué. Je m’excuse d’avoir lu vos messages les plus intime et je compatis à votre malheur et si vous le voulez bien, je veux bien jouer le jeu en répondant à vos messages.

En pleine panade sentimentale, je suis très perturbée et ne sais que faire. J'arrête aussitôt cette correspondance morbide, mais après quelques semaines, complètement déboussolée, je décide de reprendre cette correspondance assez particulière.
Dans nos premiers échanges, nous nous présentons mutuellement. Moi je suis une femme de 32 ans qui se prénomme Sylvie, blonde et les cheveux mi-longs, les yeux noisette, 1m60 assez menue, une poitrine moyenne avec une belle paire de fesses bien entretenues car je suis assez sportive.
Lui, 36 ans, il me dit faire un bon mètre quatre-vingt, cheveux noirs coupés courts, yeux vert-clair. Il est assez sportif lui aussi. Quand il me dit sa profession, je découvre un autre point commun avec mon amour perdu. Il est viticulteur dans le Jura alors que mon Xavier travaillait dans une cave coopérative en Bourgogne.
Cela fait maintenant deux mois que nous communiquons régulièrement et petit à petit nous commençons à nous apprécier. Après un début timide, nous avons commencé à échanger quelques photos, d'abord de nos visages et ensuite nous avons pioché chacun de notre côté dans nos albums de photos pour mieux cerner la façon de vivre de chacun. Je dois dire que j'ai été agréablement surprise par son physique et particulièrement par ses photos de vacances. Je ne dirais pas qu'il a un corps d’Adonis mais ses photos à la plage en maillot de bain mettent en valeur ses pectoraux particulièrement développés et des abdominaux qui forment une vraie tablette de chocolat. Sur certaines photos de trois/quart, je devine aussi une protubérance avantageuse. Bien entendu de mon côté, je lui ai envoyé aussi des photos de moi dont certaines en maillot de bain deux pièces. Il m'a complimenté sur ma plastique, me jurant que les années n'ont aucune prise sur moi.

Hier, il m'a proposé de le voir complètement nu. Je n'ai su que répondre, mais comme qui ne dit rien consent, je viens de recevoir un SMS de sa part accompagné d'une photo. J’hésite un long moment avant de cliquer dessus mais me décide enfin. Il est face à l'appareil, les mains posées sur les hanches, tout sourire. Une verge épaisse et flasque positionnée assez bas sur son pubis repose nonchalamment sur une belle paire de couilles. Je trouvais que mon mari avait été assez bien doté par la nature de ce côté-là mais je constate effarée que Xavier « bis » l’a été beaucoup plus. Son sexe au repos tient largement la comparaison avec celui de Xavier dans sa meilleure forme.
J’ose enfin lui répondre :
-Mon cher Xavier, je suis sûre que vu votre anatomie, vous devez faire des ravages dans la gente féminine, vous êtes beau, un corps de rêve que toute femme veut caresser, sans parler de ce que vous avez osé me montrer. Je ne suis pas habituée à discuter sur ce sujet-là, et encore moins à regarder ce genre de photos, mais je dois reconnaître aussi que vos parties intimes, si elles tiennent leurs promesses doivent autant attirer les filles que le miel attire des mouches.

Dans sa réponse, il m’explique que cette photo a été prise dans un camping naturiste qui n’est qu’à quelques kilomètres de chez moi. De mon côté je n'ai pas osé tout du moins pour le moment me dévoiler à ses yeux. Mais son SMS suivant a répondu à mon interrogation.
-Chère Sylvie, comme le dit Martin Fourcade, avec des si, on coupe du bois. Mais en parlant justement de bois, on peut en faire des manches si tu vois ce que je veux dire. Si tu veux voir le mien, ouvre mon prochain message, sinon on continue nos échanges comme avant.

Deuxième petite sonnerie, nouveau message, c’est une nouvelle photo. Qu'est-ce que je fais, je l'ouvre ou pas ? Qu'est-ce que je risque, de toute façon il n'en saura rien. Je clique donc dessus puis agrandis l'image au maximum que mon appareil le permet. Le pénis qui pendait nonchalamment entre ses cuisses a une tout autre allure et s'est complètement métamorphosé. Le tuyau mou d'une quinzaine de centimètres s'est transformé comme il me l'avait annoncé en un véritable manche de pioche. Il s'est bien allongé de cinq ou six centimètres mais ce qui me trouble le plus, c'est l'épaisseur de ce gourdin massif. Je ne suis pas une habituée des sites porno et n’ai donc pas l'habitude d'être confrontée à un homme doté d'un tel organe. J'hésite un long moment avant de lui répondre.

-Xavier, comment dire, oui j'ai osé regarder la photo. Je dois dire que j'ai été profondément mais aussi agréablement troublée en découvrant ton sexe en pleine érection. J'ai été une femme fidèle et n’ai connu que celui de mon défunt mari. Il n'y a pas de comparaison possible entre vous deux. Comment une femme doit-elle faire quand elle est confrontée à un tel monstre ? J'ai toujours entendu dire que les hommes pourvus d'un gros sexe avaient de grandes difficultés pour réussir à obtenir et conserver une érection aussi ferme que la tienne. Oui, je dois bien reconnaître que tu as une bien belle verge, ça ne fait aucun doute. Je suis sûre qu'avec une telle longueur, les femmes doivent se pâmer devant. Mais ce n'est pas sa longueur qui me poserait le plus de problèmes, une simple question de prudence, mais plutôt le diamètre hors norme de ton démonte-pneu. Avec Xavier, je pouvais faire le tour de sa verge avec ma main et mon pouce touchait mes autres doigts, mais je vois qu’avec ta propre main, une belle main d’homme, il n’y a que ton majeur qui arrive à toucher ton pouce, alors… Je ne sais pas si je pourrais faire l'amour avec un homme doté comme toi d'une telle poutre.

Pendant les deux mois qui ont suivis, il a continué à m'envoyer des photos et même parfois de petites vidéos très explicites, seul ou quelquefois en compagnie d'une ou de plusieurs partenaires, me proposant régulièrement de tout interrompre si je le lui demandais.
Il a beau avoir le même prénom que mon défunt mari, pour ce qui est du sexe, je me rends compte que je n'ai jamais connu le « loup ». J'ai enfin osé lui montrer le haut et puis incidemment et sous ses encouragements, j'ai retiré aussi le bas pour lui montrer d'abord mes fesses avant de lui dévoiler enfin mon sexe que j'ai fait épiler pour ressembler aux filles de ses vidéos.
Cela fait maintenant plus de six mois que nous nous chauffons par SMS interposés. Il vient de m'annoncer qu'il va venir en Bourgogne pour assister à la Saint-Vincent tournante, un petit peu comme la percée du vin jaune dans le Jura. Je ne sais pas ce qu'il me prend, comme il m’annonce qu'il a des difficultés à trouver un hébergement vu que les milliers de personnes qui viennent assister à la Saint-Vincent tournante, je lui propose de venir séjourner chez moi. Cet évènement se déroule fin janvier et date de très longtemps, un peu en perte de vitesse, mais bien apprécié de ceux qui aiment le bon vin.
On sonne à la porte. Je suis fébrile. Est-ce lui ? Je vais ouvrir la porte, il est devant moi, tout sourire. Il est encore plus beau que sur ses photos ou vidéos. Je le fais entrer dans le salon, lui propose un café et nous discutons comme de très vieux amis. Quelquefois on peut être surpris et déçu car on s'est fait une idée fausse de la personne que l'on ne connaît que par ses écrits, et un peu plus quand même... Mais là je suis enchantée par sa gentillesse, son humour et sa retenue. Je lui fais visiter mon appartement et lui montre sa chambre.
Comme j'ai déjà acheté les billets, nous partons donc aussitôt pour parcourir les différentes caves des vignerons ce samedi. Le principe de ces deux fêtes du vin est le même, à l'entrée on nous donne un verre et des tickets qui permettent d’aller déguster différents vins des producteurs sans bourse déliée. Je n'en goûte que quelques-uns mais Xavier fait honneur aux vins de Bourgogne plus que de raison et utilise tous ses tickets et une partie des miens.
Nous rentrons tard le soir après avoir bien mangé et bu, enfin surtout lui.

Il est un peu éméché et me dit qu'il va prendre une douche avant d'aller dormir. Je lui montre la salle de bain et le laisse seul quand j'entends soudain un gros bruit. Je m'inquiète et l'appelle mais il ne me répond pas. Je me précipite dans la salle de bain, heureusement qu’il n’a pas fermé la porte et le trouve allongé par terre. Il a dû glisser dans la douche et s'est affalé sur le sol. Je m'approche et l’aide à se relever puis à s'asseoir sur le siège de la douche. Il se laisse faire, baragouinant des excuses, je finis de le rincer puis prends une serviette pour le sécher. Je suis de nouveau confronté du regard à son service trois-pièces complètement hors circuit vu la quantité d'alcool qu'il a ingurgité, mais cette fois en direct. Je constate que la première photo qu'il m'a envoyée de lui est en dessous de la vérité crue. Xavier est loin de tenir la forme pourtant son sexe dans sa position la plus minimaliste tient déjà la comparaison avec celui de mon défunt mari en pleine forme.

Je l'aide ensuite à regagner la chambre et à se glisser sous les draps, complètement nu.
Il sombre dans le sommeil aussitôt. Je suis inquiète, craignant qu'il vomisse et ne s'étouffe avec, je vais plusieurs fois faire un tour dans sa chambre dans la soirée. A ma troisième visite, je l'entends geindre et il a repoussé les draps comme s'il avait trop chaud. Je l'entends prononcer mon prénom et ne sais pas si c'est ce qui a un effet sur lui, mais la pauvre chose flasque de tout à l'heure a laissé place à un véritable bélier, il trique comme pas possible.
Je ne sais pas ce qui me prend mais je tends mon bras droit avec hardiesse pour caresser cette colonne de chair. C'est doux et dur en même temps, chaud comme de la braise. J’ose empoigner cette flamberge massive et constate avec effarement qu'il y a bien deux centimètres qui séparent l’extrémité de mon majeur de celle de mon pouce. Putain de morceau !

A suivre…