Après tant d'années d'abstinences, Lucette revit. fin

Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Après tant d'années d'abstinences, Lucette revit. fin
Après tant d'années d'abstinences, Lucette revit. fin
Le jour arrive, Lucette est nerveuse, elle fait la navette entre sa coiffeuse et la salle de bain. Elle ne sait que mettre comme vêtements. Audrey lui dit :
-Fait comme moi, reste nue sous ton peignoir, tu sais nous serons vite a poils !
La sonnette retentit, Lucette panique, elle ravale sa salive et s'enfouit dans la salle de bain. Elle est vite rattrapée par Audrey qui l'a ramène au salon. Marc fait entrer ses invités. Il y a Joseph un grand black, la soixantaine, taillé comme un bucheron, accompagné de Josette sa compagne, qui est plus vieille que lui.
Avec l'accord de Marc, ils sont accompagnés d'Olivier leur neveu, un jeunot tout juste adulte, beau comme un Dieu.
Marc les fait entrer au salon pour prendre un verre, il les présente à sa maman, qui, rougit fortement en voyant les nouveaux venus, elle dévisage le jeune homme longuement. Puis elle regarde son fils qui lui dit :
-Olivier va être de la partie aussi, il parait qu'il est très performant !
Lucette et dans un état de gêne pas possible, le jeune homme la trouble. Elle se dit qu'elle ne peut pas faire l'amour avec un gamin. Il est vrai que les traits d'olivier sont très fins, ce qui le rajeunit encore plus. Pour la rassurer, Josette lui dit :
-Je vous le confirme, Il est majeur, depuis peu !
Josette, malgré les quelques rides qu'elle a sous ses yeux, est ravissante, elle ne fait pas ses soixante-cinq ans.
Les verres se suivent, la confiance s'installe. Les deux femmes ne cessent de se sourire, elles sympathisent rapidement, maintenant le tutoiement et de rigueur. Marc prend la parole et dit :
-J'ai promis à maman une défonce mémorable, donc mes amis je vous demande de vous surpasser !
Je crois que les femmes vont ouvrir le bal, allez mesdames c'est à vous !
Audrey, sans chichi, ôte son peignoir. Olivier, ne quitte pas des yeux le corps quasi parfait, qu'il convoite. Mais il sait que Lucette est prioritaire.
Une fois nue, Audrey se concentre sur Josette. Un à un elle fait sauter chaque bouton du corsage, ouvre les pans et dégage les épaules du fin tissu, qui en virevoltante, tombe sur le sol. D'un geste habile elle dégrafe le soutien gorge, et libère de son carcan les seins généreux, qui s'affaissent lourdement sur le torse.
Lucette ne bronche pas, elle reste agrippée à son peignoir en regardant l'effeuillage que pratique Audrey sur Josette. le zip de la jupe, ne résiste pas longtemps à ses doigts agiles. Avec art, Audrey fait descendre la jupe sur les hanches larges de Josette qui se laisse faire gentiment. Une fois la jupe sur le sol, Audrey s'accroche à la culotte, et la tire doucement vers le bas.
En faisant durer le plaisir, la coquine dénude doucement le ventre plat de la soumise avant de dévoiler la vulve, bien lisse.
Lucette, regarde en écarquillant les yeux la chatte rasée, elle salive en voyant les grandes lèvres pendre légèrement. Elle remarque aussi, que le clito bien développé, est impressionnant.
Comme une danseuse, Josette tourne sur elle même se penche en avant et écarte ses fesses fortement avec ses mains. Elle offre aux yeux des voyeur son anus fortement boursouflé.
Lucette, n'en croit pas ses yeux, c'est la première fois qu'elle voit un anus comme ça. Joseph, dit en souriant :
-Elle aime tellement la défonce anale, qu'on en voit le résultat ?
Josette s'esclaffe :
-Oh j'aime qu'il me prenne le cul avec sa grosse queue, si vous aimez les dilations extrêmes j'espère que vous en profiterez. Montre ta bite mon chéri !
Joseph, répond en faisant un large sourire :
-Chaque chose en son temps ma chérie, d'abord occupe toi de Lucette. Montre à nos hôtes tu es une vraie salope !
Josette fait tomber la ceinture du peignoir de Lucette, ouvre les pans et la saisit par les hanches. Elle se plaque contre elle et commence à agiter son corps contre celui de Lucette. Son bassin balance, comme celui d'une danseuse orientale. Josette se cambre pour mettre en contact les deux chattes.
Les balancements bien ajustés en frottant les vulves, produisent leurs effets. Les poils du pubis de Lucette sont trempés. La chatte imberbe de Josette laisse échapper, son jus. les deux femmes poussent mutuellement, de petits gémissements. Audrey se place derrière Lucette et fait tomber le peignoir de ses épaules. Elle colle contre les fesses de belle-maman son bas ventre, et en suivant le rythme qu'impose Josette, se frotte contre les lobes rebondis.
Longuement les trois femmes se frottent l'une contre l'autre, les chattes sont en feu, les soupirs bruyants. Josette plaque sa bouche sur les mamelons de Lucette et le suce férocement. Audrey, passe sa main sous les fesses de Lucette, arrive jusqu'à la chatte dégoulinante de jus, lui triture les grandes lèvres, avant de sortir de son étui la perle magique qui s'y cachait. Elle la presse pour faire geindre belle maman, qui d'ailleurs ne se retient pas ses gémissements. Il est temps de basculer Lucette sur la table du salon.
Josette s'agenouille entre les cuisses de sa proie, pendant qu'Audrey lui malaxe les seins. La bouche vorace de Josette aspire tout ce qu'elle peut avant d'enfoncer sa langue profondément dans le puits d'amour. Lucette est aux anges, elle geint de plaisir, sous les bouches affamées. Son clito enfle de plus en plus, il est grand temps de le faire exploser. Josette l'aspire et le tète rageusement, les succions qu'elle fait sur la boule fortement gonflée, sont dévastateurs. Lucette pousse un grognement et explose de jouissance.
Joseph et Olivier retirent leurs vêtements, une forte érection maintien les verges dressées. Lucette écarquille les yeux en voyant la verge colossale de Joseph. Josette lui souffle à l'oreille :
-Elle est belle la queue de mon chéri, tu vas être comblée, c'est un as de la défonce mon Joseph !
Joseph s'avance fièrement en exhibant son engin, il prend place entre les cuisses de Lucette et appuie son gland marbré contre les grandes lèvres. Il pousse, les lèvres s'ouvrent et le gland s'engage lentement dans le conduit qu'il dilate. Lucette grimace et agrippe de toutes ses forces à son amant black. Sans aller trop fort, Joseph enfonce son mamba noir, dans la gaine distendue au maximum. Lucette souffle comme un dragon, une moue affreuse déforme son visage d'ange. Jamais une verge aussi grosse ne lui à pénétrée le ventre.
Josette, dit en souriant :
-Oh Lucette, comme tu reçois bien la queue de mon homme, maintenant tu vas subir un pilonnage qui va re faire grimper aux rideaux. Vas-y mon Joseph défonce cette salope comme elle le mérite !
L'homme commence un lent va-et-vient qui augmente au fur et à mesure des gémissements de Lucette. A charque mouvement, Lucette à l'impression que son conduit vaginal va se déchirer. Il lui faut de nombreuses minutes pour qu'elle s'habitue au montre qui lui fore le ventre.
Au fil du temps, la douleur diminue, Lucette geint de se cramponnant à son amant de couleur. Les voyeurs occasionnels, bavent de jalousie en entendant Lucette gémit, et la voir agiter son bassin, pour bien sentir dans son ventre le gourdin de son amant. A chaque poussée, elle se cabre, le gland redoutable, lui rabote le col de l'utérus.
Marc s'approche de sa maman, et offre aux lèvres de la gémisseuse son mandrin. Automatiquement, Lucette le saisit d'une main, et le suce à son déboiter la mâchoire.
Josette veut être de la partie, elle se penche sur le torse de Lucette et gobe un à un les mamelons déjà très gonflés. Elle suce et tète, les mats de chair avec ardeur.
Olivier n'en peut plus, il saisit Audrey et la plaque contre le mur, il lui lève un jambe jusqu'à sa taille et la maintien fermement.
Pour ne pas chuter, Audrey s'accroche au cou d'Olivier. Maladroitement, il dirige sa queue vers la fente humide et la plante brutalement dans le ventre d'Audrey, qui sursaute en poussant un râle approbateur. Olivier ce jeune étalon, besogne la chatte de son amante en la faisant geindre de plaisir.
Lucette défaille, la queue monstrueuse de Joseph, voyage dans sa chatte en raclant fortement les parois garnies de muqueuses sensibles.
Marc quant à lui, grimace il est au bord de l'explosion. La maman gémissante, sent dans sa main, le sang battre dans les veines de la verge, prête à lâcher sa crème. Joseph Accélère , il sait que son amante, ne vas pas tarder à hurler de jouissance. La puissance de se colosse basané, font que ses coups de boutoirs, sont dévastateurs. Lucette s'agrippe à lui en geignant comme une agonisante. Son amant, tire fortement sur ses hanches, pour l'empaler totalement.
La verge est si grosse qu'elle distend son étui affreusement. Maintenant, Lucette semble apprécier le monstre qui lui ramone le ventre. Elle marmonne :
-Oui, oui, ça vient, vas-y, vas-y !
Josette redresse la tête et dit :
-Défonce-la Joseph, éclate lui la chatte, elle est à point!
Lucette grince des dents, puis se cambre fortement, elle pousse un hurlement et explose, sa jouissance est exceptionnelle. Pour l'achever, Joseph donne des coups de reins d'une violence extrême. Il massacre le col de l'utérus de Lucette, qui geint à chaque coups de boutoir.
En jouissant, Lucette à recrachée la bite de son fils, le bougre lui saisit a tête et enfonce de force sa bite dans la bouche de sa maman, qui se remet à sucer. Il lui tire sur les cheveux et lui baise la bouche comme un forcené. A chaque enfoncement de son mandrin, les couilles velues frappent la bouche de maman qui manque d'étouffer. Elle vient de découvrir ce que c'est une gorge profonde.
Un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres, ses yeux sont exorbités. Marc la tient fermement par les cheveux. Soudain, il se raidit en envoie dans la gorge de la maman soumise, un flot de sperme. Elle repousse brusquement son fils, et avale difficilement la décharge. Joseph grogne comme un animal. Il pousse un long râle et remplit de sa semence épaisse le ventre de Lucette.
Audrey jouit sous les assauts répétés de son jeune amant, qui à son tour explose en lui remplissant le ventre de sperme. Josette dévore les mamelons de Lucette qui sont devenus méconnaissables. Elle tète et suce comme une affamée, sans omettre de les mordiller de temps en temps. Enfin Joseph retire son mamba. Il dit en souriant :
-Maintenant, Lucette tu vas recevoir ce que peut de femme ont reçues, ma grosse bite dans le cul !
Lucette encore sous le coup de la jouissance, regarde son amant en faisant de grands yeux. Elle regarde le monstre gluant que l'homme agite de sa main. Il s'allonge sur le sol et dit tourne moi le dos et empale-toi le cul sur ma queue, c'est toi qui vas diriger la pénétration. Lucette pas très rassurée, se place dos à son amant, et descend doucement son corps, elle saisit le monstre visqueux, et le place contre son anus.
En prenant appuie sur ses mains, lentement elle descend, son anus s'ouvre le plus possible pour laisser le passage au visiteur. Lucette grimace e, serrant les dents. C'est elle qui décide de faire plusieurs pauses pendant la descente. Elle souffle comme un bœuf, son visage est déformé par un rictus. Centimètre par centimètre, le mamba s'enfonce dans son rectum en le dilatant monstrueusement. La respiration de Lucette est bruyante, son souffle court. Ses fesses entrent en contact avec les couilles de Joseph, elle sent dans son fondement, toute la longueur de la bite.
Elle se dit que son anus va se déchirer, ses yeux son presque exorbités. Très, très lentement elle commence à faire l'ascenseur avec son corps, chaque mouvement est pénible, elle grimace affreusement. Marc regarde sa maman il est estomaqué, il dit :
-Maman, tu l'a toute dans le cul c'est formidable, bouge, bouge ma chérie !
Josette sait que Lucette souffre, elle s'avance et lui saisit le clito. Elle le branle énergiquement. Lucette ne peut retenir, ces mots :
-Oh mon Dieu, comme je suis remplit, Marc, Marc je vais mourir !
Joseph tente de la rassurer :
-Oui, tu vas mourir ma salope, mais de plaisir !
Il s'accroche à ses hanches et à chaque fois que Lucette descend son corps, Joseph donne un coup de reins pour l'empaler à fond. Pendant un sacré bout de temps Lucette subit le ramonage, qui commence à la faire geindre de plaisir. Josette, en branlant le clito le presse plusieurs fois pour stimuler Lucette. Lucette commence à s'agiter rapidement en geignant. La pression et à son comble, elle se cabre en poussant un hurlement terrible, sa jouissance anale est spectaculaire. Joseph en se cramponnant à ses hanches la défonce comme un soudard. Josette lui écrase le clito fortement, Lucette explose une seconde fois.
Olivier enfin peut intervenir. Il prend position entre les cuisses de Lucette et lui enfonce sa bite dans le ventre. Prise en double, Lucette se cambre. Les deux verges lui labourent férocement les entrailles, elle défaille, en marmonnant :
-Mon Dieu, je suis une catin, Marc, tu as fait de moi une grosse salope ! oh oui, oui défoncez votre putes mes chéris !
Le pilonnage est intense, Josette s'acharne sur le clito, Marc offre sa bite a sucer à la maman gourmande de plaisir. Audrey, elle aussi s'y met. Elle lui gobe les mamelons et les dévore rageusement. Deux femmes, et trois hommes en même temps qui s'acharnent sur son corps, Lucette est euphorique. Tous ses orifices sont remplis de sperme, de nombreuses jouissances faramineuses, la font hurler. C'est épuisée qu'on la libère.
Le jour arrive, Lucette est nerveuse, elle fait la navette entre sa coiffeuse et la salle de bain. Elle ne sait que mettre comme vêtements. Audrey lui dit :
-Fait comme moi, reste nue sous ton peignoir, tu sais nous serons vite a poils !
La sonnette retentit, Lucette panique, elle ravale sa salive et s'enfouit dans la salle de bain. Elle est vite rattrapée par Audrey qui l'a ramène au salon. Marc fait entrer ses invités. Il y a Joseph un grand black, la soixantaine, taillé comme un bucheron, accompagné de Josette sa compagne, qui est plus vieille que lui.
Avec l'accord de Marc, ils sont accompagnés d'Olivier leur neveu, un jeunot tout juste adulte, beau comme un Dieu.
Marc les fait entrer au salon pour prendre un verre, il les présente à sa maman, qui, rougit fortement en voyant les nouveaux venus, elle dévisage le jeune homme longuement. Puis elle regarde son fils qui lui dit :
-Olivier va être de la partie aussi, il parait qu'il est très performant !
Lucette et dans un état de gêne pas possible, le jeune homme la trouble. Elle se dit qu'elle ne peut pas faire l'amour avec un gamin. Il est vrai que les traits d'olivier sont très fins, ce qui le rajeunit encore plus. Pour la rassurer, Josette lui dit :
-Je vous le confirme, Il est majeur, depuis peu !
Josette, malgré les quelques rides qu'elle a sous ses yeux, est ravissante, elle ne fait pas ses soixante-cinq ans.
Les verres se suivent, la confiance s'installe. Les deux femmes ne cessent de se sourire, elles sympathisent rapidement, maintenant le tutoiement et de rigueur. Marc prend la parole et dit :
-J'ai promis à maman une défonce mémorable, donc mes amis je vous demande de vous surpasser !
Je crois que les femmes vont ouvrir le bal, allez mesdames c'est à vous !
Audrey, sans chichi, ôte son peignoir. Olivier, ne quitte pas des yeux le corps quasi parfait, qu'il convoite. Mais il sait que Lucette est prioritaire.
Une fois nue, Audrey se concentre sur Josette. Un à un elle fait sauter chaque bouton du corsage, ouvre les pans et dégage les épaules du fin tissu, qui en virevoltante, tombe sur le sol. D'un geste habile elle dégrafe le soutien gorge, et libère de son carcan les seins généreux, qui s'affaissent lourdement sur le torse.
Lucette ne bronche pas, elle reste agrippée à son peignoir en regardant l'effeuillage que pratique Audrey sur Josette. le zip de la jupe, ne résiste pas longtemps à ses doigts agiles. Avec art, Audrey fait descendre la jupe sur les hanches larges de Josette qui se laisse faire gentiment. Une fois la jupe sur le sol, Audrey s'accroche à la culotte, et la tire doucement vers le bas.
En faisant durer le plaisir, la coquine dénude doucement le ventre plat de la soumise avant de dévoiler la vulve, bien lisse.
Lucette, regarde en écarquillant les yeux la chatte rasée, elle salive en voyant les grandes lèvres pendre légèrement. Elle remarque aussi, que le clito bien développé, est impressionnant.
Comme une danseuse, Josette tourne sur elle même se penche en avant et écarte ses fesses fortement avec ses mains. Elle offre aux yeux des voyeur son anus fortement boursouflé.
Lucette, n'en croit pas ses yeux, c'est la première fois qu'elle voit un anus comme ça. Joseph, dit en souriant :
-Elle aime tellement la défonce anale, qu'on en voit le résultat ?
Josette s'esclaffe :
-Oh j'aime qu'il me prenne le cul avec sa grosse queue, si vous aimez les dilations extrêmes j'espère que vous en profiterez. Montre ta bite mon chéri !
Joseph, répond en faisant un large sourire :
-Chaque chose en son temps ma chérie, d'abord occupe toi de Lucette. Montre à nos hôtes tu es une vraie salope !
Josette fait tomber la ceinture du peignoir de Lucette, ouvre les pans et la saisit par les hanches. Elle se plaque contre elle et commence à agiter son corps contre celui de Lucette. Son bassin balance, comme celui d'une danseuse orientale. Josette se cambre pour mettre en contact les deux chattes.
Les balancements bien ajustés en frottant les vulves, produisent leurs effets. Les poils du pubis de Lucette sont trempés. La chatte imberbe de Josette laisse échapper, son jus. les deux femmes poussent mutuellement, de petits gémissements. Audrey se place derrière Lucette et fait tomber le peignoir de ses épaules. Elle colle contre les fesses de belle-maman son bas ventre, et en suivant le rythme qu'impose Josette, se frotte contre les lobes rebondis.
Longuement les trois femmes se frottent l'une contre l'autre, les chattes sont en feu, les soupirs bruyants. Josette plaque sa bouche sur les mamelons de Lucette et le suce férocement. Audrey, passe sa main sous les fesses de Lucette, arrive jusqu'à la chatte dégoulinante de jus, lui triture les grandes lèvres, avant de sortir de son étui la perle magique qui s'y cachait. Elle la presse pour faire geindre belle maman, qui d'ailleurs ne se retient pas ses gémissements. Il est temps de basculer Lucette sur la table du salon.
Josette s'agenouille entre les cuisses de sa proie, pendant qu'Audrey lui malaxe les seins. La bouche vorace de Josette aspire tout ce qu'elle peut avant d'enfoncer sa langue profondément dans le puits d'amour. Lucette est aux anges, elle geint de plaisir, sous les bouches affamées. Son clito enfle de plus en plus, il est grand temps de le faire exploser. Josette l'aspire et le tète rageusement, les succions qu'elle fait sur la boule fortement gonflée, sont dévastateurs. Lucette pousse un grognement et explose de jouissance.
Joseph et Olivier retirent leurs vêtements, une forte érection maintien les verges dressées. Lucette écarquille les yeux en voyant la verge colossale de Joseph. Josette lui souffle à l'oreille :
-Elle est belle la queue de mon chéri, tu vas être comblée, c'est un as de la défonce mon Joseph !
Joseph s'avance fièrement en exhibant son engin, il prend place entre les cuisses de Lucette et appuie son gland marbré contre les grandes lèvres. Il pousse, les lèvres s'ouvrent et le gland s'engage lentement dans le conduit qu'il dilate. Lucette grimace et agrippe de toutes ses forces à son amant black. Sans aller trop fort, Joseph enfonce son mamba noir, dans la gaine distendue au maximum. Lucette souffle comme un dragon, une moue affreuse déforme son visage d'ange. Jamais une verge aussi grosse ne lui à pénétrée le ventre.
Josette, dit en souriant :
-Oh Lucette, comme tu reçois bien la queue de mon homme, maintenant tu vas subir un pilonnage qui va re faire grimper aux rideaux. Vas-y mon Joseph défonce cette salope comme elle le mérite !
L'homme commence un lent va-et-vient qui augmente au fur et à mesure des gémissements de Lucette. A charque mouvement, Lucette à l'impression que son conduit vaginal va se déchirer. Il lui faut de nombreuses minutes pour qu'elle s'habitue au montre qui lui fore le ventre.
Au fil du temps, la douleur diminue, Lucette geint de se cramponnant à son amant de couleur. Les voyeurs occasionnels, bavent de jalousie en entendant Lucette gémit, et la voir agiter son bassin, pour bien sentir dans son ventre le gourdin de son amant. A chaque poussée, elle se cabre, le gland redoutable, lui rabote le col de l'utérus.
Marc s'approche de sa maman, et offre aux lèvres de la gémisseuse son mandrin. Automatiquement, Lucette le saisit d'une main, et le suce à son déboiter la mâchoire.
Josette veut être de la partie, elle se penche sur le torse de Lucette et gobe un à un les mamelons déjà très gonflés. Elle suce et tète, les mats de chair avec ardeur.
Olivier n'en peut plus, il saisit Audrey et la plaque contre le mur, il lui lève un jambe jusqu'à sa taille et la maintien fermement.
Pour ne pas chuter, Audrey s'accroche au cou d'Olivier. Maladroitement, il dirige sa queue vers la fente humide et la plante brutalement dans le ventre d'Audrey, qui sursaute en poussant un râle approbateur. Olivier ce jeune étalon, besogne la chatte de son amante en la faisant geindre de plaisir.
Lucette défaille, la queue monstrueuse de Joseph, voyage dans sa chatte en raclant fortement les parois garnies de muqueuses sensibles.
Marc quant à lui, grimace il est au bord de l'explosion. La maman gémissante, sent dans sa main, le sang battre dans les veines de la verge, prête à lâcher sa crème. Joseph Accélère , il sait que son amante, ne vas pas tarder à hurler de jouissance. La puissance de se colosse basané, font que ses coups de boutoirs, sont dévastateurs. Lucette s'agrippe à lui en geignant comme une agonisante. Son amant, tire fortement sur ses hanches, pour l'empaler totalement.
La verge est si grosse qu'elle distend son étui affreusement. Maintenant, Lucette semble apprécier le monstre qui lui ramone le ventre. Elle marmonne :
-Oui, oui, ça vient, vas-y, vas-y !
Josette redresse la tête et dit :
-Défonce-la Joseph, éclate lui la chatte, elle est à point!
Lucette grince des dents, puis se cambre fortement, elle pousse un hurlement et explose, sa jouissance est exceptionnelle. Pour l'achever, Joseph donne des coups de reins d'une violence extrême. Il massacre le col de l'utérus de Lucette, qui geint à chaque coups de boutoir.
En jouissant, Lucette à recrachée la bite de son fils, le bougre lui saisit a tête et enfonce de force sa bite dans la bouche de sa maman, qui se remet à sucer. Il lui tire sur les cheveux et lui baise la bouche comme un forcené. A chaque enfoncement de son mandrin, les couilles velues frappent la bouche de maman qui manque d'étouffer. Elle vient de découvrir ce que c'est une gorge profonde.
Un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres, ses yeux sont exorbités. Marc la tient fermement par les cheveux. Soudain, il se raidit en envoie dans la gorge de la maman soumise, un flot de sperme. Elle repousse brusquement son fils, et avale difficilement la décharge. Joseph grogne comme un animal. Il pousse un long râle et remplit de sa semence épaisse le ventre de Lucette.
Audrey jouit sous les assauts répétés de son jeune amant, qui à son tour explose en lui remplissant le ventre de sperme. Josette dévore les mamelons de Lucette qui sont devenus méconnaissables. Elle tète et suce comme une affamée, sans omettre de les mordiller de temps en temps. Enfin Joseph retire son mamba. Il dit en souriant :
-Maintenant, Lucette tu vas recevoir ce que peut de femme ont reçues, ma grosse bite dans le cul !
Lucette encore sous le coup de la jouissance, regarde son amant en faisant de grands yeux. Elle regarde le monstre gluant que l'homme agite de sa main. Il s'allonge sur le sol et dit tourne moi le dos et empale-toi le cul sur ma queue, c'est toi qui vas diriger la pénétration. Lucette pas très rassurée, se place dos à son amant, et descend doucement son corps, elle saisit le monstre visqueux, et le place contre son anus.
En prenant appuie sur ses mains, lentement elle descend, son anus s'ouvre le plus possible pour laisser le passage au visiteur. Lucette grimace e, serrant les dents. C'est elle qui décide de faire plusieurs pauses pendant la descente. Elle souffle comme un bœuf, son visage est déformé par un rictus. Centimètre par centimètre, le mamba s'enfonce dans son rectum en le dilatant monstrueusement. La respiration de Lucette est bruyante, son souffle court. Ses fesses entrent en contact avec les couilles de Joseph, elle sent dans son fondement, toute la longueur de la bite.
Elle se dit que son anus va se déchirer, ses yeux son presque exorbités. Très, très lentement elle commence à faire l'ascenseur avec son corps, chaque mouvement est pénible, elle grimace affreusement. Marc regarde sa maman il est estomaqué, il dit :
-Maman, tu l'a toute dans le cul c'est formidable, bouge, bouge ma chérie !
Josette sait que Lucette souffre, elle s'avance et lui saisit le clito. Elle le branle énergiquement. Lucette ne peut retenir, ces mots :
-Oh mon Dieu, comme je suis remplit, Marc, Marc je vais mourir !
Joseph tente de la rassurer :
-Oui, tu vas mourir ma salope, mais de plaisir !
Il s'accroche à ses hanches et à chaque fois que Lucette descend son corps, Joseph donne un coup de reins pour l'empaler à fond. Pendant un sacré bout de temps Lucette subit le ramonage, qui commence à la faire geindre de plaisir. Josette, en branlant le clito le presse plusieurs fois pour stimuler Lucette. Lucette commence à s'agiter rapidement en geignant. La pression et à son comble, elle se cabre en poussant un hurlement terrible, sa jouissance anale est spectaculaire. Joseph en se cramponnant à ses hanches la défonce comme un soudard. Josette lui écrase le clito fortement, Lucette explose une seconde fois.
Olivier enfin peut intervenir. Il prend position entre les cuisses de Lucette et lui enfonce sa bite dans le ventre. Prise en double, Lucette se cambre. Les deux verges lui labourent férocement les entrailles, elle défaille, en marmonnant :
-Mon Dieu, je suis une catin, Marc, tu as fait de moi une grosse salope ! oh oui, oui défoncez votre putes mes chéris !
Le pilonnage est intense, Josette s'acharne sur le clito, Marc offre sa bite a sucer à la maman gourmande de plaisir. Audrey, elle aussi s'y met. Elle lui gobe les mamelons et les dévore rageusement. Deux femmes, et trois hommes en même temps qui s'acharnent sur son corps, Lucette est euphorique. Tous ses orifices sont remplis de sperme, de nombreuses jouissances faramineuses, la font hurler. C'est épuisée qu'on la libère.
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Dommage que cela s arrête. encore je bande

