Arthur, le fils de mon meilleur ami (01)

- Par l'auteur HDS Sylvainerotic -
Auteur homme.
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Récit libertin : Arthur, le fils de mon meilleur ami (01) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Arthur, le fils de mon meilleur ami (01)
Cette nouvelle histoire raconte la relation entre Maxime, écrivain d'une quarantaine d'années sur le déclin, et Arthur, 18 ans, le fils gaté et immature de son meilleur ami. N’hésitez pas à m’envoyer un message si vous avez aimé, pour partager vos commentaires, ou si vous souhaitez des photos d'Arthur. Je réponds toujours. Bonne lecture (sylvainerotic@yahoo.com).

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Je regarde l’écran de mon MacBook, tout blanc. Je n’y arrive pas… L’angoisse de la page blanche. Ça fait plusieurs semaines que j’essaie de démarrer mon prochain roman, mais rien ne me vient. L’énergie, la motivation, tout me manque. Moi qui pourtant, il n’y a pas si longtemps encore, étais un écrivain à succès, encensé par la presse, et invité dans toutes les émissions littéraires. J’ai même raté le Goncourt de peu.

Peut-être ai-je connu le succès un peu trop tôt, dès mon premier roman, à 25 ans à peine ? Les suivants ont aussi été des best sellers. Mais depuis quelques années rien ne va plus. Tout a commencé par une rupture avec Alex, mon amoureux. Une relation intense, passionnée de plusieurs années. L’amour fou dès le début, lui 18 ans, moi la trentaine. Je lui ai pris sa virginité et une relation a suivi, jusqu’à ce qu’a ce qu’il me quitte à la veille de mes quarante ans. Notre différence d’âge ne lui convenait plus. Lui cherchait ce que je ne voulais ou pouvais pas lui donner, des enfants par exemple.

Depuis, d’autres déboires se sont accumulés, comme la mort de mes parents, et des soucis financiers. De l’argent mal géré… Et puis deux livres assassinés par la critique et dont les ventes ont été catastrophiques. La roue tourne vite. Voilà ou j’en suis… Nulle part. A la recherche d’un second souffle. Et surtout de l’inspiration pour un nouveau roman. Pour survivre. Pour revivre, et renouer avec le succès.

Ma rêverie devant la page blanche est interrompue par un SMS d’Alain. Alain, c’est mon meilleur ami, hétéro. On se connait depuis la fac. Un vrai flambeur, joueur, épicurien, bon vivant. Différent de moi. Je suis plus renfermé.

Alain, c’est aussi mon éditeur. Celui qui m’a donné ma chance en publiant mon premier roman. Il a eu du flair en croyant en moi. Mais au-delà des affaires, son amitié est réelle.

Le SMS est une invitation à déjeuner. Mon estomac se serre. Je sais qu’il va me demander où j’en suis avec mon prochain roman… Comment lui avouer que je n’ai même pas écrit une ligne ? J’appréhende ce déjeuner.

Le jour J, il se montre amical et on ne parle pas de mon roman. On parle littérature, politique. Vers la fin du déjeuner, Alain finit quand même par me glisser :

- Ecoute, tu sais que ton prochain roman est très important. Il faut vraiment que ce soit un succès

Je frissonne.

- J’ai quelque chose à te proposer : afin de te mettre dans de bonnes conditions pour l’écrire, pourquoi est-ce que tu ne passeras l’été qui vient dans ma résidence en Provence ? Ça te fera un changement de décor… Je suis sûr que tu tournes en rond dans ton appartement parisien… Là-bas, tu seras au calme, au vert, et je suis sûr que cela te donnera de l’inspiration

Je suis sceptique… mais je sens la pression qu’il me met. Je dois produire un bestseller… sinon je le perdrais comme éditeur… Je glisse juste un « ok, si tu veux » en guise de réponse

- Il y a juste un détail… mon fils Arthur passe l’été là-bas aussi. Il a ses copains et ses copines de vacances dans la région et on lui laisse la maison l’été… C’est un ado difficile… Il est très dur et distant avec moi, depuis le divorce, et surtout l’adolescence. Mais ne fait pas attention à lui. Tu pourras t’installer dans la petite maison d’amis attenante à la piscine. Tu auras plus de tranquillité comme ça.

Je pense à Arthur. Ça fait des années que je ne l’ai pas vu. La dernière fois, il devait avoir 10 ans, c’était juste avant le divorce entre ses parents. Alain avait déconné. Une histoire de fesses avec une stagiaire de tout juste 20 ans. Ça avait fait grand bruit à l’époque… Pénélope, sa femme, avait aussitôt demandé le divorce et obtenu la garde d’Arthur. Elle était alors rentrée en Angleterre, son pays d’origine, et Arthur s’est alors mis à fréquenter les pensionnats huppés du pays, ne revoyant son père qu’une à deux fois par an.

Alain ne me donnait des nouvelles que rarement, juste pour me dire à quel point Arthur était difficile. Beaucoup trop gâté par ses parents, mal élevé, impoli…

Sur le coup, je ne prête pas trop attention à ce détail… car ce que j’ai en tête, c’est la pression que me met Alain. J’ai vraiment intérêt à produire quelque chose de solide cet été… Le temps m’est compté.

La semaine qui suit, alors que je quitte l’autoroute, je me demande encore comment démarrer mon nouveau roman. J’ai quelques idées, mais pas plus. La route est déserte. Cette partie de la Provence est sauvage et belle. La route est sinueuse. Je dois bien m’y reprendre à trois fois pour trouver la villa d’Alain, isolée dans un coin perdu.

L’endroit est magnifique. Le luxe. Une villa digne des catalogues d’immobilier de prestige. Alain a gagné beaucoup d’argent grâce à mes livres, et ceux des autres, certes, mais Pénélope était encore plus riche…

D’ailleurs, sur le large devant de la villa, couvert de graviers, plusieurs voitures de luxe sont garées. Ma vieille Peugeot fait pâle figure.

Aucune réponse quand je sonne à la porte. J’entends un peu de musique au loin. J’insiste un peu mais toujours pas de réponse. Je me décide donc à faire le tour, par le jardin.

L’intensité de la musique est maintenant plus forte, et je comprends mieux pourquoi personne ne pouvait entendre. Devant mes yeux, une piscine magnifique, grande, entourée d’un superbe jardin, avec les proportions parfaites de gazon, buissons et fleurs. 5 corps sont affalés autour de la piscine, un sixième au milieu de l’eau sur un énorme cygne. Personne ne lève la tête. Ils sont tous à moitié endormis, malgré la musique. J’aperçois un peu partout des bouteilles d’alcool et des restes de déjeuner.

Je m’adresse à une bimbo allongée sur une chaise longue juste à côté de moi. Elle ne tourne même pas la tête vers moi, trop préoccupée par sa séance de bronzage, quand je lui demande :

- Arthur est-il là ?

Sans bouger, elle lance « Arthur !!... Visiteur… »

Le garçon affalé sur le cygne, au milieu de la piscine, redresse la tête, et fait glisser ses lunettes de soleil légèrement pour m’observer

- Ah… Maxime… salut… désolé… j’avais oublié que tu arrivais aujourd’hui… tu peux t’installer dans la maison d’amis

Il remet en place ses lunettes sur son nez et continue sa sieste… c’est tout. Il ne sort même pas de l’eau pour me serrer la main. J’ai vraiment l’impression de déranger.

L’enfant que j’avais en mémoire est maintenant devenu un adolescent, un jeune homme… en marchant près du bord pour me rendre dans mes quartiers, je ne peux m’empêcher de le regarder de près. Corps superbe, imberbe, légèrement musclé, déjà un peu bronzé… il a l’air magnifique, tout comme les autres d’ailleurs. Mais je ne peux pas m’attarder.

Je m’enferme dans mes quartiers. J’entends des murmures autour de la piscine… Notamment :

- C’est qui déjà ?

- Un pote de mon père… écrivain

- Ah… il a l’air fun

Tout le monde éclate de rire

- En tout cas il est quand même pas mal foutu pour un vieux, lance une voix de fille

En guise de réponse, une autre voix lance des « oh oui, daddy… ». Nouvel éclat de rire général.

Je me demande comment je vais gérer ces gamins autour de moi cet été… d’un côté, la distraction offerte par ces beaux corps de jeunes mâles… de l’autre, les gamineries post pubères.

Je n’ai pas le temps de réfléchir car le trajet en voiture par cette chaleur m’a bien fatigué, et je décide de m’offrir une sieste réparatrice.

Quand j’émerge, en début de soirée, les invités sont partis, mais la terrasse en toujours en désordre. Rien n’a été rangé.

Je me rends vers la maison, histoire de papoter un peu plus avec Arthur. Et je dois dire aussi que j’ai bien envie de le voir d’un peu plus près. Je le trouve affalé sur un canapé, avec son smartphone dans le grand salon qui donne sur la terrasse. Cette fois, il a au moins la décence de se lever, et de s’approcher, même s’il ne me serre pas la main

- Salut, désolé, pour le bordel…

Il est vrai que le salon n’est pas dans un bel état lui aussi.

Je ne m’étais pas trompé sur Arthur. Il est absolument superbe… Autant la nature est parfois cruelle avec certains, autant, dans le cas d’Arthur, elle semble lui avoir tout donné. De beaux cheveux bruns. Une peau incroyable. Il est de taille correcte, un sourire de mannequin, des dents bien blanches. Il a l’air imberbe, si ce n’est de légers poils sur les jambes. Il est légèrement musclé, mais sans excès. Les muscles sont saillants et dessinés, comme les pectoraux, mais sans disproportion. Je crois me souvenir qu’il fait un peu d’aviron en Angleterre. Il pourrait être mannequin, c’est évident. Il est beau, tellement beau dà 18 ans seulement. Son bronzage contraste avec la blancheur de son polo, d’une marque de luxe italienne. Sinon, il est pieds nus et ne porte qu’un bermuda rose, très chic.

Je regarde autour. Tout est luxueux. Des œuvres d’art un peu partout. Et aussi une énorme bibliothèque

- Pas de quoi t’embêter cet été avec tous ces livres, je commente

- Nan je lis pas… ça me fait chier en fait. Juste ce qu’il faut pour les cours

Limite insolent de dire ça…

Il se sent obligé de me faire visiter les lieux. Mais on sent que ça l’ennuie. La villa est magnifique. Pleine de chambres spacieuses. Certaines ont les draps défaits. Je remarque des emballages de préservatifs qui trainent.

- Conchita doit passer demain faire le ménage…

Il doit faire référence à la femme de ménage. Surement pas son vrai prénom, mais un surnom méprisant… Pas de doute là-dessus, en quelques minutes, je vois déjà dans son attitude toute l’arrogance, la superficialité du gosse de riches, gâté pourri. Il est vraiment insupportable…

Malgré tout, mes yeux ne quittent pas son corps. Je le trouve tellement attirant. Son esprit est un désastre, et un vrai repoussoir, mais son corps est un don des dieux.

On termine la visite par sa chambre, très grande, attenante au salon et à la terrasse, par une baie vitrée. Je suis excité de pénétrer ainsi son intimité. Le lit est défait. Pleins de vêtements sales de grande marque sur le sol. Et pleins de gadget de riches partout : ordinateur, console de jeux, etc.

Il a sa propre salle de bains à coté…

Je sens qu’après la visite obligatoire, Arthur n’a aucune envie de passer plus de temps avec moi… Je glisse quand même :

- Je vais être bien occupé à écrire, et j’ai ma propre indépendance dans la maison d’amis, mais si à l’occasion, tu veux qu’on mange ensemble, ou que je t’accompagne au village, n’hésite pas

Il me glisse un « ok » qui veut dire « ouais, c’est ça papy, n’y compte pas trop… »

Je retourne donc dans mes quartiers. L’angoisse de la page blanche me reprend. J’essaie de me concentrer mais je ressens toujours ce grand vide, quand ce n’est pas la vision du corps d’Arthur qui envahit mon esprit.

L’après-midi, j’entends du bruit dans la piscine. Arthur se baigne. J’écarte doucement le store pour le regarder. Le corps superbe évolue au soleil. Les gouttes d’eau argentées brillent sur sa peau bronzée. Il fait des plongeons. Je peux admirer son corps sous tous les angles.

N’en pouvant plus, je pars aux toilettes me masturber et m’imaginer en train de la baiser. Je ferme les yeux et imagine son corps nu sous le mien.

Apres l’orgasme, je retourne à mon ennui, face à mon écran.

Les jours qui suivent se ressemblent. Je n’ai que peu de contacts avec Arthur. Nos horaires sont décalés. Il se lève très tard, déjeune à 15 heures, et dine vers 23 heures.

Des copains et copines passent l’après-midi ou le soir, mais c’est parfois Arthur qui disparait, invités chez eux. Ce sont tous des gosses de riches friqués, dont les parents ont tous des villas ici. Je passe donc des journées entières seules.

Par contre, quand le groupe d’amis squatte la piscine, j’entends les conversations : ça ne parle que sexe, argent, fringues de luxe…

Au bout de quelques jours, j’ai besoin d’aller faire quelques courses au village. Vers midi, je constate qu’Arthur s’est levé. Seulement vêtu d’un boxer, il s’extraie de sa chambre, s’étire comme un chat. Ça pourrait être une publicité pour une grande marque de sous-vêtement… Je suis subjugué par tant de beauté. Mon sang bouille… Je le désire… de plus en plus…

Je veux lui proposer d’aller au village avec moi. Quand je sors, il a disparu. Je m’approche de la baie vitrée de sa chambre, et c’est ouvert. Je tape contre la vitre pour m’annoncer. Pas de réponse. Je me glisse doucement dans la chambre. J’entends le bruit de la douche. J’avance doucement dans la chambre. Par terre, pleins de vêtements sales. Des t-shirts, des boxers, des caleçons. Sur le lit, un MacBook, avec des écouteurs branchés. Sans réfléchir, je prends un boxer noir qui traine sur le lit et le touche. Je remarque des taches blanches…du sperme séché… je fais le lien avec le MacBook. Il a dû mater du porno hier soir et se branler dans son boxer… Je bande.

Je m’avance doucement… la porte de la salle de bains et à moitié ouverte… et de là ou je suis je peux voir le reflet d’Arthur dans le miroir, de dos, en train de se doucher. La scène me cloue sur place. J’ai toujours pensé que le dos de l’homme, ses épaules et ses fesses étaient les parties les plus érotiques… et là, on est proche de la perfection. Les fesses d’Arthur sont superbes. Rondes, ni trop grandes, ni trop petites. Michel-Ange n’aurait pas mieux fait. Je porte le boxer à mon visage et renifle le sperme séché pour m’intoxiquer les sens, déjà enivrés à la vue du dos et des fesses d’Arthur. Je reste comme ça une petite minute, avant de partir, histoire de ne pas être surpris…

J’attends dans le salon et Arthur apparait en short et t-shirt au bout de quelques minutes, les cheveux encore mouillés. Bien sûr il décline mon invitation et je me rends seul au village…

A suivre…

Les avis des lecteurs

Très intéressant!

Histoire Erotique
Très bien écrit. " Le plaisir de l'amour, c'est quand on monte l'escalier " disait Clémenceau. Donc, ça va durer.... (- Akileditu )

Histoire Erotique
Un début passionnant et prometteur…..
Hâte de lire la suite !!!!!



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