Au nom du Père, ... (2) - histoire érotique

Chapitre 2

Il gémit et je bouge mon cul sur sa bite qui m’élargie mon petit trou. Ce n’est pas lui qui me baise mais plutôt l’inverse. Tout en faisant des allers retours sur son sexe, je me branle en même temps. Il pose ses mains sur mes hanches pour me maintenir et le fait de les sentir sur moi, j’éjacule sur son torse. Mon sphincter se resserre sur sa queue et il se met à grogner comme une bête en jutant dans la capote. Je reste encore un peu avec sa queue en moi puis me retire. Je lui retire la capote, fais un nœud dessus et la pose sur le sol puis vient m’allonger à ses côtés. Il me regarde et c’est lui cette fois-ci qui prend l’initiative de m’embrasser. Je le regarde et lui dit :
-Tu veux rester dormir avec moi ce soir ? Ou tu dois partir ?
-Je ne voudrais pas te déranger mais j’aimerai beaucoup rester à tes côtés.
-Moi aussi et crois-moi, je ne demande jamais à un gars de rester dormir avec moi le premier soir mais toi, je ne sais pas pourquoi, j’ai l’impression de te connaître depuis toujours.
-J’ai ressenti la même chose et le jour où je t’ai vu la première fois, je pense que Dieu, m’a mis sur ta route pour te rencontrer.

J’ai souri et l’ai embrassé. Nous avons encore parlé puis nous nous sommes endormis dans les bras de chacun.

Le lendemain matin, je me suis réveillé avant lui mais sans bouger. Je l’ai juste regardé dormir. Je ne sais pas ce qui m’arrive mais je ne sais pas pourquoi mais il y a autre chose que cette attirance que j’ai envers lui. J’ai l’impression d’avoir eu un coup de foudre envers Simon. Ses yeux commencent à s’ouvrir tout doucement et une fois de plus il me fait un sourire ravageur. Je suis hypnotisé par lui. Je m’approche de ses lèvres et l’embrasse tendrement.
-Bonjour toi, lui dis-je.
-Bonjour. Tu as bien dormi ?
-Oh oui et cela faisait longtemps que je n’avais pas passé une aussi bonne.
-Je voulais te remercier pour la soirée et cette superbe nuit.
-Oui, c’était exceptionnel.
-Je ne t’ai pas trop déçu ?
-Mais non, loin de là.

On s’est à nouveau embrassé tendrement et mes mains ont commencée à le caresser. Ma queue se redresse doucement et je sens que la sienne aussi. Je lui souris à nouveau et ma main vient flattée son sexe fièrement dressé. Je passe sous les couvertures et m’empresse de lécher sa queue puis de la sucer avec appétit. Je le suce pendant plus de cinq minutes et l’embrasse à nouveau. Je prends un préservatif que je lui mets et reprends un peu de lubrifiant dans ma main et lui en mets sur son sexe et sur mon cul. Il ne dit rien et se laisse faire. Je sens son excitation aussi grande que la mienne. Je me mets dos à lui, prends sa queue en main et la dirige contre mon petit trou. Je présente son gland et je me recule doucement contre lui en le faisant pénétrer bien au plus profond de moi. Je me mets à gémir doucement et ses mains viennent m’enlacer et tendrement, il commence ses vas et viens en moi. Ma main caresse sa cuisse et je retourne la tête pour qu’il m’embrasse. Je lui demande aussi d’aller plus vite et plus fort s’il le souhaite. Il fait oui de la tête et il accentue ses coups de reins. Ce n’est pas violent, mais c’est juste plus fort, plus intense. Sa queue me ramone bien et il commence à prendre ses aises pour quelqu’un qui n’a jamais eu d’expérience auparavant. Je sens bien ses couilles taper mon cul et au bout de dix bonnes minutes, je me redresse un peu et me mets à quatre pattes en le regardant et lui faisant comprendre qu’il vienne vite reprendre sa place en moi. Il se place donc à genoux et s’enfonce en moi rapidement. Sa queue coulisse en moi facilement. A croire que mon cul était fait pour elle. Il me pilonne un peu plus rapidement et je le sens grogner de plus en plus fort et je lui dis de tout me donner. Il donne un dernier plus grand et violent coup de rein et je sens qu’il remplit la capote. Ses mains resserrent mes hanches plus fortement et je sens son corps se reposer sur moi. Sa bouche vient déposer des baisers sur le haut de mon dos et dans mon cou puis il s’écroule ensuite sur le dos. Je viens me blottir contre lui et l’embrasse sur sa poitrine.
-Tu es vraiment incroyable pour quelqu’un qui n’a aucune expérience.
-C’est toi qui es incroyable. Je ne pensais pas connaître ça un jour. Dieu en est témoin, je suis vraiment très heureux qu’il m’est mis sur ton chemin.

Je l’embrasse malgré le fait d’entendre le mon Dieu et lui demande s’il veut boire un café ou un thé. Il préfère un thé le matin. Je lui dis de ne pas bouger que je lui apporte ça tout de suite. Je me lève vite sans prendre le temps d’enfiler un sous-vêtement. Je prends environ dix minutes pour lui préparer un petit-déjeuner avec ce que j’ai. Je lui prépare son thé, pose du sucre et du miel sur le plateau, quelques fruits, un yaourt, je toaste un peu de pain de mie et pose aussi du beurre et de la confiture. Je me fais de mon côté un café et j’emmène le tout dans la chambre. Il me voit arriver et encore une fois son sourire me charme encore plus et il s’installe assis dans le lit en me faisant un peu de place près de lui. Nous prenons notre petit-déjeuner en parlant de nos passions. Il aime lire, aller se promener, aime nager et aller courir durant ses heures perdues et aussi s’occuper des gens les plus démunis. Nous terminons tranquillement et je débarrasse le tout puis lui propose d’aller se doucher. Il accepte et je l’accompagne jusqu’à la salle de bain. Je lui sors une serviette et je regarde encore sa queue pendante et très poilue. Il le remarque et me demande :
-Il y a un problème ?
-Non, c’est juste un petit détail de rien du tout et surtout rien de grave.
-Quoi donc ?
-Tu ne t’ai jamais occupé de ton sexe ? Je veux dire, tu n’as jamais pensé à re raser les testicules et dégarnir un peu tout ça ?
-A vrai dire, je n’y ai jamais vraiment réfléchi. Tu trouves ça moche ?
-Je ne dirai pas ça. Ta queue est magnifique et elle ferait encore plus grande et grosse si on retire tous ces poils. Et crois-moi elle est déjà super grosse alors sans poils, je peux te dire que ça serait encore plus sexy. Si tu veux, je peux t’aider à le faire.
-Tu ferais ça ?
-Bien sûr. Allé, rentre dans la douche mon bel Apollon.

Il sourit et rentre dans la cabine de douche. Je prends tout le nécessaire pour commencer à lui tondre le plus gros des poils. Puis je prends un nouveau rasoir et de la mousse à raser. Il me regarde faire. Je le branle un peu pour qu’il bande. Je lui explique que c’est plus simple pour le rasage et il se laisse faire. Je prends bien mon temps pour ne surtout pas le couper. Je m’applique. Cela prend un bon quart d’heure. Je regarde le résultat et whouaaaa cette queue est juste magnifique. Je range le matériel et je rentre dans la douche avec lui. J’allume l’eau et je lui dis que je vais le savonner. J’ai envie de m’occuper de lui. Il me prend dans ses bras musclés et m’embrasse. Je prends le gel douche et commence à le passer sur son corps en commençant par les épaules, le dos, le torse et je m’accroupis et savonne ses cuisses puis remonte sur ses fesses et je termine par son pénis. Le fait de le prendre en main commence à le faire bander un peu. Le problème c’est que cela commence à m’exciter mais il ne le voit pas car je suis dans son dos. J’allume encore l’eau pour le rincer mais je laisse ma main sur sa queue et continue de caresser ses couilles et sa verge. Je passe devant lui et m’agenouille en le regardant droit dans les yeux. Je gobe ses couilles une à une puis je lèche sa queue. Il ferme les yeux et s’appuie contre la paroi de douche. Je prends ensuite sa queue en fond de gorge et il pousse un grand gémissement. Je le branle tout en le suçant doucement plus un peu plus vite. Je titille son gland puis reprend sa queue au plus profond de ma gorge. Je fais des allers retours sur sa queue tout en me branlant moi aussi. Dans un grand râle de bonheur, je le sens se crisper puis lâcher une quantité monstrueuse de son jus bien chaud. J’avale tout avec gourmandise et lèche bien sa queue pour ne pas en perdre une seule goutte. Tout en le suçotant, j’explose à mon tour sur le sol de la douche. Je me relève, l’enlace, l’embrasse et il me prend dans ses bras. Je suis dos contre son torse et il me caresse tout en me faisant des baisers dans le cou.
Nous sortons de la douche et nous nous essuyons mutuellement. Nous nous habillons et passons le reste de la matinée ensemble. Il doit me laisser car il a du travail cet après-midi. Il a une réunion très importante et que samedi il ne pourra pas me voir car il doit aussi travailler. Mais que Dimanche il pourrait venir passer la journée avec moi. Je lui dis que moi aussi je suis pris mais que le dimanche soir, je pourrais être tout à lui s’il voulait venir passer la nuit avec moi. Il accepte, m’embrasse et repart.
Je sens un grand vide quand il me laisse. Bref, cet après-midi, il faut que j’aille en ville m’acheter quelques fringues car je suis de mariage demain. Une de mes cousines se marie demain. Je passe donc mon après-midi avec ma frangine pour me trouver un ensemble sympa, c’est-à-dire un petit pantalon chino vert amande avec le veston qui va avec une chemise blanche cintrée, des petites chaussures de ville et un nœud de papillon. On termine nos achats et allons boire un café ensemble. On a plus l’habitude de se faire des après-midis comme ça à cause de son boulot et ses enfants du coup, là, on profite un peu. Je lui ai parlé du fait que j’ai rencontré quelqu’un mais que c’est encore tout frais et que je me sens super bien avec. Elle est contente pour moi et elle sait qu’elle ne doit rien dire car sinon plus personne de cette famille ne me parlera. On parle donc du mariage, de son couple et elle me dit aussi que depuis un mois, il y a un nouveau prêtre à l’église ce que je trouve barbant. Rien que d’entendre le mot église me donne des frissons tellement je déteste ça. Je m’oblige juste à y aller pour les mariages, baptêmes et enterrements. Elle en rigole mais dit que ça vaut le coup de venir à l’église rien que pour ça. Je souris et elle me dit, tu verras, même toi tu viendrais à la messe tous les dimanches rien que pour voir le nouveau prêtre. J’ai failli m’étouffer avec mon café tellement ça m’a fait rire.

La soirée se passe bien. Je reste au téléphone avec sinon pendant des heures. Je lui dis que je suis pressé d’être à dimanche soir pour qu’il soit là à mes côtés. Je m’endors sur un petit nuage en pensant à lui. Le lendemain matin, je me lève vers 9h prends mon temps. Nous devons être à la mairie à 14h30 puis à 15h30 à l’église.
Nous passons donc à la mairie où les mariés se disent oui puis nous allons direction l’église. Je n’ai pas envie d’être dans les premiers rangs alors je me dirige vers les bancs arrière pour être dans les premiers à sortit à la fin de la cérémonie. Tout le monde est debout et la cérémonie commence. Des textes sont lus par des personnes de la famille, par le prêtre. J’écoute à moitié et essaie de voir quelque chose mais trop de monde devant moi. J’arrive à apercevoir ma sœur qui est à la moitié des rangs et qui me montre son téléphone pour que je regarde le mien. Je le prends donc et elle vient de m’envoyer un message : « C’est lui le nouveau prêtre. Il est pas mal hein ? Te connaissant, je suis persuadée que c’est ton genre ? » J’essaie donc de regarder mais il n’est pas du bon côté et je ne vois toujours rien. Bref, ce n’est pas grave, je le verrai quand tout le monde sera assis.
La cérémonie continue est s’approche de la fin. Les gens commencent à s’asseoir et je me dis je vais m’asseoir en dernier comme ça je le verrai. Tout le monde s’assois et j’attends pour voir et là je pousse un « MERDE » assez fort en voyant Simon. Tout le monde se retourne et me regarde et Simon lève les yeux sur moi en ouvrant légèrement la bouche. Je m’excuse et m’assois aussitôt pour essayer de me faire le plus petit possible. Je n’y crois pas : Simon est le nouveau prêtre. Je comprends tout maintenant. Je réentends tout ce qu’il m’a dit par rapport à Dieu, aux faits qu’il s’occupe des plus démunies, qu’il travaille les week-ends. Je suis sous le choc. Je reçois un sms de ma sœur qui me demande ce qui se passe. Je ne peux quand même pas lui dire que je couche avec le nouveau prêtre. Non, mais « what the fuck !!! ».
La cérémonie se termine et je suis le premier à sortir. Je fume une clope pour me détendre de ce que je viens de voir. Tout le monde attend devant l’église pour envoyer des pétales de roses aux mariés quand ma sœur arrive près de moi.
-Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
-Rien, t’inquiètes pas. Tout va pour le mieux.
-Arrêtes, je vois bien que ça ne va pas tu es tout blanc. Je te connais par cœur alors dis-moi tout.
-Non, rien.
-Accouches petit frère.
-Non, je ne peux pas. Plus tard peut-être.

Au même moment, je reçois un message de Simon : « Pablo, je sais que tu peux être choquer par ce que tu viens de voir mais je ne savais pas comment te le dire. Tu veux bien me retrouver derrière l’église. Il y a une porte qui donne sur la sacristie. S’il te plaît, rejoins-moi. »
Je ne sais pas quoi faire. Tout le monde prend des photos et commence à repartir vers la salle de réception. Je rallume une cigarette et pars vers l’arrière de l’église discrètement. J’arrive à l’arrière et je vois la porte ouverte. J’écrase ma cigarette et je rentre dans la pièce où je trouve Simon en train de se changer. Il enfile sa chemise et se stoppe en me voyant. Il s’approche de moi et je fais un pas en arrière.
-Je, je voulais te le dire le premier jour mais je ne sais pas pourquoi je n’y suis pas arrivé. Je n’ai jamais ressenti ce que je ressens en ta présence.
-Ben, tu aurais dû, vraiment. Comment tu as pu ne rien me dire.
-Tu crois que c’est facile pour moi. Je suis prêtre oui mais jamais au grand jamais je n’aurai pu imaginer ce qui se passe entre nous. Crois-moi s’il te plaît.
-Je te crois oui. Mais tu aurais dû me le dire. Moi aussi je n’ai jamais ressenti ça pour personne. Je sais que ça ne fait pas une semaine que l’on se connait mais j’aurai aimé que tu me le dises au lieu de le découvrir de cette manière.

Je le regarde, il me regarde et s’approche de moi tout doucement en me tendant sa main. Je regarde sa main et la prend. Il se rapproche encore plus et je sens son parfum. Je suis encore hypnotisé par lui. Il me prend ensuite dans ses bras. Je le serre très fort et nos bouches s’attirent l’une vers l’autre. Putain de merde, je crois que je chavire pour un prêtre. Nos langues se tournent l’une autour de l’autre. Le temps s’arrête et je ne sais pas ce qui me prend, je retire sa chemise qu’il vient de mettre et déboutonne son pantalon.
-Tu fais quoi, me dit-il ?
-J’ai envie de toi.
-Non, pas ici. S’il te plaît. Pas dans l’église.
-J’ai vraiment envie de toi. Tu ne veux pas de moi la tout de suite ?
-Si, tu sais très bien que j’en crève d’envie.

Nous nous toisons du regard et il remet sa chemise et reboutonne son pantalon.
-Suis-moi. Il y a un petit logement juste à côté. J’ai les clés.

Je le suis donc et nous arrivons dans un tout petit appartement de deux pièces. Je ne perds pas de temps et déboutonne à nouveau son pantalon puis le mien en le baissant en même temps que mon shorty. Je crache dans ma main et me badigeonne le cul en le regardant. Il baisse son caleçon et prend sa queue dans sa main et vient s’appuyer contre. Je me retrouve plaqué contre la petite table de la pièce à vivre. Il appuie pour que sa queue rentre en moi mais il doit forcer un peu. Pour l’aider, je me cambre un peu plus et ça y est, son gland est en moi et je lui dis de pousser plus fort. Je veux qu’il me baise rapidement. Il rentre d’un coup et commence à me pilonner doucement le temps que je m’y fasse. Je pousse des gémissements et il attrape ma tête pour m’embrasser tout en me mettant de grands coups de reins. Il m’a démonté pendant quinze bonnes minutes avant de jouir en moi bien profondément. J’ai senti tout son jus se déverser en moi et j’étais heureux. Il me regarde, me sourit, puis se retire d’un coup sec en me disant terrorisé :
-Putain, je ne voulais pas, je t’ai pris sans préservatif et j’ai jouis en toi.

Je le regarde avec un grand sourire, l’attrape par la main et l’embrasse.
-Je suis clean, j’ai eu mes résultats de tests que je viens de faire et tout va bien ok ? C’était vraiment génial. Tu n’as pas aimé ?
-Si, si bien sûr que si. C’était même fantastique.

Je suis passé dans les toilettes pour me nettoyer un peu et nous nous sommes rhabillés.
-Mon Père, c’est comme ça que je dois t’appeler maintenant ?
-T’es bête.
-Il va falloir que je te laisse, ils vont se demander où je suis. On se voit demain soir ?
-On va même se voir avant car les mariés m’ont laissé un carton d’invitation pour le mariage.
-Je ne suis même pas étonné venant de ma famille assez pieuse.
-Parce qu’en plus, ils sont de ta famille.
-Eh oui.

Il m’embrasse à nouveau passionnément et nous reprenons chacun de notre côté le chemin de la salle de réception.

Fin du chapitre 2