Au nom du Père, ... (3)
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Au nom du Père, ... (3)
Chapitre 3
Je le regarde avec un grand sourire, l’attrape par la main et l’embrasse.
-Je suis clean, j’ai eu mes résultats de tests que je viens de faire et tout va bien ok ? C’était vraiment génial. Tu n’as pas aimé ?
-Si, si bien sûr que si. C’était même fantastique.
Je suis passé dans les toilettes pour me nettoyer un peu et nous nous sommes rhabillés.
-Mon Père, c’est comme ça que je dois t’appeler maintenant ?
-T’es bête.
-Il va falloir que je te laisse, ils vont se demander où je suis. On se voit demain soir ?
-On va même se voir avant car les mariés m’ont laissé un carton d’invitation pour le mariage.
-Je ne suis même pas étonné venant de ma famille assez pieuse.
-Parce qu’en plus, ils sont de ta famille.
-Eh oui.
Il m’embrasse à nouveau passionnément et nous reprenons chacun de notre côté le chemin de la salle de réception.
J’arrive à la salle où tout le monde boit déjà un verre de champagne. Ma sœur me voit arriver et me prend à part pour me demander où j’étais.
-Ben j’ai pris le temps de fumer un coup c’est tout.
-Une clope de plus d’une demi-heure ? Ça à l’air d’aller mieux toi ?
Au même moment je vois Simon arriver en passant près de nous. Il me regarde et me fait un grand sourire ce auquel je réponds aussi. Ma sœur me regarde faire et me dit :
-Tu connais le Père Simon ?
-Ben non, pourquoi ?
-Par rapport au sourire que vous venez de vous faire, on dirait le contraire.
-Je te promets que non.
-Tu me caches quelque chose toi et j’espère que tu me le diras.
Elle me laisse là en plan et je vais prendre un verre de champagne pour essayer de me détendre. J’essaie aussi de voir où est Simon et une fois que je le repère, je ne le quitte pas des yeux et apparemment lui fait la même chose de son côté. Les gens viennent discuter avec moi mais je suis ailleurs. J’essaie de me rapprocher un peu car il discute maintenant vers mon oncle et ma tante. Je viens leur dire bonjour et je salue Simon comme si de rien n’était. Je me place juste à ses côtés et nous discutons des mariés puis du fait qu’il vient de célébrer son premier mariage depuis qu’il s’est installé ici. J’apprends donc qu’il est prêtre depuis trois ans et qu’auparavant, il a passé un diplôme universitaire d'études théologiques durant six années. Je suis de plus en plus intéressé par ce qu’il dit et cela me permet d’en savoir plus sur lui. Je fais semblant de bouger et nos bras se touchent légèrement. J’en ai les poils qui se hérissent tellement il me fascine.
La mariée arrive vers nous, je la salue et elle s’accapare ensuite de Simon qui disparaît de ma vue. L’apéritif s’éternise un peu mais en attendant, je vais voir où je suis installé et où se trouve Simon. Ce sont des tables rondes et nous sommes huit par table. Je trouve enfin mon nom. Je me retrouve avec ma sœur et son mari, deux de mes cousines, un de mes cousins et sa compagne et super Simon se trouve en face de moi. Merde, il est placé entre mes deux cousines qui ne vont pas arrêter de lui parler. Discrètement, je déplace un peu tout le monde et le place juste à côté de moi. Je suis fou de faire ça mais je m’en fiche, au moins, il sera près de moi-même si je ne peux pas le toucher. Du coup, je me retrouve avec ma sœur sur ma gauche et Simon à ma droite. Je souris de ce que je viens de faire et repars prendre une coupe de champagne puis me dirige discuter avec mes parents.
Une heure et demi plus tard, nous regagnons les tables pour le repas. Tout le monde s’installe et je regarde d’un air amusé Simon arriver et sourire en voyant où il est placé. Il s’assoit et commence à discuter avec mon cousin de politique ce que je trouve assez barbant à vrai dire. Nous sommes assez serrés à table du coup, je rapproche ma jambe de la sienne et la colle à lui. Il discute toujours et je sens que sa jambe appuie elle aussi contre la mienne. Pendant ce temps-là, je discute avec une de mes cousines qui se trouve en face de moi. Nous commençons à manger, boire et rire les uns avec les autres. Je parle de temps en temps avec Simon pour ne pas éveiller les soupçons en le vouvoyant. Je fais tomber ma serviette qui se trouvait sur mes genoux et me baisse pour la ramasser. Je me relevant, je pose discrètement ma main sur le haut de la cuisse de Simon en la faisant glisser rapidement jusqu’à son entrejambe. Cela a duré un quart de seconde mais cela l’a surpris et il a légèrement sursauter en faisant tomber sa fourchette dans son assiette. Je souris lorsqu’il m’a mis un petit coup de coude contre le mien. Au moment où les entrées ont été desservies, ma sœur me pris par le bras et me dit de venir avec elle dehors pour fumer une cigarette. Je la suis donc et lorsque nous sommes dehors seuls, elle me dit :
-Tu joues à quoi là ?
-Comment ça ? Je ne comprends pas ce que tu veux me dire.
-Tu joues à quoi avec le Père Simon ?
-Ben à quoi veux-tu que je joue avec ? Je ne le connais que depuis aujourd’hui.
-Tu te fiches vraiment de moi ? Tu crois que je n’ai pas vu que tu avais changé les chevalets de la table et surtout le pire de tout, c’est ta main tout à l’heure sur lui. Tu te rends compte que c’est un prêtre ? Non mais attends, c’est lui la personne que tu as rencontrée ?
-Fermes-la s’il te plaît Anne !
-Non, mais je n’y crois pas ! Tu te rends compte qu’en tant que prêtre il doit rester célibataire ?
-Mais parce que tu crois que je savais qu’il était prêtre ? Je ne l’ai découvert que cet après-midi durant la cérémonie à l’église. C’est pour ça que j’étais mal à l’église.
-Et ça dure depuis quand ?
-On s’est rencontré il y a une semaine et je crois que j’ai eu le coup de foudre pour lui.
-Tu plaisantes ?
-Non, pas du tout. C’est la première fois que je ressens ça pour quelqu’un.
-Ne me dis pas que tous les deux vous avez …
-Je ne le dis pas alors.
J’écrase ma cigarette et la laisse en plan en train de finir la sienne. Je retourne à table et la fin du repas arrive. La soirée continue et je bois un peu plus qu’à l’ordinaire en faisant des regards insistés auprès de Simon qui me fixe lui aussi. La musique est là et je pars danser avec mes cousines. Je me déchaîne sur la piste et Simon me regarde toujours avec insistance lui aussi. Vers 3h du matin, certaines personnes sont déjà parties. Il y a pas mal de monde en moins dans la salle. Je suis pas mal éméché alors je passe devant mon amant en lui faisant comprendre de me rejoindre dans les toilettes. Je m’enferme dans la cabine pour personnes handicapées et j’attends. J’attends même plus de dix minutes sans que personnes ne viennent. Puis j’entends la porte s’ouvrir. J’entrouvre la mienne et je le vois. J’ouvre la porte en grand et il me rejoint. Je l’attrape par le bras, referme à clé et le pousse contre le mur pour l’embrasser avec passion. Je me mets à genoux directement et déboutonne son pantalon que je fais descendre en bas de ses jambes ainsi que son caleçon. Il a un début d’érection et je prends sa queue en bouche immédiatement pour la faire grossir. Hummmm qu’est-ce que j’aime sa queue. Je le suce rapidement en essayant de faire le moins de bruit possible. Je le prendre en gorge profonde puis c’est lui qui commence à prendre les devant en faisant des allers retours dans ma bouche et ma gorge. Je sors ma queue de mon pantalon et commence à me branler à mon tour. Je suis trop excité par cette situation. Le fait de savoir que l’on peut nous surprendre m’excite de plus en plus. D’un seul coup, il m’attrape par le bras, me baisse mon pantalon et shorty puis me colle face au mur et viens se coller contre moi. Il appuie sa bite contre mon cul et la rentre facilement. La baise de cet après-midi a bien fait son travail. Il met sa main contre ma bouche et me dit doucement au creux de l’oreille :
-Ton regard toute la soirée m’a bien excité ainsi que ta main sur ma queue pendant le repas et ta jambe contre la mienne. C’est bien ça que tu voulais : tu as envie de moi, hein ?
Je fais oui de la tête et il se met à me mettre de grands coups de reins qui me font couiner de plaisir. Mais je dois faire attention quand même de ne pas faire trop de bruit malgré mon excitation. Il alterne entre douceur et rapidité. Je sens ses couilles taper mon cul à chaque coup de reins. Il enserre mes hanches avec ses grandes mains et de mon côté, je me branle en même temps. Je n’en peux plus et je largue tout mon jus contre le mur. Il s’approche à nouveau de mon oreille et me dit qu’il ne va pas tarder à jouir lui aussi et me demande si je veux son jus bien en moi ou si je le veux en bouche ? Pour seule réponse, je le repousse légèrement et me mets à genoux en le regardant. Il sourit alors j’ouvre la bouche et tire la langue pour lui faire comprendre ce que je veux vraiment. Il me regarde, prend sa queue en main et se branle un peu. Ma langue touche son gland pour le titiller et le faire jouir plus rapidement. Il entrouvre la bouche et je sens que c’est le moment alors je prends sa queue en bouche que je suce avec gourmandise et lorsque je sens le premier jet de son jus, je la prends en fond de gorge pour tout avaler. Il gémit en silence et il me remplit bien la bouche. Une fois la jouissance terminée, je le suce à nouveau pour ne pas en perdre une seule goutte. Je le suce encore par gourmandise car sa queue ne débande pas. Il m’aide ensuite à me relever, me colle le dos au mur et vient m’embrasser et me dit :
-Je te jure, tu vas me rendre dingue. Je n’ai jamais connu ça auparavant mais je ne veux pas non plus arrêter ce qui se passe.
-Moi non plus. Bon rhabilles-toi et sors le premier. Je sortirai d’ici cinq minutes pour que l’on ne se doute de rien.
-Ok.
Il se rhabille donc et ouvre légèrement la porte pour voir s’il n’y a personne puis sort discrètement. Je me réajuste aussi et attends un peu assis sur la cuvette des toilettes et à mon tour je sors mais au moment de sortir, ma sœur me lance un regard noir depuis sa place. Je lui souris. Je vais me servir un verre de punch et pars dehors fumer une cigarette. A ce moment-là, Simon sort lui aussi pour fumer et vient à mes côtés. Nous ne sommes que tous les deux et nous nous sourions. Mais la tranquillité n’est pas restée bien longtemps car ma très chère sœur qui ne peut pas se mêler de son cul vient vers nous.
-Père Simon, je suis au courant pour vous et mon frère.
-Putain, Amélia, tu ne peux pas t’occuper de ton cul ! Je t’adore mais là, tu vas trop loin.
-Excusez-moi Amélia, mais pouvez-vous juste ne rien dire s’il vous plaît ?
-Je ne dirais rien à personne mais ce que vous faites est très mal.
-Amélia, s’il te plaît on sait très bien que ce n’est pas bien mais tu ne sais pas ce qui se passe donc gardes ça pour toi.
-Ok , ok, mais je t’aurais prévenu. Tu es adulte alors je vous laisse mais je n’approuve pas.
-Merci, Amélia, nous vous remercions énormément.
Elle me regarde et repart dans la salle, parle à mon beau frère et va dire aurevoir aux mariés et s’en va. Je regarde Simon et lui souris.
-Je n’ai pas envie de dormir seul ce soir, lui dis-je.
-Moi non plus mais demain, du moins tout à l’heure je me lève de bonne heure car il y a messe à 11h. Et si je dors chez toi, j’ai plus de vingt minutes de route pour revenir.
-Ok je comprends. Tu viens après alors ?
-J’ai une meilleure idée. Tu dors dans avec moi au Presbytère. Comme ça, je serais à cinq minutes à pied de l’église.
-T’es sûr de toi ?
-Je n’ai jamais été aussi sûr. Je vais partir maintenant et je t’envoie mon adresse sur ton téléphone ok. Comme ça tu me rejoints mais pas en même temps ok ?
-Bien chef.
-Je vais dire aurevoir et je te dis à tout à l’heure.
Je le regarde partir et je souris bêtement. Je repars dans la salle m’asseoir quelques minutes et commencer à dire aurevoir à mon tour. Ma cousine (la mariée) me demande si je reviens demain et lui réponds que je ne sais pas encore. Je reçois le message de Simon qui me donne son adresse et m’explique que la porte d’entrée sera ouverte et qu’il m’attend dans la chambre car il est fatigué et surtout que je n’oublie pas de fermer à clé en rentrant. Je pars et je mets le GPS en route. J’arrive devant sa maison, je me gare et rentre discrètement sans faire de bruit. Je ne veux pas allumer toutes les lumières pour ne pas le réveiller du coup j’allume ma lampe du téléphone. J’avance doucement pour trouver la chambre et ça y est, il est là, allongé nu sur son lit avec la couverture à ses pieds. Qu’il est beau. Je me déshabille doucement et je vais de l’autre côté du lit pour m’installer. J’essaie de faire le moins de bruit possible mais je me cogne le pied contre le lit qui me fait pousser un petit cri. Il se retourne et allume la lampe de chevet.
-Te voilà enfin ?
-Oui désolé mais comme j’ai bu, je suis allé doucement.
-Viens vite te mettre au lit.
Je m’allonge à mon tour et il me prend dans ses bras pour m’embrasser. Nous nous caressons mutuellement. Il vient s’allonger sur moi et je passe mes jambes autour de sa taille. Il me regarde et je sens sa queue déjà gonfler contre mes fesses. Il commence à faire des petits à-coups et son gland comme à rentrer puis sa queue glisse en moi une fois de plus mais cette fois-ci je ne me retiens pas de gémir ce qui le fait sourire en me disant que cette fois je peux me lâcher. Je mets mes mains sur ses fesses pour lui montrer qu’il peut y aller bien fort ce qu’il fait. Il me pilonne comme un fou et je crie de plus en plus fort. Il n’a pas mis longtemps à jouir en moi. Il m’a quand même baisé trois fois depuis le milieu d’après-midi. Il reste encore un peu en moi puis s’écroule de fatigue sur moi. Il me tourne sur le côté et me prends dans ses bras en me faisant des baisers tendres dans le cou et ne met pas longtemps à s’endormir. Et de mon côté, j’ai trop bu, je suis fatigué et je m’endors également.
Lorsque je me réveille, je regarde à côté de moi mais personne. Je regarde mon téléphone et il est 11h30. Je me lève avec un mal de crâne abominable et je trouve la cuisine. Sur la table, se trouve un cachet pour la tête et un petit mot : « Bonjour mon Beau. J’espère que tu as bien dormi ? Je t’ai préparé un cachet d’aspirine au cas où et fais comme chez toi. Le café est tout prêt si tu en veux. Je suis de retour vers 12h30. Bisous mon Beau et à tout à l’heure. » Je souris et prends mon cachet puis me sers en café. 1h à attendre…
Fin du chapitre 3.
Je le regarde avec un grand sourire, l’attrape par la main et l’embrasse.
-Je suis clean, j’ai eu mes résultats de tests que je viens de faire et tout va bien ok ? C’était vraiment génial. Tu n’as pas aimé ?
-Si, si bien sûr que si. C’était même fantastique.
Je suis passé dans les toilettes pour me nettoyer un peu et nous nous sommes rhabillés.
-Mon Père, c’est comme ça que je dois t’appeler maintenant ?
-T’es bête.
-Il va falloir que je te laisse, ils vont se demander où je suis. On se voit demain soir ?
-On va même se voir avant car les mariés m’ont laissé un carton d’invitation pour le mariage.
-Je ne suis même pas étonné venant de ma famille assez pieuse.
-Parce qu’en plus, ils sont de ta famille.
-Eh oui.
Il m’embrasse à nouveau passionnément et nous reprenons chacun de notre côté le chemin de la salle de réception.
J’arrive à la salle où tout le monde boit déjà un verre de champagne. Ma sœur me voit arriver et me prend à part pour me demander où j’étais.
-Ben j’ai pris le temps de fumer un coup c’est tout.
-Une clope de plus d’une demi-heure ? Ça à l’air d’aller mieux toi ?
Au même moment je vois Simon arriver en passant près de nous. Il me regarde et me fait un grand sourire ce auquel je réponds aussi. Ma sœur me regarde faire et me dit :
-Tu connais le Père Simon ?
-Ben non, pourquoi ?
-Par rapport au sourire que vous venez de vous faire, on dirait le contraire.
-Je te promets que non.
-Tu me caches quelque chose toi et j’espère que tu me le diras.
Elle me laisse là en plan et je vais prendre un verre de champagne pour essayer de me détendre. J’essaie aussi de voir où est Simon et une fois que je le repère, je ne le quitte pas des yeux et apparemment lui fait la même chose de son côté. Les gens viennent discuter avec moi mais je suis ailleurs. J’essaie de me rapprocher un peu car il discute maintenant vers mon oncle et ma tante. Je viens leur dire bonjour et je salue Simon comme si de rien n’était. Je me place juste à ses côtés et nous discutons des mariés puis du fait qu’il vient de célébrer son premier mariage depuis qu’il s’est installé ici. J’apprends donc qu’il est prêtre depuis trois ans et qu’auparavant, il a passé un diplôme universitaire d'études théologiques durant six années. Je suis de plus en plus intéressé par ce qu’il dit et cela me permet d’en savoir plus sur lui. Je fais semblant de bouger et nos bras se touchent légèrement. J’en ai les poils qui se hérissent tellement il me fascine.
La mariée arrive vers nous, je la salue et elle s’accapare ensuite de Simon qui disparaît de ma vue. L’apéritif s’éternise un peu mais en attendant, je vais voir où je suis installé et où se trouve Simon. Ce sont des tables rondes et nous sommes huit par table. Je trouve enfin mon nom. Je me retrouve avec ma sœur et son mari, deux de mes cousines, un de mes cousins et sa compagne et super Simon se trouve en face de moi. Merde, il est placé entre mes deux cousines qui ne vont pas arrêter de lui parler. Discrètement, je déplace un peu tout le monde et le place juste à côté de moi. Je suis fou de faire ça mais je m’en fiche, au moins, il sera près de moi-même si je ne peux pas le toucher. Du coup, je me retrouve avec ma sœur sur ma gauche et Simon à ma droite. Je souris de ce que je viens de faire et repars prendre une coupe de champagne puis me dirige discuter avec mes parents.
Une heure et demi plus tard, nous regagnons les tables pour le repas. Tout le monde s’installe et je regarde d’un air amusé Simon arriver et sourire en voyant où il est placé. Il s’assoit et commence à discuter avec mon cousin de politique ce que je trouve assez barbant à vrai dire. Nous sommes assez serrés à table du coup, je rapproche ma jambe de la sienne et la colle à lui. Il discute toujours et je sens que sa jambe appuie elle aussi contre la mienne. Pendant ce temps-là, je discute avec une de mes cousines qui se trouve en face de moi. Nous commençons à manger, boire et rire les uns avec les autres. Je parle de temps en temps avec Simon pour ne pas éveiller les soupçons en le vouvoyant. Je fais tomber ma serviette qui se trouvait sur mes genoux et me baisse pour la ramasser. Je me relevant, je pose discrètement ma main sur le haut de la cuisse de Simon en la faisant glisser rapidement jusqu’à son entrejambe. Cela a duré un quart de seconde mais cela l’a surpris et il a légèrement sursauter en faisant tomber sa fourchette dans son assiette. Je souris lorsqu’il m’a mis un petit coup de coude contre le mien. Au moment où les entrées ont été desservies, ma sœur me pris par le bras et me dit de venir avec elle dehors pour fumer une cigarette. Je la suis donc et lorsque nous sommes dehors seuls, elle me dit :
-Tu joues à quoi là ?
-Comment ça ? Je ne comprends pas ce que tu veux me dire.
-Tu joues à quoi avec le Père Simon ?
-Ben à quoi veux-tu que je joue avec ? Je ne le connais que depuis aujourd’hui.
-Tu te fiches vraiment de moi ? Tu crois que je n’ai pas vu que tu avais changé les chevalets de la table et surtout le pire de tout, c’est ta main tout à l’heure sur lui. Tu te rends compte que c’est un prêtre ? Non mais attends, c’est lui la personne que tu as rencontrée ?
-Fermes-la s’il te plaît Anne !
-Non, mais je n’y crois pas ! Tu te rends compte qu’en tant que prêtre il doit rester célibataire ?
-Mais parce que tu crois que je savais qu’il était prêtre ? Je ne l’ai découvert que cet après-midi durant la cérémonie à l’église. C’est pour ça que j’étais mal à l’église.
-Et ça dure depuis quand ?
-On s’est rencontré il y a une semaine et je crois que j’ai eu le coup de foudre pour lui.
-Tu plaisantes ?
-Non, pas du tout. C’est la première fois que je ressens ça pour quelqu’un.
-Ne me dis pas que tous les deux vous avez …
-Je ne le dis pas alors.
J’écrase ma cigarette et la laisse en plan en train de finir la sienne. Je retourne à table et la fin du repas arrive. La soirée continue et je bois un peu plus qu’à l’ordinaire en faisant des regards insistés auprès de Simon qui me fixe lui aussi. La musique est là et je pars danser avec mes cousines. Je me déchaîne sur la piste et Simon me regarde toujours avec insistance lui aussi. Vers 3h du matin, certaines personnes sont déjà parties. Il y a pas mal de monde en moins dans la salle. Je suis pas mal éméché alors je passe devant mon amant en lui faisant comprendre de me rejoindre dans les toilettes. Je m’enferme dans la cabine pour personnes handicapées et j’attends. J’attends même plus de dix minutes sans que personnes ne viennent. Puis j’entends la porte s’ouvrir. J’entrouvre la mienne et je le vois. J’ouvre la porte en grand et il me rejoint. Je l’attrape par le bras, referme à clé et le pousse contre le mur pour l’embrasser avec passion. Je me mets à genoux directement et déboutonne son pantalon que je fais descendre en bas de ses jambes ainsi que son caleçon. Il a un début d’érection et je prends sa queue en bouche immédiatement pour la faire grossir. Hummmm qu’est-ce que j’aime sa queue. Je le suce rapidement en essayant de faire le moins de bruit possible. Je le prendre en gorge profonde puis c’est lui qui commence à prendre les devant en faisant des allers retours dans ma bouche et ma gorge. Je sors ma queue de mon pantalon et commence à me branler à mon tour. Je suis trop excité par cette situation. Le fait de savoir que l’on peut nous surprendre m’excite de plus en plus. D’un seul coup, il m’attrape par le bras, me baisse mon pantalon et shorty puis me colle face au mur et viens se coller contre moi. Il appuie sa bite contre mon cul et la rentre facilement. La baise de cet après-midi a bien fait son travail. Il met sa main contre ma bouche et me dit doucement au creux de l’oreille :
-Ton regard toute la soirée m’a bien excité ainsi que ta main sur ma queue pendant le repas et ta jambe contre la mienne. C’est bien ça que tu voulais : tu as envie de moi, hein ?
Je fais oui de la tête et il se met à me mettre de grands coups de reins qui me font couiner de plaisir. Mais je dois faire attention quand même de ne pas faire trop de bruit malgré mon excitation. Il alterne entre douceur et rapidité. Je sens ses couilles taper mon cul à chaque coup de reins. Il enserre mes hanches avec ses grandes mains et de mon côté, je me branle en même temps. Je n’en peux plus et je largue tout mon jus contre le mur. Il s’approche à nouveau de mon oreille et me dit qu’il ne va pas tarder à jouir lui aussi et me demande si je veux son jus bien en moi ou si je le veux en bouche ? Pour seule réponse, je le repousse légèrement et me mets à genoux en le regardant. Il sourit alors j’ouvre la bouche et tire la langue pour lui faire comprendre ce que je veux vraiment. Il me regarde, prend sa queue en main et se branle un peu. Ma langue touche son gland pour le titiller et le faire jouir plus rapidement. Il entrouvre la bouche et je sens que c’est le moment alors je prends sa queue en bouche que je suce avec gourmandise et lorsque je sens le premier jet de son jus, je la prends en fond de gorge pour tout avaler. Il gémit en silence et il me remplit bien la bouche. Une fois la jouissance terminée, je le suce à nouveau pour ne pas en perdre une seule goutte. Je le suce encore par gourmandise car sa queue ne débande pas. Il m’aide ensuite à me relever, me colle le dos au mur et vient m’embrasser et me dit :
-Je te jure, tu vas me rendre dingue. Je n’ai jamais connu ça auparavant mais je ne veux pas non plus arrêter ce qui se passe.
-Moi non plus. Bon rhabilles-toi et sors le premier. Je sortirai d’ici cinq minutes pour que l’on ne se doute de rien.
-Ok.
Il se rhabille donc et ouvre légèrement la porte pour voir s’il n’y a personne puis sort discrètement. Je me réajuste aussi et attends un peu assis sur la cuvette des toilettes et à mon tour je sors mais au moment de sortir, ma sœur me lance un regard noir depuis sa place. Je lui souris. Je vais me servir un verre de punch et pars dehors fumer une cigarette. A ce moment-là, Simon sort lui aussi pour fumer et vient à mes côtés. Nous ne sommes que tous les deux et nous nous sourions. Mais la tranquillité n’est pas restée bien longtemps car ma très chère sœur qui ne peut pas se mêler de son cul vient vers nous.
-Père Simon, je suis au courant pour vous et mon frère.
-Putain, Amélia, tu ne peux pas t’occuper de ton cul ! Je t’adore mais là, tu vas trop loin.
-Excusez-moi Amélia, mais pouvez-vous juste ne rien dire s’il vous plaît ?
-Je ne dirais rien à personne mais ce que vous faites est très mal.
-Amélia, s’il te plaît on sait très bien que ce n’est pas bien mais tu ne sais pas ce qui se passe donc gardes ça pour toi.
-Ok , ok, mais je t’aurais prévenu. Tu es adulte alors je vous laisse mais je n’approuve pas.
-Merci, Amélia, nous vous remercions énormément.
Elle me regarde et repart dans la salle, parle à mon beau frère et va dire aurevoir aux mariés et s’en va. Je regarde Simon et lui souris.
-Je n’ai pas envie de dormir seul ce soir, lui dis-je.
-Moi non plus mais demain, du moins tout à l’heure je me lève de bonne heure car il y a messe à 11h. Et si je dors chez toi, j’ai plus de vingt minutes de route pour revenir.
-Ok je comprends. Tu viens après alors ?
-J’ai une meilleure idée. Tu dors dans avec moi au Presbytère. Comme ça, je serais à cinq minutes à pied de l’église.
-T’es sûr de toi ?
-Je n’ai jamais été aussi sûr. Je vais partir maintenant et je t’envoie mon adresse sur ton téléphone ok. Comme ça tu me rejoints mais pas en même temps ok ?
-Bien chef.
-Je vais dire aurevoir et je te dis à tout à l’heure.
Je le regarde partir et je souris bêtement. Je repars dans la salle m’asseoir quelques minutes et commencer à dire aurevoir à mon tour. Ma cousine (la mariée) me demande si je reviens demain et lui réponds que je ne sais pas encore. Je reçois le message de Simon qui me donne son adresse et m’explique que la porte d’entrée sera ouverte et qu’il m’attend dans la chambre car il est fatigué et surtout que je n’oublie pas de fermer à clé en rentrant. Je pars et je mets le GPS en route. J’arrive devant sa maison, je me gare et rentre discrètement sans faire de bruit. Je ne veux pas allumer toutes les lumières pour ne pas le réveiller du coup j’allume ma lampe du téléphone. J’avance doucement pour trouver la chambre et ça y est, il est là, allongé nu sur son lit avec la couverture à ses pieds. Qu’il est beau. Je me déshabille doucement et je vais de l’autre côté du lit pour m’installer. J’essaie de faire le moins de bruit possible mais je me cogne le pied contre le lit qui me fait pousser un petit cri. Il se retourne et allume la lampe de chevet.
-Te voilà enfin ?
-Oui désolé mais comme j’ai bu, je suis allé doucement.
-Viens vite te mettre au lit.
Je m’allonge à mon tour et il me prend dans ses bras pour m’embrasser. Nous nous caressons mutuellement. Il vient s’allonger sur moi et je passe mes jambes autour de sa taille. Il me regarde et je sens sa queue déjà gonfler contre mes fesses. Il commence à faire des petits à-coups et son gland comme à rentrer puis sa queue glisse en moi une fois de plus mais cette fois-ci je ne me retiens pas de gémir ce qui le fait sourire en me disant que cette fois je peux me lâcher. Je mets mes mains sur ses fesses pour lui montrer qu’il peut y aller bien fort ce qu’il fait. Il me pilonne comme un fou et je crie de plus en plus fort. Il n’a pas mis longtemps à jouir en moi. Il m’a quand même baisé trois fois depuis le milieu d’après-midi. Il reste encore un peu en moi puis s’écroule de fatigue sur moi. Il me tourne sur le côté et me prends dans ses bras en me faisant des baisers tendres dans le cou et ne met pas longtemps à s’endormir. Et de mon côté, j’ai trop bu, je suis fatigué et je m’endors également.
Lorsque je me réveille, je regarde à côté de moi mais personne. Je regarde mon téléphone et il est 11h30. Je me lève avec un mal de crâne abominable et je trouve la cuisine. Sur la table, se trouve un cachet pour la tête et un petit mot : « Bonjour mon Beau. J’espère que tu as bien dormi ? Je t’ai préparé un cachet d’aspirine au cas où et fais comme chez toi. Le café est tout prêt si tu en veux. Je suis de retour vers 12h30. Bisous mon Beau et à tout à l’heure. » Je souris et prends mon cachet puis me sers en café. 1h à attendre…
Fin du chapitre 3.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Fantasme ou réalité, je préférerais que ce soit une réalité pour chacun de vous deux. Quoi qu'il soit votre histoire me fait vibrer dans tous mes sens d'autant plus que chaque rencontre des plus intimes est empreinte de sensualité, de douceur, d'Amour et de relation partagé e et mutuellement respectueuse. Quant au reste, au diable les conventions et tenons nous en aux plaisirs charnels qui laissent libre cours à l'instinct animal et à nos hormones qui est en chacun de nous.
Un récit bien mené et très excitant. J'aime beaucoup les relations entre les personnages, les désirs assouvis, les interdits transgressés. Le plaisir entre hommes. J'ai également écrit un récit avec un prêtre inspiré par un roman classique.
