Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 5.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 5.
Après notre matinée de travail, on recroise Roberto au resto routier.
Il vient manger avec nous et en fin de repas, nous annonce qu'il a parlé de moi à ses potes.
Il nous propose une soirée, deux jours plus tard.
"Tu préfères quoi ? A l'appartement ou sur l'aire de repos ?".
"Franchement ! A l'appart, on sera plus à l'aise ! j'ai peur que ça manque de discrétion sur votre aire !".
"Super ! Tu me rejoins au camion ? Tu me fais une gâterie et je t'offre ton dessert !".
Antoine me rassure en disant:
"Amuses-toi ! Tu me raconteras !".
"Merci ! Vas y, Roberto, je te rejoins !".
En montant dans son gros semi remorque, je vois qu'il est encore prêt, avec la bite entre les doigts.
"Hummm, j'ai déjà hâte de te jouir dans la bouche ! T'as envie, toi aussi ?".
"Oui ! J'avoue que j'adore te sucer !".
"Montres moi à quel point !".
Ma bouche s'enfonce lentement sur son gros gland.
Je coulisse longuement sur sa queue, de bas en haut, je n'oublie pas ses couilles que je gobe en les léchant de ma langue.
"Ohhhh ! T'es une salope géniale ! J'adore ta façon de me bouffer la bite ! Putain ! C'est bon !".
Je joue avec chaque centimètre de son long membre, j'aime le faire gémir sous mes succions et mes coups de langue vicieux.
Ce plaisir dure vingt minutes, qui m'excitent et me régalent cérébralement.
Je reconnais le gout de son sperme, puis une secousse dans sa verge qui expulse un autre jet de foutre chaud et salé.
Il râle très fort. Je sais que ce n'est que le début de son plaisir.
Les flots se déversent encore abondamment dans ma gorge, sous ses gémissements et ses commentaires vicieux.
Il aime m'entendre avaler son jus en faisant de nombreux bruits de gorge.
"Mmmm ! Glllllllllrp ! Gllllllllllllrp ! Mmmm ! Glllllllllrp ! Gllllllllllllrp !".
"Ahhhhhhhhhhhh ! Continues, il y en a encore ! Salope !".
"Glllllllllrp ! Gllllllllllllrp ! Mmmmmmmmmm !".
J'attend le calme qui va gagner sa bite, en cessant de la secouer de spasmes d'éjections.
Enfin, il se détend, son souffle se fait moins rapide.
Il me caresse la joue, alors que je suis encore enfoncé sur sa queue.
"Ahhh ! Merci Pascal ! Tu m'as bien vidé les couilles encore ! Vivement Jeudi, que je t'encule comme tu le mérites !".
"Merci ! A toi aussi ! J'adore vraiment te sucer ! Tu gicles toujours aussi autant de sperme ?".
"Oui, t'aimes ça ?".
"J'adore !".
"Tant mieux ! Tu peux me sucer, quand tu veux !".
"Humm ! Je dis pas non ! Bon, je dois retourner voir Antoine, on doit aller bosser !".
Au resto, Antoine est au comptoir, il a déjà payé la note et récupéré la facture.
Il me demande de lui raconter ma fellation, puis sur le chantier, il craque, et m'encule dans une pièce, sur une table qui nous sert d'établi de fortune.
Je reprend ma tâche ensuite, avec une sérieuse gêne anale.
Il rit en m'entendant courir pour aller me vider de mes pulsions de rejets de jus et de sperme, aux toilettes.
Vers 17 heures, nous rentrons nous laver ensemble.
C'est à nouveau un moment de partage de caresses mutuelles, sous prétexte de laver l'autre.
Nous échangeons de plus en plus de baisers.
Inévitablement, je lui offre ma bouche, sa grosse verge glisse entre mes lèvres délicieusement.
Nos ébats deviennent sensuels.
Puis, je me dresse, et me retourne pour lui tendre mes fesses.
Il pose ses deux mains de chaque coté de mes hanches et se fraie un chemin dans mon anus déjà lubrifié de savon doux.
Je suis saisi d'un long râle de plaisir, il me comble si bien.
Il coulisse dans mon anus lentement en me mordant le cou.
"Arhhhhhhhhhhh ! Antoine, c'est si bon !".
Je m'abandonne totalement, j'aime son élan de tendresse.
Plus il me possède, et plus, il est pris de fougue amoureuse.
Ses mouvements deviennent plus puissants et plus profonds.
Au bout de vingt minutes, il me soulève le cul, à chaque coup de queue.
"Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Putain ! Pascal, tu me rend fou ! Je... je... Arhhhhhhhhhhhhhh !".
Il jouit dans un râle proche du grognement animal.
J'ai orgasmé moi aussi, je le laisse retrouver un semblant de lucidité.
Il me couvre de petits baisers sur les joues et le cou par derrière.
"Antoine, je devrais peut être le garder pour moi, mais je sais que tu m'aimes !".
"Ah, t'as deviné !".
"Oui, et tu l'as dit en rêvant cette nuit, aussi !".
"Bon, ça m'arrange que tu le saches ! Plus besoin de me retenir ! Je t'aime ! Putain, ça me fait drôle de dire ça à un mec !".
"J'aurai jamais dû te sucer la première fois !".
"Non, moi, je regrette pas ! C'est arrivé, c'est comme ça ! J'ai eu un coup de foudre ! Ca se commande pas ! Tu me fais du bien ! Tu peux pas savoir à quel point !".
"Mais pourquoi ? Tu m'aimes ? Pourtant, je suis une vraie salope ! Qu'est-ce que tu aimes chez moi ?".
"T'es un super mec ! T'es gentil, super mignon ! Je trouve qu'on s'entend super bien ensemble, on ne se fâche jamais ! et en plus, j'ai jamais pris autant de plaisir avec un mec ! Même avec une femme ! Je suis mieux dans ton cul, que dans une chatte ! Et ton coté salope ! je l'adore aussi, c'est excitant ! Moi aussi, je suis pervers et on est complice, grâce à ça ! Tout me plait chez toi ! Ton corps, ta bouche, ton sourire, ton intelligence, ta manière de jouir ! Et ton cul ! Je l'aime comme un fou ! J'en rêve la nuit, tu l'as vu ! Tu me rends dingue ! Je t'aime comme j'ai jamais aimé personne !".
Je suis tétanisé par cette déclaration, mes yeux s'embuent de larmes.
Je me colle à ses pectoraux et je pleure sur lui en le serrant dans mes bras.
"Je te demande pardon, Antoine ! Je voulais pas ça ! Je sais que je vais te faire du mal, maintenant ! Pardon ! Pardon !".
"Eh, ca va ! T'inquiètes pas ! Tu m'as fait prendre conscience que je préfères les hommes, c'est un gros progrès pour moi. Bon, je t'avoue que si tu avais une paire de nichons, ce serait parfait !".
Je ris, en l'imaginant m'enculer tout en me branlant une hypothétique paire de seins.
Il vient manger avec nous et en fin de repas, nous annonce qu'il a parlé de moi à ses potes.
Il nous propose une soirée, deux jours plus tard.
"Tu préfères quoi ? A l'appartement ou sur l'aire de repos ?".
"Franchement ! A l'appart, on sera plus à l'aise ! j'ai peur que ça manque de discrétion sur votre aire !".
"Super ! Tu me rejoins au camion ? Tu me fais une gâterie et je t'offre ton dessert !".
Antoine me rassure en disant:
"Amuses-toi ! Tu me raconteras !".
"Merci ! Vas y, Roberto, je te rejoins !".
En montant dans son gros semi remorque, je vois qu'il est encore prêt, avec la bite entre les doigts.
"Hummm, j'ai déjà hâte de te jouir dans la bouche ! T'as envie, toi aussi ?".
"Oui ! J'avoue que j'adore te sucer !".
"Montres moi à quel point !".
Ma bouche s'enfonce lentement sur son gros gland.
Je coulisse longuement sur sa queue, de bas en haut, je n'oublie pas ses couilles que je gobe en les léchant de ma langue.
"Ohhhh ! T'es une salope géniale ! J'adore ta façon de me bouffer la bite ! Putain ! C'est bon !".
Je joue avec chaque centimètre de son long membre, j'aime le faire gémir sous mes succions et mes coups de langue vicieux.
Ce plaisir dure vingt minutes, qui m'excitent et me régalent cérébralement.
Je reconnais le gout de son sperme, puis une secousse dans sa verge qui expulse un autre jet de foutre chaud et salé.
Il râle très fort. Je sais que ce n'est que le début de son plaisir.
Les flots se déversent encore abondamment dans ma gorge, sous ses gémissements et ses commentaires vicieux.
Il aime m'entendre avaler son jus en faisant de nombreux bruits de gorge.
"Mmmm ! Glllllllllrp ! Gllllllllllllrp ! Mmmm ! Glllllllllrp ! Gllllllllllllrp !".
"Ahhhhhhhhhhhh ! Continues, il y en a encore ! Salope !".
"Glllllllllrp ! Gllllllllllllrp ! Mmmmmmmmmm !".
J'attend le calme qui va gagner sa bite, en cessant de la secouer de spasmes d'éjections.
Enfin, il se détend, son souffle se fait moins rapide.
Il me caresse la joue, alors que je suis encore enfoncé sur sa queue.
"Ahhh ! Merci Pascal ! Tu m'as bien vidé les couilles encore ! Vivement Jeudi, que je t'encule comme tu le mérites !".
"Merci ! A toi aussi ! J'adore vraiment te sucer ! Tu gicles toujours aussi autant de sperme ?".
"Oui, t'aimes ça ?".
"J'adore !".
"Tant mieux ! Tu peux me sucer, quand tu veux !".
"Humm ! Je dis pas non ! Bon, je dois retourner voir Antoine, on doit aller bosser !".
Au resto, Antoine est au comptoir, il a déjà payé la note et récupéré la facture.
Il me demande de lui raconter ma fellation, puis sur le chantier, il craque, et m'encule dans une pièce, sur une table qui nous sert d'établi de fortune.
Je reprend ma tâche ensuite, avec une sérieuse gêne anale.
Il rit en m'entendant courir pour aller me vider de mes pulsions de rejets de jus et de sperme, aux toilettes.
Vers 17 heures, nous rentrons nous laver ensemble.
C'est à nouveau un moment de partage de caresses mutuelles, sous prétexte de laver l'autre.
Nous échangeons de plus en plus de baisers.
Inévitablement, je lui offre ma bouche, sa grosse verge glisse entre mes lèvres délicieusement.
Nos ébats deviennent sensuels.
Puis, je me dresse, et me retourne pour lui tendre mes fesses.
Il pose ses deux mains de chaque coté de mes hanches et se fraie un chemin dans mon anus déjà lubrifié de savon doux.
Je suis saisi d'un long râle de plaisir, il me comble si bien.
Il coulisse dans mon anus lentement en me mordant le cou.
"Arhhhhhhhhhhh ! Antoine, c'est si bon !".
Je m'abandonne totalement, j'aime son élan de tendresse.
Plus il me possède, et plus, il est pris de fougue amoureuse.
Ses mouvements deviennent plus puissants et plus profonds.
Au bout de vingt minutes, il me soulève le cul, à chaque coup de queue.
"Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Putain ! Pascal, tu me rend fou ! Je... je... Arhhhhhhhhhhhhhh !".
Il jouit dans un râle proche du grognement animal.
J'ai orgasmé moi aussi, je le laisse retrouver un semblant de lucidité.
Il me couvre de petits baisers sur les joues et le cou par derrière.
"Antoine, je devrais peut être le garder pour moi, mais je sais que tu m'aimes !".
"Ah, t'as deviné !".
"Oui, et tu l'as dit en rêvant cette nuit, aussi !".
"Bon, ça m'arrange que tu le saches ! Plus besoin de me retenir ! Je t'aime ! Putain, ça me fait drôle de dire ça à un mec !".
"J'aurai jamais dû te sucer la première fois !".
"Non, moi, je regrette pas ! C'est arrivé, c'est comme ça ! J'ai eu un coup de foudre ! Ca se commande pas ! Tu me fais du bien ! Tu peux pas savoir à quel point !".
"Mais pourquoi ? Tu m'aimes ? Pourtant, je suis une vraie salope ! Qu'est-ce que tu aimes chez moi ?".
"T'es un super mec ! T'es gentil, super mignon ! Je trouve qu'on s'entend super bien ensemble, on ne se fâche jamais ! et en plus, j'ai jamais pris autant de plaisir avec un mec ! Même avec une femme ! Je suis mieux dans ton cul, que dans une chatte ! Et ton coté salope ! je l'adore aussi, c'est excitant ! Moi aussi, je suis pervers et on est complice, grâce à ça ! Tout me plait chez toi ! Ton corps, ta bouche, ton sourire, ton intelligence, ta manière de jouir ! Et ton cul ! Je l'aime comme un fou ! J'en rêve la nuit, tu l'as vu ! Tu me rends dingue ! Je t'aime comme j'ai jamais aimé personne !".
Je suis tétanisé par cette déclaration, mes yeux s'embuent de larmes.
Je me colle à ses pectoraux et je pleure sur lui en le serrant dans mes bras.
"Je te demande pardon, Antoine ! Je voulais pas ça ! Je sais que je vais te faire du mal, maintenant ! Pardon ! Pardon !".
"Eh, ca va ! T'inquiètes pas ! Tu m'as fait prendre conscience que je préfères les hommes, c'est un gros progrès pour moi. Bon, je t'avoue que si tu avais une paire de nichons, ce serait parfait !".
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire , surtout le début avec le routier dans son camion .
Je suis moi même ancien routier , et ne compte pas le nombre de mecs que j'ai baisé et me suis fais baiser , et oui j'étais versatile . Sur les aires de repos je draguais les mecs dans les toilettes ou les bois autour , lors ce qu'un mec me plaisait bien je l'invitais dans ma cabine et une fois les rideaux tiré et à poil c'était parti pour une branlette , sucette et bonne baise , Souvent chacun son tour . Ils arrivait que cela se reproduise plusieurs fois lors ce que le partenaire voulait passer la nuit avec moi .
Je suis moi même ancien routier , et ne compte pas le nombre de mecs que j'ai baisé et me suis fais baiser , et oui j'étais versatile . Sur les aires de repos je draguais les mecs dans les toilettes ou les bois autour , lors ce qu'un mec me plaisait bien je l'invitais dans ma cabine et une fois les rideaux tiré et à poil c'était parti pour une branlette , sucette et bonne baise , Souvent chacun son tour . Ils arrivait que cela se reproduise plusieurs fois lors ce que le partenaire voulait passer la nuit avec moi .