Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 8.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 8.
Je viens de surprendre Antoine qui éjaculait dans le cul d'un autre homme.
Je me découvre jaloux, nous avons une étonnante dispute, il ne me comprend pas, et moi non plus.
Je n'ai pas le droit de lui en vouloir ! Puisque, je refuse de m'engager avec lui.
Il ne cesse de me dire qu'il m'aime et qu'il n'a fait que céder à cet homme qu'il a connu avant moi et qui est venu le solliciter.
Il m'assure qu'il n'a pas pris autant de plaisir qu'avec moi.
On s'est couché en froid, surtout moi.
Puis sa douleur évidente m'a fait réfléchir.
Pourquoi je réagissais comme ça ?
Pendant la nuit, comme souvent, il est repris par ses rêves nocturnes.
J'ai le sommeil léger, et je reconnais le phénomène.
Je vérifie qu'il bande, en effet, il est très ferme.
Ses murmures sont à peine audible, mal prononcés, mais ils me confirment qu'il rêve.
Je me glisse au niveau de son sexe, puis ouvre mes lèvres pour lui servir de fourreau sexuel.
Son sexe bouge doucement dans ma gorge.
il gémit de plaisir.
Je le laisse coulisser naturellement, en essayant de ne pas le réveiller.
Je prend énormément de plaisir à lui offrir ce moment, sans qu'il ne se doute de ce qu'il vit.
Cela dure un long moment, les mouvements deviennent saccadés, ses songes plus bruyants.
Puis, d'un coup, je sens ses deux mains sur mon crâne.
Elles m'enfoncent sur son gland et il se met à râler très fort en éjaculant tout son sperme brulant dans ma bouche.
C'est son éjaculation qui l'a sorti de son rêve.
"Arhhhhhhhhh ! Mon amour ! Je t'aime ! Merci ! Mon bébé ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
J'avale longuement son jus d'amour, puis je remonte vers lui.
"Excuses-moi Antoine ! Je m'en veux pour ma réaction ! Malgré moi, j'ai des sentiments pour toi, et j'ai du mal avec ça !".
"Je t'en veux pas ! Mais j'aurais pas du baiser ce mec non plus, il me plait pas en plus ! Le principal, c'est que ce soit derrière nous ! Donc tu m'aimes ?".
"Oui, mais pas autant qu'il le faudrait, désolé !".
"Mmm, c'est pas grave ! Ca me suffit ! Hahhhhhhhhhhhhhhh ! C'était bon, j'a bien joui, je peux m'endormir ... Tu m'en veux pas...".
Il se met a bailler et replonge dans son sommeil.
La veille du dernier jour, en fin d'après-midi, à 16h30, nous attendions le patron pour faire le point.
Mais Antoine m'a sollicité, et le boss m'a surpris avec la bouche enfoncée sur sa bite.
Je suppose qu'Antoine savait ce qu'il faisait !
Il sursaute de surprise, mais Antoine lui dit:
"Venez ! Profitez-en vous aussi ! Il aime ça !".
"Vous n'êtes pas jaloux ?".
"Pas du tout ! C'est comme ça qu'on s'amuse ! Tous les deux ! Venez !".
"Alors, je ne dis pas non ! Depuis le temps que j'en ai envie !".
Il vient près de moi, qui suis agenouillé devant la bite de mon amant.
Il me présente sa bite, il est bien doté lui aussi, j'envie son compagnon !
Je lui dévore le sexe, sans oublier celui d'Antoine.
Un long moment après, Antoine me redresse et me découvre le cul.
Il écarte mes fesses en m'embrassant.
Le patron me complimente sur mes fesses rebondies, se colle derrière moi, et me lèche le cul longuement.
Il se lève et son gland gonflé trouve mon anus lubrifié.
Il me rempli le cul très lentement.
Je gémis dans la bouche d'Antoine.
Les deux hommes commencent par me posséder tendrement, puis plus puissamment.
Ils se remplacent dans mon cul et ma gorge.
Ils me défoncent à présent pendant plus d'une demi heure, avec un intermède en double anale qui excite beaucoup le patron.
"Putain, ça faisait longtemps que j'avais plus fait ça !".
C'est mon amant, Antoine qui se lâche en premier.
Son foutre chaud et salé me remplit la gorge.
Je joui analement en avalant son délicieux sperme, je pense alors que ses râles vont me manquer, ils m'excitent tellement.
Dès qu'il retrouve son esprit, il me tient fermement pour permettre au patron de m'enculer comme une salope.
Je joui une énième fois.
"J'adore le baiser ! Antoine ! Arhhh ! Si j'avais su, j'en aurais profité avant !".
"Désolé, patron ! Je pensais que vous vouliez pas tromper votre copain !".
Mon plaisir est à son paroxisme.
"Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
"Arhhhhhhhhhhh ! Moi aussi ! Arhhhhhhhhhhh !".
Nos corps se contorsionnent pour chercher à s'empaler plus profondément encore.
Il se vide complètement en moi, en me procurant mes dernières sensations de plaisir anal.
Après cet instant délicieux, Antoine demande au patron.
"Ca va ? Vous allez garder le secret avec votre copain ?".
"Oh, tu devrais savoir que les homos ne sont pas très fidèles ! Antoine ! Je pense qu'il a du faire des écarts, lui aussi ! On s'aime ! C'est le principal ! Bon, Pascal ? C'était génial ! T'es sûr de pas pouvoir rester avec nous ?".
Je lui réponds alors qu'il est encore en moi.
"Mmmm ! Oui, c'est sur ! Ma relation avec Antoine me perturbe trop ! Et je sens que ma copine s'éloigne de moi ! Je ne veux pas la perdre !".
Je regarde mon amant avec tendresse.
"Je te demande pardon ! Antoine !".
"Je comprends, mon amour !".
Le patron quitte mon anus et fait le tour du chantier, qui est pratiquement fini, avec Antoine.
Il revient et me dépose un baiser furtif sur la bouche.
Je viens de jeter des serviettes en papier, pleines de son foutre, dans la poubelle, après m'avoir essuyé le cul.
"Dommage que tu t'en ailles ! Si tu changes d'avis ! On te reprend sans problème ! Je peux t'embaucher en CDI, si tu veux ! Bon ! Merci pour ton travail ! Et pour Antoine !".
Nous avons terminé les finitions dans la matinée du vendredi, puis nous avons profité de l'après-midi pour baiser et nous aimer encore et encore.
Ce fut horrible de le voir redémarrer, les yeux pleins de larmes, malgré le fait que je lui permettais de venir me voir les Week ends, en soirée, à mon appartement.
A chaque venue, il faisait l'effort de rouler une bonne centaine de kilomètres pour me baiser.
Je devinais qu'il se soulageait d'une très longue abstinence et mon corps vivait de merveilleux moments de plaisir.
Il a fait son Coming-out auprès de ses proches, depuis le quatrième mois de notre relation.
Je ne l'ai revu que très rarement, avant que ma copine vienne vivre avec moi.
Il souffrait de ne pas pouvoir me garder pour lui.
Après notre histoire, il a eu ensuite d'autres relations, toutes homosexuelles. Ce sont les seules nouvelles que j'ai eu de lui.
C'est la seule fois que j'ai cédé à une pulsion sexuelle et fais le premier pas vers un homme.
Je ne l'ai pas regretté, mais je ne pensais pas que cela irai aussi loin.
Cette période très riche en homosexualité a eu des effets néfastes sur ma vie de couple.
Corinne était frustrée sexuellement, elle a fini par céder aux avances d'un collègue de travail et utiliser ses clés de mon appartement, pour baiser avec lui, sans peur d'être prise sur le fait.
Elle s'est lassée de lui et a recommencé avec d'autres hommes, elle avait pris gout à l'adultère !
Mais l'amour que nous partagions l'un pour l'autre était plus fort, et nous avons surmontés ces turbulences.
Quoi qu'elle ait pu faire, ce n'est pas grand chose à coté de ma relation avec Antoine.
J'ai encore la confirmation que le plaisir anal est sans limite, même si j'en éprouvais pas l'envie, il me faisait jouir encore et encore !
Quand aux fellations, je ne m'en lassais jamais ! Je les réclamais ! Surtout celles sur Roberto !
Même Antoine rentrait dans ce jeu pervers du partage de mon corps.
Il m'a supplié plusieurs fois d'accepter de baiser avec un autre que lui, pour me regarder faire en se branlant.
Ses complices étaient Roberto, un routier et par deux fois, ce fut Alexandre !
Je me découvre jaloux, nous avons une étonnante dispute, il ne me comprend pas, et moi non plus.
Je n'ai pas le droit de lui en vouloir ! Puisque, je refuse de m'engager avec lui.
Il ne cesse de me dire qu'il m'aime et qu'il n'a fait que céder à cet homme qu'il a connu avant moi et qui est venu le solliciter.
Il m'assure qu'il n'a pas pris autant de plaisir qu'avec moi.
On s'est couché en froid, surtout moi.
Puis sa douleur évidente m'a fait réfléchir.
Pourquoi je réagissais comme ça ?
Pendant la nuit, comme souvent, il est repris par ses rêves nocturnes.
J'ai le sommeil léger, et je reconnais le phénomène.
Je vérifie qu'il bande, en effet, il est très ferme.
Ses murmures sont à peine audible, mal prononcés, mais ils me confirment qu'il rêve.
Je me glisse au niveau de son sexe, puis ouvre mes lèvres pour lui servir de fourreau sexuel.
Son sexe bouge doucement dans ma gorge.
il gémit de plaisir.
Je le laisse coulisser naturellement, en essayant de ne pas le réveiller.
Je prend énormément de plaisir à lui offrir ce moment, sans qu'il ne se doute de ce qu'il vit.
Cela dure un long moment, les mouvements deviennent saccadés, ses songes plus bruyants.
Puis, d'un coup, je sens ses deux mains sur mon crâne.
Elles m'enfoncent sur son gland et il se met à râler très fort en éjaculant tout son sperme brulant dans ma bouche.
C'est son éjaculation qui l'a sorti de son rêve.
"Arhhhhhhhhh ! Mon amour ! Je t'aime ! Merci ! Mon bébé ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
J'avale longuement son jus d'amour, puis je remonte vers lui.
"Excuses-moi Antoine ! Je m'en veux pour ma réaction ! Malgré moi, j'ai des sentiments pour toi, et j'ai du mal avec ça !".
"Je t'en veux pas ! Mais j'aurais pas du baiser ce mec non plus, il me plait pas en plus ! Le principal, c'est que ce soit derrière nous ! Donc tu m'aimes ?".
"Oui, mais pas autant qu'il le faudrait, désolé !".
"Mmm, c'est pas grave ! Ca me suffit ! Hahhhhhhhhhhhhhhh ! C'était bon, j'a bien joui, je peux m'endormir ... Tu m'en veux pas...".
Il se met a bailler et replonge dans son sommeil.
La veille du dernier jour, en fin d'après-midi, à 16h30, nous attendions le patron pour faire le point.
Mais Antoine m'a sollicité, et le boss m'a surpris avec la bouche enfoncée sur sa bite.
Je suppose qu'Antoine savait ce qu'il faisait !
Il sursaute de surprise, mais Antoine lui dit:
"Venez ! Profitez-en vous aussi ! Il aime ça !".
"Vous n'êtes pas jaloux ?".
"Pas du tout ! C'est comme ça qu'on s'amuse ! Tous les deux ! Venez !".
"Alors, je ne dis pas non ! Depuis le temps que j'en ai envie !".
Il vient près de moi, qui suis agenouillé devant la bite de mon amant.
Il me présente sa bite, il est bien doté lui aussi, j'envie son compagnon !
Je lui dévore le sexe, sans oublier celui d'Antoine.
Un long moment après, Antoine me redresse et me découvre le cul.
Il écarte mes fesses en m'embrassant.
Le patron me complimente sur mes fesses rebondies, se colle derrière moi, et me lèche le cul longuement.
Il se lève et son gland gonflé trouve mon anus lubrifié.
Il me rempli le cul très lentement.
Je gémis dans la bouche d'Antoine.
Les deux hommes commencent par me posséder tendrement, puis plus puissamment.
Ils se remplacent dans mon cul et ma gorge.
Ils me défoncent à présent pendant plus d'une demi heure, avec un intermède en double anale qui excite beaucoup le patron.
"Putain, ça faisait longtemps que j'avais plus fait ça !".
C'est mon amant, Antoine qui se lâche en premier.
Son foutre chaud et salé me remplit la gorge.
Je joui analement en avalant son délicieux sperme, je pense alors que ses râles vont me manquer, ils m'excitent tellement.
Dès qu'il retrouve son esprit, il me tient fermement pour permettre au patron de m'enculer comme une salope.
Je joui une énième fois.
"J'adore le baiser ! Antoine ! Arhhh ! Si j'avais su, j'en aurais profité avant !".
"Désolé, patron ! Je pensais que vous vouliez pas tromper votre copain !".
Mon plaisir est à son paroxisme.
"Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
"Arhhhhhhhhhhh ! Moi aussi ! Arhhhhhhhhhhh !".
Nos corps se contorsionnent pour chercher à s'empaler plus profondément encore.
Il se vide complètement en moi, en me procurant mes dernières sensations de plaisir anal.
Après cet instant délicieux, Antoine demande au patron.
"Ca va ? Vous allez garder le secret avec votre copain ?".
"Oh, tu devrais savoir que les homos ne sont pas très fidèles ! Antoine ! Je pense qu'il a du faire des écarts, lui aussi ! On s'aime ! C'est le principal ! Bon, Pascal ? C'était génial ! T'es sûr de pas pouvoir rester avec nous ?".
Je lui réponds alors qu'il est encore en moi.
"Mmmm ! Oui, c'est sur ! Ma relation avec Antoine me perturbe trop ! Et je sens que ma copine s'éloigne de moi ! Je ne veux pas la perdre !".
Je regarde mon amant avec tendresse.
"Je te demande pardon ! Antoine !".
"Je comprends, mon amour !".
Le patron quitte mon anus et fait le tour du chantier, qui est pratiquement fini, avec Antoine.
Il revient et me dépose un baiser furtif sur la bouche.
Je viens de jeter des serviettes en papier, pleines de son foutre, dans la poubelle, après m'avoir essuyé le cul.
"Dommage que tu t'en ailles ! Si tu changes d'avis ! On te reprend sans problème ! Je peux t'embaucher en CDI, si tu veux ! Bon ! Merci pour ton travail ! Et pour Antoine !".
Nous avons terminé les finitions dans la matinée du vendredi, puis nous avons profité de l'après-midi pour baiser et nous aimer encore et encore.
Ce fut horrible de le voir redémarrer, les yeux pleins de larmes, malgré le fait que je lui permettais de venir me voir les Week ends, en soirée, à mon appartement.
A chaque venue, il faisait l'effort de rouler une bonne centaine de kilomètres pour me baiser.
Je devinais qu'il se soulageait d'une très longue abstinence et mon corps vivait de merveilleux moments de plaisir.
Il a fait son Coming-out auprès de ses proches, depuis le quatrième mois de notre relation.
Je ne l'ai revu que très rarement, avant que ma copine vienne vivre avec moi.
Il souffrait de ne pas pouvoir me garder pour lui.
Après notre histoire, il a eu ensuite d'autres relations, toutes homosexuelles. Ce sont les seules nouvelles que j'ai eu de lui.
C'est la seule fois que j'ai cédé à une pulsion sexuelle et fais le premier pas vers un homme.
Je ne l'ai pas regretté, mais je ne pensais pas que cela irai aussi loin.
Cette période très riche en homosexualité a eu des effets néfastes sur ma vie de couple.
Corinne était frustrée sexuellement, elle a fini par céder aux avances d'un collègue de travail et utiliser ses clés de mon appartement, pour baiser avec lui, sans peur d'être prise sur le fait.
Elle s'est lassée de lui et a recommencé avec d'autres hommes, elle avait pris gout à l'adultère !
Mais l'amour que nous partagions l'un pour l'autre était plus fort, et nous avons surmontés ces turbulences.
Quoi qu'elle ait pu faire, ce n'est pas grand chose à coté de ma relation avec Antoine.
J'ai encore la confirmation que le plaisir anal est sans limite, même si j'en éprouvais pas l'envie, il me faisait jouir encore et encore !
Quand aux fellations, je ne m'en lassais jamais ! Je les réclamais ! Surtout celles sur Roberto !
Même Antoine rentrait dans ce jeu pervers du partage de mon corps.
Il m'a supplié plusieurs fois d'accepter de baiser avec un autre que lui, pour me regarder faire en se branlant.
Ses complices étaient Roberto, un routier et par deux fois, ce fut Alexandre !
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