Barbara se caresse devant mes yeux témoins...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Barbara se caresse devant mes yeux témoins... Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Barbara se caresse devant mes yeux témoins...
Barbara est loin à cet instant de remarquer que je la suis dans la rue en cet après-midi d’avril torride. Je suis à ses yeux sans importance. Un simple gamin vivant dans le quartier, pas plus que ça !
Depuis notre épisode dans la cave je n’ai pas eu la chance de renouveler ma relation avec elle. Ce n’est pas que je ne le désirais pas, tout au contraire, c’est seulement qu’elle ne c’était pas manifesté. D’ailleurs comment l’aurait-elle fait ? Puisque la seule personne capable de nous réunir, était Evelyne. Et que j’avais tout bonnement coupé les ponts avec elle. Trop dangereux à mon goût !
Mais pour l’instant, et ça avant de trouver la solution, je regarde Barbara qui marche sur le trottoir. Dont ses talons de ses escarpins claquent sur le bitume. Elle marche vite, balançant son sac dans l’air. Puis elle ouvre la porte d’un hall. A travers la baie vitrée je la vois ouvrir une porte aux lettres. Que je repère tout de suite.
J’attends qu’elle disparaisse pour venir à mon tour sur les lieux. Je ne mets pas longtemps pour faire connaissance avec son nom de famille. C’est à présent pour ma pomme, un jeu d’enfant de connaître son numéro de téléphone et ainsi pourquoi pas communiquer avec elle. Enfin si elle le désire !
Je me rends pour ça chez moi. Muni de l’annuaire je gagne ma chambre. J’ai le nom dans ma possession ainsi que le prénom. Avec tout ça je ne mets pas longtemps à connaitre son numéro de téléphone. Quelques pièces de monnaies en poche j’abandonne ma pièce préférée pour me diriger jusqu’à la première cabine téléphonique.
A la quatrième sonnerie on décroche.
-Bonjour madame !
-Bonjour, fait-elle surprise sans doute de ne pas reconnaitre la voix, qui est à l’appareil ?
-Vous ne me connaissez pas, mais je vous trouve très belle !
-Qui vous a donnez mon numéro ?
-L’annuaire madame ! Vous devez me trouver très effronté.
-Non, répond-t-elle, vous avez l’air plutôt jeune à votre voix. Mais pourquoi m’appeler ?
-A vrai dire je ne sais pas. Une pulsion !
-Dites-moi de quoi vous avez envie, alors ?
-Avez-vous un amant Barbara ? Fais-je. Ne revenant toujours pas d’avoir oser la chose.
Elle laisse passer un silence. A un tel point que j’ai eu peur qu’elle ait raccroché. Mais je n’entends pas de tonalité dans l’appareil.
-Vous êtes là Barbara ?
-Oui, je suis là ! Pourquoi cette question ?
-Je suis du genre curieux.
Elle éclate alors de rire.
-J’ai bien eu récemment une drôle de relation qui je le reconnais m’a laissé sur ma faim. A me demander même si je ne l’avais pas rêvé.
-Racontez !
-C’est que je n’ai plus de temps à vous consacrer jeune homme ! Et là elle raccroche.
Je raccroche à mon tour, il me reste alors de Barbara une image. Celle de ses jambes écartées, et de son sexe ouvert, vue grâce à la cavité dans la cave.
Au fil des coups de fils, ce jeu à l’air d’amuser Barbara, puisqu’elle se met à me raconter des aventures réelles ou non. Je pense même qu’elle me pipoter. Je pris cela sur le fait qu’elle mourait d’envie de me troubler. Et moi j’aimer ça.
Et puis voilà qu’un soir, que fut ma surprise en entrant chez moi, de voir assise Barbara dans le salon de mes parents. A ma vue ma mère fait les présentations, et m’explique que Barbara est là pour parler chiffon.
Le soir à table j’appris que Barbara a demandé à ma mère de lui confectionner une robe. Toujours aux dires de ma maman, les revenus de son mari la dispensée de travailler.
Le lendemain je suis au rendez-vous, sachant très bien que Barbara venait chez nous pour la confession de son vêtement.
Elle porte ce jour-là une robe noire, ses cheveux blonds coiffés en chignon, lui donne un joli visage. Elle se tient assise face à moi, les jambes croisées. J’ai même le loisir d’apercevoir un jupon rose dépassé de l’ourlet de sa robe.
Quand je lève les yeux jusqu’à son visage, je me rends compte qu’elle m’observe par-dessus la table, comme une caresse. Il n’y a pas à dire, je me suis fait démasquer.
Cela ne m’empêche pas d’être au rendez-vous le lendemain, et le surlendemain. Ce jour-là, Barbara est venue avec en main des gâteaux. Alors que ma mère et elle se concentrent sur les patrons de sa future robe sur la table de la salle à manger, moi, pour ma part, je me positionne à genoux devant la table basse. Cette dernière étant situé bien en face de l’endroit où Barbara à prit place.
Et très vite mon initiative longuement réfléchie, paye, puisque devant mes yeux l’ourlet de sa robe est remonté sur ses cuisses grasses. Et pour mon plus grand plaisir la coquine porte ce jour-là des bas. Très vite mon attention se fixe plus haut, sur sa petite culotte blanche et satinée. La soie est tendue à l’extrême dans l’entrejambe, à cause de la position assise. Il moule adorablement son minou. Je distingue parfaitement sans mal les deux bourrelets de la foufoune, encerclant une fente profonde qui semble aspirer le tissu.
Je suis plus que jamais absorbé par ce qu’elle m’offre. De la contemplation de ses chevilles gainée de nylon fumé, qu’elle a particulièrement fines, qu’à ses pieds chaussés d’une paire d’escarpins qui laissent à nu, le bout de ses doigts de pied peint en rouge.
Selon toute apparence, Barbara est loin de se soucier de ma présence. Je pense même qu’elle s’en amuse. Les bas qui gainent ses cuisses sont là comme pour me le démontrer. Enfin c’est moi qui le pense !
Je prends sur moi pour ne pas de me masser fermement l’entrejambe échauffé par tant d’images.
Perdu dans mes idées salaces, je sens ma queue qui devient raide. Il est temps que je trouve une solution d’urgence. Je me lève de ma place et dit à ma mère que je vais dans ma chambre. Une fois à l’abri de tous yeux indiscrets je me suis branlé.
Le hasard a fait que quelques semaines plus tard je me retrouve seul chez Barbara. Ma mère mit avait envoyé pour lui faire essayer sa robe avant de la coudre.
Barbara insiste pour qu’on s’installe dans la cuisine.
-Tu prendrais bien un soda, Alain ?
-Je ne dis pas non.
-C’est gentil de ta part de m’avoir emmené la robe. C’est que ces derniers temps, je suis très occupé.
-Oui maman m’a dit cela !
-Ta mère à vraiment des mains en or, fait-elle en dépliant la robe, et en me l’exposant, lâche. Tu la trouves belle ?
-Oui…
-Plus belle que mes jambes ?
-Je préfère vos jambes, Madame !
-Je m’incline devant ta franchise !
-C’est une qualité chez moi, Madame.
-Je préférerais que tu m’appelles Barbara.
-Comme vous voulez Barbara.
-As-tu une copine, Alain ?
-Non Barbara !
-Pourtant il parait que tu as un bon zizi !
-Pardon ! Je ne comprends pas très bien, là !
-Tu ne la jamais montré à personne.
-Je ne me rappel plus.
-Tu veux que je t’aide peut-être ?
-Je ne dis pas non !
-A ta mère.
-Ah oui, mais c’était pour un jeu…
-Mais il paraît que tu bandais dur ce soir là !
-C’était pour gagner dix balles !
-Et tu les as gagnés, à ce que je sache !
-Il faut dire que j’avais un avantage sur mes cousins.
-A entendre ta mère oui. Un très grand même…
-Grâce à ma cousine ! Fais-je.
-Comment ça ? Répond Barbara.
-J’avais préalablement doigté le cul de ma cousine. Et bien sûr mes doigts étaient souillés de son parfum.
-Tu veux me faire croire c’est ça qui ta mis dans la forme où tu étais.
-Effectivement !
-Et bien, ta mère a hormis de m’avouer cela !
-Parce qu’elle n’était pas au courant de cet épisode.
-Cela va de soit ! Sinon tu en aurais pris pour ton grade.
-Enfin, c’est Margareth ma cousine qui le désiré !
-C’est ça, oui ! Lâche-t-elle en croisant haut les jambes.
De ma place je peux admirer ses cuisses galbées et ses fesses mollement aplaties contre le formica stratifié du siège. Entre ses jambes serrées, j’aperçois un foisonnement de poils sombres.
-Ça te plaît ? Me fait-elle, croisant mon regard.
-C’est beau…
-C’est que je n’ai pas eu de relation ces derniers temps.
-Je comprends, Barbara !
-Tu comprends quoi à ton âge ? Tu sais peut-être que je me caresse pour trouver du plaisir. Cela me rappelle ma jeunesse. Insulte-moi, je t’en prie, si tu ne veux pas que je te foute dehors !
-Comme vous voulez ! Vous êtes une grosse chienne en chaleur !
Elle se pince le gras des cuisses et des fesses.
-Je veux vous voir vous caressez devant mes yeux !
-Eh bien, tu vas fort là !
-Ne parlez plus, caressez-vous plutôt !
Elle écarte les jambes, cuisses ouvertes au maximum, elle passe ses doigts dans son épaisse touffe de poils. Elle écarte sa toison. Elle sépare ses lèvres d’un rouge très sombre. Elle enfonce ses doigts, elle se branle alors que je continu à l’insulter. Elle fait durer le plaisir. Sa mouille coule entre ses fesses et tache le formica. Elle passe ses doigts gluant de jus dans sa raie et elle se tripote le trou du cul.
-Je m’encule souvent. J’ai l’anus très sensible si tu veux savoir. On est bien, hein ? fait-elle en prenant une voix langoureuse. Je ne devrais pas te le dire Alain… eh bien…ça me donne des idées ! Si tu n’étais pas le fils de ma couturière, je crois bien que je ferais des bêtises avec toi !
Ses cuisses sont impudiquement écartées, sa jupe retroussée au-dessus des genoux. Les bouts raidis de ses seins pointent sous son chandail. Et surtout je sens son odeur.
-Ta mère m’a avoué que tu te branles souvent dans ta chambre !
Elle pouffe d’une voix stridente et écarte tellement les cuisses, que je distingue nettement la fente du sexe s’ouvrir dans la tache des poils. Je me racle la gorge. Elle me raconte tout.
- Il parait que tu es un vilain garçon ! Un très vilain garçon même.
Elle a un sourire entendu. Je m’efforce de parler d’une voix normale, mais je n’y arrive pas vraiment. Elle fait entendre son rire haut perché et referme les cuisses.
-Mais, ma parole Alain, s’exclame-t-elle. Tu me regardes me branler, vilain garçon. Mais attention, je ne suis pas ta cousine. Ne compte surtout pas de me mettre ton doigt dans le cul.
De nouveau elle écarte ses cuisses. Errant ça et là, mes yeux glissent au-delà du bassin.
- Les garçons de ton âge font souvent de très vilaines choses. Lâche-telle en écartant les cuisses, offrant de nouveau son intimité à mes rétines. J’aime me balader cul nu.
Je reste en arrêt, la gorge serrée. Ne se rend-t-elle pas compte à quel point elle est indécente ? Je ne quitte pas des yeux la fente rosâtre de sa chatte. C’est incroyable qu’elle s’exhibe ainsi. J’aurais si Barbara le désirée, embrasser cette chatte, léché avec fièvre, ce morceau de viande velue et humide dont j’imagine l’odeur et le suaves coulées.
-J’ai vraiment une chatte très particulière. Oh, c’est trop indécent, je ne peux pas…
Elle rabaisse l’ourlet de sa robe, cachant l’objet velu.
-Excuse-moi Alain.
-Mais, cela ne me gêne pas du tout !
-Ah bon ! Alors…
Avec une moue coquette, elle retrousse à nouveau l’ourlet de son vêtement, très lentement, cette fois.
-Tu es sûr que cela ne t’ennuie point ?
Entre les lèvres poilues, les nymphes se disjoignent.
-Je me sens tout de même honteuse de t’exhiber mon sexe ! Se plaint-elle hypocritement.
Elle prend une voix faussement dolente, mais elle n’en continue pas moins à écarter sa vulve de ses doigts. Et là le téléphone se met à sonner. Emplissant l’appartement de sa sonnerie stridente. Comme la belle au bois dormant après le baiser, voilà Barbara quittant sa pose et bondir sur ses pieds. Se faisant, le rideau que fait sa robe, retombe sur son intimité, pour mon plus grand désarroi, et la voilà comme une somnambule s’approchée du combiné qu’elle décroche.
-Allô ! Oui il me la déposer… mais il est reparti… je ne sais pas, il m’a rien dit…oui peut-être… vous me tenez au courant…
Il est temps pour moi de quitter les lieux !

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