Beau papa 30: Michel, le frère de mon ex.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Beau papa 30: Michel, le frère de mon ex.
Beau-papa
Michel, le frère de mon ex.
Il tire son coup dans ma chatte après une bonne prestation d’une petite dizaine de minutes J’ai bien apprécié et ma foufoune aussi, toutes les deux satisfaites. Ma chatte est garnie d’une bonne dose de sperme. Le pauvre est à sec et n’arrive plus à bander. Je le congédie et ce sera la première et la dernière fois qu’il aura eu le droit de tromper Bruno et sa sœur avec moi.
Suite :
Il ne reste donc plus que Michel… Pour une fois que je voulais respecter quelqu’un dans cette famille après Jean, son père, c’est le pur hasard qui nous a un jour poussé à « la faute ».
J’attendais la visite de Claude dont j’avais fait la connaissance chez Monsieur Paul. Si vous ne voyez-pas qui c’est, il faudra relire les épisodes précédents. J’avais enlevé ma culotte et commencé à me doigter, étendue sur le divan mais pas visible depuis la porte d’entrée. Au coup de sonnette, j’ai crié : « Entre ». J’ai entendu la porte se refermer et des pas se rapprochant et quand il commence à contourner le divan, je lui ordonne :
“Mange ma chatte” en exhibant ma douce fente à sa vision, les yeux fermés, dans mon trip, en me rappelant la vision de son chibre exceptionnel dont il sait si bien se servir et que j’adore sucer.
Etonnée qu’il ne commence pas un cunnilingus comme à son habitude, j’entrouvre les yeux et découvre Michel. Décidément, l’histoire se répète… Déjà avec son père Jean qui m’avait surprise la main dans la chatte à me donner du plaisir toute seule il y a déjà quelques années, que le temps passe vite, mon Dieu. Maintenant le quiproquo se répète.
Surpris d’être découvert et se doutant que mes paroles ne s’adressaient pas à lui, il rougit, mais fait face en ne s’enfuyant pas comme un dératé. Je suis à mon tour terriblement gênée et ne trouve que la provoc pour me sortir de cette situation cocasse et scabreuse.
-Ah c’est toi, Michel ?! Tu te doutes que ce n’est pas à toi que ces paroles étaient destinées, rends-toi compte, si ça arrive aux oreilles de toute ta famille de dépravés… Si je te racontais tout ce que je sais sur eux, je suis sûre que tu ne me croirais pas et me traiterais d’affabulatrice. Regarde, ma chatte est toute mouillée, t’aimes-pas ? T’as-pas envie qu’on joue tous les deux ? Tu ne veux-pas baiser la femme de ton frère ? Allez… Montre-moi ta queue ! J’espère qu’elle est bien dure, bien grosse et que tu as tout pour satisfaire une femme.
Michel, après un moment d’hésitation, sent que c’est pas le moment de tergiverser, qu’il peut faire ce qu’il veut à sa « belle-sœur ». Il ose enfin et c’est maintenant deux doigts qui prennent possession des lieux, tandis que le pouce doigte le clitoris, en parti sorti de son capuchon.
Non seulement je me soumets à la caresse sans sourcilier, mais l’apprécie. J’ondule du bassin sur ces doigts qui me fouillent, et mes gémissements non simulés montent crescendo. Avec autorité, je pose mes doigts sur la bosse qui déforme depuis un moment déjà son pantalon, en déboutonne quelques-uns et glisse la main sur son caleçon. Sans détacher mon regard de ses beaux yeux, je plonge ma main dans le sous-vêtement et empoigne la colonne de chair que je décalotte très lentement. Michel, comme halluciné comprend que ce n’est plus un rêve. Inquiète de le voir s’enfuir, je saisis sa verge, l’extirpe d’une main experte et commence à la caresser. Michel ne pipe mot de peur de tout interrompre, appréciant ma main douce et experte en gémissant.
Je suis agréablement surprise par la taille de sa verge, fine mais longue, presque aussi longue que celle de Claude. J’accélère mon geste mais je suis déçue car il éructe déjà un jet abondant qui se répand sur mon corps. Je suis surprise par une conclusion si soudaine, mais me ressaisis et continue à lui caresser les couilles et commence à le pomper ardemment. Heureusement, il reprend assez vite du gourdin et une nouvelle jouissance arrive massive et forte, m’emplissant la bouche, j’en avale le maximum, me délectant du goût si spécifique de son sperme.
Son corps est totalement arqué et il gémit longuement. J’ai pris mon pied à lui offrir ce plaisir dont il avait manifestement tant envie mais je suis déçue d’être tombée sur un éjaculateur précoce. Le seul bon point, c’est que sans lâcher son regard, je continue lentement à masturber sa hampe généreuse qui à mon grand étonnement reprend déjà vie. Je n’ai pas lâché sa queue et je continue de le branler. Comment peut-il reprendre aussi vite du gourdin ? Il me fait mettre à genoux pour que je le suce. Je prends sa verge dans ma bouche et recommence à lui faire une fellation. Il me traite de salope et m’annonce qu’il va me la mettre dans la chatte.
Je suis trempée de mouille. Une fois qu’il est de nouveau en pleine forme, il vient se positionner contre moi, me prend dans ses bras, m’écarte les jambes et plante sa belle bite entre mes cuisses pour accéder à mon vagin. Il frotte son gland entre mes lèvres intimes. Je pourrais lui résister mais pourquoi me priver ? Son gland trouve l’entrée de mon puits d’amour et Michel pousse d’un coup sec pour s’enfoncer jusqu’aux couilles. Heureusement que sa queue n’est pas aussi épaisse que celle de Claude car elle remplit ma fontaine de plaisir. Il me lime ainsi pendant un bon moment avant de me retourner comme une crêpe et de me prendre en levrette. Ses deux précédentes éjaculations le rendent enfin un peu plus résistant. Ses couilles viennent taper contre mon pubis tout lisse. Agrippé à mes hanches charnues, il me baise comme une chienne jusqu’à ce qu’il se répande pour la troisième fois en moi. Je ressens les contractions de sa queue libérer le sperme qui m’inonde le vagin.
Les yeux clos, le corps tendu, le ventre creusé de secousses, il expulse une ultime rasade de mâle liqueur avec force.
Comme pris de remords, il se rhabille prestement et se sauve comme un voleur. Par la suite à chaque fois que nos regards se croisaient, il rougissait comme un gosse pris en faute et n’a jamais essayé de renouveler notre partie à deux.
Mais je vais donc enfin revenir au suspens laissé au début de ces nouvelles aventures. Je vous ai déjà parlé de la sœur de mon ex Bruno, Brigitte, et de son mari Anthony. Mais je ne vous ai jamais parlé de leurs jumelles. Depuis le début de cette saga, les deux filles se sont transformées en deux belles jeunes femmes dorénavant majeures. Autant l’une d’elles est extravertie, autant sa jumelle est complètement à l’opposé. Dans mes aventures, je sais que plusieurs fois, je me suis senti espionnée, est-ce l’une d’elles-ou les deux ? Je ne sais pas.
Elles sont très jolies et serviables et gardent mes enfants quand je dois m’absenter. Elles ont donc un jeu de clés de ma maison. Quand elles veulent un peu de liberté, je leur ai autorisé à profiter de la proximité de ma maison plutôt que de se payer une demi-heure de transport en commun pour retourner chez leurs parents.
Et à force de tenter le diable et par un quiproquo, comme pour leur tonton Michel, elles ont vu ce qui n’était pas prévu. J’avais invité Claude car j’avais un après-midi de libre pour une partie de jambes en l’air et nous étions en plein « travail ». Je ne les ai pas entendu entrer étant en train de faire du rodéo sur la pine de mon amant. Quand je me suis aperçue de la présence des jumelles dans l’encadrement de la porte, il était trop tard. Mais depuis combien de temps sont-elles la ?
Je reviens quelques minutes plus tôt. J’halète lourdement sur la barre de chair monstrueuse de Claude. Je sens le gland épais glisser dans ma grotte, connaissant de manière tactile la taille peu courante de son pénis, je ne crains pourtant pas qu'il me déchire. Mais comme j’aime aussi le goût de sa queue, je la retire de mon fourreau et me retourne pour lui lécher sa bite à grands coups de langue affamée. J’embouque ce véritable membre de cheval dont le gland seul remplit presque ma bouche et agace de mes ongles ses couilles et le bas de sa verge. Je le suce et le pompe avec grand art. Il profite d’une de mes fabuleuses pipes dont maintenant j’ai le secret, toujours fascinée par la monstruosité de cette bite qui m’écartèle la bouche. Je l'aspire de toutes mes forces et de ma science, masse ses couilles avec une main. Lorsqu'il s’apprête à éjaculer, je retire prestement ma bouche avec un bruit de succion.
-Je vais jouir, hurle Claude.
-Attends, jouis dans ma bouche…je veux gouter ton sperme, l’avaler.
Il se vide copieusement les couilles dans ma bouche après qu’un premier jet monstrueux a zébré son corps, je prends un réel plaisir à tout avaler, et à nettoyer le gland, puis son ventre et son torse de ses débordements spermiques. Je finis en lui prenant ses lèvres pour un sulfureux baiser.
En laissant l'énorme membre exsangue, mon regard tombe sur celui des jumelles, comme tétanisées dans l’encadrement de la porte, réalisant qu’elles ont compris à quoi j’étais occupée. Mais le plaisir que j’éprouve à sucer cette tige de chair si veloutée me rends sourde à toute intervention extérieure. Au diable les convenances, seul compte ce bourgeon de plus en plus volumineux qui m’emplit de nouveau la bouche sous ma sensuelle fellation, mes seins s'écrasant mollement sur le bas-ventre tendu de Claude, je reprends ma caresse buccale, lui malaxant doucement les couilles. C’est un véritable régal de pétrir ses bourses entièrement lisses à la douceur d'une peau de bébé. Suçant avec délice la longue bite tout en pressant les testicules dans leurs gaines de chair, je me régale. Mais pour une meilleure compréhension de la suite, je laisse la parole à Kenza ou Paloma, les jumelles.
A suivre : Kenza et Paloma
Michel, le frère de mon ex.
Il tire son coup dans ma chatte après une bonne prestation d’une petite dizaine de minutes J’ai bien apprécié et ma foufoune aussi, toutes les deux satisfaites. Ma chatte est garnie d’une bonne dose de sperme. Le pauvre est à sec et n’arrive plus à bander. Je le congédie et ce sera la première et la dernière fois qu’il aura eu le droit de tromper Bruno et sa sœur avec moi.
Suite :
Il ne reste donc plus que Michel… Pour une fois que je voulais respecter quelqu’un dans cette famille après Jean, son père, c’est le pur hasard qui nous a un jour poussé à « la faute ».
J’attendais la visite de Claude dont j’avais fait la connaissance chez Monsieur Paul. Si vous ne voyez-pas qui c’est, il faudra relire les épisodes précédents. J’avais enlevé ma culotte et commencé à me doigter, étendue sur le divan mais pas visible depuis la porte d’entrée. Au coup de sonnette, j’ai crié : « Entre ». J’ai entendu la porte se refermer et des pas se rapprochant et quand il commence à contourner le divan, je lui ordonne :
“Mange ma chatte” en exhibant ma douce fente à sa vision, les yeux fermés, dans mon trip, en me rappelant la vision de son chibre exceptionnel dont il sait si bien se servir et que j’adore sucer.
Etonnée qu’il ne commence pas un cunnilingus comme à son habitude, j’entrouvre les yeux et découvre Michel. Décidément, l’histoire se répète… Déjà avec son père Jean qui m’avait surprise la main dans la chatte à me donner du plaisir toute seule il y a déjà quelques années, que le temps passe vite, mon Dieu. Maintenant le quiproquo se répète.
Surpris d’être découvert et se doutant que mes paroles ne s’adressaient pas à lui, il rougit, mais fait face en ne s’enfuyant pas comme un dératé. Je suis à mon tour terriblement gênée et ne trouve que la provoc pour me sortir de cette situation cocasse et scabreuse.
-Ah c’est toi, Michel ?! Tu te doutes que ce n’est pas à toi que ces paroles étaient destinées, rends-toi compte, si ça arrive aux oreilles de toute ta famille de dépravés… Si je te racontais tout ce que je sais sur eux, je suis sûre que tu ne me croirais pas et me traiterais d’affabulatrice. Regarde, ma chatte est toute mouillée, t’aimes-pas ? T’as-pas envie qu’on joue tous les deux ? Tu ne veux-pas baiser la femme de ton frère ? Allez… Montre-moi ta queue ! J’espère qu’elle est bien dure, bien grosse et que tu as tout pour satisfaire une femme.
Michel, après un moment d’hésitation, sent que c’est pas le moment de tergiverser, qu’il peut faire ce qu’il veut à sa « belle-sœur ». Il ose enfin et c’est maintenant deux doigts qui prennent possession des lieux, tandis que le pouce doigte le clitoris, en parti sorti de son capuchon.
Non seulement je me soumets à la caresse sans sourcilier, mais l’apprécie. J’ondule du bassin sur ces doigts qui me fouillent, et mes gémissements non simulés montent crescendo. Avec autorité, je pose mes doigts sur la bosse qui déforme depuis un moment déjà son pantalon, en déboutonne quelques-uns et glisse la main sur son caleçon. Sans détacher mon regard de ses beaux yeux, je plonge ma main dans le sous-vêtement et empoigne la colonne de chair que je décalotte très lentement. Michel, comme halluciné comprend que ce n’est plus un rêve. Inquiète de le voir s’enfuir, je saisis sa verge, l’extirpe d’une main experte et commence à la caresser. Michel ne pipe mot de peur de tout interrompre, appréciant ma main douce et experte en gémissant.
Je suis agréablement surprise par la taille de sa verge, fine mais longue, presque aussi longue que celle de Claude. J’accélère mon geste mais je suis déçue car il éructe déjà un jet abondant qui se répand sur mon corps. Je suis surprise par une conclusion si soudaine, mais me ressaisis et continue à lui caresser les couilles et commence à le pomper ardemment. Heureusement, il reprend assez vite du gourdin et une nouvelle jouissance arrive massive et forte, m’emplissant la bouche, j’en avale le maximum, me délectant du goût si spécifique de son sperme.
Son corps est totalement arqué et il gémit longuement. J’ai pris mon pied à lui offrir ce plaisir dont il avait manifestement tant envie mais je suis déçue d’être tombée sur un éjaculateur précoce. Le seul bon point, c’est que sans lâcher son regard, je continue lentement à masturber sa hampe généreuse qui à mon grand étonnement reprend déjà vie. Je n’ai pas lâché sa queue et je continue de le branler. Comment peut-il reprendre aussi vite du gourdin ? Il me fait mettre à genoux pour que je le suce. Je prends sa verge dans ma bouche et recommence à lui faire une fellation. Il me traite de salope et m’annonce qu’il va me la mettre dans la chatte.
Je suis trempée de mouille. Une fois qu’il est de nouveau en pleine forme, il vient se positionner contre moi, me prend dans ses bras, m’écarte les jambes et plante sa belle bite entre mes cuisses pour accéder à mon vagin. Il frotte son gland entre mes lèvres intimes. Je pourrais lui résister mais pourquoi me priver ? Son gland trouve l’entrée de mon puits d’amour et Michel pousse d’un coup sec pour s’enfoncer jusqu’aux couilles. Heureusement que sa queue n’est pas aussi épaisse que celle de Claude car elle remplit ma fontaine de plaisir. Il me lime ainsi pendant un bon moment avant de me retourner comme une crêpe et de me prendre en levrette. Ses deux précédentes éjaculations le rendent enfin un peu plus résistant. Ses couilles viennent taper contre mon pubis tout lisse. Agrippé à mes hanches charnues, il me baise comme une chienne jusqu’à ce qu’il se répande pour la troisième fois en moi. Je ressens les contractions de sa queue libérer le sperme qui m’inonde le vagin.
Les yeux clos, le corps tendu, le ventre creusé de secousses, il expulse une ultime rasade de mâle liqueur avec force.
Comme pris de remords, il se rhabille prestement et se sauve comme un voleur. Par la suite à chaque fois que nos regards se croisaient, il rougissait comme un gosse pris en faute et n’a jamais essayé de renouveler notre partie à deux.
Mais je vais donc enfin revenir au suspens laissé au début de ces nouvelles aventures. Je vous ai déjà parlé de la sœur de mon ex Bruno, Brigitte, et de son mari Anthony. Mais je ne vous ai jamais parlé de leurs jumelles. Depuis le début de cette saga, les deux filles se sont transformées en deux belles jeunes femmes dorénavant majeures. Autant l’une d’elles est extravertie, autant sa jumelle est complètement à l’opposé. Dans mes aventures, je sais que plusieurs fois, je me suis senti espionnée, est-ce l’une d’elles-ou les deux ? Je ne sais pas.
Elles sont très jolies et serviables et gardent mes enfants quand je dois m’absenter. Elles ont donc un jeu de clés de ma maison. Quand elles veulent un peu de liberté, je leur ai autorisé à profiter de la proximité de ma maison plutôt que de se payer une demi-heure de transport en commun pour retourner chez leurs parents.
Et à force de tenter le diable et par un quiproquo, comme pour leur tonton Michel, elles ont vu ce qui n’était pas prévu. J’avais invité Claude car j’avais un après-midi de libre pour une partie de jambes en l’air et nous étions en plein « travail ». Je ne les ai pas entendu entrer étant en train de faire du rodéo sur la pine de mon amant. Quand je me suis aperçue de la présence des jumelles dans l’encadrement de la porte, il était trop tard. Mais depuis combien de temps sont-elles la ?
Je reviens quelques minutes plus tôt. J’halète lourdement sur la barre de chair monstrueuse de Claude. Je sens le gland épais glisser dans ma grotte, connaissant de manière tactile la taille peu courante de son pénis, je ne crains pourtant pas qu'il me déchire. Mais comme j’aime aussi le goût de sa queue, je la retire de mon fourreau et me retourne pour lui lécher sa bite à grands coups de langue affamée. J’embouque ce véritable membre de cheval dont le gland seul remplit presque ma bouche et agace de mes ongles ses couilles et le bas de sa verge. Je le suce et le pompe avec grand art. Il profite d’une de mes fabuleuses pipes dont maintenant j’ai le secret, toujours fascinée par la monstruosité de cette bite qui m’écartèle la bouche. Je l'aspire de toutes mes forces et de ma science, masse ses couilles avec une main. Lorsqu'il s’apprête à éjaculer, je retire prestement ma bouche avec un bruit de succion.
-Je vais jouir, hurle Claude.
-Attends, jouis dans ma bouche…je veux gouter ton sperme, l’avaler.
Il se vide copieusement les couilles dans ma bouche après qu’un premier jet monstrueux a zébré son corps, je prends un réel plaisir à tout avaler, et à nettoyer le gland, puis son ventre et son torse de ses débordements spermiques. Je finis en lui prenant ses lèvres pour un sulfureux baiser.
En laissant l'énorme membre exsangue, mon regard tombe sur celui des jumelles, comme tétanisées dans l’encadrement de la porte, réalisant qu’elles ont compris à quoi j’étais occupée. Mais le plaisir que j’éprouve à sucer cette tige de chair si veloutée me rends sourde à toute intervention extérieure. Au diable les convenances, seul compte ce bourgeon de plus en plus volumineux qui m’emplit de nouveau la bouche sous ma sensuelle fellation, mes seins s'écrasant mollement sur le bas-ventre tendu de Claude, je reprends ma caresse buccale, lui malaxant doucement les couilles. C’est un véritable régal de pétrir ses bourses entièrement lisses à la douceur d'une peau de bébé. Suçant avec délice la longue bite tout en pressant les testicules dans leurs gaines de chair, je me régale. Mais pour une meilleure compréhension de la suite, je laisse la parole à Kenza ou Paloma, les jumelles.
A suivre : Kenza et Paloma
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Chaudasse
Elle est devenue pire que son ex