Beau-papa 33: Les jumelles, Kenza et Paloma. Défloration.

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Beau-papa 33: Les jumelles, Kenza et Paloma. Défloration. Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Beau-papa 33: Les jumelles, Kenza et Paloma. Défloration.
Beau papa.

Les jumelles, Kenza et Paloma.
Défloration.

-Qu’est-ce que tu attends pour le sucer ! Allez, un peu de courage sœurette…

Après un petit "aïe" de ma part, je me résous à lui obéir et engloutis ce sexe dur, chaud et palpitant dans ma bouche. Enfin… Rien que le champignon mafflu sous un "ooohhh huuummm" d’appréciation de Claude. J’en ai déjà plein la bouche mais un deuxième coup de cravache tombe.
-Fais ta mijaurée. Tu n’en as goûté que la gueule. Un peu de courage, que diable…

Suite :
Kenza embrasse Claude à pleine bouche pendant que je le suce, puis elle alterne d’un coup, passant de ses lèvres à sa queue. Nous le pompons toutes les deux, mais malgré ça et peut-être consécutif à ses deux précédentes jouissances, il résiste le bougre… Il met de plus en plus de temps à arriver à l’éjaculation, mais son chibre est toujours aussi gros, et visiblement toujours aussi dur.
Je crois qu’il ne va plus pouvoir tenir encore longtemps, ses burnes font du yo-yo à la base de sa queue. Kenza l’a compris et me force à enfourner sa lance autant que je le peux pour le faire jouir au fond de ma bouche. Ma peur se transforme en surprise quand il éjacule à mon point de vue de novice encore d'énormes quantités de foutre, suivit de plusieurs autres qui manquent de m’étouffer, continuant inlassablement à se vider les couilles au fond de ma gorge. Je n’aurais-pas cru que ça soit aussi jouissif et tellement bon. Je ne croyais pas le goût du sperme aussi plaisant. Je joue avec son jus dans ma bouche quand Kenza m’ordonne :
-Sois partageuse Paloma ! Et elle vient m’embrasser à pleine bouche.

Je lâche enfin le sexe devenu inutile, bien qu'encore érigé, pour donner à ma sœur ce qu’elle réclame. Pendant le quart d’heure qui suit, nous délaissons notre étalon pour une partie entre filles. C’est aussi la première fois pour moi et je suis étonnée du plaisir que me procure Kenza. Pendant les trois heures qui suivent, nous reprenons des forces en espérant que Claude se requinque un peu pour un nouveau round. D’après ce que je sais, pas beaucoup d’hommes pourraient remettre si vite le couvert après une telle dépense d’énergie, mais il a la réputation de… Mais est-ce vrai ?
Kenza, elle, ne se pose pas tant de problème et prend la main de Claude pour le mener dans la chambre de Lucie, Il m’agrippe fermement par la taille au passage, me laissant me lover tout contre lui. Nous nous effeuillons l’un l’autre et il s’approche de moi, se concentrant sur mes seins qu’il mordille à tour de rôle, déclenchant mes premiers spasmes de plaisir dans le corps que je lui offre. Je sens la queue de Claude qui se réveille et entre en contact avec mes cuisses. Je baisse les yeux et vois en gros plan cet énorme gland d’un rouge sombre, large. Je me frotte d’envie les lèvres quelques instants. Je veux sa queue. Il s’installe sur le bord du lit, me prend par un bras, et me force à s’asseoir sur ses genoux, les jambes écartées. Par instinct, J’essaie de me relever, mais je n’ai pas la force d’un homme. Dans l’action, il a une vue directe sur ma chatte parfaitement épilée. Lentement, un de ses doigts caresse ma fente, s’insinue entre mes lèvres intimes.
Je me force et écarte d’avantage les cuisses pour qu’il comprenne que je consens à ce qu’il aille plus loin. je ne dis rien, mais mon attitude est assez explicite. J’attrape sa queue pour et la caresse un peu avec son gland redevenu énorme, baisse son chibre qui me résiste et le lâche et qui va claquer sur son ventre. La vision de cette verge à la verticale contre son bas- ventre me fait un effet terrible.
Il prend position entre mes cuisses largement ouvertes et frotte son gland sur mes grandes lèvres trempées qui s'entre-ouvrent et enfonce doucement son pieu dans ma vulve bouillante sur quelques centimètres seulement, repoussant mes muqueuses serrées qui se contractent, bloquant le passage du bélier.
-Vas-y doucement Claude, je suis beaucoup plus étroite du con que Kenza et une grosse queue comme la tienne n’est encore jamais passée par là.

Il pousse doucement son gland sur l'ouverture de ma moule baillante jusqu’à ce que son mandrin bute dans mon conduit vaginal qui palpite. Il me laisse le temps de m'habituer puis commence de petit aller-retour forçant tout doucement le passage jusqu’à ce que mon hymen cède. Je craignais que ça me fasse plus mal mais finalement, ça s’est très bien passé avec une douleur largement acceptable. Son gland progresse lentement dans mon conduit et sa bite est bientôt quasiment nichée en entier dans ma chatte. La tête de son nœud vient se coller contre mon col de l'utérus, je me savais étroite mais je ne savais pas mon vagin aussi profond, bien plus que celui de ma sœur, un vrai délice.
-Oh Claude, c'est merveilleux, tu me remplis complètement, je te sens partout en moi, prends-moi toute, donne-moi ton jus.

Il me fait taire en m’embrassant, nos langues tournoient l'une contre l'autre. Claude commence un lent ramonage de ma moule étroite de toute la longueur de son chibre. Il me baise à fond et je sens ses couilles battre mes fesses sur lesquelles coule ma mouille en abondance. Je gémis de bonheur, les yeux révulsés. Il pose ses mains sur mes fesses pour me posséder encore plus loin. Son engin me pilonne le con avec des bruits mouillés et une mousse blanchâtre coule sur sa hampe majestueuse et je vais d'orgasme en orgasme. Il augmente le rythme, mais prenant de plus en plus violemment. Hé je ressens maintenant hé dans mes chairs hé la grosseur de ce pal. Et il place alors ses mains sous mes cuisses hé me soulève comme une plume pour m’amener sur le lit et me retourne comme une crêpe.
Il m'écrase de tout son poids à m’en faire perdre ma respiration. Je suis allongée sur le matelas, sans pouvoir me défendre. Une petite douleur vient troubler la baise avant que mon plaisir l’emporte. je glisse une main entre mes cuisses et recherche ses couilles que je caresse de mes doigts. J’essaie de faire comme ma sœur et lui enfonce un doigt dans son anus. Les étreintes se suivent allant crescendo dans la durée, me permettant ainsi de jouir à plusieurs reprises. Il est de plus en plus tendre, on est comme deux amoureux qui veulent se donner mutuellement du plaisir sous la supervision de Kenza qui joue la mouche du coche, une caresse par ci, un embouchage par là. J’admire cette queue qui va quand bien au-delà de son nombril.
Il éjacule une nouvelle fois, à peine sa lance sortie de la bouche de ma sœur qui vient de la retirer de force de ma chatte et le branle maintenant avec vigueur, projetant son sperme sur mon visage, les draps ainsi que sur les mains de Kenza et même sur la moquette tellement la puissance de ses jets de foutre sont toujours aussi vigoureux en gueulant comme une bête sous la jouissance qui le submerge. Je saisis alors sa queue pour la nettoyer avant que ma sœur vienne m'embrasser à pleine bouche puis lèche le sperme qui s’est écrasé sur mon visage et me macule les joues.
Claude baisse enfin pavillon et la journée se terminant, après une douche salvatrice, nous finissons les trois serrés l’un contre l’autre dans le lit de ma mère pour une nuit réparatrice.

Un rayon de soleil pointe à la fenêtre, je sors tout doucement des bras de Morphée et m’aperçois que sans le vouloir mon bras est appuyé sur la cuisse de Claude et ma main fermement serrée autour de sa verge demi-molle. Mais mon inconscient n'a pas été le seul à avoir cette idée car une autre main est en concurrence sur ce bout de chair. Kenza dort encore donc j'arrive à lui faire lâcher le manche pour l'avoir pour moi toute seule. Je commence à travailler la bête et au bout de quelques minutes de ce traitement je me retrouve de nouveau confrontée à son engin qui a repris toute sa vigueur. Mais je n'ai pas été assez prudente et Kenza ouvre les yeux et me regarde branler cet épi de chair.
Elle ne résiste pas longtemps au spectacle et veut, elle aussi participer au réveil de notre étalon. A tour de rôle, nos bouches aspirent son membre lui procurant de douces sensations pendant son sommeil. Il commence à remuer alors nous délaissons un moment son engin pour que la pression commence à redescendre, puis nos doigts continuent leurs œuvres pour entretenir son érection.
Claude émerge de son sommeil, il retire alors sa queue de la bouche de Kenza et se met à nous traiter de tous les noms.
-De vraies petites salopes ! Ça ne vous a pas suffi hier, vous voulez déjà revenir à la pompe ? De vraies malades du sexe qui aiment les bites d’ânes. Dites-le, mais dites-le donc !!!
-Tu as raison Claude, je ne sais pas pour Paloma, mais moi, quand je vois un tel chibre, je ne peux pas résister, lui avoue Kenza, quand je trouve un homme aussi bien monté que toi, qui peut me baiser aussi longtemps sans baisser pavillon et qui en plus me régale d’un foutre copieux et inépuisable, oui, je l’admets, j’aime les bites, et la tienne en particulier, je l’adore, je la vénère, je lui donne tout, rien ne doit lui être interdit.

Kenza le chevauche tout en parlant, se penche en avant pour l’embrasser et se sert de sa verge comme d’un gode, la frottant sur sa fente pour mieux s’offrir à lui. La bite bien bandée taquine sa chatte et son petit trou.
-Lequel ? Demande innocemment Claude.
-Salaud, murmure-t-elle. Prends-moi la chatte d’abord pour huiler le piston, tu t’en prendras au petit trou après… Tu seras le premier alors vas-y mollo, hein ?!
Claude s’exécute et enfonce sa queue dans l’antre chaud et humide de ma sœur qui ne peut retenir déjà un râle de plaisir. Il ne faut que quelques minutes de ce traitement pour que cette dernière atteigne l’orgasme.
-Oh oui mon salaud, tu me fais jouir…

A suivre : les jumelles, Kenza et Paloma. Défloration anale.

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