Beau-papa 36: Les jumelles, Kenza et Paloma. Le trio infernal.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Beau-papa 36: Les jumelles, Kenza et Paloma. Le trio infernal.
Beau papa.
Les jumelles, Kenza et Paloma.
Le trio infernal.
J’ai la totalité de sa grosse et longue verge dans mes boyaux et pire.... je commence à adorer !
- Aaaah...ouiiiii....baise mon cul... mon salaud... Oh putain tu m’éclates le cul avec ta grosse trique, t’arrête-pas putain ! Oh ouuuiii!
Pour la première fois, je ressens du plaisir. Mais pour un bref instant car Claude déclare :
- À ton tour Kenza ! Je veux saillir mes deux pouliches.
Suite :
Elle n’a aucun mouvement de recul, se met en levrette à côté de moi et en moins de deux, il lui lèche le petit trou et lui enfonce deux doigts dans le cul tout en continuant à me sodomiser.
Il applique du gel anal sur son anus et se présente à l’entrée, guide sa queue et se retrouve bien vite au fond du cloaque de ma jumelle qui gémit aussitôt, ensuite il passe de l’une à l’autre, variant à chaque fois devant le choix des quatre trous offerts. Quel acrobate ! Quand il sent enfin qu’il va se vider les couilles, il sort du dernier trou occupé et vient vite se présenter devant nos bouches avides pour nous faire profiter à nouveau d’une de ses éjaculations d’anthologie. Sa semence chaude inonde ma bouche. Gourmande, je voudrais tout avaler, mais partage son jus avec ma sœur, un vrai délice ! Jamais nous n’avons été aussi complices mais maintenant nous en voulons plus ! Pour attendre qu’il soit de nouveau en forme, on se positionne tête-bêche en vraies coquines ! Nous n’avons jamais fait ça entre nous, mais c’est trop bon ! On se lèche comme des folles, ne quittant jamais très longtemps de vue le bas-ventre de Claude où se dresse à nouveau très vite un barreau de chaise.
Il nous met côte à côte à genoux devant notre ex-voto et nous ne sommes pas trop de deux pour sucer notre jeune étalon. ! Il se penche en avant et en profite pour sonder de ses doigts nos petits trous maintenant bien déridés, ses pouces sont à l’aise dedans pendant que ses autres doigts explorent nos petits cons très serrés.
Mais il ne lui faut pas beaucoup de temps avant de vouloir remplacer ses doigts par sa queue. Il nous fait nous positionner sur le divan, nos cuisses tirées sur notre torse pour lui ouvrir une voie royale. Il enfonce petit à petit ses doigts dans notre chatte et notre anus jusqu’à la fourche de la paume de sa main. Il emboutit ensuite de son rostre mon trou du cul, pénétrant plus profondément à chaque poussée avant de passer à Kenza.
- Ooohhh oui les filles ! Prenez ma bite dans votre cul de petites salopes ! Haaan ! Merde Paloma, t’as encore un putain de trou du cul hyper serré et t’es brûlante du fion malgré mon précédent alésage ! Tu as beaucoup moins d’heures de vol que ta sœur, c’est certain !
Il ne nous ramone plus maintenant, mais nous pilonne comme un beau diable, ses coups de boutoir sont d'une violence telle qu'ils me feraient tomber du divan à chaque fois. Il accélère son rythme nous tenant avec ses mains pour que nous ne puissions fuir son monstre. Je me souviendrai longtemps ce que veut dire se faire enculer par une bite hors-normes.
Sa verge est comme un formidable piston de forge continuant sa course solitaire, nous éperonnant à tour de rôle, s'introduisant dans l’un de nos trous en nous retenant par les hanches pour que nous ne lui échappions pas. Je ne savais pas que l’on pouvait avoir autant d’orgasmes si rapprochés et ma chatte éjecte à nouveau son jus. Pour pouvoir résister à ses violentes poussées, mes deux mains serrent à mort le haut du dossier du divan.
Comme nous avait averti notre tante, nous découvrons l’incroyable endurance de Claude, nous attendant à chaque instant à ce qu’il n’en puisse plus, mais il tient le coup le salaud !
Je l’engueule, pour que ce divin supplice cesse enfin en espérant qu’il n’en sera rien :
- Salopard, t’es une bête de sexe, qu'une énorme bite sur pattes ! Ooohhh putain ...oui que j’aime ça, c’est bon...c’est si bonnnnnnnn, oooh, bourre-moi comme une pute, et surtout ne me quitte pas pour boucher un trou de ma sœur ! Raaahhhh ! Ne te vide-pas pas en moi mais fais-nous encore profiter de ton jus.
Il se retire enfin, serrant sa bite entre mes fesses avec ses mains. Avec un énorme bruit de succion sa verge n’est plus dans mon cul qui reste grand ouvert et je ressens un immense vide. Ma jumelle lui lèche les testicules pour le faire monter encore plus dans les tours. Ça m’excite tellement que je jouis une nouvelle fois en me doigtant la chatte pendant qu’elle exécute la manœuvre. Je suis sûre qu’il aurait pu continuer pendant des heures. Il me gifle régulièrement copieusement les fesses en nous traitant de grosses putains avant de me flairer le derche.
-Qu’est-ce que tu pues la mouille pas fraiche et le stupre, l’odeur est dégueulasse. Et ta sœur ne vaut pas mieux. Il va falloir que je nettoie ça !
Et à grand coup de langue, il entreprend de nous lécher la fente puante et dégoulinante de cyprine, puis c’est tour de notre anus. Je suis morte de honte à l’idée de me faire nettoyer ainsi et pourtant j’en jouis presque. Je constate avec honte et plaisir que j’aime moi aussi sucer son gros dard.
Nous sommes lessivées. Je suis trempée de sueur, de sperme, de mouille tellement j’ai joui. Cette journée restera un souvenir inoubliable pour moi. Quelle expérience… Ça risque d'être dur de trouver mieux.
On a devant les yeux la verge de Claude en gros plan, avec son mufle de velours en avant, percé en son centre d’une fente provocante prête à cracher. C’est un bourgeon majestueux gonflé du potentiel de la vie au bout de cette branche de chair noueuse. Et de ce bourgeon jaillit à nouveau la sève de ce jeune arbre avec une fureur de tempête que nous engloutissons avec délice pour ne pas nous noyer sous l’écume.
Nous nous écroulons enfin tous les trois sur le divan, pour pouvoir récupérer de cette orgie. Je regarde la pendule, une heure s’est passée en quelques secondes sans que nous ne nous en rendions compte tellement nous étions HS. J’attrape à tâtons le bâton de chair tout poisseux de nos secrétions pour me prouver que je ne viens pas de vivre un rêve. Mon contact lui fait déjà de l’effet. Son pénis tressaute dans ma main. Je l’empoigne et commence à le masturber doucement et ma main enregistre un gonflement presque immédiat de l’objet qui grandit et grossit à nouveau. Avec Claude et sa « chose », il suffit de demander pour être servie… Sa longueur et son diamètre m’impressionne toujours autant. Claude est réellement monté comme un âne et digne d’un étalon reproducteur d’un haras !
Comme une folle furieuse de sexe, je commence à le sucer, à enfoncer son gland entre mes lèvres, essayant d’en faire entrer le plus possible, l’enfonçant dans ma bouche grande ouverte, en le branlant vigoureusement d’une main tandis que de l’autre, je palpe son lourd paquet de couilles comme une vraie malade ! J’ai même l’impression qu’il durcit encore, il doit particulièrement aimer ça, et moi, j’ai trop envie de m’envoyer une énorme décharge de foutre au fond de la glotte, prête à me goinfrer de son jus, de lui faire cracher sa purée.
Je voudrais bien me carrer ce chibre de dingue le plus profondément possible, je dois maintenant le partager avec ma jumelle. Il nous laisse faire pendant presque vingt minutes, comme amorphe, on se régale. Je croyais qu’il n’allait pas tenir bien longtemps, me préparant à me gaver d’une bonne ration de sperme, mais le bougre ne l’entend pas de cette oreille, ou plutôt de sa queue…
Il se met enfin à grogner. Dans ma main qui lui triture les couilles, je sens les deux grosses boules s’agiter et venir se coller à la hampe qui se contracte. Il est sur le point de tout défourailler dans ma bouche gourmande. Claude m’agrippe les cheveux à deux mains, me baisant la gueule et m’empêchant de me reculer.
Je sens un liquide salé, visqueux et chaud me remplir la gorge en quatre ou cinq fantastiques giclés, vraiment la maxi dose après tout ce qu’il a déjà donné… J’ai les yeux qui me sortent des orbites. Pour ne pas m’étouffer, je dois tout gober mais du sperme s’échappe de la commissure des lèvres, (impossible d’avaler tout ça). Ça me coule sur le menton, mais je ne me fais aucun souci car Kenza vient récupérer le surplus, déçue qu’il se soit vidé dans ma bouche et non dans la sienne.
-Eh les filles ! ça suffira pour aujourd’hui, Je ne suis pas au meilleur de ma forme. Je vous recontacterai un de ces jours pour vous montrer de quoi je suis capable quand je suis au top.
Il se lève et se rhabille puis nous quitte d’un « tchao les filles », à plus… Nous nous regardons, nous demandant ce qu’il a voulu dire. Si pour lui, ce qu’il nous a fait subir n’était qu’un amuse-gueule, de quoi est-il capable quand il est en pleine forme ? On est impatiente de la savoir, et de le subir, prêtes pour un véritable festin…
Les jumelles, Kenza et Paloma.
Le trio infernal.
J’ai la totalité de sa grosse et longue verge dans mes boyaux et pire.... je commence à adorer !
- Aaaah...ouiiiii....baise mon cul... mon salaud... Oh putain tu m’éclates le cul avec ta grosse trique, t’arrête-pas putain ! Oh ouuuiii!
Pour la première fois, je ressens du plaisir. Mais pour un bref instant car Claude déclare :
- À ton tour Kenza ! Je veux saillir mes deux pouliches.
Suite :
Elle n’a aucun mouvement de recul, se met en levrette à côté de moi et en moins de deux, il lui lèche le petit trou et lui enfonce deux doigts dans le cul tout en continuant à me sodomiser.
Il applique du gel anal sur son anus et se présente à l’entrée, guide sa queue et se retrouve bien vite au fond du cloaque de ma jumelle qui gémit aussitôt, ensuite il passe de l’une à l’autre, variant à chaque fois devant le choix des quatre trous offerts. Quel acrobate ! Quand il sent enfin qu’il va se vider les couilles, il sort du dernier trou occupé et vient vite se présenter devant nos bouches avides pour nous faire profiter à nouveau d’une de ses éjaculations d’anthologie. Sa semence chaude inonde ma bouche. Gourmande, je voudrais tout avaler, mais partage son jus avec ma sœur, un vrai délice ! Jamais nous n’avons été aussi complices mais maintenant nous en voulons plus ! Pour attendre qu’il soit de nouveau en forme, on se positionne tête-bêche en vraies coquines ! Nous n’avons jamais fait ça entre nous, mais c’est trop bon ! On se lèche comme des folles, ne quittant jamais très longtemps de vue le bas-ventre de Claude où se dresse à nouveau très vite un barreau de chaise.
Il nous met côte à côte à genoux devant notre ex-voto et nous ne sommes pas trop de deux pour sucer notre jeune étalon. ! Il se penche en avant et en profite pour sonder de ses doigts nos petits trous maintenant bien déridés, ses pouces sont à l’aise dedans pendant que ses autres doigts explorent nos petits cons très serrés.
Mais il ne lui faut pas beaucoup de temps avant de vouloir remplacer ses doigts par sa queue. Il nous fait nous positionner sur le divan, nos cuisses tirées sur notre torse pour lui ouvrir une voie royale. Il enfonce petit à petit ses doigts dans notre chatte et notre anus jusqu’à la fourche de la paume de sa main. Il emboutit ensuite de son rostre mon trou du cul, pénétrant plus profondément à chaque poussée avant de passer à Kenza.
- Ooohhh oui les filles ! Prenez ma bite dans votre cul de petites salopes ! Haaan ! Merde Paloma, t’as encore un putain de trou du cul hyper serré et t’es brûlante du fion malgré mon précédent alésage ! Tu as beaucoup moins d’heures de vol que ta sœur, c’est certain !
Il ne nous ramone plus maintenant, mais nous pilonne comme un beau diable, ses coups de boutoir sont d'une violence telle qu'ils me feraient tomber du divan à chaque fois. Il accélère son rythme nous tenant avec ses mains pour que nous ne puissions fuir son monstre. Je me souviendrai longtemps ce que veut dire se faire enculer par une bite hors-normes.
Sa verge est comme un formidable piston de forge continuant sa course solitaire, nous éperonnant à tour de rôle, s'introduisant dans l’un de nos trous en nous retenant par les hanches pour que nous ne lui échappions pas. Je ne savais pas que l’on pouvait avoir autant d’orgasmes si rapprochés et ma chatte éjecte à nouveau son jus. Pour pouvoir résister à ses violentes poussées, mes deux mains serrent à mort le haut du dossier du divan.
Comme nous avait averti notre tante, nous découvrons l’incroyable endurance de Claude, nous attendant à chaque instant à ce qu’il n’en puisse plus, mais il tient le coup le salaud !
Je l’engueule, pour que ce divin supplice cesse enfin en espérant qu’il n’en sera rien :
- Salopard, t’es une bête de sexe, qu'une énorme bite sur pattes ! Ooohhh putain ...oui que j’aime ça, c’est bon...c’est si bonnnnnnnn, oooh, bourre-moi comme une pute, et surtout ne me quitte pas pour boucher un trou de ma sœur ! Raaahhhh ! Ne te vide-pas pas en moi mais fais-nous encore profiter de ton jus.
Il se retire enfin, serrant sa bite entre mes fesses avec ses mains. Avec un énorme bruit de succion sa verge n’est plus dans mon cul qui reste grand ouvert et je ressens un immense vide. Ma jumelle lui lèche les testicules pour le faire monter encore plus dans les tours. Ça m’excite tellement que je jouis une nouvelle fois en me doigtant la chatte pendant qu’elle exécute la manœuvre. Je suis sûre qu’il aurait pu continuer pendant des heures. Il me gifle régulièrement copieusement les fesses en nous traitant de grosses putains avant de me flairer le derche.
-Qu’est-ce que tu pues la mouille pas fraiche et le stupre, l’odeur est dégueulasse. Et ta sœur ne vaut pas mieux. Il va falloir que je nettoie ça !
Et à grand coup de langue, il entreprend de nous lécher la fente puante et dégoulinante de cyprine, puis c’est tour de notre anus. Je suis morte de honte à l’idée de me faire nettoyer ainsi et pourtant j’en jouis presque. Je constate avec honte et plaisir que j’aime moi aussi sucer son gros dard.
Nous sommes lessivées. Je suis trempée de sueur, de sperme, de mouille tellement j’ai joui. Cette journée restera un souvenir inoubliable pour moi. Quelle expérience… Ça risque d'être dur de trouver mieux.
On a devant les yeux la verge de Claude en gros plan, avec son mufle de velours en avant, percé en son centre d’une fente provocante prête à cracher. C’est un bourgeon majestueux gonflé du potentiel de la vie au bout de cette branche de chair noueuse. Et de ce bourgeon jaillit à nouveau la sève de ce jeune arbre avec une fureur de tempête que nous engloutissons avec délice pour ne pas nous noyer sous l’écume.
Nous nous écroulons enfin tous les trois sur le divan, pour pouvoir récupérer de cette orgie. Je regarde la pendule, une heure s’est passée en quelques secondes sans que nous ne nous en rendions compte tellement nous étions HS. J’attrape à tâtons le bâton de chair tout poisseux de nos secrétions pour me prouver que je ne viens pas de vivre un rêve. Mon contact lui fait déjà de l’effet. Son pénis tressaute dans ma main. Je l’empoigne et commence à le masturber doucement et ma main enregistre un gonflement presque immédiat de l’objet qui grandit et grossit à nouveau. Avec Claude et sa « chose », il suffit de demander pour être servie… Sa longueur et son diamètre m’impressionne toujours autant. Claude est réellement monté comme un âne et digne d’un étalon reproducteur d’un haras !
Comme une folle furieuse de sexe, je commence à le sucer, à enfoncer son gland entre mes lèvres, essayant d’en faire entrer le plus possible, l’enfonçant dans ma bouche grande ouverte, en le branlant vigoureusement d’une main tandis que de l’autre, je palpe son lourd paquet de couilles comme une vraie malade ! J’ai même l’impression qu’il durcit encore, il doit particulièrement aimer ça, et moi, j’ai trop envie de m’envoyer une énorme décharge de foutre au fond de la glotte, prête à me goinfrer de son jus, de lui faire cracher sa purée.
Je voudrais bien me carrer ce chibre de dingue le plus profondément possible, je dois maintenant le partager avec ma jumelle. Il nous laisse faire pendant presque vingt minutes, comme amorphe, on se régale. Je croyais qu’il n’allait pas tenir bien longtemps, me préparant à me gaver d’une bonne ration de sperme, mais le bougre ne l’entend pas de cette oreille, ou plutôt de sa queue…
Il se met enfin à grogner. Dans ma main qui lui triture les couilles, je sens les deux grosses boules s’agiter et venir se coller à la hampe qui se contracte. Il est sur le point de tout défourailler dans ma bouche gourmande. Claude m’agrippe les cheveux à deux mains, me baisant la gueule et m’empêchant de me reculer.
Je sens un liquide salé, visqueux et chaud me remplir la gorge en quatre ou cinq fantastiques giclés, vraiment la maxi dose après tout ce qu’il a déjà donné… J’ai les yeux qui me sortent des orbites. Pour ne pas m’étouffer, je dois tout gober mais du sperme s’échappe de la commissure des lèvres, (impossible d’avaler tout ça). Ça me coule sur le menton, mais je ne me fais aucun souci car Kenza vient récupérer le surplus, déçue qu’il se soit vidé dans ma bouche et non dans la sienne.
-Eh les filles ! ça suffira pour aujourd’hui, Je ne suis pas au meilleur de ma forme. Je vous recontacterai un de ces jours pour vous montrer de quoi je suis capable quand je suis au top.
Il se lève et se rhabille puis nous quitte d’un « tchao les filles », à plus… Nous nous regardons, nous demandant ce qu’il a voulu dire. Si pour lui, ce qu’il nous a fait subir n’était qu’un amuse-gueule, de quoi est-il capable quand il est en pleine forme ? On est impatiente de la savoir, et de le subir, prêtes pour un véritable festin…
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