Beau-papa Chapitre 9 Le jeune homme hyper membré est infatigable.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2019 dans la catégorie Plus on est
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Beau-papa Chapitre 9 Le jeune homme hyper membré est infatigable.
Beau-papaChapitre 9Le jeune homme hyper membré est infatigable.
-Détachez-moi les filles ! A moi de faire un peu d’exercice !
Sitôt détaché, il nous positionne sur le dos au bord du lit, les jambes dans le vide. Il me murmure à l’oreille :
- Ne t'inquiète-pas Lucie, je serai très doux... laisse-toi faire...
Suite :Il passe de l’une à l’autre n’introduisant que la tête de son nœud dans notre fente en s’appliquant à le frotter sur la partie la plus innervée de notre temple à plaisir, montrant sa science et une longue expérience. Monsieur Paul s’est rapproché pour profiter du spectacle et avoue qu’il m’a trompée.
-Excuse-moi du subterfuge Lucie ! Mais je ne pouvais pas te dire dès le début que Claude malgré son physique trompeur qui lui donne un air d’adolescent domine déjà l’art d’amener sa partenaire au paroxysme du plaisir.
Claude est très endurant et ne faiblit pas malgré sa double performance. Il continue ses mouvements allant de plus en plus profond, nous amenant l’une après l’autre à l’orgasme.
Il relève mes cuisses et s'enfonce lentement de plus en plus profondément. Quelle différence de sensation avec la queue de mon mari deux fois plus petite. Il me fait ressentir chaque centimètre de son incroyable pénis qui bute au fond de mon sexe avec prudence, me laissant quelques instants pour m'habituer.
Il reste très doux, faisant coulisser son jonc vigoureux lentement et profondément. Il tient le rythme et quand il me sent de nouveau prête au plaisir laisse ma chatte béante, orpheline, pour s’occuper de celle d’Ingrid et vice-versa.
Il continue d'aller et venir en nous, jamais je n'ai ressenti un plaisir si long, si intense. Je découvre que mon corps est fait pour le plaisir, le donner et le recevoir. Je tremble de tout mon corps sous son regard très doux, fier de me sentir vibrer comme une midinette entre ses mains.
Mais toute chose à une fin, même les meilleures. Il se retire enfin après cet exploit double et se vide pour la deuxième fois sous nos yeux ébahis. Son sperme aussi abondant que la première fois s'écoule comme un ruisseau fougueux de montagne de sa verge qu’il dirige d’une main ferme sur nos corps, les zébrant de longues trainées blanchâtres du pubis aux cheveux, jouissant en silence. Je remarque à peine son souffle s'accélérer trahissant son plaisir de mâle satisfait.
Il s’étend entre nous, passant un bras autour de notre cou pour que nous nous blottissions contre lui pour cinq bonnes minutes de repos. Je ne me suis jamais sentie aussi bien, caressant sa peau couverte de sueur. Je regarde son sexe qui a débandé enfin.
Même au repos, il est encore impressionnant. Prises d’une même idée, Ingrid et moi amenons une main au contact de sa verge flasque. Au contact de nos doigts, un frisson parcourt son corps.
Sous nos caresses d’une extrême douceur, ce morceau de chair à la peau devenue hyper sensible réagit avec une vitesse étonnante si bien qu'en quelques minutes, le mandrin de Claude retrouve sa taille impressionnante.
Nous nous amusons à le décalotter, admirant le gland énorme, à en exciter du bout de nos ongles les veines qui gonflent le long de la verge, à en pétrir les bourses si généreuses. Monsieur Paul reprend la parole :
-Lucie… Acceptes-tu qu’il te sodomise ? C’est à toi de décider si tu veux tenter l’expérience avec un tel gourdin. Tu as la chance aujourd’hui que Pierre et Ben t’ont préparée sinon je ne te proposerais pas de subir sans préparation un tel outrage !
Sans trop réfléchir aux conséquences, excitée comme je suis et embrumée par le plaisir j’anone de la tête.
Claude me met sur le ventre au bord du lit et joue avec mon petit trou, y plantant son pouce dedans. Je le laisse faire, allant même jusqu'à remuer du popotin pour mieux le sentir.
- Tu veux me sentir entre tes fesses?!
- Oui ! Mon corps réclame encore du plaisir, encore et encore...
Claude se place derrière moi, je sens ses mains sur mes hanches puis sur mes fesses qu'il écarte. Il pose son imposant gland à l'entrée de mon anus et force mais son engin est trop gros. Il me délaisse pour s’occuper d’Ingrid qui sans sourciller accepte un tel intrus dans son cul. Il la lime un instant et revient à la charge de mon petit cul.
Elle vient à mon secours en enduisant son défonce-cul et mon petit trou d’une bonne couche de lubrifiant toujours présent depuis tout à l’heure.
Il se rapproche et pousse son membre aux dimensions hors-norme avec l’aide D’Ingrid qui s’en est saisit à la base. Glissant une main entre nos deux corps, j’essaie moi aussi de m’en saisir pour le réfréner quand je sens mon sphincter céder.
Lors de la progression du boutefeu, je retire ma main puis Ingrid fait de même.
J'ai l'impression que je me déchire sous l'effet de la formidable poussée mais la douleur est atténuée par l’onguent et les précédentes intromissions qui m’ont préparé pour recevoir un tel engin.
Son énorme membre se déplace dans mon fondement désormais comme dans du beurre.
Il me lime doucement le temps que mes chairs s’habituent puis de plus en plus fort, m'empalant sur son rostre jusqu'à la garde et mes gémissements envahissent la pièce.
Sa verge atteint des endroits encore inexplorés. (Désormais, je n’aurai plus jamais peur de passer une coloscopie).
Bien planté au fond de mon derrière, il redresse mon buste et attrape à pleines mains mes seins en essayant de m’embrasser.
Je m'abandonne totalement à ses coups de reins et sens de nouveau poindre un nouvel orgasme.
Je vois dans son regard le plaisir qu'il prend à m’amener une nouvelle fois à la jouissance et lorsque qu’il devine que je suis au bord de l’explosion, il resserre son emprise sur mes seins pour coller son torse à mon dos et accélère encore le mouvement, son bas-ventre tapant de plus en plus fort contre mes fesses jusqu’à ce qu’un plaisir immense m'envahisse.
Fatigué, il se laisse aller sur le lit pour qu’une nouvelle fois nous utilisions les anneaux pour s’asseoir sur sa queue raide, accompagnant de ses mains sur nos hanches notre gymnastique si particulière.
C’est nous désormais qui imprimons notre rythme, allant et venant sur ce membre décidément infatigable.
C’est moi qui attrape le pompon quand il se déverse en moi. Quand je me retire de sa lance, un flot de foutre se déverse sur lui. Nous nous sommes presque battues pour en avoir chacune notre part.
Jean s’est rapproché de moi et m’a demandé :
-Alors ! Cette dernière leçon a été fructueuse ? Je ne te ferai plus jamais revivre de telles bacchanales mais il fallait que tu saches jusqu’où tu étais capable d’aller. Tu me pardonnes ?
Je le rassure aussitôt :
-Je suis complètement vannée mais je n’aurais jamais cru être capable de ça ! Tu m’as ouvert les yeux !
Après une douche salutaire, nous sommes repartis. Dans la voiture sur la banquette arrière, je remarque des catalogues de robinetterie. Décidément, il a pensé à tout.
Heureusement que les enfants ne sont pas à la maison car je suis complètement vannée et ai une démarche bizarre, ressentant enfin dans mon arrière-train l’intense supplice qu’il a subit.
Depuis cette journée mémorable, je suis devenue une vraie chienne en chaleur devenant bien sûr la maîtresse de mon beau-père mais pas que de lui. Si ma vie de couple est morte mais que je reste quand même avec Bruno pour ménager mes enfants, j’ai depuis fais profiter de mon nouveau statut beaucoup d’hommes.
Mon mari m’a fait cocue, il porte désormais tels les bois d’un cerf à six cors, de multiples cornes !!!
Et mon plus grand plaisir, c’est que j’en fais porter à ma belle-mère et à ma belle-sœur aussi.
Son mari Anthony m’a surprise un jour avec Jean et sans grande difficulté entre « pièces rapportées », on s’est très bien entendus pour qu’il devienne lui aussi mon amant.
J’ai aussi dévoyé plusieurs des amis de mon mari qui ne se sont pas gênés pour me passer dessus.
Je ne sais pas si Bruno s’en est rendu compte mais je m’en fou !
Fallait-pas commencer !!!
FIN
Ps : Cette histoire date de quelques années. Quelle n’a pas été ma surprise quand mon gynéco a du prendre un successeur et que je suis tombé sur Claude. Son physique s’était bien amélioré. Le jeune homme que j’avais connu s’était bien étoffé.
J’ai eu droit à une visite médicale très « poussée » et je me demande si la aussi il n’y avait pas eu du changement. Les souvenirs sont si trompeurs… Mais quand il a voulu me sodomiser, je n’ai pas pu l’accepter. Il va falloir que je m’entraine avant mon prochain rendez-vous pour renouveler l’exploit réalisé chez monsieur Paul…
Fin.
-Détachez-moi les filles ! A moi de faire un peu d’exercice !
Sitôt détaché, il nous positionne sur le dos au bord du lit, les jambes dans le vide. Il me murmure à l’oreille :
- Ne t'inquiète-pas Lucie, je serai très doux... laisse-toi faire...
Suite :Il passe de l’une à l’autre n’introduisant que la tête de son nœud dans notre fente en s’appliquant à le frotter sur la partie la plus innervée de notre temple à plaisir, montrant sa science et une longue expérience. Monsieur Paul s’est rapproché pour profiter du spectacle et avoue qu’il m’a trompée.
-Excuse-moi du subterfuge Lucie ! Mais je ne pouvais pas te dire dès le début que Claude malgré son physique trompeur qui lui donne un air d’adolescent domine déjà l’art d’amener sa partenaire au paroxysme du plaisir.
Claude est très endurant et ne faiblit pas malgré sa double performance. Il continue ses mouvements allant de plus en plus profond, nous amenant l’une après l’autre à l’orgasme.
Il relève mes cuisses et s'enfonce lentement de plus en plus profondément. Quelle différence de sensation avec la queue de mon mari deux fois plus petite. Il me fait ressentir chaque centimètre de son incroyable pénis qui bute au fond de mon sexe avec prudence, me laissant quelques instants pour m'habituer.
Il reste très doux, faisant coulisser son jonc vigoureux lentement et profondément. Il tient le rythme et quand il me sent de nouveau prête au plaisir laisse ma chatte béante, orpheline, pour s’occuper de celle d’Ingrid et vice-versa.
Il continue d'aller et venir en nous, jamais je n'ai ressenti un plaisir si long, si intense. Je découvre que mon corps est fait pour le plaisir, le donner et le recevoir. Je tremble de tout mon corps sous son regard très doux, fier de me sentir vibrer comme une midinette entre ses mains.
Mais toute chose à une fin, même les meilleures. Il se retire enfin après cet exploit double et se vide pour la deuxième fois sous nos yeux ébahis. Son sperme aussi abondant que la première fois s'écoule comme un ruisseau fougueux de montagne de sa verge qu’il dirige d’une main ferme sur nos corps, les zébrant de longues trainées blanchâtres du pubis aux cheveux, jouissant en silence. Je remarque à peine son souffle s'accélérer trahissant son plaisir de mâle satisfait.
Il s’étend entre nous, passant un bras autour de notre cou pour que nous nous blottissions contre lui pour cinq bonnes minutes de repos. Je ne me suis jamais sentie aussi bien, caressant sa peau couverte de sueur. Je regarde son sexe qui a débandé enfin.
Même au repos, il est encore impressionnant. Prises d’une même idée, Ingrid et moi amenons une main au contact de sa verge flasque. Au contact de nos doigts, un frisson parcourt son corps.
Sous nos caresses d’une extrême douceur, ce morceau de chair à la peau devenue hyper sensible réagit avec une vitesse étonnante si bien qu'en quelques minutes, le mandrin de Claude retrouve sa taille impressionnante.
Nous nous amusons à le décalotter, admirant le gland énorme, à en exciter du bout de nos ongles les veines qui gonflent le long de la verge, à en pétrir les bourses si généreuses. Monsieur Paul reprend la parole :
-Lucie… Acceptes-tu qu’il te sodomise ? C’est à toi de décider si tu veux tenter l’expérience avec un tel gourdin. Tu as la chance aujourd’hui que Pierre et Ben t’ont préparée sinon je ne te proposerais pas de subir sans préparation un tel outrage !
Sans trop réfléchir aux conséquences, excitée comme je suis et embrumée par le plaisir j’anone de la tête.
Claude me met sur le ventre au bord du lit et joue avec mon petit trou, y plantant son pouce dedans. Je le laisse faire, allant même jusqu'à remuer du popotin pour mieux le sentir.
- Tu veux me sentir entre tes fesses?!
- Oui ! Mon corps réclame encore du plaisir, encore et encore...
Claude se place derrière moi, je sens ses mains sur mes hanches puis sur mes fesses qu'il écarte. Il pose son imposant gland à l'entrée de mon anus et force mais son engin est trop gros. Il me délaisse pour s’occuper d’Ingrid qui sans sourciller accepte un tel intrus dans son cul. Il la lime un instant et revient à la charge de mon petit cul.
Elle vient à mon secours en enduisant son défonce-cul et mon petit trou d’une bonne couche de lubrifiant toujours présent depuis tout à l’heure.
Il se rapproche et pousse son membre aux dimensions hors-norme avec l’aide D’Ingrid qui s’en est saisit à la base. Glissant une main entre nos deux corps, j’essaie moi aussi de m’en saisir pour le réfréner quand je sens mon sphincter céder.
Lors de la progression du boutefeu, je retire ma main puis Ingrid fait de même.
J'ai l'impression que je me déchire sous l'effet de la formidable poussée mais la douleur est atténuée par l’onguent et les précédentes intromissions qui m’ont préparé pour recevoir un tel engin.
Son énorme membre se déplace dans mon fondement désormais comme dans du beurre.
Il me lime doucement le temps que mes chairs s’habituent puis de plus en plus fort, m'empalant sur son rostre jusqu'à la garde et mes gémissements envahissent la pièce.
Sa verge atteint des endroits encore inexplorés. (Désormais, je n’aurai plus jamais peur de passer une coloscopie).
Bien planté au fond de mon derrière, il redresse mon buste et attrape à pleines mains mes seins en essayant de m’embrasser.
Je m'abandonne totalement à ses coups de reins et sens de nouveau poindre un nouvel orgasme.
Je vois dans son regard le plaisir qu'il prend à m’amener une nouvelle fois à la jouissance et lorsque qu’il devine que je suis au bord de l’explosion, il resserre son emprise sur mes seins pour coller son torse à mon dos et accélère encore le mouvement, son bas-ventre tapant de plus en plus fort contre mes fesses jusqu’à ce qu’un plaisir immense m'envahisse.
Fatigué, il se laisse aller sur le lit pour qu’une nouvelle fois nous utilisions les anneaux pour s’asseoir sur sa queue raide, accompagnant de ses mains sur nos hanches notre gymnastique si particulière.
C’est nous désormais qui imprimons notre rythme, allant et venant sur ce membre décidément infatigable.
C’est moi qui attrape le pompon quand il se déverse en moi. Quand je me retire de sa lance, un flot de foutre se déverse sur lui. Nous nous sommes presque battues pour en avoir chacune notre part.
Jean s’est rapproché de moi et m’a demandé :
-Alors ! Cette dernière leçon a été fructueuse ? Je ne te ferai plus jamais revivre de telles bacchanales mais il fallait que tu saches jusqu’où tu étais capable d’aller. Tu me pardonnes ?
Je le rassure aussitôt :
-Je suis complètement vannée mais je n’aurais jamais cru être capable de ça ! Tu m’as ouvert les yeux !
Après une douche salutaire, nous sommes repartis. Dans la voiture sur la banquette arrière, je remarque des catalogues de robinetterie. Décidément, il a pensé à tout.
Heureusement que les enfants ne sont pas à la maison car je suis complètement vannée et ai une démarche bizarre, ressentant enfin dans mon arrière-train l’intense supplice qu’il a subit.
Depuis cette journée mémorable, je suis devenue une vraie chienne en chaleur devenant bien sûr la maîtresse de mon beau-père mais pas que de lui. Si ma vie de couple est morte mais que je reste quand même avec Bruno pour ménager mes enfants, j’ai depuis fais profiter de mon nouveau statut beaucoup d’hommes.
Mon mari m’a fait cocue, il porte désormais tels les bois d’un cerf à six cors, de multiples cornes !!!
Et mon plus grand plaisir, c’est que j’en fais porter à ma belle-mère et à ma belle-sœur aussi.
Son mari Anthony m’a surprise un jour avec Jean et sans grande difficulté entre « pièces rapportées », on s’est très bien entendus pour qu’il devienne lui aussi mon amant.
J’ai aussi dévoyé plusieurs des amis de mon mari qui ne se sont pas gênés pour me passer dessus.
Je ne sais pas si Bruno s’en est rendu compte mais je m’en fou !
Fallait-pas commencer !!!
FIN
Ps : Cette histoire date de quelques années. Quelle n’a pas été ma surprise quand mon gynéco a du prendre un successeur et que je suis tombé sur Claude. Son physique s’était bien amélioré. Le jeune homme que j’avais connu s’était bien étoffé.
J’ai eu droit à une visite médicale très « poussée » et je me demande si la aussi il n’y avait pas eu du changement. Les souvenirs sont si trompeurs… Mais quand il a voulu me sodomiser, je n’ai pas pu l’accepter. Il va falloir que je m’entraine avant mon prochain rendez-vous pour renouveler l’exploit réalisé chez monsieur Paul…
Fin.
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Il pratique où ce gynécologue?