Belle-mère cède à son beau-fils 2 - histoire érotique

Depuis quelques jours, Hugo, n'est plus le même, il est très prévenant avec la femme qu'il detestait, il y a peu de temps. Cela rassure Juliette, qui maintenant chahute avec lui. Marc qui ignorait les tensions qu'ils y avaient avec sa femme, ne peut s'imaginer le changement radical du comportement de son fils.

Hugo enlace souvent sa belle-mère, la serre très fort contre lui, en lui donnant des baisers sur le visage, qui souvent dérapent sur les lèvres, cela fait sourire son père qui le prend bien. Les deux jouent comme des enfants. Jusqu'à un soir où Hugo se lâche. Son père est deja couché, prétextant qu'il doit se lève tôt. Juliette est assise sur le canapé devant la télé. Elle a deja revêtue sa nuisette, et par-dessus son peignoir largement ouvert. Il s'approche d'elle, son regard lubrique, la dévisage, et se posent sur les cuisses que la nuisette très courte ne peut cacher. Il lui dit, bien sûr :

-Tu es prête pour te faire sauter, salope !


Juliette sursaute, et réplique :

-Mais qu'est-ce qui te prend Hugo, tu oses me parler comme ça !


Il repond en se plaçant face à elle :

-Avoue, que tu aimes te faire défoncer, je t'entends le soir gémir comme une grosse salope, il te baise bien mon vieux hein !


Juliette outrée par les propos outrageant de son beau-fils :

-Mais tu deviens fou, Hugo, reprends-toi !


Il continue son délire :

-Tu aimes ses sales pattes sur toi, cela t'excite hein salope !


Juliette le regarde droit dans les yeux et répond, ses yeux sont pleins de larmes :

-Mais tu es jaloux de ton père, c'est inconcevable ça, tu sais c=que je suis sa femme au moins !



Toujours en plein délire, Hugo incontrôlable réplique :

-Tu dois être vachement bonne ma salope, une jeune bite ne te tente pas !



Sans gêne, Hugo baisse son pantalon et extirpe de son slip sa bite, elle est raide comme du béton et dit :

-Regarde dans quel état tu me mets salope, touche-la, ce n'est pas du toc, elle est dressée pour toi !


Juliette reste sans voix, elle regarde le morceau de chair tendue, qui est agité par de soubresauts continuels. Hugo la saisit et la décalotte, Juliette reste scotchée sur le gland marbré de son beau-fils, le bougre s'amuse à le re-calotter et le décalotter devant les yeux écarquillés de Juliette. Hugo insiste :


-Prends la en main, je sais que tu en meurs d'envie !

Il se cambre, Juliette reste sans bouger en regardant l'engin qui l'impressionne. Hugo s'approche si, près qu'il la lui passe sur les lèvres. Juliette serre les lèvres, ses mains tremblent, Hugo répète :

-Prends là dans ta main, elle est sûrement plus douce que celle de mon vieux, aller ne fait pas ta chochotte !



Juliette fébrile réplique :

-Hugo, tu deviens fou, cesse ce petit jeu, ce n'est pas drôle, tu sais !


Les yeux de Juliette ne quittent pas le membre tendu, timidement, sans savoir pour quelle raison, elle touche du bout des doigts le sexe raide. Hugo en soupirant dit :

-Serre là dans ta main et branle-là, ne nie pas, tu veux le faire !


Juliette pousse un gros soupir et saisit l'engin, elle le presse fortement, son beau-fils grimace en disant :

-Si tu savais combien de fois que je me suis branlé pour toi, tu hantes mes nuits, je veux que tu sois à moi, je crois que tu le désires aussi hein !


Juliette se met à béguer :

-Oui, c'est malheureux à dire, j'aime ton papa, mais je te désire aussi, et cela, depuis un bon moment !
Même lorsque, je fais l'amour avec ton père, j'imagine que c'est toi qui me prends, je dois être folle !


Hugo la lève du canapé, lui ouvre les pans du peignoir et le fait tomber sur le sol, avec une brutalité inouïe, il lui dechire la nuisette qui se retrouve en lambeaux sur le sol avec le peignoir. Juliette reste figée, par l'agression virulente d'Hugo.
Juliette pour dormir ne porte pas de sous-vêtements. Hugo est en admiration devant les formes de sa belle-mère, il l'enlace, elle s'accroche à lui en soupirant fortement et lui dit en souriant :

-J'aime ta brutalité de mâle virile, fais-moi mal !


Hugo se demande si sa belle-mère, n'est pas un peu maso. Il lui ecrase les lèvres avec les siennes, les langues se nouent pour un long baiser fougueux. Juliette sent contre son ventre la bite tendue de son amant, elle agite son bassin en l'appuyant fortement contre l'engin gorgé de sang. Hugo ne peut s'empêcher de dire :

-Oh la vache, tu dois être une bonne salope, toi !



Juliette, lui dit en souriant :

-Devine, tu n'es pas au bout de tes surprises mon salaud !



Elle se laisse tomber sur le canapé et commence à branler la bite avec de plus en plus d'énergie. Hugo geint de bonheur, il se dit qu'enfin, il va posséder la femme qui le hante. Hugo se cabre en disant :

-Oh putain ça vient, ça vient !

Juliette décalotte la bite et gobe le gland qu'elle suce avec avidité, Hugo ronronne comme un chat. La bouche de sa belle-mère et miraculeuse, le bougre se tend comme un arc et envoie dans la bouche de la suceuse un flot important de sperme. Une voix se fait entendre :

-Avale ma chérie, c'est du bon jus !


Hugo sursaute, il reste sans voix, c'est son père nu qui est sur le pas de la porte. Marc dit en souriant :

-Tu avais raison ma chérie, le salaud en veut à ta chatte, il faut le satisfaire !


Juliette éclate de rire. Hugo réagit :

-Mais c'est un coup monté, vous êtes des monstres ?


Son père réplique :

Oui, c'est un complot. Juliette m'a racontée, tes caresses, tes baisers dérapant, elle s'attendait à ce qu'un jour ou l'autre, tu lui propose la botte, donc je préfère que cela se fasse devant moi que derrière mon dos !


Marc regarde sa femme et lui dit :

-Comment est son sperme ma chérie !



Elle repond en s'essuyant d'un revers de la main les lèvres :

-Délicieux mon chéri, j'espère que sa bite le soit aussi !



Marc s'approche et embrasse sa femme fougueusement, une fois séparé, il dit :

-Aller Hugo, elle est chaude comme de la braise, ne la laisse pas comme ça, baise-la, elle est vachement bonne ta belle-mère !