BONNE À TOUT FAIRE
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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BONNE À TOUT FAIRE
Je travaillais pour la famille Millet depuis un peu plus d’un an maintenant, depuis mon dix-huitième anniversaire. Je suppose que j'ai eu de la chance de trouver du travail chez eux, c'était un hiver rigoureux, la maison était confortable, et bien sûr je ne savais pas à quel point j'aurais de la chance ...
C'est une règle d'or pour toute servante de ne rien voir, rien entendre, rien dire ... et idéalement de la discrétion en toute circonstance. Madame Millet m'a expliqué les règles du bon comportement dès le tout premier jour. En général, j'ai toujours respecté cette règle d'or, mais parfois le hasard nous place dans une situation embarrassante.
Un matin glacial de février, un peu avant le lever du jour, j'allumais le poêle dans le bureau du maître, comme je le fais toujours à cette heure-là, quand il est entré. Je ne m'étais jamais trouvée seule face à lui jusqu’à présent et je me sentais intimidée en sa présence. Il avait une forte carrure virile, le type d'homme contre lequel il fait si bon se blottir. Il semblait physiquement très en forme, sa haute taille et sa prestance le rendait irrésistible à mes yeux. Il portait d'épais cheveux noirs parfaitement coiffés. Ses manières courtoises et sa façon de s'exprimer révélaient un homme de pouvoir. Tout en lui me subjuguait, et cela m'a enivré dès le début.
"Que fais-tu ici, ma fille? Je ne t'ai jamais vue ici auparavant." Je ne savais pas comment répondre. Les employées de maison n'étaient pas censées s'exprimer. Je baissais la tête pour cacher mes joues écarlates.
Il s'est approché du fauteuil près du poêle, il a dû me frôler pour passer. J'ai pensé que j'allais défaillir.
"Je suis désolée, Monsieur. J'allume tous les jours les feux dans la maison à cette heure-ci, je ne rencontre jamais personne. Je suis terriblement désolée. Puis-je me retirer?" Je l'ai dit d'une voix si faible que c'est étonnant qu'il m'ait même compris.
"Quel est ton nom, petite? Je suis sûr que je me serais souvenu de toi si je t'avais déjà vue." Il m'a regardé de manière équivoque, avec ce regard qu'ont les hommes qui regardent les filles se vendre dans la ruelle derrière la maison.
"Je m'appelle Alice, Monsieur. Je travaille ici depuis un an, vous ne m'avez pas remarquée parce que mon travail n'est pas devant vous, je suis employée aux basses tâches, pour vous plaire, Monsieur."
"Oui, Alice, tu me plais beaucoup." Je suis jeune mais je ne suis pas stupide, ces mots étaient tellement chargés de sens que je pouvais sentir le poids de ceux-ci suspendus dans les airs, au-dessus de ma tête.
"Viens t'asseoir ici par-terre à côté de moi, juste à côté de mes pieds, ici. Viens, petite."
Je l'ai fait.
"Tu sais que Mme Millet va avoir un enfant? Ah, c'est difficile pour un homme comme moi, tu sais. Un travail ingrat, une vie de famille stressante, je déborde de frustration. Ce n'est pas sain pour un homme ardent d'être aussi frustré, tu ne crois pas, Alice? "
"Non, Monsieur, je suppose que non"
"Alors tu veux bien m'aider, ma douce enfant?" Me caressant le menton maintenant, descendant graduellement le long de mon cou vers le haut de mes seins et l'échancrure de ma chemisette. "Tu es, j'en suis certain, très dévoué à ton maître, n'est-ce pas ma chère enfant? Je peux le voir." Il a dit ça en écartant ma chemisette avec son index pour regarder mes seins. J'ai de très beaux seins, gros, ronds et laiteux qui plaisent aux garçons.
Je respirais si fort que je haletais comme un jeune chien. "Oui monsieur, je ferais tout pour vous être agréable." Même si j'avais la frousse, j'aimais ce sentiment d'être convoitée, soumise au désir du maître, et j'avais des picotements dans ma culotte.
Il se pencha si près de moi pour murmurer que son souffle déposa de la buée dans les plis du pavillon de mon oreille. Un instant, j'ai espéré qu'il m'embrasse, mais il se contenta de chuchoter: "Rendez-vous sur l'escalier de service, après que tout le monde se soit couché pour la nuit. Vous m'aiderez si bien, ma chère petite fille."
Je voulais bien être sa fille, mais pas sa douce fille. Je voulais être sa très vilaine fille, la fièvre de mes reins me rendait lascive.
Vers 3 heures du matin, j'attendais le maître. Dans les escaliers de service, il y avait un recoin pour le rangement. J’avais toujours trouvé cette alcôve très bizarre, mais à ce moment-là, sa commodité devenait bien évidente.
Je portais seulement une ample chemise de nuit assez courte, mes seins dansaient librement et ma chatte nue et humide frissonnais sous le frais courant d'air. Après une courte attente j'ai reconnu son pas lourd, malgré ses pantoufles.
Il est venu vers moi dans un élan fougueux. Me repoussant dans l'alcôve, m'emprisonnant dans ses bras puissants, je me sentais complètement isolée du reste de la maison. Il m'embrassait tendrement dans le cou et mon ventre fourmillait de papillons. Sa main pressait si fort mon mamelon, presque rageusement. Je me suis demandé depuis combien de temps durait son abstinence. Le manque de sexe faisait du maître un homme dans le besoin.
Il me fit pivoter rapidement et mon visage fut plaqué contre les étagères, je soulevais un peu ma chemise de nuit pour que mon cul nu soit exposé à sa vue et je le sentis contre moi en une fraction de seconde.
Il s'est plaqué contre mon dos et j'ai senti sa queue frotter contre mes fesses. J'ai immédiatement pensé que je n'avais jamais connu une plus grande chose, ni une envie aussi impérieuse. Je n'avais jamais rien ressenti de tel. Si grosse, mais je voulais tout prendre.
"Tu es une si bonne petite fille, je veux te récompenser, peux-tu sentir mon cadeau, c'est tout pour toi, tu le veux?"
"Je le veux" ai-je répondu si rapidement qu'il a dû penser que j'étais plus impatiente que lui "donnez-le-moi, s'il vous plaît, monsieur. Je le veux en moi." J'ai été surprise moi-même par l'audace de mon comportement. À force de regarder agir ces filles dans la ruelle, je dois avoir appris quelque chose d'elles.
"Hum, je dois d'abord m'assurer que tu es prête pour moi." Il massait ma chatte d'une main experte. Il enfonça deux doigts à l'intérieur. Je pouvais sentir sa bague de mariage froide se recouvrir lentement de mon jus.
Tout dans notre liaison n'était que vice et dépravation, mais la passion embrasait nos sens. Je ne me suis jamais sentie aussi chienne que cette nuit-là.
"S'il vous plaît monsieur, je voudrais votre bite, vous ne voulez pas la mettre dedans?" Car il était toujours en train de la laminer dans ma raie culière et j'avais un urgent besoin d'être prise. Je cambrais mes reins pour avoir la place de glisser ma main dans l'ouverture de sa robe de chambre, ma main a saisi sa grosse bite dure et l'a caressé brutalement. Elle tressautais dans ma main, vivante comme un petit animal pris au piège, trempée de son jus pré-éjaculatoire.
"Hum, alors fillette, est-ce que tu aimes la sensation d'une grosse bite qui te pénètre? Tu vas l'avoir souvent dans ta chatte à partir de maintenant, habitue-toi, voyons comment je me sens à l'intérieur de cette jeune chatte bien serrée? Hum?"
J'étais si mouillée, si glissante, que je ne pouvais pas lui offrir la moindre résistance. Mais même si j'avais résisté, il s'en fichait, il s'est enfoncé dans les profondeurs de ma chatte sans hésitation, sans précautions, et j'ai aimé ce sentiment d'être prise comme une salope dans un recoin d'escalier. Plaquée contre des étagères poussiéreuses, courbée en avant, cuisses ouvertes, offerte, prise comme une catin par un amant monté comme un étalon, j'ai joui instantanément.
Ses mains agrippées dans la chair tendre de mes flancs, secouée comme un prunier, il me baisais brutalement, son appétit et sa frustration lui faisant oublier toute prudence. Nous respirions tous deux comme des locomotives, les étagères secouées claquaient contre le mur, mais on ne s'en souciait ni l'un ni l'autre, pris dans la fièvre du moment, baisant comme des chiens en rut, en plein délire sexuel.
"Petite, ta chatte est incroyable!" J'étais fière. Le plus grand compliment qu'il m'ait fait. "Je vais revenir te foutre souvent, ma jolie petite chatte, ma femme ne va pas être disponible avant longtemps et tu fais très bien l'affaire, ta vulve brûlante est serrée autour de mon membre comme une main dans un gant de velours!"
Il martelait ses mots en frappant sa queue profondément en moi aussi loin qu'elle pouvait rentrer, et ses coups puissants résonnaient dans tout mon être, électrocutant mes reins par une succession de décharges de plaisir. La douleur et le plaisir se mélangeaient curieusement, mais je peux seulement décrire cela comme une belle blessure. La meilleure sorte de douleur. Ma chatte se serra autour de lui, tremblante et ruisselante. J'ai senti mon jus couler le long de mes cuisses. Mes seins se balançaient, mes mamelons se heurtaient, mais j’adorais. Je n'avais même jamais imaginé que tant de jouissance existait.
"Tu seras ma bonne petite fée, n'est-ce pas Alice? Tu feras ce que je dis et tu seras là pour me recevoir quand j'en aurai besoin, n'est-ce pas? C'est la meilleure chatte que j'ai à ma disposition chez moi, Alice. Tu seras ma vilaine petite fille, n'est-ce pas? "
"Ooh oui, monsieur, promis monsieur, je serai toujours là pour vous servir, monsieur. J'aime tout de vous, monsieur, même la grosseur de votre membre et la façon dont vous baisez ma chatte, s'il vous plaît, continuez, monsieur, n'arrêtez pas de me baiser, monsieur."
Son souffle dans mon cou m'a fait frissonner. Il accélérait ses coups et je me sentais comme une sale pute prise en levrette, debout dans une alcôve pleine de courants d'air. C'était incroyable. Nous étions une bête malfaisante, deux corps qui se tordaient au même rythme, attachés ensemble de l'intérieur de ma vulve. Malgré la fraîcheur de la nuit, je transpirais, je suais et ma sueur se mélangeait à mes jus. Je suais comme une pute, comme sa pute.
"Je viens, Alice, je viens! Je jouis!" Je le sentais se vider en moi, ses jets puissants heurtaient le fond de mon vagin, je sentais ma chatte se remplir de sa semence fertile, mais je m'en moquais, car je ressentais la meilleure jouissance que je n'avais jamais ressenti.
Son tendre baiser, dans mon cou, est devenu sauvage. Ses dents se sont emparées cruellement de la chair tendre de mon épaule et il m'a fait si mal que je n'ai pu retenir une plainte.
"Oh oui, tout dans ta chatte, petite fille, peux-tu tout prendre à l'intérieur de toi? Oh putain oui, prends tout!"
Malgré ma chatte serrée autour de son membre, je sentais tout ces liquides s'échapper hors de moi.
Il m'a tellement donné cette nuit-là, il a fait de moi une femme comblée, maintenant je lui appartiens. Je suis sa poupée sexuelle, son exutoire, son vide-couilles, sa pute. Je suis sienne maintenant, je lui appartiens corps et âme, intérieurement et extérieurement. J'attends son bon vouloir désormais, en maîtresse soumise et patiente.
C'est une règle d'or pour toute servante de ne rien voir, rien entendre, rien dire ... et idéalement de la discrétion en toute circonstance. Madame Millet m'a expliqué les règles du bon comportement dès le tout premier jour. En général, j'ai toujours respecté cette règle d'or, mais parfois le hasard nous place dans une situation embarrassante.
Un matin glacial de février, un peu avant le lever du jour, j'allumais le poêle dans le bureau du maître, comme je le fais toujours à cette heure-là, quand il est entré. Je ne m'étais jamais trouvée seule face à lui jusqu’à présent et je me sentais intimidée en sa présence. Il avait une forte carrure virile, le type d'homme contre lequel il fait si bon se blottir. Il semblait physiquement très en forme, sa haute taille et sa prestance le rendait irrésistible à mes yeux. Il portait d'épais cheveux noirs parfaitement coiffés. Ses manières courtoises et sa façon de s'exprimer révélaient un homme de pouvoir. Tout en lui me subjuguait, et cela m'a enivré dès le début.
"Que fais-tu ici, ma fille? Je ne t'ai jamais vue ici auparavant." Je ne savais pas comment répondre. Les employées de maison n'étaient pas censées s'exprimer. Je baissais la tête pour cacher mes joues écarlates.
Il s'est approché du fauteuil près du poêle, il a dû me frôler pour passer. J'ai pensé que j'allais défaillir.
"Je suis désolée, Monsieur. J'allume tous les jours les feux dans la maison à cette heure-ci, je ne rencontre jamais personne. Je suis terriblement désolée. Puis-je me retirer?" Je l'ai dit d'une voix si faible que c'est étonnant qu'il m'ait même compris.
"Quel est ton nom, petite? Je suis sûr que je me serais souvenu de toi si je t'avais déjà vue." Il m'a regardé de manière équivoque, avec ce regard qu'ont les hommes qui regardent les filles se vendre dans la ruelle derrière la maison.
"Je m'appelle Alice, Monsieur. Je travaille ici depuis un an, vous ne m'avez pas remarquée parce que mon travail n'est pas devant vous, je suis employée aux basses tâches, pour vous plaire, Monsieur."
"Oui, Alice, tu me plais beaucoup." Je suis jeune mais je ne suis pas stupide, ces mots étaient tellement chargés de sens que je pouvais sentir le poids de ceux-ci suspendus dans les airs, au-dessus de ma tête.
"Viens t'asseoir ici par-terre à côté de moi, juste à côté de mes pieds, ici. Viens, petite."
Je l'ai fait.
"Tu sais que Mme Millet va avoir un enfant? Ah, c'est difficile pour un homme comme moi, tu sais. Un travail ingrat, une vie de famille stressante, je déborde de frustration. Ce n'est pas sain pour un homme ardent d'être aussi frustré, tu ne crois pas, Alice? "
"Non, Monsieur, je suppose que non"
"Alors tu veux bien m'aider, ma douce enfant?" Me caressant le menton maintenant, descendant graduellement le long de mon cou vers le haut de mes seins et l'échancrure de ma chemisette. "Tu es, j'en suis certain, très dévoué à ton maître, n'est-ce pas ma chère enfant? Je peux le voir." Il a dit ça en écartant ma chemisette avec son index pour regarder mes seins. J'ai de très beaux seins, gros, ronds et laiteux qui plaisent aux garçons.
Je respirais si fort que je haletais comme un jeune chien. "Oui monsieur, je ferais tout pour vous être agréable." Même si j'avais la frousse, j'aimais ce sentiment d'être convoitée, soumise au désir du maître, et j'avais des picotements dans ma culotte.
Il se pencha si près de moi pour murmurer que son souffle déposa de la buée dans les plis du pavillon de mon oreille. Un instant, j'ai espéré qu'il m'embrasse, mais il se contenta de chuchoter: "Rendez-vous sur l'escalier de service, après que tout le monde se soit couché pour la nuit. Vous m'aiderez si bien, ma chère petite fille."
Je voulais bien être sa fille, mais pas sa douce fille. Je voulais être sa très vilaine fille, la fièvre de mes reins me rendait lascive.
Vers 3 heures du matin, j'attendais le maître. Dans les escaliers de service, il y avait un recoin pour le rangement. J’avais toujours trouvé cette alcôve très bizarre, mais à ce moment-là, sa commodité devenait bien évidente.
Je portais seulement une ample chemise de nuit assez courte, mes seins dansaient librement et ma chatte nue et humide frissonnais sous le frais courant d'air. Après une courte attente j'ai reconnu son pas lourd, malgré ses pantoufles.
Il est venu vers moi dans un élan fougueux. Me repoussant dans l'alcôve, m'emprisonnant dans ses bras puissants, je me sentais complètement isolée du reste de la maison. Il m'embrassait tendrement dans le cou et mon ventre fourmillait de papillons. Sa main pressait si fort mon mamelon, presque rageusement. Je me suis demandé depuis combien de temps durait son abstinence. Le manque de sexe faisait du maître un homme dans le besoin.
Il me fit pivoter rapidement et mon visage fut plaqué contre les étagères, je soulevais un peu ma chemise de nuit pour que mon cul nu soit exposé à sa vue et je le sentis contre moi en une fraction de seconde.
Il s'est plaqué contre mon dos et j'ai senti sa queue frotter contre mes fesses. J'ai immédiatement pensé que je n'avais jamais connu une plus grande chose, ni une envie aussi impérieuse. Je n'avais jamais rien ressenti de tel. Si grosse, mais je voulais tout prendre.
"Tu es une si bonne petite fille, je veux te récompenser, peux-tu sentir mon cadeau, c'est tout pour toi, tu le veux?"
"Je le veux" ai-je répondu si rapidement qu'il a dû penser que j'étais plus impatiente que lui "donnez-le-moi, s'il vous plaît, monsieur. Je le veux en moi." J'ai été surprise moi-même par l'audace de mon comportement. À force de regarder agir ces filles dans la ruelle, je dois avoir appris quelque chose d'elles.
"Hum, je dois d'abord m'assurer que tu es prête pour moi." Il massait ma chatte d'une main experte. Il enfonça deux doigts à l'intérieur. Je pouvais sentir sa bague de mariage froide se recouvrir lentement de mon jus.
Tout dans notre liaison n'était que vice et dépravation, mais la passion embrasait nos sens. Je ne me suis jamais sentie aussi chienne que cette nuit-là.
"S'il vous plaît monsieur, je voudrais votre bite, vous ne voulez pas la mettre dedans?" Car il était toujours en train de la laminer dans ma raie culière et j'avais un urgent besoin d'être prise. Je cambrais mes reins pour avoir la place de glisser ma main dans l'ouverture de sa robe de chambre, ma main a saisi sa grosse bite dure et l'a caressé brutalement. Elle tressautais dans ma main, vivante comme un petit animal pris au piège, trempée de son jus pré-éjaculatoire.
"Hum, alors fillette, est-ce que tu aimes la sensation d'une grosse bite qui te pénètre? Tu vas l'avoir souvent dans ta chatte à partir de maintenant, habitue-toi, voyons comment je me sens à l'intérieur de cette jeune chatte bien serrée? Hum?"
J'étais si mouillée, si glissante, que je ne pouvais pas lui offrir la moindre résistance. Mais même si j'avais résisté, il s'en fichait, il s'est enfoncé dans les profondeurs de ma chatte sans hésitation, sans précautions, et j'ai aimé ce sentiment d'être prise comme une salope dans un recoin d'escalier. Plaquée contre des étagères poussiéreuses, courbée en avant, cuisses ouvertes, offerte, prise comme une catin par un amant monté comme un étalon, j'ai joui instantanément.
Ses mains agrippées dans la chair tendre de mes flancs, secouée comme un prunier, il me baisais brutalement, son appétit et sa frustration lui faisant oublier toute prudence. Nous respirions tous deux comme des locomotives, les étagères secouées claquaient contre le mur, mais on ne s'en souciait ni l'un ni l'autre, pris dans la fièvre du moment, baisant comme des chiens en rut, en plein délire sexuel.
"Petite, ta chatte est incroyable!" J'étais fière. Le plus grand compliment qu'il m'ait fait. "Je vais revenir te foutre souvent, ma jolie petite chatte, ma femme ne va pas être disponible avant longtemps et tu fais très bien l'affaire, ta vulve brûlante est serrée autour de mon membre comme une main dans un gant de velours!"
Il martelait ses mots en frappant sa queue profondément en moi aussi loin qu'elle pouvait rentrer, et ses coups puissants résonnaient dans tout mon être, électrocutant mes reins par une succession de décharges de plaisir. La douleur et le plaisir se mélangeaient curieusement, mais je peux seulement décrire cela comme une belle blessure. La meilleure sorte de douleur. Ma chatte se serra autour de lui, tremblante et ruisselante. J'ai senti mon jus couler le long de mes cuisses. Mes seins se balançaient, mes mamelons se heurtaient, mais j’adorais. Je n'avais même jamais imaginé que tant de jouissance existait.
"Tu seras ma bonne petite fée, n'est-ce pas Alice? Tu feras ce que je dis et tu seras là pour me recevoir quand j'en aurai besoin, n'est-ce pas? C'est la meilleure chatte que j'ai à ma disposition chez moi, Alice. Tu seras ma vilaine petite fille, n'est-ce pas? "
"Ooh oui, monsieur, promis monsieur, je serai toujours là pour vous servir, monsieur. J'aime tout de vous, monsieur, même la grosseur de votre membre et la façon dont vous baisez ma chatte, s'il vous plaît, continuez, monsieur, n'arrêtez pas de me baiser, monsieur."
Son souffle dans mon cou m'a fait frissonner. Il accélérait ses coups et je me sentais comme une sale pute prise en levrette, debout dans une alcôve pleine de courants d'air. C'était incroyable. Nous étions une bête malfaisante, deux corps qui se tordaient au même rythme, attachés ensemble de l'intérieur de ma vulve. Malgré la fraîcheur de la nuit, je transpirais, je suais et ma sueur se mélangeait à mes jus. Je suais comme une pute, comme sa pute.
"Je viens, Alice, je viens! Je jouis!" Je le sentais se vider en moi, ses jets puissants heurtaient le fond de mon vagin, je sentais ma chatte se remplir de sa semence fertile, mais je m'en moquais, car je ressentais la meilleure jouissance que je n'avais jamais ressenti.
Son tendre baiser, dans mon cou, est devenu sauvage. Ses dents se sont emparées cruellement de la chair tendre de mon épaule et il m'a fait si mal que je n'ai pu retenir une plainte.
"Oh oui, tout dans ta chatte, petite fille, peux-tu tout prendre à l'intérieur de toi? Oh putain oui, prends tout!"
Malgré ma chatte serrée autour de son membre, je sentais tout ces liquides s'échapper hors de moi.
Il m'a tellement donné cette nuit-là, il a fait de moi une femme comblée, maintenant je lui appartiens. Je suis sa poupée sexuelle, son exutoire, son vide-couilles, sa pute. Je suis sienne maintenant, je lui appartiens corps et âme, intérieurement et extérieurement. J'attends son bon vouloir désormais, en maîtresse soumise et patiente.
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La chipie
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