Le premier soir
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le premier soir
Mon dernier petit copain m’a quittée parce que j'étais trop dominatrice. Trop audacieuse au lit, il me jugeait castratrice. Il me souhaitait passive et discrète pendant les rapports sexuels. Je ne supportais pas de rester allongée comme une planche, jambes écartées comme une grenouille épinglée, gémissante lorsque monsieur le désirait. J’aimais prendre l’initiative. Le chevaucher en mettant mes mains sur ses avants-bras pour le coincer. Le baiser à mon rythme en épiant la montée du plaisir sur son visage. Ralentir quand la moutarde lui montait au nez. Frotter ma chatte sur son pubis pour éveiller son désir. L’achever par de longs coups quand je sentais qu’il ne pouvait plus se retenir.
J'aimais regarder son visage pendant l’extase. J’aimais l’entendre gémir faiblement, puis grogner d’une voix rauque. J’aimais vraiment lui faire l’amour. Je croyais lui faire plaisir, et c’était tout le contraire. Je venais de lui faire l’amour, j'étais aux anges, et il m’a jeté cela au visage. Il a rompu en prétendant qu’une femme ne devait pas se comporter ainsi. Que je devrais avoir plus de retenue, de décence, que je me comportais comme une machiste, et que j’étais probablement une lesbienne refoulée.
Dans mon désarroi post-rupture, j'ai navigué sur Internet à la recherche d’un mec cool. Ne trouvant pas mon bonheur, je suis allée sur des sites de porno pour me masturber. J'ai visionné des vidéos de femmes dominatrices, mais le bondage, ce n'est pas ce que j'aime. Pourquoi ferais-je souffrir mon amant ? Je voulais lui donner du plaisir. Il y a un pouvoir incroyable là-dedans, prendre en main son homme et l’amener doucement, graduellement, à s’abandonner dans mes bras. L’amener à m’accorder sa confiance, me laisser le diriger vers un plaisir ravissant, lui apprendre à réagir à mes sollicitations. Je voulais juste avoir une relation normale, aimante, mais où c'était la femme qui faisait l’amour à son homme.
J'étais sur le point d'abandonner quand j'ai vu ma première vidéo d'ancrage. Le "pegging", c'est comme ça que ça s’appelle, quand une femme porte un gode-ceinture, et pénètre son homme. Je ne connaissais pas et j’ai été fascinée. Dans cette vidéo qui m’a révélée mon fantasme, le gars était agenouillé sur le canapé, et la fille, derrière lui, le prenait en levrette. Clairement, elle aimait le caresser. Il y avait tellement de tendresse et d’amour dans ses gestes, dans leurs échanges de regard, que j’ai été bouleversée. Il prenait du plaisir, mais sans toucher son pénis. Visiblement, ils s’aimaient beaucoup.
Et puis ils ont changé de position. Il s'est allongé sur le dos, a écarté les jambes en les repliant de manière à remonter ses genoux jusqu’à sa poitrine. Elle a introduit son gode en lui et l’on pouvait entendre les bruits humides que faisait l’appareil en glissant dans le rectum. Elle s’est allongée sur lui et ils se sont embrassés passionnément en s’enlaçant tendrement. Puis, progressivement, elle a augmenté son rythme, et je pouvais discerner les claquements secs des chairs qui s’entrechoquent. Quand il s’est mis à gémir, elle a cesser de l’embrasser pour épier la montée du plaisir sur son visage.
Lorsque ses gémissements sont devenus plus rauques, elle l’a saisi à la gorge en claquant son mont de vénus de toutes ses forces contre les fesses du gars. Elle était possessive, dominante, et le gars a éjaculé sans jamais toucher son pénis. Souriante, essoufflée mais ravie, elle lui a bécoté le visage en lui disant qu’elle l’aimait. Je me suis masturbée en regardant cette vidéo encore et encore. Comment n'avais-je jamais vu cela auparavant ?
Cela a résonné en moi d'une manière si forte qu'aucun autre acte sexuel, réel ou fantasmé, n'avait jamais eu. J’ai su instantanément que je devais vivre cela. Je devais rattraper le temps perdu. Au cours des semaines suivantes, j'ai lu tout ce que je trouvais sur le sujet. J'ai approché des groupes de discussion en ligne, sollicité des conseils, et commandé du matériel pour continuer à me masturber selon mon nouveau fantasme. J'ai choisi un gode double en silicone, pour être mieux stimulée. Je l’ai choisi d’une couleur rose chair qui correspondait à peu près à mon teint. Autant que possible, je voulais que ce gode ressemble à ma bite, si j’en avais une. J’ai écouté les conseils des personnes qualifiées qui m’ont assurées que le double gode me procurerait beaucoup de plaisir, mais qu’il avait besoin de plus de soutien, notamment lors de poussées vigoureuses, et qu’il me fallait un harnais pour le maintenir en place.
En attendant, j'imaginais à quoi je pourrais ressembler avec une bite. Juste par curiosité, j'ai enroulé une chaussette et je l'ai fourrée dans ma culotte. Me regarder dans le miroir était surréaliste. Le paquet d'un homme est-il vraiment si gros ? En vérité, la chaussette représentait une dotation assez modeste, mais j'ai été choquée de voir à quel point elle déformait ma silhouette. Soyons clairs : je ne veux pas être un homme, ni un transgenre. J'aime être une femme. Parler chiffons, faire du shopping, etc ... Dans presque tous les aspects de ma vie, je préfère être une femme. Alors pourquoi est-il inapproprié pour une femme de vouloir écarter les jambes de son homme, saisir ses hanches, s'enfoncer en lui et l'entendre gémir de plaisir ? Est-ce uniquement parce qu'une femme ne naît pas avec le bon équipement ?
Je ne voulais plus être soumise et passive devant la virilité du mâle. Je ne voulais plus être la seule à être pénétrée. Je voulais être dessus, la cavalière qui conduit son destrier vers les sommets du plaisir. J’avais besoin de donner mon amour à un gars qui me comprendrait et accepterait mon fantasme. Quelques jours plus tard, le gode est arrivé. J'ai ouvert la boîte sans respirer. C'était émouvant, de couleur rose chair, avec une protubérance plus courte pour moi, et une bite longue et souple pour les fesses du mec. J'ai fixé le gode dans l'anneau pénien du harnais, j'ai fait glisser le harnais le long de mes jambes, j'ai fermé les yeux et j'ai peiné durant une minute pour me pénétrer lentement avec la poire. J'étais déjà mouillée.
Une fois que l’outillage fut en place, j'ai ajusté mon harnais jusqu'à ce qu'il soit bien serré, je me suis placée devant le miroir, et j'ai ouvert les yeux. J'ai failli m'évanouir de bonheur. Compte tenu des teintes similaires, cela ressemblait presque à un véritable pénis sortant du harnais. Une femme se regarde tous les jours dans son miroir, elle y voit un corps lisse et tout en courbes. Maintenant, il y avait un appendice tendu et charnu devant mon entrejambe. Il avait l'air si puissant, la luxure personnifiée. Je l'ai touché. Juste une caresse timide au début, mais même avec ce léger contact, j'ai ressenti des frissons. J'ai essayé de le caresser de plusieurs manières différentes, jusqu'à ce que je constate qu'une prise ferme transmettait beaucoup de vibrations à mon clitoris. C’était probablement la consistance du matériau qui réalisait ce petit miracle. En me regardant dans le miroir, ça ressemblait vraiment à un homme qui se branle. J’ai joui. Fort.
Je me suis branlée avec mon gode tous les soirs pendant une semaine. Ce qui m'excitait le plus, c’était une image mentale du visage d'un mec au moment où je le pénétrais. Auparavant, même quand je chevauchais un gars, même si je le clouais au sol, je ne le baisais pas vraiment. C'était encore ma chatte qui était empalée. Mes singeries n’étaient qu’un divertissement, une tentative d'oublier qu'il était en moi, que c'était moi qui était pénétrée. Maintenant, je pouvais être ce que j'avais toujours voulu être. Je voulais avoir un gars complètement vulnérable, soumis, m’ouvrant son orifice. Je pouvais le faire gémir ou supplier au gré de mes humeurs. Je pouvais le soumettre à mes coups profonds, et voir une gratitude extatique sur son visage.
La semaine suivante, j'ai décidé de partir à la recherche d’un cobaye. J'ai planifié chaque détail. Je ne voulais pas sortir avec mes copines, elles m’auraient handicapée dans ma chasse à l’oiseau rare. Je cherchais un mâle isolé. S’il était accompagné, même d’un groupe de potes, c’était plus compliqué. Je ne voulais pas d’un dragueur maladif qui ne cherche qu’à faire un score. Je cherchais un mec normal, qui traîne un peu avant de rentrer chez lui. J’ai opté pour l’académie de billard. Les mecs y vont pour se détendre, pas pour draguer. Et combien de femmes célibataires traînent dans une salle de billard ?
Je m'habillais de façon sportive et décontractée. Un jeans et un chemisier. Des chaussures basses. Aucune raison d'attirer l'attention plus que nécessaire. Je me suis installée au bar, et j’ai commandé une bière. Un coup d’œil circulaire m’a permis de faire l’inventaire. Deux gars jouaient sur une table, un trio de jeunes sur une autre, un type âgé au bar regardait un match de foot à la télé. Un type bodybuildé discutait avec le barman. Point positif, il n’y avait pas de filles pour me faire de la concurrence. Point négatif, il n’y avait rien de comestible, du moins qui correspondait à ma recherche.
Je n’avais plu qu’à finir mon verre et à rentrer bredouille, lorsqu’un mec potable est entré en demandant une table. Il avait l'air d’avoir l’âge correct pour moi, la trentaine, blondinet, grand et mince, visage pas mal. J'ai commandé un autre verre pour me donner le temps de l’étudier, savoir s’il était seul ou s’il attendait un pote. Ou une nana ? J’ai fait semblant de m’intéresser au match à la télé pour le guigner du coin de l’œil. Dix minutes ont passé, il était toujours seul. J'ai décidé de tenter ma chance. Je voulais la jouer cool. Jamais aucun mec ne refusera un peu de sexe, mais les filles trop audacieuses rendent les mecs nerveux. Les gars se crispent lorsqu’une fille les drague trop ouvertement. Ils craignent que la nana soit affectivement dans le besoin et dans la recherche d’un petit ami sérieux. Il y avait un vrai risque de refus. Je me suis approchée pour demander nonchalamment :
« Vous jouez seul ? »
Il a levé les yeux vers moi puis, satisfait de ce qu’il voyait, m'a retourné un petit sourire. Il avait les cheveux d’un blond vénitien et le regard doux. D’une manière générale, son visage était d’une grande douceur.
« Ouais. J'avais rendez-vous avec un pote, mais il vient d’appeler pour dire qu'il avait un contretemps et qu’il me laissait tomber »
« J’ai envie de faire une partie ou deux. Est-ce que je peux jouer avec vous, si ça ne dérange pas ? »
Un autre petit sourire : « Le match n’est pas assez intéressant ? »
« Non, je ne suis pas très foot. C’était juste pour tuer le temps » Je lui ai tendu la main : « Morgane »
« Enchanté. Jason » Il a placé les billes.
En jouant, progressivement, nous avons fait connaissance. J'en ai appris un peu plus sur lui. Jason était un geek, il bossait dans l’informatique.
« Rien d’intéressant, juste taper du code » a-t-il plaisanté. Il avait un an de moins que moi, donc pas encore la trentaine, et il avait récemment eu une déception sentimentale. Il n’était pas balèze au niveau social, il avait fait des efforts, mais ça ne collait pas. Il semblait gentil et doux, peut-être un petit peu rêveur. Trop cool pour sa copine. Elle voulait un gars plus viril. Leur flirt avait duré quelques mois, puis elle s’était lassée et l’avait laissé tomber. Il semblait malheureux, adorable. J’évaluais mes chances d’arriver à lui percer le cul.
C'était risqué, mais j’étais prête à le tester, dès ce soir. Nous avons fait deux parties. Une victoire chacun. Il a gagné la première, et moi la deuxième. C'est bien de terminer sur une victoire. J’ai regardé ma montre.
« Bon, je vais me rentrer » dis-je en espérant qu’il me retiendrait.
« Euh, ouais » Il a regardé sa montre. Il n'était pas vraiment tard. « Je vais en faire encore une, mon bus part dans 25 minutes »
Excellent, la chance était de mon côté : « Je peux te ramener chez toi, si ça ne fait pas un grand détour »
Il me regarda, évaluant la situation. J'ai attendu les cinq secondes les plus longues de ma vie, le cœur dans la gorge. Puis il a déclaré : « Ouais, ce serait génial »
Une vague de soulagement m'a submergé mais, rétrospectivement, j'étais stupide. Quel homme refuserait de faire un tour accompagné d'une jeune femme? Je l’ai raccompagné jusque chez lui. Je me garais le long du trottoir, espérant une petite compensation pour le détour.
« Eh bien, merci pour le trajet » Il avait déjà la main sur la poignée de la porte. Il y avait urgence.
« De rien » Je me suis penchée vers lui, et je l'ai embrassé. Juste un bec. Qui s’est prolongé par un long baiser. Je l’imaginais déjà en train d’écarter ses fesses pour moi, et j'ai réalisé que j'avais ma main sur sa nuque, l'attirant fermement pour l’embrasser. Il ne résistait pourtant pas. J'ai rompu notre étreinte.
Il retrouva son souffle : « Mégane, tu me plais bien, mais je viens d'avoir une rupture difficile, et je ne suis pas sûr d'être prêt pour une nouvelle relation »
« Je ne cherche pas une relation sérieuse, Jason. Juste un coup d’un soir. Sans lendemain » J'ai fait une pause. Il paraissait choqué. « Pense à moi comme à une récréation, un dérivatif »
Au bout d'un moment, il a dit : « Ça me plaît bien »
Je lui ai donné un baiser, comme pour sceller notre accord, et nous sommes sortis de la voiture. J'ai attrapé mon sac fourre-tout qui contenait mon harnais et mon gode-ceinture, et nous sommes rentrés chez lui.
* * * * * *
Ma copine venait de rompre avec moi, en disant que j'étais une poule mouillée au lit. J'ai toujours essayé de prendre soin d’elle et de ses besoins, d’être doux et tendre. Mon pote Daniel m’a dit que je devais sortir de ma coquille, et il m’a invité à une partie de billard pour oublier mes malheurs. Bien sûr, il y a eu une merde, et il m’a planté. C'est comme ça que j'ai rencontré Mégane. Les cheveux noirs coupés courts, l’allure saine, une poitrine satisfaisante, un beau cul, elle avait l’air d’une fille dynamique. Le genre qui me plaît bien. Elle était assise seule au bar, en train de regarder un match à la télé, alors j'ai pensé qu'elle attendait quelqu’un. J'ai été surpris quand elle est venue me draguer en me proposant une partie de billard. J’ai été décontenancé quand elle m'a proposé de me raccompagner chez moi, et stupéfait quand elle a dit qu'elle cherchait un coup d’un soir. Je ne savais pas quoi penser d’elle.
Cherchait-elle juste un petit ami ? Ça ne pouvait pas être une professionnelle du sexe. Que trouvait-elle d’attirant chez moi ? Puis j'ai réalisé, Qu’est-ce que j’en avais à foutre ? J'étais célibataire, elle voulait tirer un coup, pour me changer les idées, il n’y avait pas mieux.
Dès que nous avons franchi la porte de mon appartement, elle m'a embrassé. J’aime les baisers doux et tendres, mais elle était fougueuse. Elle m’a mangé la bouche, mais j’aimais ça. Une minute plus tard, elle me poussait sur le canapé. Avant que je ne m'en rende compte, elle avait enlevé ma chemise et mordillait mes mamelons. Jamais aucune fille ne m'avait fait un truc semblable auparavant. C'était absolument agréable.
« Ouah » haletais-je.
Elle m'a souri : « Tu aimes ? C'est bon, n'est-ce pas, bébé ? »
Je ne savais pas quoi répondre. J’étais emporté par un tourbillon de sensations nouvelles.
« Je veux te faire découvrir beaucoup de choses spéciales, ce soir » a-t-elle déclaré. « Aide-moi à enlever ce pantalon » ronronna-t-elle. J'ai quitté mes chaussures et j'ai soulevé mes fesses du canapé, et elle m’a tout quitté d’un seul mouvement, mon pantalon et mon sous-vêtement, d'un seul coup. J’étais désemparé, entièrement nu alors qu’elle était encore habillée.
Elle s'est agenouillée entre mes jambes pour me caresser, et elle a commencé à sucer ma bite qui se dressait. Elle a léché ma tige plusieurs fois. Elle a fait tournoyer sa langue autour du gland avant de le prendre en bouche. Sa main a serré la base, et elle a coulissé de haut en bas. Sa bouche s'est déplacée vers mes couilles pour me gober les noix. Bientôt, sa langue descendait sous mes couilles, parcourant de haut en bas mon sillon fessier. Avant que je m'en rende compte, elle léchait mon anus.
« Waouh, Mégane, je ne crois pas ... »
« Détends-toi, bébé, tu n’aimes pas ? »
« Ouais, je veux dire, non, mais ... » Mais avant que je puisse formuler ma pensée, elle a de nouveau attaqué ma porte arrière avec ardeur, tout en pompant ma bite avec son poing. Je n'avais jamais été soumis à un tel traitement. Merde, qu’est-ce que c’était bon ! Elle a alterné entre mes boules et mon anus, entre ses coups de langue et la succion de ses lèvres affamées. Elle me rendait dingue. Je ne me connaissais pas aussi sensible de l’endroit. Beaucoup plus qu’on ne peut l’imaginer.
« Approche-toi », m'a-t-elle dit. J’ai glissé mes fesses sur le bord du canapé. J'ai soupiré de plaisir. Elle m'a récompensé avec un anulingus tonifié. J'ai fermé les yeux pour m’abandonner à des émotions agréables. Merde, cette fille était une vraie salope ! Deux minutes plus tard, elle suçait à nouveau ma bite. Sa main s'est déplacée pour caresser mon sillon fessier. C'était très humide et glissant. Ses doigts couraient le long de ma fente. Et puis son majeur s'est arrêté, juste sur mon anus, et elle a commencé à forcer. Je suis sorti de ma rêverie.
« Morgane, qu'est-ce que tu fais ? »
« Je veux te doigter, Jason »
« Quoi !? »
« Je veux mettre mon doigt dans ton cul » dit-elle tranquillement. « Je veux te sodomiser avec mon doigt Crois-moi, ça va être super »
Avant que je puisse trouver un argument pour lui répondre, elle a enfoncé son doigt.
« Détends-toi, bébé » Puis elle a poussé son doigt au-delà de la deuxième phalange.
« Ouche ! »
Elle m'a jeté un coup d’œil pour me jauger. Elle m’a sucé la bite, synchronisant sa succion avec sa caresse à l'intérieur de moi avec son doigt. Au début, j’étais inquiet. Mais c'était extraordinaire, inattendu, inventif. Je n’avais jamais rien vécu de tel, j’avais tout à découvrir, alors j’ai lâché prise en m’abandonnant à ses lubies.
« Écarte un peu tes pattes pour me donner un meilleur accès » dit-elle en repoussant mes genoux. Je lui ai obéis en soulevant mes pieds du sol. J'ai essayé de poser mes talons sur le canapé, mais elle a grogné : « Non, plus haut » J'ai remonté mes jambes jusqu'à ce que mes genoux soient presque au niveau de ma poitrine. Mes pieds en l'air, la plante des pieds regardait le plafond.
Elle s’allongea sur moi pour m'embrasser. Elle pressait son corps sur le mien. Je pouvais sentir ses formes peser sur moi, malgré sa légèreté. Je passais mes mains dans ses cheveux pour maintenir sa bouche sur la mienne. Sa main serpentait le long de ma cuisse, et je grognais d'anticipation. Elle a enfoncé deux doigts en moi. Elle les a enfoncés et ressortis plusieurs fois. Elle ne touchait même pas ma bite, mais les sensations étaient prodigieuses. J'avais l'impression d’être une femme, d’être sa femme. Puis elle s'est arrêtée. J'ai ouvert les yeux, pour croiser son regard. Un sourire salace illuminait le visage,
« Je veux te baiser, Jason »
« Merde, je veux te baiser aussi. Allons au lit »
« Non » dit-elle en secouant la tête, toujours souriante. « Je veux te baiser ici » Pendant qu'elle parlait, elle agitait ses doigts en moi pour que je comprenne bien. « Je vais mettre mon gode ceinture et te baiser dans le cul » Elle laissa ses mots en suspens, le temps que je me fasse à cette idée.
Mon cerveau a vrillé à 180°. Mes pensées se sont orientées vers des sensations sexuelles inédites. Je me trouvais dans la position d’une femelle. Allongé sur le dos, les pattes en l’air, le poids d’un corps sur moi. Elle remuait ses doigts dans mon cul, et j’aimais ça. J’ai réalisé qu’elle n’était pas une salope. Depuis le début, elle avait manœuvré pour m’amener dans cette position. C’était moi la salope. Je me sentais vulnérable, exposé et utilisé, et son sourire lascif était trop proche de moi.
« Je ne peux pas » dis-je d’une voix faible.
« Oui, tu peux. Tu aimes déjà. Ose me dire que ça ne te fait pas du bien ? » Elle remua un peu plus ses doigts pour me convaincre.
« Ouais, c’est vrai »
« Je vais te donner le meilleur orgasme de toute ta vie » D'après ce que je ressentais, cela pouvait être vrai.
« ... »
« Fais-moi confiance, s'il te plaît. Je ne ferai rien contre ta volonté. Je ne vais pas te violer. Tu auras toujours la possibilité de dire stop » Son expression s'était radoucie. Je me suis un peu relaxé. Il ne s'agissait pas de se venger de tous les machos. Je veux dire, c'était encore un peu bizarre, je ne la connaissais que depuis quelques heures, mais je lui faisais confiance. Je sentis mon anxiété s’estomper. Quelque part, au fond de moi, j'ai entendu la voix de mon ex, me dire que je n'étais pas vraiment un homme. J'ai pensé : « Va te faire foutre, connasse, j’ai trouvé quelqu'un qui m'aime comme je suis »
« D'accord » dis-je doucement.
Son immense sourire effaça mes craintes : « Tu ne vas pas le regretter, bébé. Je vais te faire jouir fort. Attends-moi, je reviens tout de suite »
Elle attrapa son sac à main et disparut dans la salle de bain. Je n’osais pas bouger et m’asseoir sur le canapé, j’avais les fesses toutes humides, j’avais peur de tacher. C'était si étrange. Qu'est-ce que j'étais sur le point de faire ? J'étais plus intrigué que nerveux. Je n'avais jamais eu d’appréhension avant un rapport sexuel. Même la première fois, je n'étais pas nerveux comme ça. J'ai entendu la porte de la salle de bain s’ouvrir et elle est apparue. Elle se tenait dans l’embrasure de la porte, presque entièrement nue. J'ai vu ses seins ronds pour la première fois. Mes yeux descendirent plus bas avec hésitation. Le harnais ressemblait à une culotte en cuir. Et là, comme un phare sur une île, se dressait son gode. Il ressemblait à une vraie bite. J'étais pétrifié et je ne pouvais pas détourner mon regard.
« Mégane, tu es magnifique »
« Merci, tu es gentil. Toi aussi, tu es sacrément sexy » Elle vint s'asseoir à côté de moi. Le gode pointait hors de son entrejambe. Je l'ai regardé. De près, je pouvais voir que c'était un gode, même s'il avait une forme très réaliste. Il avait l'air gigantesque.
« Aimes-tu ce que tu vois ? » demanda-t-elle en le caressant de manière espiègle.
« Peux-tu ressentir quelque chose ? »
« Pas directement, non. Mais il y a une deuxième partie à l'intérieur qui résonne très bien quand je bouge. En parlant de mouvement ... » Elle se pencha et m'embrassa langoureusement. J'ai réalisé que je n'avais pas besoin de prendre d'initiative ce soir. Elle pinçait mon mamelon. Bientôt, elle me poussait de côté et j'ai posé ma tête sur l'accoudoir.
« Bébé, ça ne fonctionnera que si tu écartes les jambes » J'ai obéi et elle s'est blottie contre moi. Sa main était instantanément dans mes fesses, elle me doigtait à nouveau. Je gémis de surprise autant que de luxure.
« Ouais, c'est ça, bébé. Montre-moi à quel point tu aimes ça » Elle a sorti de son sac à main un tube de lubrifiant pour enduire son gode. Mais qu'est-ce que j'étais sur le point de faire ?
« Lève tes jambes plus haut » J’ai glissé mes bras sous mes genoux pliés pour les maintenir contre mon torse. J'ai senti la pointe du gode toquer contre ma porte arrière.
« Détends-toi, bébé. Ça va piquer un peu, au début, mais ça ne durera pas. Crois-en mon expérience. Des gars m’ont déjà fait ça, et ils n’étaient pas aussi doux que moi. Je te promets que tu vas aimer »
Après ça, elle a donné une bonne poussée, et ça a sauté à l’intérieur. Ça m’a fait mal, et j'ai grimacé.
« Détends-toi, bébé. Respire bien à fond. Laisse simplement ton corps s'habituer à ma présence »
J'essayais vainement de penser à autre chose qu'au fait d’avoir ce gode dans mon cul. Quelques instants après, ça ne me picotait presque plus. Une agréable sensation de plénitude le remplaçait peu à peu.
« Es-tu prêt pour plus ? » J'ai hoché la tête et elle s'est introduite plus loin. J'avais l'impression que je ne pourrais pas en accepter plus, mais elle a continué de s’enfoncer en moi. Puis j'ai senti son mont de vénus s’appuyer contre mes fesses.
« Voilà, bébé. Tu as tout pris » Bêtement, j’ai ressenti de la fierté et j’ai souri, comme si j’avais réalisé un exploit. Elle me caressait en me parlant, elle m’enculait et j’étais heureux.
« Maintenant, je vais te défoncer le cul, bébé. Je vais te baiser jusqu’à ce que tu perdes la raison » Sur ce, elle se retira presque complètement, puis me donna une grande et lente poussée. J'ai haleté.
« Ça fait du bien, n'est-ce pas ? »
« Oh, putain, je n'en avais aucune idée » dis-je en haletant. Elle gardait un rythme régulier, lent et doux. Chaque poussée déclenchait une pluie de sensations dans mon corps, simplement parce que le gland proéminent frottait en passant contre ma prostate.
« Enroule tes jambes autour de mes reins, bébé » Je l'ai fait. « Est-ce que cela te semble différent ? »
« Pas vraiment »
« Et comme ça ? » Elle a changé d'angle.
« Oh putain ! » Cela m'a fait fermer les yeux. C'était si bon.
« Ah, ouais ? » Elle accélérait le rythme. Ses poussées étaient plus rapides et plus dures. Elle me claquait le cul avec son ventre. J'étais en délire. Je gémissais. J'ai commencé à pousser mes hanches à sa rencontre, pour répondre à ses poussées. Je voulais sentir le gode me forer aussi profondément que possible. Je voulais sentir son gode tout au fond de moi, m'ouvrir en deux. J’ai posé mes mains sur ses fesses.
« Oh, putain. Mégane. Baise-moi. Plus fort, Mégane. Baise-moi profond » Je pleurais presque en la suppliant. Elle accéléra encore, elle me martelait comme une poupée de chair. J'étais si près du but. J'arquais le dos et tentais de l’attirer encore plus profondément en moi avec mes jambes. Elle ralentit pour me taquiner, jusqu'à ce qu'un long coup lent parfaitement dosé me pousse au bord du gouffre.
« Oh, putain, je jouis ! » J'ai senti mon trou du cul se contracter sur son gode et j'ai giclé sans me toucher. J'ai failli m'évanouir de bonheur. C'était le meilleur orgasme de ma vie. Je me suis vidé. De longs jets de sperme. Longtemps, mes jambes ont tremblé. D’épuisement autant que d’exaltation.
« Oh, putain, c’était si bon. Excuse-moi, Mégane, je suis désolé »
« Pour quelle raison ? »
« Pour être venu si vite. Tu n'as rien eu, toi, n'est-ce pas ? »
« Non, mais nous n'avons pas encore fini. Mets-toi à quatre pattes, bébé »
Je crois que je pourrais m'y habituer.
J'aimais regarder son visage pendant l’extase. J’aimais l’entendre gémir faiblement, puis grogner d’une voix rauque. J’aimais vraiment lui faire l’amour. Je croyais lui faire plaisir, et c’était tout le contraire. Je venais de lui faire l’amour, j'étais aux anges, et il m’a jeté cela au visage. Il a rompu en prétendant qu’une femme ne devait pas se comporter ainsi. Que je devrais avoir plus de retenue, de décence, que je me comportais comme une machiste, et que j’étais probablement une lesbienne refoulée.
Dans mon désarroi post-rupture, j'ai navigué sur Internet à la recherche d’un mec cool. Ne trouvant pas mon bonheur, je suis allée sur des sites de porno pour me masturber. J'ai visionné des vidéos de femmes dominatrices, mais le bondage, ce n'est pas ce que j'aime. Pourquoi ferais-je souffrir mon amant ? Je voulais lui donner du plaisir. Il y a un pouvoir incroyable là-dedans, prendre en main son homme et l’amener doucement, graduellement, à s’abandonner dans mes bras. L’amener à m’accorder sa confiance, me laisser le diriger vers un plaisir ravissant, lui apprendre à réagir à mes sollicitations. Je voulais juste avoir une relation normale, aimante, mais où c'était la femme qui faisait l’amour à son homme.
J'étais sur le point d'abandonner quand j'ai vu ma première vidéo d'ancrage. Le "pegging", c'est comme ça que ça s’appelle, quand une femme porte un gode-ceinture, et pénètre son homme. Je ne connaissais pas et j’ai été fascinée. Dans cette vidéo qui m’a révélée mon fantasme, le gars était agenouillé sur le canapé, et la fille, derrière lui, le prenait en levrette. Clairement, elle aimait le caresser. Il y avait tellement de tendresse et d’amour dans ses gestes, dans leurs échanges de regard, que j’ai été bouleversée. Il prenait du plaisir, mais sans toucher son pénis. Visiblement, ils s’aimaient beaucoup.
Et puis ils ont changé de position. Il s'est allongé sur le dos, a écarté les jambes en les repliant de manière à remonter ses genoux jusqu’à sa poitrine. Elle a introduit son gode en lui et l’on pouvait entendre les bruits humides que faisait l’appareil en glissant dans le rectum. Elle s’est allongée sur lui et ils se sont embrassés passionnément en s’enlaçant tendrement. Puis, progressivement, elle a augmenté son rythme, et je pouvais discerner les claquements secs des chairs qui s’entrechoquent. Quand il s’est mis à gémir, elle a cesser de l’embrasser pour épier la montée du plaisir sur son visage.
Lorsque ses gémissements sont devenus plus rauques, elle l’a saisi à la gorge en claquant son mont de vénus de toutes ses forces contre les fesses du gars. Elle était possessive, dominante, et le gars a éjaculé sans jamais toucher son pénis. Souriante, essoufflée mais ravie, elle lui a bécoté le visage en lui disant qu’elle l’aimait. Je me suis masturbée en regardant cette vidéo encore et encore. Comment n'avais-je jamais vu cela auparavant ?
Cela a résonné en moi d'une manière si forte qu'aucun autre acte sexuel, réel ou fantasmé, n'avait jamais eu. J’ai su instantanément que je devais vivre cela. Je devais rattraper le temps perdu. Au cours des semaines suivantes, j'ai lu tout ce que je trouvais sur le sujet. J'ai approché des groupes de discussion en ligne, sollicité des conseils, et commandé du matériel pour continuer à me masturber selon mon nouveau fantasme. J'ai choisi un gode double en silicone, pour être mieux stimulée. Je l’ai choisi d’une couleur rose chair qui correspondait à peu près à mon teint. Autant que possible, je voulais que ce gode ressemble à ma bite, si j’en avais une. J’ai écouté les conseils des personnes qualifiées qui m’ont assurées que le double gode me procurerait beaucoup de plaisir, mais qu’il avait besoin de plus de soutien, notamment lors de poussées vigoureuses, et qu’il me fallait un harnais pour le maintenir en place.
En attendant, j'imaginais à quoi je pourrais ressembler avec une bite. Juste par curiosité, j'ai enroulé une chaussette et je l'ai fourrée dans ma culotte. Me regarder dans le miroir était surréaliste. Le paquet d'un homme est-il vraiment si gros ? En vérité, la chaussette représentait une dotation assez modeste, mais j'ai été choquée de voir à quel point elle déformait ma silhouette. Soyons clairs : je ne veux pas être un homme, ni un transgenre. J'aime être une femme. Parler chiffons, faire du shopping, etc ... Dans presque tous les aspects de ma vie, je préfère être une femme. Alors pourquoi est-il inapproprié pour une femme de vouloir écarter les jambes de son homme, saisir ses hanches, s'enfoncer en lui et l'entendre gémir de plaisir ? Est-ce uniquement parce qu'une femme ne naît pas avec le bon équipement ?
Je ne voulais plus être soumise et passive devant la virilité du mâle. Je ne voulais plus être la seule à être pénétrée. Je voulais être dessus, la cavalière qui conduit son destrier vers les sommets du plaisir. J’avais besoin de donner mon amour à un gars qui me comprendrait et accepterait mon fantasme. Quelques jours plus tard, le gode est arrivé. J'ai ouvert la boîte sans respirer. C'était émouvant, de couleur rose chair, avec une protubérance plus courte pour moi, et une bite longue et souple pour les fesses du mec. J'ai fixé le gode dans l'anneau pénien du harnais, j'ai fait glisser le harnais le long de mes jambes, j'ai fermé les yeux et j'ai peiné durant une minute pour me pénétrer lentement avec la poire. J'étais déjà mouillée.
Une fois que l’outillage fut en place, j'ai ajusté mon harnais jusqu'à ce qu'il soit bien serré, je me suis placée devant le miroir, et j'ai ouvert les yeux. J'ai failli m'évanouir de bonheur. Compte tenu des teintes similaires, cela ressemblait presque à un véritable pénis sortant du harnais. Une femme se regarde tous les jours dans son miroir, elle y voit un corps lisse et tout en courbes. Maintenant, il y avait un appendice tendu et charnu devant mon entrejambe. Il avait l'air si puissant, la luxure personnifiée. Je l'ai touché. Juste une caresse timide au début, mais même avec ce léger contact, j'ai ressenti des frissons. J'ai essayé de le caresser de plusieurs manières différentes, jusqu'à ce que je constate qu'une prise ferme transmettait beaucoup de vibrations à mon clitoris. C’était probablement la consistance du matériau qui réalisait ce petit miracle. En me regardant dans le miroir, ça ressemblait vraiment à un homme qui se branle. J’ai joui. Fort.
Je me suis branlée avec mon gode tous les soirs pendant une semaine. Ce qui m'excitait le plus, c’était une image mentale du visage d'un mec au moment où je le pénétrais. Auparavant, même quand je chevauchais un gars, même si je le clouais au sol, je ne le baisais pas vraiment. C'était encore ma chatte qui était empalée. Mes singeries n’étaient qu’un divertissement, une tentative d'oublier qu'il était en moi, que c'était moi qui était pénétrée. Maintenant, je pouvais être ce que j'avais toujours voulu être. Je voulais avoir un gars complètement vulnérable, soumis, m’ouvrant son orifice. Je pouvais le faire gémir ou supplier au gré de mes humeurs. Je pouvais le soumettre à mes coups profonds, et voir une gratitude extatique sur son visage.
La semaine suivante, j'ai décidé de partir à la recherche d’un cobaye. J'ai planifié chaque détail. Je ne voulais pas sortir avec mes copines, elles m’auraient handicapée dans ma chasse à l’oiseau rare. Je cherchais un mâle isolé. S’il était accompagné, même d’un groupe de potes, c’était plus compliqué. Je ne voulais pas d’un dragueur maladif qui ne cherche qu’à faire un score. Je cherchais un mec normal, qui traîne un peu avant de rentrer chez lui. J’ai opté pour l’académie de billard. Les mecs y vont pour se détendre, pas pour draguer. Et combien de femmes célibataires traînent dans une salle de billard ?
Je m'habillais de façon sportive et décontractée. Un jeans et un chemisier. Des chaussures basses. Aucune raison d'attirer l'attention plus que nécessaire. Je me suis installée au bar, et j’ai commandé une bière. Un coup d’œil circulaire m’a permis de faire l’inventaire. Deux gars jouaient sur une table, un trio de jeunes sur une autre, un type âgé au bar regardait un match de foot à la télé. Un type bodybuildé discutait avec le barman. Point positif, il n’y avait pas de filles pour me faire de la concurrence. Point négatif, il n’y avait rien de comestible, du moins qui correspondait à ma recherche.
Je n’avais plu qu’à finir mon verre et à rentrer bredouille, lorsqu’un mec potable est entré en demandant une table. Il avait l'air d’avoir l’âge correct pour moi, la trentaine, blondinet, grand et mince, visage pas mal. J'ai commandé un autre verre pour me donner le temps de l’étudier, savoir s’il était seul ou s’il attendait un pote. Ou une nana ? J’ai fait semblant de m’intéresser au match à la télé pour le guigner du coin de l’œil. Dix minutes ont passé, il était toujours seul. J'ai décidé de tenter ma chance. Je voulais la jouer cool. Jamais aucun mec ne refusera un peu de sexe, mais les filles trop audacieuses rendent les mecs nerveux. Les gars se crispent lorsqu’une fille les drague trop ouvertement. Ils craignent que la nana soit affectivement dans le besoin et dans la recherche d’un petit ami sérieux. Il y avait un vrai risque de refus. Je me suis approchée pour demander nonchalamment :
« Vous jouez seul ? »
Il a levé les yeux vers moi puis, satisfait de ce qu’il voyait, m'a retourné un petit sourire. Il avait les cheveux d’un blond vénitien et le regard doux. D’une manière générale, son visage était d’une grande douceur.
« Ouais. J'avais rendez-vous avec un pote, mais il vient d’appeler pour dire qu'il avait un contretemps et qu’il me laissait tomber »
« J’ai envie de faire une partie ou deux. Est-ce que je peux jouer avec vous, si ça ne dérange pas ? »
Un autre petit sourire : « Le match n’est pas assez intéressant ? »
« Non, je ne suis pas très foot. C’était juste pour tuer le temps » Je lui ai tendu la main : « Morgane »
« Enchanté. Jason » Il a placé les billes.
En jouant, progressivement, nous avons fait connaissance. J'en ai appris un peu plus sur lui. Jason était un geek, il bossait dans l’informatique.
« Rien d’intéressant, juste taper du code » a-t-il plaisanté. Il avait un an de moins que moi, donc pas encore la trentaine, et il avait récemment eu une déception sentimentale. Il n’était pas balèze au niveau social, il avait fait des efforts, mais ça ne collait pas. Il semblait gentil et doux, peut-être un petit peu rêveur. Trop cool pour sa copine. Elle voulait un gars plus viril. Leur flirt avait duré quelques mois, puis elle s’était lassée et l’avait laissé tomber. Il semblait malheureux, adorable. J’évaluais mes chances d’arriver à lui percer le cul.
C'était risqué, mais j’étais prête à le tester, dès ce soir. Nous avons fait deux parties. Une victoire chacun. Il a gagné la première, et moi la deuxième. C'est bien de terminer sur une victoire. J’ai regardé ma montre.
« Bon, je vais me rentrer » dis-je en espérant qu’il me retiendrait.
« Euh, ouais » Il a regardé sa montre. Il n'était pas vraiment tard. « Je vais en faire encore une, mon bus part dans 25 minutes »
Excellent, la chance était de mon côté : « Je peux te ramener chez toi, si ça ne fait pas un grand détour »
Il me regarda, évaluant la situation. J'ai attendu les cinq secondes les plus longues de ma vie, le cœur dans la gorge. Puis il a déclaré : « Ouais, ce serait génial »
Une vague de soulagement m'a submergé mais, rétrospectivement, j'étais stupide. Quel homme refuserait de faire un tour accompagné d'une jeune femme? Je l’ai raccompagné jusque chez lui. Je me garais le long du trottoir, espérant une petite compensation pour le détour.
« Eh bien, merci pour le trajet » Il avait déjà la main sur la poignée de la porte. Il y avait urgence.
« De rien » Je me suis penchée vers lui, et je l'ai embrassé. Juste un bec. Qui s’est prolongé par un long baiser. Je l’imaginais déjà en train d’écarter ses fesses pour moi, et j'ai réalisé que j'avais ma main sur sa nuque, l'attirant fermement pour l’embrasser. Il ne résistait pourtant pas. J'ai rompu notre étreinte.
Il retrouva son souffle : « Mégane, tu me plais bien, mais je viens d'avoir une rupture difficile, et je ne suis pas sûr d'être prêt pour une nouvelle relation »
« Je ne cherche pas une relation sérieuse, Jason. Juste un coup d’un soir. Sans lendemain » J'ai fait une pause. Il paraissait choqué. « Pense à moi comme à une récréation, un dérivatif »
Au bout d'un moment, il a dit : « Ça me plaît bien »
Je lui ai donné un baiser, comme pour sceller notre accord, et nous sommes sortis de la voiture. J'ai attrapé mon sac fourre-tout qui contenait mon harnais et mon gode-ceinture, et nous sommes rentrés chez lui.
* * * * * *
Ma copine venait de rompre avec moi, en disant que j'étais une poule mouillée au lit. J'ai toujours essayé de prendre soin d’elle et de ses besoins, d’être doux et tendre. Mon pote Daniel m’a dit que je devais sortir de ma coquille, et il m’a invité à une partie de billard pour oublier mes malheurs. Bien sûr, il y a eu une merde, et il m’a planté. C'est comme ça que j'ai rencontré Mégane. Les cheveux noirs coupés courts, l’allure saine, une poitrine satisfaisante, un beau cul, elle avait l’air d’une fille dynamique. Le genre qui me plaît bien. Elle était assise seule au bar, en train de regarder un match à la télé, alors j'ai pensé qu'elle attendait quelqu’un. J'ai été surpris quand elle est venue me draguer en me proposant une partie de billard. J’ai été décontenancé quand elle m'a proposé de me raccompagner chez moi, et stupéfait quand elle a dit qu'elle cherchait un coup d’un soir. Je ne savais pas quoi penser d’elle.
Cherchait-elle juste un petit ami ? Ça ne pouvait pas être une professionnelle du sexe. Que trouvait-elle d’attirant chez moi ? Puis j'ai réalisé, Qu’est-ce que j’en avais à foutre ? J'étais célibataire, elle voulait tirer un coup, pour me changer les idées, il n’y avait pas mieux.
Dès que nous avons franchi la porte de mon appartement, elle m'a embrassé. J’aime les baisers doux et tendres, mais elle était fougueuse. Elle m’a mangé la bouche, mais j’aimais ça. Une minute plus tard, elle me poussait sur le canapé. Avant que je ne m'en rende compte, elle avait enlevé ma chemise et mordillait mes mamelons. Jamais aucune fille ne m'avait fait un truc semblable auparavant. C'était absolument agréable.
« Ouah » haletais-je.
Elle m'a souri : « Tu aimes ? C'est bon, n'est-ce pas, bébé ? »
Je ne savais pas quoi répondre. J’étais emporté par un tourbillon de sensations nouvelles.
« Je veux te faire découvrir beaucoup de choses spéciales, ce soir » a-t-elle déclaré. « Aide-moi à enlever ce pantalon » ronronna-t-elle. J'ai quitté mes chaussures et j'ai soulevé mes fesses du canapé, et elle m’a tout quitté d’un seul mouvement, mon pantalon et mon sous-vêtement, d'un seul coup. J’étais désemparé, entièrement nu alors qu’elle était encore habillée.
Elle s'est agenouillée entre mes jambes pour me caresser, et elle a commencé à sucer ma bite qui se dressait. Elle a léché ma tige plusieurs fois. Elle a fait tournoyer sa langue autour du gland avant de le prendre en bouche. Sa main a serré la base, et elle a coulissé de haut en bas. Sa bouche s'est déplacée vers mes couilles pour me gober les noix. Bientôt, sa langue descendait sous mes couilles, parcourant de haut en bas mon sillon fessier. Avant que je m'en rende compte, elle léchait mon anus.
« Waouh, Mégane, je ne crois pas ... »
« Détends-toi, bébé, tu n’aimes pas ? »
« Ouais, je veux dire, non, mais ... » Mais avant que je puisse formuler ma pensée, elle a de nouveau attaqué ma porte arrière avec ardeur, tout en pompant ma bite avec son poing. Je n'avais jamais été soumis à un tel traitement. Merde, qu’est-ce que c’était bon ! Elle a alterné entre mes boules et mon anus, entre ses coups de langue et la succion de ses lèvres affamées. Elle me rendait dingue. Je ne me connaissais pas aussi sensible de l’endroit. Beaucoup plus qu’on ne peut l’imaginer.
« Approche-toi », m'a-t-elle dit. J’ai glissé mes fesses sur le bord du canapé. J'ai soupiré de plaisir. Elle m'a récompensé avec un anulingus tonifié. J'ai fermé les yeux pour m’abandonner à des émotions agréables. Merde, cette fille était une vraie salope ! Deux minutes plus tard, elle suçait à nouveau ma bite. Sa main s'est déplacée pour caresser mon sillon fessier. C'était très humide et glissant. Ses doigts couraient le long de ma fente. Et puis son majeur s'est arrêté, juste sur mon anus, et elle a commencé à forcer. Je suis sorti de ma rêverie.
« Morgane, qu'est-ce que tu fais ? »
« Je veux te doigter, Jason »
« Quoi !? »
« Je veux mettre mon doigt dans ton cul » dit-elle tranquillement. « Je veux te sodomiser avec mon doigt Crois-moi, ça va être super »
Avant que je puisse trouver un argument pour lui répondre, elle a enfoncé son doigt.
« Détends-toi, bébé » Puis elle a poussé son doigt au-delà de la deuxième phalange.
« Ouche ! »
Elle m'a jeté un coup d’œil pour me jauger. Elle m’a sucé la bite, synchronisant sa succion avec sa caresse à l'intérieur de moi avec son doigt. Au début, j’étais inquiet. Mais c'était extraordinaire, inattendu, inventif. Je n’avais jamais rien vécu de tel, j’avais tout à découvrir, alors j’ai lâché prise en m’abandonnant à ses lubies.
« Écarte un peu tes pattes pour me donner un meilleur accès » dit-elle en repoussant mes genoux. Je lui ai obéis en soulevant mes pieds du sol. J'ai essayé de poser mes talons sur le canapé, mais elle a grogné : « Non, plus haut » J'ai remonté mes jambes jusqu'à ce que mes genoux soient presque au niveau de ma poitrine. Mes pieds en l'air, la plante des pieds regardait le plafond.
Elle s’allongea sur moi pour m'embrasser. Elle pressait son corps sur le mien. Je pouvais sentir ses formes peser sur moi, malgré sa légèreté. Je passais mes mains dans ses cheveux pour maintenir sa bouche sur la mienne. Sa main serpentait le long de ma cuisse, et je grognais d'anticipation. Elle a enfoncé deux doigts en moi. Elle les a enfoncés et ressortis plusieurs fois. Elle ne touchait même pas ma bite, mais les sensations étaient prodigieuses. J'avais l'impression d’être une femme, d’être sa femme. Puis elle s'est arrêtée. J'ai ouvert les yeux, pour croiser son regard. Un sourire salace illuminait le visage,
« Je veux te baiser, Jason »
« Merde, je veux te baiser aussi. Allons au lit »
« Non » dit-elle en secouant la tête, toujours souriante. « Je veux te baiser ici » Pendant qu'elle parlait, elle agitait ses doigts en moi pour que je comprenne bien. « Je vais mettre mon gode ceinture et te baiser dans le cul » Elle laissa ses mots en suspens, le temps que je me fasse à cette idée.
Mon cerveau a vrillé à 180°. Mes pensées se sont orientées vers des sensations sexuelles inédites. Je me trouvais dans la position d’une femelle. Allongé sur le dos, les pattes en l’air, le poids d’un corps sur moi. Elle remuait ses doigts dans mon cul, et j’aimais ça. J’ai réalisé qu’elle n’était pas une salope. Depuis le début, elle avait manœuvré pour m’amener dans cette position. C’était moi la salope. Je me sentais vulnérable, exposé et utilisé, et son sourire lascif était trop proche de moi.
« Je ne peux pas » dis-je d’une voix faible.
« Oui, tu peux. Tu aimes déjà. Ose me dire que ça ne te fait pas du bien ? » Elle remua un peu plus ses doigts pour me convaincre.
« Ouais, c’est vrai »
« Je vais te donner le meilleur orgasme de toute ta vie » D'après ce que je ressentais, cela pouvait être vrai.
« ... »
« Fais-moi confiance, s'il te plaît. Je ne ferai rien contre ta volonté. Je ne vais pas te violer. Tu auras toujours la possibilité de dire stop » Son expression s'était radoucie. Je me suis un peu relaxé. Il ne s'agissait pas de se venger de tous les machos. Je veux dire, c'était encore un peu bizarre, je ne la connaissais que depuis quelques heures, mais je lui faisais confiance. Je sentis mon anxiété s’estomper. Quelque part, au fond de moi, j'ai entendu la voix de mon ex, me dire que je n'étais pas vraiment un homme. J'ai pensé : « Va te faire foutre, connasse, j’ai trouvé quelqu'un qui m'aime comme je suis »
« D'accord » dis-je doucement.
Son immense sourire effaça mes craintes : « Tu ne vas pas le regretter, bébé. Je vais te faire jouir fort. Attends-moi, je reviens tout de suite »
Elle attrapa son sac à main et disparut dans la salle de bain. Je n’osais pas bouger et m’asseoir sur le canapé, j’avais les fesses toutes humides, j’avais peur de tacher. C'était si étrange. Qu'est-ce que j'étais sur le point de faire ? J'étais plus intrigué que nerveux. Je n'avais jamais eu d’appréhension avant un rapport sexuel. Même la première fois, je n'étais pas nerveux comme ça. J'ai entendu la porte de la salle de bain s’ouvrir et elle est apparue. Elle se tenait dans l’embrasure de la porte, presque entièrement nue. J'ai vu ses seins ronds pour la première fois. Mes yeux descendirent plus bas avec hésitation. Le harnais ressemblait à une culotte en cuir. Et là, comme un phare sur une île, se dressait son gode. Il ressemblait à une vraie bite. J'étais pétrifié et je ne pouvais pas détourner mon regard.
« Mégane, tu es magnifique »
« Merci, tu es gentil. Toi aussi, tu es sacrément sexy » Elle vint s'asseoir à côté de moi. Le gode pointait hors de son entrejambe. Je l'ai regardé. De près, je pouvais voir que c'était un gode, même s'il avait une forme très réaliste. Il avait l'air gigantesque.
« Aimes-tu ce que tu vois ? » demanda-t-elle en le caressant de manière espiègle.
« Peux-tu ressentir quelque chose ? »
« Pas directement, non. Mais il y a une deuxième partie à l'intérieur qui résonne très bien quand je bouge. En parlant de mouvement ... » Elle se pencha et m'embrassa langoureusement. J'ai réalisé que je n'avais pas besoin de prendre d'initiative ce soir. Elle pinçait mon mamelon. Bientôt, elle me poussait de côté et j'ai posé ma tête sur l'accoudoir.
« Bébé, ça ne fonctionnera que si tu écartes les jambes » J'ai obéi et elle s'est blottie contre moi. Sa main était instantanément dans mes fesses, elle me doigtait à nouveau. Je gémis de surprise autant que de luxure.
« Ouais, c'est ça, bébé. Montre-moi à quel point tu aimes ça » Elle a sorti de son sac à main un tube de lubrifiant pour enduire son gode. Mais qu'est-ce que j'étais sur le point de faire ?
« Lève tes jambes plus haut » J’ai glissé mes bras sous mes genoux pliés pour les maintenir contre mon torse. J'ai senti la pointe du gode toquer contre ma porte arrière.
« Détends-toi, bébé. Ça va piquer un peu, au début, mais ça ne durera pas. Crois-en mon expérience. Des gars m’ont déjà fait ça, et ils n’étaient pas aussi doux que moi. Je te promets que tu vas aimer »
Après ça, elle a donné une bonne poussée, et ça a sauté à l’intérieur. Ça m’a fait mal, et j'ai grimacé.
« Détends-toi, bébé. Respire bien à fond. Laisse simplement ton corps s'habituer à ma présence »
J'essayais vainement de penser à autre chose qu'au fait d’avoir ce gode dans mon cul. Quelques instants après, ça ne me picotait presque plus. Une agréable sensation de plénitude le remplaçait peu à peu.
« Es-tu prêt pour plus ? » J'ai hoché la tête et elle s'est introduite plus loin. J'avais l'impression que je ne pourrais pas en accepter plus, mais elle a continué de s’enfoncer en moi. Puis j'ai senti son mont de vénus s’appuyer contre mes fesses.
« Voilà, bébé. Tu as tout pris » Bêtement, j’ai ressenti de la fierté et j’ai souri, comme si j’avais réalisé un exploit. Elle me caressait en me parlant, elle m’enculait et j’étais heureux.
« Maintenant, je vais te défoncer le cul, bébé. Je vais te baiser jusqu’à ce que tu perdes la raison » Sur ce, elle se retira presque complètement, puis me donna une grande et lente poussée. J'ai haleté.
« Ça fait du bien, n'est-ce pas ? »
« Oh, putain, je n'en avais aucune idée » dis-je en haletant. Elle gardait un rythme régulier, lent et doux. Chaque poussée déclenchait une pluie de sensations dans mon corps, simplement parce que le gland proéminent frottait en passant contre ma prostate.
« Enroule tes jambes autour de mes reins, bébé » Je l'ai fait. « Est-ce que cela te semble différent ? »
« Pas vraiment »
« Et comme ça ? » Elle a changé d'angle.
« Oh putain ! » Cela m'a fait fermer les yeux. C'était si bon.
« Ah, ouais ? » Elle accélérait le rythme. Ses poussées étaient plus rapides et plus dures. Elle me claquait le cul avec son ventre. J'étais en délire. Je gémissais. J'ai commencé à pousser mes hanches à sa rencontre, pour répondre à ses poussées. Je voulais sentir le gode me forer aussi profondément que possible. Je voulais sentir son gode tout au fond de moi, m'ouvrir en deux. J’ai posé mes mains sur ses fesses.
« Oh, putain. Mégane. Baise-moi. Plus fort, Mégane. Baise-moi profond » Je pleurais presque en la suppliant. Elle accéléra encore, elle me martelait comme une poupée de chair. J'étais si près du but. J'arquais le dos et tentais de l’attirer encore plus profondément en moi avec mes jambes. Elle ralentit pour me taquiner, jusqu'à ce qu'un long coup lent parfaitement dosé me pousse au bord du gouffre.
« Oh, putain, je jouis ! » J'ai senti mon trou du cul se contracter sur son gode et j'ai giclé sans me toucher. J'ai failli m'évanouir de bonheur. C'était le meilleur orgasme de ma vie. Je me suis vidé. De longs jets de sperme. Longtemps, mes jambes ont tremblé. D’épuisement autant que d’exaltation.
« Oh, putain, c’était si bon. Excuse-moi, Mégane, je suis désolé »
« Pour quelle raison ? »
« Pour être venu si vite. Tu n'as rien eu, toi, n'est-ce pas ? »
« Non, mais nous n'avons pas encore fini. Mets-toi à quatre pattes, bébé »
Je crois que je pourrais m'y habituer.
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau récit.
Comme j'aimerai être à la place de Jason...
Comme j'aimerai être à la place de Jason...
Superbe récit, très bien écrit, on s'y croirait...
Super recit je veux la même chose
Mon rêve mon fantasme bravo. J'espère une suite.
Très excitant
Ça laisse rêveur...
C'est trop bon de se faire enculer par une femme.
Vraiment une belle histoire , monsieur a beaucoup de chance d'être tombé sur vous.
Je pense aller fréquenter les salles de billards plus souvent ;)
Je pense aller fréquenter les salles de billards plus souvent ;)
Très excitant et bien écrit. Merci pour ce texte
excellent ces mecs toutes des femelles en devenir!!
Superbement naïf pour le soumis et génialement aventureuse pour Madame.
J'en redemande !
Merci et bravo.
J'en redemande !
Merci et bravo.