Malice et Perfidie

- Par l'auteur HDS Tamalou -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Malice et Perfidie Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Malice et Perfidie
Bérengère a su très tôt, après avoir rencontré Michel, qu'elle l'épouserait. Elle n'était pas véritablement amoureuse, mais il avait tout ce qu'elle recherchait chez un homme. Grand, bien bâti, avec un emploi très lucratif dans une grande boîte d’informatique. Elle ne connaissait pas grand-chose aux logiciels ou à la programmation, mais Michel était un crack dans son travail, et ses compétences très recherchées lui permettaient de dicter ses conditions. Il travaillait souvent de chez lui et, quand il n'était pas en train de "taper du code" comme il aimait le dire, il s’exerçait sur des programmes complexes. Il passait trop de temps devant ses ordinateurs, et n’était pas particulièrement un adepte des relations sociales.

Cela ne dérangeait pas trop Bérengère. Elle n'était pas du genre possessive, elle aimait vivre de manière indépendante, ce qui consistait principalement à sortir avec ses copines dans des boîtes de nuit branchées. La plupart de ses copines étaient comme elle, des fêtardes qui s’étaient mariées jeunes avec des mecs pleins aux as. Bérengère, contrairement à la plupart de ses amies, était une travailleuse de la nuit. Sa plastique parfaite lui permettait d’avoir un emploi de serveuse dans une boîte à la mode, lorsqu'elle a rencontré Michel. 
Beaucoup de ces filles amélioraient les fins de mois en acceptant un boulot d’escorte, souvent chaudement recommandé par les patrons de la boîte. Bérengère n’échappait pas à cet règle. Simplement, elle était embauchée, pas intérimaire, et n’était pas dans le besoin comme la plupart des filles. Sans être un ange de pureté, elle pouvait choisir sa clientèle, et poser ses conditions. Elle passait souvent du temps avec les gars qu'elle rencontrait dans les salons privés, parfois elle les accompagnait ailleurs, et s'ils voulaient lui donner un peu d'argent, elle ne refusait pas. Elle n'a jamais été avec des gars qui ne lui plaisaient pas, et elle n’a jamais fait des trucs qu’elle ne voulait pas. Elle a même partagé quelques bons moments.

Michel, avec une bande de copains, organisait un enterrement de vie de garçon. Ils se sont présentés au club déjà bien imbibés, et ils ont dû payer un supplément pour un salon privé. Ils n'avaient pas réservé, la boîte était pleine à craquer, et ils ont dû lâcher un gros paquet de billets pour obtenir un salon privé. Cela a attiré l'attention des filles qui travaillaient ici. Le groupe de Michel était une bande de joyeux fêtards, pas des types grossiers et maladroits, ils ont payé le supplément sans sourciller, et ils ont commandé une demie-douzaine de bouteilles de champagne, le plus cher. Cela a excité la convoitise des filles qui se sont pressées autour du carré VIP.

Lorsque vous obtenez un salon privé, et que vous dépensez beaucoup, le monde vous appartient. Il y a des vigiles qui protègent l’endroit contre la meute de filles qui essaient de se faire apprécier. Les gars amènent des filles à votre table, et si elles ne vous plaisent pas, ils les raccompagnent et vous en amènent d’autres. Michel lui-même était plutôt calme, pas désagréable, mais il ne pouvait pas quitter Bérengère des yeux depuis qu'il l'avait aperçue. Michel voulait passer du temps avec Bérengère, et il n'a pas sourcillé quand elle lui a dit qu'il devait acheter une bouteille supplémentaire. Elle lui a expliqué qu’elle était une employée, pas une cliente, et qu’il devait payer ainsi le temps qu’il passait avec elle. Elle n’a pas cru bon d’ajouter qu’elle avait une commission sur les bouteilles consommées dans ce salon.

Bérengère a apprécié la soirée avec ce groupe. Ils se sont amusés, ils ont fait beaucoup de bruit, mais il n’y a pas eu de dérapage. Personne ne s’est enivré. Personne n’est devenu agressif. Ils s’amusaient sans se chamailler. Juste un groupe d’amis qui faisaient la fête, en dépensant beaucoup d’argent. Michel, bien que très intéressé par Bérengère, est resté très courtois. Il ne la traitait pas comme si elle était sa propriété, ou pire, comme une pute que l’on se passe de main en main. Il appréciait sa compagnie, et il était heureux de l'avoir à ses côtés pour la soirée. Lorsqu'il lui a demandé son numéro, elle l'a donné sans hésiter, en espérant qu'il l'appellerait bientôt, ce qu'il a fait.

Pour leurs premiers rendez-vous, il l'a emmenée dans des restaurants chics et à des spectacles de qualité. Il n’a pas caché qu’il était amoureux d’elle. Il dépensait sans compter pour elle. Il n’hésitait jamais à donner de gros pourboires pour avoir les meilleures places, ou pour couper les files d’attente. Elle n'a jamais ressenti l'étincelle de l’amour fou, mais elle l'aimait assez pour lui accorder ses faveurs. Plus il la traitait comme une princesse, plus elle l’appréciait. Elle aimait aussi qu'il ne soit ni autoritaire, ni jaloux. Travaillant dans le secteur des services de la nuit, elle connaissait du monde dans toutes les boîtes où ils allaient.

Il n’était pas danseur et, quand elle rejoignait ses copines sur la piste de danse, il s’installait au bar, ou à une table, et la regardait s’amuser de loin. Michel voulait qu'elle passe un bon moment sans se préoccuper de lui. Mais il ne la quittait pas des yeux, surtout quand elle dansait avec des gars qu'elle connaissait. Il n'a jamais fait la moindre réflexion, il l’a juste regardée attentivement. À l'époque, elle pensait qu'il essayait de la protéger. Au lit, il était parfois un peu hésitant, comme s'il avait peur de mal faire, ou de ne pas avoir la bonne manière. Fine mouche, elle a vite compris que tout allait beaucoup mieux quand elle dirigeait l'action. Quelques mois après leur première rencontre, il lui a déclaré sa flamme. Elle s’est jetée à son cou en lui demandant de fixer la date.

Et ils se sont mariés. Une très belle cérémonie, suivie d’une lune de miel en Thaïlande, c’était merveilleux. Excursions et shopping le jour, et la fête tous les soirs. Leurs ébats amoureux étaient torrides et fréquents. Michel a gardé son habitude de s'asseoir au bar pour la regarder danser, et Bérengère s’agaçait. Ce n'était pas une soirée où elle faisait la fête avec des amis. Ils étaient dans un pays étranger, entourés d’inconnus. Personne ne les connaissait, ils ne connaissaient personne, il n'y avait aucune raison pour que Michel soit si inhibé. Mais elle ne parvenait toujours pas à le faire danser. Perfide, elle a décidé de le pousser à réagir en provocant sa jalousie.

Michel la surveillait attentivement pendant qu'elle était sur la piste de danse, alors elle a accepté de danser avec tous les gars qui lui demandaient. Elle voulait le rendre assez jaloux pour qu’il se lève, et vienne la rejoindre. Elle dansait avec des inconnus en regardant Michel, qui la regardait. Les hommes se frottaient contre elle, et elle ne les remarquait même pas. Michel ne bougeait toujours pas, il ne la quittait pas des yeux en vidant quelques bières. À un moment donné, c’est un australien qui s'est approché, et il a établi un contact corporel dans son dos. Il n’a rien demandé, il est venu se presser contre elle, elle a regardé Michel qui la regardait attentivement, sans faire le moindre mouvement.

Quand un autre australien s'est mis à danser devant elle, elle s’est déplacée légèrement de côté pour garder Michel dans son champ de vision. Le deuxième australien a réduit la distance devant elle, et avant qu'elle ne réalise ce qui se passait, elle a été prise en sandwich entre les deux gars qui ont établi un contact corporel total, devant et derrière. Michel ne faisait toujours rien pour l’empêcher, il était plus attentif que jamais à la scène qui se déroulait devant lui. Sans quitter Michel des yeux, elle a levé les bras en l’air, au-dessus de sa tête, pour donner aux australiens un accès complet à ses formes aguichantes. Michel semblait ravi, et c'est à ce moment-là qu'elle a compris ce qui se passait.

Michel ne la regardait pas danser pour la protéger. Il ne restait pas assis par timidité. Il la regardait se frotter contre d'autres gars parce qu'il aimait ça. Passionnément. Lorsque l’australien derrière elle a posé ses mains sur ses hanches, elle a cambré ses reins pour frotter ses fesses contre le ventre du gars. La robe était légère, le tissu très fin permettait un contact étroit entre leurs deux corps. Elle sentait les mains du gars masser la chair de ses hanches, et elle sentait son érection se tendre et se gonfler contre son cul. Le deuxième australien voulait sa part du gâteau, et il vint se presser contre elle pour apprécier la fermeté de ses nichons contre son torse. Elle appréciait la chaleur de ces deux corps pressés contre le sien.

Elle a laissé redescendre ses bras pour poser ses mains sur les épaules du gars devant. Souriante, elle ne quittait pas Michel des yeux, espérant sa réaction. Mais il ne bougeait toujours pas, se contentant de mater. Même son attitude perverse et libertine n’incitait pas Michel à se lever pour la rejoindre. Toujours souriante, les yeux rivés sur les yeux de son mari, elle laissait les deux gars faire d’elle ce qu'ils voulaient. Le gars devant se pencha, essayant manifestement d'obtenir un baiser. Elle le laissa s'approcher et tourna brusquement la tête pour lui échapper. Elle a ri, s’est dégagée d’une pirouette d’entre les deux gars, qui ont clairement montré leur déception. Ils l’ont invitée à leur table pour continuer la soirée, mais elle a refusé en leur disant qu’elle était déjà en main, sans plus de précision. Elle est retournée vers Michel pour lui parler, mais son air grave l’a inquiétée.

« Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu es en colère ? »
Il lui prit la main et la posa sur l'entrejambe de son pantalon. Son sexe était raide et tendu comme une tige métallique.

« Je ne suis pas en colère, tu me rends fou, tu ne t’en es pas aperçue ? »
« Pourquoi ne m’as-tu pas arrêtée ? »
« Parce que je ne peux pas. J’aime trop ce que tu fais. »
Elle le fixa pendant plusieurs secondes, le dévisageant attentivement pour s’assurer de bien comprendre. Le regard de Michel lançait des flammes. Elle ne l’avait jamais vu autant excité. Elle a essayé de choisir ses mots avec soin. Elle l’embrassa tendrement.

« Si tu aimes ce que tu as vu, je peux faire plus. Est-ce que tu aimerais que j’en fasse plus avec eux ? »
« Oui, vas-y, fais ce qui te plaît » articula-t-il difficilement d'une voix rauque, la gorge nouée par l’émotion.

Elle lui sourit, un sourire fripon de coquine. Les mains baladeuses des deux gars l’avaient chauffée, elle était mouillée et déterminée, si c'était ce qu'il aimait, elle allait lui donner un spectacle érotique. Elle lui a donné son sac à main en disant : « Tiens. Garde mon sac. Devant toi. Pose tes mains dessus. Pour que les gens puissent te voir tenir mon sac à main, pendant que je m'amuse avec ces deux gars »
Il n'a pas dit un mot, il a juste tenu son sac à main sur ses genoux. Cela cachait son érection trop évidente. Elle ouvrit son sac à main pour en sortir son bâton de rouge à lèvres. Elle le tint devant elle en regardant Michel, battant des cils avec séduction, puis elle regarda de l'autre côté du bar jusqu'à ce qu'elle établisse un contact visuel avec les deux australiens assis à leur table en train de descendre des bières. Elle a déployé le tube de rouge pour peindre ses lèvres, en les fixant délibérément tout le temps. Quand elle eut fini, elle regarda Michel, se lécha les lèvres d'une manière exagérément salope, remit son rouge à lèvres dans son sac à main, et regagna la piste de danse. Les deux australiens se sont levés d’un bond pour la rejoindre, mais elle leur a fait signe qu'elle ne voulait danser qu’avec un à la fois.

La musique était plus rapide cette fois, un air latino au rythme syncopé, et elle se dandinait de manière beaucoup plus effrontée et troublante qu'elle n’osait le faire habituellement en présence de Michel. Le tissu de sa robe légère s’envolait autour d’elle, découvrant ses cuisses fuselées. Elle tournait autour de son partenaire, aérienne et gracieuse, en regardant le plus souvent possible Michel droit dans les yeux. Il restait toujours assis à la même place, sans ciller, cramponné à son sac à main, en la regardant attentivement. Son cavalier lui a demandé avec qui elle était, et elle lui a désigné Michel :
« C’est mon mari ! Nous sommes en voyage de noces ! »
L'australien a demandé : « Est-ce que vous organisez un spectacle à son attention ? »
« Oui. Est-ce que vous voulez m’aider ? »
« Absolument ! Faisons-lui un show qu’il appréciera, alors »
Elle s'est retournée vers son mari, et elle a demandé : « Faites un petit coucou à Michel »
Il a souri à Michel en lui faisant un signe de la main : « Hé mec ! Ta femme est bien séduisante ! »
Michel ne pouvait pas comprendre ce que l'homme disait, mais il vit le geste, et sut qu'il lui parlait.

« Oh, tu es un vicieux, n'est-ce pas ? » elle a ri.

« Tu ne doutes pas à quel point, mignonne » dit-il en se penchant pour lui voler un baiser.

Elle a mimé une grimace de fille choquée pour Michel, avec sa main devant sa bouche et les yeux écarquillés. L'australien attrapa son poignet et écarta doucement sa main, puis se pencha pour lui donner un baiser sur les lèvres. Elle inclina la tête de côté en entrouvrant légèrement ses lèvres pour un long baiser appuyé, bouche ouverte avec un jeu de langues. Lorsque l'australien interrompit le baiser, elle lui fit face, l’air faussement courroucé, agitant son doigt devant son visage comme s'il venait de faire quelque chose de vraiment offensant. Elle le repoussa d’une main en faisant signe à son copain de venir la rejoindre.

Elle a rejoué toute la scène avec lui. La danse, le salut à l’attention de Michel, puis le baiser. Établissant un contact visuel fréquent avec Michel, en demandant à son cavalier de jouer la comédie. Cela embarrassa Michel, mais pas assez pour qu'il se lève de son siège. Lorsque la musique devint plus propice, elle dansa entre ses deux chevaliers servants, prise en sandwich entre eux, en se frottant et se trémoussant de manière obscène, les embrassant à pleine bouche à tour de rôle.

Elle savait chauffer les hommes, c’était son métier avant de connaître Michel. Il voulait du spectacle, et le show était parfaitement dans ses cordes. Tout autour de la piste de danse, les gens n’avaient d’yeux que pour elle. Ils regardaient incrédules, l'interaction entre elle, ses deux cavaliers et Michel, toujours assis en gardant précieusement son sac à main. Certaines dames étaient manifestement mécontentes, mais la plupart des hommes se passionnaient pour chacun de ses mouvements.

Elle ne voulait pas prolonger le spectacle, surtout ne pas risquer d’aller trop loin, et de froisser Michel. Elle avait besoin de passer du temps seule avec Michel, afin qu'ils puissent parler de cette soirée, échanger leurs impressions, et décider ce qu'ils voulaient faire, le cas échéant. Elle a pris congé des deux gars malgré leurs protestations, elle a noté leurs numéros, en leur disant qu'elle pourrait les recontacter s'ils étaient gentils. Elle se dirigea vers Michel, attrapa son sac à main, glissa son bras sous le sien, et l’entraîna vers la sortie, suivie par toutes les paires d’yeux présentes dans cet endroit.

Michel enroula son bras autour des épaules de Bérengère à l'arrière du taxi, mais il ne prononça aucun mot. Quand ils arrivèrent dans leur chambre d’hôtel, elle essaya d'engager la conversation. Elle voulait savoir ce que Michel pensait et ressentait à propos de leur soirée, mais il l'a immédiatement projetée sur le lit, en lui troussant sa robe et en lui écartant sa culotte, puis il a ouvert sa braguette pour la prendre en levrette. Il était comme un animal en rut. Il l’a attrapée par les hanches et l'a maintenue fermement, broyant sa chatte avec l'érection la plus dure qu'elle n’ait jamais ressentie. En peu de temps, il a terminé son assaut par une éjaculation massive, et s’est laissé tomber sur son dos, l'étouffant à moitié. 
Au bout d'un moment, il roula sur le côté pour terminer de se déshabiller, puis alla dans la salle de bains pour se rafraîchir le visage. Elle était toujours étendue à plat ventre sur le lit, époustouflée, quand il revint, et il l'aida à se déshabiller, puis à se coucher.

« C'était une fornication assez sauvage, n’est-ce pas, chérie ? »
« C'est exactement ce qu’il me fallait, après cette soirée »
« Quand j'ai vu ces gars te draguer, ça m'a rendu fou de désir pour toi »
Elle se blottit amoureusement tout contre lui.

« Cela m'a excitée que tu nous regardes. Je me sentais protégée par ta présence, et cela m’a permis d’être plus audacieuse. Je n’avais jamais ressenti quelque chose de semblable, auparavant. Ce n’est pas que tu n’aimes pas danser, n’est-ce pas, c’est que tu désires me voir dans les bras d’autres hommes »
« Est-ce mal ? »
« Non, je pense que c'est très sexy. Il nous faudra établir des règles de conduite. Cela ne te dérange pas de me voir agir comme ce soir ? Accepterais-tu que je sois plus ou moins audacieuse ? J’ai besoin de connaître ton sentiment sur la soirée. J’ai besoin de savoir jusqu’où aller, et surtout de savoir où ne pas aller »
« Plus ça va loin, plus j’ai envie de toi. Depuis toujours. Je suppose que je suis mal câblé »
« Je me doutais depuis quelques temps que tu aimes me voir dans les bras d’un autre. Cela ne me dérange pas. Si tu es mal câblé, je le suis autant que toi, parce que j'ai adoré chaque instant »
Elle posa sa main sur sa queue, pour constater qu’elle revenait à la vie. Elle a commencé à le caresser lentement, tout en lui parlant de la soirée. Elle lui a raconté ce que ces hommes avaient osé lui faire. Ce qu’il avait vu, ou deviné, et ce qu’il n’avait pas pu voir. Les mains sous sa robe, les langues dans sa bouche, et les mots fous qu’ils lui avaient susurré à l’oreille. Elle lui a avoué combien elle avait aimé flirter avec ces hommes. Bientôt, il était de nouveau complètement dressé, rigide et palpitant dans sa main.

« Voudras-tu que je continue demain soir ? » Demanda-t-elle ingénument, pendant qu'il la retournait pour s’allonger entre ses jambes. Ils ont fait l'amour jusqu'à l’épuisement, pendant qu'elle lui racontait toutes les choses horriblement sexy qu'elle voulait faire devant lui à l'avenir.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Les deux protagonistes sont raccords donc il ni a pas lieu de s inquiéter ils font leur vie comme ils l entende c est quand même triste d être obligé de voir sa compagne se devergonder pour avoir envie de la baiser.



Texte coquin : Malice et Perfidie
Histoire sexe : Une rose rouge
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