L’auberge dans la montagne

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L’auberge dans la montagne Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L’auberge dans la montagne
À cette époque, j’étais encore voyageur de commerce. J’avais rendez-vous le lendemain dans un patelin de montagne et, pour plus de confort, j’avais décidé de faire la première partie du voyage en train, puis de louer une voiture sur place. C’était l’été, les soirées étaient longues, et je comptais profiter de mon voyage pour faire un peu de tourisme. Mais en voulant quitter la ville, je me suis trouvé pris dans un embouteillage. J’ai trouvé malin de prendre la première rue à droite pour m’extirper de ce merdier, en espérant retrouver la route principale plus loin.

À cette époque, il n’y avait pas encore les GPS ni les téléphones portables. Je ne connaissais pas bien la région, et je me suis fourvoyé. J’ai dû faire un long détour pour retrouver mon chemin. Malheureusement, plus l’après-midi avançait, plus le temps changeait. De gros nuages noirs s’amoncelaient au-dessus de ma tête, me faisant craindre le pire. La montagne était très belle, la route traversait des collines verdoyantes mais j'étais anxieux à cause du risque d’orage, et je n’osais pas m’arrêter. J’aurais dû, pourtant, ne serais-ce que pour demander mon chemin en prenant un café.

C'était un soir d'été, le jour se couchait tard, mais lorsque la pluie est devenue plus forte, je n’y voyais plus grand-chose. Au niveau des carrefours, les panneaux directionnels étaient presque illisibles. J’ai dû me tromper à un moment ou à un autre, parce que je me suis retrouvé sur une petite route qui traversait les bois. Plutôt que de faire demi-tour, j’ai préféré continuer jusqu’à ce que trouve un endroit civilisé, un hôtel ou une auberge, pour passer la nuit. D’abord, un solide casse-croûte, ensuite passer une bonne nuit, et je m’inquiéterai demain matin de la meilleure façon de procéder pour retrouver mon chemin.

La route se rétrécissait de plus en plus, à ce moment-là je traversais un bois assez dense, la pluie redoublait et j’ai dû allumer mes phares parce que je n’y voyais plus grand-chose. J’avais bien aperçu quelques bâtiments, quelques lumières allumées, mais je n'avais rien trouvé où loger. Le temps s’écoulait, l’orage grondait, la nuit tombait, et je commençais à avoir drôlement faim. J’avais envie de rebrousser chemin, quand j'ai vu une voiture sur le bord de la route avec ses feux de détresse qui clignotaient et son capot levé. À côté d’elle, agitant frénétiquement les bras, se trouvait une jeune femme. Je me suis arrêté à sa hauteur, j’ai ouvert la vitre côté passager, elle s’est penchée et m’a crié :
« Je suis en panne »
Je m’en serais douté. Je lui ai fait signe de monter dans sa voiture, et je me suis garé pour voir si je pouvais lui venir en aide. Il était évident que la voiture n'irait nulle part sans aide. Il y avait de l'huile partout et le bloc était trop chaud pour être touché. Je suis retourné près de sa fenêtre. 
« Vous avez besoin d'une dépanneuse »
Elle hocha la tête pour montrer qu'elle avait compris. 
« Je dois trouver un téléphone pour appeler mon mari »
J'ai secoué la tête : « Désolé de ne pouvoir vous dépanner, la seule chose que je puisse faire pour vous, c’est de vous accompagner jusqu’au prochain patelin »
Elle prit un moment pour y réfléchir, puis elle hocha la tête « OK » Je l'ai aidée à verrouiller sa voiture, puis nous nous sommes précipités dans la mienne. Nous étions tous les deux complètement trempés.

« Quelle direction ? » Je lui ai demandé mais elle ne savait pas, elle semblait aussi perdue que moi. J'ai décidé de continuer dans la même direction dans l'espoir de trouver au moins un téléphone.

« Je m’appelle Matthieu » lui dis-je en souriant.

« Enchantée, Corine. Merci de m’aider »
« C’est naturel. Il y a une serviette dans mon sac... Sur le siège arrière »
Elle a dû se glisser entre les sièges avant pour atteindre mon sac, et j'en ai profité pour la reluquer. Elle portait une petite robe d’été, sans manches, et qui s’évasait sous la taille qu’elle avait fine. Elle s'étirait en tâtant pour trouver la serviette, elle écartait légèrement les genoux sous l’effort, et je pouvais voir les lignes douces de l'intérieur de ses cuisses. Mais il n'y avait pas assez de lumière pour distinguer sa culotte. 
« Je ne parviens pas à la trouver »
À mon tour, je me suis contorsionné pour l'aider. Elle était coincée entre les sièges, et elle tenait mon sac ouvert. Je ne l'ai pas touchée avec ma main, mais en tâtonnant pour trouver l'ouverture du sac, j'ai frotté mon bras contre ses seins. Ils étaient doux et ronds, et je pouvais percevoir ses tétons dressés.

« Je pense que c'est ça » dis-je en tirant la serviette hors du sac.

Elle s'est redressée et, pendant qu’elle s’essuyait, je lui ai demandé ce qui s'était passé avec sa voiture. Elle m'a raconté qu'elle s'était perdue en allant rejoindre son mari, qui était avec des amis, quelque part dans le coin. La voiture ne lui appartenait pas, elle avait surchauffé, et s'était arrêtée. Son principal soucis était d’abandonner cette voiture qu’on lui avait prêtée, au milieu de nulle part, car elle avait peur qu'elle puisse être endommagée ou volée. Nous sommes restés silencieux pendant un moment, chacun plongé dans ses propres pensées. Elle avait fini de se sécher, et elle m'a tendu la serviette. Je me suis essuyé le visage avec. Elle était imprégnée de son propre parfum. Une senteur merveilleuse.

« J'espère que nous trouverons bientôt un téléphone » a-t-elle dit.

« Je crois avoir aperçu une lumière à travers les arbres. Si ça pouvait être la civilisation »
Nous sommes sortis des bois, et il y avait une auberge proche de la route. Il y avait de vieux tracteurs agricoles garés devant. Je me suis approché le plus près possible de la porte, et nous nous sommes précipités à l'abri de la pluie. L’entrée, c’était un petit vestibule meublé d’un portemanteau avec un miroir. Il donnait sur la salle principale. Essentiellement, un bar et quelques tables. Quatre vieux fermiers buvaient en tapant le carton. Ils occupaient la table au pied de l’escalier qui menait aux chambres. Ils ressemblaient à leurs tracteurs, vieux et fatigués, les traits burinés comme tous les vieux montagnards. En haut de l'escalier, il y avait un palier et, fixé au mur, le téléphone qui nous reliait au monde moderne. Après le palier, le couloir menait aux chambres. À notre entrée, les quatre vieux fermiers et le patron derrière son bar ont tourné la tête vers nous.

Corine s’est tournée vers moi, et elle m'a fait un joli sourire. « Vous n'avez pas à m’attendre. Ça va aller, maintenant » suggéra-t-elle.

« Oh, j’en ai ma claque. J'ai assez conduit pour aujourd’hui. Je vais demander s’il a une chambre pour moi »
Elle m'a tourné le dos pour s’arranger dans le miroir, et sa petite robe trempée ne dissimulait pas grand-chose de ses formes. Elle a levé les bras pour discipliner ses mèches rebelles, et j’ai pu constater que sa courte robe était très évasée. Bien évidemment, elle n’était pas équipée pour toutes les péripéties qu’elle avait dû subir. Nos regards se sont croisés dans la miroir, et elle a bien vu que je la regardais. Elle a rougi un peu, mais elle ne s’est pas plainte. Elle a juste continué à discipliner ses cheveux, sans se préoccuper de sa robe trop courte qui découvrait ses jambes, et sans dire un mot.

« Voulez-vous prendre un verre avec moi en attendant votre mari ? »
« Oui, merci, mais je dois d'abord l'appeler »
Elle s’est tournée vers moi pour lisser sa robe, et j'ai senti un choc en voyant ses seins. Le tissu mouillé ne cachait rien. Ses tétons durcis tentaient de traverser le fin tissu.

« Je vais aller demander pour une chambre, alors... » Et je me suis dirigé vers le bar.

Le patron m'a donné une clé, et je suis retourné à la voiture pour récupérer mon sac. Quand je suis revenu, Corine était au téléphone. Tous les hommes présents se tordaient le cou pour regarder sous sa robe. J'ai levé les yeux machinalement pour découvrir le spectacle. Elle téléphonait debout sur le palier étroit, appuyée contre la balustrade, tournant le dos à la salle. Elle discutait à voix basse. Ses affaires ne semblaient pas s’arranger comme elle le souhaitait. Sa petite robe d’été s’ouvrait comme une corolle. Elle ne semblait pas s’apercevoir du charmant spectacle qu’elle nous offrait. Sa culotte minimaliste s’enfonçait dans le sillon fessier, et ses fesses blanches semblaient nous inviter à la contemplation. De toute façon, elle ne pouvait pas faire grand-chose d’autre que de nous laisser regarder.

Je suis monté, et j'ai dû me faufiler devant elle. Son visage était rouge, et ses yeux lançaient des éclairs.
Elle parlait rapidement à voix basse et nerveuse, probablement avec son mari. Je suis allé dans ma chambre, me changer pour des vêtements secs, et j’ai rangé le reste de mes affaires. Puis je suis redescendu au bar, où je l'ai trouvée en train de discuter avec le patron. J’ai rapidement compris de quoi ils parlaient. Apparemment, le mari ne pouvait pas venir la chercher, et elle devait passer la nuit ici. Elle a posé des questions sur un dépannage pour sa voiture, et le patron lui a désigné l'un des gars près de l'escalier.

Elle le remercia et s'approcha timidement du groupe d'hommes. Ils se turent immédiatement et l'invitèrent pour une place à leur table. Le patron approcha l’un des hauts tabourets du bar, et elle s’assit dessus. Les hommes se resserrèrent immédiatement autour d'elle. J’ai trouvé curieux qu’il lui propose ce haut tabouret pour s’asseoir, jusqu’à ce que je remarque qu’ainsi ses genoux étaient plus hauts que la table, et qu’ils offraient un charmant spectacle. Elle commença à leur raconter sa situation, et ils poussèrent des cris d’effroi en apprenant son triste sort. Aussitôt, ils lui offrirent un verre pour qu’elle puisse se réconforter. Je connaissais cette boisson. Un vieux marc, très sucré, qui se buvait comme du petit lait, mais qui était traître.

Le problème de sa voiture était réglé. Le fils du gars à la dépanneuse était en route. J'ai récupéré une bière au bar, et je me suis approché. Les vieux gars m’ont fait une place. J’ai récupéré une chaise et je me suis assis en face de Corine, de l’autre côté de la table. J’ai tenu à lever les doutes quand à ma situation. Corine ne m’était rien, nous étions deux parfaits étrangers, ce qui a semblé ravir l’assistance. Corine était assise là, les jambes croisées, découvrant toute la longueur de sa cuisse impudique. Corine avait vidé son premier verre, le deuxième subissait le même sort, et elle souriait béatement aux plaisanteries des vieux fermiers.

Quand elle a éclusé son troisième godet, et ce n’était pas des demi-doses, elle s’est mise à glousser bêtement à tout ce qu’on lui disait, et elle a décroisé ses genoux, semble-t-il pour une meilleure stabilité. La chaleur de l’alcool aidant, ses genoux se sont progressivement écartés. Le tabouret sur lequel elle était assise était plus haut que la table, et avec un échelon à mi-hauteur pour poser ses pieds. Elle avait posé ses pieds sur ce barreau transversal, ce qui remontait légèrement ses genoux. D’où j’étais placé, je pouvais voir qu’elle avait relevé sa petite robe pour poser ses fesses directement sur le tabouret. Était-ce dans le but de ne pas froisser sa robe ? Je ne saurais le dire.

Elle s'était retournée pour dire quelque chose au barman, mais à ce moment-là, ses genoux se sont écartés, et nous avons tous pu voir comment sa petite culotte moulait sa chatte. Cela n’a duré qu’un bref instant avant qu’elle ne se rende compte de sa maladresse, mais nous avions tous des étoiles dans les yeux quand elle a resserré ses genoux. Elle a froncé les sourcils en nous regardant, mais l’on pouvait déjà voir l’effet de l'alcool dans ses yeux. Ils étaient toujours brillants, mais ils erraient sans pouvoir se fixer sur quelque chose. Elle fut bientôt distraite par quelque chose que le vieux à la dépanneuse est venu lui dire à l’oreille. Il était derrière elle, penché sur son épaule, et elle voulait le regarder pour lui répondre. Elle s’est tournée et, de nouveau, ses genoux ont suivi le mouvement.

C’est devenu un jeu. Chacun des vieux fermiers avait quelque chose à lui dire à l’oreille. Un coup à droite, un coup à gauche. Chaque fois, immanquablement, elle se tournait pour répondre à son interlocuteur. Et à chaque fois, elle écartait ses genoux pour le plus grand bonheur de l’assistance. Les vieux commentaient le spectacle à voix basse, en s’émerveillant sur la façon dont le fin tissu épousait la fente de sa chatte.

Un des vieux gars se plaignait d’être mal placé et de ne pas profiter du spectacle, alors je me suis écarté pour lui laisser ma place. Mon poste d’observation était tellement bien placé, que j’ai bien cru qu’il y allait avoir une bagarre pour l’obtenir. Je me suis mis de côté pour observer son visage. Le regard qu’elle jetait sur le groupe de vieux était tendre et amical. Son sourire indulgent semblait leur pardonner leurs facéties. Ses cheveux blonds encadraient un visage d’une grande douceur. Ses épaules étaient d'un blanc laiteux. Son cou était long et mince. Tout son être exprimait la douceur et la bonté.

C’était de nouveau le vieux gars à la dépanneuse qui se penchait sur son épaule pour lui chuchoter quelque chose. Sa main sur l’épaule de Corine jouait avec la petite bretelle qui maintenait sa robe. Sa robe avait séché, et elle ne collait plus à sa peau. Lorsque le gars se pencha de nouveau, volontairement ou pas, sa main fit glisser la bretelle, entraînant la bride du soutien-gorge, ce qui nous révéla son sein. Elle ne l’a pas remarqué tout de suite. Elle terminait son troisième verre qu’elle posa sur la table en faisant claquer sa langue. C’était le signal. Un des vieux gars leva aussitôt la main pour commander le quatrième verre au barman.

Les vieux commentaient la rondeur de son sein, la pâleur de son teint qui tranchait avec la couleur vermillon de son téton dressé, lorsque le vieux derrière elle lui a demandé si elle accepterait de nous montrer sa petite culotte. Elle a eu l’air surprise plus que choquée en lui demandant pourquoi elle ferait ça. Le vieux lui a souri en lui disant que puisque elle nous montrait son sein, autant nous montrer sa culotte. Elle a rougi vivement en constatant sa tenue, mais le vieux n’a pas lâché son épaule, l’empêchant ainsi de remonter sa bretelle. Elle a rougi encore plus, et elle nous a regardé en train de la regarder. Tout le monde avait cessé de bavarder, et le vieux gars la maintenait fermement en se frottant contre elle. 
Elle a penché sa tête sur le côté, l’air un peu confuse. Le vieux l’a embrassée dans le cou en lui murmurant que l’on voulait juste jeter un coup d’œil ... et qu'elle devait relever sa petite robe pour nous montrer sa petite culotte … que cela réduirait sûrement le délai de réparation de sa petite voiture … Elle a souri cette fois. Comme un sourire nerveux. Un sourire de défi. Et elle a levé les yeux vers nous, scrutant le demi-cercle de visages tendus, aux yeux fiévreux, rassemblés devant elle. Et puis ses doigts ont agrippé l'ourlet de sa robe pour la remonter un peu.

Elle a regardé par-dessus son épaule le vieux gars à la dépanneuse qui se penchait pour scruter son entrejambe. Il glissa sa main sur le ventre de Corine pour aplatir le tissu de sa robe. Il la tenait fermement en se penchant pour bien voir. Elle patientait calmement pendant qu'il contemplait sa culotte. Il n'essayait pas de la toucher. Il a juste gardé sa main appuyée sur son ventre pendant que l'un des vieux gars touchait ses genoux pour lui ouvrir un peu plus les jambes. Les doigts de Corine s'enfoncèrent dans le bras du vieux à la dépanneuse. Elle s'y cramponnait et cachait son visage dans le cou du vieux. Le minuscule triangle de tissu rose était collé aux lèvres de sa chatte. Elle était visiblement moite et ses genoux tremblaient un peu.

Les vieux gars autour d’elle s’agitaient un peu, visiblement à l’étroit dans leur pantalon. Un des gars a sorti sa bite pour se caresser. L’atmosphère devenait pesante. Le vieux à la dépanneuse a relâché sa robe, et sa main a glissé sous son menton. Il a relevé son visage. Ses joues étaient rouge vif. Il s’est penché sur elle pour l’embrasser sur la bouche. Elle a fermé les yeux et lui a rendu son baiser. Lorsque le vieux a rompu le baiser, elle l’a regardé avec des yeux légèrement vitreux et énamourés. Elle lui a adressé un petit sourire timide, et le vieux gars lui a chuchoté quelque chose que je n’ai pas compris.

Mais elle a passé ses mains derrière elle pour défaire sa fermeture éclair, puis elle a fait glisser sa robe de ses épaules pour nous montrer ses seins. Ils étaient bien ronds, bien pleins, avec ses tétons dressés qui tremblaient quand elle respirait. Elle regardait toute l’assistance avec un regard de défi. Elle les a pris à pleines mains pour les rapprocher en pinçant les mamelons et en bombant le torse, pour bien les montrer.
La rougeur de ses joues s'estompait et elle avait l'air indifférente, mais une sorte d'étourdissement flottait dans son regard.

Elle était vraiment très belle. Malgré tous ses ennuis, la panne de voiture, l’orage, le mari qui l’abandonnait à son triste sort, cette bande de vieux pervers qui profitait de son désarroi, elle faisait front en les défiant du regard. Sa robe était toujours chiffonnée autour de sa taille, et sa main délaissa son sein pour venir glisser sur le devant de sa petite culotte. Elle se caressa la chatte par-dessus le fin tissu. Ses doigts pressaient le tissu rose tendre qui s’humidifiait de ses jus pendant qu'elle se frottait. Les vieux fermiers ont sorti une longue table basse de dessous l'escalier. Corine a été conduite à cette table. 
Elle avait maintenu sa robe autour de sa taille, mais ils lui ont dit de se déshabiller complètement. Elle a laissé tomber la robe, elle l’a enjambée, puis elle a baissé sa petite culotte pour l’ôter. Le patron a récupéré ses affaires pour les poser sur le bar. Quelques minutes plus tôt, il avait donné les clés de la voiture de Corine à quelqu’un qui s’était présenté à la porte, puis il avait fermé la porte à clef pour ne plus être dérangé. Corine avait été amenée à la table. Ils l’avait allongée nue, sans rien d’autre que ses talons blancs et son alliance. Ses tétons étaient durs et tendus, et sa chatte était exposée sous la petite touffe taillée. Elle regardait autour d'elle le cercle de vieux pervers qui la reluquaient. Le vieux dépanneur lui a demandé de replier ses jambes en les écartant, et de se toucher. Elle a rougi violemment devant son langage cru, mais elle a obéi. Visiblement, elle aimait être dominée.

Sa main se déplaçait timidement sur sa cuisse et se referma sur sa chatte. Elle a ensuite écarté ses grandes lèvres avec ses doigts avant de commencer à frotter lentement sa fente. Elle était visiblement anxieuse. Alors, j'ai placé ma main sur son sein gauche, et je l'ai pressé doucement. Le vieil homme qui me faisait face, de l’autre côté de la table, me regardait en souriant. Elle nous regardait alternativement, rougissante et un peu craintive, mais quand je pressais fermement son mamelon, elle se cambra en gémissant. Le premier qui avait sorti sa bite lui caressait la cheville avec. Bientôt, tous les autres avaient mis leurs mains dans leurs braguettes pour sortir leurs pénis déjà tendus.

Corine a fermé ses jolis yeux, et ses doigts coulissaient entre les lèvres de sa chatte ouverte. J'ai regardé son charmant visage tout en pelotant vigoureusement son sein, puis je me suis penché et j'ai aspiré son téton dans ma bouche. Elle gémissait doucement. Visiblement, elle aimait ça. J'ai donc pressé mon menton non rasé sur la douceur de son sein, puis j'ai léché délicatement son mamelon avant de l'aspirer fortement.
Elle gémissait plus fort maintenant et ses reins se cambraient tandis que ses doigts frottaient plus vite contre son clitoris. À ce moment-là, je pense qu’elle était inconsciente de ce que faisaient les hommes autour d'elle, ni de sa posture, avec ses jambes largement écartées.

Les quatre vieux fermiers, le patron et moi, nous étions six autour de la table où la jeune femme se livrait en pâture à de vieux obsédés. Tous, même moi, avaient sortis leur bite, et tendaient leurs mains avides vers le jeune corps dénudé qui s’offrait à leur convoitise. Tous se tripotaient d’une main, les yeux exorbités, la mâchoire pendante, en regardant la jeune femme se livrer à ce spectacle d’un érotisme torride.

Le vieux qui m'avait accueilli à leur table, et qui me faisait face, a fait un pas de plus. Il m'avait regardé sucer le mamelon de Corine avec intérêt, et semblait penser que cette activité était plaisante. Il a posé sa vieille main ratatinée sur le sein droit qui était libre. Corine le regardait, mais il ne la regardait pas, accaparé par son activité de lui masser vigoureusement le sein. Il souriait en lui pinçant et en lui tordant le téton, et les reins de Corine se creusaient de plus en plus, appelant le mâle pour la saillie.

Du coin de l’œil, j’ai vu le barman ôter son tablier et son pantalon, et se présenter, bite tendue, entre les cuisses ouvertes de Corine. La saisissant par les hanches, il a soulevé le bassin de la jeune femme, et l’a entraînée vers le bord de la table. Il a posé les chevilles de Corine sur ses bras musclé, et l’a pénétrée d’une seule poussée, sans plus de cérémonial. Elle a poussé un long gémissement rauque, sans que je puisse savoir si c’était un cri de douleur ou de satisfaction. Je me suis concentré sur ma tâche, taquiner son mamelon assez énergiquement, avec ma langue et mes lèvres, mais j'ai continué à surveiller du coin de l’œil le patron qui baisait rageusement Corine. Elle avait les mains libres, maintenant qu’elle ne se frottait plus la chatte, et elle avait étendu ses bras à l’horizontale pour s’emparer de nos bites, au vieux qui m’avait accueilli et à moi, pour nous masturber délicatement.

Le vieux à la dépanneuse a réussi à traîner une chaise contre la table pour l’escalader et s’allonger dessus, transversalement à Corine. J’ai bien cru qu’il allait se rompre les os, et j’étais prêt à l’aider, mais il y est arrivé tout seul. Allongé tout près de la tête de la jeune femme, il lui a présenté sa bite en lui tapotant la joue avec.
Corine a tourné la tête et s’est jeté dessus, bouche grande ouverte, pour le sucer profondément. Les yeux fermés, elle roulait des hanches pour répondre aux sollicitations du patron qui la baisait. Elle s'était accrochée à nos bites, au vieux sympa et à moi, et elle suçait intensément le vieux à la dépanneuse. Vraiment, cette fille était une affaire. Sous ses airs angéliques, son attitude de fille un peu paumée, c’était en fait une véritable salope qui nous régalait de ses talents cachés. Son mari, quel veinard ! À sa place, je n’aurais jamais laissé ma femme se débrouiller seule sur une route de montagne.

Pendant ce temps, le patron s’est mis à grogner et ses mouvements sont devenus saccadés, preuve qu’il ne pouvait plus faire durer le plaisir. Il s’est retiré pour inonder de jets puissants le ventre de Corine. Elle a lâché ma bite pour étaler la crème sur son ventre. Pendant ce temps, le vieux à la dépanneuse s’est retiré de la bouche de Corine pour balancer la purée sur la poitrine de la jeune femme. Le vieux sympa et moi, on s’est retirés précipitamment pour ne pas s’en prendre plein la gueule. Elle a perdu le contrôle. Son corps s'est alors tendu. Ses membres se sont mis à trembler, puis tout son corps, comme si elle avait froid.

Le patron et le vieux à la dépanneuse se sont rhabillés, et sont allés boire une bière. Deux des vieux mecs qui se masturbaient à côté des jambes de Corine se disputaient la place laissée vacante par le patron du bar. Corine attendait patiemment. Finalement, ils ont été raisonnables et sont tombés d’accord sur l’ordre de passage. Pendant que le vieux sympa et moi, nous lui triturions les nichons et qu’elle nous caressait la bite, les deux autres vieux fermiers se sont relayés dans sa chatte, sans se retirer au moment ultime. Le vieux sympa en face de moi attendait tranquillement son tour. Il aurait aimé, semble-t-il, que je passe avant lui. Mais j’ai insisté pour qu’il la prenne d’abord.

Il s’est présenté entre les cuisses de Corine et il a dégrafé son pantalon, qu’il a laissé tomber sur ses chevilles. À ce moment-là, j’ai compris pourquoi il voulait que je passe d’abord. Sa bite était énorme. Deux fois plus grosse que la mienne ! Le gland était monstrueux et violacé. Un filet de liquide pré-éjaculatoire s'en écoulait. Il souleva les jambes de Corine et s’inséra entre elles. Puis il pressa le dôme bulbeux contre les lèvres de sa chatte et s’enfonça doucement à l'intérieur d'elle. J’ai vu les yeux de Corine s’écarquiller et elle a soulevé sa tête pour voir avec quoi il la pénétrait. Elle a agrippé ses mains au bord de la table. 
Il se balançait d’avant en arrière sans pénétrer plus de la moitié de sa longueur en elle. Il la baisait doucement, sans forcer, probablement de peur de la blesser. Il m’a regardé en souriant et m’a dit quelque chose au sujet de combien elle était serrée. Au bout de quelques minutes, Corine s'était manifestement adaptée à sa taille, et elle bougeait ses hanches en semblant apprécier le moment, si je pouvais en juger d’après ses petits cris et ses gémissements. Elle se tenait toujours au bord de la table, mais ses jambes reposaient facilement sur les avant-bras du vieux qui la baisait.

Le vieux sympa commençait à s’exciter. Il avait ses mains serrées autour des hanches de Corine et il commençait à la baiser méthodiquement. Les yeux fermés, le vieil homme forçait toute sa longueur en elle. Il s’est pressé fermement contre elle, et il a gardé sa bite enfouie profondément en elle tout le temps qu’il a éjaculé. Il a laissé échapper un petit gémissement rauque, et j'ai imaginé cet énorme gland violacé appuyé durement contre son col de l'utérus et crachant sa semence. Il est resté sans bouger jusqu'à ce qu'il ait fini de décharger, puis il a recommencé à coulisser lentement en elle. Il travaillait juste lentement ses hanches et regardait sa bite entrer et sortir, mais Corine devenait folle. Elle secouait sa tête en tous sens en émettant une longue plainte. Lorsque l’extase de Corine s’est achevée, et qu’elle a rouvert ses yeux, ils se sont regardés en souriant. Le vieux fermier sympa s’est retiré doucement, et un flot de sperme s’est échappé de la chatte saccagée de Corine.

J’ai regardé, anxieux, dans quel état le vieux sympa avait laissé la mignonne petite chatte. J’ai pensé qu’il était inutile de la pénétrer tout de suite, la pauvre fille ne sentirait plus rien. À ce moment-là, son regard s’est tourné vers moi et, souriante, elle m’a invité à prendre place. J'ai poussé ma bite dans son ouverture, en la glissant un peu puis en la retirant, puis en frottant le gland le long de sa fente humide dégoulinante de sperme, et sur son clitoris. Elle a tressailli quand j'ai touché son clitoris avec ma bite. Visiblement, elle était encore sensible. Alors, j’ai soulevé ses jambes le plus haut possible, j’ai présenté ma bite devant sa porte arrière et, en forçant un peu, j'ai transpercé ma bite tout le long d'elle.

Vous dire qu’elle a été surprise serait un peu excessif. Bien sûr, en trempant ma bite dans sa chatte imbibée de sperme, plus toute cette crème qui avait coulée dans sa raie culière constituait un excellent lubrifiant, mais l’aisance avec laquelle je m’étais introduit en elle prouvait, si besoin était, que cet exercice lui était probablement familier. Elle se tortillait déjà contre moi. Elle était tellement chaude et humide que j'ai commencé à pomper immédiatement, sans que j’ai besoin de m’arrêter pour qu’elle s’habitue à ma présence. Ses yeux étaient écarquillés et elle s’agrippait au bord de la table. Elle soulevait ses reins du dessus de la table et elle bougeait ses hanches en s’accordant à mon rythme. 
J’avais eu raison de faire confiance à ses capacités. Elle ne me décevait pas. J'ai tenu ses hanches et je l'ai baisée fort et vite, puis j'ai soudainement arrêté, mais elle a continué à rouler ses hanches et à écraser son cul contre moi. Alors je l’ai baisée de nouveau, la pompant fort et vite, et regardant ses seins s’agiter sauvagement sur sa poitrine, jusqu'à ce que je sente sa paroi intérieure se resserrer autour de ma bite. Je me suis bloqué fermement à l'intérieur d'elle. Tout son corps convulsait autour de ma bite. Ses jambes étaient complètement dressées et le jus coulait de sa chatte. Je la tenais solidement pendant que son cul palpitait et me massait, pendant que mon sperme jaillissait dans son conduit.

Je n’avais plu de jambes. Je me suis appuyé sur elle. Sa poitrine se soulevait et ses seins étaient humides de sueur. Son doux parfum enchantait mes narines. J'ai embrassé tendrement ses lèvres. Elle a répondu à mon baiser. J'étais toujours en elle, mais ma bite ramollissait et je pouvais sentir nos jus combinés s'écouler sous elle. J’embrassais ses lèvres une dernière fois, puis je m'éloignais d'elle. Mais le patron avait un regain de forme. Il caressait de nouveau sa bite, et il s'est approché d’elle. Elle restait allongée là, à le regarder se masturber. Il a tendu la main pour lui caresser la chatte ravagée. Elle a tendu la main pour lui caresser la bite. Il était proche de jouir, alors elle a dirigée le jet vers ses nichons. Lorsqu’il a eu fini d’éjaculer, Corine a doucement sucé le gland. Souriant, le patron s’est tourné vers nous pour nous demander si quelqu’un avait encore besoin de quelque chose. Elle nous regardait en rougissant un peu.

Cela s'est terminé comme ça, et Corine est montée se doucher. Puis, un peu plus tard, elle est redescendue drapée dans une grande serviette de bain. Il n'y avait plus que le barman et moi. Les vieux fermiers étaient rentrés chez eux. Elle a récupéré sa robe sur le bout du bar et elle a demandé où était sa culotte, mais apparemment, le gars à la dépanneuse l'avait emportée. Elle dit bonne nuit et elle est remontée se coucher.

Le lendemain matin, les employés du vieux à la dépanneuse ont livré sa voiture. Ils avaient travaillé toute la nuit pour réparer le moteur qui avait chauffé. C'étaient deux gars d’une vingtaine d’années, et ils avaient hâte de monter dans la chambre de Corine pour toucher leur récompense. Mais le patron et moi, nous les avons chassés. Un peu plus tard, Corine est descendue, resplendissante, en toute innocence. Putain, qu’elle était belle ...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J'aurais aimé être à sa place. Ça m'arrive souvent de me faire saillir par des inconnus et rentrer chez moi pleine de semence.

Histoire Erotique
Très belle histoire



Texte coquin : L’auberge dans la montagne
Histoire sexe : Une rose rouge
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