Mon viol

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon viol Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mon viol
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nous avons une belle vie, mon mari et moi. Nous avons travaillé dur, et nous avons un train de vie assez aisé, car nous sommes tous les deux dans l’enseignement. Nous avons réussi à acheter une petite maison près de la plage pour nos congés. Dès que nous le pouvons, nous laissons tout tomber, même si ce n'est que pour un week-end, et nous allons nous aérer. Nous avons eu notre fils Jason dès la sortie de l'université. Pure chance, il est né au début de l'été, et je n'ai rien manqué. Et nos familles nous ont aidé. Jason est aujourd’hui en deuxième année à l'université. Cela nous fait paraître vieux, mais je n'ai que 46 ans. En fait, je me sens très jeune, merci beaucoup.

Cet été, comme d’habitude, a été un méli-mélo d'excursions, de plage et de farniente. Bizarrement, à cause de l’académie, nous avons un décalage de deux semaines, mon mari et moi. Il est en vacances deux semaines avant moi. Je reprends le collier deux semaines après lui. En son absence, je profite au maximum de la plage. Notre résidence n'est pas spectaculaire, juste un bungalow avec deux chambres et un séjour-cuisine, plus une terrasse devant. Mais nous l’avons couverte par une véranda qui agrandit le logement. Nous pouvons l'ouvrir quand il fait beau, ou la garder fermée à la mi-saison. Le soir, nous nous asseyons avec une bière en regardant les étoiles.

Cette année, Jason a travaillé comme plagiste tout l'été pour se faire de l’argent de poche. Vers la fin des vacances, Jason a invité un copain d'université à passer les deux dernières semaines avec nous. La saison se terminant, Jason pouvait quitter son job un peu plus tôt, et ils pourraient passer du temps ensemble. J'avais déjà rencontré Thomas une ou deux fois. Thomas et Jason faisaient partie de l'équipe de natation. C'est ainsi qu'ils étaient devenus copains. Ils ne sont pas concurrents puisque qu’ils ne nagent pas sur les mêmes distances. Ils sont tous les deux très bons, pour autant que je sache.

Donc, les deux dernières semaines, Daniel étant absent, il n'y avait que les deux garçons et moi. Nous menions des existences séparées. Je vivais ma petite vie, lézardant au soleil, avec juste un peu de footing tôt le matin, à la fraîche. Jason et Thomas sortaient tous les soirs. Nous passions très peu de temps ensemble, ce qui me convenait parfaitement. J'étais là pour me détendre. Ma seule activité de mère de famille était de leur préparer le repas, s'ils étaient présents au moment du repas. Un matin, au cours de la première semaine, Jason s'est levé assez tôt pour que je lui prépare le petit-déjeuner, avant d'aller faire mon jogging sur la plage. 
Je lui ai demandé quels étaient ses plans pour la journée, sans être indiscrète, juste histoire de parler. Il m'a dit qu'ils partaient rejoindre des copains vers une plage plus au nord, et qu'ils rentreraient probablement très tard. C'était bien pour moi. Bien qu’ils soient rarement là dans la journée, j’aime bien ma tranquillité. J'ai couru environ une heure, puis je suis rentrée à la maison, et j'ai enfilé mon maillot de bain. Alors que je partais en direction de la plage, j’ai vu le coffre de la voiture de Jason ouvert. Les garçons doivent se préparer à partir, pensais-je. J’ai alterné la bronzette et la baignade toute la matinée. Je me sentais détendue et sereine.

Je suis rentrée à la maison vers midi, quand le soleil est devenu trop chaud. Nous avons une douche extérieure, très bien fermée, afin que nous puissions nous dessaler avant d'entrer dans la maison. La seule chose que je n'aime pas à la plage, c'est de ramener du sable dans mon maillot de bain. Quand il entre dans l’entrejambe, c'est tellement inconfortable que lorsque la baignade est finie, j'ai hâte d'enlever mon maillot. J'ai pris une douche très agréable dans le coin de la terrasse. Quand tout le sel et le sable se sont retirés de mon corps, je me suis enveloppée dans un drap de bain, et je suis rentrée dans la maison. J’étais bien.

J'ai jeté la serviette dans le panier près de la porte, et je me suis promenée nue dans la maison, ce que je me permets quand je suis sûre d’être seule. J'ai pensé que je ferais mieux de m'habiller, car je ne pouvais pas être sûre d’être seule encore longtemps. Je ne voudrais pas choquer mon fils, Jason, s’il découvrait que j’ai le pubis rasé. Il ne doit pas penser que sa mère est une femme, qu’elle a une vie sexuelle, et qu’elle aime quand son mari lui lèche la chatte. Ce n'est pas le genre d'information qu'un fils veut découvrir. Pour Jason, j'ai toujours été une maman dynamique et conservatrice, qui n’est jamais trop sexy, ou trop ringarde.

Il ne saura jamais que sa mère a une vie imaginaire riche, avec des fantasmes parfois assez osés. Parfois, elle rêve à des inconnus, hommes ou femmes. Il ne saura jamais que sa mère se masturbe quand elle rêve à des étreintes interdites. Les femmes ont leur apogée sexuelle vers la quarantaine, les hommes vers la vingtaine, ensuite ils sont sur la pente glissante. Malheureusement, Daniel, mon mari, est un homme comme les autres. Il se contente d'une séance par semaine, souvent trop brève pour moi. Quand je démarre, il s’endort. Je l’aime, c’est un bon mari et un bon père, mais ce n’est pas un bon amant. Ma vie est assez riche dans l'ensemble pour que j’accepte une vie sexuelle imparfaite. Si je ne reçois pas assez de Daniel, je sais me faire plaisir toute seule. Cela me suffit pour être heureuse. Et j'ai mes petits fantasmes qui alimentent ma vie masturbatoire.

Je traversais la maison complètement nue en pensant aux hommes que j’avais croisé ce matin à la plage. Je les imaginais nus, le sexe dressé, me suivant jusqu’à ma chambre où m’attendaient mes jouets vibrants. Ils allaient me servir à alimenter mes fantasmes, pour soulager ma tension nerveuse. La chaleur du soleil, sur la plage, me fait toujours cet effet quand je reviens au bungalow. La maison était parfaitement silencieuse. Je suis entrée dans ma chambre en imaginant la mise en place du gars le plus sexy que j’avais croisé à la plage. J’ai ouvert la porte et je me suis statufiée. J’étais incapable de bouger ou de proférer le moindre son, fascinée par le spectacle de Thomas, entièrement nu, allongé sur mon lit, utilisant une de mes culottes enroulée autour de sa verge pour se masturber.

Thomas a eu conscience de ma présence. Il a ouvert les yeux et m’a regardé. Dire qu’il a été surpris serait un mot bien faible. Ses yeux se sont écarquillés quand il m’a vue. Le fait d’être pris, sans doute, mais aussi parce que j’étais nue, les seins oscillants et le pubis rasé. Mais il n’a pas cessé de se caresser. Il était trop proche pour s’arrêter. Et il était grand. Je veux dire, par rapport à mon mari, parce que je n’ai pas une culture suffisante dans ce domaine, il était très grand ! Sa main pistonnait sa bite, ses yeux verrouillés sur ma chatte, et il a commencé à éjaculer en l'air, puis vers sa poitrine et son ventre.

Je ne savais pas quoi faire. Étais-je censée me mettre en colère ? Je ne suis pas sa mère, et c'est un adulte, donc il peut faire ce qu'il veut. Bon, il ne devrait pas être sur mon lit. Et il ne devrait pas utiliser ma culotte. D’ailleurs, pourquoi utilisait-il ma culotte pour se masturber ? Il m'est finalement venu à l'esprit que j'étais devant ce garçon nu, totalement nue. Il avait fini de jouir, mais ses yeux ne quittaient pas mon corps en continuant de masser son membre. Il semblait moins tendu, mais il restait beaucoup plus gros et plus grand que celui de mon mari en pleine érection. Je n'ai pas pu m'empêcher de le regarder. C'était si fascinant.

Thomas a repris ses esprits le premier et il semblait penaud. Son visage est devenu rouge, il a attrapé un oreiller et l'a mis sur son sexe. J'étais troublée et choquée. D’abord, je pensais être seule dans la maison. Je ne m'attendais pas à trouver un homme nu dans ma chambre. Je n'avais jamais vu d’autre pénis auparavant et j’étais surprise par les dimensions de celui-ci. Je n'avais jamais vu un homme se masturber, Daniel n'avait jamais fait ça devant moi. Aucun homme, à part mon mari, ne m'avait jamais vue nue.

C'était surtout la violence de cette scène qui m'a fait rester là, à regarder ce jeune homme se rudoyer de cette façon. Il est possible que ma nudité ait pu contribuer à l'intensité de l'action. Je savais que j'étais dans une situation pénible. Étais-je censée m’enfuir en hurlant ? Ce n'était pas logique. J'ai fouillé dans mon placard, j'ai attrapé un peignoir et me suis couverte. Contrairement aux hommes, et comme toutes les femmes, je savais que j’allais devoir gérer la situation maintenant. Je savais que Thomas n’avait qu’une envie, se cacher dans un trou de souris. Il s’était infligé une humiliation publique, et il pouvait en garder les séquelles. Il semblait beaucoup plus mortifié qu’excité.

« Thomas, je suis vraiment désolée de t'avoir surpris. Je ne savais même pas que tu étais à la maison. Je pensais que tu étais parti avec Jason pour la journée »
Thomas regardait ses pieds. Il était trop gêné pour soutenir mon regard. On aurait cru qu’il allait se mettre à pleurer. Il m’a dit : « Jason voulait rejoindre cette fille qu’il a rencontré la nuit dernière. Elle réside à une cinquantaine de kilomètres. Je pense qu’il a le béguin pour elle. Je n’ai pas voulu l’accompagner, je les aurais gênés »
Je me suis assise sur le lit à côté de lui. La sortie de bain que j'avais attrapée était courte, légère, et fermait mal. Je ne l’utilisais pas car son tissu était peu absorbant. J'avais rapidement et négligemment noué la ceinture autour de moi, mais quand je me suis assise sur le lit, j'ai senti le peignoir s'ouvrir. J'ai essayé de resserrer les pans, sans beaucoup d’effet. Le regard de Thomas allait de mes cuisses à ma poitrine, sans pouvoir se décider.

« Thomas, n'as-tu pas fait de rencontre ici, une fille avec qui tu pourrais passer un peu de temps ? À ton âge, en vacances à la mer, les garçons se défoulent en courant après les filles. Tu ne devrais pas rester enfermé seul ici, et perdre ton temps de cette façon »
Évidemment, Thomas était réticent à en parler. Mais il a eu ce regard paumé quand il m’a dit : « Les filles ne s'intéressent pas à moi »
J'étais sceptique, c’est le moins que je puisse dire : « Allons, Thomas, ne dis pas n’importe quoi. Tu es très beau garçon, et tu le sais. La plupart des filles, à la plage, te regardent en douce. Si tu as du mal à aborder une fille, ce que je peux comprendre, je pourrais t’aider. Je peux parfaitement engager la conversation avec une fille qui te plaît, et puis m’éloigner pour vous laisser seuls lorsque le premier contact est établi. Veux-tu que je fasse ça pour toi, Thomas ? »
Thomas me regarda, droit dans les yeux, pour la première fois depuis mon intrusion dans la chambre. Il se redressa dans le lit. Ce fut une débâcle mineure, mais son sperme stocké sur son ventre s’est mis à couler plus bas. J'ai instinctivement attrapé un paquet de Kleenex sur la table de chevet pour éponger les dégâts. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça. Juste un réflexe de mère, je suppose. Mais j'ai eu l'impression que Thomas considérait mon geste comme un acte sexuel. Il frissonnait pendant que ma main nettoyait le bas de son ventre. J’ai ôté l’oreiller, et j’ai frôlé son pénis, heureusement relâché. Thomas sembla gagner en résolution grâce à cette simple action.

« Mme Martin, je ne suis pas intéressé par les filles de mon âge, je ne supporte pas ces poupées écervelées. J'ai besoin de quelqu'un d’intelligent pour pouvoir échanger »
Je n'étais pas d’accord avec ça : « Je suis sûre que beaucoup de ces filles sont aussi intelligentes qu’elles sont belles, Thomas. Ne juge pas une personne sur son apparence. Tu dois faire des efforts pour sortir de ta coquille, et rencontrer des filles »
Mais Thomas restait gêné et mal à l'aise. J'ai décidé de le laisser s'en remettre. Je me suis levée, et je lui ai dit : « Je ne veux pas que tu sois malheureux parce que je t'ai surpris ici. Je ne suis pas en colère après toi, alors tu ne dois pas te sentir gêné en ma présence »
Thomas a dû penser qu'il ne pouvait pas se mettre dans une situation pire qu'il ne l'était déjà, alors il a dit le fond de sa pensée : « Mme Martin, les filles de mon âge ne peuvent pas supporter la comparaison avec vous. Quand je vous vois, je ne peux pas penser à une autre femme »
C’était à mon tour d’être gênée : « Qu'est ce que tu veux me dire ? » J'ai demandé.

« Vous êtes à la fois si intelligente, si pleine d’esprit, si belle et si sexy. Depuis que je vous connais, je suis tombé amoureux fou de vous. Quand Jason m'a invité en me disant que nous ne serions que nous trois, j'ai failli mourir de bonheur. Aucune fille ne peut se mesurer à vous, vous êtes si parfaite »
J’étais à la fois flattée et bien embêtée. Celle-là, je ne l’avais pas vu venir. La conversation prenait un tour inattendu qui ne m’arrangeait pas. Je me suis de nouveau assise à côté de lui pour le raisonner. Je pensais jouer le rôle la maman, gentille et serviable, de son meilleur ami. Je voulais le rassurer et le briefer en lui donnant les conseils qu’une femme mûre peut donner à un garçon qui s'était un peu ridiculisé devant moi. La conversation aurait dû porter sur lui, pas sur moi. Je lui ai dit :
« C'est très flatteur, Thomas, mais s'il te plaît, j'ai l'âge d'être ta mère. Je ne suis pas dupe, et tu ne m’auras pas avec tes compliments. Même si j’étais libre, ce qui n’est pas le cas, tu ne m’intéresserais pas »
Mes mots étaient plutôt durs, mais j’avais besoin de lui donner une sorte d’électrochoc, afin qu’il cesse de m’importuner avec ses bêtises. Thomas s'est tourné sur le lit pour s'appuyer sur un coude. Dans cette position, son membre surdimensionné a glissé sur le côté, comme s’il voulait s’approcher de moi. De nouveau, j’étais confrontée à sa matraque. J'étais sûre qu'il s'exposait pour moi exprès. 
Mais il semblait inconscient de ma gêne, alors j’ai pensé qu’il était préférable de ne pas attirer son attention sur le fait qu'il s'exposait totalement. Ce serait avouer que j'étais obsédée par la taille de son pénis, ou que j'en avais peur, ou je ne sais quoi de malsain. Donc je n'ai rien dit, même si j'étais réellement obsédée par ce monstre. J'ai remarqué qu'en le regardant, il semblait grandir. Je détournais les yeux de son érection ascensionnelle pour le regarder droit dans les yeux. Il ne semblait plus timide ni embarrassé. Il semblait prendre confiance en lui. J'avais le sentiment de perdre le contrôle de la situation. Je ne comprenais pas comment c'était arrivé, ni comment reprendre le contrôle.

« Mme Martin, vous êtes la femme la plus belle et la plus sexy du patelin. Tous nos potes, qui vous ont vue dans les compétitions de natation, fantasment sur vous. Et ils ne s’en cachent pas, même si ça énerve Jason »
Depuis le temps que j’enseigne, j'en avais déjà entendu, des bêtises d’adolescents, mais celle-là sortait du lot. J'étais plutôt en colère. Au moins, j'aurais dû l'être. Je me suis levée et je lui ai dit froidement :
« Ça suffit, Thomas. Ce n'est pas une façon de s’exprimer devant la mère d’un de ses copains. Mettons fin à cette conversation immédiatement, et à l’avenir nous ferons comme si tout cela ne s'était jamais produit »
Thomas s'est levé. Il se tenait près de moi, une bonne vingtaine de centimètres de plus que moi. Sa musculature développée de nageur de compétition le faisait paraître immense. Je me suis effacée pour m'écarter de son chemin, supposant qu'il allait quitter la chambre. Au lieu de cela, il m’a attrapée à bras le corps et m'a fait basculer sur le lit. Il a suivi le mouvement et s’est laissé tomber sur moi. J’avais levé mes mains en tentant de me défendre en le repoussant, mais dans ma chute il s’est saisi de mes poignets.

Il a maintenu mes deux poignets fermement au-dessus de ma tête avec une seule de ses grandes mains. Ma robe s'était ouverte dans ma cabriole, et je me savais complètement exposée. Pourtant, je n'avais pas peur de lui. Juste contrariée. Je n'ai pas cru qu’il irait jusqu’au bout. Je lui ai dit :
« Allons, Thomas. Arrête tes bêtises. Je sais que tu n’es pas un méchant garçon. Tu vas faire quoi ? Me violer ? Non, bien sûr ! Alors, lâche-moi, que je puisse me relever »
Mais Thomas ne m’a pas lâchée. Il m’a dit : « Peut-être avez-vous raison. Peut-être que je ne forcerais jamais aucune femme, normalement. Mais si je savais que vous le vouliez vraiment ? Vous tenez tellement bien votre rôle de maman, que jamais vous ne pourrez admettre que vous désirez le copain de votre fils. Mais si je vous forçais, alors ce ne serait pas de votre faute. Vous pourriez subir et rester une bonne mère. Vous auriez lutté, mais j'étais trop fort. C'est ce que vous pourriez vous raconter »
Mon corps a réagi curieusement, comme un électrochoc frappant mes organes génitaux. J'avoue que j'étais déjà un peu excitée par ce qui s’était produit avant. Comment ne pas l'être ? J'avais été nue devant un beau jeune homme nu, depuis un bon moment. J’avais réagi comme une maman peut le faire devant le désarroi du garçon, même si j’avais ressenti quelques frissons qui m’avaient humidifiée la chatte. Pourtant, je suis assez solide pour ne rien laisser paraître. Mais quand il a prétendu vouloir me forcer parce que j’avais ce désir de soumission, il a touché une corde sensible.

Comme beaucoup de femmes, j’ai ce fantasme du viol. Cela ne signifie pas que je désire être violée. Cela signifie une perte de contrôle, abandonner toute volonté, et se soumettre à la puissance du mâle. Je détesterais être violée, mais mes fantasmes masturbatoires les plus stimulants impliquent d'être prise de force. Je sais que c'est un paradoxe, mais j’ai le droit de penser de deux manières différentes. C'est bon tant que c'est un fantasme, pas l’acte d’un salopard. Thomas voulait m'offrir un moyen de vivre mon fantasme. C’était très érotique, mais ma raison a repris le contrôle. Je lui ai dit : « Maintenant, Thomas, il faut t’arrêter. Ce n'est pas une bonne idée »
La main libre de Thomas s'est frayé un chemin dans mon peignoir ouvert et s’est emparée de mon sein gauche. Il le massait tendrement. Il referma ses doigts sur mon mamelon. Il le pinça presque violemment. Une autre secousse a traversé mes organes. Il semblait y avoir un nerf qui reliait mon mamelon à ma chatte. Chacune de ses pressions sur mon sein créait une réplique dans ma chatte qui s’humidifiait. Je luttais pour libérer mes poignets de son emprise, mais il était trop fort. Je dois penser qu'il est trop fort. 
Il m’a embrassée dans le cou. Il me suçait et me léchait comme si j’étais une friandise. Ma chatte me picotait sans interruption maintenant. Sa main a essayé d’atteindre ma chatte rasée. J'ai résisté. Il était tellement fort. Je sentais le bout de ses doigts se frayer un chemin entre mes jambes. J'ai contracté mes muscles pelviens, ne lui permettant pas d'accéder à ma partie la plus intime. Il s'est déplacé au-dessus de moi sur le lit, tenant toujours mes poignets. Son genou s'est frayé un chemin entre les miens, me forçant à ouvrir mes jambes, me rendant accessible contre ma volonté. 
Je savais que je ne pouvais pas le laisser toucher à ma chatte. S'il le faisait, alors il le saurait. Il saurait que j'étais déjà mouillée. Il saurait que ma chatte n'écoutait pas ma volonté. Je me suis tortillée pour m'éloigner de lui. Mais il était implacable. Son doigt glissa le long de mes lèvres intérieures. Il m’a caressé là, ne tentant pas d'entrer, juste pour me taquiner. J’ai lutté, mais j'ai su que je perdais. Mon corps semblait s'ouvrir comme une fleur. Je bougeais pour échapper à son contact, mais l'humidité qui était en moi a commencé à s’échapper, et la pièce fut imprégnée de mon odeur. Ma volonté combattait cette intrusion, mais mon corps me trahissait. Il devenait accueillant et chaleureux.

J'ai su que son pénis était de nouveau en pleine érection, dur et tendu, comme un gourdin. J'aimais ce contact contre moi. C'était si bon d'essayer de lui échapper. J'ai essayé de m'éloigner de sa matraque, mais je n'avais nulle part où aller. Mes jambes étaient maintenues écartées et ouvertes par les siennes. Son corps écrasait le mien, comme un cheval mort, a dit le poète. Sa poigne solide maintenait fermement mes poignets captifs. J'ai senti le bout de son pénis s’insinuer dans la fente de ma chatte. 
Mon cerveau divaguait quelque part entre la panique absolue et la luxure totale. Sa bite a trouvé l’entrée, entre les lèvres de ma chatte. Je me suis éloignée, mais cela l’a enduit de mes jus copieux. Sa bite a suivi le mouvement, et s'est insérée dans mon ouverture. J'étais à bout de force, sous l'emprise d'une émotion primitive. De la peur, du désir. Peut-être autre chose d’inavouable. Il a de nouveau glissé en moi. Cette fois, c’est moi qui a suivi le mouvement, bougeant avec lui, comme si je ne voulais pas le sentir m’échapper.

Thomas m'a percuté comme le violeur que je redoutais, enfonçant toute la longueur de son membre massif profondément dans mon corps. J'ai peut-être crié. Il s'est retiré totalement, puis il s’est aligné de nouveau, et m’a pénétrée entièrement, sauvagement. La puissance de ses plongées a provoqué une réaction violente dans mon corps, qui lui a répondu en soulevant mes fesses du lit. Mes jambes se sont enroulées autour de lui, pour l’accueillir au plus profond de moi. Il s’est emparé de mes seins comme s'ils lui appartenaient, pinçant les mamelons, les mordillant et les suçant. Je me sentais dominée, c’était troublant.

Un kaléidoscope de lumières et des sons s’entrechoquait dans ma tête. J’ai quand même essayé de reprendre le contrôle. J’ai pensé que je ne devrais pas avoir d’orgasme de cette façon. Je ne pouvais pas lui prouver qu'il m'avait si bien comprise. Mes hanches roulaient maintenant pour accompagner chacun de ses mouvements, essayant de prendre sa queue profondément en moi. Mes yeux étaient blancs, ma bouche grande ouverte, je gémissais en haletant bruyamment. Ma résolution de me maîtriser, de ne pas afficher mon plaisir, était mise à rude épreuve. J'avais trop besoin de jouir. 
Il me semblait que tout mon être était centré sur cet énorme pieu qui ouvrait ma chatte, presque comme un dépucelage. Je pouvais aussi bien être vierge, puisque Thomas atteignait des endroits dont Daniel ne connaissait même pas l'existence. Soudain, mes poignets furent libres. Thomas, estimant sans doute que ma résistance était vaincue, m’avait lâchée pour saisir mon visage à deux mains, et enfouir sa langue dans ma bouche. Mes mains ne l'ont pas repoussé. Bien au contraire, elles lui ont agrippé le dos, pour le serrer contre moi en le griffant sauvagement. Mes mains étaient hors de contrôle. 
Mon corps était devenu une tanière à son usage. J'ai entendu crier et j'ai compris que c'était moi. Il a enfoui son visage dans mon cou. Son oreille était juste à côté de ma bouche. Je n’ai pas pu m'en empêcher. J'ai chuchoté, puis j'ai crié : « Baise-moi, Thomas. Baise-moi fort. Jouis en moi. Fais-moi jouir. Oh mon Dieu ! Thomas, je viens ! Aaaah ! »
J'ai senti le flot de sperme m’inonder. Il a pulsé, jet après jet, au fond de moi. Je n'ai rien pu empêcher, j'ai continué de jouir, des vagues, des rouleaux d’extase. J’ai hurlé tout le temps, je le sais. Les muscles de mon ventre se sont mis à danser une gigue effrénée, se contractant et se relâchant alternativement, comme pour traire sa bite. Même sa bite une fois ramollie, ma chatte a continué de lui faire subir ce traitement. Les répliques de cet orgasme titanesque ont duré longtemps, trop longtemps pour qu’il puisse ignorer que j’étais sa chose, à présent.

Soudain, la pièce redevint silencieuse, mes oreilles ont cessé de bourdonner, et j'ai repris le contrôle de mon corps. Je l’ai repoussé fermement, et son pénis ramolli a glissé hors de moi, entraînant un flot de sperme. J’ai refermé mon peignoir sur ma nudité exposée. Thomas avait une expression dans le regard, un air de macho fier de lui, mêlé d’émerveillement et d’épuisement. Je lui ai dit : « Ça suffit, Thomas. Ce n'est pas une façon de se comporter devant la mère d’un de ses copains. Mettons fin à cette conversation immédiatement, et à l’avenir nous ferons comme si tout cela ne s'était jamais produit » Il me semblait avoir dit quelque chose de similaire auparavant, mais Thomas s’est levé, et il est sortit de la pièce. Mes yeux suivaient chacun de ses mouvements. Son cul nu avait une forme parfaite. Exactement comme je l'avais imaginé. J'ai vu les griffures dans son dos, et j’ai eu honte.

J'ai dû m’écrouler sur le lit, car je n’ai repris conscience que longtemps après. J'étais allongée sur mon lit, dans mon peignoir. J’étais marécageuse et froide. Les images de mon viol ressurgirent. J'avais besoin d'une douche, son sperme avait coulé hors de moi. Je sais, je ne m’étais pas beaucoup défendue. Mais je ne voulais pas que ça arrive. D’abord, il m’a saoulée de paroles. Il m’a fait croire que c’était mon idée. Mais ce n'est pas vrai. Ce fils de pute a un doctorat en contrôle mental. J'ai été violée. Même si j'ai aimé, j'ai été violée. Même si je m'étais mise à genoux pour le supplier de me baiser, cela aurait quand même été un viol. 
Tout ce cinéma qu’il m’a fait autour de la masturbation. Son embarras feint. C'était prévu. Il avait tout organisé. Il m’a attirée dans son piège, afin que je devienne maternelle et protectrice quand il se prétendait vulnérable. Ce petit fils de pute a chorégraphié toute la scène. J’étais en colère d’avoir été bernée. Mais ses jus s'échappaient toujours de moi, me rappelant cet orgasme bouleversant. Je suis entrée dans la douche, sous l'eau très chaude, pour me purifier. J'ai savonné mon corps, et je l’ai frotté. Fort.

J’ai lavé mes seins, mais mes mamelons étaient encore sensibles. Juste en les savonnant, mes tétons ont recommencé à s’ériger. J’ai recommencé à rêver de l'énorme pénis de Thomas. Il m'avait remplie à ras bord. Farcie comme une dinde. Chaque endroit de ma chatte se souvenait de la puissance de sa bite. Je fermais les yeux, haletante, désireuse. Si je continuais comme ça, j’allais devoir me masturber sous la douche. Tout cela m’avait rendue charnelle, sensuelle, avide de sa grosse queue.

J'étais debout dans ma douche, couverte de savon, shampoing dans les cheveux et dans les yeux, quand j'ai senti un léger courant d'air. Quelqu'un avait ouvert la porte de la salle de bain. Quelqu'un était entré dans la salle de bain. J'ai entendu le rideau de la douche s'ouvrir. Je n'ai même pas eu le temps de me rincer. Je fus soudain plaquée contre le mur de la douche par deux mains puissantes. Face au mur. J'ai juste senti ces mains, maltraitant durement des parties de mon corps. Me tâtant le cul. Me pressant les mamelons. Les doigts sur ma chatte. Les mains étaient partout. J'ai essayé de les combattre, mais elles étaient si fortes.

J'étais effrayée, confuse, et excitée. Puis je l'ai senti. Frapper mes fesses avec sa grosse bite dure comme de la pierre. J'ai essayé de me retourner, de faire face, d’identifier mon agresseur, mais il ne m'a pas laissé faire. J'étais plaquée contre le mur, impuissante à arrêter cette exploration brutale des parties sensibles de mon corps. Quand il a mis ses doigts dans ma chatte, j'ai eu une faiblesse dans mes jambes. S’il ne m’avait pas maintenue aussi fermement, je serais tombée. Ma tête me tournait, mes mains tremblaient ! Alors ça y était. Le bout de son pénis toucha mon ouverture anale.

Oh non ! Il ne le mettrait pas dans mon cul. S'il te plaît, mon dieu, ne le laisse pas le mettre dans mon cul. Je me tortillais, essayant de me libérer. Plus je bougeais, plus la pression de son pénis agressant mon derrière vierge s’intensifiait. J'ai fermé les yeux, et j’ai fait semblant que ça n'arrivait pas, qu’il partirait. Mais ensuite il y a eu ce pop. La douleur était atroce, mais sa bite avait réussi à se loger dans mon cul. La pression a continué, et sa bite a progressé en moi, ouvrant son chemin de souffrance. 
Mon esprit criait : « NON ! Pas dans mon cul ! C'est un péché ! C'est sale » Mais cette idée que quelqu'un me baise dans le cul, c’était l'un de mes fantasmes préférés, celui que je n’oserais jamais avouer. Ce n'était pas sérieux. Bien sûr, je ne désirais pas que quelqu'un colle quoi que ce soit dans cette partie de mon corps. Mais cette pensée était tellement indécente. Mais maintenant, c’était la réalité ! Il s'enfonçait plus profondément à chaque poussée de ses hanches. Il avait commencé doucement, mais ensuite il a été emporté par sa passion. Il claquait contre moi, je sentais cette énorme pieu coulisser en moi, me violant, me défonçant, me possédant. Sa main, qui martyrisait mes mamelons, glissa jusqu'à ma chatte. Soudain, il y avait deux doigts dans mon vagin et un pouce frottant mon clitoris. 
J'ai jouis comme une fontaine. Je me suis donnée à cette bite sauvage qui m'agressait brutalement. J'en avais besoin. Je désirais qu'il me remplisse de son foutre. Mes spasmes m’emportaient dans un délire hurlant et aveuglant. J'ai senti cette bite monstrueuse éjaculer, me remplissant, m’asservissant. Mon cul n'était plus vierge. J'ai entendu un pop quand la bite a sauté de mon cul. Je n'avais pas encore ouvert les yeux, mais j'ai senti un autre souffle d'air, et il était parti. Je ne l'ai même pas vu, mais je sais que c'était Thomas. Ça ne pouvait être que Thomas. Mon violeur préféré. Celui qui m'utilise à sa guise, qui me possède, qui sais quand je désire être baisée, et comment je veux être prise. Mon violeur.

La journée s'est terminée calmement. Jason est rentré en fin d'après-midi. J'ai fait cuire quelques steaks sur la grille. Les garçons ont bu des bières pendant que je dégustais un verre de bon vin. Jason semblait désireux de parler à Thomas seul à seul de sa nouvelle copine. Je ne voulais pas m'immiscer, alors je suis allée dans ma chambre pour lire et réfléchir.

Le lendemain matin, je me suis levée tôt pour profiter de la fraîcheur matinale. Je n’irai pas courir ce matin, j’avais encore mal aux fesses, mais j’irai marcher un peu. J’aime réfléchir en marchant. Lorsque je suis revenue à la maison, Jason se levait. Il a mendié pour avoir son petit-déjeuner servi en terrasse. Je me suis fait avoir encore une fois. Il m’ a annoncé :
« Maman, je retourne voir ma copine aujourd'hui. Elle est tellement cool. Elle m’a proposé une sortie avec le bateau de son père »
J'ai répondu : « C'est chouette. Emmèneras-tu Thomas avec toi ? » J'ai essayé de prendre ma voix la plus nonchalante, mais j'avais du mal à masquer mon émotion.

Jason secoua négativement la tête : « Non, Thomas n’aime pas quand il y a deux garçons et une seule fille. Il est gêné. Il appelle ça "tenir la chandelle". Il a dit qu'il irait à la plage, ou passer un peu de temps avec toi, si t’es d’accord »
Qu'est-ce que j'étais censée répondre ? Non, Jason, Thomas veut rester pour pouvoir me violer encore ? Je ne pense pas que cela conviendrait. Je suis une femme pratique, mais je n'ai rien trouvé à répondre à mon fils de vingt ans pour qu'il puisse protéger sa mère de son destin. Je voulais juste que Jason se dépêche de partir d'ici, afin que Thomas puisse continuer ses assauts contre mon innocence. Et s'il voulait mettre son pénis dans ma bouche ? Et s'il voulait mettre sa bouche sur ma chatte ? 
Va-t'en Jason. Laisse-moi seule avec ce monstre. Je suis prête à être violée.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Après ce qui s est passer aucune gêne n est apparue lors du dîner ce qui veut expliquer que cette femme était vraiment en manque et désirer plus avec ce jeune homme ami de son fils une suite s imposé pour plus d éclaircissement de cette bonne femme en plein fantasme

Histoire Libertine
Excellent ah bon. Le mec viole 1 femme il n’y a rien d’excellent là dedans.

Histoire Erotique
Excellent, merci à vous Tamalou.



Texte coquin : Mon viol
Histoire sexe : Une rose rouge
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