Embauche

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Embauche Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Embauche
Constance habitait dans mon quartier, à quelques maisons de chez moi, mais jusqu'à ce que ma femme me quitte, je ne crois pas avoir eu connaissance de son existence. Ma femme m’a quitté pour aller vivre avec un type plein aux as, et elle a eu raison.

Constance était une veuve, assez âgée, et plutôt à l’aise financièrement. J’avais presque la trentaine, divorcé, et fauché comme les blés. Donc, ce n’est pas étonnant si nous ne nous étions jamais rencontrés, nous n’évoluions pas dans les mêmes cercles sociaux.

Quand ma femme m’a quitté, j’ai fait une dépression. Je me suis tellement absenté du travail, que mon employeur a décidé de valider et d’éterniser mon absence. Du coup, je suis passé du statut de fauché dépressif à celui de « moins-que-rien »
Un après-midi, en traînant dehors, je passais devant sa maison, en m'apitoyant sur mon sort, quand elle m'a appelé pour me demander un coup de main. Elle voulait monter des cartons au grenier. J'ai hésité un moment, en me demandant si je pouvais être dérangé de mes importantes occupations pour rendre service, si les cartons n’étaient pas trop lourds, ou trop nombreux, mais la vieille était maline :
« J'ai de la bière au frais. Si vous m’aidez, je pourrais vous en offrir une après »
Elle avait trouvé l’argument approprié. Dans la chaleur de l’été, la perspective d’une boisson fraîche gratuite m’a convaincu de l’utilité d’aider cette personne. J’ai réalisé un quart de tour sur moi-même pour accomplir ma bonne action de la journée, et de la semaine, et de l’année.

Ce n'était pas un bien gros travail, juste une demi-douzaine de cartons pleins de bric-à-brac, qui devaient être empilés dans le grenier. La température sous le toit étant proche de celle de la cuisson du poulet, je suis redescendu en sueur, et cela ne m'arrivait pas souvent.

Elle me remercia, semblant étonnée par mon visage en sueur : « Vous avez bien mérité votre récompense »
Je souriais intérieurement devant ses manières désuètes et je la suivis dans sa cuisine. Je me suis assis à la grande table de cuisine en bois, pour attendre respectueusement mon dédommagement. Elle m'a tendu un torchon pour essuyer la sueur de mon visage avant de disparaître par une autre porte. Elle est revenue un moment plus tard avec une bouteille de bière et un verre.

« Je ne vous accompagnerai pas, si cela ne vous dérange pas. Je n'aime pas beaucoup la bière, je n'en achète que pour les invités, et j'ai déjà pris le thé tout à l'heure »
Cela ne me dérangeait pas, l'idée de boire seul ne m’effrayait pas, de toute façon. J'ai ôté la capsule de la bouteille avec mes dents, et j'ai versé le liquide ambré dans le verre.

« Oh, je suis si confuse » Sa main vola devant sa bouche "J'ai complètement oublié le décapsuleur »
« Pas de problème » La rassurais-je après une deuxième gorgée de bière « J'ai l'habitude de faire comme ça, pour ouvrir les bouteilles »
« Oh, la jeunesse ! » Elle a haussé les épaules en faisant une moue dédaigneuse à mon attention puis, réalisant peut-être à quel point cela devait avoir l'air cliché, elle a éclaté de rire, un rire clair et joyeux qui m'a bientôt entraîné à y participer. Lorsque son rire s'est calmé, elle s’est assise en face de moi, de l’autre côté de la table. Elle m'observait attentivement pendant que je buvais ma bière.

J’examinais ses traits en retour. C'était la première fois que je la regardais vraiment comme une personne, plutôt qu'en la considérant comme une dame âgée qui vivait dans la grande maison au coin de la rue. Je me suis vite aperçu qu'elle n'était pas aussi âgée que je l'avais d'abord estimé. Sa façon ringarde et très conservatrice de s'habiller, de s’exprimer, d’agir, avait faussé mon jugement.

Je l'avais hâtivement estimée comme une vieille personne, probablement dans la soixantaine ou plus, mais en la voyant de près, je rectifiais mon jugement, en lui enlevant une bonne dizaine d’années. Un peu moins que la soixantaine, probablement. Elle était de taille moyenne, assez mince, mais avec le corsage opulent. Son visage avait conservé les traces d'une grande beauté. 
Elle avait dû être très belle dans sa jeunesse, mais l’impitoyable marche du temps avait creusé ses rides, alourdi ses paupières, affaissé ses joues. J'ai soudain réalisé qu'elle avait eu une jeunesse, des flirts qui lui faisaient battre le cœur, mais ses émois de jeune fille sage s’étaient éteints bien avant ma naissance. Cela nous concerne tous, même si c’est dommage. Ses cheveux blonds et permanentés ne la rajeunissaient pas. Des sourcils fins au-dessus de ses yeux noisette suggéraient qu'elle était restée coquette.

Elle disait : « Parler avec vous me change très agréablement de ces rencontres avec de vieilles bonnes femmes. C'est la première fois que je me trouve seule avec un homme, depuis la disparition de mon cher mari, et ça fait onze ans »
« Vraiment ? » dis-je bêtement, ne sachant quoi répondre. Je me demandais juste si le fait qu'elle se sente manifestement en sécurité en ma compagnie était un compliment ou une insulte. « J’en suis heureux » J'ai soudain réalisé que ma réponse pouvait être interprétée comme étant : « Je suis heureux que ton mari soit mort ! » J’ai corrigé aussitôt : « Ce que je veux dire, c’est que je suis content que vous appréciez ma compagnie »
Elle a rit, amusée par ma confusion : « Ne t’excuse pas, j'aime ta façon de t’exprimer »
Cela a semblé ouvrir les vannes. D'un coup, elle s’est mise à me raconter sa vie. À un moment donné, elle s'est arrêtée pour aller me chercher une autre bière. Je pense qu’elle a eu peur que je décampe avant la fin. Puis elle a continué, sans jamais me donner une chance de l’interrompre.

Elle s’était mariée avec un richissime homme d'affaires beaucoup plus âgé qu’elle. Sa vie avait été matériellement très confortable, mais son cercle d'amis était celui de son mari, pas le sien. Elle avait perdu le contact avec ses amies d'enfance. Cela expliquait son apparence très démodée. 
Maintenant que son mari était mort, et que la plupart de ses connaissances avaient fait de même, elle s'était retrouvée très seule. Elle n’avait presque pas de famille, et n’avait pas la volonté de recommencer à développer un nouveau cercle social, même si elle se sentait trop jeune pour se recroqueviller et attendre la faucheuse. Elle ne l'a dit qu’à mots couverts, mais elle était désespérément seule.

J’étais désolé pour elle, mais plus que cela, je me suis retrouvé à apprécier la compagnie de cette vieille dame, d'autant plus qu'elle faisait preuve d'un sens de l'humour ironique. J’ai commencé à la regarder comme une amie, et non plus comme une vieille femme excentrique. À ma propre surprise, je me suis entendu lui demander si cela ne la dérangerait pas, si je revenais un autre jour pour discuter avec elle.

« Bien sûr que non, je t'ai déjà dit que j'appréciais ta compagnie. Mais n’espère pas obtenir une bière gratuite à chacune de tes visites ! »
Après cela, je suis revenu sonner à sa porte deux ou trois fois par semaine. Ne vous méprenez pas, je ne l'ai fait que parce que j'appréciais sa compagnie. Elle s'habillait et s’exprimait comme si elle venait de surgir des siècles passés, mais elle était plus moderne que moi. À ma grande surprise, j'ai constaté qu'elle était plus débrouillarde que moi avec un ordinateur ou un portable.

J'ai dû réviser plusieurs fois mon jugement sur ses capacités supposées. Un mois après notre première rencontre, je croyais bien la connaître, et pourtant elle m’a scotché avec une question saugrenue. Nous étions dans son salon, nous finissions de boire le café, elle débarrassait la vaisselle et, sur un ton badin, comme si l’idée lui traversait brusquement l’esprit, elle m’a posé la question qui tue :
« As-tu déjà eu recours aux services d’un site de rencontres ? »
La réponse était complexe. Il y avait de l’intérêt, de la curiosité, mais aussi beaucoup de méfiance envers ces supermarchés du sexe, et surtout un manque de moyens financiers qui me pénalisait. Je me disais que je n’étais pas assez désespéré pour les utiliser, et je restais là, à me lamenter sur mon sort.

« Pourquoi cette question ? » ai-je répliqué, pas sûr de savoir ce qu’elle voulait.

« Si je te le dis, tu dois jurer de garder le secret » Elle a exigé.

« Bien sûr » J’ai promis. Pas difficile, j’aurais pu raconter ça à qui ?

« Je serais tellement honteuse si cela se savait. Bon, tu sais que je ne sors pas beaucoup, et que je n'ai pas beaucoup d'amis ? »
C'était entendu, alors j'ai simplement hoché la tête. Elle marqua une pause, semblant chercher ses mots.

« Donc, mes chances de rencontrer des hommes sont limitées. Je veux dire, des hommes en bon état de marche. Et libres ... »
Cela m’a pris quelques secondes avant de réaliser qu’elle cherchait à faire des rencontres pour le sexe. Ma bouche s'est ouverte et mes yeux se sont écarquillés.

« Je vois que tu m’as comprise. Maintenant tu sais pourquoi je veux que tout ceci reste confidentiel. J'ai 58 ans, et les femmes de mon âge ne sont pas censées courir après un étalon reproducteur »
J'ai de nouveau prudemment hoché la tête. Je n’avais aucune idée de ce que les femmes cherchaient.

« Je pense à ce genre de choses de plus en plus souvent. Mes feux ne se sont pas encore tout à fait éteints. J'ai des besoins précis. Ce n’est pas réjouissant de devoir induire mes propres orgasmes »
J'étais sidéré de son aveu de masturbation. J’essayais de comprendre. Elle n'était pas si mal. Je veux dire, elle était trop vieille pour moi, mais pour son âge, elle était assez bien conservée. Je la regardais.

« Mais pourquoi un site de rencontres? »
« Regarde-moi. J'ai dépassé la date de péremption. Ça ne sert à rien de le nier. Je ne vais pas pouvoir attirer un jeune homme viril dans mon lit, rien qu'avec mon physique. Donc, si je veux obtenir ce que je cherche, j'ai pensé que je vais devoir mettre la main au porte-monnaie. Recruter quelqu’un de capable, et le récompenser à la hauteur de sa performance. Donc, puisque tu es mon seul confident, je te le demande. Qu’est-ce que tu en penses ? »
Je ne savais pas quoi penser. Ce n'est pas le genre de chose qu'on vous demande tous les jours.

« Vous cherchez un gigolo ? » demandais-je, pour me donner le temps de la réflexion.

Ses joues se sont empourprées. « Si tu veux, oui, on peut appeler ça ainsi. Je veux avoir du plaisir avant qu'il ne soit trop tard, je veux quelqu'un qui me donne du plaisir sans se préoccuper du sien, car je ne suis pas sûre de pouvoir donner beaucoup en retour, et donc la meilleure option me semble payer pour cela »
J'essayais toujours de réaliser que cette conversation était bien réelle. Si quelqu'un m'avait dit qu’une vieille folle me demanderait mon avis pour savoir où elle pourrait trouver une bite à louer …
« Bien sûr, Constance, je peux comprendre que vous ayez des besoins. Mais je pense que c’est risqué de faire entrer un étranger chez vous. Vous pourriez rencontrer un méchant homme, vous pourriez être volée, spoliée, blessée, ou ramasser quelque chose de malsain »
« Je préfère prendre le risque, plutôt que de continuer à épuiser les piles. Où de m'en passer. À moins que tu n’aies une meilleure option ? »
« Oh, ça devrait marcher. Je veux dire, les gens utilisent les sites de rencontres presque uniquement dans ce but. Mais cela ne les rend pas entièrement sûrs. Vous êtes sûre de n’avoir personne, dans vos relations, qui pourrait vous aider ? »
« Eh bien. Qui est-ce que je connais ? » répondit-elle sarcastiquement. « Il y a le jardinier, mais depuis son opération, il n’est plus très fringant. Il y a ce gars, qui vient pour les vitres et le ménage de printemps. Je crois qu’il est un peu efféminé, et je ne pense pas pouvoir l’intéresser. Et puis, il y a toi. Voilà »
Il y a eu un silence absolument assourdissant pendant que ce qu'elle venait de dire s'infiltrait dans nos cerveaux, puis elle m'a regardé avec ce drôle de regard, comme si elle réalisait brusquement la portée de ses paroles.

Jusqu'à maintenant, je n'avais jamais envisagé que je puisse être candidat. Je n’étais même pas sûr d’en être capable. Quelles étaient mes chances de pouvoir satisfaire une femme à ce point différente de mes préférences habituelles ? Je n’avais aucun goût pour les femmes matures. La surprise est venue de mon entrejambe, lorsqu’un sursaut inattendu m'a informé qu'une certaine partie de mon anatomie n'excluait pas entièrement cette possibilité.

Elle a finalement rompu le silence : « Je te paierai … Je sais que tu ne le feras pas uniquement par plaisir, alors je te paierai... »
J'ai secoué la tête, mon esprit essayait de persuader ma bite de se tenir tranquille : « Impossible. Cela gâcherait notre belle amitié, n'est-ce pas ? »
« Je pense qu'il est un peu tard pour s'en inquiéter. Le simple fait d’en avoir parlé sera gênant de toute façon » Dit-elle tristement.

Il y eut un autre silence. Pénible. Maintenant, ma libido émoustillée me forçait à réfléchir. Puis elle m'a dit ce qu'elle avait en tête, chiffrant une somme assez rondelette.

« Je te paierai cette somme-là juste pour le faire avec moi, et puis tu auras un bonus chaque fois que tu me fera jouir » L’importance des sommes en jeu commençait à me faire vaciller. 
« Si cela ne te semble pas assez important, sache que je suis multi-orgasmique. J'ai vraiment besoin d'être amenée à l'orgasme, plusieurs fois, tu ne te doutes pas à quel point cela me manque »
Dans mon esprit, une image plutôt dérangeante d'elle, se masturbant avec un vibromasseur, m'est venue à l'esprit. Ma bite a réagi à la vue cette image, et mon cerveau a réagi à la perspective de gagner de l'argent facilement, en réalisant un acte si ordinaire pour moi.

« Quand ? » demandais-je en capitulant. « Pensez-vous à une seule fois, ou plusieurs fois ? »
Je m'écoutais parler avec émerveillement. J’étais en train de négocier les conditions pour coucher avec une femme beaucoup plus âgée que moi, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde.

« Essayons une fois, et voyons comment nous nous en sortons. Ce que je souhaite, c’est que cela devienne un protocole régulier, mais je peux comprendre tes réticences » dit-elle, souriante et soulagée.

« Quand ? » J'ai redemandé.

« Pas aujourd'hui, j'en ai peur. Rita pourrait passer à l’improviste. Il ne faudrait pas qu'elle nous attrape en plein... Et je ne veux pas qu'on soit obligés de précipiter les choses »
Elle pensait à voix haute, tout en consultant mentalement son agenda, tandis que je me demandais qui était cette Rita dont elle parlait.

« Et pourquoi pas jeudi soir ? Cela nous donnera à tous deux le temps de nous préparer »
Je devrais certainement me préparer. J’en avais bien besoin. Jeudi, c’était après-demain, et j'avais bien besoin de tout ce temps pour comprendre ce à quoi je venais de m'engager, et surtout pourquoi ?

« Ce sera bien » marmonnais-je, essayant toujours de faire face. « Vers 19H30 ? »
« Cela semble bien ! J'ai hâte d’être à jeudi, alors »
C'était à la fois une déclaration de fait, comme la signature d’un accord, et mon congédiement pour ce jour-là. Je suis rentré chez moi avec un ouragan dans la tête qui me faisait fonctionner comme un automate. J'ai même presque ignoré un ami qui me hélait de l'autre côté de la rue. Et je n'allais pas beaucoup mieux, deux jours plus tard, quand je me suis retrouvé de nouveau à toquer contre sa porte. À ce moment-là, ma libido s'était calmée, et je doutais d’avoir pris la bonne décision. Pourquoi avais-je accepté de coucher avec cette vieille femme ?

J'avais espéré qu'elle puisse faire un effort pour me séduire, avec un accoutrement sexy, une nuisette, mais j'avais tort. Elle ouvrit la porte vêtue de sa blouse fleurie et d’un simple gilet. Son style habituel, sa coiffure sagement peignée, pas maquillée, j’ai commencé à me demander si elle n’avait pas renoncé. J'ai pensé que ce serait un travail plus difficile que prévu, et que l’optimisme de ma bite m’avait conduit dans ce merdier. Mais j’avais besoin d’argent.

« Entre, mon grand » Elle s'est effacée pour me laisser passer, avec probablement l'intention de verrouiller la porte derrière moi pour m'empêcher de m'échapper.

« Prenons un verre, d'abord. Bière ou café ? »
« Un café, s'il vous plaît, Constance » Je n’osais pas lui demander un alcool fort pour me donner un coup de fouet. Nous nous sommes assis face à face, de part et d’autre de la table de la cuisine, en buvant notre café en silence, et en essayant de déchiffrer les pensées de l'autre. Je la regardais, me demandant surtout ce que j'allais trouver sous ses vêtements démodés.

« Je ne te paierai qu'après. Parce que nous ne savons pas encore combien cela coûtera. Mais je te promets de ne pas te rouler » Sa brusque intervention m’avait presque fait sursauter.

« C'est bon » Je ne pouvais pas garantir que je serais en mesure d’assurer. Je n’arrivais pas à l’imaginer.

« Mais je dois te rappeler que c’est celui qui paie l’orchestre, qui décide de la musique. Donc, je m'attends à ce que tu fasses ce que je veux »
Je priais Dieu, en espérant ne pas être tombé entre les mains d’une dominatrice de placard. Mais tout ce que j'ai répondu, c'est : « Bien sûr »
« Allons dans ma chambre alors, si tu es prêt »
« Je suis toujours prêt » Je fanfaronnais en espérant que cela me donnerais du courage, et surtout en espérant réveiller celui qui dormait dans mon pantalon. Il n'y avait aucun signe d'activité à l'intérieur de mon jeans pour le moment. J'espérais juste que mon sexe ne m'avait pas induit en erreur quant à ses intentions. Sa chambre était exactement comme je m'y attendais. Mélange de l'influence d'un homme dans le choix des meubles en chêne massif foncé, mais qui avait été féminisé par l'utilisation excessive de rose et de blanc dans les tissus d'ameublement. Une collection d'ours en peluche étaient assis sur l’étagère.

Elle a traversé la chambre pour aller fermer les stores. Au passage, elle a retourné les nounours face contre le mur, en disant : « Je n’aime pas que vous me regardiez faire des bêtises. Vous êtes mes petits » Elle s'adressait à eux comme à des personnes. J’étais tombé sur une cinglée.

« Allons-nous nous déshabiller ? » demanda-t-elle, expression qu’elle formulait comme une question, alors que c’était une instruction. J'ai hoché la tête et je me suis retourné, sans en connaître la raison. Peut-être parce que je pensais qu'elle préférerait un peu de discrétion, ou peut-être parce que je ne voulais pas la voir se déshabiller.

« Tourne-toi, que je puisse te regarder » Cela signifiait que je devais la regarder aussi. Il faut reconnaître que ce que j'ai vu n'était pas aussi déplaisant que ce que j'avais redouté. Je suppose que tout les gars de mon âge pensent que tous ceux de son âge sont usés et déglingués, avec les chairs flasques et ridées.

Oui, bien sûr, l’outrage des ans était passé par là, mais c’était surtout visible sur les endroits exposés à la lumière. Le dos des mains, le tour du cou et le haut des épaules, les jambes. Sinon, la majeure partie de son corps était bien, la peau était lisse et les seins étaient fermes. Quant au reste, ses jambes étaient fines, son ventre était loin d'être plat, mais j'ai vu pire. Mon sexe a validé en remuant une fois pour dire que cela allait être possible, sinon facile.

J’avais envie de rire en repensant au sketch de Bedos et Daumier (La Drague) : « Elle est pas mal, ma cavalière, elle est pas terrible-terrible, mais elle est pas mal »
« Je dois reconnaître que vous avez l'air plutôt bien, mais je suppose qu'il doit être difficile pour un homme de faire l'amour sur commande » Elle commentait charitablement en examinant ma pitoyable érection. « Peu importe, tu n'en auras pas besoin au début » Elle s’allongea sur le lit, et tapota l'espace à côté d'elle. La consigne était claire.

Je m'allongeais sur le dos à côté d'elle, en fixant le plafond, attendant qu'elle me donne ses instructions. Elle n'a rien dit, pendant un long moment, alors je me suis finalement tourné vers elle pour la regarder. En m'entendant bouger, elle se tourna vers moi, toujours sans dire un mot. Le silence devenait gênant.

« C'est plus difficile que je ne le pensais » dit-elle enfin.

« Il n'y a pas d'urgence. On peut discuter un moment » Je l'ai rassurée. En présence d’une femme de mon âge, j'aurais déjà attiré ma partenaire vers moi, en explorant son corps avec mes mains et ma bouche, mais une chose m'arrêtait. Elle m’avait dit que je devais suivre ses instructions, et je ne voulais pas la braquer. De plus, ma principale motivation, c’était un portefeuille vide, pas l’envie de sexe.

Nous sommes restés allongés sur le côté, face à face, nous dévisageant sans un mot, puis sa main est venue chercher ma bite. C'était une émotion étrange. Nous nous regardions toujours dans les yeux, ses joues s’empourpraient, et cette main jouait avec mon sexe comme si elle n’appartenait pas à Constance. Elle a réussi ce tour de force, et j’ai senti mon sexe se dérouler et gonfler dans sa main, faisant naître un sourire heureux sur son visage.

« Ça faisait longtemps. Si longtemps » Elle chuchotait, comme si elle avait peur de briser l’enchantement.

Ça faisait longtemps pour moi aussi, même si ce n'était pas comparable. C'était agréable cependant d'avoir la main d’une femme qui caressait ma bite, et si j'étais payé pour ça en plus, alors c’était royal. Je fermais les yeux et je la laissais faire, l’encourageant de temps en temps des soupirs appropriés. J'en suis arrivé à un point où, si elle avait continué, elle m’aurait fait jouir, mais elle m'a brusquement rappelé mes devoirs. Elle s'arrêta net et roula sur le dos, ce qui me rouvrit les yeux d'un coup.

« À ton tour » me dit-elle en écartant les jambes. « Tu as l’air d’aimer mes caresses, et j'aime les faire, mais ce n’est pas de ça dont j'ai besoin. Alors maintenant, c'est ton tour. Tu peux t’y prendre comme tu veux, mais ne t'arrête pas avant de m’avoir amenée à mon point culminant »
Je souris en entendant ses mots. Même au lit, en réclamant mes caresses, elle restait digne. J’avais envie de la bousculer un peu :
« Tu veux dire que tu veux que je te fasse jouir ? Tu peux dire jouir, ce n’est pas vulgaire »
« Oui. Si tu veux » Eh bien, au moins, elle savait ce que ce mot signifiait.

J'ai roulé sur le côté et je me suis pressé contre elle. J'ai posé la main sur son ventre pour la caresser légèrement. Elle semblait indécise. Je gardais mes yeux fixés sur son visage. Je ne voulais pas voir où se dirigeait ma main, mais sa peau était étonnamment agréable, aussi douce et ferme que celle de n'importe quelle autre femme. Je laissais mes doigts errer sur son ventre, regardant ses yeux se voiler sous mes palpations.

Mes doigts glissèrent plusieurs fois sous son ventre, s'aventurant à chaque fois un peu plus bas entre la fourche de ses cuisses, dans son pubis abondamment bouclé. Elle a légèrement écarté ses cuisses, en respirant plus fort, mais je la sentis se crisper un peu, et je me suis rappelé que ce n'était pas si facile pour elle non plus. Curieusement, cela m'a aidé à me dessaler un peu plus. J'ai mis mes doigts dans sa fente pour l’écarter un peu, et la caresser plus intimement.

« Je pensais que cela se reproduirait jamais » Elle murmurait pour elle-même. Elle a eu un rictus, comme un sourire, et ferma les yeux lorsque mes doigts pincèrent son clitoris. Son clitoris était déjà engorgé, et se tenait dressé d’excitation. J'ai été vraiment surpris par la rapidité de la réponse de son corps. J'étais content de ce que je trouvais, et j’augmentais mon niveau d’impudeur en jouant avec son clitoris.

J'entendis ses soupirs d’excitation, et sa main se posa soudain sur mon épaule. Elle s'ouvrit plus largement, sa cuisse venant se poser sur mes jambes fléchies de sorte que ma bite s’appuyait contre sa hanche. J'ai continué ce que je faisais, en l'absence d’autres instructions, malmenant son clitoris du bout de mes doigts, caressant sa chatte entre les grandes lèvres, descendant recueillir sur le bout de mes doigts, l’humidité qui suait de son orifice qui s’épanouissait.

J’ai changé de rythme lorsque sa respiration est devenue plus irrégulière. L’urgence et la tension qui se dégageaient de tout son être m’ont commandé de frotter plus fort et plus vite. Cela semblait fonctionner car ses doigts se sont serrés sur mon épaule, et la houle de ses hanches est devenue plus forte. J'ai continué, plus fort et plus vite, jusqu’à ce que ses ongles s'enfoncent en moi.

Son orgasme a duré longtemps, et je commençais à m'inquiéter pour son bien-être, même si j'ai continué à jouer avec sa chatte jusqu'à ce qu'elle s’abatte enfin sur le lit, épuisée et haletante. Ensuite, j'ai laissé ma main recouvrir sa motte pendant qu'elle reprenait son souffle, avec son cœur qui martelait si fort. Nous restâmes silencieux pendant quelques instants, Constance se remettait de son éblouissement, et moi j’étais émerveillé par sa vitalité. Maintenant, je savais que le sexe ne s’éteignait pas avec la ménopause.

« Tu n'as aucune idée… À quel point j'en avais besoin ! Laisse-moi reprendre mon souffle. Tu voudras bien recommencer ? »
J'acquiesçais en lui souriant. Bien sûr que je recommencerai. Pas seulement pour mes finances. Ça me faisait plaisir de lui faire plaisir. Quelle vitalité ! Quel tempérament ! J’étais simplement heureux pour elle. Elle ne m'a pas demandé de recommencer. En la voyant retrouver son calme, ma main s’est déplacée un peu, juste une légère caresse. Puis, son souffle s’accélérant, la pression de ma main a augmenté, la vitesse de mes doigts s’est accélérée. Ses yeux se sont fermés et sa poitrine s’est soulevée vivement quand mes doigts se sont emparés de son clitoris. Ses hanches ont recommencé leur sarabande, rythmée par ses cris et ses gémissements. Il ne lui a pas fallu très longtemps pour exulter de nouveau, et son plaisir était aussi intense que la première fois. La seule différence, ce fut ma conduite. Comme la première fois, sa main a agrippé mon épaule, pour m’attirer contre elle. La première fois, j’avais résisté, mais cette fois, je me suis laissé entraîner sur elle. Je ne sais pas si c’est ce qu’elle voulait, mais ma bouche s’est emparée de son mamelon pour le sucer fort.

« J'aime ce que tu me fais » Grogna-t-elle, et sa main pressait ma tête sur son nichon.

Ensuite, il n'y a pas eu un vrai début à ma tentative suivante pour la faire jouir. Comme précédemment, j'ai juste continué de jouer avec elle. Cette fois, je m'étais laissé un peu glisser vers le bas du lit pour sucer son sein de manière plus confortable, et ma main taquinait les chairs délicates de sa chatte. J'ai utilisé mes doigts pour séparer ses grandes lèvres et farfouiller entre elles, à la recherche de l’entrée du paradis. Je trouvais l’ouverture, humide et accueillante, et je glissais délicatement deux doigts à l'intérieur en laissant mon pouce atteindre son clitoris.

Elle avait passé son bras autour de mes épaules et pressait ma tête contre sa poitrine. Elle embrassait tendrement mon front pendant que je suçais son sein. Je me sentais étrangement bien, et j'ai commencé à enfoncer mes doigts en elle, en faisant heurter mon pouce contre son clitoris à chaque poussée. Elle haletait doucement à chaque pression. Je tenais évidemment le bon bout pour gagner un nouveau bonus. Ce travail était bien plus profitable que ce à quoi je m'attendais. Quand elle a joui cette fois-là, elle a serré durement ses ongles sur mon dos.

J'ai été surpris une fois de plus par sa force, et la puissance de ses orgasmes semblait augmenter à chaque fois, mais j'admets volontiers que j'en étais ravi, même si mon dos ne l'était pas. J'étais content en pensant au côté financier de la chose. La séance allait être bénéfique. Et pour l’avenir, en montrant mes capacités à faire exulter Constance, sûrement qu’elle voudra recommencer avec moi. Et puis, il y a bien sûr la fierté personnelle, c'est bon pour mon ego de savoir que j’assure avec ma partenaire. J’ai toujours autant de plaisir à donner qu'à recevoir.

Cette fois, quand elle s'est finalement calmée, trempée de sueur en cherchant son souffle, je l’ai regardée avec un sourire de satisfaction non dissimulé.

« Tu es très bon, n'est-ce pas ? Je peux t’assurer que j’ai de l’expérience, mais avec toi … Waouh ! »
Elle me complimentait et j’étais fier comme un paon qui fait la roue. Nous sommes restés blottis l’un contre l’autre, en nous regardant amoureusement dans les yeux pendant quelques minutes. Finalement, elle m’a demandé : « Voudrais-tu m'embrasser ? »
Bien sûr que je le voulais. J'ai posé ma bouche sur la sienne, pour un chaste baiser du bout des lèvres. Mais je l’ai senti ouvrir sa bouche pour un baiser passionné, son autre bras est venu m’enlacer, et nous avons échangé une longue étreinte sensuelle entre deux amants subjugués. Quand nous avons cessé nos embrassades, elle a eu un petit rire gêné de fille.

« C'était très bien. Mais ce n'était pas ce que je voulais. Je voulais dire… m’embrasser… là, en bas »
Elle pointait son doigt vers sa chatte. Comprendre mon erreur me fit devenir rouge d'embarras.

« Rassure-toi, c’était très agréable, et tu pourras recommencer aussi souvent que tu voudras. D’ailleurs, tu peux m’embrasser où tu veux. Mais maintenant, voudrais-tu me faire plaisir en m’embrassant là ? »
Je n’avais pas de problème avec le sexe oral. J’adorais faire ça avec ma femme, et j'avais arrêté de considérer Constance comme une personne âgée, donc naturellement je pouvais le faire. Je me suis mis en position entre ses jambes écartées, et j'ai juste regardé sa chatte pendant un instant, profitant de la vue érotique et de la chaleur de son excitation. Je l'ai regardée, en pensant que j’aimerais mieux y mettre ma bite, plutôt que ma langue, mais c’était Constance qui commandait, et j’obéissais.

J'ai écarté ses lèvres avec mes pouces, et j'ai posé ma bouche sur sa chatte, ma langue cherchant son clitoris. J’ai léché sa chatte, tout le long de sa fente, et mes lèvres ont sucé son clitoris. Lorsque ses hanches ont recommencé à osciller et que son souffle est devenu plus rauque, je me suis concentré sur son clitoris. Ses doigts sont venus s'enchevêtrer dans mes cheveux, prêts à me serrer contre elle. Je repliais ses jambes en enroulant mes bras autour de ses cuisses, et je pressais mon visage sur elle, léchant et suçant sa chatte.

J'adore faire ça quand une femme réagit comme Constance, parce que les sons qu'elle émettait me disaient à quel point elle aimait cela. À un moment, elle a plaidé en poussant ma tête plus bas :
« S'il te plaît, oh, s’il te plaît » 
J'acquiesçais et je dirigeais ma langue vers son ouverture, léchant et sondant autour de l'entrée avant de m'enfoncer aussi loin que je le pouvais. Je lui faisais l’amour avec ma langue, et parfois je délaissais son orifice pour lécher toute la longueur de sa fente, avant de sucer son clitoris, ce qui la faisait sursauter. De toute évidence, son clitoris était très sensible, mais elle aimait aussi quand je jouais dans son antre, alors j'ai dégagé un de mes bras, pour la baiser avec deux de mes doigts, pendant que je léchais son clitoris. J’ai accéléré mon rythme en l’entendant gémir. Je baisais sa chatte durement avec mes doigts, et je lapais et suçais son clitoris aussi vite que possible.

L'effet a été remarquable. Ses doigts accrochés dans mes cheveux ont maintenus ma tête en place. Ses hanches roulaient à toute vitesse, en frottant sa chatte contre mon visage. Ses cris perçants m’auraient probablement rendu sourd si je n’avais pas eu la tête coincée entre ses cuisses, ce qui amortissait les sons. Une fois de plus, j’ai été surpris par la violence de son orgasme. Je me demandais s’il fallait l’attribuer à la longueur de son célibat, et surtout si ça allait être comme ça à chaque fois, à supposer qu’elle veuille bien de moi. J’ai attendu que le calme revienne en déposant de petits bécots sur sa chatte, et en caressant avec mes mains les parties de son corps que je pouvais atteindre. Puis je l'ai regardée, essayant de savoir ce qu'elle voulait que je fasse ensuite. Elle m’a juste adressé un sourire fatigué, en me disant :
« C'est assez pour cette fois. Tu m’as épuisée »
Je me dégageais pour m'allonger tout contre elle, et l’enlacer en la câlinant tendrement. J’étais malgré tout un peu déçu de ne pas avoir pu jouir. Elle me regardait en me caressant affectueusement la joue.

« Tu es quelque chose au lit, n'est-ce pas ? » Elle murmura.

Souriante, elle a attrapé ma bite solidement dressée : « Chacun son tour » Elle a dit.

« Mais, je pensais que tu en avais assez ? »
« J’ai gardé le meilleur pour la fin » Elle me souriait, malicieuse et coquine.

Je me suis promis d'y aller doucement, après tout j'étais un homme assez bien bâti, et elle était une petite femme fragile. Je m’installais sur elle, sentant sa main plonger entre nous pour me guider en elle. Je dois admettre que l’entrée était fabuleuse, humide, ardente et hospitalière. Je voulais être doux pour ne pas lui faire de mal, mais à peine dedans, j’ai senti ses jambes s’enrouler autour de moi et ses bras saisir mes épaules. Elle a mis sa bouche dans mon cou pour me chuchoter :
« Fais-le, chéri. Baise-moi fort. J’aime le sexe sauvage. Pousse bien à fond. Tu peux me baiser aussi fort que tu veux, j’adore ça »
Il n'y avait aucun moyen que je puisse me retenir avec elle en entendant des choses comme ça. J'ai commencé à la baiser plus vite, en la pénétrant plus profondément. Sa façon de me parler crûment, alors que c’était une femme raffinée et élégante, me rendait fou. Elle savait l’effet qu’elle me faisait en poussant de petits cris féminins lorsque mon ventre heurtait le sien. Elle alternait les gémissements et les chuchotis salaces, me complimentait sur la taille de mon sexe, et me commentait l’effet qu’il lui faisait.

« Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps. Je vais venir » Je l'ai prévenue.

« Ne t'arrête pas. Viens en moi, chéri. Ne te retiens pas, je veux tout en moi »
Je ne pouvais pas me retenir même si j'essayais, j'ai senti mes couilles durcir, et mon sperme grimper dans ma bite avant de jaillir en elle, me faisant grogner en poussant aussi profondément que possible. Je me suis vidé, physiquement et émotionnellement. Je me suis affaissé sur elle, à bout de souffle et tremblant de fatigue. J'ai essayé, sans grand succès, de me faire aussi léger que possible afin de ne pas l’écraser. Elle laissa retomber ses bras et ses jambes sur le lit, me libérant de son étreinte. Je roulais sur le lit à côté d’elle, et soudain elle éclata de rire, un rire fripon de femme comblée.

« Je pense que cette séance mérite de figurer dans le livre d’or des records, à la section sportive »
Allongés l'un contre l'autre, nous avons ri comme deux adolescents. Elle m'embrassa sur la bouche, pas un long baiser passionné, juste un petit bisou d'affection :
« Maintenant, je dois m'excuser. Mon comportement n'a pas été approprié, et certaines choses que j'ai dites étaient un peu trop grossières. J'espère que tu me pardonneras. Mon mari aimait que je lui dise des choses salaces, et ça m'est revenu naturellement »
Je la regardais, éberlué par sa tirade. Au début, je croyais qu’elle plaisantait. Mais devant son air le plus sérieux du monde, j’ai compris qu’elle était sincère.

« Il n'y a rien à pardonner. Ce sont des choses que l’on dit naturellement, sous le coup de l’émotion. Ça m’a fait plaisir que tu ressentes du plaisir, et ça m’a motivé. Tu pourras me dire tout ce que tu veux, j’aime ça »
Puis j'ai réalisé, en lui tenant ce discours, que je prenais pour acquis le fait qu'on recommencerait.

Sans hésiter, elle m'a proposé : « Si tu es d’accord, voyons-nous tous les jeudis »
Mes pensées, concernant les relations sexuelles avec une femme plus âgée, avaient bien changées.
En fait, si j’avais la chance d'emmener une autre femme plus âgée au lit, alors je sauterais dessus. Tout le plaisir sans aucun inconvénient. Et si je peux être payé en plus, c’est le jackpot.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cette femme âgée à donner sa satisfaction à un relativement jeune homme qui pour un 1er round il semble l avoir convaincu de prolonger le contrat oral entre eux une suite doit nous informer sur cette aventure



Texte coquin : Embauche
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