Entretien d’embauche
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Entretien d’embauche
Bérengère était inquiète en se préparant pour son entretien d’embauche. Elle avait rendez-vous dans une grande maison d'édition. Elle savait que la discipline y était sévère, et les directeurs austères et exigeants. La description du poste était floue, et elle ne savait pas ce qu’on allait lui demander. La secrétaire des ressources humaines l'avait contactée sans qu’elle présente sa candidature, c’était le directeur qui l’avait remarquée, et convoquée. Il espérait qu’elle soit capable de répondre aux exigences du poste à pourvoir. Bérengère était ravie et intriguée par cette démarche. Avec un salaire de début qui équivalait à quatre fois son salaire actuel, elle savait qu’elle devait faire le nécessaire pour avoir ce job.
Elle s'habillait sexy mais avec classe, sa silhouette fine pouvant s’accommoder de toutes les toilettes. Une jupe crayon moulante qui épousait parfaitement ses fesses, et qui s’arrêtait à mi-cuisses. Il avait une fente assez longue sur le côté, qui montrait la chair pâle au-dessus du bas retenu par des jarretelles. Un chemisier avec un jabot en dentelle qui présentait ses seins relevés par le push-up, comme des fruits dans une corbeille. De toute évidence, la clé pour se sentir confiante, c’était de porter des sous-vêtements sexy, alors elle a enfilé un string noir minimaliste. Elle a utilisé une ceinture élastique pour affiner sa taille, et a complété sa tenue avec des talons aiguilles qui accentuaient le tangage de sa démarche.
Sachant que la direction de l’entreprise était uniquement masculine, et que leur ligne éditoriale était plutôt machiste, il lui fallait faire bon effet. Un look professionnel, pas vulgaire comme une pute, mais sexy, c’est à dire jolie à regarder. Se mettre en valeur jusqu’au moindre détail, pensait-elle en soignant son maquillage. Jusqu'à maintenant, pensait-elle avec espoir, leur personnel essentiellement masculin. « Si je parviens à m’immiscer dans l’équipe, je vais faire des ravages »
La boîte avait envoyé une voiture pour la conduire, et Bérengère fut impressionnée lorsque l'élégante Bentley se gara devant chez elle. Et c’est parti, pensait-elle. Après un court trajet, elle a été déposée dans la cour, juste devant les imposantes portes de l’immeuble de dix étages. Un agent de sécurité a vérifié sa convocation, son identité, avant de la laisser entrer. À l’intérieur, au milieu du hall d’entrée, se trouvait la réception, avec trois hommes pour accueillir les visiteurs. Bizarre, pensa Bérengère, généralement ce travail est réservé au personnel féminin.
Elle essaya de leur sourire, pour détendre l’atmosphère, peine perdue, ils étaient aussi aimables que des gardiens de prison. Elle a dû montrer patte blanche, comme avec le garde devant l’entrée. Elle a pensé que cette maison d’édition était mieux protégée qu’une centrale nucléaire. Le gars qui la réceptionnait passa un coup de fil laconique, avant de lui demander d’attendre ici, quelqu’un allait venir la chercher. Un jeune blondinet est venu la guider jusqu’au bureau directorial situé dans un étage élevé. En sortant de l’ascenseur, ils suivirent un long couloir. Le gars, qui marchait devant Bérengère, chaloupait du popotin plus qu’elle, ce qui amusa la jeune femme. Pour se rassurer, elle faisait claquer ses talons sur le carrelage du couloir.
La plupart des bureaux avaient leur porte ouverte, et des hommes, rien que des hommes, travaillaient, penchés sur leurs claviers d’ordinateur. Pas un seul ne leva les yeux pour regarder passer la jeune femme. Ambiance glaciale, Bérengère avait une sueur glacée qui lui coulait dans les reins et une boule de glace à la place de l’estomac. Le blondinet frappa à la lourde porte qui se trouvait tout au bout du couloir. Un cri rauque lui répondit. Cela devait être une invitation à entrer, parce qu’il ouvrit la porte et s’effaça pour la laisser entrer.
« Bonne chance » lui souffla-t-il au passage, sans desserrer les dents.
À l'intérieur, derrière un immense bureau, M. Fournière se leva pour l’accueillir. Le grand patron en personne, pensa Bérengère, waouh, quel honneur ! C’était un homme massif, la soixantaine, avec un faciès de bouledogue. Ses petits yeux, très rapprochés, donnaient l’impression de vous scruter quand il vous regardait. Il était vêtu de vêtements coûteux, mais semblait incapable de sourire. Il lui désigna un siège, de l'autre côté du bureau, mais avant de retourner s’asseoir dans son fauteuil, il lui versa une coupe de champagne. Bérengère le remercia, souriante, et elle remarqua que ses yeux s'attardaient sur son décolleté.
« Bien, Bérengère, je ne fais pas confiance aux questionnaires stupides, je préfère vous voir en action. Donc, nous allons commencer par une dictée. Ouvrez l'ordinateur portable qui est juste devant vous, que nous puissions commencer »
Elle s’exécuta, et il commença à lui lire un texte qu'il avait préparé. Il lisait rapidement, un texte plein de pièges orthographiques et grammaticaux. Malgré le fait qu’elle ne soit pas sténo-dactylo, elle tapait rapidement, ses doigts fins et manucurés se déplaçaient rapidement sur le clavier.
« Bien, ça suffit » Il l’interrompit au bout de quelques minutes. « Passez-moi l’ordinateur, que je vérifie vos éventuelles erreurs »
Il lui prit l'ordinateur, et elle le vit lire ce qu'elle avait tapé. Elle devenait fébrile tandis qu'il fronçait les sourcils en notant probablement ses fautes. C'était assez injuste comme procédé, pensait-elle, elle n’avait même pas eu le temps de se relire pour vérifier l'orthographe.
« Bérengère, il y a quelques erreurs que j'aimerais commenter avec vous » dit-il, l'air mystérieux. « Pourriez-vous venir de ce côté du bureau, s'il vous plaît ? »
Alors qu'elle se contournait le bureau, elle remarqua qu'il lorgnait de nouveau sa poitrine. Elle vint à côté de lui, et posa une main sur son bureau pour regarder l’écran de l'ordinateur portable. Il pointa la première ligne, soulignant une faute d'orthographe.
« C'est une erreur assez basique. Mais j’aime connaître les fautes que vous n'avez pas eu la possibilité de corriger avant de me le remettre. Jetez un œil au reste du document, et voyez si vous pouvez vous débarrasser des erreurs restantes »
Il a éloigné un peu son fauteuil pour laisser Bérengère se pencher sur l’écran. Elle a commencé à relire le document en corrigeant les fautes qu’elle trouvait.
« À votre place, je ne m'inquiéterais pas trop de quelques fautes d’orthographe, vous savez, parce qu'il y a d'autres facettes plus importantes dans votre mission »
Pendant qu'il disait cela, elle le sentit placer sa main sur ses fesses, pour caresser ses courbes par-dessus sa jupe moulante. Elle était surprise, mais en même temps elle se doutait bien que cette offre d'emploi devait être assortie de conditions. Aucune entreprise ne pourrait offrir un tel salaire à une assistante n’ayant que son niveau d'expérience. Elle se souvenait d’avoir lu "une possibilité de bonus généreuse".
« Je suis prête à assumer toutes les tâches que vous voudrez bien me confier, Monsieur » dit Bérengère, en essayant encore de corriger le document. La main du patron, après avoir longuement lissé sa jupe sur ses fesses, était descendue jusqu’au creux du genou, et remontait le long de sa cuisse, mais cette fois sous a jupe. La jupe était serrée, et sa grosse main avait des difficultés à remonter jusqu’à son but. Il recula un peu plus son fauteuil, afin de laisser un peu plus d'espace entre lui et le bureau.
« Mettez-vous devant moi, s'il vous plaît » Il était courtois, mais son ton autoritaire en imposait. Elle fit ce qu'il lui demandait, s’appuyant des deux mains sur le bureau en cambrant ses reins, juste devant lui.
Il a troussé sa jupe plus haut, exhibant ses jarretelles qu’il caressa pensivement du bout des doigts, puis sa chair exposée. Sa main caressait les contours, suivait un chemin tortueux, de l’intérieur de ses cuisses jusqu’à ses fesses potelées. Il pensait qu’il aurait du plaisir à lui administrer une fessée.
« Maintenant, j'aimerais que vous ôtiez vos vêtements, et que vous vous tourniez face à moi »
Bérengère se retourna face à lui, et commença à déboutonner lentement son chemisier, en se répétant mentalement cette litanie « 4 fois mon salaire, plus les bonus » Sa poitrine magnifique, mise en valeur par la dentelle diaphane, exhibait ses tétons dressés. Le patron souriait en admirant ce jeune corps magnifique, comme un gosse devant la vitrine d’un magasin de jouet.
« Enlevez vos sous-vêtements » Fini le ton courtois, il était pressé maintenant.
Bérengère savait que le poste en valait la peine. Le sacrifice n’était pas bien grand. Elle avait déjà subi des attouchements, sans obtenir de compensation. Et puis s’il voulait la baiser, pourquoi pas ? Elle n’allait pas en mourir, et elle aurait le travail, et l’énorme salaire promis. Il n’était pas si moche que ça, et puis il était propre, au moins, ce qui n’était pas le cas de tout ceux qui lui étaient passés dessus. Elle dégrafa son soutien-gorge et fit glisser sa culotte en se tortillant lascivement.
Il tendit la main vers elle et palpa le contour de son sein, puis il saisit le mamelon, le pinça et le tordit assez cruellement. Elle a juste dit «ouche», et elle a vu qu'il était déjà dur dans son pantalon, et qu’il avait l'air grand. Il a demandé si ses seins étaient naturels, elle a répondu « oui, Monsieur »
« Bien, retournez-vous et penchez-vous sur le bureau, s'il vous plaît » Puis « Ouvrez les jambes »
Docilement, Bérengère a obtempéré en sentant sa chatte s'humidifier. Elle aimait se sentir prise en main par un macho autoritaire, et perdre le contrôle de la situation. Il était tyrannique et puissant, et richissime aussi, elle pensait à la récompense promise. Il lui caressait de nouveau les fesses, l'intérieur de la cuisse, puis l’entrejambe. Il semblait tout particulièrement apprécier sa chatte rasée.
« Vous êtes une bonne fille, tenir sa chatte épilée, c’est plus propre, et j’aime ça »
Elle se sentait de plus en plus mouillée pendant que ses gros doigts la touchaient, la palpaient, s’insinuaient en elle. Puis, il trouva son clitoris et commença à jouer avec, le pinçant d'abord doucement, puis plus fort, avant de le tordre en tirant dessus. Elle se voûtait, se tordait de douleur, et il lui demandait ironiquement:
« Vous aimez ? Vous n'avez pas le droit de jouir avant que je vous y autorise, Bérengère »
Elle pantelait bruyamment, car malgré les mauvais traitements, elle sentait sa chatte la picoter. Il enfonça brutalement deux doigts dans sa chatte, puis en inséra un troisième pour la remplir, comme s’il voulait jauger sa capacité. Il commença un rugueux mouvement de va-et-vient qui la fit gémir. Il attrapa à pleine main l'arrière de ses cheveux, la courba en arrière :
« Je t'ai dit de ne pas jouir, salope, pas avant que je te le dise, alors tiens-toi tranquille »
Elle se mordit les lèvres et se tut, les yeux pleins de larmes, et il continua de pousser plus de doigts en elle. Elle aimait se sentir dominée, utilisée, asservie, mais il avait des manières brutales. Il ôta ses mains, et il prit appui pour soulever son immense carcasse du fauteuil. Elle l’entendit défaire sa ceinture, le zip de sa fermeture éclair, et le chuintement du pantalon qui touchait le sol. Il lui a donné une forte claque sur la fesse pour l’aider à poser sa jambe repliée sur le bureau.
« Je vais te baiser, Bérengère, et tu vas aimer ça comme il se doit, petite fille»
Il s’est enfoncé en elle brutalement, profondément, et elle a senti sa petite chatte étroite s'étirer pendant qu’il la remplissait pleinement. Il la baisait énergiquement, la heurtant durement, la remplissant toute, et elle ressentait des vagues d'excitation en lui cédant. Il saisit ses hanches en enfonçant ses doigts dans les chairs tendres, pour la prendre ardemment, et elle gémissait de plaisir. Il plaça une main sur sa bouche.
« Je t'ai dit de ne pas jouir avant que je te le dise » Il a gardé sa main sur sa bouche, et il a giflé fort son cul pour la punir. Sa grosse et longue bite bouchonnait ses chairs intimes comme un écouvillon, pendant longtemps, et elle a dû psalmodier sa litanie pour s’empêcher de jouir : « Quatre fois mon salaire, plus les bonus »
« Bien, Bérengère, tiens-toi prête, je vais éjaculer, et tu pourras jouir aussi » grogna-t-il. Il augmentait la vitesse de ses percutions, de plus en plus vite, et il libéra sa bouche pour se saisir de ses cheveux. Il lui tira la tête en arrière tout en continuant de la baiser. Son ventre mou claquait contre les fesses de la jeune femme. Il lui a chuchoté "jouis, maintenant, je le veux" dans l’oreille, et s’est libéré dans sa vulve.
Bérengère se laissa aller, secouée par des vagues d'orgasme successives en gémissant bruyamment. Elle cria sans aucune honte, tandis qu'il la soulevait presque du sol, en la maintenant cambrée en arrière, et que les gifles redoublaient sur ses fesses. Et puis vidé, épuisé, il s’écroula sur elle en la clouant sur le bureau. Avec sa bite profondément enfoncée en elle, il lui chuchota à l’oreille : « Tu es embauchée, Bérengère » Elle se rhabillait, souriante d'avoir obtenu le poste convoité, et s’apprêtait à prendre congé, lorsqu’il la retint :
« À lundi, Bérengère. Oh, juste un détail. Ce qui s’est passé aujourd’hui, doit rester entre nous, bien sûr. À partir de lundi, tu seras à ma disposition, et tu devras exécuter toutes mes instructions. Donc, à partir de lundi, inutile de porter des sous-vêtements »
« Bien entendu. Encore merci, Monsieur, et bon week-end » Bérengère ramassa son sac et quitta le bureau, en pensant que son travail allait être très agréable, si le patron était capable de reproduire sa performance.
Bérengère s'est réveillée tôt le lundi matin, elle était toute excitée, et elle avait hâte de commencer son nouveau travail. Elle se remémorait son entretien d’embauche, et souriait en pensant au plaisir qu’elle avait pris. Un patron aussi bien équipé et aussi dominateur, c’était un fantasme qu’elle avait depuis longtemps. Elle se remémorait les instructions données par M. Fournière, et se préparait en conséquence. Pas de culotte, c’était facile, pas de soutien-gorge pour sa poitrine siliconée, ça l’embêtait un peu. Elle a choisi un accessoire minimaliste qui lui laissait les tétons nus, mais soutenait quand même ses globes.
Le patron n’y avait vu que du feu, et elle n’était pas disposée à avouer qu’elle avait eu recours à une intervention chirurgicale pour améliorer sa silhouette. Les cicatrices, au bord des aréoles, étaient presque invisibles. Elle pensait à M. Fournière, l'homme le plus puissant de la maison d’édition, qui contrôlait tout dans cette entreprise. Un vieux cochon, pervers, sadique et libidineux. Tout ce qu’elle adorait. Ce genre de type, elle savait exactement quoi en faire et bientôt, il lui mangerait dans la main.
Elle choisit un ensemble gris souris, composée d’une jupe qui descendait en dessous des genoux, fendue jusqu’au pubis, et d’une veste de tailleur décolletée jusqu’au nombril. Le tissu était suffisamment extensible pour épouser ses formes, mais parfois, certains mouvements imprévus pouvaient montrer son intimité. En quittant son appartement, elle ressentit un délicieux frisson d'avoir sa chatte exposée aux courants d’air.
Le chauffeur lui tint la porte ouverte et, pendant tout le trajet, elle croisa et décroisa ses jambes, sans pouvoir obtenir le moindre regard de concupiscence du chauffeur.
Encore une fois, les mesures de sécurité lui semblèrent excessives, et elle supposait que l'édition était un domaine plutôt concurrentiel. L'assistant de M. Fournière, le mignon blondinet, l’attendait près du comptoir de la réception. Brièvement, elle se demanda s’il servait lui aussi de réceptacle à la grosse bite du patron, ce qui expliquerait sa démarche chaloupée. En remontant le couloir à sa suite, elle prit le temps de jeter un coup d’œil dans les bureaux qui avaient leurs portes ouvertes. Pas une silhouette féminine à l’horizon, elle semblait être la seule femme de l’entreprise. Le minet frappa prestement à l'épaisse porte en chêne du bureau de M. Fournière.
« Entrez, et refermez cette foutue porte derrière vous » aboya M. Fournière. Elle obéit, et s'approcha du bureau et tortillant son cul exagérément.
« Asseyez-vous, Bérengère. Voulez-vous une tasse de thé ? » Bérengère hocha la tête, et M. Fournière lui versa le thé dans une tasse en porcelaine.
« Merci, Monsieur » Elle lui souriait, et il lorgnait ses seins sans vergogne. Cela émoustillait Bérengère, qu’un homme aussi puissant s’entiche autant pour ses nichons.
« Bien, nous y voilà, c'est votre premier jour. J’ai besoin d’une assistante au quotidien, pour beaucoup de tâches diverses et variées. Je suis un homme débordant d’activités, avec un agenda chargé, donc je peux avoir besoin de vous n’importe quand. Vous devrez vous occuper d’une foule de choses pour moi. Vous disposerez de tous les moyens nécessaires pour remplir votre tâche, téléphone, ordinateur, et voiture avec chauffeur. Vous aurez une ligne de crédit ouverte pour vos dépenses de toilette, coiffeur, institut de beauté…Vous aurez un salaire confortable, et des bonus conséquents, parce que je veux pouvoir disposer de vous 24h/24 et 7j/7. Êtes-vous toujours d’accord avec ça ? »
« Bien sûr, M. Fournière. Je suis vraiment enchantée de faire partie de l’équipe, et j'ai hâte de vous prouver mes compétences » s’enthousiasma Bérengère, chaleureuse.
« Bien. Votre bureau sera juste à côté du mien, et j’ai personnellement veillé à ce qu’il soit confortable. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, faites le moi savoir, et vous l’aurez. Je suis très exigeant avec le personnel, mais je sais récompenser les efforts fournis »
Son regard se fit plus noir : « Je sais aussi punir ceux qui me déçoivent, n’en doutez pas. Désormais, votre temps m’appartient, Bérengère. Maintenant, je dois vérifier quelque chose.»
Fournière se leva, et contourna le bureau pour s’approcher d’elle. Bérengère sentit son cœur s'emballer quand il la fit lever de son siège et se tenir debout devant lui. Elle était impressionnée par sa musculature et ses mains puissantes. Il dégrafa prestement les boutons de son tailleur, puis écarta les pans pour admirer son buste. Ensuite, il se pencha légèrement pour glisser sa main dans l’échancrure de la jupe, et remonta sa main entre les cuisses gainées de nylon, jusqu’à la motte épilée qu’il empauma.
Un sourire heureux éclaira son visage : « Pas de sous-vêtements. Bonne fille. J’aime qu’on tienne parole »
« Je l’ai fait pour vous avec plaisir, M. Fournière » assura Bérengère. Il l'avait à peine touchée, ses mamelons durcissaient déjà, et sa chatte s’humidifiait. Ce mâle viril la faisait fondre.
« Jusqu’à quel point êtes-vous flexible, Bérengère, diriez-vous ? » demanda-t-il, les yeux brillants.
« Je peux m’adapter à n’importe quelle situation, en fait »
« Bien. Votre présence auprès de moi impliquera de votre part, non seulement de m'aider, mais aussi mes plus proches collaborateurs. Nous sommes tous très occupés, et sous pression, et j'ai besoin de vos talents pour m’assurer que tout ce petit monde est parfaitement heureux de travailler pour moi. Alors, ce matin, vous voudrez bien aider le directeur financier, Marc Martinet, mon premier adjoint, qui est assez stressé en ce moment parce qu’il a beaucoup de travail. Mais je bavarde, et je vous retarde, pourquoi ne pas aller jusqu’à son bureau ensemble, je vous le présenterai et vous pourrez l’aider. Je vous rejoindrais plus tard pour voir comment vous vous en sortez »
Bérengère était stupéfaite. Elle avait pensé qu'elle n'était que l'assistante de M. Fournière, pas la pute de l’entreprise. Mais M. Fournière l’avait déjà attrapée par le bras pour l’entraîner à sa suite. Heureusement que le bureau de M. Martinet était tout proche, parce qu’elle a fait le trajet avec la main du patron sur ses fesses.
« Marc, voici la jeune femme qui vient rejoindre notre équipe, Bérengère. Elle a beaucoup de talents, et elle pourra sûrement t’aider. Bon, je vous laisse faire connaissance, j’ai à du travail »
Marc salua poliment la jeune femme. Il était proche de la retraite, le front dégarni, les tempes grises, avec des yeux d’un bleu incroyablement lumineux. Il était aussi mince que le patron était corpulent. Il semblait emprunté, gêné par la présence de la jeune femme. Elle s’approcha de lui, souriante, en dégrafant les boutons de son tailleur et en ouvrant les pans de sa veste :
« M. Fournière m’a dit que vous aviez du travail pour moi, Marc ? » elle a demandé, espiègle.
« Euh, oh, oui, bien sûr » dit-il en prenant une pile de documents dans un tiroir de son bureau. « Tout cela doit être classé dans l'ordre chronologique, et rangé dans les tiroirs, là-bas » Il désignait un grand classeur dans un coin de la pièce.
Bérengère prit les papiers et les posa sur le meuble pour les classer, pendant que Marc prenait un appel téléphonique. Lorsqu’il raccrocha, elle l'entendit se lever de sa chaise, et s’approcher d’elle. Elle continuait de trier les documents sans s’inquiéter de lui, mais il posa ses mains sur sa taille. Il se tenait juste derrière elle, tout contre elle. Elle continua son travail, souriante, en faisant semblant d’ignorer sa présence, mais elle sentit bientôt ses mains glisser sous sa jupe, et remonter vers sa chatte.
Marc était indéniablement séduisant, pensait-elle. Ses manières réservées et timides le rendaient touchant, jusqu’à ce qu'il commence à lui frotter furieusement le clitoris, et qu'elle réalise qu'elle était là uniquement pour le satisfaire, pas pour son propre plaisir. Il la renversa avec force pour la coucher sur le tapis moelleux. Il souriait diaboliquement en lui ôtant sa jupe, puis il ouvrit ses jambes avec ses mains pour la tenir grande ouverte devant lui. Il admira un moment sa chatte parfaitement épilée, puis il plongea son visage dans la chatte voluptueuse pour la lécher avec gourmandise pendant quelques minutes. Bérengère commençait à gémir doucement en lui caressant tendrement la nuque, pour le remercier d’être si gentil avec elle. Le patron n’avait pas eu la délicatesse de la préparer avant de la prendre sauvagement. Il la léchait avec habileté, elle commençait à s’émouvoir, lorsqu’il la ramena brutalement à ses devoirs.
« Viens »
Marc la conduisit jusqu’à son bureau. Il lui ôta sa veste et la poussa en travers du bureau. Bérengère s'allongea sur le dos en travers du bureau, les jambes pendantes d’un côté, la tête dans le vide du côté opposé. Elle le vit contourner le bureau et s’approcher de son visage. Elle le vit ôter rapidement son pantalon et son érection était là, pressant ses lèvres, ouvrant sa bouche. Bérengère a obéit à son désir et l’a accueillie dans sa bouche gémissante. Elle aimait sucer des bites, depuis longtemps. Elle était bonne pour ça aussi. Il se positionna pour entrer presque entièrement dans sa bouche et elle le prit avec ferveur. Lentement, il coulissait, baisant sa bouche avec ménagement, comme s’il craignait de la blesser.
Bérengère appréciait sa sollicitude, car elle était à sa merci, et il aurait pu en profiter pour la maltraiter, comme le patron. Il pétrissait son clitoris pendant qu'elle le pompait. Elle ronronnait de plaisir en lui suçant la queue. Soudain, le téléphone a sonné, et Bérengère a eut la surprise de voir Marc répondre, sans lâcher son clitoris, et en continuant à lui baiser la bouche pendant qu'il répondait à l'appel.
« Oui monsieur, le rapport est prêt. Il sera sur votre bureau dès que j’aurai expédié les affaires urgentes » Clairement, il était en ligne avec M. Fournière, pensait Bérengère. « Non, les critiques de ces livres ne seront pas publiées avant demain » Une pause « Oui, elle est bien. Je suis impressionné » Une autre pause. « Oui, bien sûr, Monsieur » Marc a raccroché le téléphone, et ses mains sont venues sur ses mamelons. Pressant, tordant, tirant sur les bouts, il enfonçait sa bite dans sa gorge pour la baiser brutalement. Fini, le monsieur câlin et doux. Avait-il reçu des instructions du patron ? Bérengère a failli s'étouffer.
Bérengère pressa sa bouche autour de sa tige, et elle le sentit frissonner légèrement. L’étreinte caressante de sa langue l'excitait encore plus. Soudain, la porte du bureau s'ouvrit et Bérengère s’inquiéta, mais Marc ne lui laissa pas la possibilité de voir qui entrait. Elle s’alarma, personne ne devait savoir, le patron lui avait bien recommandé. Et puis, être surprise dans cette position peu convenable, quelle honte. Elle fut rassurée en entendant la voix de M. Fournière : « Je vois que vous avez trouvé une occupation à Bérengère, à la hauteur de ses talents. Pas la peine de lui demander si cet emploi lui plaît, son attitude est assez claire » Sans regarder son patron, Bérengère savait qu'il regardait ses nichons.
Bérengère sentit les mains de M. Fournière palper ses cuisses, il écarta brusquement ses jambes, et inséra deux doigts dans sa chatte. Elle n'avait jamais eu d’amant avec des doigts aussi gros auparavant, et elle savait maintenant qu'elle adorait cela. Un troisième doigt vint bientôt compléter l’équipe, qui se mit à la fouiller énergiquement. Bérengère était plus mouillée que jamais. Marc continuait de baiser sa bouche en malmenant ses mamelons dressés. M. Fournière l’estimant prête à l’accueillir, sa grosse bite remplaça ses doigts dans la chatte de Bérengère. Elle se sentait remplie des deux côtés, farcie comme une dinde de noël.
Elle gémit de douleur, mais cela les trompa tous les deux, et ils redoublèrent d’efforts en la croyant ravie.
Fournière s'enfonçait profondément et brutalement en elle, et Marc lui baisait le visage rageusement pour imiter son patron. « Marc, nous allons coordonner nos actions, en équipe, alors ralentis et retiens-toi jusqu'à ce que je te fasse signe, et tu finiras le travail »
Après ça, M. Fournière accéléra son rythme en écartant ses jambes en grand pendant qu'il la baisait, la secouant comme prunier. Elle le sentit se crisper, et son rythme devint irrégulier, et il cria à Marc : « à toi »Il se vida en elle en poussant des grognements d’animaux, puis il se retira, avec un long fil de sperme qui reliait sa bite à la chatte baveuse. Marc s'est rapidement retiré de sa bouche, et s'est positionné devant la chatte que M. Fournière venait de quitter. Il est entré rapidement, sans précautions particulières.
Bérengère ne se souciait même pas du changement d’homme, elle était tellement excitée qu'elle était proche de jouir, et peut importe si Marc prenait la place de M. Fournière, elle voulait jouir. Marc s'est accroché à ses cuisses, et l'a pénétrée durement. Elle a commencé à jouir sous lui, gémissant en soulevant ses fesses à sa rencontre, et elle le sentit se vider en elle en tremblant. Elle se calma avec un large sourire de satisfaction.
« Bérengère, vous êtes la meilleure assistante du monde. Vous avez mon point » Il se retira d'elle et remonta son pantalon. Bérengère n'avait même pas entendu M. Fournière quitter la pièce. Bérengère se releva et remit sa tenue en ordre, lissant ses cheveux.
« OK, tu as ta journée, tu l’as bien méritée » dit Marc. « Repose-toi bien et profite, demain sera une dure journée. Tu as beaucoup de potentiel, alors nous avons prévu quelque chose de plus difficile. Nous avons de grandes ambitions ici pour toi, Bérengère. Tu va devenir notre pouliche championne »
Elle s'habillait sexy mais avec classe, sa silhouette fine pouvant s’accommoder de toutes les toilettes. Une jupe crayon moulante qui épousait parfaitement ses fesses, et qui s’arrêtait à mi-cuisses. Il avait une fente assez longue sur le côté, qui montrait la chair pâle au-dessus du bas retenu par des jarretelles. Un chemisier avec un jabot en dentelle qui présentait ses seins relevés par le push-up, comme des fruits dans une corbeille. De toute évidence, la clé pour se sentir confiante, c’était de porter des sous-vêtements sexy, alors elle a enfilé un string noir minimaliste. Elle a utilisé une ceinture élastique pour affiner sa taille, et a complété sa tenue avec des talons aiguilles qui accentuaient le tangage de sa démarche.
Sachant que la direction de l’entreprise était uniquement masculine, et que leur ligne éditoriale était plutôt machiste, il lui fallait faire bon effet. Un look professionnel, pas vulgaire comme une pute, mais sexy, c’est à dire jolie à regarder. Se mettre en valeur jusqu’au moindre détail, pensait-elle en soignant son maquillage. Jusqu'à maintenant, pensait-elle avec espoir, leur personnel essentiellement masculin. « Si je parviens à m’immiscer dans l’équipe, je vais faire des ravages »
La boîte avait envoyé une voiture pour la conduire, et Bérengère fut impressionnée lorsque l'élégante Bentley se gara devant chez elle. Et c’est parti, pensait-elle. Après un court trajet, elle a été déposée dans la cour, juste devant les imposantes portes de l’immeuble de dix étages. Un agent de sécurité a vérifié sa convocation, son identité, avant de la laisser entrer. À l’intérieur, au milieu du hall d’entrée, se trouvait la réception, avec trois hommes pour accueillir les visiteurs. Bizarre, pensa Bérengère, généralement ce travail est réservé au personnel féminin.
Elle essaya de leur sourire, pour détendre l’atmosphère, peine perdue, ils étaient aussi aimables que des gardiens de prison. Elle a dû montrer patte blanche, comme avec le garde devant l’entrée. Elle a pensé que cette maison d’édition était mieux protégée qu’une centrale nucléaire. Le gars qui la réceptionnait passa un coup de fil laconique, avant de lui demander d’attendre ici, quelqu’un allait venir la chercher. Un jeune blondinet est venu la guider jusqu’au bureau directorial situé dans un étage élevé. En sortant de l’ascenseur, ils suivirent un long couloir. Le gars, qui marchait devant Bérengère, chaloupait du popotin plus qu’elle, ce qui amusa la jeune femme. Pour se rassurer, elle faisait claquer ses talons sur le carrelage du couloir.
La plupart des bureaux avaient leur porte ouverte, et des hommes, rien que des hommes, travaillaient, penchés sur leurs claviers d’ordinateur. Pas un seul ne leva les yeux pour regarder passer la jeune femme. Ambiance glaciale, Bérengère avait une sueur glacée qui lui coulait dans les reins et une boule de glace à la place de l’estomac. Le blondinet frappa à la lourde porte qui se trouvait tout au bout du couloir. Un cri rauque lui répondit. Cela devait être une invitation à entrer, parce qu’il ouvrit la porte et s’effaça pour la laisser entrer.
« Bonne chance » lui souffla-t-il au passage, sans desserrer les dents.
À l'intérieur, derrière un immense bureau, M. Fournière se leva pour l’accueillir. Le grand patron en personne, pensa Bérengère, waouh, quel honneur ! C’était un homme massif, la soixantaine, avec un faciès de bouledogue. Ses petits yeux, très rapprochés, donnaient l’impression de vous scruter quand il vous regardait. Il était vêtu de vêtements coûteux, mais semblait incapable de sourire. Il lui désigna un siège, de l'autre côté du bureau, mais avant de retourner s’asseoir dans son fauteuil, il lui versa une coupe de champagne. Bérengère le remercia, souriante, et elle remarqua que ses yeux s'attardaient sur son décolleté.
« Bien, Bérengère, je ne fais pas confiance aux questionnaires stupides, je préfère vous voir en action. Donc, nous allons commencer par une dictée. Ouvrez l'ordinateur portable qui est juste devant vous, que nous puissions commencer »
Elle s’exécuta, et il commença à lui lire un texte qu'il avait préparé. Il lisait rapidement, un texte plein de pièges orthographiques et grammaticaux. Malgré le fait qu’elle ne soit pas sténo-dactylo, elle tapait rapidement, ses doigts fins et manucurés se déplaçaient rapidement sur le clavier.
« Bien, ça suffit » Il l’interrompit au bout de quelques minutes. « Passez-moi l’ordinateur, que je vérifie vos éventuelles erreurs »
Il lui prit l'ordinateur, et elle le vit lire ce qu'elle avait tapé. Elle devenait fébrile tandis qu'il fronçait les sourcils en notant probablement ses fautes. C'était assez injuste comme procédé, pensait-elle, elle n’avait même pas eu le temps de se relire pour vérifier l'orthographe.
« Bérengère, il y a quelques erreurs que j'aimerais commenter avec vous » dit-il, l'air mystérieux. « Pourriez-vous venir de ce côté du bureau, s'il vous plaît ? »
Alors qu'elle se contournait le bureau, elle remarqua qu'il lorgnait de nouveau sa poitrine. Elle vint à côté de lui, et posa une main sur son bureau pour regarder l’écran de l'ordinateur portable. Il pointa la première ligne, soulignant une faute d'orthographe.
« C'est une erreur assez basique. Mais j’aime connaître les fautes que vous n'avez pas eu la possibilité de corriger avant de me le remettre. Jetez un œil au reste du document, et voyez si vous pouvez vous débarrasser des erreurs restantes »
Il a éloigné un peu son fauteuil pour laisser Bérengère se pencher sur l’écran. Elle a commencé à relire le document en corrigeant les fautes qu’elle trouvait.
« À votre place, je ne m'inquiéterais pas trop de quelques fautes d’orthographe, vous savez, parce qu'il y a d'autres facettes plus importantes dans votre mission »
Pendant qu'il disait cela, elle le sentit placer sa main sur ses fesses, pour caresser ses courbes par-dessus sa jupe moulante. Elle était surprise, mais en même temps elle se doutait bien que cette offre d'emploi devait être assortie de conditions. Aucune entreprise ne pourrait offrir un tel salaire à une assistante n’ayant que son niveau d'expérience. Elle se souvenait d’avoir lu "une possibilité de bonus généreuse".
« Je suis prête à assumer toutes les tâches que vous voudrez bien me confier, Monsieur » dit Bérengère, en essayant encore de corriger le document. La main du patron, après avoir longuement lissé sa jupe sur ses fesses, était descendue jusqu’au creux du genou, et remontait le long de sa cuisse, mais cette fois sous a jupe. La jupe était serrée, et sa grosse main avait des difficultés à remonter jusqu’à son but. Il recula un peu plus son fauteuil, afin de laisser un peu plus d'espace entre lui et le bureau.
« Mettez-vous devant moi, s'il vous plaît » Il était courtois, mais son ton autoritaire en imposait. Elle fit ce qu'il lui demandait, s’appuyant des deux mains sur le bureau en cambrant ses reins, juste devant lui.
Il a troussé sa jupe plus haut, exhibant ses jarretelles qu’il caressa pensivement du bout des doigts, puis sa chair exposée. Sa main caressait les contours, suivait un chemin tortueux, de l’intérieur de ses cuisses jusqu’à ses fesses potelées. Il pensait qu’il aurait du plaisir à lui administrer une fessée.
« Maintenant, j'aimerais que vous ôtiez vos vêtements, et que vous vous tourniez face à moi »
Bérengère se retourna face à lui, et commença à déboutonner lentement son chemisier, en se répétant mentalement cette litanie « 4 fois mon salaire, plus les bonus » Sa poitrine magnifique, mise en valeur par la dentelle diaphane, exhibait ses tétons dressés. Le patron souriait en admirant ce jeune corps magnifique, comme un gosse devant la vitrine d’un magasin de jouet.
« Enlevez vos sous-vêtements » Fini le ton courtois, il était pressé maintenant.
Bérengère savait que le poste en valait la peine. Le sacrifice n’était pas bien grand. Elle avait déjà subi des attouchements, sans obtenir de compensation. Et puis s’il voulait la baiser, pourquoi pas ? Elle n’allait pas en mourir, et elle aurait le travail, et l’énorme salaire promis. Il n’était pas si moche que ça, et puis il était propre, au moins, ce qui n’était pas le cas de tout ceux qui lui étaient passés dessus. Elle dégrafa son soutien-gorge et fit glisser sa culotte en se tortillant lascivement.
Il tendit la main vers elle et palpa le contour de son sein, puis il saisit le mamelon, le pinça et le tordit assez cruellement. Elle a juste dit «ouche», et elle a vu qu'il était déjà dur dans son pantalon, et qu’il avait l'air grand. Il a demandé si ses seins étaient naturels, elle a répondu « oui, Monsieur »
« Bien, retournez-vous et penchez-vous sur le bureau, s'il vous plaît » Puis « Ouvrez les jambes »
Docilement, Bérengère a obtempéré en sentant sa chatte s'humidifier. Elle aimait se sentir prise en main par un macho autoritaire, et perdre le contrôle de la situation. Il était tyrannique et puissant, et richissime aussi, elle pensait à la récompense promise. Il lui caressait de nouveau les fesses, l'intérieur de la cuisse, puis l’entrejambe. Il semblait tout particulièrement apprécier sa chatte rasée.
« Vous êtes une bonne fille, tenir sa chatte épilée, c’est plus propre, et j’aime ça »
Elle se sentait de plus en plus mouillée pendant que ses gros doigts la touchaient, la palpaient, s’insinuaient en elle. Puis, il trouva son clitoris et commença à jouer avec, le pinçant d'abord doucement, puis plus fort, avant de le tordre en tirant dessus. Elle se voûtait, se tordait de douleur, et il lui demandait ironiquement:
« Vous aimez ? Vous n'avez pas le droit de jouir avant que je vous y autorise, Bérengère »
Elle pantelait bruyamment, car malgré les mauvais traitements, elle sentait sa chatte la picoter. Il enfonça brutalement deux doigts dans sa chatte, puis en inséra un troisième pour la remplir, comme s’il voulait jauger sa capacité. Il commença un rugueux mouvement de va-et-vient qui la fit gémir. Il attrapa à pleine main l'arrière de ses cheveux, la courba en arrière :
« Je t'ai dit de ne pas jouir, salope, pas avant que je te le dise, alors tiens-toi tranquille »
Elle se mordit les lèvres et se tut, les yeux pleins de larmes, et il continua de pousser plus de doigts en elle. Elle aimait se sentir dominée, utilisée, asservie, mais il avait des manières brutales. Il ôta ses mains, et il prit appui pour soulever son immense carcasse du fauteuil. Elle l’entendit défaire sa ceinture, le zip de sa fermeture éclair, et le chuintement du pantalon qui touchait le sol. Il lui a donné une forte claque sur la fesse pour l’aider à poser sa jambe repliée sur le bureau.
« Je vais te baiser, Bérengère, et tu vas aimer ça comme il se doit, petite fille»
Il s’est enfoncé en elle brutalement, profondément, et elle a senti sa petite chatte étroite s'étirer pendant qu’il la remplissait pleinement. Il la baisait énergiquement, la heurtant durement, la remplissant toute, et elle ressentait des vagues d'excitation en lui cédant. Il saisit ses hanches en enfonçant ses doigts dans les chairs tendres, pour la prendre ardemment, et elle gémissait de plaisir. Il plaça une main sur sa bouche.
« Je t'ai dit de ne pas jouir avant que je te le dise » Il a gardé sa main sur sa bouche, et il a giflé fort son cul pour la punir. Sa grosse et longue bite bouchonnait ses chairs intimes comme un écouvillon, pendant longtemps, et elle a dû psalmodier sa litanie pour s’empêcher de jouir : « Quatre fois mon salaire, plus les bonus »
« Bien, Bérengère, tiens-toi prête, je vais éjaculer, et tu pourras jouir aussi » grogna-t-il. Il augmentait la vitesse de ses percutions, de plus en plus vite, et il libéra sa bouche pour se saisir de ses cheveux. Il lui tira la tête en arrière tout en continuant de la baiser. Son ventre mou claquait contre les fesses de la jeune femme. Il lui a chuchoté "jouis, maintenant, je le veux" dans l’oreille, et s’est libéré dans sa vulve.
Bérengère se laissa aller, secouée par des vagues d'orgasme successives en gémissant bruyamment. Elle cria sans aucune honte, tandis qu'il la soulevait presque du sol, en la maintenant cambrée en arrière, et que les gifles redoublaient sur ses fesses. Et puis vidé, épuisé, il s’écroula sur elle en la clouant sur le bureau. Avec sa bite profondément enfoncée en elle, il lui chuchota à l’oreille : « Tu es embauchée, Bérengère » Elle se rhabillait, souriante d'avoir obtenu le poste convoité, et s’apprêtait à prendre congé, lorsqu’il la retint :
« À lundi, Bérengère. Oh, juste un détail. Ce qui s’est passé aujourd’hui, doit rester entre nous, bien sûr. À partir de lundi, tu seras à ma disposition, et tu devras exécuter toutes mes instructions. Donc, à partir de lundi, inutile de porter des sous-vêtements »
« Bien entendu. Encore merci, Monsieur, et bon week-end » Bérengère ramassa son sac et quitta le bureau, en pensant que son travail allait être très agréable, si le patron était capable de reproduire sa performance.
Bérengère s'est réveillée tôt le lundi matin, elle était toute excitée, et elle avait hâte de commencer son nouveau travail. Elle se remémorait son entretien d’embauche, et souriait en pensant au plaisir qu’elle avait pris. Un patron aussi bien équipé et aussi dominateur, c’était un fantasme qu’elle avait depuis longtemps. Elle se remémorait les instructions données par M. Fournière, et se préparait en conséquence. Pas de culotte, c’était facile, pas de soutien-gorge pour sa poitrine siliconée, ça l’embêtait un peu. Elle a choisi un accessoire minimaliste qui lui laissait les tétons nus, mais soutenait quand même ses globes.
Le patron n’y avait vu que du feu, et elle n’était pas disposée à avouer qu’elle avait eu recours à une intervention chirurgicale pour améliorer sa silhouette. Les cicatrices, au bord des aréoles, étaient presque invisibles. Elle pensait à M. Fournière, l'homme le plus puissant de la maison d’édition, qui contrôlait tout dans cette entreprise. Un vieux cochon, pervers, sadique et libidineux. Tout ce qu’elle adorait. Ce genre de type, elle savait exactement quoi en faire et bientôt, il lui mangerait dans la main.
Elle choisit un ensemble gris souris, composée d’une jupe qui descendait en dessous des genoux, fendue jusqu’au pubis, et d’une veste de tailleur décolletée jusqu’au nombril. Le tissu était suffisamment extensible pour épouser ses formes, mais parfois, certains mouvements imprévus pouvaient montrer son intimité. En quittant son appartement, elle ressentit un délicieux frisson d'avoir sa chatte exposée aux courants d’air.
Le chauffeur lui tint la porte ouverte et, pendant tout le trajet, elle croisa et décroisa ses jambes, sans pouvoir obtenir le moindre regard de concupiscence du chauffeur.
Encore une fois, les mesures de sécurité lui semblèrent excessives, et elle supposait que l'édition était un domaine plutôt concurrentiel. L'assistant de M. Fournière, le mignon blondinet, l’attendait près du comptoir de la réception. Brièvement, elle se demanda s’il servait lui aussi de réceptacle à la grosse bite du patron, ce qui expliquerait sa démarche chaloupée. En remontant le couloir à sa suite, elle prit le temps de jeter un coup d’œil dans les bureaux qui avaient leurs portes ouvertes. Pas une silhouette féminine à l’horizon, elle semblait être la seule femme de l’entreprise. Le minet frappa prestement à l'épaisse porte en chêne du bureau de M. Fournière.
« Entrez, et refermez cette foutue porte derrière vous » aboya M. Fournière. Elle obéit, et s'approcha du bureau et tortillant son cul exagérément.
« Asseyez-vous, Bérengère. Voulez-vous une tasse de thé ? » Bérengère hocha la tête, et M. Fournière lui versa le thé dans une tasse en porcelaine.
« Merci, Monsieur » Elle lui souriait, et il lorgnait ses seins sans vergogne. Cela émoustillait Bérengère, qu’un homme aussi puissant s’entiche autant pour ses nichons.
« Bien, nous y voilà, c'est votre premier jour. J’ai besoin d’une assistante au quotidien, pour beaucoup de tâches diverses et variées. Je suis un homme débordant d’activités, avec un agenda chargé, donc je peux avoir besoin de vous n’importe quand. Vous devrez vous occuper d’une foule de choses pour moi. Vous disposerez de tous les moyens nécessaires pour remplir votre tâche, téléphone, ordinateur, et voiture avec chauffeur. Vous aurez une ligne de crédit ouverte pour vos dépenses de toilette, coiffeur, institut de beauté…Vous aurez un salaire confortable, et des bonus conséquents, parce que je veux pouvoir disposer de vous 24h/24 et 7j/7. Êtes-vous toujours d’accord avec ça ? »
« Bien sûr, M. Fournière. Je suis vraiment enchantée de faire partie de l’équipe, et j'ai hâte de vous prouver mes compétences » s’enthousiasma Bérengère, chaleureuse.
« Bien. Votre bureau sera juste à côté du mien, et j’ai personnellement veillé à ce qu’il soit confortable. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, faites le moi savoir, et vous l’aurez. Je suis très exigeant avec le personnel, mais je sais récompenser les efforts fournis »
Son regard se fit plus noir : « Je sais aussi punir ceux qui me déçoivent, n’en doutez pas. Désormais, votre temps m’appartient, Bérengère. Maintenant, je dois vérifier quelque chose.»
Fournière se leva, et contourna le bureau pour s’approcher d’elle. Bérengère sentit son cœur s'emballer quand il la fit lever de son siège et se tenir debout devant lui. Elle était impressionnée par sa musculature et ses mains puissantes. Il dégrafa prestement les boutons de son tailleur, puis écarta les pans pour admirer son buste. Ensuite, il se pencha légèrement pour glisser sa main dans l’échancrure de la jupe, et remonta sa main entre les cuisses gainées de nylon, jusqu’à la motte épilée qu’il empauma.
Un sourire heureux éclaira son visage : « Pas de sous-vêtements. Bonne fille. J’aime qu’on tienne parole »
« Je l’ai fait pour vous avec plaisir, M. Fournière » assura Bérengère. Il l'avait à peine touchée, ses mamelons durcissaient déjà, et sa chatte s’humidifiait. Ce mâle viril la faisait fondre.
« Jusqu’à quel point êtes-vous flexible, Bérengère, diriez-vous ? » demanda-t-il, les yeux brillants.
« Je peux m’adapter à n’importe quelle situation, en fait »
« Bien. Votre présence auprès de moi impliquera de votre part, non seulement de m'aider, mais aussi mes plus proches collaborateurs. Nous sommes tous très occupés, et sous pression, et j'ai besoin de vos talents pour m’assurer que tout ce petit monde est parfaitement heureux de travailler pour moi. Alors, ce matin, vous voudrez bien aider le directeur financier, Marc Martinet, mon premier adjoint, qui est assez stressé en ce moment parce qu’il a beaucoup de travail. Mais je bavarde, et je vous retarde, pourquoi ne pas aller jusqu’à son bureau ensemble, je vous le présenterai et vous pourrez l’aider. Je vous rejoindrais plus tard pour voir comment vous vous en sortez »
Bérengère était stupéfaite. Elle avait pensé qu'elle n'était que l'assistante de M. Fournière, pas la pute de l’entreprise. Mais M. Fournière l’avait déjà attrapée par le bras pour l’entraîner à sa suite. Heureusement que le bureau de M. Martinet était tout proche, parce qu’elle a fait le trajet avec la main du patron sur ses fesses.
« Marc, voici la jeune femme qui vient rejoindre notre équipe, Bérengère. Elle a beaucoup de talents, et elle pourra sûrement t’aider. Bon, je vous laisse faire connaissance, j’ai à du travail »
Marc salua poliment la jeune femme. Il était proche de la retraite, le front dégarni, les tempes grises, avec des yeux d’un bleu incroyablement lumineux. Il était aussi mince que le patron était corpulent. Il semblait emprunté, gêné par la présence de la jeune femme. Elle s’approcha de lui, souriante, en dégrafant les boutons de son tailleur et en ouvrant les pans de sa veste :
« M. Fournière m’a dit que vous aviez du travail pour moi, Marc ? » elle a demandé, espiègle.
« Euh, oh, oui, bien sûr » dit-il en prenant une pile de documents dans un tiroir de son bureau. « Tout cela doit être classé dans l'ordre chronologique, et rangé dans les tiroirs, là-bas » Il désignait un grand classeur dans un coin de la pièce.
Bérengère prit les papiers et les posa sur le meuble pour les classer, pendant que Marc prenait un appel téléphonique. Lorsqu’il raccrocha, elle l'entendit se lever de sa chaise, et s’approcher d’elle. Elle continuait de trier les documents sans s’inquiéter de lui, mais il posa ses mains sur sa taille. Il se tenait juste derrière elle, tout contre elle. Elle continua son travail, souriante, en faisant semblant d’ignorer sa présence, mais elle sentit bientôt ses mains glisser sous sa jupe, et remonter vers sa chatte.
Marc était indéniablement séduisant, pensait-elle. Ses manières réservées et timides le rendaient touchant, jusqu’à ce qu'il commence à lui frotter furieusement le clitoris, et qu'elle réalise qu'elle était là uniquement pour le satisfaire, pas pour son propre plaisir. Il la renversa avec force pour la coucher sur le tapis moelleux. Il souriait diaboliquement en lui ôtant sa jupe, puis il ouvrit ses jambes avec ses mains pour la tenir grande ouverte devant lui. Il admira un moment sa chatte parfaitement épilée, puis il plongea son visage dans la chatte voluptueuse pour la lécher avec gourmandise pendant quelques minutes. Bérengère commençait à gémir doucement en lui caressant tendrement la nuque, pour le remercier d’être si gentil avec elle. Le patron n’avait pas eu la délicatesse de la préparer avant de la prendre sauvagement. Il la léchait avec habileté, elle commençait à s’émouvoir, lorsqu’il la ramena brutalement à ses devoirs.
« Viens »
Marc la conduisit jusqu’à son bureau. Il lui ôta sa veste et la poussa en travers du bureau. Bérengère s'allongea sur le dos en travers du bureau, les jambes pendantes d’un côté, la tête dans le vide du côté opposé. Elle le vit contourner le bureau et s’approcher de son visage. Elle le vit ôter rapidement son pantalon et son érection était là, pressant ses lèvres, ouvrant sa bouche. Bérengère a obéit à son désir et l’a accueillie dans sa bouche gémissante. Elle aimait sucer des bites, depuis longtemps. Elle était bonne pour ça aussi. Il se positionna pour entrer presque entièrement dans sa bouche et elle le prit avec ferveur. Lentement, il coulissait, baisant sa bouche avec ménagement, comme s’il craignait de la blesser.
Bérengère appréciait sa sollicitude, car elle était à sa merci, et il aurait pu en profiter pour la maltraiter, comme le patron. Il pétrissait son clitoris pendant qu'elle le pompait. Elle ronronnait de plaisir en lui suçant la queue. Soudain, le téléphone a sonné, et Bérengère a eut la surprise de voir Marc répondre, sans lâcher son clitoris, et en continuant à lui baiser la bouche pendant qu'il répondait à l'appel.
« Oui monsieur, le rapport est prêt. Il sera sur votre bureau dès que j’aurai expédié les affaires urgentes » Clairement, il était en ligne avec M. Fournière, pensait Bérengère. « Non, les critiques de ces livres ne seront pas publiées avant demain » Une pause « Oui, elle est bien. Je suis impressionné » Une autre pause. « Oui, bien sûr, Monsieur » Marc a raccroché le téléphone, et ses mains sont venues sur ses mamelons. Pressant, tordant, tirant sur les bouts, il enfonçait sa bite dans sa gorge pour la baiser brutalement. Fini, le monsieur câlin et doux. Avait-il reçu des instructions du patron ? Bérengère a failli s'étouffer.
Bérengère pressa sa bouche autour de sa tige, et elle le sentit frissonner légèrement. L’étreinte caressante de sa langue l'excitait encore plus. Soudain, la porte du bureau s'ouvrit et Bérengère s’inquiéta, mais Marc ne lui laissa pas la possibilité de voir qui entrait. Elle s’alarma, personne ne devait savoir, le patron lui avait bien recommandé. Et puis, être surprise dans cette position peu convenable, quelle honte. Elle fut rassurée en entendant la voix de M. Fournière : « Je vois que vous avez trouvé une occupation à Bérengère, à la hauteur de ses talents. Pas la peine de lui demander si cet emploi lui plaît, son attitude est assez claire » Sans regarder son patron, Bérengère savait qu'il regardait ses nichons.
Bérengère sentit les mains de M. Fournière palper ses cuisses, il écarta brusquement ses jambes, et inséra deux doigts dans sa chatte. Elle n'avait jamais eu d’amant avec des doigts aussi gros auparavant, et elle savait maintenant qu'elle adorait cela. Un troisième doigt vint bientôt compléter l’équipe, qui se mit à la fouiller énergiquement. Bérengère était plus mouillée que jamais. Marc continuait de baiser sa bouche en malmenant ses mamelons dressés. M. Fournière l’estimant prête à l’accueillir, sa grosse bite remplaça ses doigts dans la chatte de Bérengère. Elle se sentait remplie des deux côtés, farcie comme une dinde de noël.
Elle gémit de douleur, mais cela les trompa tous les deux, et ils redoublèrent d’efforts en la croyant ravie.
Fournière s'enfonçait profondément et brutalement en elle, et Marc lui baisait le visage rageusement pour imiter son patron. « Marc, nous allons coordonner nos actions, en équipe, alors ralentis et retiens-toi jusqu'à ce que je te fasse signe, et tu finiras le travail »
Après ça, M. Fournière accéléra son rythme en écartant ses jambes en grand pendant qu'il la baisait, la secouant comme prunier. Elle le sentit se crisper, et son rythme devint irrégulier, et il cria à Marc : « à toi »Il se vida en elle en poussant des grognements d’animaux, puis il se retira, avec un long fil de sperme qui reliait sa bite à la chatte baveuse. Marc s'est rapidement retiré de sa bouche, et s'est positionné devant la chatte que M. Fournière venait de quitter. Il est entré rapidement, sans précautions particulières.
Bérengère ne se souciait même pas du changement d’homme, elle était tellement excitée qu'elle était proche de jouir, et peut importe si Marc prenait la place de M. Fournière, elle voulait jouir. Marc s'est accroché à ses cuisses, et l'a pénétrée durement. Elle a commencé à jouir sous lui, gémissant en soulevant ses fesses à sa rencontre, et elle le sentit se vider en elle en tremblant. Elle se calma avec un large sourire de satisfaction.
« Bérengère, vous êtes la meilleure assistante du monde. Vous avez mon point » Il se retira d'elle et remonta son pantalon. Bérengère n'avait même pas entendu M. Fournière quitter la pièce. Bérengère se releva et remit sa tenue en ordre, lissant ses cheveux.
« OK, tu as ta journée, tu l’as bien méritée » dit Marc. « Repose-toi bien et profite, demain sera une dure journée. Tu as beaucoup de potentiel, alors nous avons prévu quelque chose de plus difficile. Nous avons de grandes ambitions ici pour toi, Bérengère. Tu va devenir notre pouliche championne »
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire bourrée de poncifs archis-rebattus.
Histoire idiote et vulgaire inutile de raconter des récits aussi nuls quand on a rien à dire.Vous devriez plutôt allez à la pêche pour trouver une nouvelle inspiration.