La dune était déserte

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La dune était déserte Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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La dune était déserte
Nous étions quatre copines de travail. Nous étions vendeuses dans un commerce de tissus d’ameublement. Nous étions devant notre magasin, à l’heure d’embaucher, mais un pompier nous barrait le chemin. Un incendie avait ravagé le commerce voisin du nôtre pendant la nuit. Le bâtiment étant jugé dangereux, nous ne pouvions pas entrer. Les services de sécurité voulaient inspecter le bâtiment avant de nous laisser passer. Plusieurs heures, peut-être la journée était nécessaire. Le patron, M. Laurent, nous a donné notre journée, en nous disant d’en profiter. Donc, nous étions quatre. Il y avait Valérie, Tania, Lydie et moi, Mégane. Une journée de congé inattendue, en pleine canicule estivale ? Tania a pris la parole :
« Je vais à la plage, me faire dorer au soleil. Qui m’aime me suive »
Cela nous a semblé bien. Sauf que nous n’étions pas équipées pour. Tania avait une peau de brune, elle bronzait facilement, ce qui n’était pas le cas des trois autres. Et il n’y avait pas que l’ambre solaire. Il fallait prévoir les boissons, les casse-croûte, les serviettes, les maillots de bains … Tania nous a donné le choix. Soit nous allions à la plage publique, et nous allions trouver tout le nécessaire dans les magasins du bord de mer mais, en cette période estivale, nous aurions tous les gamins qui viendraient jouer autour de nous. Soit nous allions à la pointe de la baie, le chemin était escarpé et difficile, mais là-bas, nous serions tranquilles, le coin étant désert. Nous pouvions faire un détour par le centre commercial pour faire nos emplettes, et si nous n’étions pas trop pudiques, nous pouvions envisager le bronzage intégral.

Nous nous somme dévisagées, perplexes, et il a été décidé un vote à main levée. Nous avons été unanimes. Ce sera la pointe de la baie, à poil. Il a décidé que nous ferions le trajet dans mon 4x4, car le chemin qui mène à cette plage isolée n’est pas vraiment carrossable. Je le sais, car j’y suis allée de nuit, avec le garçon que je convoitais, et je peux vous assurer que le coin est vraiment désert. Et pas besoin d’acheter des couvertures, le coffre de ma voiture était équipé, pour des raisons que je ne préciserai pas.
Nous avons fait un détour rapide par le centre commercial où nous avons acheté le nécessaire. Tania avait eu raison de nous amener ici, la plage était absolument vide, le ciel bleu, le soleil radieux, et nous avons trouvé un endroit ensoleillé pour nous installer à l’abri du vent.

« Si aucune de vous n’est effarouchée, je propose qu’on se mette toutes en tenue d’Ève, OK ? » demanda Tania en dégrafant sa robe. Personne n’a protesté, et nous avons toutes retiré nos vêtements. À ma grande surprise, nous n’avions pas toutes le même coiffeur. Lydie avait opté pour le rasage intégral. Tania et moi, c’était le buisson taillé version ticket de métro. Quand à Valérie, c’était la forêt vierge. C’est amusant de penser que l’on côtoie des filles tous les jours, sans se douter de ce qu’elles cachent dans leur culotte. Nous nous sommes recouvertes de crème solaire, en s'aidant mutuellement pour les zones difficiles d’accès.

Je sais que nous avons déjà fait cela des milliers de fois, mais cela semblait très différent cette fois parce que nous étions toutes nues. Ce que je veux dire, c’est que d’avoir les mains d'une personne sur ta peau, quand tu es en maillot de bain, c'est juste un peu grisant. Mais en étant nue, entourée de filles nues, même si nous avons beaucoup ri, c’était un peu plus émoustillant. Bizarrement, il n’y avait qu’une seule couverture dans mon coffre. Nous nous sommes installées dessus, mais nous étions un peu à l’étroit.

Nous nous sommes étendues, et le premier sujet de conversation était cet incendie. Curieux qu’un magasin prenne feu en pleine nuit. De plus, cette entreprise avait des difficultés financières. Bizarre. Voilà un incendie qui survenait au bon moment. Heureusement que nos locaux n’avaient pas été détruits. Ce n’était pas le meilleur boulot du monde, mais ça payait les factures. Ensuite, nous avons abordé tous les sujets habituels, de la musique aux petits copains, sans oublier les gens que nous avions dans le nez. Nous avons cassé la croûte, et remis de la crème solaire. Valérie, qui badigeonnait Lydie, s’est exclamée :
« Tu t’es fait refaire les seins ! Je peux voir les cicatrices »
« Oui » Lydie répondit naturellement, pas du tout décontenancée. « Il y deux ans. Tu aimes ? »
J'ai été surprise que Valérie n'ait pas réalisé que la silhouette de Lydie avait été "enjolivée". Je l'avais pensé depuis le début, même si je n'en avais jamais été sûre. Ce n'était pas mes affaires de toute façon.

« Oui, cela te fait une belle silhouette » 
Valérie a empoigné ses propres petits nichons en les soulevant : « Et moi, tu crois que je devrais faire quelque chose ? »
Tania lui a répondu, catégorique : « Non. Tu es trop mince. Cela ne conviendraient pas à quelqu'un de ta corpulence. Laisse-les comme ils sont. Ils sont parfaits »
Ensuite, la curiosité a fait son chemin, chacune ayant des questions essentielles à poser à Lydie. Pêle-mêle, « ça fait mal ? » - « est-ce que c’est pas trop lourd? » - « est-ce différent au toucher ? »
Lydie ne s’est pas démontée : « Tu veux dire pour moi ou pour les autres personnes ? »
« Les deux. Toi, quand on te caresse. Et ton partenaire. Je suppose que ton copain préfère, mais est-ce que ça vous procure de meilleures sensations ? »
« Essaye, et tu me diras ce que t’en pense »
J'étais estomaquée par la désinvolture de Lydie, mais Valérie n'a pas été intimidée, elle a palpé le sein de Lydie, enfonçant doucement ses doigts pour éprouver la texture de l'implant. Cela me semblait irréel de voir ces deux filles nues, que je côtoyais tous les jours, l’une tripotant le nichon de l’autre. Elle prenait son temps pour ce test, et la scène devenait érotique. Finalement, Valérie a rendu son verdict :
« C'est beaucoup plus agréable que je ne le pensais »
Lydie la taquina : « Pour moi aussi, c’était très agréable »
« Hein ? Quoi? Non » Valérie, confuse, retira brusquement sa main en réalisant sa situation : « Oh toi ! Je ne voulais pas t’exciter, juste savoir ... »
« Je sais, mais c'était quand même très agréable »
Valérie gloussa puis remit sa main sur le nichon de Lydie, jetant un coup d'œil anxieux dans notre direction pour essayer de nous convaincre de la pureté de ses intentions. Tania a regardé un court instant Valérie peloter ouvertement le sein de Lydie, puis elle l’a imitée. Je me penchais sur le côté pour voir Valérie et Tania peloter chacune un des nichons de Lydie. Je ne savais pas trop quoi en penser. L’érotisme de la situation, Lydie qui se laissait tripoter les nichons les yeux fermés, mais le plus surprenant, c’était mon désir de vouloir participer, uniquement par curiosité, bien sûr.

« Est-ce que cela semble naturel ? » m'entendis-je demander.

« Cela ne me fait pas mal » Lydie a répondu de manière ambiguë, sans ouvrir les yeux.

Tania m'a répondu par-dessus son épaule : « Très peu de différence. Je pense que je ne le remarquerais pas, si je ne le savais pas »
« Je peux essayer ? » J'aurais dû être surprise par ma propre demande, mais j’en avais trop envie. Tania a palpé le nichon une dernière fois, puis l’a relâché à contrecœur, en posant sa main sur le ventre de Lydie. Je m'appuyais sur Tania pour tendre la main vers Lydie. Jusqu'à présent, les seuls seins que j'avais touchés, c’étaient les miens. Donc, je ne savais pas à quoi m'attendre. J’ai trouvé qu’il était plus ferme que les miens. Probablement le résultat de l’implant, afin que l’orbe ait de la tenue, qu’il ne s’affaisse pas à cause du poids supplémentaire. J’ai tâté son sein, c’était ferme mais doux au toucher sur ma paume, et il irradiait une douce chaleur. Ensuite, j'ai pris conscience que mes propres tétons durcissaient à cause de mon trouble. De plus, ils se pressaient contre le dos de Tania. Une pointe d’émotion a intensifié mon plaisir.

Je sais que j'aurais dû me contenter de tâter brièvement le sein de Lydie, juste assez pour découvrir ce à quoi ressemblait une augmentation de poitrine, mais je n'ai pas été pudique. J'ai continué de jouer avec son sein longtemps, trop longtemps pour me justifier, en prenant toujours plus de plaisir à ce que je faisais. Et Valérie aussi. Elle s’amusait ouvertement avec l'autre sein de Lydie, un sourire espiègle éclairant son visage. Elle ne faisait même plus semblant de vérifier la texture, elle la pelotait pour le plaisir.

Mais l’attitude de Lydie était ambiguë. En appui sur les coudes, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, elle respirait fort avec la bouche entrouverte. Elle avait tout l'air d'apprécier notre ferveur. Tania, prise par la chaleur du moment, caressait paresseusement le ventre bombé. Valérie a rompu le silence : 
« En fait, c'est plutôt sympa, comme sensation » C'était autant une question qu'une déclaration, demandant notre accord.

« Oui » répondit Lydie. « Mais ça aussi » Nous avons échangé un regard confus avec Valérie, sans comprendre ce qu’elle voulait dire, mais bientôt nous avons remarqué que la main de Tania était descendue caresser doucement le monticule rasé de Lydie.

« Je voulais juste connaître la sensation que procure un pubis rasé » Tania nous disait cela ingénument, en ne faisant aucun mouvement pour s’arrêter de la cajoler.

« Et c'est comment ? » demanda Valérie en pressant doucement le mamelon de Lydie du bout des doigts.

« Très sympa » Répondit Tania, et ses doigts dessinaient des cercles sur le pubis rasé de Lydie. Pendant quelques minutes, nous avons toutes continué de jouer avec les charmes de Lydie en silence, perdues dans nos pensées. Lorsque Tania a retiré sa main, et s'est redressée en s’appuyant contre moi, elle a pressé son dos contre mes seins durcis. Peut-être se sentait-elle coupable, peut-être souhaitait-elle juste nous regarder agacer Lydie, mais cela me rendait difficile l’accès au nichon désiré. Peu importe, j'ai lâché le sein de Lydie, et j’ai commencé à palper celui de Tania à la place.

« Effrontée » murmura-t-elle par-dessus son épaule.

« Je voulais juste comparer » lui ai-je répondu, sans un soupçon de vérité.

Elle m'a repoussé et s'est tortillée jusqu'à ce qu'elle se soit installée entre mes jambes écartées, le dos contre mon buste.  Elle gloussa : « Et voilà. Tu peux tripoter les deux, maintenant »
« Maintenant, c’est qui l’effrontée ? » murmurais-je à son oreille, mes mains s'enroulant autour de son buste pour étreindre ses seins. C'était à la fois charmant et érotique. Cela semblait sans gravité. Elle se détendait contre moi en me laissant la caresser, ses mains posées sur mes genoux de chaque côté d'elle. J’étais consciente de l'intimité de notre position, mes jambes écartées enserrant ses flancs, et ma chatte vulnérable à ses caresses si elle passait ses mains dans son dos. Mon désir de me couvrir combattait celui de risquer ce qui pourrait arriver. Je la sentis se tortiller dans une position plus confortable, s’appuyer contre moi, ses fesses contre mon pubis. Mon cœur battait d'excitation, du frisson des possibilités. 
J'ai malmené ses seins, enfonçant mes doigts dans ses chairs moelleuses, en sachant que je ne devrais pas le faire, mais ça commençait à m’émoustiller. Tania avait une poitrine naturellement splendide, et je jouais avec, en écoutant sa respiration se creuser.

« Regarde-les » Tania m'a soudain tirée de ma rêverie érotique en me désignant les deux autres.
Valérie était penchée sur le sein de Lydie qu’elle suçait et tétait voracement, tandis que sa main libre massait la motte de Lydie qui se laissait faire, jambes écartées, à demi-allongée sur sa persécutrice. Maintenant, on ne pouvait plus nier la mutation sexuelle de nos jeux saphiques, même si personne ne semblait s'en soucier. Même lorsque Lydie fut incapable de contenir un faible gémissement de plaisir. Même si je pense qu'aucune d'entre nous n’était délibérément lesbienne. Nous étions simplement fascinées par l’interdit. Mon cœur battait si fort d'excitation, que j'étais sûre que Tania devait le sentir dans son dos.

« Moi aussi. Fais-moi plaisir » Tania a quémandé. Les yeux fixés sur la main de Valérie qui s’agitait entre les jambes écartées de Lydie, la faisant soupirer. Lydie enroula son bras autour de Valérie, pressant la tête de la fille sur sa poitrine. Ma bouche est devenue sèche et ma chatte humide, prête pour une main serviable. Instinctivement, je malmenais plus fermement les seins de Tania, la faisant gémir de volupté.

« Oui, comme ça, presse-les » Elle ordonnait d'une voix rauque, sans aucune pudeur. Sa tête s’est appuyée sur mon épaule, elle a arqué son dos, ses mains se sont refermées sur les miennes, me forçant à la tourmenter. Je serrais plus fort, en enfonçant mes doigts et en tirant sur ses tétons, en essayant de donner à Tania ce qu'elle désirait.
Je devenais clairement excitée par l’ambiance, en regardant les deux filles, et j'ai vu les jointures des doigts de Valérie blanchir alors qu'elle travaillait brutalement la chatte de Lydie. J’aurais aimé qu'elle me le fasse. Mais ensuite, Lydie a repoussé la tête de Valérie de sa poitrine, en la tirant par les cheveux. Valérie semblait perplexe, souhaitant revenir sucer le sein de Lydie, jusqu'à ce que Lydie lui fasse comprendre qu’elle voulait sa bouche sur la sienne.

J'ai regardé avec émotion, malmenant toujours les seins de Tania, pendant que Valérie doigtait la chatte de Lydie en l'embrassant fougueusement. Je les regardais, incrédule, sans remarquer que Tania avait lâché mes mains, et exprimait son étonnement : « Mon Dieu. Regarde-les »
Nous avons regardé, indiscrètes, Valérie et Lydie s’aimer passionnément. Tania, curieuse, m’a demandé, la voix rauque : « Mégane, as-tu déjà couché avec une fille ? » 
« Non. Et toi ? »
« Non plus » Nous chuchotions, comme si nous ne pouvions exprimer nos fantasmes à haute voix. Elle a rompu notre étreinte pour se tourner face à moi. Nous sommes restées silencieuses un moment, à nous dévisager les yeux dans les yeux. Le cœur battant, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, mais je savais ce qui allait arriver : « Veux-tu essayer ? »
Je ne pouvais pas lui répondre, ma bouche était trop sèche, j'ai juste hoché la tête en me penchant vers elle, et en lui tendant mes lèvres. Je m'attendais à lui donner un simple baiser, mais ses lèvres charnues étaient si douces et si agréables à embrasser, que je n'ai pas pu rompre le baiser. Nos bouches entrouvertes s'ouvrirent bientôt davantage et nos langues se joignirent, maladroitement au début, puis de plus en plus, se stimulant en s’appréciant. J'ai repris un de ses seins dans ma main pour le brutaliser tendrement. Elle a gémi dans ma bouche et ses bras m'enlacèrent, me serrant contre elle autant que notre étrange position tordue le permettait. C'était charmant. Je m'entendis gémir doucement de plaisir. Je jetais un coup d'œil sur les autres, anxieuse d’être entendue, ou observée. J'ai vu Tania suivre mon regard, comme si elle aussi s'inquiétait de ce que les autres pouvaient penser de nous.

Nous n'avions pas à nous inquiéter. Valérie et Lydie étaient entièrement accaparées elles-mêmes. Allongées côte à côte, s'embrassant à pleine bouche, elles se doigtaient mutuellement. J’étais vraiment surprise par leur audace, même si je les enviais. Je désirais plus que tout subir la même insolence. Gémissante, j’accentuais la vivacité de ma langue dans la bouche de Tania en faisant souffrir son mamelon entre mes doigts, dans l'espoir de l'encourager à plus d’audace. J'étais tellement excitée que cela n'avait plus d'importance pour moi que ce soit mes collègues de travail, et que j'allais devoir les côtoyer ensuite au bureau. Je me foutais de tout, je voulais juste être aimée, câlinée et jouir.

Tania ronronnait de plaisir en réponse à mes sollicitations, mais rien de plus. J’espérais qu'elle mettrait la main entre mes jambes, comme les autres. Peut-être devais-je prendre l’initiative ? Lui montrer l’exemple pour l’inciter ? Sans ôter ma bouche de la sienne, sans cesser de manier son mamelon, j’ai utilisé ma main libre pour glisser mes doigts le long de son ventre jusqu’à son pubis taillé. Elle a enfin compris mes attentes en poussant un profond soupir, et elle a enfoui son visage dans mon cou pendant que ma main atteignait sa chatte. J'ai eu une hésitation, pas sûre de savoir jusqu'où je voulais aller, et jusqu'où Tania voudrait que j'aille. Elle restait immobile, blottie dans mon cou, comme si elle attendait que je me décide. Elle ne s'est pas révoltée, alors j'ai poussé plus loin mes fouilles, plongeant dans sa fente, m’emparant de son clitoris. Elle pantelait dans mon oreille, alors je m'arrêtais, en pensant qu'elle était défavorable.

« Oui, Mégane, fais-le » Murmura-t-elle, en se tenant toujours figée. Je massais doucement son clitoris plutôt proéminent, la faisant soupirer de plaisir.

« Tu peux me faire la même chose, si tu veux » Lui ai-je dit, lui soufflant un énorme indice.

« Oh mon dieu, comme c'est bon. Surtout, ne t’arrête pas » Murmura-t-elle, ignorant complètement ma suggestion. Je ne voulais pas m'arrêter, je voulais juste qu'elle commence. 
« Tu peux me toucher aussi, si tu veux » J’ai insisté. Elle a murmuré quelque chose dans mon cou, mais sans faire un geste, elle m'a juste laissé jouer avec son petit bouton. J'étais tentée de me faire plaisir moi-même, mais j’espérais encore qu'elle finirait par se décider, si je continuais. Je prenais plaisir à la caresser, et c’était la première fois de ma vie que je câlinais une femme.

J'ai exploré plus bas avec deux doigts à l'intérieur de ses lèvres jusqu'à ce que je trouve son entrée, humide et accueillante, en attente d'être visitée. Je glissais mon doigt à l'intérieur aussi loin que je le pouvais. Tania a répondu par une longue inspiration, et ses ongles s'enfoncèrent plus fort dans mes flancs. Je poussais un deuxième doigt en elle, en les brassant à l'intérieur.

« Oui, oh oui » Elle souffla dans mon cou, mordillant le creux de mon épaule dans son agitation. Avec deux doigts à l'intérieur, et la paume de ma main pressant son clitoris, j'ai mis en route un mouvement. Coulissant mes doigts en elle, et frottant ma paume sur son clitoris, j’espérais l'encourager à jouer avec ma chatte, mais je l’ai juste faite gémir et souffler dans mon oreille. Puis j'ai entendu des gémissements et des petits cris aigus à côté de nous. Je ne pouvais pas les voir clairement de ma position, mais l'une des filles atteignait un point de non-retour. Ces bruits m’émoustillaient, j’espérais qu'ils auraient le même effet sur Tania, et qu’ils lui donneraient envie d’agir. J'ai continué de jouer avec elle, tout en écoutant les bruits de plus en plus nets à côté de nous.

Tania m'a soufflé : « Je vais bientôt venir. S'il te plaît, ne t’arrête pas, ne t’arrête plus » Il était clair à présent que Tania, occupée par son propre plaisir, n'allait pas m'aider. Je devais continuer de la masturber pour la faire jouir, avant de m’occuper de moi. En même temps, les bruits à côté augmentaient de volume, une succession de cris incohérents et de longues plaintes. J’identifiais la voix de Valérie, et je me demandais brièvement si Lydie allait être laissée de côté. Peut-être, juste après, peut-être qu'elle et moi pourrions nous consoler ?

Le dernier cri de joie à côté de nous a semblé déclencher l’orgasme de Tania. D'un coup, elle s’est crispée, un râle siffla entre ses dents serrées, pendant qu'elle griffait mon dos avec ses ongles. Elle frissonna plusieurs fois, puis s'affaissa à bout de souffle, son orgasme presque silencieux contrastant avec celui de Valérie. C'était si inattendu et si rapide que cela m'a surprise, et j'ai continué à la doigter, ne sachant pas si je devais m'arrêter, jusqu'à ce qu'elle descende sa main vers le bas pour saisir mon poignet.

« Mon Dieu, c'était bien » Elle haletait, la voix apaisée, et je me suis demandée avec ressentiment si elle invoquait toujours Dieu quand elle faisait l'amour. Sa figure était toujours blottie dans mon cou lorsqu’un instant plus tard, Lydie atteignit bruyamment son apogée, en anéantissant tous mes espoirs de me consoler avec elle. Tout ce que j'allais obtenir, semblait-il, c’était une chatte humide et insatisfaite. Tania s’est redressée pour s'installer à côté de moi. Je restais assise là, sans prendre la peine de refermer mes jambes.

« C'était génial » Elle souriait, ravie.

« Ça l'était pour toi » ai-je grommelé.

« Donne moi une minute »
« Pourquoi ? » demandais-je, perplexe.

« Parce que c'est ton tour, Mégane. Je te l'ai dit quand on a commencé, que je te caresserais après »
La lumière s'est levée. C’était ce qu'elle m’avait marmonné plus tôt. J'étais, semblait-il, sur le point d'être comblée, mais au moment où tout le monde regardait. Peu importe, j’étais dans un tel état d’excitation que je m'en fichais, j'avais tellement besoin que j'aurais laissé Tania me faire tout ce qu'elle voulait, devant la terre entière si elle le voulait.

« Je voulais pouvoir me concentrer sur mon plaisir » Elle m’a expliqué. J'étais peut-être vicieuse, mais j'aurais préféré qu'on jouisse ensemble, plutôt qu'à tour de rôle. Il m’aurait été beaucoup plus agréable de partager notre plaisir.

« Ne me fais plus attendre, s’il te plaît »
« J’aime ton impatience » Tania gloussa en se penchant sur moi. Je savais ce qu'elle allait me faire. J'ai regardé Lydie et Valérie, espérant leur discrétion, tout en sachant que je serais un peu déçue si elles ne me regardaient pas. Pour le moment, elles étaient allongées côte à côte, les yeux dans les yeux, retrouvant leur calme. La main de Tania s’est emparée de ma poitrine. Même si je m'y attendais, j’ai ressenti un instant de gêne, et j’ai mis ma propre main pour couvrir la sienne.

Elle se moqua gentiment : « Je croyais que tu voulais que je le fasse ? »
J'acquiesçai rapidement. Elle m'embrassa voluptueusement, pressant mon sein en même temps.

« Alors, laisse-moi faire » Elle m'embrassa à nouveau, d’une manière plus pressante. Je lui ai tout pardonné. Elle m’a embrassée longuement, sensuellement, et sa main jouait avec mon sein, le pressait, en envoyant des frissons de plaisir dans tout mon corps. Je la laissais jouer avec moi comme elle le voulait. Je respirais fort, en attendant qu'elle m'explore davantage, j'étais tellement excitée. Et puis sa main quitta ma poitrine en suivant un lent chemin le long de mon ventre. Je savais où elle se dirigeait, je l'espérais, et j'ouvris encore plus mes jambes pour l’accueillir.

Elle m’a fait attendre un peu, avant que ses doigts n’atteignent mon monticule, et je piaffais d’impatience. Puis ses doigts ont glissé sur ma chatte, butiné mon clitoris, et mes hanches ont tressailli en réplique à ses attouchements. J'ai gémi de pur bonheur lorsque sa paume a massé ma chatte, et que son doigt est entré. Elle m'a embrassée plus profondément, sa langue explorant ma bouche, quand son doigt s’agitait dans ma vulve. J'enroulais mes bras autour d'elle en ouvrant encore plus largement mes cuisses, m'abandonnant avec confiance à sa perversion.

Elle se déplaça un peu plus bas pour happer mon mamelon avec sa bouche, taquinant mon téton avec sa langue tourbillonnante. J'ai fermé les yeux pour me concentrer sur les sensations que me procuraient sa main sur ma chatte, et sa bouche sur mon nichon. J'étais tellement absorbée par ce que Tania me faisait que j'avais complètement oublié le monde qui m’entourait. J’ai été surprise en sentant une deuxième bouche s’emparer de mon autre mamelon. J’ai ouvert les yeux pour constater que Lydie s’était jointe à nous. J’étais ravie, et j’ai ouvert mes bras pour accueillir Lydie et Tania contre moi. Lydie, en voyant que je ne la repoussais pas, a posé sa main sur ma cuisse pour me caresser tendrement. Puis, elle s’est soulevée pour m’embrasser à pleine bouche, pendant que sa main remontait le long de ma jambe pour venir me caresser le ventre.

Son baiser était différent de celui de Tania. Plus langoureux, moins possessif. C’était sexy et charmant. Cela a semblé durer une éternité, mais elle a fini par s'éloigner pour reprendre mon mamelon dans sa bouche en mordillant mon téton doucement. J'ai tourné mon visage de l'autre côté : « Embrasse-moi, Tania »
Je ne pouvais pas la laisser de côté. J’avais trop peur qu'elle se sente ignorée et s’arrête de jouer avec moi. J’espérais que les deux filles ensemble allaient me faire décoller très haut. Le doigt de Tania a quitté ma chatte pendant qu'elle m'embrassait, il est venu sur mon clitoris, le frotter pendant qu'elle m'embrassait, me faisant gémir doucement. Mais d'autres doigts ont trouvé mon orifice. Lydie avait réussi à remplacer le doigt manquant par deux des siens. Impossible pour moi de résister à autant d’attentions et je commençais à sentir les prémices d’un orgasme monter en moi.

Elles ont coordonnés leurs efforts. Chacune avec un de mes seins dans la bouche, Tania pinçait et tirait sur mon clitoris, pendant que Lydie me doigtait sauvagement. Je me tordais, gémissante et ravie, en sentant mon plaisir augmenter. J'ai capté un mouvement entre mes jambes et j'ai ouvert un œil, juste pour voir Valérie s'agenouiller entre mes jambes pour regarder ma chatte taquinée par les deux autres. Je ne savais pas quelles étaient ses intentions, mais le simple fait qu'elle vienne me regarder de près pendant que les deux autres filles me tripotaient, c’était très stimulant.

Je n'aurais jamais pensé que j’avais des tendances exhibitionnistes, et que je serais émoustillée par l’idée d’être manipulée en public. Puis, j’ai cessé de penser, parce que mon orgasme a commencé à me tordre et à me déchirer. C’était énorme, des vagues de plaisir successives qui roulaient à travers mon système nerveux. Mes hanches sont devenues folles, se soulevant et roulant en tout sens. Impossible pour moi de contrôler quoi que ce soit, Tania et Lydie s’arc-boutaient sur ma chatte, et je les ai entendues rire. Ma transe a duré longtemps, et j’ai pensé que j’allais mourir. Mais finalement, cela s'est atténué, me laissant tremblante et épuisée, avec une expression d’émerveillement sur le visage.

Elles étaient allongées contre moi, de part et d’autre, et elles me câlinaient tendrement, en attendant que je finisse de redescendre. Elles promenaient leurs mains sur mon corps, au hasard, en glissant parfois accidentellement sur une zone érogène, ravivant le feu qui couvait sous la cendre. J’étais incapable de me défendre, mes bras écartés et coincés sous leurs corps, et mes jambes maintenues ouvertes par leurs jambes enroulées autour des miennes. Le fait d’être exposée sans défense ajoutait à mon trouble. D’autant plus que Valérie était toujours agenouillée entre mes jambes écartées, et regardait ma chatte. Quand soudain j'ai senti le bout de ses doigts s’infiltrer entre mes grandes lèvres. Je sursautais, et Valérie s'est excusée : « Pardon. Je voulais juste... » Elle laissa sa voix s'estomper, incapable d’en dire plus.

« Ça va, tu ne me déranges pas, c’est juste que j’ai été prise au dépourvu »
Son intervention ne me dérangeait pas, bien au contraire. L’idée d’avoir trois filles jouant avec mon corps était délicieusement érotique. Valérie a levé les yeux vers moi, attendant ma confirmation. Je lui ai souri le plus largement possible, pour bien lui montrer mon consentement. À ce moment-là, son intrusion ne me paraissait pas impertinente. Je trouvais charmant d’attirer l’attention d’une fille. Nous étions toutes dans la découverte, aucune de nous n’ayant eu de rapports saphiques auparavant. Ses doigts revinrent délicatement palper le contour de mes lèvres, de haut en bas, le bout de ses doigts me caressant doucement sans entrer dans ma fente.

Je suppose que sa position agenouillée ne lui permettait pas une bonne vue, ou qu’elle était inconfortable, car Valérie s’est allongée entre mes jambes. Elle a tendu la main pour me caresser plus audacieusement, explorant ma chatte, depuis mon clitoris jusqu’à mon anus, me faisant haleter d’ardeur et de délice. Je l’ai vu sourire en me voyant frissonner, et elle s’est concentrée autour de mon clitoris, l’effleurant sans jamais le toucher. Elle me taquinait délibérément, et je tremblais de désir en haletant bruyamment. Lydie et Tania, comprenant mon désir, ont recommencé à martyriser ma poitrine. J’ai gémi bruyamment, je n’aurais pas dû.

Elles m’ont demandé si j’étais prête pour un second tour, et j’ai hoché la tête, ce qui les a fait glousser. Je soupirais doucement en me sentant délicieusement impuissante. J’étais comme une étoile de mer avec mes jambes ouvertes et mes bras écartés. Je fermais les yeux, et je laissais les trois filles faire ce qu'elles voulaient de moi. Valérie a posé un deuxième doigt sur moi, à plat, de part et d’autre de mon clitoris, sans le toucher. Elle frottait la zone autour de mon petit bouton érigé, en appuyant doucement, pas rapide mais insistant. Je pouvais sentir les prémices d'un nouvel orgasme naître en moi.

« Oh, oui, c'est bien, c’est bon » murmurais-je, sans préciser quoi.

Lentement, mon trouble augmentant, je ne pouvais plus empêcher mes hanches de rouler. Ma respiration s’est creusée, en s’accompagnant de gémissements aigus, et les filles ont durci le martyr de mes nichons.
Valérie a glissé ses deux doigts dans ma chatte, pour les faire coulisser profondément en moi. Sa bouche s’est posée sur mon clitoris, ses lèvres l’ont sucé, et ses dents l’ont mordillé en tirant dessus. Mes reins se sont creusés, mon dos s’est arqué, soulevant mon bassin à la rencontre de cette bouche vorace. Valérie a accéléré le mouvement de ses doigts en moi, par des coups durs et profonds. Elles ont synchronisé leurs efforts pour me faire jouir. Presque immédiatement, mes hanches ont sauté en l’air et j'ai crié de joie, faisant rire les filles qui me tourmentaient les seins. Je devais avoir l'air stupide, avec mon visage grimaçant, et le corps secoué de spasmes, mais je m'en fichais, c'était merveilleux.

Mon orgasme s’est finalement apaisé, par répliques dégressives, et je me suis effondrée sur la couverture, mais les autres ne se sont pas arrêtées. Les doigts de Valérie s’agitaient toujours en moi, pompant avec vigueur, et les deux autres vandalisaient mes seins, ne montrant aucun signe de clémence, et encore moins de répit. C'était beaucoup trop. Je pantelais déjà.

« Assez » leur dis-je à bout de souffle. « Je n'en peux plus » Je pouvais, je savais que je pouvais, j'avais juste besoin d'une pause. Je ressentais encore les répliques, les rapides bouffées de passion qui suivent un orgasme, et elles voulaient me faire remettre ça. J'ai voulu me dégager de leur emprise, pour me rouler en boule, mais impossible d’échapper à leur étreinte. J'ai abandonné, j’ai cédé devant leur ardeur farouche, et je les ai laissées jouer avec mon corps. Cependant, je dois bien admettre que je me découvrais un plaisir masochiste en étant le jouet de ces filles.

« Tu ne veux pas vraiment que nous nous arrêtions, n'est-ce pas ? »
C’était Valérie qui posait la question, ses doigts enfoncés profondément en moi. Pour toute réponse, j’ai soulevé mes hanches, offrant ma chatte désireuse à sa bouche ardente. Elle a émis un petit rire de gorge, un ricanement triomphal, avant de poser sa bouche sur ma chatte. Elle a aspiré mon petit bouton dans sa bouche pour que sa langue puisse l’agiter plus facilement, le secouant et le léchant de plus en plus fort, ses doigts s’agitant toujours dans mon vagin. Je frissonnais de plaisir, gémissante et geignante, et je levais les yeux vers le visage de Tania et de Lydie qui souriaient en me regardant lutter contre la montée du plaisir. Elles ne m'ont aidée, elles ont simplement souri, et mutilé mes seins encore plus fermement.

Je sentais revenir en moi le grondement de l’orgasme. "Revenir" n’était pas le mot juste, parce que je ressentais encore les répliques de mon orgasme précédent, entretenues par la bouche et les doigts de Valérie. Je pouvais le sentir grossir, sentir la merveilleuse chaleur d'un orgasme imminent qui se formait. J'étais au bord, et je devais me mordre les lèvres pour ne pas crier ma défaite. Elles étaient les plus fortes, elles se savaient, et je n’étais qu’une poupée de chair entre leurs mains adroites. Mais je ne voulais pas leur accorder ce plaisir, d’avouer ma reddition à haute voix, de les supplier de m’utiliser selon leurs désirs. J'ai senti l’orgasme gronder au plus profond de moi, m’envoyant vague après vague de pur bonheur, et éclabousser mon corps comme des vagues jetées sur le rivage. 
J'ai crié, je sais que je l'ai fait, pas qu’une fois, mais avec chaque décharge de plaisir. J’ai soulevé mes fesses de la couverture, je me suis débattue en me secouant comme si j'essayais d'engloutir Valérie toute entière. Elle ne pouvait plus garder sa bouche sur moi, je bougeais trop, alors elle s’est contentée de me baiser avec ses doigts. Je me suis cambrée, je ne touchais plus la couverture qu’avec mes talons et mes épaules. J’entraînais mes persécutrices dans ma lutte folle. Cet orgasme était tellement fort, tellement violent, il m’a déchirée, écartelée, rompue. Quand le calme est revenu, je restais prostrée, frissonnante et pantelante, tout mon corps brisé et moulu. Pendant quelques instants, nous sommes restés toutes silencieuses, pensant sans doute à ce qui s'était passé, et à ce que nous allions devenir.

C’est Valérie qui s’est exprimée la première : « Je n'avais jamais rien fait de tel auparavant »
Tania lui a répondu : « Et moi ? Je n’avais jamais touché une fille »
Lydie rigolait : « Mais ce ne sera pas la dernière fois, n'est-ce pas ? »
Tania acquiesça : « Oui, mais nous devrons laisser cela hors du bureau »
Personne n'a proposé d’étaler la crème solaire pour quelqu'un d'autre cette fois, et nous étions toutes absorbées à nous enduire nous-mêmes, lorsque Tania a posé une main grasse sur mon bras pour attirer mon attention : « Pourrons-nous nous revoir ? Juste toi et moi ? » demanda-t-elle à voix basse, en s'assurant que les deux autres n'entendaient pas.

Je ne m'attendais pas à cette question et, même si j’ai su immédiatement ce que j'allais répondre, il m'a fallu un peu de temps pour prononcer : « Oui, j'aimerais ... J'aimerais beaucoup ça »

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une merveilleuse histoire:tendre et sensuelle.La description de cette scène d'amour physique entre filles est exceptionnelle...Merci d'avoir partagé avec nous ce grand moment d'érotisme .



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