BONNE ANNEE (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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BONNE ANNEE (1)
Christ71 : J’offre ce texte en cadeau de nouvel an à tous les lecteurs de H.D.S et aux gérants du site. Je vous souhaite à tous de lire de bonnes histoires érotiques sur ce site et de les vivres.
Je m’appelle Christian et je suis marié depuis 20 ans à Antoinette belle brune aux seins grands formats.
Nous n’avons pas un fils de 10 ans qui pour cette fin d’année est reparti avec mes parents après Noël à Bordeaux. Il est dans une école privée et tous les week-ends mes parents le prennent chez eux.
Nous avons un très beau pavillon dans la banlieue parisienne non loin de notre travail.
Je suis responsable d’un secteur, dans un parc d’attractions en région parisienne.
Antoinette y travaille aussi à un poste à haute responsabilité.
Pour notre fils, les heures que nous faisons nous ont obligé à choisir cette solution même si nous souffrons de son éloignement...
Nous avons des amis intimes que nous voyons régulièrement. Odile est copine d’école avec Antoinette. Elles ont fait les quatre cents coups avant de me connaître.Odile est mariée avec Alain depuis deux ans et n’a pas d’enfant.
Pour le 31 janvier, nous fêtons nos 20 ans de mariage et ils nous ont invités à un réveillon surpris dans une salle à quelques kilomètres de nos deux maisons.
Depuis que nous sommes mariés, nous sommes devenus très sages car notre amour nous accaparait pleinement.
Au lit, aucun tabou, je dois dire que la nature ne m’a pas oublié et si je ne rivalise pas entièrement avec un certain Rocco, je l’approche de peu.
Notre couple est très solide car nous ne nous cachons rien.
Souvent elle se fait draguer par des hommes que l’on connaît. Dès que nous nous retrouvons, elle m’explique tous les détails jusqu'à ou elle a laissé le jeu aller !
Début septembre, un homme l’a abordé dans la rue lui disant qu’elle le faisait bander. Elle lui a répondu qu’elle était très intéressée mais qu’un rendez-vous important l’empêchait de le suivre tout de suite.
Elle lui a donné rendez-vous le lendemain en début d’après-midi dans un café non loin du lieu où il l’avait abordé.
Nous étions de repos ce jour-là.
Je suis arrivé le premier et je devais découvrir lequel des clients l’attendait.
Le jeu était facile pour moi car un seul homme regardait sa montre en regardant la porte d’entrée.
J’étais au bar et lorsque j’ai repéré celui qui lui avait donné rendez-vous, je me suis installé sur la table voisine.
Antoinette est arrivée avec sur le dos un imperméable où je la savais nu dessous. Je l’avais déposé au bout de la rue quelques minutes avant.
Lorsqu’elle est entrée, le dragueur a fait un mouvement pour se lever et aller vers elle.
Elle l’a ignoré et est venue vers moi.
Je me suis levé pour l’accueillir et elle m’a donné un baiser qui m’a fait bander tellement il était profond.
Je voyais l’homme qui ne savait plus quoi faire.
Elle s’est assise et le bas de son imper s'est ouvert découvrant ses magnifiques jambes gainées dans des bas noirs retenus par des jarretelles.
La manière dont il était assis lui-même, le mettait dans l'axe de sa vulve entièrement passée au laser.
Je passais la tête dans son épaule ou sur sa bouche que je goûtais voracement.
À aucun moment, ni l’un ni l’autre ne le fixaient ne voulant pas nous dévoiler.
Dans un mouvement qui semblait naturel, Antoinette a fait ouvrir son impair et il a eu la vision de sa chatte.
Elle l’a refermé comme ci de rien n’était.
J’avais payé mon verre, nous nous sommes levés et nous avons rejoint la voiture que j’avais garée dans une petite rue adjacente.
Nous sommes montés à l’arrière pour avoir plus de place pour continuer notre jeu.
Deux solutions, il nous a suivis et nous n’allons pas tarder à le voir venir faire le voyeur, où il n’a pas suivi.
Dans tous les cas, je lui mettrais mon sexe dans la grotte.
La première était la bonne. Par la vitre arrière, je l’ai vu approché et se cacher derrière la voiture garée avant la nôtre.
Antoinette a enlevé son imper mettant à portée de mes mains ses seins que je sais très sensibles au moindre de mes attouchements.
— Chérie, acceptes-tu de tenter une chose que nous n’avons jamais faite ?
— Tes idées sont toujours géniales je te suis !
— La rue est une impasse et nous sommes entre les murs de deux usines, personne ne peut passer, je vais te prendre sur le capot de la voiture.
— D’accord, je vais te sucer pour que tu sois prêt à me la mettre.
J’ai enlevé mes affaires, je prends la précaution de placer la clef de contact pour partir ventre à terre en cas de problème.
Elle m’a pris en bouche et comme j’étais déjà presque en forme maximum, il nous a fallu quelques secondes pour être prêt à sortir.
Notre voyeur était toujours là.
— Vas-y bébé, tu te couches les seins sur le capot je viens derrière toi et je te baisse la chatte.
Elle sort le temps que je la contourne, elle se couche comme je lui ai demandé. Je passe une main sous son corps et j’attrape son sein pour bien la maintenir.
De l’autre je prends ma bite que je positionne. Lorsqu’elle est entrée légèrement, je prends l’autre sein et en tirant fortement sur la doublette, je la poignarde lui arrachant un cri de plaisir.
Son cri a certainement été entendu à quelques mètres. Je suis sur que de voir ma femme se faire enfiler sur le capot de notre voiture doit le faire bander.
Je sens que son vagin s’enflamme. Je ralentis puis j’accélère la pénétration. Je sens sa chatte couler sur ma verge. La crainte de nous faire prendre augmente notre plaisir.
D’un coup je sens que je ne vais pas résister. Je me retire, la retourne et l’assieds sur le capot.
Le temps de manœuvrer m’a permis de retarder ma sève qui a reflué dans mes bourses.
Je la reprends et je continue à lui remplir la vulve.
Je sens qu’elle va crier. Je lui prends la bouche et j’écrase les sons qui cherchent à sortir.
Je la sens qui explose et mes jets viennent fracasser sa grotte.
Nous sommes entièrement en osmoses. La peur de nous faire prendre pour attentat à la pudeur décuple les coulées d’adrénalines qui coulent le long de nos corps.
Je quitte la moule de ma femme.
— Je peux ?
L’homme est là, le pantalon ouvert et la queue à la main.
Depuis notre mariage, c’est la première fois que lors de nos jeux nous nous trouvons dans une situation imprévue pour nous.
À force de jouer avec le feu, un jour on se brûle.
Ce, « je peux » claque comme un coup de fusil.
Cette queue brandit vers la chatte d’Antoinette la menace.
Peut-on lui refuser quoi que ce soit sans risquer qu’il fasse un esclandre.
Je le regarde avancer sa main vers sa chatte d’où mon sperme coule.
Tout en se masturbant, il avance ses doigts qu’il finit par enfoncer dedans.
Il les fait aller de plus en plus vite.
Antoinette n’a pas l'air d’être insensible au traitement et commence à se tortiller sur le capot.
Pour la première fois depuis notre mariage une main autre que la mienne pénètre son intimité.
Loin de me déplaire, je bande de nouveau.
Il s’astique de plus en plus vite et il finit par envoyer son sperme sur le corps de mon épouse.
Son plaisir solitaire terminé, il range sa bitte et part en courant.
Nous nous retrouvons tous les deux seules dans cette impasse. Une nouvelle idée me vient, je n’ai pas profité entièrement du corps offert de mon épouse.
Je m’avance, la retourne et m’approche de sa rosette. J’ai le temps de voir son anus s’ouvrir et se fermer au moment ou je la pointe et ou mon sexe entré sans grande résistance la sodomie fait partie de nos jeux habituels.
Ma tige, malgré sa grosseur coulissée facilement dans son trou mais je sais qu’il ne faut pas que j’appuie trop, je n’ai jamais réussi à tout lui faire entrer.
Ses seins, sa chatte et son anus sont pour elle des terminaisons ultras sensibles que je sais amener au maximum du plaisir que je peux leur donner. Sur ce capot de voiture, dans cette situation insolite, nous jouissons fortement en même temps.
Lorsque je démarre la voiture, Antoinette vient poser sa tête sur mon épaule et quand je la regarde, ses yeux expriment tout l’amour qu’elle a pour moi.
Dans deux jours nous suivront nos amis sans savoir où nous irons.
L’inconnu ! Source de piment dans un couple.
L’inconnu ! Garant du maintien de la flamme qui ne risque pas de s’éteindre contrairement au couple tombant dans la routine.
Pour cette occasion, nous allons dans une boutique dans Paris pour acheter une robe et une tenue pour moi.
La robe rouge allant jusqu’au sol avec une fente sur le côté laissant apparaître sa jambe jusqu’à l’aine qu’elle essaye lui va comme un gant. La couleur fait ressortir ses cheveux bruns et ses yeux verts.
Un seul problème me saute aux yeux.
— Mon cœur, Tu es très belle dans cette robe, mais il y a un problème, ton string marqué à ta taille et est disgracieux.
Sans se départir de son flegme habituel, elle soulève la robe attrape sa petite culotte la descend et négligemment me l’envoie sur mon visage.
Je l’attrape et la passe sous mon nez.
— Ta chatte sent toujours aussi bon mon amour !
Je la glisse dans ma poche.
La serveuse jolie blonde avec ce qu’il faut là où il faut est cramoisie.
Antoinette remet ses affaires. Je repasserais demain pour récupérer la robe avec les quelques retouches faites.
Pour moi je trouve un smoking sans veste mais avec gilet et nœud papillon.
Le 31 vers 20 heures nos amis viennent nous chercher.
Odile porte un ensemble 1920 lui dégagent une grande partie de ses cuisses.
Alain véritable mafioso avec son Borsalino.
Il nous conduit dans la nuit sachant ou il va sans aucun problème.
Un porche avec une grille en fer forgé. Une grande allée est au bout des 200 mètres une grande maison. Pas un château mais une maison de maître d’un domaine comme il en existe des milliers dans toute la France.
Une soirée dans une résidence de ce genre ne doit pas être donnere surtout un soir de réveillon.
Dans le temps où nous rangeons la voiture aux côtés de cinq ou six autres, deux couples arrivent.
Je remarque la deuxième, magnifique petit bout de femme blonde avec une robe aussi subjective que celle d’Antoinette.
Odile et Alain les rejoignent et les embrasses.
— Thierry et Magali des amies de très longue date. Christian et Antoinette nos invités !
Les présentations faites au moment où nous nous dirigeons vers la porte d’entrée, je vois Alain passer sa main discrètement sur les fesses de Magali.
Elle le regarde et passe sa langue sur ses lèvres comme une femme c’est le faire pour aguicher un homme qui ne lui est pas indifférent.
La porte passée, un majordome récupère nos écharpes et nos manteaux.
Odile semble à l’aise dans ces lieux.
Elle nous dirige vers une porte où nous entrons pour découvrir une grande pièce qui sert de salle à manger.
Dans un coin, une table avec des amuse-gueule et des couples qui prennent l’apéritif.
Le champagne est la boisson principale et aussi des boissons sans alcool.
Les couples sont tous d’âge différant mais ils ont une classe certaine.
La pièce très spacieuse, où des tables sont disposées en rectangle entourant en leur centre un lit immense pouvant recevoir 5 à 6 personnes dans sa largeur.
Tout y est, les oreillers le couvre-lit. Je suis sur que si je l’enlève, j’y trouverais des draps et une couverture.
Une dizaine de couverts sons placés sur les tables. Nous serons une quarantaine de convives au réveillon surprise que j’espère surprenante.
À l'opposé du buffet, une tenture rouge semble être là pour nous interdire de franchir ce secteur.
Cette atmosphère feutrée est renforcée par une musique sortant de nulle part. Celui qui là conçu est un génie de l’acoustique, moi qui dois faire face à l’organisation d’attraction ou la partie sonore est primordiale. j’ai du mal à trouver de vrai professionnel.
Odile nous pilote au buffet et nous présente à tous les couples. J’essaye de retenir les prénoms des dames.
Martine, Elizabeth, Gladys, nous retrouvons Magali serré de prêt par Alain qui a gardé son chapeau qui lui donne l’air d’un maquereau essayant de faire tomber une jeune femme dans ses griffes pour finir par en faire l’une de ses gageuses.
Elle nous présente Antoine et Ghislaine l’un des couples âgés.
Lui très bel homme cheveux blancs et moustache blanche avec un smoking intégralement blanc. Elle, robe approchant celle de mon épouse avec un port de tête marquant le milieu que la dame doit fréquenter.
Antoinette suscite l’attrait de plusieurs hommes qui l’ont accaparé. Elle papillonne au milieu d’eux, un verre de jus de fruit à la main.
Je suis rassuré, l’alcool a un effet sur elle qui pourrait être gênant. Sous l’emprise de la boisson elle est capable de prendre le lit qui sert de décoration pour un vrai lit et monter dessus pour me faire un strip-tease dont elle a le secret.
Au début de mes souvenirs, j’ai dit qu’Odile et elle avait fait les quatre cents coups sans développer plus que cela. Les deux filles ont travaillé, depuis l’âge de 18 ans, dans le milieu de la nuit.
Elle faisait partie d’une revue dans l’un de nos grands cabarets. Pour arrondir leur fin de mois elle faisait un strip-tease ensemble dans une petite boîte lorsqu’elles n’apparaissaient pas dans l’un des tableaux.
Le plus drôle c’est que les patrons des deux cabarets n’ont jamais su qu’elles se produisaient dans les deux boîtes.
Tous les participants à la soirée semblent arriver.
L’apéritif semble échauffer les hommes et les femmes. Certains n’a pas peur de flirter ouvertement devant leur compagnon.
Je vois même un couple qui j’en suis sûr ne sont pas arrivés ensemble. La femme était déjà là lorsque Odile nous a présentés, partir discrètement derrière le rideau en se tenant la main.
J’ai envie de les suivre mais la bienséance m’arrête.
Antoine nous demande de prendre place autour de la table pour que le réveillon débute.
Les lumières s’éteignent et des serveurs en livrer entre avec des chandeliers qu’ils placent sur les tables. Deux d’entre eux en place quatre immenses à chaque pied du lit, l’éclairant d’une manière significative.
Antoine et sa femme viennent prendre place au milieu d’une des quatre tables, ils semblent présider.
— Odile et Alain, vous nous avez sollicité pour accepter au sein de notre confrérie pour fêter leurs 20 ans de mariage vos amis Christian et Antoinette, prenez place face à nous.
Nous nous installons et tous les autres s’installent suivant leurs affinités.
Discrètement le couple sort de derrière le rideau et retrouve leur place. Je ne me suis pas trompé. La femme rejoint un homme qui lui a gardé une place à l’un des bouts alors que l'autre s’installe à l’autre bout et embrasse son voisin.
Il est bizarre que pour un réveillon il n’y ait pas d’orchestre mais la sono me fait pensée que les musiques qui sont jouées ne sont pas démarré au hasard.
— Avant le début du repas, Odile toi qui anime nos rencontres vient au milieu du carré et présente nous le premier tableau.
Je suis fasciné parce que j’entends mais rapidement la panique me saisir.
Odile me quitte et entraîne Antoinette avec elle.
La musique que je connais bien démarre et une fraction de seconde Antoinette à l'air surprise.
Les deux filles commencent au pied du lit, un effeuillage très apprécié par tous les participants qui semblent apprécier le spectacle.
Antoinette ne met pas longtemps à se trouver nue, elle a fait durer le plaisir de nos yeux en dévoilant de petites parties de son corps avant de faire tomber sa robe.
Odile l’a imité et les deux femmes sautent sur le lit. Elle semble se découvrir et commence à danser face à face.
Notre copine épilée elle aussi avance sa vulve en avant imité par ma femme.
Je suis fasciné, pour la première fois je vois Antoinette toucher la chatte et même le corps d’une autre femme en ma présence.
D’un coup elle tourne la tête vers moi comme pour m’offrir leurs deux corps soudés.
Comment peut-elle être aussi impudique devant autant de personnes que nous ne connaissons pas ?
Ce que j’avais commencé à m’apercevoir se concrétise, nous sommes dans un réveillon surpris où tous sont échangistes.
Malgré la position inconfortable je vois à ses yeux ma grande atteindre son plaisir. Elles poussent un cri ensemble et s’effondrent sur le lit.
Lorsqu’elles reprennent leur place, Odile prend leur robe et va les poser sur la table à apéro qui a été débarrassé.
J’ai de chaque côté deux magnifiques femmes nues.
— Mon cœur, tu veux rester ? Nous sommes au sein d’un groupe échangiste !
— Je ne suis pas simplette et je l’ai constaté aussi.
— Tu serais prête à faire l’amour avec d’autres hommes que moi ?
— Si tu n’es pas loin de moi. Oui !
— Moi, me vois-tu sur ce lit avec une autre ?
— J’adorerais, je suis sur qu’aucun des hommes présents ne peut rivaliser avec ta virilité.
Ces mots suffisent à emporter ma décision. Faire voir à tout le monde que je suis monté comme un taureau, quel mâle n’en rêve pas.
Pour concrétiser ma décision, la musique joue un slow et je vois Ghislaine contourner la table et venir m’inviter à danser.
Cette femme comme je l’ai dit à une classe folle bien qu’elle soit une femme mature.
Je ne peux refuser et je me lève.
Je bande encore du spectacle que mes deux coquines et dès que je lui mets la main au creux des reins, elle ne peut ignorer le phénomène.
— Christian, je vous fais déjà autant d’effets ?
La coquine elle profite de la situation. Le slow se poursuit et si cette beauté ne m’avait pas fait d’effet, je pense que ma tension serait retombée naturellement.
Lorsqu’elle me tend ses lèvres c’est naturellement que j’accepte de l’embrasser.
Alors que notre baiser est très profond, je vois Antoinette danser avec un homme qui lui aussi lui met un morceau dans la bouche.
J’ai le temps de le voir, la tirer par la main et l’entraîner derrière le rideau.
Une fraction de seconde, l’envie de partir la suivre pour l’arrêter quand je sens ma partenaire m’entraîner vers le lit géant.
— Viens me faire l’amour, bel étalon.
Près du lit elle se baisse ouvre mon pantalon et sans hésitation elle me place au fond de sa gorge.
Elle me pompe en femme très habituée à faire ce plaisir aux hommes.
Combien parmi ceux qui sont là ce soir a refusé de se faire pomper, par celle qui semble être la femme du maître de ce groupe de libertins ?
Au fur et à mesure que les couples qui se sont formés et dont une grande partie est nue, me regardent être près de monter sur le lit, s’arrêtent pour nous regarder.
Nous sommes pour quelques minutes le centre de la fête.
Une fraction de seconde je regrette qu’Antoinette ne soit pas là. Elle est certainement trop occupée par la tige que ce monsieur espérait lui mettre dans le vagin lorsqu’ils ont franchi la zone que je ne connais pas encore.
Je suis sur que demain seule chez nous, elle me relatera dans les moindres détails la manière dont les choses se sont passés. Je la prendrais deux fois plus forte pour me faire pardonner de ne pas avoir été là à ce moment crucial pour notre couple.
En attendant, je bande et celle qui va en profiter est bien à genoux devant moi. Elle a réussi à me faire, à nous faire une gorge profonde qu’Antoinette a vainement essayé de me faire depuis 20 ans.
Je relève la dame et en lui reprenant la bouche, je défais la boucle, qui doit valoir un paquet d’euros, et ainsi faire tomber la robe qui la recouvre encore.
Elle m’enlève ma chemise et prestement j’arrive à enlever chaussures et chaussette.
Au moment de la faire monter sur le lit, je vois Antoine regarder la scène très attentionnée. Lorsque je m’aperçois qu’une personne que je ne vois pas, car elle est cachée par la table, doit le sucer. Je reprends mes esprits et je n’ai plus aucun remords à honorer sa dame.
— Comment aimes-tu être prise ?
— Pour la première fois laisse-moi me mettre en levrette et prend moi ma chatte.
En me disant cela elle me donne un léger baiser.
— Prends-moi comme j’aime, ne me ménage pas !
Dès qu’elle s’est positionnée, je lui plante mon sexe dans la vulve sans l’avoir travaillé préalablement.
— Un Oh ! De surprise par la puissance de mon attaque sort de sa bouche.
Dans son oreille je lui glisse.
— Comme çà tu as aimé ?
— Continu laboure-moi, je n’en ai jamais senti d’aussi grosse de ma vie amoureuse, que je n’ai pas commencée hier.
À partir de ce moment le temps n’est plus à la parole mais aux actes. Je la laboure avec des grands coups qu’elle apprécie de plus en plus. Au moment où je sens une boule montée dans son ventre, elle fait manœuvrer ses muscles internes et m’aspire vers le fond de sa grotte.
Jeunes, vieille, mature il n’y a plus sur ce lit que deux sexes qui sont prêts à éclater.
Nous le faisons en harmonie complète, la jouissance à la seconde prête dans un couple est très rare.
Si l’homme est à la hauteur il fera toujours jouir sa femelle avant de jouir lui-même.
Une salve d’applaudissements ponctue nos ébats.
Ma partenaire s’affaisse sur le lit les fesses en l’air. Je sors de sa chatte et m’assieds au bord du lit pour reprendre mes esprits.
Au milieu de ceux qui applaudissent, Antoinette est là. Son regard plein d’amour me fait comprendre que notre couple vient de prendre un virage qui nous promet des jouissances de tous les instants.
Sans s’en rendre compte, Alain et Odile en cadeaux de nos 20 ans de mariage viennent de nous offrir un monde nouveau à explorer. La garce, elle me regarde appuyée sur l’épaule de sa copine en me regardant en passant sa langue sur ses lèvres.
Il est vrai que depuis que je connais Odile, il ne m’a jamais venu à l’esprit qu’elle avait épousé un libertin qui l’avait dirigé vers ce monde que nous ne connaissions pas.
Ghislaine a repris, elle aussi ses esprits, elle descend du lit et me prend la main.
Nous passons dans une pièce adjacente où tout est prévu pour remettre nos corps propres.
Ces ablutions terminées, nous revenons dans la salle ou le début du repas nous est servi.
Le menu du réveillon est à la hauteur du cadre, de l’organisation de nos jeux sexuels.
— Odile, tu viendras que je te tire les oreilles, tu nous as bien eus, pourquoi ne nous as-tu rien dit sur cette vie que tu sembles beaucoup apprécié.
— Non, je mérite la fessée !
— J’ai horreur de la violence dans le sexe !
— Donné la fesser peut-être source de plaisir, maintenant que vous avez enfin franchi le pas du libertinage, dans les prochaines semaines je vous ferais découvrir des plaisirs que vous ne soupçonnez même pas.
— Comment as-tu commencé ?
— C’est à cause de toi que je me suis plongé dans ce monde. Tu n’aies pas sans savoir qu’avec ta femme, nous faisions le numéro d’effeuillage que j’ai eu le plaisir de refaire avec elle tout à l’heure. Lorsqu’elle t’a rencontré et que tu l’as épousé, ma vie s'est trouvée déstabilisée.
J’ai commencé à fréquenter des boîtes toutes plus glauques les unes que les autres.
J’aurais pu finir dans la prostitution certains maquereaux commençaient à tourner autour de moi lorsque j’ai rencontré Antoine notre maître qui cherchait une fille n’ayant pas froids aux yeux.
J’organise la vie et les soirées de notre confrérie des 40. Les premières années je faisais ce travail avec un homme qui me servait de partenaire.
Au fil du temps, j’ai rencontré Alain lors d’une de nos soirées et pour la première fois mon cœur s'est mis à battre. Il faisait partie du groupe avec sa femme. Un jour elle la quitte pour suivre un Américain aux USA.
Chaque soirée organisée, Alain s’arrangeait pour me faire l’amour.
Lorsqu’il a souhaité m’épouser, j’ai rencontré Antoine et Ghislaine leur signifiant que je ne voulais plus travailler avec mon partenaire.
Ils ont compris et lui ont fait une proposition, c’est lui qui ce soir gère le personnel qui nous sert ce soir.
Il vient de se marier et sa femme bien qu’elle comprenne les libertins n’acceptent pas notre liberté sexuelle. David et Adeline sa femme ont un salaire qui a fait lever tous les scrupules de la jeune femme.
Maintenant nous gérons ensemble.
Nous venons de finir le plat principal lorsque Thierry le mari de Magali vient l’inviter.
Elle va pour le suivre lorsque je lui prends le bras.
— Je suis d’accord que ma femme vienne avec toi mais va me chercher Magali, j’aimerais que nous soyons en couple pour nous retrouver.
— Viens, aucun problème, elle vient de me dire qu’elle avait envie de toi après ce que tu as montré avec notre présidente.
Nous nous levons, nous récupérons Magali qui vient directement m’embrasser.
— Merci, j’ai envie de toi !
— Pour vous servir mademoiselle !
Pour la première fois je passe le rideau. Derrière, une porte mène sur un couloir. Des chambres sont là pour nous accueillir.
Magali nous donne le code.
Porte fermée, défense d’entrer, les personnes ne souhaitent pas être dérangées.
Porte ouverte avec des personnes dedans invitation à venir participer.
Porte ouverte comme celle devant laquelle nous passons libres à nous de nous amuser.
Nous entrons et Magali ferme la porte.
Comme une gazelle elle saute sur un lit de deux mètres mais couvert de peluches !
Les murs sont couverts de photos de chanteurs ou acteurs connus comme le sont les chambres de jeunes filles.
— Chaque chambre a un thème et nous sommes dans celle d’une jeune fille attendant le prince charmant.
Je rejoins Magali sur le lit, elle plonge directement sur ma bite qu’elle a envie de faire développer pour se l’introduire dans son sexe voir son anus.
Je la laisse faire mais je passe ma main à la fourche de ses cuisses et je plonge trois doigts dans sa grotte.
Pour mouiller, elle mouille, mes doigts que je sors sont trempés par ses sécrétions.
Je lui présente et elle se met à les sucer. Je recommence l’opération plusieurs fois.
À un moment quand elle suce un côté, je suce l’autre, son goût est très agréable légèrement poivré.
Pendant ce temps, Thierry s'est assis sur une chaise et juste au moment où je regarde, elle vient s’asseoir sur sa queue. Là encore soirée fantastique pour moi, pour la première fois je vois la queue d’un homme entré dans la vulve de ma femme.
Rapidement, elle monte et elle descend sur la verge qui la pénètre. Elle apprécie car elle commence à envoyer dans la pièce des râles de son plaisir.
Magali s’allonge et me tend les bras pour me saisir la verge. Je la plonge dans sa bouche. Elle me suce et rapidement je bande.
Je me couche entre ses jambes et je la pénètre doucement. Avant mon mariage, toutes les jeunes femmes que j’aie honoré dont certaines étaient pucelles, étaient surprise par mon volume.
La position que Magali a prise-me fruste. Même en tournant la tête, je ne vois pas ma femme se faire enfiler.
Je saisis ma partenaire et la bascule sur moi. Un instant déstabilisé, ma partenaire se récupère et au chant qu’elle entonne, le poids de son corps doit lui faire remonter ma bite jusqu’à toucher l’entrée de son utérus.
Antoinette doit sentir que je veux mieux la voir. Elle sort la tige de son vagin et viens se positionner en levrette sur le lit.
Avant que Thierry la reprenne, elle se penche et me donne sa bouche.
— Je peux ?
Thierry alors qu’il vient de se positionner veut certainement la sodomiser. En homme bien élevé, il demande à la dame si son fondement est à sa disposition.
En écarte légèrement sa bouche de la mienne, dans un souffle.
— Oui !
Avant de recommencer à faire tourner sa langue autour de la mienne.
Je lâche la hanche de Magali pour remonter ma main sous le ventre de mon épouse.
Je veux lui mettre mes doigts dans la chatte.
La place est déjà prise, Magali a déjà placé deux doigts dans sa fente.
Je sens qu’elle se place pour me faire de la place. Antoinette apprécie cette prise multiple de sa chatte et de son cul car je vois ses yeux virer.
Comme à une bouée, sa bouche se plaque à la mienne et jusqu'à l’éclatement de tout son corps elle ne se sépare pas de la mienne.
Je suis fasciné par ma femme qui vient de jouir. Je n’en oublie pas pour autant ma partenaire qui continue à monter et descendre le long de ma verge.
Elle se soulève enlève ma verge de sa minette et la positionne sur sa rosette. Elle ne me demande même pas mon accord et se laisse pénétrer jusqu’à ce que ses fesses viennent toucher mon ventre.
Je ne vois pas les yeux de la dame mais chaque fois qu’elle ressort ma bite et retombe ses petits cris sont de plus en plus prononcés.
Je fais remonter ma main libre sur le bouton de Magali. Je l’enlève car la place est prise par le mari.
Nos femmes sont ainsi honorées comme les belles pouliches que nous avons le bonheur d’avoir épousé.
Thierry est le premier à emplir le cul de ma petite qui chante son plaisir.
Je ne reste pas en retrait et moi aussi j’envoie qu’elle gicle à Magali qui nous fait savoir par ses cris qu’elle les reçoit avec plaisir surtout que nos doigts sont imbibées de la cyprine que sa chatte expulse.
Un petit temps de récupération, un passage à la douche présentez dans chaque chambre et nous quittons la chambre de jeunes filles avec nos deux compagnes qui ont depuis longtemps quitté la leur.
Il était temps de revenir pour le décompte de la fin d’année. Nos ébats tellement nouveaux pour Antoinette et moi nous ont fait oublier l’heure.
Cinq, quatre, trois, deux, un, zéro !
BONNE ANNEE !
Je prends Antoinette dans mes bras. Nos bouches se retrouvent pour la première fois en 2015.
Elle se colle tellement à mon corps que ma bite vient en contact avec son intimité. Malgré la partie fine que nous venons de terminer, elle repart à la hausse et je suis prêt à la prendre. Je l’empoigne sous les fesses pendant qu’elle entoure mon cou, je la soulève jusqu’à mon pieu qui vient naturellement reprendre sa place au fond de son vagin.
Je suis content que ma femme reçoive ma bite le premier pour la nouvelle année.
La fin 2014 c’est terminé par notre propulsion dans le monde du sexe libertin, 2015 commence de façon classique tout en sachant que notre nouveau monde va nous rattraper bien vite.
Autour de nous, tout le monde s’embrasse. Je m’avance jusqu’à la table ou je pose les fesses d’Antoinette.
Je continue à la labourer pendant qu’une à une, les femmes qui n’ont pas le vagin investi par un sexe, viennent nous embrasser.
Certaines, que je ne connais pas m’embrasse et me dise « à tout à l’heure »
Elles sont devenues folles, une quarantaine de couples 20 femmes, si je les suis, au matin je suis mort !
Bref, Antoinette jouit grâce à ma queue pour la première fois de l’année. Je l’aide à se relever et nous retournons à nos places car les serveurs vont nous servir le dessert.
La musique change et quatre d’entre eux apporte le gâteau.
C’est la réplique du lit qui semble être leur emblème.
Alors que le cuisinier vient le découper, des coupes de champagne nous sont servies.
Odile prend une coupe de champagne sans alcool, elle prend le volant pour le retour.
Cette pause dessert nous permet de recharger les batteries. Ma verge a eu sa dose de sexe tout au long de la soirée.
Antoine se lève. Il est le seul à être resté habillé.
— Chères amies, je lève mon verre à l’année 2015 que vous avez très bien commencé. Je voudrais remercier les personnes qui se sont occupés de notre bien-être. Je ne vais pas être plus long et vous réitère mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Odile, a toi de nous surprendre avec nos nouveaux amis échangistes.
Odile se lève, m’entraîne vers le lit ainsi qu’Alain avec Antoinette.Odile commence à me sucer pendant que ma femme suce Alain. Malgré la fatigue, j’arrive à avoir une dernière érection.
Pour la première fois depuis que je la connais, je me rends contre que je vais pénétrer la chatte de notre copine.
Pendant plusieurs années, nous sommes parties en vacances avec elle. Nous étions dans la même villa à Mimizan. À part ses seins qu’elle me montrait régulièrement sur la plage ou sur la terrasse lors de nos siestes, jamais l’idée de la baiser ne m’a effleuré.
Au début de soirée, lorsqu’elle a fait son numéro avec Antoinette, c’était la première fois qu’elle me faisait bander.
La prendre sur ce grand lit devant tous ces gens, en regardant Antoinette faire de même avec son mari me faisait triquer assez pour que dès qu’Odile est montée et à écarter les cuisses mon poignard vienne la transpercer sans aucun problème.
Antoinette malgré le mal qu’elle se donne, arrive à ce qu’Alain nous montre une demi-érection. Ne se démontant pas, elle se lève et fait le tour de la table. Elle vient s’agenouiller devant le maître, lui sortir la queue et la sucer jusqu’au moment où je la voie déglutir le sperme qu’il vient de lui envoyer au fond de la gorge.
Odile et moi restons les seuls à baiser dans cette salle.
Pour que tout le monde profite de notre coït, je me laisse aller sur le dos et tous ceux qui sont du bon côté de la table peuvent voir ma queue tendue aller et venir dans son vagin.
Certain pour mieux voir, se déplacent et ce groupe de personnes qui nous mate amplifie mon envie de baiser.
Je n’aurais jamais pensé que j’étais un exhibitionniste !Odile doit être comme moi et aimer se montrer aux autres, ses cris de plaisir sont les seuls à s’entendre dans la salle. Lorsque j’éjacule, enfin il faut être raisonnable, lorsque je lui envoie trois petites gouttes de spermes dans sa grotte, les applaudissements de tous les convives. Même le Maître et la maîtresse de la confrérie des 40 sont debout pour applaudir.
— Une fois de plus Odile a été à la hauteur de sa réputation dans groupe. Je dois dire qu’aujourd’hui Christian et Antoinette s’il le désire ont définitivement rejoint notre assemblée.
Vous recevrez prochainement la date et le lieu de notre prochaine soirée et je n’oublie pas le renouvellement à notre confrérie nouvelle année oblige.
La seule bonne nouvelle que je peux vous dire à ce sujet c’est que nos comptes sont en équilibre et qu’il n’y aura pas d’augmentation.
Dernières choses, faite très attention sur la route, ceux qui ne se sentent pas en état de conduire peuvent rester dans les chambres mais être parties avant midi. Encore bonne année à tous.
Après nous sommes douchés et habillés, Odile prend le volant pour nous raccompagner chez nous.
La manière dont Antoinette me prend la bouche avant de s’endormir me fait penser que notre couple même s'il a évolué, est sorti intact de ce « réveillon surprise »
Je m’appelle Christian et je suis marié depuis 20 ans à Antoinette belle brune aux seins grands formats.
Nous n’avons pas un fils de 10 ans qui pour cette fin d’année est reparti avec mes parents après Noël à Bordeaux. Il est dans une école privée et tous les week-ends mes parents le prennent chez eux.
Nous avons un très beau pavillon dans la banlieue parisienne non loin de notre travail.
Je suis responsable d’un secteur, dans un parc d’attractions en région parisienne.
Antoinette y travaille aussi à un poste à haute responsabilité.
Pour notre fils, les heures que nous faisons nous ont obligé à choisir cette solution même si nous souffrons de son éloignement...
Nous avons des amis intimes que nous voyons régulièrement. Odile est copine d’école avec Antoinette. Elles ont fait les quatre cents coups avant de me connaître.Odile est mariée avec Alain depuis deux ans et n’a pas d’enfant.
Pour le 31 janvier, nous fêtons nos 20 ans de mariage et ils nous ont invités à un réveillon surpris dans une salle à quelques kilomètres de nos deux maisons.
Depuis que nous sommes mariés, nous sommes devenus très sages car notre amour nous accaparait pleinement.
Au lit, aucun tabou, je dois dire que la nature ne m’a pas oublié et si je ne rivalise pas entièrement avec un certain Rocco, je l’approche de peu.
Notre couple est très solide car nous ne nous cachons rien.
Souvent elle se fait draguer par des hommes que l’on connaît. Dès que nous nous retrouvons, elle m’explique tous les détails jusqu'à ou elle a laissé le jeu aller !
Début septembre, un homme l’a abordé dans la rue lui disant qu’elle le faisait bander. Elle lui a répondu qu’elle était très intéressée mais qu’un rendez-vous important l’empêchait de le suivre tout de suite.
Elle lui a donné rendez-vous le lendemain en début d’après-midi dans un café non loin du lieu où il l’avait abordé.
Nous étions de repos ce jour-là.
Je suis arrivé le premier et je devais découvrir lequel des clients l’attendait.
Le jeu était facile pour moi car un seul homme regardait sa montre en regardant la porte d’entrée.
J’étais au bar et lorsque j’ai repéré celui qui lui avait donné rendez-vous, je me suis installé sur la table voisine.
Antoinette est arrivée avec sur le dos un imperméable où je la savais nu dessous. Je l’avais déposé au bout de la rue quelques minutes avant.
Lorsqu’elle est entrée, le dragueur a fait un mouvement pour se lever et aller vers elle.
Elle l’a ignoré et est venue vers moi.
Je me suis levé pour l’accueillir et elle m’a donné un baiser qui m’a fait bander tellement il était profond.
Je voyais l’homme qui ne savait plus quoi faire.
Elle s’est assise et le bas de son imper s'est ouvert découvrant ses magnifiques jambes gainées dans des bas noirs retenus par des jarretelles.
La manière dont il était assis lui-même, le mettait dans l'axe de sa vulve entièrement passée au laser.
Je passais la tête dans son épaule ou sur sa bouche que je goûtais voracement.
À aucun moment, ni l’un ni l’autre ne le fixaient ne voulant pas nous dévoiler.
Dans un mouvement qui semblait naturel, Antoinette a fait ouvrir son impair et il a eu la vision de sa chatte.
Elle l’a refermé comme ci de rien n’était.
J’avais payé mon verre, nous nous sommes levés et nous avons rejoint la voiture que j’avais garée dans une petite rue adjacente.
Nous sommes montés à l’arrière pour avoir plus de place pour continuer notre jeu.
Deux solutions, il nous a suivis et nous n’allons pas tarder à le voir venir faire le voyeur, où il n’a pas suivi.
Dans tous les cas, je lui mettrais mon sexe dans la grotte.
La première était la bonne. Par la vitre arrière, je l’ai vu approché et se cacher derrière la voiture garée avant la nôtre.
Antoinette a enlevé son imper mettant à portée de mes mains ses seins que je sais très sensibles au moindre de mes attouchements.
— Chérie, acceptes-tu de tenter une chose que nous n’avons jamais faite ?
— Tes idées sont toujours géniales je te suis !
— La rue est une impasse et nous sommes entre les murs de deux usines, personne ne peut passer, je vais te prendre sur le capot de la voiture.
— D’accord, je vais te sucer pour que tu sois prêt à me la mettre.
J’ai enlevé mes affaires, je prends la précaution de placer la clef de contact pour partir ventre à terre en cas de problème.
Elle m’a pris en bouche et comme j’étais déjà presque en forme maximum, il nous a fallu quelques secondes pour être prêt à sortir.
Notre voyeur était toujours là.
— Vas-y bébé, tu te couches les seins sur le capot je viens derrière toi et je te baisse la chatte.
Elle sort le temps que je la contourne, elle se couche comme je lui ai demandé. Je passe une main sous son corps et j’attrape son sein pour bien la maintenir.
De l’autre je prends ma bite que je positionne. Lorsqu’elle est entrée légèrement, je prends l’autre sein et en tirant fortement sur la doublette, je la poignarde lui arrachant un cri de plaisir.
Son cri a certainement été entendu à quelques mètres. Je suis sur que de voir ma femme se faire enfiler sur le capot de notre voiture doit le faire bander.
Je sens que son vagin s’enflamme. Je ralentis puis j’accélère la pénétration. Je sens sa chatte couler sur ma verge. La crainte de nous faire prendre augmente notre plaisir.
D’un coup je sens que je ne vais pas résister. Je me retire, la retourne et l’assieds sur le capot.
Le temps de manœuvrer m’a permis de retarder ma sève qui a reflué dans mes bourses.
Je la reprends et je continue à lui remplir la vulve.
Je sens qu’elle va crier. Je lui prends la bouche et j’écrase les sons qui cherchent à sortir.
Je la sens qui explose et mes jets viennent fracasser sa grotte.
Nous sommes entièrement en osmoses. La peur de nous faire prendre pour attentat à la pudeur décuple les coulées d’adrénalines qui coulent le long de nos corps.
Je quitte la moule de ma femme.
— Je peux ?
L’homme est là, le pantalon ouvert et la queue à la main.
Depuis notre mariage, c’est la première fois que lors de nos jeux nous nous trouvons dans une situation imprévue pour nous.
À force de jouer avec le feu, un jour on se brûle.
Ce, « je peux » claque comme un coup de fusil.
Cette queue brandit vers la chatte d’Antoinette la menace.
Peut-on lui refuser quoi que ce soit sans risquer qu’il fasse un esclandre.
Je le regarde avancer sa main vers sa chatte d’où mon sperme coule.
Tout en se masturbant, il avance ses doigts qu’il finit par enfoncer dedans.
Il les fait aller de plus en plus vite.
Antoinette n’a pas l'air d’être insensible au traitement et commence à se tortiller sur le capot.
Pour la première fois depuis notre mariage une main autre que la mienne pénètre son intimité.
Loin de me déplaire, je bande de nouveau.
Il s’astique de plus en plus vite et il finit par envoyer son sperme sur le corps de mon épouse.
Son plaisir solitaire terminé, il range sa bitte et part en courant.
Nous nous retrouvons tous les deux seules dans cette impasse. Une nouvelle idée me vient, je n’ai pas profité entièrement du corps offert de mon épouse.
Je m’avance, la retourne et m’approche de sa rosette. J’ai le temps de voir son anus s’ouvrir et se fermer au moment ou je la pointe et ou mon sexe entré sans grande résistance la sodomie fait partie de nos jeux habituels.
Ma tige, malgré sa grosseur coulissée facilement dans son trou mais je sais qu’il ne faut pas que j’appuie trop, je n’ai jamais réussi à tout lui faire entrer.
Ses seins, sa chatte et son anus sont pour elle des terminaisons ultras sensibles que je sais amener au maximum du plaisir que je peux leur donner. Sur ce capot de voiture, dans cette situation insolite, nous jouissons fortement en même temps.
Lorsque je démarre la voiture, Antoinette vient poser sa tête sur mon épaule et quand je la regarde, ses yeux expriment tout l’amour qu’elle a pour moi.
Dans deux jours nous suivront nos amis sans savoir où nous irons.
L’inconnu ! Source de piment dans un couple.
L’inconnu ! Garant du maintien de la flamme qui ne risque pas de s’éteindre contrairement au couple tombant dans la routine.
Pour cette occasion, nous allons dans une boutique dans Paris pour acheter une robe et une tenue pour moi.
La robe rouge allant jusqu’au sol avec une fente sur le côté laissant apparaître sa jambe jusqu’à l’aine qu’elle essaye lui va comme un gant. La couleur fait ressortir ses cheveux bruns et ses yeux verts.
Un seul problème me saute aux yeux.
— Mon cœur, Tu es très belle dans cette robe, mais il y a un problème, ton string marqué à ta taille et est disgracieux.
Sans se départir de son flegme habituel, elle soulève la robe attrape sa petite culotte la descend et négligemment me l’envoie sur mon visage.
Je l’attrape et la passe sous mon nez.
— Ta chatte sent toujours aussi bon mon amour !
Je la glisse dans ma poche.
La serveuse jolie blonde avec ce qu’il faut là où il faut est cramoisie.
Antoinette remet ses affaires. Je repasserais demain pour récupérer la robe avec les quelques retouches faites.
Pour moi je trouve un smoking sans veste mais avec gilet et nœud papillon.
Le 31 vers 20 heures nos amis viennent nous chercher.
Odile porte un ensemble 1920 lui dégagent une grande partie de ses cuisses.
Alain véritable mafioso avec son Borsalino.
Il nous conduit dans la nuit sachant ou il va sans aucun problème.
Un porche avec une grille en fer forgé. Une grande allée est au bout des 200 mètres une grande maison. Pas un château mais une maison de maître d’un domaine comme il en existe des milliers dans toute la France.
Une soirée dans une résidence de ce genre ne doit pas être donnere surtout un soir de réveillon.
Dans le temps où nous rangeons la voiture aux côtés de cinq ou six autres, deux couples arrivent.
Je remarque la deuxième, magnifique petit bout de femme blonde avec une robe aussi subjective que celle d’Antoinette.
Odile et Alain les rejoignent et les embrasses.
— Thierry et Magali des amies de très longue date. Christian et Antoinette nos invités !
Les présentations faites au moment où nous nous dirigeons vers la porte d’entrée, je vois Alain passer sa main discrètement sur les fesses de Magali.
Elle le regarde et passe sa langue sur ses lèvres comme une femme c’est le faire pour aguicher un homme qui ne lui est pas indifférent.
La porte passée, un majordome récupère nos écharpes et nos manteaux.
Odile semble à l’aise dans ces lieux.
Elle nous dirige vers une porte où nous entrons pour découvrir une grande pièce qui sert de salle à manger.
Dans un coin, une table avec des amuse-gueule et des couples qui prennent l’apéritif.
Le champagne est la boisson principale et aussi des boissons sans alcool.
Les couples sont tous d’âge différant mais ils ont une classe certaine.
La pièce très spacieuse, où des tables sont disposées en rectangle entourant en leur centre un lit immense pouvant recevoir 5 à 6 personnes dans sa largeur.
Tout y est, les oreillers le couvre-lit. Je suis sur que si je l’enlève, j’y trouverais des draps et une couverture.
Une dizaine de couverts sons placés sur les tables. Nous serons une quarantaine de convives au réveillon surprise que j’espère surprenante.
À l'opposé du buffet, une tenture rouge semble être là pour nous interdire de franchir ce secteur.
Cette atmosphère feutrée est renforcée par une musique sortant de nulle part. Celui qui là conçu est un génie de l’acoustique, moi qui dois faire face à l’organisation d’attraction ou la partie sonore est primordiale. j’ai du mal à trouver de vrai professionnel.
Odile nous pilote au buffet et nous présente à tous les couples. J’essaye de retenir les prénoms des dames.
Martine, Elizabeth, Gladys, nous retrouvons Magali serré de prêt par Alain qui a gardé son chapeau qui lui donne l’air d’un maquereau essayant de faire tomber une jeune femme dans ses griffes pour finir par en faire l’une de ses gageuses.
Elle nous présente Antoine et Ghislaine l’un des couples âgés.
Lui très bel homme cheveux blancs et moustache blanche avec un smoking intégralement blanc. Elle, robe approchant celle de mon épouse avec un port de tête marquant le milieu que la dame doit fréquenter.
Antoinette suscite l’attrait de plusieurs hommes qui l’ont accaparé. Elle papillonne au milieu d’eux, un verre de jus de fruit à la main.
Je suis rassuré, l’alcool a un effet sur elle qui pourrait être gênant. Sous l’emprise de la boisson elle est capable de prendre le lit qui sert de décoration pour un vrai lit et monter dessus pour me faire un strip-tease dont elle a le secret.
Au début de mes souvenirs, j’ai dit qu’Odile et elle avait fait les quatre cents coups sans développer plus que cela. Les deux filles ont travaillé, depuis l’âge de 18 ans, dans le milieu de la nuit.
Elle faisait partie d’une revue dans l’un de nos grands cabarets. Pour arrondir leur fin de mois elle faisait un strip-tease ensemble dans une petite boîte lorsqu’elles n’apparaissaient pas dans l’un des tableaux.
Le plus drôle c’est que les patrons des deux cabarets n’ont jamais su qu’elles se produisaient dans les deux boîtes.
Tous les participants à la soirée semblent arriver.
L’apéritif semble échauffer les hommes et les femmes. Certains n’a pas peur de flirter ouvertement devant leur compagnon.
Je vois même un couple qui j’en suis sûr ne sont pas arrivés ensemble. La femme était déjà là lorsque Odile nous a présentés, partir discrètement derrière le rideau en se tenant la main.
J’ai envie de les suivre mais la bienséance m’arrête.
Antoine nous demande de prendre place autour de la table pour que le réveillon débute.
Les lumières s’éteignent et des serveurs en livrer entre avec des chandeliers qu’ils placent sur les tables. Deux d’entre eux en place quatre immenses à chaque pied du lit, l’éclairant d’une manière significative.
Antoine et sa femme viennent prendre place au milieu d’une des quatre tables, ils semblent présider.
— Odile et Alain, vous nous avez sollicité pour accepter au sein de notre confrérie pour fêter leurs 20 ans de mariage vos amis Christian et Antoinette, prenez place face à nous.
Nous nous installons et tous les autres s’installent suivant leurs affinités.
Discrètement le couple sort de derrière le rideau et retrouve leur place. Je ne me suis pas trompé. La femme rejoint un homme qui lui a gardé une place à l’un des bouts alors que l'autre s’installe à l’autre bout et embrasse son voisin.
Il est bizarre que pour un réveillon il n’y ait pas d’orchestre mais la sono me fait pensée que les musiques qui sont jouées ne sont pas démarré au hasard.
— Avant le début du repas, Odile toi qui anime nos rencontres vient au milieu du carré et présente nous le premier tableau.
Je suis fasciné parce que j’entends mais rapidement la panique me saisir.
Odile me quitte et entraîne Antoinette avec elle.
La musique que je connais bien démarre et une fraction de seconde Antoinette à l'air surprise.
Les deux filles commencent au pied du lit, un effeuillage très apprécié par tous les participants qui semblent apprécier le spectacle.
Antoinette ne met pas longtemps à se trouver nue, elle a fait durer le plaisir de nos yeux en dévoilant de petites parties de son corps avant de faire tomber sa robe.
Odile l’a imité et les deux femmes sautent sur le lit. Elle semble se découvrir et commence à danser face à face.
Notre copine épilée elle aussi avance sa vulve en avant imité par ma femme.
Je suis fasciné, pour la première fois je vois Antoinette toucher la chatte et même le corps d’une autre femme en ma présence.
D’un coup elle tourne la tête vers moi comme pour m’offrir leurs deux corps soudés.
Comment peut-elle être aussi impudique devant autant de personnes que nous ne connaissons pas ?
Ce que j’avais commencé à m’apercevoir se concrétise, nous sommes dans un réveillon surpris où tous sont échangistes.
Malgré la position inconfortable je vois à ses yeux ma grande atteindre son plaisir. Elles poussent un cri ensemble et s’effondrent sur le lit.
Lorsqu’elles reprennent leur place, Odile prend leur robe et va les poser sur la table à apéro qui a été débarrassé.
J’ai de chaque côté deux magnifiques femmes nues.
— Mon cœur, tu veux rester ? Nous sommes au sein d’un groupe échangiste !
— Je ne suis pas simplette et je l’ai constaté aussi.
— Tu serais prête à faire l’amour avec d’autres hommes que moi ?
— Si tu n’es pas loin de moi. Oui !
— Moi, me vois-tu sur ce lit avec une autre ?
— J’adorerais, je suis sur qu’aucun des hommes présents ne peut rivaliser avec ta virilité.
Ces mots suffisent à emporter ma décision. Faire voir à tout le monde que je suis monté comme un taureau, quel mâle n’en rêve pas.
Pour concrétiser ma décision, la musique joue un slow et je vois Ghislaine contourner la table et venir m’inviter à danser.
Cette femme comme je l’ai dit à une classe folle bien qu’elle soit une femme mature.
Je ne peux refuser et je me lève.
Je bande encore du spectacle que mes deux coquines et dès que je lui mets la main au creux des reins, elle ne peut ignorer le phénomène.
— Christian, je vous fais déjà autant d’effets ?
La coquine elle profite de la situation. Le slow se poursuit et si cette beauté ne m’avait pas fait d’effet, je pense que ma tension serait retombée naturellement.
Lorsqu’elle me tend ses lèvres c’est naturellement que j’accepte de l’embrasser.
Alors que notre baiser est très profond, je vois Antoinette danser avec un homme qui lui aussi lui met un morceau dans la bouche.
J’ai le temps de le voir, la tirer par la main et l’entraîner derrière le rideau.
Une fraction de seconde, l’envie de partir la suivre pour l’arrêter quand je sens ma partenaire m’entraîner vers le lit géant.
— Viens me faire l’amour, bel étalon.
Près du lit elle se baisse ouvre mon pantalon et sans hésitation elle me place au fond de sa gorge.
Elle me pompe en femme très habituée à faire ce plaisir aux hommes.
Combien parmi ceux qui sont là ce soir a refusé de se faire pomper, par celle qui semble être la femme du maître de ce groupe de libertins ?
Au fur et à mesure que les couples qui se sont formés et dont une grande partie est nue, me regardent être près de monter sur le lit, s’arrêtent pour nous regarder.
Nous sommes pour quelques minutes le centre de la fête.
Une fraction de seconde je regrette qu’Antoinette ne soit pas là. Elle est certainement trop occupée par la tige que ce monsieur espérait lui mettre dans le vagin lorsqu’ils ont franchi la zone que je ne connais pas encore.
Je suis sur que demain seule chez nous, elle me relatera dans les moindres détails la manière dont les choses se sont passés. Je la prendrais deux fois plus forte pour me faire pardonner de ne pas avoir été là à ce moment crucial pour notre couple.
En attendant, je bande et celle qui va en profiter est bien à genoux devant moi. Elle a réussi à me faire, à nous faire une gorge profonde qu’Antoinette a vainement essayé de me faire depuis 20 ans.
Je relève la dame et en lui reprenant la bouche, je défais la boucle, qui doit valoir un paquet d’euros, et ainsi faire tomber la robe qui la recouvre encore.
Elle m’enlève ma chemise et prestement j’arrive à enlever chaussures et chaussette.
Au moment de la faire monter sur le lit, je vois Antoine regarder la scène très attentionnée. Lorsque je m’aperçois qu’une personne que je ne vois pas, car elle est cachée par la table, doit le sucer. Je reprends mes esprits et je n’ai plus aucun remords à honorer sa dame.
— Comment aimes-tu être prise ?
— Pour la première fois laisse-moi me mettre en levrette et prend moi ma chatte.
En me disant cela elle me donne un léger baiser.
— Prends-moi comme j’aime, ne me ménage pas !
Dès qu’elle s’est positionnée, je lui plante mon sexe dans la vulve sans l’avoir travaillé préalablement.
— Un Oh ! De surprise par la puissance de mon attaque sort de sa bouche.
Dans son oreille je lui glisse.
— Comme çà tu as aimé ?
— Continu laboure-moi, je n’en ai jamais senti d’aussi grosse de ma vie amoureuse, que je n’ai pas commencée hier.
À partir de ce moment le temps n’est plus à la parole mais aux actes. Je la laboure avec des grands coups qu’elle apprécie de plus en plus. Au moment où je sens une boule montée dans son ventre, elle fait manœuvrer ses muscles internes et m’aspire vers le fond de sa grotte.
Jeunes, vieille, mature il n’y a plus sur ce lit que deux sexes qui sont prêts à éclater.
Nous le faisons en harmonie complète, la jouissance à la seconde prête dans un couple est très rare.
Si l’homme est à la hauteur il fera toujours jouir sa femelle avant de jouir lui-même.
Une salve d’applaudissements ponctue nos ébats.
Ma partenaire s’affaisse sur le lit les fesses en l’air. Je sors de sa chatte et m’assieds au bord du lit pour reprendre mes esprits.
Au milieu de ceux qui applaudissent, Antoinette est là. Son regard plein d’amour me fait comprendre que notre couple vient de prendre un virage qui nous promet des jouissances de tous les instants.
Sans s’en rendre compte, Alain et Odile en cadeaux de nos 20 ans de mariage viennent de nous offrir un monde nouveau à explorer. La garce, elle me regarde appuyée sur l’épaule de sa copine en me regardant en passant sa langue sur ses lèvres.
Il est vrai que depuis que je connais Odile, il ne m’a jamais venu à l’esprit qu’elle avait épousé un libertin qui l’avait dirigé vers ce monde que nous ne connaissions pas.
Ghislaine a repris, elle aussi ses esprits, elle descend du lit et me prend la main.
Nous passons dans une pièce adjacente où tout est prévu pour remettre nos corps propres.
Ces ablutions terminées, nous revenons dans la salle ou le début du repas nous est servi.
Le menu du réveillon est à la hauteur du cadre, de l’organisation de nos jeux sexuels.
— Odile, tu viendras que je te tire les oreilles, tu nous as bien eus, pourquoi ne nous as-tu rien dit sur cette vie que tu sembles beaucoup apprécié.
— Non, je mérite la fessée !
— J’ai horreur de la violence dans le sexe !
— Donné la fesser peut-être source de plaisir, maintenant que vous avez enfin franchi le pas du libertinage, dans les prochaines semaines je vous ferais découvrir des plaisirs que vous ne soupçonnez même pas.
— Comment as-tu commencé ?
— C’est à cause de toi que je me suis plongé dans ce monde. Tu n’aies pas sans savoir qu’avec ta femme, nous faisions le numéro d’effeuillage que j’ai eu le plaisir de refaire avec elle tout à l’heure. Lorsqu’elle t’a rencontré et que tu l’as épousé, ma vie s'est trouvée déstabilisée.
J’ai commencé à fréquenter des boîtes toutes plus glauques les unes que les autres.
J’aurais pu finir dans la prostitution certains maquereaux commençaient à tourner autour de moi lorsque j’ai rencontré Antoine notre maître qui cherchait une fille n’ayant pas froids aux yeux.
J’organise la vie et les soirées de notre confrérie des 40. Les premières années je faisais ce travail avec un homme qui me servait de partenaire.
Au fil du temps, j’ai rencontré Alain lors d’une de nos soirées et pour la première fois mon cœur s'est mis à battre. Il faisait partie du groupe avec sa femme. Un jour elle la quitte pour suivre un Américain aux USA.
Chaque soirée organisée, Alain s’arrangeait pour me faire l’amour.
Lorsqu’il a souhaité m’épouser, j’ai rencontré Antoine et Ghislaine leur signifiant que je ne voulais plus travailler avec mon partenaire.
Ils ont compris et lui ont fait une proposition, c’est lui qui ce soir gère le personnel qui nous sert ce soir.
Il vient de se marier et sa femme bien qu’elle comprenne les libertins n’acceptent pas notre liberté sexuelle. David et Adeline sa femme ont un salaire qui a fait lever tous les scrupules de la jeune femme.
Maintenant nous gérons ensemble.
Nous venons de finir le plat principal lorsque Thierry le mari de Magali vient l’inviter.
Elle va pour le suivre lorsque je lui prends le bras.
— Je suis d’accord que ma femme vienne avec toi mais va me chercher Magali, j’aimerais que nous soyons en couple pour nous retrouver.
— Viens, aucun problème, elle vient de me dire qu’elle avait envie de toi après ce que tu as montré avec notre présidente.
Nous nous levons, nous récupérons Magali qui vient directement m’embrasser.
— Merci, j’ai envie de toi !
— Pour vous servir mademoiselle !
Pour la première fois je passe le rideau. Derrière, une porte mène sur un couloir. Des chambres sont là pour nous accueillir.
Magali nous donne le code.
Porte fermée, défense d’entrer, les personnes ne souhaitent pas être dérangées.
Porte ouverte avec des personnes dedans invitation à venir participer.
Porte ouverte comme celle devant laquelle nous passons libres à nous de nous amuser.
Nous entrons et Magali ferme la porte.
Comme une gazelle elle saute sur un lit de deux mètres mais couvert de peluches !
Les murs sont couverts de photos de chanteurs ou acteurs connus comme le sont les chambres de jeunes filles.
— Chaque chambre a un thème et nous sommes dans celle d’une jeune fille attendant le prince charmant.
Je rejoins Magali sur le lit, elle plonge directement sur ma bite qu’elle a envie de faire développer pour se l’introduire dans son sexe voir son anus.
Je la laisse faire mais je passe ma main à la fourche de ses cuisses et je plonge trois doigts dans sa grotte.
Pour mouiller, elle mouille, mes doigts que je sors sont trempés par ses sécrétions.
Je lui présente et elle se met à les sucer. Je recommence l’opération plusieurs fois.
À un moment quand elle suce un côté, je suce l’autre, son goût est très agréable légèrement poivré.
Pendant ce temps, Thierry s'est assis sur une chaise et juste au moment où je regarde, elle vient s’asseoir sur sa queue. Là encore soirée fantastique pour moi, pour la première fois je vois la queue d’un homme entré dans la vulve de ma femme.
Rapidement, elle monte et elle descend sur la verge qui la pénètre. Elle apprécie car elle commence à envoyer dans la pièce des râles de son plaisir.
Magali s’allonge et me tend les bras pour me saisir la verge. Je la plonge dans sa bouche. Elle me suce et rapidement je bande.
Je me couche entre ses jambes et je la pénètre doucement. Avant mon mariage, toutes les jeunes femmes que j’aie honoré dont certaines étaient pucelles, étaient surprise par mon volume.
La position que Magali a prise-me fruste. Même en tournant la tête, je ne vois pas ma femme se faire enfiler.
Je saisis ma partenaire et la bascule sur moi. Un instant déstabilisé, ma partenaire se récupère et au chant qu’elle entonne, le poids de son corps doit lui faire remonter ma bite jusqu’à toucher l’entrée de son utérus.
Antoinette doit sentir que je veux mieux la voir. Elle sort la tige de son vagin et viens se positionner en levrette sur le lit.
Avant que Thierry la reprenne, elle se penche et me donne sa bouche.
— Je peux ?
Thierry alors qu’il vient de se positionner veut certainement la sodomiser. En homme bien élevé, il demande à la dame si son fondement est à sa disposition.
En écarte légèrement sa bouche de la mienne, dans un souffle.
— Oui !
Avant de recommencer à faire tourner sa langue autour de la mienne.
Je lâche la hanche de Magali pour remonter ma main sous le ventre de mon épouse.
Je veux lui mettre mes doigts dans la chatte.
La place est déjà prise, Magali a déjà placé deux doigts dans sa fente.
Je sens qu’elle se place pour me faire de la place. Antoinette apprécie cette prise multiple de sa chatte et de son cul car je vois ses yeux virer.
Comme à une bouée, sa bouche se plaque à la mienne et jusqu'à l’éclatement de tout son corps elle ne se sépare pas de la mienne.
Je suis fasciné par ma femme qui vient de jouir. Je n’en oublie pas pour autant ma partenaire qui continue à monter et descendre le long de ma verge.
Elle se soulève enlève ma verge de sa minette et la positionne sur sa rosette. Elle ne me demande même pas mon accord et se laisse pénétrer jusqu’à ce que ses fesses viennent toucher mon ventre.
Je ne vois pas les yeux de la dame mais chaque fois qu’elle ressort ma bite et retombe ses petits cris sont de plus en plus prononcés.
Je fais remonter ma main libre sur le bouton de Magali. Je l’enlève car la place est prise par le mari.
Nos femmes sont ainsi honorées comme les belles pouliches que nous avons le bonheur d’avoir épousé.
Thierry est le premier à emplir le cul de ma petite qui chante son plaisir.
Je ne reste pas en retrait et moi aussi j’envoie qu’elle gicle à Magali qui nous fait savoir par ses cris qu’elle les reçoit avec plaisir surtout que nos doigts sont imbibées de la cyprine que sa chatte expulse.
Un petit temps de récupération, un passage à la douche présentez dans chaque chambre et nous quittons la chambre de jeunes filles avec nos deux compagnes qui ont depuis longtemps quitté la leur.
Il était temps de revenir pour le décompte de la fin d’année. Nos ébats tellement nouveaux pour Antoinette et moi nous ont fait oublier l’heure.
Cinq, quatre, trois, deux, un, zéro !
BONNE ANNEE !
Je prends Antoinette dans mes bras. Nos bouches se retrouvent pour la première fois en 2015.
Elle se colle tellement à mon corps que ma bite vient en contact avec son intimité. Malgré la partie fine que nous venons de terminer, elle repart à la hausse et je suis prêt à la prendre. Je l’empoigne sous les fesses pendant qu’elle entoure mon cou, je la soulève jusqu’à mon pieu qui vient naturellement reprendre sa place au fond de son vagin.
Je suis content que ma femme reçoive ma bite le premier pour la nouvelle année.
La fin 2014 c’est terminé par notre propulsion dans le monde du sexe libertin, 2015 commence de façon classique tout en sachant que notre nouveau monde va nous rattraper bien vite.
Autour de nous, tout le monde s’embrasse. Je m’avance jusqu’à la table ou je pose les fesses d’Antoinette.
Je continue à la labourer pendant qu’une à une, les femmes qui n’ont pas le vagin investi par un sexe, viennent nous embrasser.
Certaines, que je ne connais pas m’embrasse et me dise « à tout à l’heure »
Elles sont devenues folles, une quarantaine de couples 20 femmes, si je les suis, au matin je suis mort !
Bref, Antoinette jouit grâce à ma queue pour la première fois de l’année. Je l’aide à se relever et nous retournons à nos places car les serveurs vont nous servir le dessert.
La musique change et quatre d’entre eux apporte le gâteau.
C’est la réplique du lit qui semble être leur emblème.
Alors que le cuisinier vient le découper, des coupes de champagne nous sont servies.
Odile prend une coupe de champagne sans alcool, elle prend le volant pour le retour.
Cette pause dessert nous permet de recharger les batteries. Ma verge a eu sa dose de sexe tout au long de la soirée.
Antoine se lève. Il est le seul à être resté habillé.
— Chères amies, je lève mon verre à l’année 2015 que vous avez très bien commencé. Je voudrais remercier les personnes qui se sont occupés de notre bien-être. Je ne vais pas être plus long et vous réitère mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Odile, a toi de nous surprendre avec nos nouveaux amis échangistes.
Odile se lève, m’entraîne vers le lit ainsi qu’Alain avec Antoinette.Odile commence à me sucer pendant que ma femme suce Alain. Malgré la fatigue, j’arrive à avoir une dernière érection.
Pour la première fois depuis que je la connais, je me rends contre que je vais pénétrer la chatte de notre copine.
Pendant plusieurs années, nous sommes parties en vacances avec elle. Nous étions dans la même villa à Mimizan. À part ses seins qu’elle me montrait régulièrement sur la plage ou sur la terrasse lors de nos siestes, jamais l’idée de la baiser ne m’a effleuré.
Au début de soirée, lorsqu’elle a fait son numéro avec Antoinette, c’était la première fois qu’elle me faisait bander.
La prendre sur ce grand lit devant tous ces gens, en regardant Antoinette faire de même avec son mari me faisait triquer assez pour que dès qu’Odile est montée et à écarter les cuisses mon poignard vienne la transpercer sans aucun problème.
Antoinette malgré le mal qu’elle se donne, arrive à ce qu’Alain nous montre une demi-érection. Ne se démontant pas, elle se lève et fait le tour de la table. Elle vient s’agenouiller devant le maître, lui sortir la queue et la sucer jusqu’au moment où je la voie déglutir le sperme qu’il vient de lui envoyer au fond de la gorge.
Odile et moi restons les seuls à baiser dans cette salle.
Pour que tout le monde profite de notre coït, je me laisse aller sur le dos et tous ceux qui sont du bon côté de la table peuvent voir ma queue tendue aller et venir dans son vagin.
Certain pour mieux voir, se déplacent et ce groupe de personnes qui nous mate amplifie mon envie de baiser.
Je n’aurais jamais pensé que j’étais un exhibitionniste !Odile doit être comme moi et aimer se montrer aux autres, ses cris de plaisir sont les seuls à s’entendre dans la salle. Lorsque j’éjacule, enfin il faut être raisonnable, lorsque je lui envoie trois petites gouttes de spermes dans sa grotte, les applaudissements de tous les convives. Même le Maître et la maîtresse de la confrérie des 40 sont debout pour applaudir.
— Une fois de plus Odile a été à la hauteur de sa réputation dans groupe. Je dois dire qu’aujourd’hui Christian et Antoinette s’il le désire ont définitivement rejoint notre assemblée.
Vous recevrez prochainement la date et le lieu de notre prochaine soirée et je n’oublie pas le renouvellement à notre confrérie nouvelle année oblige.
La seule bonne nouvelle que je peux vous dire à ce sujet c’est que nos comptes sont en équilibre et qu’il n’y aura pas d’augmentation.
Dernières choses, faite très attention sur la route, ceux qui ne se sentent pas en état de conduire peuvent rester dans les chambres mais être parties avant midi. Encore bonne année à tous.
Après nous sommes douchés et habillés, Odile prend le volant pour nous raccompagner chez nous.
La manière dont Antoinette me prend la bouche avant de s’endormir me fait penser que notre couple même s'il a évolué, est sorti intact de ce « réveillon surprise »
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