brenda 2 - histoire érotique

Bien qu'ils aient un certain âge, Louise et Charles initient Brenda. Il faut dire que les deux sexuellement sont très performants. Ils sont ravis, car la coquine est bonne élève. Maintenant, il faut passer à l'étape supérieure, Brenda doit tester la sodomie. Souvent, elle a vu Charles sodomiser Louise, et la voir jouir aussi fort, cela la tente. Sous les conseils de Louise, Brenda se rend à la salle de bain suivie de Louise. Et là commence le toilettage anal le plus complet. Une fois terminé, l'initiatrice, excitée, en profite. Elle bascule Brenda sur l'épais tapis de bain et se place entre ses cuisses. Le broutage est fantastique, les râles de Brenda sont sonores.

La chatte de la coquine est en feu, elle agite son bassin comme une forcenée pour que la langue de Louise la fouille plus profondément. Charles, en entendant les gémissements, entre dans la salle de bain. Il voit les deux amantes sur le sol, Brenda, jambes largement écartées, et sa femme, tête plongée entre ses cuisses, qui lui dévore la chatte. Rapidement, la verge de Charles entre en érection. Il se presse la verge plusieurs fois à travers son pantalon pour atténuer le flux sanguin qui gonfle le mât plein de vie.

Brenda se cambre et explose de jouissance, en poussant un long gémissement. Charles aux premières loges, tout excité :

— Ma chérie, assouplit l'anus de notre Brenda d'amour, je suis en pleine forme, je vais lui ouvrir le cul !

— Oui mon chéri, je vais faire ce qu'il faut pour lui assouplir l'anus, viens sur le banc Brenda et présente-moi ta croupe !


Brenda prend la pose. Pour avoir accès à sa fleur, Louise lui écarte les fesses le plus possible. Lorsque la bouche de son amante se plaque sur sa pastille brune, Brenda se cambre. Comme une vorace, Louise l'aspire, le lèche de longues minutes, et parvient à la pénétrer après de multiples tentatives. La langue s'enfonce de quelques centimètres dans l'anus qui devient moins récalcitrant. Ce nouvel attouchement fait gémir Brenda, elle cambre davantage sa croupe pour faciliter l'accès à son anus. Elle agite doucement son bassin en gémissant. L'intruse fouille du mieux qu'elle peut l'antre de Sodome, en arrachant à la soumise des plaintes de bête blessée.

Louise se redresse, crache sur l'anus de Brenda, et lentement lui enfonce son majeur dans le rectum. Un petit oh de surprise sort de la gorge de Brenda. Le visiteur disparait comme aspiré par l'anus. Avec douceur, Louise commence un petit ramonage, le doigt fait aussi des rotations en voyageant dans le conduit anal. Les mouvements continuels arrachent à Brenda de petits gémissements approbateurs. Louise, en souriant, dit :

— Mon chéri, tu vas te régaler, son cul est bien serré. Vas-y, elle est prête à recevoir ton pieu !

Charles retire son pantalon et son slip, il se place derrière Brenda et appuie son membre contre le muscle rectal. Il saisit le haut des cuisses de sa proie et pousse. Brenda grimace, serre les dents, l'anneau ne peut résister longtemps, il cède et avale petit à petit la verge puissante. Un long gémissement sort de la gorge de Brenda pendant toute la pénétration. Une moue affreuse déforme son visage. Charles dit :

— Oh putain, oui, elle est vachement étroite, ma bite est serrée comme dans un étau, c'est magnifique ma chérie, regarde comme je lui ouvre bien le cul !

Louise souriante se penche pour mieux voir et dit :

— Bourre-bourre-la bien mon chéri, fais-la jouir du cul !

Le va-et-vient du début devient plus rapide, Brenda dilatée terriblement, souffle comme un dragon. Mais au fur et à mesure, elle s'habitue au pal qui lui fore le cul. Elle y prend même du plaisir :

— Louise, Louise, c'est monstrueux ce que je ressens, mon Dieu, je vais jouir !

Louise demande à son mari :

— Vas-y, vas-y Charles, déglingue-la à fond, tape fort, tape, fais-la hurler !

Le gland large et épais, qui racle les parois de la gaine étroite, fait gémir Brenda. Elle se cambre, pousse un hurlement et jouit pour la première fois du cul. Charles ne se retire que lorsqu'il lui a rempli l'intestin de sperme. Brenda, en gémissant :

— Ouah comme c'est démentiel, je comprends pourquoi tu aimes ça Louise. Bien que la pénétration soit douloureuse, c'est merveilleux, Charles, tu m'as bien éclaté, fais-moi jouir encore du cul !


Charles reprend pendant quelques minutes le pilonnage, et offre à Brenda une deuxième jouissance anale, Louise est heureuse de voir sa protégée jouir aussi intensément. Elle dit en faisant un large sourire :

— Charles mon chéri, il est temps de la présenter à nos amis !

Durant plusieurs jours, Charles se concentre sur le cul de Brenda, il veut bien l'ouvrir, car les amis auxquels il pense sont puissamment membrés. Il veut que Brenda puisse subir les mêmes pénétrations que sa femme, qui est habituée aux membres énormes, et qui ne peut plus s'en passer. C'est le jour J, Brenda en peignoir ne tient plus en place, elle est nerveuse, fait les cent pas. Bien que Louise la rassure, rien n'y fait, elle stresse. Soudain, Louise la bascule sur le banc, lui ouvre le peignoir et la branle sauvagement. Brenda agite son bassin en marmonnant :

— Oui, oui Louise, c'est bon, continue !

Louise souriante comprend que Brenda est devenue une sacrée chaudasse, la coquine à tout à fait pour qu'elle le soit, elle avait promis de faire d'elle une bonne salope, le pari est presque gagné. Elle lui branle le clito, l'écrase puis se penche et l'aspire. Brenda se cabre comme un cheval qui rue, elle gémit fortement. Avec sa bouche, son amante lui donne une jouissance incroyable, juste avant l'arrivée des invités. Lorsqu'ils entrent, Brenda est toujours étendue sur le banc, haletante comme une sprinteuse en fin de course, avec entre ses cuisses la tête de Louise, qui se redresse et, en souriant, salue ses amis, elle dit :

— Je n'ai pu m'en empêcher, elle est trop bonne !


Charles présente ses invités : François, un black, c'est une armoire à glace, et Alban, il est trapu, taillé comme un bucheron. Les deux regardent le corps de Brenda, et rapidement se mettent nus. Brenda est chargée de faire dresser les queues des invités. Elle s'assoit sur le banc en ne quittant pas des yeux les membres, même au repos, ils paraissent redoutables. Timidement, ses mains moites les saisissent, et les agitent. De temps en temps, elle donne des coups de langue sur les glands impressionnants, la coquine a bien appris sa leçon. Louise est fière de son élève, qui à tour de rôle suce les membres qui deviennent très vite opérationnels. Le peignoir de Brenda est vite sur le sol, François la bascule sur le banc et se place entre ses cuisses, et lentement, lui enfonce sa queue dans le ventre. Bien que le membre soit énorme, Brenda pousse de petits gémissements pendant la pénétration. Dilatée fortement par une queue hors norme, elle subit le ramonage avec courage.

La bite racle fermement les parois du vagin, en arrachant à Brenda des gémissements rauques et prolongés. Alban lui malaxe les seins, joue avec les mamelons, il les roule entre ses doigts, les étire, les écrase avant de les prendre en bouche et de les sucer à tour de rôle. À chaque coup de reins, Brenda pousse un râle. Plus cela devient rapide, plus elle gémit en s'accrochant à son amant. Elle donne, elle aussi, des coups de reins violents. Louis dit en souriant :

— Oui ma chérie, empale-toi bien sur la bonne queue de François !

Brenda s'agrippe à son amant en gémissant de plus en plus fort, la bite puissante voyage dans son corps en la faisant couiner comme un animal. Elle se cabre et, en hurlant, explose de jouissance. C'est à ce moment-là qu'Alban lui écrase les mamelons, l'effet produit est terrible, une seconde jouissance fait hurler Brenda, qui retombe lourdement sur le banc. François, lui, remplit le ventre de sperme puis se retire. Louise regarde la chatte béante rejeter le surplus de semence. Alban choisit l'anus, il enfonce sa verge dans le conduit qui a été longuement travaillé par Charles depuis des jours, il accepte sans trop de résistance la queue monstrueuse. La sodomie est violente, les gémissements de Brenda prouvent qu'elle y prend beaucoup de plaisir. L'enculage dure de longues minutes, Brenda ne cesse de répéter :

— Oh putain, je vais jouir, oui, oui, ça vient. !

Une jouissance anale terrible fait hurler Brenda, avant qu'Alban ne lui remplisse le cul de sperme, et ne se retire de son corps.

Louise aide Brenda à se lever, Alban prend sa place sur le banc et invite Brenda à venir s'empaler sur sa queue. On doit aider Brenda, car les pénétrations ont été monstrueuses. Péniblement, elle enjambe Alban, c'est Louise qui dirige sa queue vers la chatte de sa protégée. Une fois que le gland est engagé dans la chatte, Louis pèse de tout son poids sur les épaules de Brenda pour qu'elle soit empalée au maximum. Brenda pousse un gémissement qui ressemble à celui d'une agonisante. Elle se plaque contre le torse de son amant, et attend la verge de François pour subir sa première double pénétration. Elle ne se fait pas attendre, lentement, il lui enfonce son mandrin dans le cul et pousse jusqu'à ce que ses couilles frappent les fesses de la soumise. Brenda a des larmes qui lui coulent sur les joues, elle dit en cherchant du regard Louise :

— Louise, Louise, regarde, j'ai deux queues dans le corps en même temps, c'est diabolique ce que je ressens !

Louise répond :

— Louise, Louise, regarde, j'ai deux queues dans le corps en même temps, c'est diabolique ce que je ressens, mon Dieu, je meurs !

Louise répond :

— C'est magnifique ma chérie, maintenant tu vas exploser de jouissance. Messieurs, éclatez-la à fond, il faut bien lui faire sentir vos queues dans le corps, agissez comme avec moi, faites-la gueuler et jouir comme une dingue !

Avec une synchronisation parfaite, les deux hommes, avec art, démontent Brenda qui ne cesse de gémir sous les assauts répétés de ses amants. Les queues voyagent dans son corps en lui arrachant des grognements de bêtes blessées. Une première jouissance la fait hurler, son corps se tend comme un arc qui va décocher sa flèche.
Les deux verges ressortent en même temps des orifices très dilatés, pour se replanter brutalement au plus profond. Brenda pousse un hurlement terrible et jouit une seconde fois. Louise regarde émerveillée le spectacle :

— Ouah mes chéris comme vous la défoncez bien, elle doit encore jouir, et je compte sur vous, allez-y !

C'est avec rage que les deux hommes font jouir Brenda plusieurs fois. Elle gémit, ses yeux sont révulsés, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres, une moue affreuse déforme son visage, elle est au bord de la syncope. Les deux, enfin lui remplissent les entrailles de leur sperme épais. François se retire, fier de son exploit, il regarde le trou béant. Louise aide Brenda à descendre de sa monture, elle est sans force, et titube jusqu'au canapé, elle se laisse tomber dessus. Louise prend place à ses côtés et l'enlace. Elle l'embrasse fougueusement, le baiser dure de longues minutes, avant de cesser.

Brenda, en haletant, dit :

— Louise, ce que je viens de vivre restera gravé dans ma mémoire, et ça je le dois à Charles et à toi !

Louise, en lui donnant une multitude de baisers sur le visage, répond :

— Je suis fière de toi ma chérie, tu viens de recevoir dans le corps des verges monstrueuses, tu es digne d'être une grosse salope, autant que moi ma chérie !