Brenda

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Brenda Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Brenda
Tendre Brenda



Brenda, depuis sa plus tendre enfance, vit en communauté, c'est-à-dire plutôt une secte. Le gourou, seul maitre du village, déflorait les jeunes filles dès leur majorité. Ce n'était que pour la procréation que l'acte sexuel était autorisé. Le plaisir pour les femmes était interdit. les masturbations étaient proscrites. Celles qui, par malheur, jouissaient, étaient sévèrement punies sur la place du village devant tous le monde. La femme devait juste ouvrir les jambes et reçoit dans le ventre la verge tendus de son mari. Elle ne pouvait même pas la toucher, juste la prendre dans le ventre pour que l'homme y déverse sa semence. Tous respectaient cette règle, instauré par le vieux gourou.
les femmes ignoraient jouissances solitaires, et n'en ressentaient même pas le besoin.

Un jour, un homme dénonce sa femme pour jouissance pendant l'acte. Elle est amenée de force sur la place, on lui arrache ses vêtements et l'attache à une croix de saint André. Aux ordres du gourou, le mari est responsable de la punir lui-même. Il la frappe jusqu'au sang, le sadique prend un malin plaisir à lui donner des coups violents sur le corps. Il est tellement excité qu'il décharge dans son pantalon.

Les coups sont si violents, que la femme s'évanouie, on la transporte chez elle dans un état comateux, et que cela serve de leçon aux femmes jouisseuses. Brenda à maintenant 33 ans, son papa la mari avec un vieux cousin, elle ne peut refuser la volonté paternelle. Le soir de ses noce, c'est la deuxième fois de sa vie, qu'elle prend une verge dans le ventre. Le Cousin comme prévu, ne cherche qu'à lui remplir le ventre de sperme. Pendant la copulation la tension monte dans son corps, elle ressent quelque chose d'étrange l'envahir. Mais la tension qui monte doucement en elle, est vite arrêtée par la giclée que lui envoie le cousin. Rapidement, il se retire et l'affaire faite, il remballe sa queue gluante dans son pantalon.


Brenda se demande ce que c'était que cette chose étrange qui montait doucement en elle et qui commençait agréablement à lui chauffer le ventre. Elle ne le saura peut-être jamais. Elle assiste plusieurs fois aux punitions de femmes qui, trop longtemps pilonnées par leurs maris, jouissaient. Elle en a assez de ses cruautés gratuites qui ne faisaient plaisir qu'au gourou et aux maris mouchards, qui jouissaient de voir leurs femmes crier sous les coups de fouet. Elle décide de fuir le village. Un soir, lorsque tout le monde est couché, avec une valise à la main, elle s'éloigne du village. Elle fait quelques kilomètres à pieds, avant qu'une voiture ne s'arrête pour la prendre en stop.

Après plusieurs heures de route et de nombreux changements de voitures, elle se retrouve à l'autre bout du pays. Très rapidement, elle trouve un emplois d'employée de maison chez un couple de notables, Louise et Charles. Elle a sa chambre et prend les repas avec eux. Très courageuse, ses patrons sont satisfaits d'elle. Au fil des jours, les liens se resserrent, les deux personnes d'un certain âge la considèrent comme un membre de la famille. Un soir, pendant le dîner, Brenda se confie à eux. Elle leur parle du gourou et des obligations que le vieil homme infligeait aux membres de la secte et que tous, en soumission totale, acceptaient sans rechigner.

Les révélations de Brenda font frémir Louise, qui ose demander en se raclant fortement la gorge :

— Tu, tu, n'as jamais joui de ta vie ?

Honteusement, en baissant la tête, Brenda répond un peu gênée :

— Hum, non, je ne sais pas ce que c'est que jouir ?

Louise en écarquillant les yeux demande :

— Et ton mari, il ne faisait pas jouir ?

Très embarrassée, comme si c'était une tare de n'avoir jamais joui, Brenda ajoute :

— Non, une fois qu'il avait joui, il se retirait sans demander son reste !

Charles a les yeux s'illuminent, et demande en ravalant sa salive :

— Tu aimerais connaitre les plaisirs du sexe ma chérie ?

Brenda, très embarrassée, répond :

— Ben, ben, oui, j'aimerais connaitre tout ce que l'on m'a interdit sur le sexe ?

Louise intervient et en souriant dit :

— Si tu le souhaites, Charles et moi-même, nous pouvons te faire connaitre tous les plaisirs du sexe. Tu sais, nous ne sommes pas toujours très sages, lui et moi !

Brenda écarquille les yeux, bien qu'ils soient plus âgés que ses parents. En rosissant, elle répondit :

— Oui, je veux bien !

Un sourire radieux illumine le vidage de Louise, elle dit :

— Prenons une douche et retrouvons-nous au petit salon !

Une fois la douche prise, les trois complices se retrouvent au salon. Leur corps est couvert d'un épais peignoir de bain. Louise s'assoit dans un profond fauteuil et Brenda sur le canapé. Charles reste debout face aux deux femmes. Louise prend la direction des opérations :

— Mon chéri, fait tomber ton peignoir et montre à notre amie tes attributs de mâle !

Charles obéit à sa femme et fait tomber le peignoir. Brenda regarde la verge qui pend lamentablement sur le bas-ventre de son employeur. Louise dit :

— Prends-la dans ta main et agite-la, fais-la bien grossir pour qu'elle soit opérationnelle !


Timidement, Brenda saisit le membre mou, le triture un petit moment avant de l'agiter. Louise souriante :

— Oui, ma chérie, vas-y, continue, ma chérie, regarde comme elle prend du volume, oh, mais tu t'y prends bien, vas-y, vas-y, branle, branle !

Plus Brenda agite le membre, plus il devient dur. C'est la première fois qu'elle tient une bite dans la main, et cela la rend plus volontaire. Charles serre les dents, il regarde sa femme qui intervient :

— Non, Charles, ne jouis pas tout de suite, je vais montrer à Brenda comment faire une fellation, viens près de moi !

Brenda lâche la verge tendue, mais ne quitte pas les yeux. Louise la saisit d'une main, la décalotte à fond et dit :

— Regarde le beau champignon que Charles cache, ma chérie, je vais le sucer, et toi, tu devras le faire aussi !

Louis donne des coups de langue sur le gland, taquine le frein et gobe le cèpe. Brenda écarquille les yeux, elle est fascinée par ce qu'elle voit. Les succions terribles que fait Louise sur le gland sont très bruyantes. Elle rejette le gland et dit :

— À toi, ma chérie, vas-y, vas-y, tu verras comme c'est délicieux de sucer une bonne bite !

Brenda décalotte le gland et le regarde un long moment, le bougre semble énorme. Enfin, elle se décide et commence timidement à donner des coups de langue sur le large chapeau. Sa langue en fait plusieurs fois le tour avant que la bouche novice ne le gobe. Elle se met à le sucer férocement comme une affamée. Louise est émerveillée par son élève. Elle l'encourage :

— Vas-y, vas-y, suce, suce, Charles va te remplir la bouche de son sperme, tu devras l'avaler, ma chérie !


Avec gourmandise, Brenda suce et tète le gland qui est au bord de l'explosion. Soudain, elle reçoit dans la bouche une puissante giclée de sperme. Surprise par la puissance de la décharge et pour ne pas étouffer, elle repousse Charles. De ses lèvres pincées, un filet de sperme s'échappe. Louise lui demande :

— Avale, avale, ma chérie, c'est si bon la semence d'un être humain, avale, tu dois le faire !

Après un moment d'hésitation, Brenda par petites gorgées avale le liquide visqueux jusqu'à la dernière goutte.


Louise se lève, s'approche de Brenda, et habilement lui fait tomber le peignoir. Brenda a un geste d pudeur, en tentant de cacher ses parties intimes. Louise la regarde sous tous les angles, et en hochant la tête dit :

— Tu as un corps magnifique, ma chérie, détends-toi, avant que Charles ne te fasse jouir avec sa bonne queue, c'est moi qui vais commencer par t'enseigner les pratiques lesbiennes, je suis certaine que tu vas jouir sous ma bouche et mes doigts !

Brenda sursaute, et demande :

— C'est l'amour entre deux femmes, si je comprends bien ?

En souriant, Louise répond :

— Oui, c'est bien cela, tu dois tout connaitre des plaisirs sexuels, quels qu'ils soient, ma chérie !


Délicatement, elle lui caresse avec deux doigts les lèvres et avec douceur force sa bouche. Brenda, en frémissant, commence à sucer les intrus. Louise est ravie. En souriant, elle dit :

— Oui, ma chérie, suce comme si c'était une bite, ne te retiens pas !

Brenda apprend très vite : elle tient la main de Louise et fait des succions de plus en plus appuyées sur ses doigts. La main libre de Louise glisse sur le corps fébrile de la novice, caresse son ventre et arrive en contact avec la toison soyeuse, ses doigts glissent sur les poils humides. Louise sourit et en la regardant dans les yeux lui dit :

— Ta chatte est trempée, ma chérie, ça t'a fait de l'effet de sucer la bite de Charles, avoue ?

En repoussant les doigts, Brenda répond :

— Oui, j'avais l'impression d'avoir le feu dans le ventre, c'était étrange !

Louise lui relève le menton avec deux doigts, et avant d'y déposer un baiser, dit :

— Tu mouilles abondamment, c'est très bon pour la suite, ma chérie !



Allonge-toi, je vais faire monter la pression dans ton corps et te faire jouir pour la première fois !

Brenda, pas très rassurée, s'allonge sur le banc que le couple avait acheté pour les ébats. Souvent, malgré leur âge, le couple s'adonnait à des ébats torrides avec des invités, mais cela, Brenda l'ignorait jusqu'à ce jour. Louise s'agenouille devant la femme à initier, et avec douceur, elle caresse la fente. Les frissonnements du corps de Brenda font sourire Charles, qui attend patiemment son tour. Les doigts noueux de Louise s'insèrent dans la fente qui ne cesse de rejeter son jus. Ils font plusieurs montées et descentes dans le sillon, avant de saisir délicatement la boule des plaisirs. Brenda ferme les yeux, honteuse, elle n'ose regarder Louise, qui commence à lui agiter le clito. Rapidement, des sons rauques sortent de la bouche de la soumise.
Le branlage, pratiqué par l'experte, fait gonfler le clito, qui en peu de temps devient énorme. Charles regarde avec intérêt les réactions de Brenda qui commence à agiter son bassin.



Brenda a la bouche entrouverte, son souffle devient court. Les petits gémissements qu'elle tente d'étouffer font sourire Charles, il pose ses mains sur les épaules de sa femme et la dénude. Il commence à lui caresser la croupe en souriant et de temps en temps, il lui donne une tape assez violente sur les fesses. Louise se cabre, puis dit :

— Sois sage, mon chéri, ne me chauffe pas, il faut d'abord déniaiser notre amie, après nous pourrons nous lâcher !

Louise presse de temps en temps le clito pour le stimuler davantage. Le branlage devient plus rapide, les gémissements de Brenda plus rauques. Louise l'encourage :

— Joui, joui, mon chéri, ne te retiens pas, lâche-toi. Soudain, Brenda pousse un hurlement terrible, se cambre au maximum et grince des dents. Une violente brûlure lui traverse le ventre, elle explose pour la première fois de sa vie. Elle retombe sur le banc en marmonnant :

— Oh mon Dieu, que m'arrive-t-il, c'est monstrueux, je suis en train de mourir !

Elle plaque ses mains sur sa chatte et serre les cuisses. Louise souriante lui dit :

— C'est ta première jouissance, ma chérie, et je t'en souhaite beaucoup d'autres :

Louise pose ses mains sur les genoux de la jouisseuse et tire pour lui ouvrir les jambes. Brenda obtempère et écarte les cuisses. Sa chatte, secouée de spasmes, rejette sa cyprine par petites giclées. Brenda prend une aspiration et pose sa bouche sur le petit geyser. Elle aspire ce qu'il lui offre. Elle lèche la fente puis enfonce sa langue profondément dans le vagin. Brenda se cabre en lâchant un :

— Oh, mon Dieu !

La langue habile fouille chaque recoin du vagin, en arrachant à Brenda des gémissements bruyants. Immédiatement, une nouvelle jouissance fait hurler Brenda.

— Louis, Louise, c'est trop, tu me tues !

Louise lui dit tendrement :

— Tu aimes, ma chérie !

Avec des trémolos dans la voix, elle répond :

— C'est merveilleux, mon vagin est brulant !

Elle n'a pas le temps de finir sa phrase que Louise lui aspire le clito et le suce voracement. Brenda se tend comme un arc, entre chaque succion, Louise lui mordille le clito.


Brenda agite son bassin en marmonnant :

— Je deviens folle, Louise, Louise, c'est trop bon, je sens que je vais encore jouir, oui, ça vient, ça vient, mon Dieu, oui, oui, ouiiiiiiiii !

Une jouissance aussi violente que les précédentes la fait cabrer. Louise se redresse et, en regardant Brenda, lui dit :

-Maintenant ma chérie, c'est Charles qui va te faire jouir, c'est formidable de jouir avec une queue, ouvre bien les cuisses !

Charles prend place et dirige sa verge tendue vers le temple de l'amour. Il frotte quelques secondes son gland contre les lèvres humides, puis, en s'accrochant aux hanches de Brenda, pousse. Les lèvres s'écrasent et laissent le passage au gland qui s'engage de plus en plus dans la gaine détrempée.


Brenda souffle comme un dragon, son vieux cousin et mari à la fois, était moins membré que Charles. La verge peu à peu prend place dans le vagin, Brenda s'agrippe à son amant. Ce qu'elle ressent n'est que bonheur, elle se cambre plus pour être empalée jusqu'aux couilles par son amant.
Charles commence un va-et-vient, qui augmente progressivement en intensité. Brenda gémit de plus en plus fort, maintenant, la crainte des coups de fouet est bien loin. C'est la première fois qu'elle se lâche. Jamais elle n'avait ressenti autant de plaisir pendant l'acte. Elle se surprend elle-même à donner des coups de reins. Louise est aux anges, enfin Brenda peut vivre une vie sexuelle comme tout le monde. Charles accélère, ses coups de reins deviennent violents et profonds. Son gland large et épais racle les parois sensibles du vagin de Brenda qui agite son bassin férocement. À chaque pénétration, le gland appuie fortement sur le col de l'utérus comme pour le pénétrer. Pour Brenda, c'est divin, elle découvre, enfin, ce qu'une verge peut procurer comme plaisir.

Charles, dans l'effort, transpire, des perles de rosées ruissellent sur son front ridé. Ses coups sont si violents que Brenda glisse sur le banc. Elle doit bien se cramponner pour ne pas être éjectée du banc. La tension monte dans son corps, elle grommelle :

— Charles, Charles, je vais jouir, c'est extraordinaire ce que je ressens !

Louise l'encourage :

— Joui, joui, ma chérie, ton corps est fait pour prendre du plaisir !

Elle lui pétrissait les seins, roulait entre ses doigts les mamelons, les étirait souvent. Louise joue à les faire gonfler davantage. La coquine sait y faire, les bouts deviennent rapidement monstrueux. Enfin, elle les délaisse. Pendant que Charles défonce Brenda, elle glisse sa main sur le ventre de Brenda et lui saisit le clitoris. Elle l'agite énergiquement, en répétant sans cesse :

— Joui, joui, ma chérie, ne te retiens pas, envoie tout !

Charles la défonce avec force, il ne peut s'empêcher de dire :

— Oh putain, ce qu'elle est bonne, Louise, Louise, je me régale !

La soumise se cambre terriblement, pousse un hurlement et explose. Sa jouissance est phénoménale, elle retombe lourdement sur le banc en haletant fortement. Louise, lui écrase puissamment le clito, l'effet est immédiat. Une seconde jouissance fait hurler Brenda.

Louise veut aussi sa part de jouissance, elle attend que Charles remplisse la chatte de Brenda avec son sperme pour presque l'implorer de la prendre. Elle se penche en avant et offre à son mari son anus. Elle adore la sodomie, Charles lui aime la prendre par le cul. Sous les yeux de Brenda, il défonce sa femme jusqu'à ce qu'elle jouisse. Mais Charles n'éjacule pas, il se retire rapidement du cul de Louise et offre aux lèvres de Brenda son glaive dressé. Brenda sait maintenant comment faire une fellation. Elle dévore le gland pour remercier Charles de l'avoir fait jouir avec sa queue. Rapidement, elle reçoit la récompense. Un flot de semence lui remplit la bouche. Elle regarde Louise, et pour lui montrer qu'elle a compris ce qu'il faut faire, elle avale lentement la puissante décharge. Louise la félicite :

C'est bien, ma chérie, avale, avale, la bonne liqueur de Charles. Bientôt, toi aussi, tu lui offriras ton anus. Il adore enculer le cochon, mais c'est très bon, tu le constateras toi-même. Une fois que tu seras habituée à la bite de mon chéri, nous te ferons connaitre l'amour pluriel. Tu verras qu'avec deux hommes ou trois hommes en même temps qu'en toi, tes jouissances n'en seront que quintuplées.

Brenda écoute en écarquillant les yeux. Elle attend avec impatience cet instant magique, en se posant beaucoup de questions.

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