C'est fait !

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : C'est fait ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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C'est fait !
Carmen fait la grimace en buvant. Je pense qu’elle n’a guère l’habitude de l’alcool. Du moins une telle quantité à la fois. La patronne, lui fait engloutir du champagne comme si c’était de l’eau. Et dans la foulée, elle remplit à nouveau son verre et celui du mari. Avant d’en ajouter deux à l’intention au patron et à sa fille. La mère de cette dernière ne tarde pas à être éméché, alors que le restant de la table semble encore tout à fait lucide. Tout au plus, ils rient trop fort mais cela ne veux pas dire grand-chose. Le mari lance plaisanteries sur plaisanterie.
Comme Carmen a du mal à se tenir éveiller, avec la patronne nous sommes aller la coucher dans sa chambre alloué pour le week-end. Après avoir fermé la porte et alors que je m’apprête à descendre les marches elle me demande de la suivre. Elle m’entraîne jusqu’à une chambre libre, où tout de suite après notre passage verrouille la porte.
Elle s’est ensuite précipitée sur moi. A écarté tout ce qui l’empêcher d’atteindre mon sexe. Elle dégage ma queue avec des gestes adroits et la palpe, la faisant rouler entre ses paumes, caressant le gland du pouce. Je me mets aussitôt à gémir.
- Ah, si Hervé en avait une aussi raide !
Je ne sais de qui elle parle ! Hervé je ne connais pas.
D’un geste ferme, elle prend mes couilles à pleines mains. Elle me les frotte l’une contre l’autre quelques secondes avant de remonter délicatement vers mon pénis. Fièrement dressée comme un cierge. Elle entreprend un mouvement de branle, mais au bout de quelques secondes, voyant que je suis dans tous mes états, elle coupe court. Elle prend le temps de se soulager de sa culotte, puis s’installe à califourchon sur moi. Elle dirige mon pénis vers son entrecuisse, me fixant à travers ses paupières mi-closes comme si elle cherche à deviner ce que je pense de son petit jeu.
Elle me guide, me laissant, peu à peu, forcer son sexe, glisser centimètre par centimètre dans son vagin brûlant. Elle s’empale d’un seul élan sur ma queue dont le gland se fait happé, englouti, avalé par son sexe béant et ruisselant. Quand je suis tout entier en elle, elle commence à gémir.
Puis elle fait dansé ses reins tumultueux, dans un roulis frénétique, dont les vagues, de plus en plus rapprochées finissent par me menait au plaisir. Elle se met à me branler plutôt bien, agaçant mes terminaisons nerveuses couilles, tandis que son sexe aspire et masse mon gland comme l’aurait fait ma main. À force de chevaucher ma queue, elle perd la boule. Je sens une agréable humidité gagner mon bas-ventre et couler sur mes testicules.
Toujours sans un mot, elle abandonne sa monture et remet de l’ordre sur elle, sur sa coiffure, mais alors qu’elle déverrouille la porte elle lâche :
-Je compte sur toi pour que Carmen se souvienne de ce Week-end.
-Bien Madame !
Sitôt sortie je m’oriente dans la chambre de Carmen. Je suis reçu par ses renflements. D’un geste vif, je lui arrache le drap qui la couvre. Stupéfaite, celle-ci ne peut que bégayer.
- Mais qu’est-ce qui vous prends ? Vous êtes fou !
- Eh ben dis donc, Madame est vachement rembourrée ! Ça ne vous tient pas chaud, toute cette graisse ?
Mon ton vulgaire additionné à mon rire cynique la cloue sur place. Mais elle n’est pas au bout de ses surprises. Je glisse une main dans l’encolure de son chemisier et lui enveloppe un sein. Elle tente bien de la repousser.
- Tenez-vous tranquille, sinon j’appel, compris. Imaginez la tête de votre époux. Divorce et fini la belle vie !
Sidérée et troublée, Carmen cesse de résister. Je lui palpe les mamelles, les presse l’une contre l’autre ou au contraire, les écarte. À la fin, je les rabats vers le haut.
- Au moins avec vous, il y a de quoi se remplir les mains.
Je fais frotter les mamelons de Carme contre son menton.
- Je parie que si, vous penchez la tête, vous pouvez le téter. Essayez donc !
Je m’empare sans ménagement des seins de Carmen les tordit vers le haut.
- Bouffez-les Madame, vos tétines !
Effrayée, elle prend un de ses mamelons entre les lèvres. La petite crête de chair durcit aussitôt. Tout en la suçant, Carmen ne peut retenir un gémissement. Son téton trop sensible la trahi, fait réagir son corps malgré elle. Je presse le second bout de seins sur sa bouche.
- Tétez les deux en même temps. Vous pouvez y arriver.
Incapable de résister, elle happe entre ses lèvres les pointes à la peau fripée. Puis je lui donne l’ordre de se mettre à quatre pattes sur le lit. Carmen s’exécute.
- Quel cul vous possédez Madame ! Un vrai derrière de jument ! Ça donne envie de vous monter.
Du pouce, je caresse les lèvres entrebâillées du sexe. Elle gémit et donne un coup de reins. Je fouille la fente. Je déniche très vite le clitoris et le pince, la faisant crier et gigoter de plus belle.
- Qu’il est gros votre bourgeon. Il a dû se faire tripoter, je tirais même souvent !
J’étire l’ergot dressé, le roule entre mes doigts.
- Ça vous plaît ! Les grosses ont toujours le cul chaud.
J’enfonce sans douceur mes doigts dans le vagin. Carmen crie avant de s’affaler, le nez dans l’oreiller, le souffle court. Elle se met à remuer son derrière comme une folle.
- Vous êtes en manque depuis longtemps. Branlez-vous !
- Mais ça va me…
Je coupe avant que celle-ci ait eut le temps de terminer sa phrase.
- Allez ! Astiquez votre bouton.
Les joues en feu, Carmen enfonce ses doigts entre les lèvres, déjà entrebâillées de son sexe. Elle gémit en pinçant son clitoris. La petite crête de chair lubrifiée par la mouille glisse entre ses doigts. Elle fait pénétrer un doigt dans son vagin. Le conduit gluant et chaud aspire son index comme l’aurait fait une ventouse.
Sans hésitation, je me défais, et place ma verge souillé de ma première pénétration à l’entrée de sa vulve. D’un coup de reins je plonge dans les entrailles inondées de Carmen. Je crois défaillir tant cette révélation est brutale. Je m’immobilise au fond d’elle pour profiter au maximum de l’instant. Son vagin est parcouru de contractions. Je donne un coup de reins plus fort. Je suis soudain traversé par une onde électrique qui me tétanise.
Un torrent de lave parcoure ma queue planté au plus profond d’elle. Je m’entends pousser un rugissement qui tient plus de l’animal que de l’humain tandis que je me vide par à-coups violents dans son ventre.
Me voyant, la patronne se doit de venir aux nouvelles.
-Alors ? Me fait-elle.
-J’ai fait comme Madame le désirait.
-Tu la enculé ?
-Non Madame.
-Et bien retourne la lui mettre, et c’est un ordre !
Carmen n’est même pas surprise de me revoir.
-Vous avez oubliez quelque chose ?
-Oui, je vous la mettre dans le cul !
-Pardon !
Je la retourne et pose mon gland turgescent sur l’œillet brun, force délicatement la porte minuscule, m'introduis sans hâte ni empressement... le petit orifice cède et fini par happer ma hampe sous les gémissements de Carmen.
Lents, amples, offensifs, courts, rapides, les coups de boutoirs se succèdent... jamais identiques... ponctués de plaintes, de cris, nourris d'encore, oui c’est bon !
De souffles bruyants, de râles ! Je pousse, pressé, excité par ses plaintes. Je me laisse aller sur elle, pesant de tout mon poids pour que cette fois, son rectum cède complètement. Je m’enfonce jusqu’aux couilles dans son cul. Je bouge mais je dois faire plusieurs pauses tant les impressions qui remontent dans mon sexe sont fortes. Je m’accroche à ses hanches, change tout le temps de rythme. Carmen ne se prête plus, elle s’offre.
Son anus s’est comme par miracle, assoupli. Mon sexe glisse assez aisément dans son trou. De ma hauteur j’observe les va-et-vient de ma queue pressée par l’épaisse corolle brun rouge. La muqueuse anale de Carmen rentre et sort du trou en cadence. Tantôt elle disparait entièrement et tantôt elle réapparait. Charnue et grasse.
À l’intérieur la paroi vibre comme si des ondes la parcourent. Je les sens bien tout le long de ma queue. Elles me massent le gland au passage. Son anus s’est bien élargi et mouille comme l’avait fait sa chatte. Devenant aussi béant. Je sors ma queue pour mieux la replonger.
À chaque plongeant Carmen pousse un piaillement aigu. Je plaque mes couilles contre elle et je joui. À longues giclées sans bouger en la pressant fort par les hanches. J’ai l’impression que c’est une des meilleures fois de ma vie.
-Alors ? Fait la patronne, en me voyant arrivée dans la cuisine.
-C’est Fait !

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