CADEAU D’ANNIVERSAIRE. (2/3) - histoire érotique

Je suis marié avec Adrien et j’ai constaté un relâchement dans nos rapports avec mon homme.
Il me baise qu’en moyenne une fois par mois et ma chatte est en manque.
Pour relancer notre couple, je lis un texte dans lequel une jeune femme dans la même situation que moi pratique le triolisme avec une autre femme et le couple découvre une nouvelle jeunesse et tous ce fini bien.
Pareil à une midinette restée malgré mes trente ans, je me mets à la recherche d’une partenaire pour offrir à Adrien le 31 août date de nos dix ans de mariage.
Grâce à un site libertin, je rencontre Davina qui me gruge étant une lesbienne qui refuse de faire plaisir à mon homme et qui me propose de la revoir pour me mettre l’intégralité de sa main dans le vagin.
Je la fuis depuis notre rencontre, car sur le site, elle me relance me demandant dans combien de temps, nous pouvons nous revoir.

Pour le moment, je vais vers la porte de notre appartement et lorsqu’elle sonne, je fais entrer Sissi en tout point conforme aux photos que nous nous sommes envoyées.
Dès qu’elle a passé la porte, je sais au fond de moi que c’est elle qui va relancer mon couple aussi après que nous ayons but un jus de fruits sur le canapé, je la prends dans mes bras et elle accepte ma bouche, j’ai le plaisir de trouver une petite fille attentive à notre plaisir.
Ce qui est bandant pour moi, c’est qu’avec Davina, j’étais celle qui se laissait guider et là c’est moi qui dois en faire de même, car elle m’avoue que pour elle sait la première fois qu’elle va avoir des rapports avec une femme.
Drôle de retournement de situation qui me plait beaucoup, je la gouine allègrement jusqu’au moment où elle m’envoie dans la bouche des petits jets sortant de sa chatte bien agréable à avaler.
Mon visage est inondé sans ce que nous sachions ni elle ni moi ce qui lui arrive.
Elle me lèche le visage avalant ses propres sécrétions, j’en fais de même avec le sien simplement pour le plaisir.
Un certain moment, j’ai trois doigts de sa main gauche dans mon vagin, un geste fou me prend, j’empoigne sa main et je pousse, elle me regarde incrédule et a la conviction que je mets, elle comprend ce que je veux et petit à petit ma chatte s’ouvre et sa main entre.
Je dois être devenu folle, elle me branle avec la totalité de sa main au fond du corps et l’orgasme des orgasmes monte en moi.
Je suis tombé dans les pommes et lorsque je reviens à moi elle souhaite que je lui fasse la même chose.
Je suis d’accord, mais pas ce soir, je lui promets que nous le ferons mutuellement devant Adrien, le samedi soir suivant en préambule du moment où je l’offrirais à mon époux.
Le scénario lui plait et elle aime l’idée de s’endormir tous les soirs en pensant à ce que je vais lui faire.
Avant qu’elle parte dans un dernier baiser étonné toutes les deux des jets que j’ai bus, nous trouvons sur mon moteur que Sissi pour la première fois était tellement excitée que j’ai fait démarrer en elle la particularité de certaines filles d’être des femmes fontaines.
Ma culture sexuelle surtout féminine vient de nettement progresser après ces deux rencontres.
Profitant de l’absence de mon mari, je garde ma maîtresse toute la nuit.

Ce soir-là, au retour d’Adrien, la guêpière que j’ai mise sans culotte lorsqu’il entre semble lui redonner de la vigueur pour moi, car sa verge vient faire deux à trois retours et décharger sans se préoccuper de mon propre plaisir.
Pendant les jours suivants, Adrien partant toujours avant moi, je me fist seule et je fais chaque fois des selfis de ma main que j’envoie à Sissi qui me renvoie une photo identique mais seulement avec quatre doigts regroupés entrés de quelques centimètres en elle.

Enfin, le samedi tout est prêt, en lui disant simplement que je prépare une fête pour nos dix ans de mariage, je demande à ma mère de prévoir un travail de bricolage chez elle pour Adrien et qu’elle se débrouille pour le garder jusqu’à 19 heures avec un retour à 20 heures après une heure de route.
Il est prévu qu’il arrive avant Sissi afin qu’il puisse se changer après avoir pris sa douche.

J’ai fait livrer un repas pour trois personnes, mais bien sûr j’ai mis deux couverts avec bougie pour faire croire que nous serons en tête à tête.
Il est content en arrivant que j’aie pensé à nos dix ans de mariage à un problème prêt, il avait lui-même réservé une table dans un bon restaurant des bords de marne qu’il annule bien sûr.
Il va se doucher, se changer et pendant ce temps, je place le troisième couvert.
Je démarre la chaîne stéréo et j’envoie un SMS à Sissi que tout est prêt et qu’elle peut monter.
En début de semaine, après la soirée et la nuit passée ensemble avec ma libertine, nous sommes allés acheter des tenues sexy identiques, que je lui ai offertes.
C’est en tenue, charleston 1900, que je passe en enlevant mon peignoir qu’il me retrouve.
Il s’amuse de ma tenue, mais trouve cela excitant lorsqu’il arrive dans la salle cinq minutes avant que Sissi sonne à la porte.
Il est étonné et c’est le moment où je lui annonce que nous avons une invitée.
Il est contrarié, car ma tenue l’a émoustillé et je pense qu’il avait prévu de m’en mettre un petit coup avant le repas.

Le temps paraît interminable avant que notre amie sonne.
Je lui ai donné le numéro du Digicode, mais elle inversait les deux derniers chiffres et s’énervait voyant l’heure filer.
Je la présente à mon homme comme une amie qui lui fera une surprise pour nos 10 ans de mariage au dessert avec moi.
La promesse de cette surprise lui permet d’être très agréable pendant tous le repas.
Surtout qu’aucune fausse note n’a été faite par le traiteur et que la qualité des plats et leur finesse, augure bien de ce que nous lui avions préparé.
J’ai insisté pour que le champagne soit de haute qualité et surtout pas de la pisse d’âne comme on en trouve trop souvent dans des repas.

Après avoir mangé le dessert et but le champagne, ce qui nous aide à nous désinhiber, je me lève pour mettre une série de slows sur la platine.
Adrien fait un mouvement pour se lever, mais je suis plus prompte et c’est moi qui invite Sissi à venir se lover dans mes bras.
Nos deux tenues elles dans les bleus et moi dans les roses doivent lui monter un tableau très agréable, car je le vois se resservir une coupe.
Comme nous l’avons prévu, je défais un à un les boutons de la robe très moulante de celle qui va être mon cadeau et qui doit relancer notre amour.
Un bouton de mon côté ses yeux dans mes yeux, un bouton de son côté nos regards de plus en plus encrés l’une vers l’autre.
Il nous reste le bouton central qui définitivement nous montrera nues au regard concupiscent de mon mâle favori.
Nos bouches qui se trouvent font partie du moment crucial de notre scénario, car Adrien peut refuser de voir sa femme avoir des tendances lesbiennes devant lui.
La coupe qu’il vide rapidement me fait voir lorsque notre regard se croise au détour du slow qu’il apprécie mon initiative.
Ce serait un ingrat car les fesses de Sissi que je prends avec les paumes de mes mains juste au moment où j’avais prévu après les slows que démarre une java et les siennes sur les miennes doivent lui montrer un tableau très appétissant.
Ce que nous avions mal calculé, c’est que la petite me plaise de plus en plus et que nous ayons eu du mal à faire intervenir Adrien au sein de notre duo et passer au trio censé resouder notre couple.
Il faut qu’il prenne l’initiative de se lever et de venir danser en nous prenant toutes les deux dans ses bras pour que je redescende sur terre.
Lorsque je m’efface lui susurrant à l’oreille que Sissi est mon cadeau pour nos dix ans le regard et le baiser qu’il me donne me fait comprendre que mon idée était la bonne et comme Sissi rapidement lui met la main sur la bite, ouvrant comme elle l’avait faite pour ma robe un à un les boutons de sa braguette afin de se saisir de la verge qui me délaisse trop souvent.
Je m’écarte et je laisse Adrien et Sissi venir s’allonger sur le canapé et devenir devant mes yeux des amants passionnés.
Je veux faire partie de la fête de leur corps aussi je m’agenouille à la croisée de la jonction de leurs sexes et je lèche tout ce qui peut être léché.
Est-ce moi ou lui qui déclenchent les grandes eaux du vagin de Sissi tout ce qui est sûr, c’est que je bois autant de cyprine que de champagne pour mon dessert.
Cyprine mot lut dans le moteur de recherche l’autre nuit, car chaque phase nouvelle pour nous se ponctuait par une recherche de ce que nos corps déclenchaient comme nouveauté pour nous.

J’ai entendu les râles de plaisir de notre maîtresse lors de notre première fois mais là en les regardant copuler les cris qu’elle pousse me montre que mon mari prend plaisir à la faire jouir et que j’ai bien fait de la choisir comme cadeau.
Lorsque après un bel orgasme, il se relève sans avoir déchargé, qu’il s’assoie sur le canapé pour que je vienne sur lui m’empaler à mon tour sur la verge conjugale, c’est à moi de ressentir les frissons montés tout au long de ma colonne vertébrale.
Sissi est impudiquement allongée à nos côtés en train de récupérer me montre son abricot doré recouvert d’une toison aussi fournie que lorsque j’avais les premiers poils de ma vie de jeune fille ou j’aimais à les regarder sentant les changements de mon corps, je me souviens de la promesse que je lui ai faite.
Devant les yeux ébahis d’Adrien, je lui prends sa main, resserres ses doigts et je les fais entrer dans sa chatte.
Au bout de quelques centimètres il veut arrêter mais la pression que j’exerce le fait avancé jusqu’au moment où Sissi a le corps frappé d’un spasme la faisant se redresser et hurler son plaisir d’être ainsi remplie.
Il faut dire que contrairement à moi qui ai eu la main de Sissi puis la mienne en moi celle d’Adrien est au moins un tiers plus épais que les nôtres.
Pendant tout ce moment idyllique ou par l’intermédiaire d’Adrien, je réalise le fantasme exprimé par Sissi de se faire fister comme elle me l’avait fait, la verge que je prends dans la chatte se transforme en sodomie grace à sa deuxième main qu’il glisse entre nous et qu’il se déplace de mon vagin à mon anus.
Il y a des mois qu’il est vierge de toute attaque du pieu qu’il aime tant recevoir surtout dans cette position où je règle moi-même la vitesse et surtout la profondeur de l’assaut.
Je retrouve enfin les déchaînements de ma jeunesse amoureuse et lorsque la main d’Adrien la libère faisant sortir de son sexe des quantités incroyables de cyprine ou dans sa position, elle nous arrose, j’adore le moment où je jouis par mes terminaisons nerveuses qui entourent mon anus, Sissi se redresse et vient me donner un baiser qui mêle nos langues qui tournent pour là encore faire renaître un désir nouveau.

Notre étalon a gardé ses réserves de foutres aussi, je me relève, prend Sissi par la main et me dirige vers notre chambre, lui intimant de nous suivre.
Je fais mettre la petite en levrette et je permets à celui dont c’est la fête cette nuit d’être le premier comme elle me l’a dit à la sodomiser.
Fistée, sodomisée dans cette même nuit, c’est la fête parfaite que j’offre aux deux amants même si au passage, je récupère, moi aussi les plaisirs qui me manquaient au fil des mois de lassitude de notre couple.
Dans un dernier veulement sorti de leurs bouches, la tête d’Adrien se redresse en arrière comme peut le faire un loup appelant sa louve, les jets de sperme qui entre dans son fondement déclenchent le même mouvement de tête que celui de son pourfendeur.
Les deux amants s’écroulent avec moi sur le lit jusqu’au matin…