Candaulisme, Sophie et le jeune interne. 2
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Candaulisme, Sophie et le jeune interne. 2
Sophie et le jeune interne.
1ère nuit de permanence.
Nous avons attaqué ce long weekend du 8 mai, la journée de vendredi a été assez calme. En prévision de ces 3 jours, il n’y a pas eu de nouvelles entrées et pas mal de sorties. On ne devrait pas être trop dérangés.
A minuit, je retrouve Sophie dans la salle de garde, nous sommes seuls dans le service et n’allons pas être dérangés par les collègues. Je me glisse derrière elle, l’enserre dans mes bras et l’embrasse dans le cou. Elle se laisse docilement faire puis me donne ses lèvres avant de m’avouer.
-Tu sais, j’ai hésité à tromper mon mari, mais j’en ai marre de me goder devant lui et sa petite bite pour qu’il prenne son pied. Je veux que tu me fasses jouir avec ta grosse pine !
Au moins c’est dit, elle est toute à moi et fera mes 4 volontés.
Je la remercie de sa franchise et de son talent pour faire les pipes. Elle me rétorque en riant :
-C’est à moi de te dire MERCI, tu es très doué aussi et tu m’as bien fait jouir, ce n’est pas comme mon mari qui préfère me voir troncher par ses copains. Et au moins avec toi, la nature a été généreuse !
Après ses paroles assez crues, elle passe aussitôt à l’acte et se met à genoux devant moi, ouvre mon pantalon et embouche ma queue. Sous les assauts de sa langue ma bite quitte le point-mort et embraye la première, en un rien de temps elle croit, durcie, s’allonge jusqu’au fond de sa gorge.
Quel talent de suceuse, elle est vraiment douée et quelle gorge si profonde.
Quand elle a obtenue la rigidité souhaitée, elle retire mon mandrin de ses lèvres pour me demander :
-Je n’aime pas le goût du sperme, j’ai essayé mais ça me donne envie de vomir, tu me préviendras hein ?
J’ânonne de la tête mais il va falloir qu’elle apprenne que c’est moi le Maître et que je fais ce que je veux. Sans qu’elle s’en rende compte, je prends des photos discrètes.
La fellation est exquise mais il est temps que je découvre sa chatte, je la fais relever, écarte d’un revers de main ce qui traîne sur le bureau et l’allonge dessus.
Je remonte sa blouse et retire sa petite culotte que je porte à mon visage pour la renifler, elle me regarde en rougissant.
Je glisse ma tête entre ses cuisses au compas bien ouvert et écarte ses lèvres intimes de mes mains pour lécher son mont de Vénus.
J’explore de la langue l’entrée de son vagin avant de remonter un peu plus haut pour sucer son petit bouton. Comme l’autre jour, il ne lui faut que très peu de temps pour qu’elle se mette à couiner, elle va avoir sa première jouissance et je veux cette fois profiter du torrent de montagne qui va jaillir.
D’un seul coup, elle serre ses cuisses autour de ma tête pour stopper le cunnilingus qu’elle ne peut plus supporter et lâche les grandes eaux... Bien que prévenu, je me fais surprendre par le flot impétueux que ma bouche ne peut endiguer. Mais j’aime les femmes fontaines
Je me relève, le visage dégoulinant et lui demande :
-Tu veux ma grosse queue ?
-Oh oui
-Je veux que tu me dises que tu es une grosse salope qui veut un gros manche dans sa chatte !
-Oui, je veux que tu me prennes avec ton gourdin !
-Plus fort… Je n’ai pas entendu !
-EMBROCHE-MOI ! Je n’y tiens plus, BAISE-MOI !
SOPHIE.
J'ai trop envie de le sentir en moi, qu’il me pénètre de son gros dard.
Il m'écarte les cuisses de ses mains, je tremble d’appréhension, mais il me promet d’entrer en moi très doucement et de ne pas m’inquiéter.
Je sens palpiter contre mon ventre sa queue, il laisse glisser doucement son membre le long de ma fente sans me pénétrer.
Je prends sa verge et la pointe à l'entrée de ma vulve... Son gland trigonocéphale repousse les lèvres de ma petite chatte mais je suis tellement mouillée qu'il pénètre sans effort, il entre sa bite au fond mon vagin détrempé tout en douceur, il tourne sa queue avec des mouvements de bassin pour agrandir mon trou.
Sa verge remplit entièrement mon vagin, distendant mes chairs intimes qui s’adaptent sans coup-férir à l’intrus, à cette colonne de chair hors du commun.
Il prend ma bouche avec ses lèvres, une main sur mon sein droit et ne bouge plus. Sa langue joue avec la mienne, ses doigts pétrissent mon sein.
Je me sens un peu apaisée et soulève mon bassin pour le faire entrer plus loin dans ma gaine de velours, attrapant ses fesses pour le faire aller en moi.
Il glisse lentement dans mon ventre, j’ai la bouche grande ouverte attendant la suite avec un peu d’anxiété mais beaucoup d’impatience...
-Tu as une bonne chatte de salope, je vais prendre mon pied, je vais te défoncer ta grotte à bites !
-Oui, explose-moi la moule !
Après un instant sans bouger, il commence à me limer d'abord doucement puis de plus en plus vite, je sens en moi ce sexe énorme, il m’embrasse à pleine bouche.
Quel plaisir de sentir ce si gros, si dur colosse de chair en moi, j'en hurlerais si je ne me retenais pas.
Il me faut un certain temps pour m’habituer à sentir une aussi grosse teub œuvrer entre mes cuisses, je ne sais pas pourquoi mais je pense à la bistouquette de mon mari si fine que je ne la sens même pas quand il me tringle.
Mais je reviens vite à la réalité car Julien est en train de me défoncer littéralement la chatte. Pendant de longues minutes, je ne suis plus qu’un jouet entre ses mains et sa bite, je me retrouve dessus, dessous, dans des positions que je ne connaissais même pas.
Il faut dire que pour certaines, il vaut mieux que le partenaire soit bien monté sinon le poireau ne reste pas « en jauge », (pas pour Damien ça).
Il me fait connaître plusieurs fois d'orgasme avant d’abdiquer lui aussi.
Il me sourit d’un air moqueur et me lance :
- Je vais jouir dans ta chatte ! Je vais te remplir ta moule de cochonne, à la santé de ton mari!
Aussi lorsque le premier jet de sperme remplit ma chatte je ne suis pas surprise. Un second jet aussi copieux que le premier jaillit du gland soubresautant, et un troisième puis un quatrième. Son sperme encore fluide s'agglutine au fond de mon vagin. Il a de sacrées réserve le jeune interne !
Les jaillissements suivants perdent enfin de leur force sous ses râles.
Nous ne bougeons plus, emboîtés l’un dans l’autre, je sens sa verge se décongestionner. Quand il se retire de ma choupinette, une coulée de semence coule de mon abricot laissant une traînée de sperme se répandre sur l’intérieur de mes cuisses. Je n'avais jamais ressenti autant de plaisir et un tel bonheur de faire l'amour !
JULIEN.
Je lui tends une serviette pour qu’elle s’essuie un peu et la prends dans mes bras pour l'embrasser, Un sacré coup la quadra ! Je vais essayer d’en obtenir plus :
-Tu as un sacré beau cul, tu aimes la sodomie ?
-Pas plus que ça, et avec mon mari, ce n’est même pas la peine d’y songer !
-Sophie chérie, tu me fais rebander, si tu veux, je vais rouvrir la voie ?
Ma queue palpite sous le désir de son cul quand 2 voyants d’appels s’allument en même temps, c’est cuit pour cette nuit.
-Demain je t’encule !
Elle me sourit et sort de la salle de garde.
Avant d’à mon tour aller m’occuper d’un patient, je prends mon Smartphone et tape sur le clavier.
« Cher Damien, comme tu n’es qu’un impuissant à petite bite, je me suis chargé de changer les idées à ta moitié, regarde les photos, regarde ses yeux qui pétillent quand elle me dévore la bite. Elle est aux anges car moi au moins je sais la faire jouir, tu vois la photo ? C’est elle qui a trempé le bureau. Et demain, je vais l’enculer…….. Et après-demain ????????????
(Un ami qui te veut du bien).
A suivre……….
1ère nuit de permanence.
Nous avons attaqué ce long weekend du 8 mai, la journée de vendredi a été assez calme. En prévision de ces 3 jours, il n’y a pas eu de nouvelles entrées et pas mal de sorties. On ne devrait pas être trop dérangés.
A minuit, je retrouve Sophie dans la salle de garde, nous sommes seuls dans le service et n’allons pas être dérangés par les collègues. Je me glisse derrière elle, l’enserre dans mes bras et l’embrasse dans le cou. Elle se laisse docilement faire puis me donne ses lèvres avant de m’avouer.
-Tu sais, j’ai hésité à tromper mon mari, mais j’en ai marre de me goder devant lui et sa petite bite pour qu’il prenne son pied. Je veux que tu me fasses jouir avec ta grosse pine !
Au moins c’est dit, elle est toute à moi et fera mes 4 volontés.
Je la remercie de sa franchise et de son talent pour faire les pipes. Elle me rétorque en riant :
-C’est à moi de te dire MERCI, tu es très doué aussi et tu m’as bien fait jouir, ce n’est pas comme mon mari qui préfère me voir troncher par ses copains. Et au moins avec toi, la nature a été généreuse !
Après ses paroles assez crues, elle passe aussitôt à l’acte et se met à genoux devant moi, ouvre mon pantalon et embouche ma queue. Sous les assauts de sa langue ma bite quitte le point-mort et embraye la première, en un rien de temps elle croit, durcie, s’allonge jusqu’au fond de sa gorge.
Quel talent de suceuse, elle est vraiment douée et quelle gorge si profonde.
Quand elle a obtenue la rigidité souhaitée, elle retire mon mandrin de ses lèvres pour me demander :
-Je n’aime pas le goût du sperme, j’ai essayé mais ça me donne envie de vomir, tu me préviendras hein ?
J’ânonne de la tête mais il va falloir qu’elle apprenne que c’est moi le Maître et que je fais ce que je veux. Sans qu’elle s’en rende compte, je prends des photos discrètes.
La fellation est exquise mais il est temps que je découvre sa chatte, je la fais relever, écarte d’un revers de main ce qui traîne sur le bureau et l’allonge dessus.
Je remonte sa blouse et retire sa petite culotte que je porte à mon visage pour la renifler, elle me regarde en rougissant.
Je glisse ma tête entre ses cuisses au compas bien ouvert et écarte ses lèvres intimes de mes mains pour lécher son mont de Vénus.
J’explore de la langue l’entrée de son vagin avant de remonter un peu plus haut pour sucer son petit bouton. Comme l’autre jour, il ne lui faut que très peu de temps pour qu’elle se mette à couiner, elle va avoir sa première jouissance et je veux cette fois profiter du torrent de montagne qui va jaillir.
D’un seul coup, elle serre ses cuisses autour de ma tête pour stopper le cunnilingus qu’elle ne peut plus supporter et lâche les grandes eaux... Bien que prévenu, je me fais surprendre par le flot impétueux que ma bouche ne peut endiguer. Mais j’aime les femmes fontaines
Je me relève, le visage dégoulinant et lui demande :
-Tu veux ma grosse queue ?
-Oh oui
-Je veux que tu me dises que tu es une grosse salope qui veut un gros manche dans sa chatte !
-Oui, je veux que tu me prennes avec ton gourdin !
-Plus fort… Je n’ai pas entendu !
-EMBROCHE-MOI ! Je n’y tiens plus, BAISE-MOI !
SOPHIE.
J'ai trop envie de le sentir en moi, qu’il me pénètre de son gros dard.
Il m'écarte les cuisses de ses mains, je tremble d’appréhension, mais il me promet d’entrer en moi très doucement et de ne pas m’inquiéter.
Je sens palpiter contre mon ventre sa queue, il laisse glisser doucement son membre le long de ma fente sans me pénétrer.
Je prends sa verge et la pointe à l'entrée de ma vulve... Son gland trigonocéphale repousse les lèvres de ma petite chatte mais je suis tellement mouillée qu'il pénètre sans effort, il entre sa bite au fond mon vagin détrempé tout en douceur, il tourne sa queue avec des mouvements de bassin pour agrandir mon trou.
Sa verge remplit entièrement mon vagin, distendant mes chairs intimes qui s’adaptent sans coup-férir à l’intrus, à cette colonne de chair hors du commun.
Il prend ma bouche avec ses lèvres, une main sur mon sein droit et ne bouge plus. Sa langue joue avec la mienne, ses doigts pétrissent mon sein.
Je me sens un peu apaisée et soulève mon bassin pour le faire entrer plus loin dans ma gaine de velours, attrapant ses fesses pour le faire aller en moi.
Il glisse lentement dans mon ventre, j’ai la bouche grande ouverte attendant la suite avec un peu d’anxiété mais beaucoup d’impatience...
-Tu as une bonne chatte de salope, je vais prendre mon pied, je vais te défoncer ta grotte à bites !
-Oui, explose-moi la moule !
Après un instant sans bouger, il commence à me limer d'abord doucement puis de plus en plus vite, je sens en moi ce sexe énorme, il m’embrasse à pleine bouche.
Quel plaisir de sentir ce si gros, si dur colosse de chair en moi, j'en hurlerais si je ne me retenais pas.
Il me faut un certain temps pour m’habituer à sentir une aussi grosse teub œuvrer entre mes cuisses, je ne sais pas pourquoi mais je pense à la bistouquette de mon mari si fine que je ne la sens même pas quand il me tringle.
Mais je reviens vite à la réalité car Julien est en train de me défoncer littéralement la chatte. Pendant de longues minutes, je ne suis plus qu’un jouet entre ses mains et sa bite, je me retrouve dessus, dessous, dans des positions que je ne connaissais même pas.
Il faut dire que pour certaines, il vaut mieux que le partenaire soit bien monté sinon le poireau ne reste pas « en jauge », (pas pour Damien ça).
Il me fait connaître plusieurs fois d'orgasme avant d’abdiquer lui aussi.
Il me sourit d’un air moqueur et me lance :
- Je vais jouir dans ta chatte ! Je vais te remplir ta moule de cochonne, à la santé de ton mari!
Aussi lorsque le premier jet de sperme remplit ma chatte je ne suis pas surprise. Un second jet aussi copieux que le premier jaillit du gland soubresautant, et un troisième puis un quatrième. Son sperme encore fluide s'agglutine au fond de mon vagin. Il a de sacrées réserve le jeune interne !
Les jaillissements suivants perdent enfin de leur force sous ses râles.
Nous ne bougeons plus, emboîtés l’un dans l’autre, je sens sa verge se décongestionner. Quand il se retire de ma choupinette, une coulée de semence coule de mon abricot laissant une traînée de sperme se répandre sur l’intérieur de mes cuisses. Je n'avais jamais ressenti autant de plaisir et un tel bonheur de faire l'amour !
JULIEN.
Je lui tends une serviette pour qu’elle s’essuie un peu et la prends dans mes bras pour l'embrasser, Un sacré coup la quadra ! Je vais essayer d’en obtenir plus :
-Tu as un sacré beau cul, tu aimes la sodomie ?
-Pas plus que ça, et avec mon mari, ce n’est même pas la peine d’y songer !
-Sophie chérie, tu me fais rebander, si tu veux, je vais rouvrir la voie ?
Ma queue palpite sous le désir de son cul quand 2 voyants d’appels s’allument en même temps, c’est cuit pour cette nuit.
-Demain je t’encule !
Elle me sourit et sort de la salle de garde.
Avant d’à mon tour aller m’occuper d’un patient, je prends mon Smartphone et tape sur le clavier.
« Cher Damien, comme tu n’es qu’un impuissant à petite bite, je me suis chargé de changer les idées à ta moitié, regarde les photos, regarde ses yeux qui pétillent quand elle me dévore la bite. Elle est aux anges car moi au moins je sais la faire jouir, tu vois la photo ? C’est elle qui a trempé le bureau. Et demain, je vais l’enculer…….. Et après-demain ????????????
(Un ami qui te veut du bien).
A suivre……….
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Faut aimer savoir que tu es cocu
Pas mal
Pas mal
Toujours des critiqueurs
La critique est aisée mais l'art est difficile.
Si tu es si critique, montre nous ta prose que l'on compare et si tu écris sur ce site, ne reste pas anonyme que nous puissons comparez les textes.
Une fidèle de mlkjhg39
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Une fidèle de mlkjhg39
Bof le numéro 1 et rebof pour le numéro 2