Charlène

Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Charlène
Charlène mon amour
Charlène provient, comme on dit, de la haute, éduquée sévèrement, rien ne lui était épargné. Toujours tirée à quatre épingles, elle n'attire que le respect. Mais cette femme bien en chair a des carences sexuelles. Maintenant qu'elle est mariée, cette femme plantureuse mène une vie enchanteresse avec Charles, un notable de la ville. L'homme ne rechigne à rien pour la rendre heureuse. Petit à petit, il l'entraine sur les pentes glissantes des plaisirs du sexe. Le jour de l'anniversaire de Charlène, il lui offre un cadeau.
Impatiente, elle le déballe. Elle sursaute et reste béate devant ce qu'elle découvre. Ce sont deux fourreaux que l'homme en érection enfile sur sa queue, pour en augmenter le volume. Mais ceux-ci sont particuliers, l'un porte de grosses veines apparentes monstrueuses qui donne à l'engin un air redoutable. L'autre aussi gros est garni de picots, qui font frissonner Charlène.
Elle les prend en mains, les palpe longuement, pour en connaitre la texture, puis en regardant son mari dit !
— Tu comptes te servir de ses trucs mon chéri ?
En souriant, Charles répond :
-Oui ma chérie, je veux que tu connaisses d'autres formes de pénétrations, il parait que les jouissances en sont quadruplées, si tu le veux, nous pouvons les tester immédiatement !
Charlène, regarde encore un instant les objets et dit :
-C'est très tentant, surtout, je suis très curieuse de savoir l'effet que ça fait d'avoir ces machins dans le corps. Promets que tu ne seras pas brutal avec, car ils sont monstrueux !
En souriant, Charles l'embrasse, et lui passe la main sous la robe et lui dit une fois qu'il a caressé la chatte à travers la culotte :
-Vas te préparer ma chérie, surtout rase-toi bien, hum, je vais bien t'ouvrir, j'en rêve depuis longtemps !
En souriant, Charlène répond :
Tu es un gros cochon mon chéri, mais je vais être quand même ta soumise !
Charlène disparait dans la salle de bain, pour faire quelques ablutions et se raser, comme le lui a recommandé son mari. Elle réapparait, emmitouflée dans un peignoir de bain, souriante, elle s'avance vers Charles, qui l'enlace et l'embrasse fougueusement. Les salives s'échangent, les langues se nouent, le baiser, est interminable. Les deux corps se frottent continuellement pendant le baiser. Charles ne peut cacher la forte érection qui appuie sur le ventre de sa femme. Une fois le baiser terminé, elle dit :
-Oh, mais mon chéri, tu bandes terriblement !
En disant cela, elle caresse la bosse qui déforme le pantalon de son mari. En souriant, il réplique :
-C'est toi ma chérie qui me rend comme ça !
Il lui fait tomber le peignoir et immédiatement, il lui gobe à tour de rôle les mamelons. Il les suce, les tète avec férocité, Charlène gémit sous les aspirations répétées et puissantes de Charles. Avec douceur, il la bascule sur la banquette sans dossier, bien matelassée, que Charles, très prévoyant, avait acheté au début de son mariage avec Charlène. Souvent les deux font l'amour sur ce banc, c'est l'endroit qu'ils préfèrent. Chaque jour qui passe, il innove, lui enseigne de nouvelles pratiques, dont elle en ignorait l'existence. Son éducation très stricte lui interdisait toutes relations sexuelles avant le mariage. Les seuls plaisirs qu'elle avait connus avant son mariage, ce sont ses doigts qu'ils lui ont donnés. Mais Charles l'a bien prise en main et ne compte pas s'en arrêter là. Il a plein de projets pour sa femme chérie. Après lui avoir bien travaillé les mamelons, il se redresse et lui dit :
-Ma chérie, branle-toi, j'adore lorsque tu fais la salope !
Charlène, ouvre largement les cuisses et commence à se frotter les grandes lèvres. Sa vulve suinte terriblement, puis elle saisit entre ses doigts sa boule magique et l'agite en serrant les dents. C'est avec rage qu'elle se masturbe, Charles adore la voir dans cet état. Sa queue est agitée de soubresauts continuels. Les yeux rivés sur son mari, Charlène se détruit le clitoris, elle gémit, s'arque, boute fortement et dans un hurlement que son mari attendait, elle explose de jouissance. Il plaque sa bouche sur la chatte qui ne peut retenir sa cyprine, il aspire tout ce qu'il peut, avant d'enfoncer sa langue profondément dans le vagin en ébullition. Il le fouille en poussant des gémissements aussi bruyants que ceux de sa femme. Charlène adore que son mari s'occupe de sa chatte, elle gite son bassin en marmonnant :
-Oui mon chéri, c'est bon, continue, continue, oh comme je t'aime !
Charles s'acharne sur l'abricot juteux, il raffole de la substance suave qu'il rejette. Dans un état d'excitation extrême, sa femme pourrait être un volcan, le bougre le sait, il grogne en lui fouillant le cratère qui est prêt à entrer en éruption. La bouche, vorace, se plaque sur le clitoris, qui est devenu énorme. Charlène pousse un long râle en se cambrant comme un pont, elle s'agrippe à la banquette en tremblant de tous ses membres, elle maintient la position, et hurle :
-Charles, Charles, je vais jouir, mon Dieu, c'est atroce ce que tu me fais subir, oh mon Dieu, comme je t'aime !
Un jet de cyprine puissant remplit la bouche de Charles, c'est si violent qu'il se redresse en regardant le puits gicler comme un geyser. Son corps retombe lourdement sur la banquette. Et en haletant, elle dit :
-Oh mon chéri, tu me tues, oh comme je suis heureuse avec toi, baise-moi, baise-moi, mon chéri, fais-moi mourir de plaisir !
Il la regarde en souriant, le coquin adore lorsqu'elle est demandeuse. Il saisit le fourreau fortement veiné et l'enfile sur sa verge raide comme du bois. Charlène regarde avec une certaine angoisse le membre muni du fourreau monstrueux. Charles place contre la vulve détrempée sa queue, et en s'accrochant aux hanches de sa femme, pousse doucement. Lentement, l'engin s'enfonce dans la gaine qu'il dilate fortement. Charlène serre les dents, elle s'agrippe à son mari en grognant. Elle souffle comme un dragon. Avec patience, Charles réussit à enfoncer dans le ventre de sa femme sa queue renforcée, jusqu'aux couilles. Sans précipitation, il commence un très, très lent va-et-vient ; chaque aller et retour arrache à Charlène des grognements de bête agonisante. Distendue comme jamais, elle ne l'a été, elle geint, et entre deux souffles, elle dit :
Mon chéri, tu es fier de moi ? tu as vu, j'ai tout dans le ventre, mon Dieu comme je suis ouverte !
Pour toute réponse, Charles accélère, ses coups de reins deviennent violents, Charlène en grimaçant murmure :
-Oui, oui mon chéri, baise-moi fort, oh putain, oh putain comme tu l'éclates, oh oui, oui, ça vient, ça vient !
Une nouvelle jouissance la fait hurler. Rapidement, Charles ressort sa verge du ventre de sa femme et change le fourreau. Immédiatement, il l'enfonce dans le ventre de sa femme, jusqu'à la garde. Les picots raclent fortement les parois sensibles du vagin, en arrachant à Charlène des gémissement hors du commun. Plus il la bourre, plus elle rugit :
-Charles, Charles, c'est atroce, je vais encore jouir, vas-y, vas-y mon chéri !
Les coups de reins de son mari deviennent terribles, il lui tire sur les hanches pour bien l'empaler. Un hurlement inhumain, sort de la gorge de Charlène. Sa jouissance est monstrueuse, plus les picots lui agressent le vagin, plus, elle agite son bassin, en marmonnant :
-Oui, oui, encore, encore, Charles, Charles, je meurs de plaisir, oh, je jouis encore, c'est démentiel !
Charles se bloque au fond du vagin et envoie sa semence. Il donne encore quelques estocades avant de se retirer. Il regarde le tour béant et avec regret dit :
-Oh mon Dieu ma chérie, comme je t'ai arrangé, tu es si ouverte que je pourrais y enfoncer ma main !
Les yeux de Charlène sont embués, elle dit en essayant de retrouver son souffle :
-Mon chéri, c'était magnifique, j'ai joui comme une damnée, je dois être folle pour jouir comme ça ?
Charles en lui souriant ajoute :
-Non, tu n'es pas folle, tu aimes jouir, et moi, je veux te faire jouir encore plus !
Il caresse la chatte béante de sa femme, un à un y enfonce ses doigts. Sans trop forcer, il réussit à faire entrer sa main entièrement dans la chatte distendue. Sa femme se cabre, elle agite son bassin, donne des coups de reins pour recevoir la main le plus profondément possible dans le ventre. La main fait des demi-rotations dans le ventre de Charlène qui gémit terriblement.
Avec patience, Charles lui travaille la chatte, et cela porte ses fruits. Charlène pousse un hurlement de jouissance. Charles ferme le poing et agit comme un piston dans son cylindre. Le pilonnage est violent, Charlène jouit encore plus fort, elle s'agrippe à son mari en gémissant. Elle est au bord de la syncope. Charles est fier de la performance de sa femme, il l'embrasse sauvagement, avant de faire une pause.
Comme le coquin a ravagé la chatte de sa femme, pour la faire jouir encore, il doit la prendre par le cul et cela ne déplait pas à Charlène, qui jouit encore quelques fois avant de demander grâce. Au fil des ans, Charles devient moins performant, pour combler les pulsions sexuelles de Charlène, il lui achète quelques jouets. Maintenant, elle doit se finir avec les engins pour atteindre les orgasmes qu'il ne parvient presque plus à lui donner. Charlène, très amoureuse, ne se plaint pas. Conscient de sa défaillance. Un soir, lorsqu'ils sont couchés, il lui parle :
-Ma chérie, je suis conscient que je ne suis plus à la hauteur sexuellement avec toi, et je suis résolu à ce que tu prennes des amants !
Charlène sursaute, regarde son mari en écarquillant les yeux, puis elle dit :
-Mais mon chéri, je suis heureuse comme ça, je n'ai besoin que de toi, d'ailleurs les jouets que tu m'as offerts me comblent entièrement !
En secouant la tête négativement, Charles réplique :
-Je veux que tu sois sexuellement épanouie, je t'aime tellement que je ne vis que pour te rendre heureuse. D'ailleurs, nous ne sommes que de passage sur terre, alors, ma chérie, il faut brûler la chandelle par les deux bouts !
Charlène reste dubitative un moment avant de répondre :
-Tu es sérieux lorsque tu me dis de prendre des amants ? Mais s'ils me détachent de toi, quelles en seront les conséquences ?
-C'est un risque à prendre, mais j'ai confiance en toi ma chérie, d'ailleurs je serai présent !
Charlène ne sait que répondre, elle regarde longuement son mari, ses yeux brillent. Elle repousse les draps saisit sa verge et l'agite férocement, péniblement elle se dresse. Charlène décalotte le gland et le gobe la fellation qu'elle fait à Charles est monstrueuse. Elle reçoît un flot de sperme dans la bouche qu'elle s'empresse d'avaler, puis elle se blottit contre lui en ronronnant comme une chatte. Il lui murmure à l'oreille :
-Réfléchis à ce que je t'ai proposé ma chérie !
Charles s'endort, rien de mieux qu'une bonne fellation pour s'endormir. Charlène est rêveuse, elle se tourne et retourne dans son lit sans trouver le sommeil. Elle a recours à quelques masturbations pour pouvoir s'endormir.
Le lendemain matin, Charles n'en démord pas, il demande :
-Alors ma chérie, ta réponse !
Très gênée, Charlène répond :
-Si c'est ce que tu désires, Charles, j'accepte !
Fou de joie, il l'enlace et l'embrasse fougueusement. Il lui donne des baisers sur tout le corps à travers la nuisette transparente. Il hume la chatte qui rejette des effluves odorantes. Il découvre que la coquine s'est masturbée durant la nuit. Il lui retrousse la nuisette et lui dévore la chatte comme un affamé. Charlène gémit en appuyant sur la tête de son mari. La bouche de Charles est si experte, que Charlène explose de jouissance. Après sa douche, elle prépare le petit déjeuner, pendant que Charles surfe sur le net à la recherche de beaux mâles qui sauront combler sa femme.Enfin, il trouve son bonheur, il prend contact avec deux hommes et dit à Charlène :
-Ma chérie, le jour est enfin arrivé, tu vas avoir pour toi toute seule, deux hommes qui vont bien te défoncer. Je les ai choisis pour toi, ils sont bien membrés et d'après les renseignements très résistants. Charlène, en se pinçant les lèvres, dit :
-Tu ne le regretteras pas, mon chéri, de m'offrir comme une pute à des étrangers ?
En souriant, Charles réplique :
-Mais ma chérie, je veux que tu deviennes une pute et une bonne en plus !
Charlène hoche la tête négativement, mais le prend bien. Plus l'heure approche, plus elle stresse. Elle change plusieurs fois de tenues, prend plusieurs douches. Mais son mari lui conseille de mettre sur son corps nu, juste un peignoir de bain. La sonnette retentit, Charlène blêmit, se met à trembler et s'enfuit à la salle de bain. Charles reçoit ses invités. Ce sont de beaux gaillards bien charpentés. Il les fait entrer au salon et leur serre un verre. Les deux hommes remarquent la banquette, ils se doutent que c'est l'endroit où ils vont devoir défoncer Charlène.
Charles va chercher sa femme qui n'ose affronter les deux hommes. Elle regarde les deux étrangers avec angoisse, elle ravale sa salive. Dans sa tête, ce n'est pas clair, c'est la première fois qu'elle va tromper son mari et encore avec sa permission. Elle est mal à l'aise, stresse. Les hommes engagent la conversation pour mettre en confiance Charlène, ils sont très sympathiques. Charles demande à sa chérie :
-Retire ton peignoir, ma chérie, montre à ses messieurs comme tu es belle !
Très stressée, Charlène veut fuir, mais l'amour qu'elle porte à son mari est si fort qu'elle dénoue la ceinture du peignoir et ouvre les deux pans, lentement le tissu éponge tombe sans bruit sur le sol. Les yeux se braquent sur elle, malgré son âge, cette femme mûre a un corps, qui n'a rien à envier aux jeunettes. Ses seins lourds ornés de mamelons larges et épais pendent légèrement sur son torse, et n'attendent qu'à durcir sous des mains puissantes.
Sa chatte rasée, aux lèvres bien dessinées, fait saliver les voyeurs. Charles épie les deux hommes, il est heureux qu'elle leur plaise, et cela, d'un côté, le rassure. Lentement, sans quitter des yeux Charlène, les deux hommes retirent leurs vêtements. Charlène pose discrétement ses yeux sur les membres qui leurs arrivent à mi-cuisses. Les bougres, même au repos, semblent redoutables. Bruyamment, elle ravale sa salive et regarde son mari en se posant la question : serai-je à la hauteur de la tâche qui m'incombe ?
Charles connait très bien sa femme, il sait qu'elle stresse à mort. Pour l'encourager, il lui fait un clin d'œil et dans la foulée, lui aussi se met nu. Il prend la main de sa femme et l'entraine vers la banquette, il la bascule doucement dessus. Automatiquement, elle ouvre les cuisses. Il fait signe aux deux hommes qui s'approchent. L'un s'agenouille devant ses cuisses ouvertes, admire un temps la fente qui semble frémir d'impatience, avant de la caresser délicatement. L'autre inconnu commence à lui malaxer les seins, ses doigts s'enfoncent dans la chair, souple et peu à peu les seins se raffermissent, et durcissent. Il saisit entre ses doigts les mamelons, les roule, les étire, et pour les stimuler, les écrase fortement plusieurs fois, Charlène grimace. Il pose sa bouche sur les mats dressés, et commence une série de succions, suivies de tétées gourmandes. Charlène geint, elle s'agrippe à la banquette.
Mais lorsqu'on lui saisit le clitoris, elle se cambre en poussant un gémissement. Les doigts agiles de l'homme l'agitent de plus en plus vite. l'effet produit fait que Charlène agite doucement son bassin, en grognant. Son clitoris devient énorme sous les doigts experts de l'inconnu, qui le branle énergiquement en arrachant à sa proie des gémissements terribles. L'autre homme lui travaille férocement les mamelons, les mordille, les étire avec ses dents. Pour Charlène, ce n'est que du bonheur, ses yeux humides ne quittent pas son mari qui fait le voyeur. Elle semble le supplier de lui pardonner de prendre du plaisir avec d'autres hommes que lui. Le gredin, lui enfonce ses doigts dans le vagin et le fouille longuement avnat de goblr le clito et de le maltraiter.
Une première jouissance la fait hurler, Charles sursaute, il regarde sa femme se cabrer, en explosant de plaisir.
Mais il faut rendre les hommes opérationnels, sur l'un, puis sur l'autre, elle pratique sur eux une fellation terrible. Les deux hommes doivent la repousser pour ne pas lui jouir dans la bouche. L'un l'enjambe et se place sur son estomac, il met sa verge entre les seins généreux, les presse pour emprisonner sa queue et commence une branlette espagnole. L'autre se place entre ses cuisses et lui enfonce sa bite dans le ventre. Prise sauvagement par la bite puissante, Charlène geint comme une bête blessée. Elle agite son bassin en s'agrippant à l'un de ses amants. La verge voyage dans la gaine en raclant les parois sensibles. À chaque enfoncement de sa bite dans le ventre de Charlène, il pousse un han de bucheron. Charlène donne elle-même des coups de reins pour s'empaler à fond.
Elle reçoit une terrible giclée de sperme sur le cou et une partie du visage (il faut dire que la branlette espagnole porte ses fruits).
Avec rage, l'homme la défonce en lui arrachant des gémissements inhumains. Il ressort sa verge totalement et la replonge avec force le plus loin possible dans le ventre de Charlène qui ne cesse de pousser de longs râles rauques. Charles l'encourage :
-Joui ma chérie, donne-toi à fond, ne te retiens pas, vas-y, vas-y !
Le souffle de Charlène est rapide, elle gémit en agitant sa croupe, l'homme la défonce comme un soudard. Elle se tend comme un arc et explose en hurlant de jouissance. L'homme ne la ménage pas, ses coups de reins sont dévastateurs. Soudain, en grognant, il se bloque et remplit le ventre de Charlène de sperme, qui jouit une seconde fois
L'homme cède la place à son complice, qui laboure les entrailles de son amante en lui donnant des coups de reins monstrueux. C'est si violent que Charles a l'impression que le type veut entrer ses couilles aussi dans la chatte de sa femme. Cela le fait sourire. Charlène est aux anges, elle gémit à chaque pénétration. La bite rabote fortement le col de son utérus, comme pour le pénétrer. L'effet produit est terrible. Charlène délire :
-Oui, vas-y, vas-y, défonce-moi, fais-moi gueuler, oh putain Charles, je vais encore jouir, c'est merveilleux !
Elle explose toujours en hurlant, l'homme s'acharne sur elle, comme un rapace sur sa proie, il déverse en elle un flot de liquide visqueux. Il prend Charlène à bras-le-corps et la bascule sur lui sans se retirer de son corps. Son compère se place derrière Charlène et frotte sa queue contre l'œillet que Charles avait souvent visité autres fois et que malheureusement, à présent, ne connait que les visites de godes.
Il enfonce sa verge dans le rectum jusqu'aux couilles, et l'éclate comme un forcené. Les deux bites coulissent dans le cul et la chatte de Charlène en lui arrachant des paroles délirantes, même son mari ne les a jamais entendues :
-Allez-y salopards, éclatez votre salope, oui, je suis une grosse pute qui trompe son mari et qui jouit, oh putain, que c'est bien deux bites dans le corps en même temps. Charles, Charles, regarde, ta grosse pute, va jouir encore, c'est démentiel, oui, oui, ça vient, ça vient, allez-y, vous deux défoncez-moi plus fort, Charles, Charles, je meurs !
Une explosion terrible la fait encore hurler de jouissance. Les deux amants s'acharnent sur elle en cherchant leurs jouissances. C'est en rugissant comme des fauves qu'ils lui remplissent les entrailles. Les deux hommes échangent plusieurs fois la place, c'est remplit et gavée de sperme. Que Charlène s'écroule sous les assauts répétés des deux hommes.
Après une bonne douche réparatrice, Charlène embrasse son mari fougueusement en le remerciant pour cet instant inoubliable.
Charlène provient, comme on dit, de la haute, éduquée sévèrement, rien ne lui était épargné. Toujours tirée à quatre épingles, elle n'attire que le respect. Mais cette femme bien en chair a des carences sexuelles. Maintenant qu'elle est mariée, cette femme plantureuse mène une vie enchanteresse avec Charles, un notable de la ville. L'homme ne rechigne à rien pour la rendre heureuse. Petit à petit, il l'entraine sur les pentes glissantes des plaisirs du sexe. Le jour de l'anniversaire de Charlène, il lui offre un cadeau.
Impatiente, elle le déballe. Elle sursaute et reste béate devant ce qu'elle découvre. Ce sont deux fourreaux que l'homme en érection enfile sur sa queue, pour en augmenter le volume. Mais ceux-ci sont particuliers, l'un porte de grosses veines apparentes monstrueuses qui donne à l'engin un air redoutable. L'autre aussi gros est garni de picots, qui font frissonner Charlène.
Elle les prend en mains, les palpe longuement, pour en connaitre la texture, puis en regardant son mari dit !
— Tu comptes te servir de ses trucs mon chéri ?
En souriant, Charles répond :
-Oui ma chérie, je veux que tu connaisses d'autres formes de pénétrations, il parait que les jouissances en sont quadruplées, si tu le veux, nous pouvons les tester immédiatement !
Charlène, regarde encore un instant les objets et dit :
-C'est très tentant, surtout, je suis très curieuse de savoir l'effet que ça fait d'avoir ces machins dans le corps. Promets que tu ne seras pas brutal avec, car ils sont monstrueux !
En souriant, Charles l'embrasse, et lui passe la main sous la robe et lui dit une fois qu'il a caressé la chatte à travers la culotte :
-Vas te préparer ma chérie, surtout rase-toi bien, hum, je vais bien t'ouvrir, j'en rêve depuis longtemps !
En souriant, Charlène répond :
Tu es un gros cochon mon chéri, mais je vais être quand même ta soumise !
Charlène disparait dans la salle de bain, pour faire quelques ablutions et se raser, comme le lui a recommandé son mari. Elle réapparait, emmitouflée dans un peignoir de bain, souriante, elle s'avance vers Charles, qui l'enlace et l'embrasse fougueusement. Les salives s'échangent, les langues se nouent, le baiser, est interminable. Les deux corps se frottent continuellement pendant le baiser. Charles ne peut cacher la forte érection qui appuie sur le ventre de sa femme. Une fois le baiser terminé, elle dit :
-Oh, mais mon chéri, tu bandes terriblement !
En disant cela, elle caresse la bosse qui déforme le pantalon de son mari. En souriant, il réplique :
-C'est toi ma chérie qui me rend comme ça !
Il lui fait tomber le peignoir et immédiatement, il lui gobe à tour de rôle les mamelons. Il les suce, les tète avec férocité, Charlène gémit sous les aspirations répétées et puissantes de Charles. Avec douceur, il la bascule sur la banquette sans dossier, bien matelassée, que Charles, très prévoyant, avait acheté au début de son mariage avec Charlène. Souvent les deux font l'amour sur ce banc, c'est l'endroit qu'ils préfèrent. Chaque jour qui passe, il innove, lui enseigne de nouvelles pratiques, dont elle en ignorait l'existence. Son éducation très stricte lui interdisait toutes relations sexuelles avant le mariage. Les seuls plaisirs qu'elle avait connus avant son mariage, ce sont ses doigts qu'ils lui ont donnés. Mais Charles l'a bien prise en main et ne compte pas s'en arrêter là. Il a plein de projets pour sa femme chérie. Après lui avoir bien travaillé les mamelons, il se redresse et lui dit :
-Ma chérie, branle-toi, j'adore lorsque tu fais la salope !
Charlène, ouvre largement les cuisses et commence à se frotter les grandes lèvres. Sa vulve suinte terriblement, puis elle saisit entre ses doigts sa boule magique et l'agite en serrant les dents. C'est avec rage qu'elle se masturbe, Charles adore la voir dans cet état. Sa queue est agitée de soubresauts continuels. Les yeux rivés sur son mari, Charlène se détruit le clitoris, elle gémit, s'arque, boute fortement et dans un hurlement que son mari attendait, elle explose de jouissance. Il plaque sa bouche sur la chatte qui ne peut retenir sa cyprine, il aspire tout ce qu'il peut, avant d'enfoncer sa langue profondément dans le vagin en ébullition. Il le fouille en poussant des gémissements aussi bruyants que ceux de sa femme. Charlène adore que son mari s'occupe de sa chatte, elle gite son bassin en marmonnant :
-Oui mon chéri, c'est bon, continue, continue, oh comme je t'aime !
Charles s'acharne sur l'abricot juteux, il raffole de la substance suave qu'il rejette. Dans un état d'excitation extrême, sa femme pourrait être un volcan, le bougre le sait, il grogne en lui fouillant le cratère qui est prêt à entrer en éruption. La bouche, vorace, se plaque sur le clitoris, qui est devenu énorme. Charlène pousse un long râle en se cambrant comme un pont, elle s'agrippe à la banquette en tremblant de tous ses membres, elle maintient la position, et hurle :
-Charles, Charles, je vais jouir, mon Dieu, c'est atroce ce que tu me fais subir, oh mon Dieu, comme je t'aime !
Un jet de cyprine puissant remplit la bouche de Charles, c'est si violent qu'il se redresse en regardant le puits gicler comme un geyser. Son corps retombe lourdement sur la banquette. Et en haletant, elle dit :
-Oh mon chéri, tu me tues, oh comme je suis heureuse avec toi, baise-moi, baise-moi, mon chéri, fais-moi mourir de plaisir !
Il la regarde en souriant, le coquin adore lorsqu'elle est demandeuse. Il saisit le fourreau fortement veiné et l'enfile sur sa verge raide comme du bois. Charlène regarde avec une certaine angoisse le membre muni du fourreau monstrueux. Charles place contre la vulve détrempée sa queue, et en s'accrochant aux hanches de sa femme, pousse doucement. Lentement, l'engin s'enfonce dans la gaine qu'il dilate fortement. Charlène serre les dents, elle s'agrippe à son mari en grognant. Elle souffle comme un dragon. Avec patience, Charles réussit à enfoncer dans le ventre de sa femme sa queue renforcée, jusqu'aux couilles. Sans précipitation, il commence un très, très lent va-et-vient ; chaque aller et retour arrache à Charlène des grognements de bête agonisante. Distendue comme jamais, elle ne l'a été, elle geint, et entre deux souffles, elle dit :
Mon chéri, tu es fier de moi ? tu as vu, j'ai tout dans le ventre, mon Dieu comme je suis ouverte !
Pour toute réponse, Charles accélère, ses coups de reins deviennent violents, Charlène en grimaçant murmure :
-Oui, oui mon chéri, baise-moi fort, oh putain, oh putain comme tu l'éclates, oh oui, oui, ça vient, ça vient !
Une nouvelle jouissance la fait hurler. Rapidement, Charles ressort sa verge du ventre de sa femme et change le fourreau. Immédiatement, il l'enfonce dans le ventre de sa femme, jusqu'à la garde. Les picots raclent fortement les parois sensibles du vagin, en arrachant à Charlène des gémissement hors du commun. Plus il la bourre, plus elle rugit :
-Charles, Charles, c'est atroce, je vais encore jouir, vas-y, vas-y mon chéri !
Les coups de reins de son mari deviennent terribles, il lui tire sur les hanches pour bien l'empaler. Un hurlement inhumain, sort de la gorge de Charlène. Sa jouissance est monstrueuse, plus les picots lui agressent le vagin, plus, elle agite son bassin, en marmonnant :
-Oui, oui, encore, encore, Charles, Charles, je meurs de plaisir, oh, je jouis encore, c'est démentiel !
Charles se bloque au fond du vagin et envoie sa semence. Il donne encore quelques estocades avant de se retirer. Il regarde le tour béant et avec regret dit :
-Oh mon Dieu ma chérie, comme je t'ai arrangé, tu es si ouverte que je pourrais y enfoncer ma main !
Les yeux de Charlène sont embués, elle dit en essayant de retrouver son souffle :
-Mon chéri, c'était magnifique, j'ai joui comme une damnée, je dois être folle pour jouir comme ça ?
Charles en lui souriant ajoute :
-Non, tu n'es pas folle, tu aimes jouir, et moi, je veux te faire jouir encore plus !
Il caresse la chatte béante de sa femme, un à un y enfonce ses doigts. Sans trop forcer, il réussit à faire entrer sa main entièrement dans la chatte distendue. Sa femme se cabre, elle agite son bassin, donne des coups de reins pour recevoir la main le plus profondément possible dans le ventre. La main fait des demi-rotations dans le ventre de Charlène qui gémit terriblement.
Avec patience, Charles lui travaille la chatte, et cela porte ses fruits. Charlène pousse un hurlement de jouissance. Charles ferme le poing et agit comme un piston dans son cylindre. Le pilonnage est violent, Charlène jouit encore plus fort, elle s'agrippe à son mari en gémissant. Elle est au bord de la syncope. Charles est fier de la performance de sa femme, il l'embrasse sauvagement, avant de faire une pause.
Comme le coquin a ravagé la chatte de sa femme, pour la faire jouir encore, il doit la prendre par le cul et cela ne déplait pas à Charlène, qui jouit encore quelques fois avant de demander grâce. Au fil des ans, Charles devient moins performant, pour combler les pulsions sexuelles de Charlène, il lui achète quelques jouets. Maintenant, elle doit se finir avec les engins pour atteindre les orgasmes qu'il ne parvient presque plus à lui donner. Charlène, très amoureuse, ne se plaint pas. Conscient de sa défaillance. Un soir, lorsqu'ils sont couchés, il lui parle :
-Ma chérie, je suis conscient que je ne suis plus à la hauteur sexuellement avec toi, et je suis résolu à ce que tu prennes des amants !
Charlène sursaute, regarde son mari en écarquillant les yeux, puis elle dit :
-Mais mon chéri, je suis heureuse comme ça, je n'ai besoin que de toi, d'ailleurs les jouets que tu m'as offerts me comblent entièrement !
En secouant la tête négativement, Charles réplique :
-Je veux que tu sois sexuellement épanouie, je t'aime tellement que je ne vis que pour te rendre heureuse. D'ailleurs, nous ne sommes que de passage sur terre, alors, ma chérie, il faut brûler la chandelle par les deux bouts !
Charlène reste dubitative un moment avant de répondre :
-Tu es sérieux lorsque tu me dis de prendre des amants ? Mais s'ils me détachent de toi, quelles en seront les conséquences ?
-C'est un risque à prendre, mais j'ai confiance en toi ma chérie, d'ailleurs je serai présent !
Charlène ne sait que répondre, elle regarde longuement son mari, ses yeux brillent. Elle repousse les draps saisit sa verge et l'agite férocement, péniblement elle se dresse. Charlène décalotte le gland et le gobe la fellation qu'elle fait à Charles est monstrueuse. Elle reçoît un flot de sperme dans la bouche qu'elle s'empresse d'avaler, puis elle se blottit contre lui en ronronnant comme une chatte. Il lui murmure à l'oreille :
-Réfléchis à ce que je t'ai proposé ma chérie !
Charles s'endort, rien de mieux qu'une bonne fellation pour s'endormir. Charlène est rêveuse, elle se tourne et retourne dans son lit sans trouver le sommeil. Elle a recours à quelques masturbations pour pouvoir s'endormir.
Le lendemain matin, Charles n'en démord pas, il demande :
-Alors ma chérie, ta réponse !
Très gênée, Charlène répond :
-Si c'est ce que tu désires, Charles, j'accepte !
Fou de joie, il l'enlace et l'embrasse fougueusement. Il lui donne des baisers sur tout le corps à travers la nuisette transparente. Il hume la chatte qui rejette des effluves odorantes. Il découvre que la coquine s'est masturbée durant la nuit. Il lui retrousse la nuisette et lui dévore la chatte comme un affamé. Charlène gémit en appuyant sur la tête de son mari. La bouche de Charles est si experte, que Charlène explose de jouissance. Après sa douche, elle prépare le petit déjeuner, pendant que Charles surfe sur le net à la recherche de beaux mâles qui sauront combler sa femme.Enfin, il trouve son bonheur, il prend contact avec deux hommes et dit à Charlène :
-Ma chérie, le jour est enfin arrivé, tu vas avoir pour toi toute seule, deux hommes qui vont bien te défoncer. Je les ai choisis pour toi, ils sont bien membrés et d'après les renseignements très résistants. Charlène, en se pinçant les lèvres, dit :
-Tu ne le regretteras pas, mon chéri, de m'offrir comme une pute à des étrangers ?
En souriant, Charles réplique :
-Mais ma chérie, je veux que tu deviennes une pute et une bonne en plus !
Charlène hoche la tête négativement, mais le prend bien. Plus l'heure approche, plus elle stresse. Elle change plusieurs fois de tenues, prend plusieurs douches. Mais son mari lui conseille de mettre sur son corps nu, juste un peignoir de bain. La sonnette retentit, Charlène blêmit, se met à trembler et s'enfuit à la salle de bain. Charles reçoit ses invités. Ce sont de beaux gaillards bien charpentés. Il les fait entrer au salon et leur serre un verre. Les deux hommes remarquent la banquette, ils se doutent que c'est l'endroit où ils vont devoir défoncer Charlène.
Charles va chercher sa femme qui n'ose affronter les deux hommes. Elle regarde les deux étrangers avec angoisse, elle ravale sa salive. Dans sa tête, ce n'est pas clair, c'est la première fois qu'elle va tromper son mari et encore avec sa permission. Elle est mal à l'aise, stresse. Les hommes engagent la conversation pour mettre en confiance Charlène, ils sont très sympathiques. Charles demande à sa chérie :
-Retire ton peignoir, ma chérie, montre à ses messieurs comme tu es belle !
Très stressée, Charlène veut fuir, mais l'amour qu'elle porte à son mari est si fort qu'elle dénoue la ceinture du peignoir et ouvre les deux pans, lentement le tissu éponge tombe sans bruit sur le sol. Les yeux se braquent sur elle, malgré son âge, cette femme mûre a un corps, qui n'a rien à envier aux jeunettes. Ses seins lourds ornés de mamelons larges et épais pendent légèrement sur son torse, et n'attendent qu'à durcir sous des mains puissantes.
Sa chatte rasée, aux lèvres bien dessinées, fait saliver les voyeurs. Charles épie les deux hommes, il est heureux qu'elle leur plaise, et cela, d'un côté, le rassure. Lentement, sans quitter des yeux Charlène, les deux hommes retirent leurs vêtements. Charlène pose discrétement ses yeux sur les membres qui leurs arrivent à mi-cuisses. Les bougres, même au repos, semblent redoutables. Bruyamment, elle ravale sa salive et regarde son mari en se posant la question : serai-je à la hauteur de la tâche qui m'incombe ?
Charles connait très bien sa femme, il sait qu'elle stresse à mort. Pour l'encourager, il lui fait un clin d'œil et dans la foulée, lui aussi se met nu. Il prend la main de sa femme et l'entraine vers la banquette, il la bascule doucement dessus. Automatiquement, elle ouvre les cuisses. Il fait signe aux deux hommes qui s'approchent. L'un s'agenouille devant ses cuisses ouvertes, admire un temps la fente qui semble frémir d'impatience, avant de la caresser délicatement. L'autre inconnu commence à lui malaxer les seins, ses doigts s'enfoncent dans la chair, souple et peu à peu les seins se raffermissent, et durcissent. Il saisit entre ses doigts les mamelons, les roule, les étire, et pour les stimuler, les écrase fortement plusieurs fois, Charlène grimace. Il pose sa bouche sur les mats dressés, et commence une série de succions, suivies de tétées gourmandes. Charlène geint, elle s'agrippe à la banquette.
Mais lorsqu'on lui saisit le clitoris, elle se cambre en poussant un gémissement. Les doigts agiles de l'homme l'agitent de plus en plus vite. l'effet produit fait que Charlène agite doucement son bassin, en grognant. Son clitoris devient énorme sous les doigts experts de l'inconnu, qui le branle énergiquement en arrachant à sa proie des gémissements terribles. L'autre homme lui travaille férocement les mamelons, les mordille, les étire avec ses dents. Pour Charlène, ce n'est que du bonheur, ses yeux humides ne quittent pas son mari qui fait le voyeur. Elle semble le supplier de lui pardonner de prendre du plaisir avec d'autres hommes que lui. Le gredin, lui enfonce ses doigts dans le vagin et le fouille longuement avnat de goblr le clito et de le maltraiter.
Une première jouissance la fait hurler, Charles sursaute, il regarde sa femme se cabrer, en explosant de plaisir.
Mais il faut rendre les hommes opérationnels, sur l'un, puis sur l'autre, elle pratique sur eux une fellation terrible. Les deux hommes doivent la repousser pour ne pas lui jouir dans la bouche. L'un l'enjambe et se place sur son estomac, il met sa verge entre les seins généreux, les presse pour emprisonner sa queue et commence une branlette espagnole. L'autre se place entre ses cuisses et lui enfonce sa bite dans le ventre. Prise sauvagement par la bite puissante, Charlène geint comme une bête blessée. Elle agite son bassin en s'agrippant à l'un de ses amants. La verge voyage dans la gaine en raclant les parois sensibles. À chaque enfoncement de sa bite dans le ventre de Charlène, il pousse un han de bucheron. Charlène donne elle-même des coups de reins pour s'empaler à fond.
Elle reçoit une terrible giclée de sperme sur le cou et une partie du visage (il faut dire que la branlette espagnole porte ses fruits).
Avec rage, l'homme la défonce en lui arrachant des gémissements inhumains. Il ressort sa verge totalement et la replonge avec force le plus loin possible dans le ventre de Charlène qui ne cesse de pousser de longs râles rauques. Charles l'encourage :
-Joui ma chérie, donne-toi à fond, ne te retiens pas, vas-y, vas-y !
Le souffle de Charlène est rapide, elle gémit en agitant sa croupe, l'homme la défonce comme un soudard. Elle se tend comme un arc et explose en hurlant de jouissance. L'homme ne la ménage pas, ses coups de reins sont dévastateurs. Soudain, en grognant, il se bloque et remplit le ventre de Charlène de sperme, qui jouit une seconde fois
L'homme cède la place à son complice, qui laboure les entrailles de son amante en lui donnant des coups de reins monstrueux. C'est si violent que Charles a l'impression que le type veut entrer ses couilles aussi dans la chatte de sa femme. Cela le fait sourire. Charlène est aux anges, elle gémit à chaque pénétration. La bite rabote fortement le col de son utérus, comme pour le pénétrer. L'effet produit est terrible. Charlène délire :
-Oui, vas-y, vas-y, défonce-moi, fais-moi gueuler, oh putain Charles, je vais encore jouir, c'est merveilleux !
Elle explose toujours en hurlant, l'homme s'acharne sur elle, comme un rapace sur sa proie, il déverse en elle un flot de liquide visqueux. Il prend Charlène à bras-le-corps et la bascule sur lui sans se retirer de son corps. Son compère se place derrière Charlène et frotte sa queue contre l'œillet que Charles avait souvent visité autres fois et que malheureusement, à présent, ne connait que les visites de godes.
Il enfonce sa verge dans le rectum jusqu'aux couilles, et l'éclate comme un forcené. Les deux bites coulissent dans le cul et la chatte de Charlène en lui arrachant des paroles délirantes, même son mari ne les a jamais entendues :
-Allez-y salopards, éclatez votre salope, oui, je suis une grosse pute qui trompe son mari et qui jouit, oh putain, que c'est bien deux bites dans le corps en même temps. Charles, Charles, regarde, ta grosse pute, va jouir encore, c'est démentiel, oui, oui, ça vient, ça vient, allez-y, vous deux défoncez-moi plus fort, Charles, Charles, je meurs !
Une explosion terrible la fait encore hurler de jouissance. Les deux amants s'acharnent sur elle en cherchant leurs jouissances. C'est en rugissant comme des fauves qu'ils lui remplissent les entrailles. Les deux hommes échangent plusieurs fois la place, c'est remplit et gavée de sperme. Que Charlène s'écroule sous les assauts répétés des deux hommes.
Après une bonne douche réparatrice, Charlène embrasse son mari fougueusement en le remerciant pour cet instant inoubliable.
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